Tumgik
#abnégation
isistina · 1 month
Text
Abnégation
Me demander l’abnégationLa meilleure chose que tu pouvais faireÉtant donné les conditions de ma présentationMe disant investie d’une mission de guérisonJ’ai accompli la trahison En étant ignorante de ma propre prisonUne fois revenue à la raison j’étais poignardée sur mon propre gazonD’où j’ai une vue imprenable sur l’horizon
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
sabbathsermon · 1 year
Text
Le don du cœur | S'inspirer de l'amour sacrificiel de Dieu
audio, citations
youtube
View On WordPress
0 notes
esklarv · 6 months
Text
Tumblr media
abnégation. Négation; un abandon total. Bonheur simple.Il est tard, rentrons
18 notes · View notes
mmepastel · 4 months
Text
youtube
Tumblr media
Quel beau livre que celui-ci, de Lola Lafon : La petite communiste qui ne souriait jamais. C’est un biographie atypique de Nadia Comaneci, dont je me souvenais, lors des Jeux Olympiques ultérieurs à ceux qui ont fait instantanément sa gloire, ceux de Montréal en 1976. Plus tard, en 1980 à Moscou, ou à Los Angeles en 84, elle était attendue, et je savais l’aura qui accompagnait.
Pendant la lecture du livre, j’ai regardé en parallèle ses prestations lors des moments phares de son parcours en compétition. Comme Lola Lafon, j’ai essayé de scruter son visage, j’ai vu ses sourcils bien droits, ses ombres sous les yeux. J’ai essayé de deviner ce qu’elle pensait, ressentait. C’est impossible. Elle est opaque. Et c’est vrai que ses sourires sont rares, même en 1976, même quand elle détraque la machine à afficher les notes qui n’arrive pas afficher le premier 10 de l’histoire correctement !
Que se passe-t-il dans sa tête lorsqu’au Texas, elle est sommée de monter sur la poutre alors qu’elle a le bras qui la fait souffrir horriblement ? Elle y va néanmoins, exécute la plupart de ses figures sans appui, sauf pour la sortie, ce qui l’emmène droit à l’hôpital juste après la fin de l’épreuve, hôpital où on lui fait comprendre la gravité de son infection, les conséquences possibles qu’elle a frôlées. Peu importe, elle a fait gagner son équipe.
Il y a quelque chose de militaire dans son abnégation, mais de mystérieux aussi. Profondément intime. Peut-être un combo de talent, de volonté et de discipline, un mélange d’égo et d’oubli de soi insolite.
Oui, son entraîneur était spécial, mélange de père débonnaire et de baratineur, mâtiné de tortionnaire. Mais elle l’a aimé, et probablement dominé, à sa manière. Dès son plus jeune âge, elle n’a pas dit ses limites, et elle s’est ainsi protégée des attentes excessives. C’est du moins ce qu’elle dit. Quand on l’écoute parler dans les interviews tardives où elle ressemble désormais à une américaine plus vraie que vraie, il y a quelque chose qui reste opaque. Une façon de ne rien révéler de ses sentiments, de ses émotions. Elle garde ses secrets.
Et pourtant quel destin incroyable. Être une étoile au moment même où le régime communiste du fou Ceausescu se durcit, ce fut au début une chance, avec cet entraîneur Belà qui décida d’égaler voire de surpasser les russes, puis une malédiction. Elle devint alors une vitrine du communiste. Elle vécut la dépossession de son corps. Qui devait rester performant malgré la puberté, la tristesse, la privation. De 1981 à 1989, vivre en Roumanie, c’était très dur, tout autant pour elle que pour le reste de la population. La peur de la délation, la Securitate partout, la nourriture nulle part, le chauffage à 14, des décrets qui condamnent l’avortement, qui exigent des femmes de faire des enfants (5 !) (on est là dans un « réarmement démographique » pur et dur qui fait frissonner). Elle finit par faire de l’ombre à Ceausescu et tomba en disgrâce ; elle était surveillée, traquée, devint le jouet de son fils, jusqu’à sa fuite, de nuit, à pied, à travers la Hongrie, encore mystérieuse, trop proche de l’effondrement du régime pour être bien vue, devenue suspecte. On l’a accusée, en Occident, d’avoir bien profité du système et de l’avoir fui pressentant qu’il était en phase terminale. Et une fois au USA, la traque à nouveau, par les journalistes qui commentent tous ses faits et gestes.
Dans la biographie, Lola Lafon renvoie dos à dos les deux acteurs de la guerre froide. Dans une interview, elle parle de peste et de choléra. Au fond, le capitalisme est-il vraiment synonyme de liberté ? Ici, nos téléphones nous géolocalisent, le corps des femmes est tout autant scruté et commenté, la réussite est tout aussi ardemment recherchée. Elle refuse de simplifier ce conte de fée qu’on voudrait nous faire avaler : la petite fée, l’écureuil bondissant a rejoint l’Occident pour devenir libre ? Pas si simple. Et dans cette biographie atypique où la narratrice fait comme si Nadia commentait ses chapitres, la gymnaste au téléphone ou par mail, nuance la grisaille de la dictature, le soleil des USA, l’absence de liberté. Elle minimise la souffrance. Elle ne s’apitoie jamais.
Plus elle parle, moins elle se révèle et reste une énigme, de celles qui font les mythes.
NB : ci-dessus, les 7 épreuves où Nadia Comaneci a obtenu un 10/10 en 1976 à Montréal, à l’âge de 14 ans et est entrée dans l’histoire, celle de la gymnastique, mais aussi dans la grande.
4 notes · View notes
Text
« Aussi loin que l’on regarde dans l’histoire des cités, des royaumes et des nations d’Europe, l’esprit militaire, dans sa structure masculine, en a été le cœur vivant étroitement associé à la souveraineté. La plupart de ceux qui se sont révoltés, toutes catégories sociales confondues, hommes et femmes, oui, femmes aussi, avaient en commun, souvent par tradition familiale, un attachement quasi liturgique au contenu de l’ordre militaire. Non pour l’armée de leur temps qui, à bien des égards, était peu défendable, mais pour ce que l’esprit et la formation authentiquement militaire apportent d’unique et d’irremplaçable au sein de la société civile : austérité, abnégation, maîtrise des sentiments, soumission au devoir. Dispositions viriles, foncièrement anti-utilitaires et antibourgeoises, même quand elles sont honorées, ce qui est fréquent, par des familles appartenant socialement à la bourgeoisie. Elles étaient tout ce qui subsistait de l’ancienne armature humaine qui, depuis plus de trois mille ans, avait fait de l’Europe ce qu’elle avait été. »
Dominique Venner, Le cœur rebelle.
4 notes · View notes
linsaad · 1 year
Text
Le mal réside dans les mots que la tradition a voulu absolus, dans les significations dénaturées que les mots continuent à revêtir. Le mot amour mentait, exactement comme le mot mort. Beaucoup de mots mentaient, ils mentaient presque tous. Voilà ce que je devais faire : étudier les mots exactement comme on étudie les plantes, les animaux… et puis, les nettoyer de la moisissure, les délivrer des incrustations de siècles de tradition, en inventer de nouveaux, et surtout écarter pour ne plus m’en servir ceux que l’usage quotidien emploie avec le plus de fréquence, les plus pourris, comme : sublime, devoir, tradition, abnégation, humilité, âme, pudeur, cœur, héroïsme, sentiment, piété, sacrifice, résignation.
L’art de la joie de Goliarda Sapienza.
3 notes · View notes
profenscene · 2 years
Text
Jeudi 20 octobre
Tumblr media
Ulrich n'aime pas le français. Il le répète à n'en plus pouvoir. Et je le crois. Je ne sais pas si c'est le fruit de l'expérience, mais on finit par comprendre, quand on est prof, à quels élèves la matière est hostile. Et en effet, les copies qu'il rend sont laborieuses. Pleines d'efforts. Mais tombent systématiquement à côté de ce qui est demandé.
Ulrich, de toutes façons, aimerait bifurquer rapidement vers la voie professionnelle. Mais ça n'empêche qu'il prend en pleine face ces moments où ça ne se passe pas bien.
En fait, je pense qu'il aimerait aimer le français. Comprendre cette étrange matière où l'on se penche sur des vivants sans entrailles, des époques révolues, où l'on se tarabuste la cervelle sur un -e placé à la fin d'un mot. Parce que jamais il ne renonce.
Jusqu'à la scène de Cyrano qu'il a passée aujourd'hui. Sur les dix-sept qui se sont produits, il était l'un des quatre à avoir appris son texte par cœur. Il avait souligné tous les mots sur lesquels je lui avais suggéré d'insister. Sa voix tremblotait mais tremblotait au volume que je lui avais demandé de mettre. Il a rempli l'intégralité du contrat.
"J'ai pas aimé ça." lâchera-t-il en fin de prestation, aussi épuisé que si ce sportif notoire avait couru un marathon.
Je sais que j'ai tendance à surinterpréter, que je m'émeus trop facilement. Mais cette abnégation me fout au bord des larmes. Et j'espère trouver, dans cette foutue matière que j'enseigne, un endroit où il puisse, ne serait-ce qu'un peu, s'épanouir.
15 notes · View notes
coeurencrise · 1 year
Text
Beauté du désir qui s’essouffle dans un mirage. Effroi des garçons mourant dans des images. Amour de ce qui s’éternise dans une carte postale. Honte du gras, qui déborde de partout. Fierté du gris se faisant matière à l’intérieur de moi. Terreur à peine le rouge s’immisce sous mon crâne.
Recherche de ce qui me fera du bien. Un sou, un mot, un rien. Bisous chastes dans le cou quand je suis allongée sur le côté. Pudeur lorsque le silence soupèse la médisance de l’envie. Cheveux en éventail sur l’oreiller, une main sur le sein gauche sans jamais s’approcher du cœur. Assourdissante révélation annonçant la pénétration. Le noir des étoiles qui s’éloignent. Le sexe qui se lit comme une partition. Émerveillement soudain dès que je ressens quelque chose pulser en moi.
Tremblements dès qu’un corps me réchauffe. Angoisse d’à nouveau me donner donc besoin de me vendre, d’être désirable plutôt qu’aimable. Gentillesse contre preuve d’achat. Sournoiserie visant à déformer ce joli minois, à braver les lois du physique.
Laideur suprême quand vient la réalisation, l’accomplissement des tâches. Questionnement : ne suis-je donc qu’une femme ? Destruction de mon identité, rafistolée par des traits maladroitement tracés. Ne plus savoir à qui appartiennent ces lèvres, ni pour quoi elles sont faites. Je me retire le droit à la parole, peut-être mieux vaut-il être belle. Plus la force de débattre. Expression tue.
Inspiration échappée. Mort aux rêves et chasse aux démons. Consolation dans l’illusion de posséder ce que je n’ai jamais eu – une autre paire de mains, une autre paire de pieds. Fondre dans un homme, me persuader que je peux encore aimer. Sentir mon cœur battre pendant que la tension s’accroît, y croire, même un tout petit peu.
Me faire allumer pour me ranimer. Un nouveau souffle à travers chaque baiser.
Faire mes adieux à la poésie, l’infidèle rêverie. Me refuser au vagabondage, à la distraction spatiale. Souffrir du manque se logeant sur des sentiers un peu vides. Craindre le mystère de ce nouveau visage désormais impavide. Voir la tristesse déferler dans le noir de mes yeux. Reposer mon mascara, reporter la mascarade. Me déshabiller pour éviter de me mettre à nu. Montrer toute la peau que j’ai histoire de cacher la vulnérabilité de mon âme. Me réduire à de la chair, aux os qui un jour m’effaceront du ciel des mémoires. Accepter que je ne comprendrai jamais les hommes, que je ne suis qu’un animal. Me blottir dans la froideur de ma tombe, me complaire dans la blancheur d’une colombe. M’ouvrir à deux, mourir à Dieu.
Je n’avais pas joué avec les mots depuis longtemps. N’avais pas ressenti un tel plaisir, qui finalement n’est autre que la concrète formulation de ma tristesse. L’expiation d’un soupir dans l’écho du miroir.
Je suis rongée par mes abnégations. Moi qui peinais tant à écrire, je marque aujourd’hui le début d’un futur que je choisis, jetant les lambeaux de ma personne au feu – je veux brûler.
3 notes · View notes
aurevoirmonty · 2 years
Text
Tumblr media
Sous l’opprobre que subissent les Blancs à l’heure actuelle, on constate trois types d’attitude. 
Le premier type est celui de ceux qui acquiescent, tête branlante, en longue chemise et la corde au cou. Ce sont les Blancs qui, par ignorance de leur histoire, par non connaissance de ce que recouvre leur identité, par insuffisance scolaire et culturelle, éminemment aussi par extrême bêtise et faiblesse d’âme, acceptent de plier le genou, de baiser les pieds de leurs accusateurs, escomptant ainsi bénéficier d’une indulgence dont ils attendent qu’elle leur permette de poursuivre leur petite vie médiocre, sans perspective et conformiste. Ceux-là continueront à croire les gouvernements et les « élites », prêts à tous les compromis pour leur tranquillité grégaire.
Le deuxième type est constitué par ceux que cette croisade anti-Blancs révolte, qui en souffrent dans leur orgueil et leurs bonnes dispositions, ceux que la frénésie et le fanatisme des guerriers acharnés contre nous laissent pantois, désarmés, sidérés. Sont-ils la majorité ? Je l’ignore. Il est certain qu’ils sentent que contre le réquisitoire global qui fait feu de tout bois, qui est pour le moins aussi excessif qu’incomplet mais surtout outrancièrement injuste, ils ne possèdent pas le savoir, les arguments, les instruments rhétoriques leur permettant de réagir et de contre-attaquer.
De l’impuissance au ressaisissement 
Il est heureusement une troisième catégorie, sans doute la moins nombreuse mais malgré tout la plus qualifiée, simplement gênée aux entournures par le véritable tir de barrage qui prévient leur riposte : anathèmes médiatiques, politiques, intellectuels, judiciaires, ajoutés à l’impossibilité d’accéder aux canaux qui, si nous étions réellement en démocratie et si, dès lors, existait réellement une liberté d’expression équilibrée et objective, seraient à leur disposition pour parler, expliquer, rétorquer, échanger, débattre. A cette catégorie, il convient d’affirmer haut et fort : soyez fiers de figurer parmi les réprouvés, les agressés, les dénoncés, les désignés à la vindicte, cela chez vous, sur vos terres, celles de vos ancêtres, par, d’une part, des coteries de gens venus d’ailleurs, que leurs victimes accueillent, nourrissent, soignent et dorlotent et qui, de surcroît, se permettent de les insulter, de les vouer aux gémonies, de les menacer de mort, de les agonir de revendications et finalement de leur donner l’ordre de s’exiler. Vous avez là l’occasion de démontrer que votre vaillance face à l’adversité vaut celle de vos ancêtres.
Soyons donc fiers d’être Blancs. D’autant qu’il n’y a là de notre part nulle obsession de race puisque ce sont nos adversaires que notre blancheur excite, tandis que la teinte qui les caractérise nous indiffère. La raison ? Comme disent justement les Anglais : « Because we know better ».
Soyons fiers d’être Blancs, de considérer ce fait comme un privilège, mais pas au sens où l’entendent nos persécuteurs. C’est un privilège, non parce que nous bénéficierions d’avantages que les non-Blancs n’ont pas, mais parce que nous sommes pleinement conscients de notre grandeur. Nos contempteurs, en revanche, ne savent que geindre, sans se rendre compte qu’ils seraient eux aussi en mesure de se targuer d’éléments de grandeur s’ils prenaient la peine de se mieux connaître, mais qu’ils ont été tant persuadés d’être les damnés de la terre qu’ils ne s’en aperçoivent pas.
En quoi consiste cette grandeur dont nous pouvons en toute légitimité et en toute bonne conscience nous enorgueillir ? En premier lieu du fait que nos prédécesseurs ont patiemment construit, par leur intelligence, leur sens du beau, de la justice, par leur courage, leur abnégation, une fabuleuse civilisation qu’il serait criminel de notre part, et ingrat, d’abandonner aux incultes, aux jaloux, aux méprisables niveleurs qui rêvent de l’effacer de la surface de la terre. Ensuite, parce que, majoritairement, nos ancêtres ont tenté d’apporter à d’autres, ailleurs, -parfois, certes, avec des arrière-pensées – quelques-uns des bienfaits dont nous disposions.
Considérons le cas seul de l’Algérie. 
La colonisation de cette partie du continent africain, qui n’était pas encore l’Algérie mais la propriété de l’Empire ottoman, dont les méthodes n’avaient rien à envier à celles des pires tortionnaires de l’histoire récente, ce sont : « 54 000 kilomètres de routes et pistes (80 000 avec les pistes sahariennes), de 31 routes nationales dont près de 9000 kilomètres étaient goudronnés, de 4300 km de voies ferrées, de 4 ports équipés aux normes internationales, de 23 ports aménagés (dont 10 accessibles aux grands cargos et dont 5 qui pouvaient être desservis par des paquebots), de 34 phares maritimes, d’une douzaine d’aérodromes principaux, de centaines d’ouvrages d’art (ponts, tunnels, viaducs, barrages, etc.), de milliers de bâtiments administratifs, de casernes, de bâtiments officiels, de 31 centrales hydroélectriques ou thermiques, d’une centaine d’industries importantes dans les secteurs de la construction, de la métallurgie, de la cimenterie, etc., de milliers d’écoles, d’instituts de formations, de lycées, d’universités avec 800 000 enfants scolarisés dans 17 000 classes ( soit autant d’instituteurs, dont deux-tiers de Français), d’un hôpital universitaire de 2000 lits à Alger, de trois grands hôpitaux de chefs-lieux à Alger, Oran et Constantine, de 14 hôpitaux spécialisés et de 112 hôpitaux polyvalents, soit le chiffre exceptionnel d’un lit pour 300 habitants » (Bernard Lugan, « La France entre l’Œdipe algérien et celui des décoloniaux »). Financièrement, économiquement, la France, mais aussi l’Europe dans son ensemble, ont bien davantage dépensé que gagné, perdu que bénéficié d’une manne qui – chaque société possède ses charognards – a certes nourri quelques groupes ou individus (cf. Jacques Marseille, Empire colonial et capitalisme français : histoire d’un divorce, Albin Michel).
Du ressaisissement aux nécessaires représailles
Que l’action des individus, des troupes, des bataillons du troisième type, celui qui relève la tête et décide de rendre coup pour coup finisse tôt, ou seulement tard, de faire tache d’huile et de se répandre, le mode d’action, lui, se conjugue déjà : répondre aux injonctions et aux imprécations des minorités par un refus catégorique de ce qu’elles osent exiger. Ces minorités, d’ailleurs, il est important de le souligner, ne sont elles-mêmes en aucun cas représentatives des minorités plus larges dont elles font partie. Seule une minuscule proportion des Noirs (le terme est de fait inapproprié, car il n’existe pas un unique type de Noir, comme est inappropriée, par ailleurs, la notion de Blanc, pour des raisons identiques) veut la guerre contre nous, de même que seule une infime partie des femmes et même des féministes souhaite la guerre contre les hommes. Il en va ainsi également pour les homosexuels, de quelque type qu’ils participent : seul un nombre infime d’agitateurs exige que l’on fasse du prosélytisme LGBTQI dans les crèches et les écoles.
D’où vient alors leur force de frappe ? Des milieux mondialistes, universalistes, qui, avec leurs nababs (milliardaires, banquiers, financiers, fonds d’investissement, compagnies multinationales et transnationales), leurs hauts fonctionnaires internationaux transfuges des administrations nationales dévoyées, leurs ministres, présidents, parlementaires ayant trahi leur peuple. Alors, commençons par dénoncer ces gens-là, par répandre partout parmi nos concitoyens que sans ces manitous, ces magnats, ces mandarins du monde économique et politique, les minorités ethniques, sexuelles, genrées et autres qui ont, contre nous, déterré la hache de guerre, seraient impuissantes et n’auraient plus qu’à se taire.
Dénoncer la force factice de ces gens, leur rire au visage, leur imposer silence, voilà les manœuvres à exécuter en priorité. En concomitance doivent s’exercer des pressions, des refus tranquilles d’obéir à nos ennemis de l’intérieur et de l’extérieur. Pas de vaccin, pas de confinement observé ; un retour aux fêtes, de famille et autres, à la vie normale. Se réapproprier l’espace, voilà ce qu’il s’agit de faire : l’espace de notre bulle intime, familiale et humaine, mais aussi l’espace de nos villes, de nos patries, de notre sol. Ne commande et n’exige chez nous, que celui qui y est né ou qui a montré patte blanche. Aucune communauté raciale, religieuse, intellectuelle n’a droit au chapitre sur nos terres, sauf à y être invitée. Celui qui n’est pas bien chez nous doit quitter notre sol.
Le jour viendra où les traîtres de l’intérieur, nos propres compatriotes qui auront pris le parti des autres, de l’Autre sacralisé, devront faire face au tribunal de l’histoire.
Dr Michel Bugnon-Mordant, géopolitologue
6 notes · View notes
les-portes-du-sud · 2 years
Text
Miroir
Et le miroir est soudainement tombé par terre un matin.
J'ai compté les rayures provoquées par la chute.
Mon œil croisa une silhouette fugace dans les failles de la glace. Je l'ai suivie en courant du regard.
Un visage dans la foule,
et le mythe est immédiatement dissipé
selon lequel le coup de foudre
est un conte de fées que l'
on raconte aux enfants.
Sur la route, l'apparition,
avec fierté et sans difformité,
extorque des sentiments de joie
et rend vrai
le sourire que vous portez.
Au même moment où tu as l'impression de te
noyer dans ton propre déni,
perdu dans une totale abnégation,
qu'il n'y a plus de but
ni d'espoir,
que tu serais mieux mort,
elle surgit comme un rayon de soleil.
Votre apparition personnelle,
qui vous protège,
vous donne de la force
et vous attendez
que la pluie cesse de tomber,
tu attends,
de voir quelqu'un d'autre dans le miroir,
tu attends,
que le bruit cesse de t'assourdir,
tu attends,
de ne plus sentir la douleur qui te tue, tu
attends,
tu attends,
tu touches un peu de lumière,
tu attends
et tu attends...
Les-portes-du-sud
10 notes · View notes
wehadtodayandstuff · 2 years
Text
Le domaine d'Arnheim
Ceci est l’histoire d’un petit oiseau qui vécut dans les montagnes. Un Tichodrome échelette, comme les humains en viendraient savamment à l’appeler. Notre oisillon est né au milieu d’une portée de trois œufs blancs comme la neige, dans un nid de fortune construit sur le col d’une montagne, à quelques centaines de mètres d’altitude. Ça vous met tout de suite dans l’ambiance, de sortir la tête de sous cette chaude coquille après de longues minutes à batailler, pour découvrir un tel paysage lorsqu’on réussit enfin à ouvrir les yeux. Et ce n’est pas tâche facile que de décoller ces minuscules paupières, encore moins lorsque le monde alentour est éblouissant de blancheur, d’une lumière du soleil aveuglante se reflétant sur la neige reposant le long des façades de ces géants de roche. Mais notre petit oiseau a du caractère, et son arrivée dans notre monde se réalisa avec brio. Avec une certaine grâce, même, pourrait-on dire. Il fut le premier, devant ses deux frères, à sentir la froideur du vent glacial des hauteurs sur son plumage naissant. Si ses premières heures dans cette vie se sont plutôt bien déroulées, accueilli rapidement par une mère aimante et protectrice, bien que peu présente, le sort allait rapidement lui jouer un vilain tour. Voyez, ce petit oisillon, qui avait tout pour s’épanouir et éclore aux yeux du monde, est né avec une malformation. Ses jolies ailes rouge-carmin, oh aussi majestueuses fussent-elles, n’allaient tenir qu’un rôle se limitant à l’esthétisme, n’ayant bien malheureusement aucune utilité fonctionnelle. Il ne pouvait pas voler, et se retrouva ainsi incapable de satisfaire l’instinct primaire de son espèce. Mais rassurez-vous, ce n’est pas ce qui allait l’arrêter, et sûrement pas ce qui allait l’empêcher d’atteindre l’objectif qu’il s’était fixé. Alors que ses frères focalisaient toute leur attention sur la maigre nourriture que pouvait dénicher leur mère, dérapant parfois jusqu’au combat de becs, la sienne était tournée vers tout autre horizon. Dès qu’il fut en capacité d’apprécier pleinement le paysage qui l’entourait, notre oiseau fut distrait par une petite lumière brillante, hypnotisé par un point chatouillant, l’appelant depuis les hauteurs, tel un trésor inaccessible. Dès lors, il fut obnubilé par cette idée, aussi fantasque qu’insensée, de partir à la découverte de ce joyau. Alors quand les petits furent jugés assez débrouillards, et évincés sans préavis de leur cocon natal, et que les frangins n’eurent pas le choix que de réussir à s’envoler, il se retrouva seul au pied de la montagne, avec une idée fixe en tête. Pas le temps de faire le deuil de son doux nid, ni celui de sa famille, il fallait dès à présent débuter le périple d’une vie, qui le mènerait à son trésor. Il ne savait alors pas que ce qu’il considérait comme un joyau étincelant, n’était en fait que le reflet d’un rayon de soleil sur une pointe givrée du sommet de la montagne. Et il ne le saurait sans doute jamais. Il commença pour autant à grimper, et à grimper encore. Une petite patte s’enfonçant dans la neige devant l’autre. Vent, tempête de neige, froid, faim, soif, rien ne l’arrêterait, il continua, centimètre exténuant après centimètre exténuant. Et malgré la tristesse que l’on pourrait logiquement ressentir pour ce petit oiseau combattant les forces de la nature, il y a également énormément de poésie qui se dégage de ce brave acte. Une leçon de vie, pourrait-on même concéder. Il y a de la beauté dans cette abnégation vers un seul et unique but, celui d’une vie. Un désir pur et incorruptible. Refuser toute satisfaction annexe et temporaire, rester focalisé sur ce qui compte, sur qui donne du sens à notre existence. Les êtres vivants sont si souvent distraits, attirés par la facilité, par la récompense immédiate. Les humains veulent tout posséder et finissent par n’en tirer aucun plaisir réel, par ne même plus savoir ce qu’ils veulent. Objectif après objectif, tout évolue beaucoup trop vite, tout est interchangeable. À peine l’un est atteint, qu’on a déjà le suivant en tête. Les désirs sont fugaces, et de fait perdent de leur intensité. Plus rien ne fait vibrer le fond des tripes, plus rien ne fait battre le cœur à des rythmes effrénés, ou ne provoquent l’ébullition du cerveau, noyé sous une seule et unique pensée, multipliée en milliers d’exemplaires différents. Mais notre petit oiseau, qui continuait à avancer envers et contre tout, lui, montrait l’exemple. Les rafales de vent soufflaient fort dans ces ailes, les faisant se dresser vers l’arrière, donnant l’impression qu’elles fonctionnaient, qu’il les utilisait réellement. Il baissait la tête pour pousser et pousser vers l’avant, toujours. Mais l’inéluctable dénouement de ce périple commençait bien malheureusement à se dessiner. Il n’avançait guère plus beaucoup, la fatigue envahissant tout son corps, de ses petits yeux jusqu’à ses petites pattes. La faim, même s’il ne la sentait plus au milieu de tous ces stimuli négatifs, le paralysait désormais. Il ralentissait à vue d’œil, jusqu’à ce qu’il soit finalement quasiment à l’arrêt total, stoppé par un mur glacial et impardonnable. On dit souvent qu’il vaut mieux avoir eu et avoir perdu, que de ne jamais avoir eu. Mais si ce courageux petit oiseau avait pu parler, il aurait dit que l’important ce n’est pas d’avoir eu ou d’avoir perdu, non, le cœur des choses, le grand secret de la vie, c’est d’avoir voulu. De tout son cœur, de toute son âme, à en perdre toute raison, à y dédier sa vie. C’est d’avoir désiré quelque chose à en mourir. Et alors qu’il se recroquevillait sur lui-même et qu’il ne pouvait empêcher ses yeux de se fermer, accablé par la faim et la fatigue, recouvert d’une couche de neige qui s’épaississait et pesait lourdement sur tout son plumage et l’entièreté de son petit corps fragile ; on l’aurait presque vu afficher un léger sourire, satisfait. 
2 notes · View notes
lesgenouxdanslegif · 2 years
Text
QUI VA GAGNER LA COURSE DE QUARTIER DE CHAMONIX ?
Nos 7 favoris pour la kermesse.
• Kilian Jornet : trois fois vainqueur de la kermesse, le jeune espoir Catalan est hors de contrôle cette année. Sauf si une guêpe vient fricoter avec sa peau, il lèvera les bras face à l’église.
• Jim Walmsley (photo) : l’homme qui régurgite plus vite que son ombre a tout bien fait cette année. Il sera le plus rapide au départ mais devra faire face à son plus grand adversaire : lui-même.
• Hannes Namberger : encore un gars déchaîné sur qui tu peux miser ton assurance vie. Le film de son écrasante victoire au Lavaredo (avec record) a été déconseillé aux moins de 18 ans.
• Aurélien Dunand-pallaz : sans faire de bruit, le deuxième de l’année dernière revient à Chamonix. Récemment papa, la brute des Bauges n’a dormi que 20 minutes depuis un mois et profitera donc des 170 kilomètres pour se reposer.
• Pau Capell : le chercheur de pétrole Espagnol avait raflé la mise en 2019 en tentant le coup de l’échappée matinale. La moins belle foulée du peloton devra toutefois lâcher Instagram s’il veut se donner une chance.
• Zach Miller : pour le spectacle. Pour son abnégation quand il sera dans la cave de la douleur. Pour son sprint à l’arrivée. Pour son saut sur la ligne qui rendrait jaloux Mike Powell. On t’aime, Zach.
• Thibaut Garrivier : le gars transforme en or tout ce qu’il touche. Prévoyez donc des morceaux de bois quand il traversera la Suisse à toute berzingue. Placez ensuite l’or dans un coffre sécurisé et allez l’applaudir quand il lèvera ses bras fins de retour dans la bourgade Chamoniarde.
Ça va être beau et violent. Ça va exploser dans tous les sens. Ça va être un sacré bordel.
Tumblr media
Photo Alexis Berg
5 notes · View notes
geantactu · 5 days
Text
Lualaba : Véronique Kifwa présente ses sincères félicitations au nouveau speaker de l'assemblée nationale.
Son Excellence Monsieur, le Président de l’Assemblée, avec l’expression de nos hommages les plus différends. Connaissant votre savoir faire, votre abnégation et l’amour que vous avez pour ce grand pays la République Démocratique du Congo, votre Come back au sommet du perchoir permettra à ce que le gouvernement travaille pour le compte de la population congolaise. Toute nos sincères…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
areyouelectric · 1 month
Text
"À papy, à mamie,"
Voilà l'épopée d'un fier chevalier qui n'étais pas le héros de l'histoire. Prenez plaisir à lire ce texte quelque peu épique qui pourrait cous transformer.
Dans le ventre d'une citadelle d'affaires, mon cœur battait la chamade, écho d'un futur aux mille promesses, dans un monde où les téléphones tressaient encore des liens d'argent et où les rêves se déployaient, vastes comme l'éther. Passé le sas de l'entretien, je fus conduit dans l'alcôve du directeur général pour l'ultime joute verbale.
Il a scruté mon curriculum vitae, fresque de mes triomphes universitaires, et m'a sondé sur mon odyssée. « Fus-tu l'heureux bénéficiaire d'une bourse durant ton odyssée académique ? » Ma réplique, assurée, fut « Non ». « C'est donc ton géniteur qui a érigé l'édifice de ton savoir ? » « Oui », confirmai-je. « Et quel est le théâtre de son labeur ? » « Mon père, c'est le bâtisseur d'Asbestos, le forgeron de murs blancs, le sculpteur de destins, sous le zénith ardent comme dans l'antre glacé de l'hiver. »
Il m'a alors convié à lui offrir mes mains. Je les ai dévoilées, éclatantes de douceur et de pureté. « As-tu déjà épaulé ton père dans son art, fût-ce l'espace d'un souffle ? » « Mon père a toujours prôné l'érudition. Il jongle avec la truelle et le plâtre en virtuose. »
Le directeur m'a alors proposé une quête : « Ce soir, en regagnant ton havre, étudie et purifie les mains de ton père, puis reviens me voir aux premières lueurs. »
Je me suis élancé vers ma demeure, où siégeait mon père, colosse aux épaules d'Atlas, et je lui ai sollicité la grâce de laver ses mains. Il a esquissé un sourire, mosaïque de mille labeurs, et m'a confié ses paumes.
Lors du lavage, j'ai exploré les méandres de son existence, des balafres qui racontent sa lutte acharnée. Chaque cicatrice était une légende, chaque callosité, un sceau de son abnégation pour mon éducation, mes chimères, mon destin.
Cette nuit-là, nous avons tissé un moment suspendu, un colloque muet entre un père et son fils, où les mots s'effaçaient devant l'éloquence des silences.
À l'aurore, je me suis présenté devant le directeur, les yeux ourlés de larmes d'épiphanie. « Quel savoir t'ont transmis les mains de ton père ? » m'a-t-il questionné. « J'ai saisi la valeur du travail, la grandeur de la persévérance, et l'ampleur de mon ignorance. J'ai perçu le tarif de mon éducation dans chaque sillon de ses mains. »
Le directeur a opiné, « C'est cette reconnaissance que je désire chez mes collaborateurs. Tu es recruté. »
Ce récit est le mien, mais il aurait pu être celui de n'importe quel enfant, d'un fils, d'une fille, tel ma sœur. C'est l'épopée d'un homme, de son acharnement, d'une mère qui a épaulé mon père en astiquant les sols à genoux durant des années. C'est l'histoire de ces ouvriers simples, qui nous ont frayé le chemin des études. On ne mesure pas notre chance jusqu'à ce que nos parents s'avancent vers l'horizon, s'absorbent dans l'abysse de l'inconnu, sans retour. Alors, on lève les yeux au firmament, et on ne trouve à susurrer que « merci », souvent avec des larmes aux yeux.
*Merci à Hervé Gattrant pour le texte qui a suscité en moi cette confession.
©Al St Gery 2024
Tumblr media
0 notes
mmepastel · 7 months
Text
Tumblr media
Petite merveille limpide et fantaisiste.
Avec Gaëlle Obiégly, je retrouve la famille des autrices comme Jakuta Alikavazovic, Sigrid Nunez, Dubravka Ugresič… des autrices qui inventent une forme, qui ont des idées, profondes et saugrenues à la fois.
Ici c’est un monologue qui ressemble très fortement à une parole autobiographique. Là aussi, le propos avance par association d’idées, par ricochet ou coq-à-l’âne. C’est décousu et déstabilisant. On sent un humour assez piquant qui accompagne l’ensemble des assertions ou des démonstrations plus ou moins convaincantes. Ce qui m’a plu, c’est le ton, et l’honnêteté.
A travers ce que la narratrice présente comme une conférence (!), dans laquelle elle veut vraiment être écoutée même si elle s’attend à être incomprise, il est question d’une foule de choses ; au cœur, le soldat inconnu ; précisément parce qu’il est inconnu, totalement inconnu, et que l’article défini le présente faussement comme un individu, alors que précisément, à travers lui, on honore la mémoire des soldats, dans leur ensemble, dans leur totalité, pour leur abnégation, qui les a fait renoncer à être autre chose que des outils de la patrie. Justement, ce qui intéresse l’auteur c’est cette frontière entre l’individuel et l’universel. Qu’est-ce qui fait qu’on est soi ? Une somme de connaissances ? Elle semble avoir beaucoup occupé son existence à se remplir de savoirs divers, pour les posséder, et en être ainsi augmentée.
Elle relate d’ailleurs sa curiosité insatiable, son désir d’apprendre. Notamment concernant la mort. Elle voudrait savoir des choses qu’elle ne peut pas savoir comme : qu’est-ce que ça fait qu’être mort ? En même temps elle constate sa connaissance de choses qu’elle ne peut logiquement pas connaître : elle connaît la Finlande sans y avoir mis les pieds. Elle est pleine de paradoxe et s’en amuse.
Elle joue à comparer la connaissance livresque et la réelle, empirique. Qui ne coïncident évidemment pas mais présentent des avantages spécifiques indéniables. Peut-on rêver sa vie ? Peut-on inventer la réalité ?
Ces questions posées, à elle-même et au lecteur, ses tentatives de réponses, sont passionnantes. Mais son livre est loin d’être uniquement abstrait et intellectuel. Elle raconte des expériences, et certaines m’ont vraiment interpelée. On voit dans ces passages un œil attentif au réel, à la société, à ses classes. Le personnage de sa grand-mère, Yvette, est éblouissant. A travers l’individualité d’Yvette, être d’exception, aimée, elle réussit à transmettre un destin limité par la pauvreté, mais illuminé par un tempérament miraculeusement heureux, en même temps qu’un portrait de la vieillesse dans les Ehpad, où elle a l’œil acéré et juste pour les locataires mais aussi pour les employés.
Je recommande cette lecture pour ceux et celles qui cherchent de la nourriture pour leur esprit, pour qui n’a pas peur de se perdre en circonvolutions fantaisistes et d’attraper deci-delà des fulgurances savoureuses. C’est un livre stimulant et réjouissant. Unique en son genre. Une perle.
4 notes · View notes
hcdahlem · 2 months
Text
Brûlez tout!
Pour son premier roman, Henri Guyonnet a choisi de réhabiliter Rodolphe Darzens. C’est à ce journaliste, émigré russe, que l’on doit la (re)découverte d’Arthur Rimbaud et de son œuvre. Oubliant la biographie et l’hagiographie, son roman est passionnant.
  En deux mots Le journaliste Rodolphe Darzens se voit confier la mission de retrouver Arthur Rimbaud, un jeune poète qui a suscité l’attention avant de disparaître mystérieusement. Menant sa difficile mission avec abnégation, il va finir par retrouver l’homme et l’œuvre et contribuer à la gloire de ce prince des poètes. Ma note ★★★ (bien aimé) Ma chronique L’homme qui a sauvé Rimbaud de…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes