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#Patrick Aumont
tina-aumont · 1 year
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Tina Aumont's Family Tree
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Sources:
Jean-Pierre Aumont family tree (you can go up to 1787)
Árbol Genealógico de Isidoro Gracia García (you can go up to 1465!)
Regla María Teresa Vidal at Geni, at Familysearch and at Ancestry.
Dos Actrices Internacionales descendientes de un Luño (Plenas Zaragoza 14.12.2016)
"De María África a María Montez, un mito en Technicolor" documentary directed by Jesús Reyes Mota, 2014.
La Exposición de María Montez viaja a Gran Canaria (El Apurón, 21.11.2013)
Personalidades Garafianas (12.2012)
Los orígenes turolenses y canarios de la actriz de Hollywood María Montez by María Victoria Hernández Pérez. Cabildo de la Palma, 2012.
"María: Montez Su Vida", edición especial del Centenario, book written by Margarita Vicens de Morales, Dirección General de Cine de la República Dominicana, 2012.
"Enrique Meneses, un flash" article in Spanish from Orsay magazine wriiten by José Luís Perdomo, 2011.
Los Orígenes palmeros de la actriz María Montez (October/November 2009)
Las raíces Turolenses de una diva (Heraldo, 26.10.2008)
"María Montez La Reina del Tecnicolor", book written by António Pérez Arnay and Terenci Moix, Filmoteca Canaria 1995.
*Very special thanks to Dominic Fuentes, @74paris and @shannendoherty-fans for their help.
If you know any details or have some photos from the family that aren't posted here, please send them and I will credit you. Remember that this family tree is growing as more info comes to light.
Thank you very much!
Eleni xxx
44 notes · View notes
alexlacquemanne · 4 months
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Janvier MMXXIV
Films
Bridget Jones Baby (Bridget Jones's Baby) (2016) de Sharon Maguire avec Renée Zellweger, Patrick Dempsey, Shirley Henderson, Gemma Jones et Jim Broadbent
Arnaque à Hollywood (The Comeback Trail) (2020) de George Gallo avec Robert De Niro, Tommy Lee Jones, Morgan Freeman, Zach Braff, Eddie Griffin, Emile Hirsch et Kate Katzman
Copie conforme (1947) de Jean Dréville avec Louis Jouvet, Suzy Delair, Annette Poivre, Madeleine Suffel, Jane Marken, Danièle Franconville, Jean-Jacques Delbo et Léo Lapara
L'Inconnu du Nord-Express (Strangers on a Train) (1951) d'Alfred Hitchcock avec Farley Granger, Ruth Roman, Robert Walker, Leo G. Carroll, Patricia Hitchcock, Marion Lorne, Jonathan Hale et Laura Elliott
Une affaire d'honneur (2023) de et avec Vincent Perez et aussi Roschdy Zem, Doria Tillier, Damien Bonnard, Guillaume Gallienne, Nicolas Gaspar, Pepe Lorente
Hôtel fantôme (Das letzte Problem) (2019) de et avec Karl Markovics et aussi Stefan Pohl, Maria Fliri, Julia Koch, Max Moor, Sunnyi Melles Laura Bilgeri
Aviator (The Aviator) (2004) de Martin Scorsese avec Leonardo DiCaprio, Cate Blanchett, Kate Beckinsale, Adam Scott, Kelli Garner, Alec Baldwin, Ian Holm, Jude Law et Danny Huston
Palais royal ! (2005) de et avec Valérie Lemerciere et aussi Lambert Wilson, Catherine Deneuve, Michel Aumont, Mathilde Seigner, Denis Podalydès, Michel Vuillermoz, Gisèle Casadesus, Gilbert Melki, Maurane
Du plomb pour l'inspecteur (Pushover) (1954) de Richard Quine avec Fred MacMurray, Philip Carey, Kim Novak, Dorothy Malonne, E.G. Marshall, Allen Nourse, James Anderson et Joe Bailey
Les Douze Salopards (The Dirty Dozen) (1967) de Robert Aldrich avec Lee Marvin, Ernest Borgnine, Charles Bronson, Jim Brown, John Cassavetes, Richard Jaeckel, George Kennedy, Trini Lopez et Telly Savalas
Le silence des ânes (Das Schweigen der Esel) (2022) de et avec Karl Markovics et aussi Julia Koch, Caroline Frank, Gerhard Liebmann, Valentin Sottopietra, Klaus Windisch, Tobias Fend, Julian Sark, Stefan Pohl
Elmer Gantry le charlatan (Elmer Gantry) (1960) de Richard Brooks avec Burt Lancaster, Jean Simmons, Arthur Kennedy, Dean Jagger, Shirley Jones, Patti Page et Edward Andrews
Tendre Poulet (1978) de Philippe de Broca avec Annie Girardot, Philippe Noiret, Catherine Alric, Hubert Deschamps, Paulette Dubost, Roger Dumas, Raymond Gérôme, Guy Marchand, Simone Renant et Georges Wilson
Judy (2019) de Rupert Goold avec Renée Zellweger, Darci Shaw, Rufus Sewell, Michael Gambon, Finn Wittrock, Richard Cordery, Jessie Buckley et Bella Ramsey
Cinquième Colonne (Saboteur) (1942) d'Alfred Hitchcock avec Robert Cummings, Priscilla Lane, Otto Kruger, Alan Baxter, Clem Bevans, Norman Lloyd, Alma Kruger et Vaughan Glaser
Robin des Bois, prince des voleurs (Robin Hood: Prince of Thieves) (1991) de Kevin Reynolds avec Kevin Costner, Morgan Freeman, Christian Slater, Alan Rickman, Mary Elizabeth Mastrantonio, Nick Brimble et Michael McShane
La Fine Fleur (2020) de Pierre Pinaud avec Catherine Frot, Melan Omerta, Fatsah Bouyahmed, Olivia Côte, Marie Petiot, Vincent Dedienne et Serpentine Teyssier
Maigret et l'Affaire Saint-Fiacre (1959) de Jean Delannoy avec Jean Gabin, Michel Auclair, Valentine Tessier, Robert Hirsch, Paul Frankeur, Michel Vitold, Camille Guérini, Serge Rousseau et Micheline Luccioni
On a volé la cuisse de Jupiter (1980) de Philippe de Broca avec Annie Girardot, Philippe Noiret, Francis Perrin, Catherine Alric, Marc Dudicourt, Paulette Dubost et Roger Carel
Gosford Park (2001) de Robert Altman avec Maggie Smith, Michael Gambon, Kristin Scott Thomas, Camilla Rutherford, Charles Dance, Geraldine Somerville, Tom Hollander, Stephen Fry, Helen Mirren et Emily Watson
Meurtre à Hollywood (Sunset) (1988) de Blake Edwards avec Bruce Willis, James Garner, Malcolm McDowell, Mariel Hemingway, Kathleen Quinlan, Jennifer Edwards, Victoria Alperin et Patricia Hodge
Iron Claw (The Iron Claw) (2023) de Sean Durkin avec Zac Efron, Jeremy Allen White, Harris Dickinson, Holt McCallany, Lily James, Maura Tierney et Stanley Simons
Séries
La croisière s'amuse Saison 1
Une traversée de chien - L'Amour fou - Ami ou Ennemi - Farces et Attrapes - Une célébrité encombrante - Le Grand Air - Le docteur voit double - Le Grand Amour - Le Père du commandant - Monnaie de singe - La vie est belle au large - Tel est pris qui croyait prendre - Jeux de mains - Les Grandes Retrouvailles : première partie - Les Grandes Retrouvailles : deuxième partie - La Victoire en dansant - Le Gros Lot - Coupable, mais de quoi ? - Souvenirs Souvenirs - Il y a des jours comme ça - Qui comprend quelque chose à l'amour ? - Le commandant connaît la musique - Coup de folie - Ne comptez pas sur moi pour tomber amoureuse
Coffre à Catch
#148 : Bonne année 2024 à tout l'univers d'Agius ! - #149 : Zack Ryder : Woo Woo Woo, tu le sais ! - #150 : L'exceptionnel retour de Colby ! - #151 : Les adieux au catch de Tommy Dreamer ? - #152 : Tommy Dreamer enfin champion de la ECW !
Les Simpson Saison 1
Noël mortel - Bart le génie - L'Odyssée d'Homer - Simpsonothérapie - Terreur à la récré - Ste Lisa Blues - L'Abominable Homme des bois - Bart a perdu la tête - Marge perd la boule - L'Odyssée d'Homer - L'Espion qui venait de chez moi - Un clown à l'ombre - Une soirée d'enfer
Downton Abbey Saison 5
Tradition et Rébellion - Un vent de liberté - Le Bonheur d'être aimé - Révolution à Downton - Tout ce qui compte… - Étape par étape - Désillusions - Menaces et Préjugés - La Réconciliation
Castle Saison 4
Renaissance - Lame solitaire - Casse-tête - L'Empreinte d'une arme - L'Art de voler - Démons - Otages - Dans l'antre du jeu - Course contre la mort - Détache-moi
Kaamelott Livre IV
Tous les matins du monde première partie - Tous les matins du monde deuxième partie - Raison et Sentiments - Les Tartes aux fraises - Le Dédale - Les Pisteurs - Le Traître - La Faute première partie - La Faute deuxième partie - L’Ascension du Lion - Une vie simple - Le Privilégié - Le Bouleversé - Les Liaisons dangereuses - Les Exploités II - Dagonet et le Cadastre - Duel première partie - Duel deuxième partie - La Foi bretonne - Au service secret de Sa Majesté - La Parade - Seigneur Caius - L’Échange première partie - L’Échange deuxième partie - L’Échelle de Perceval - La Chambre de la reine - Les Émancipés - La Révoquée - La Baliste II - Les Bonnes - La Révolte III - Le Rapport - L’Art de la table - Les Novices - Les Refoulés - Les Tuteurs II - Le Tourment IV - Le Rassemblement du corbeau II - Le Grand Départ - L’Auberge rouge - Les Curieux : première partie - Les Curieux : deuxième partie - La Clandestine - Les Envahisseurs - La vie est belle - La Relève - Les Tacticiens : première partie - Les Tacticiens : deuxième partie - Drakkars ! - La Réponse - Unagi IV - La Permission - Anges et Démons - La Rémanence - Le Refuge - Le Dragon gris - La Potion de vivacité II - Vox populi III - La Sonde - La Réaffectation - La Poétique II : première partie - La Poétique II : deuxième partie
Affaires sensibles
Henri Martin, debout contre la guerre d’Indochine - 1923 : Germaine Berton : l’anarchiste qui tua pour venger Jaurès - Prince de Conty : où sont passés les lingots de l'épave? - De Paris à Dakar, le rallye du désert - Cannes 1987, Pialat et sa palme - Affaire Mis et Thiennot, la fin de l'énigme judiciaire ? - Agnès Le Roux, la disparition d’une héritière - Les mystères de Chevaline
The Crown Saison 6
Un engouement fanatique - Hors du temps
Le Voyageur Saison 2
La Forêt perchée - La tentation du mal
Alfred Hitchcock présente Saison 5, 6, 3, 7
Arthur - La Vengeance - Chantage - Pan! vous êtes mort
Spectacles
Concert du Nouvel An en direct du Musikverein, à Vienne (2024)
Adele Live At The Royal Albert Hall (2011)
Sexe et jalousie (1993) de Marc Camoletti et Georges Folgoas avec Jean-Luc Moreau, Marie-Pierre Casey, Patrick Guillemin, Marie Lenoir et Bunny Godillot
Billy Cobham's Glass Menagerie (1981) live at Riazzino, Switzerland
Agents Are Forever : Danish National Symphony Orchestra (2020) avec Caroline Henderson
Bonté divine (2010) de Frédéric Lenoir et Louis-Michel Colla avec Jean-Loup Horwitz, Benoit Nguyen-Tat, Saïd Amadis et Roland Giraud
Livres
Kid Paddle, Tome 1 : Jeux de vilains de Midam
Détective Conan, Tome 20 de Gôshô Aoyama
Castle, Tome 1 : La dernière aube de Brian Michael Bendis, Kelly Sue DeConnick et Tom Raney
James Bond : Le guide officiel de 007 de Lee Pfeiffer et Dave Worrall
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Filme da Sobrenatural 5 A Porta Vermelha primeiro no Rio de Janeiro
Todo mundo vestiu rosa para ver a pré-estreia do filme "Sobrenatural 5 A Porta Vermelha", nesta terça-feira (18) no Rio de Janeiro, no Village Mall.
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Se você é assinante do Disney Plus, pode assistir gratuitamente aos filmes Sobrenatural 5 A Porta Vermelha na plataforma.
Dados completos sobre o filme do Sobrenatural 5 A Porta Vermelha
6 de julho de 2023 No cinema / 1h 48min / Terror, Fantasia Direção: Patrick Wilson Roteiro Scott Teems Elenco: Patrick Wilson, Rose Byrne, Ty Simpkins Título original Insidious: The Red Door
Filme é um produto audiovisual finalizado, com uma certa duração, para ser exibido no cinema, na televisão ou em algum outro veículo. Um filme é formado por uma série finita de imagens fixas, registradas sobre um suporte físico e que, projetadas a uma velocidade maior que a capacidade resolutiva da visão humana, dão ao espectador a sensação de movimento
A palavra "cinema" pode se referir à cinematografia, ou ao local de exibição do filme cinematográfico ou a indústria cinematográfica.
Filme e cinema Os filmes foram assim denominados a partir do material básico utilizado como suporte para a impressão das imagens, o filme cinematográfico ou película cinematográfica. Segundo Aumont e Marie, "A partir da palavra inglesa film, que significa película, criou-se a palavra francesa film, que desde a origem do cinema designa o espetáculo cinematográfico gravado sobre esta película."
Inicialmente silenciosos ou dependentes de uma sonorização externa a cada nova sessão, os filmes passaram a contar com som sincronizado a partir do final dos anos 1920. Neste mesmo período, a velocidade de projeção das imagens foi padronizada em 24 quadros por segundo.
Filme e vídeo Com o surgimento da televisão e principalmente das fitas de vídeo, que a partir dos anos 1950 se tornaram um novo suporte físico para imagens com impressão de movimento, a palavra filme passou a designar especificamente os produtos audiovisuais realizados em película (suporte fotográfico), em oposição aos videofonogramas, ou simplesmente vídeos, produzidos em suporte eletrônico.
Mas os desenvolvimentos tecnológicos posteriores foram aos poucos relativizando esta divisão. Ainda nos anos 1950 surgiram os primeiros telecines, aparelhos utilizados para converter filmes cinematográficos em fitas de vídeo, facilitando a exibição destes filmes na televisão e mais tarde a circulação de cópias dos mesmos no mercado doméstico. Em 1981, "Il Mistero di Oberwald", dirigido pelo cineasta italiano Michelangelo Antonioni, tornou-se a primeira obra realizada totalmente em vídeo a ter lançamento comercial nos cinemas do mundo inteiro.
A partir dos anos 1990, com a crescente utilização da tecnologia digital, tanto no cinema quanto na televisão e no vídeo, a palavra filme passou a ser usada, cada vez mais, como sinônimo de produto audiovisual, independentemente do suporte de captação ou de finalização. O Dicionário Houaiss (2001) já define 'filme' como "obra cinematográfica registrada em filme", mas também como "obra cinematográfica registrada em qualquer suporte
Sobrenatural 5 A Porta Vermelha no Disney Plus?
Não há vestígios de Sobrenatural 5 A Porta Vermelha Trail no Disney+, prova de que a House of Mouse não tem controle sobre toda a franquia! Lar de títulos como ‘Star Wars’, 'Marvel’, 'Pixar’, National GSobrenatural 5 A Porta Vermelha graphic’, ESPN, STAR e muito mais, o Disney+ está disponível por um preço de assinatura anual de $ 79,99 ou uma taxa mensal de $ 0,99. Se você é só fã de alguma dessas marcas, vale a pena se inscrever no Disney+, e nem tem anúncios.
Sobrenatural 5 A Porta Vermelha no HBO Max?
Desculpe, Sobrenatural 5 A Porta Vermelha Way não está disponível no HBO Max. Há muito conteúdo do HBO Max por $ 14,99 por mês, essa assinatura é livre de anúncios e dá acesso a todos os títulos da biblioteca do HBO Max. O A plataforma de streaming anunciou uma versão suportada por anúncios que custa muito menos por US$ 9,99 por mês.
Sobrenatural 5 A Porta Vermelha no Amazon Vid Sobrenatural 5 A Porta Vermelha ?
Infelizmente, Sobrenatural 5 A Porta Vermelha Path by Water não está disponível para transmissão gratuita no Amazon Prime VidSobrenatural 5 A Porta Vermelha . No entanto, você pode escolher outros programas e filmes para assistir a partir daí, pois possui uma grande variedade de programas e filmes que você pode escolher por US $ 14,99 por mês.
Sobrenatural 5 A Porta Vermelha no Peacock?
Sobrenatural 5 A Porta Vermelha Way não está disponível para assistir no Peacock no momento da escrita. A Peacock oferece uma assinatura que custa US$ 4,99 por mês ou US$ 49,99 por ano para uma conta premium. Como seu homônimo, a plataforma de streaming é gratuita para jogar com conteúdo ao ar livre, porém limitado.
Sobrenatural 5 A Porta Vermelha no Paramount Plus?
Sobrenatural 5 A Porta Vermelha The Road to Water não está no Paramount Plus. O Paramount Plus oferece a opção de assinatura adequada: a versão básica do serviço Paramount + Essential suporta um anúncio por US$ 4,99 por mês e um plano premium sem anúncios por US$ 9,99 por mês .
Onde posso ver filme Sobrenatural 5 A Porta Vermelha de graça?
dd.filmy-zilla.lat é um site que oferece mais de 20.000 filmes gratuitos de streaming de todos os gêneros gratuitamente. Ao fazer login, você encontrará filmes em alta definição e sem limites, um grande catálogo para consultar e uma barra de pesquisa para permitir que você pesquise todos os filmes que deseja ver.
Você está se perguntando como assistir legalmente ao streaming gratuito do filme Sobrenatural 5 A Porta Vermelha ? Se assim for, você ficará feliz que isso seja realmente possível, porque atualmente existem vários sites na Itália onde você pode assistir a filmes de todos os gêneros e épocas gratuitamente. Em alguns casos, pode ser necessário se registrar por e-mail ou usar sua conta online para fazer login.
Vou lhe contar em detalhes como você pode usar os sites mais populares da Internet, serviços online e aplicativos de smartphone/tablet para transmitir filmes gratuitamente. dd.filmy-zilla.lat é um dos melhores sites, A gama de filmes disponíveis vai desde os filmes mais recentes aos clássicos da história do cinema, dos filmes americanos aos filmes italianos, dos filmes de terror às comédias… enfim, a liberdade de escolha, o número de filmes é impressionante. Claro, você não o encontrará se for ao cinema. 
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mariocki · 2 years
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Castle Keep (1969)
"Europe is dying."
"No, Beckman, she's dead. That's why we're here. Don't you read the newspapers?"
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peter-ash · 3 years
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Michel Aumont et quelques collègues de travail.
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Castle Keep is a 1969 American comedy-drama war film combining surrealism with tragic realism filmed in Panavision.[3] It was directed by Sydney Pollack and starred Burt Lancaster, Patrick O'Neal, Jean-Pierre Aumont, Bruce Dern, and Peter Falk. The film appeared in the summer of 1969, a few months before the premiere of Pollack's smash hit They Shoot Horses, Don't They?
The film is based on the novel of the same name by William Eastlake published in 1965, and has the dubious distinction of being one of the very few war films that is both pro and anti war at the same time.
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docrotten · 3 years
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Torso (1973) – Episode 137 – Decades of Horror 1970s
"Death is the keeper of secrets.” In other words, three can keep a secret if two are dead? Join your faithful Grue Crew - Doc Rotten, Chad Hunt, Bill Mulligan, and Jeff Mohr - as they check out exactly how many secrets are kept in Torso (1973), Sergio Martino’s giallo all’italiana.
Decades of Horror 1970s Episode 137 – Torso (1973)
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A string of appalling lust murders shocks the University of Perugia as a sadistic serial killer strangles to death beautiful college girls with a red and black scarf.
IMDb
  Director: Sergio Martino
Writers: Sergio Martino, Ernesto Gastaldi; Lewis E. Ciannelli (dialogue: English version) (uncredited)
Cast
Suzy Kendall as Jane
Tina Aumont as Dani (Daniela)
Luc Merenda as Roberto
John Richardson as Franz
Roberto Bisacco as Stefano Vanzi
Ernesto Colli as Gianni Tomasso, the street vendor
Angela Covello as Katia
Carla Brait as Ursula
Conchita Airoldi as Carol Peterson
Patrizia Adiutori as Flo (Florence) Heineken
Luciano Bartoli as Peter
Gianni Greco as George
Luciano De Ambrosis as Inspector Martino
Carlo Alighiero as Uncle Nino
Jeff sees several giallo tropes present in Torso and thinks the first hour seemed a bit pedestrian. During the last half-hour, however, the tension really ramped up. Though not a big giallo fan in general, Chad also thinks the first hour is a tough slog, but the third act more than makes up for it. The trailer for Torso is one of Bill’s favorites and he agrees the film’s tone flips about an hour into it. He also gives it credit for being pretty stylistic, especially for the time in which it is released. Doc, however, found himself rather surprised that he likes Torso as much as he does, citing its brutality, the switch in the main character, and the abundance of suspects as reasons why.
The Decades of Horror 1970s Grue-Crew appreciate Torso, some more than others, but they all agree it is worth a watch, especially if you're a fan of giallo films. As of this writing, Torso is available to stream from Shudder and on physical media as a Special Edition Blu-ray from Arrow Video.
Gruesome Magazine’s Decades of Horror 1970s is part of the Decades of Horror two-week rotation with The Classic Era and the 1980s. In two weeks, the next episode in their very flexible schedule will be Patrick (1978), chosen by Chad! Be sure to join us for that one. 
We want to hear from you – the coolest, grooviest fans:  leave us a message or leave a comment on the site or email the Decades of Horror 1970s podcast hosts at [email protected]
Check out this episode!
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movies-derekwinnert · 7 years
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Castle Keep *** (1969, Burt Lancaster, Peter Falk, Jean-Pierre Aumont, Patrick O’Neal, Al Freeman Jnr, Scott Wilson, Tony Bill, Bruce Dern, Astrid Heeren, Michael Conrad) - Classic Movie Review 5045
Castle Keep *** (1969, Burt Lancaster, Peter Falk, Jean-Pierre Aumont, Patrick O’Neal, Al Freeman Jnr, Scott Wilson, Tony Bill, Bruce Dern, Astrid Heeren, Michael Conrad) – Classic Movie Review 5045
In director Sydney Pollack’s odd but vital and intriguing 1969 World War Two wartime drama set in 1944, eight American soldiers led by a one-eyed Major Abraham Falconer (Burt Lancaster) and his Sergeant Orlando Rossi (Peter Falk) take over and occupy the ancient Castle Keep.
The Belgian castle is owned by aristocrat, Comte de Maldorais (Jean-Pierre Aumont), worried about his art treasures and…
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natashakillova · 6 years
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Patrick Aumont exhibition , Sifnos, July 2018  
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tina-aumont · 8 months
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Article published in February 2001 "Oh La" number 127 about Jean-Pierre Aumont funeral that was celebrated the 6th February 2001 in French church of Saint-Roch.
Among the guests there were Tina Aumont, her half brothers Jean-Claude and Patrick Aumont, her step-mum Marisa Pavan, her uncle François Villiers, her cousin Aruna Villiers, French actor Alain Delon (pictured with Tina and behind her a close friend of hers, Patrick Gunter), singer, actress and AIDS activist Line Renaud (pictured with Tina Aumont), actress and dancer Leslie Caron, film and stage actor and director Pierre Mondy, actress Nicole Courcel and actor Daniel Ceccaldi with his wife Laurence are some of the people pictured in this magazine.
Very special thanks to @74paris for sending me this article.
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randellhair4-blog · 6 years
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Ridiculous Strand
Funds is actually certainly never easy to get, this is a fact of life. Between 1972 as well as 1978, Jesus Christ is mentioned to have actually appeared 49 times in Dozulé to Madeleine Aumont, 36 37 a mother of 5 youngsters, in the visibility of her parish clergyman Winner L'Horset and various other devoted people, and is actually thought to have actually dictated a set of messages, including trainings and from alerts for all individuals, baseding upon those who rely on all of them. Both the rate as well as slope of the treadmill are going to boost progressively, and also you will definitely always keep exercising till one of the following takes place: You meet the aim at center rate prepared by your physician; you start experiencing soreness like upper body pains; your blood pressure changes dramatically; or the electrocardiogram outcomes indicate that your soul muscle mass is actually oxygen-deprived. State funeral corteges have actually commonly passed the GPO on their means to Glasnevin Burial site, while today the road is actually utilized as the primary path of the yearly St. Patrick's Day March, and also as the setting for the 1916 Celebration every Easter Sunday This additionally acts as a major bus course canal via the area centre. There are actually a range from techniques to attract both purchasers as well as vendors The property field is exceptionally reasonable so the main objective of the business proprietor is to preserve a high profile page and also expert graphic within the company place. Besides equipping firms and people, there must be actually a particular concentrate on pinpointing labour demanding businesses that possess the potential to earn a good and also considerable impact on employment production along with those companies that possess a product and services offering for export markets with the best goal from booming local area economic climates. However just what I want to talk about today is how at Aim at our team are accepting this new fact, exactly how our team are actually creating a provider that is actually positioned to lead and expand market share in electronic as well as in our retail stores. As an alternative, we normally carry one palm the fears, uneasiness, worries, agony and also uncertainties for tomorrow, the day afterwards, and the future as a whole with the effect that people frequently experience last-minute-panic strikes. If hamburgers are not your thing as well as you are extra into healthy food, you may only cross the road off Convenience food 7 as well as acquire some amazing food from Restaurant Harmonija - some of the most effective macrobiotic bistros around. If you walk right into Trademark, as I perform continuously, you'll see a collection from different holiday seasons that our experts can catch on, and those are the important things that we'll remain to develop as we vary our cake company. This set in the picture listed below has a pleasant function at the top, because of the method the door has been created, yet there are actually great deals of various kinds that doors come in. A good head board can also be actually constructed of 2 shutters, and these can be gotten really cheaply at fleamarkets. Based on consultation, the Greater london terminus for the high-speed line would be Euston, a new Birmingham http://styl4u-karolinablog.pl/jaka-jest-twoja-dobra-odzywka-do-rzes/ city-centre terminal would certainly be constructed at Curzon Street, as well as there would certainly be interchange stations with Crossrail west from Paddington and along with the existing intercity rail system near Birmingham airport terminal. In Asia, growth moves improved 45% coming from the prior year one-fourth, driven through powerful money market sales in Landmass, China; continued momentum in the Hong Kong retirement life market; and greater institutional development flows.
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epikairocom · 7 years
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Τι φέρνει ο Μακρόν στην Αθήνα
Μήνυμα εμπιστοσύνης προς την Ελλάδα και τους Έλληνες για την επόμενη μέρα και την ανάκαμψη κομίζει ο Πρόεδρος της Γαλλικής Δημοκρατίας Εμμανουέλ Μακρόν, ο οποίος αναμένεται στις 13:00 στο Διεθνές Αεροδρόμιο Αθηνών «Ελευθέριος Βενιζέλος», ξεκινώντας τη διήμερη επίσκεψή του στην Αθήνα.
Ο πρωθυπουργός Αλέξης Τσίπρας, απαντώντας την Τετάρτη σε ερώτηση  για την επίσκεψη στην Αθήνα του προέδρου της Γαλλίας Εμμανουέλ Μακρόν υπογράμμισε την αποφασιστικότητα της κυβέρνησης να προχωρήσει σε έργα υποδομών και επενδύσεις, δημόσιες και ιδιωτικές, και με πιο γρήγορα βήματα στην ανάπτυξη.
«Θέλουμε να παίξουμε έναν θετικό ρόλο ως δύναμη σταθερότητας ειρήνης συνεργασίας, ως κόμβος ανάμεσα σε τρεις διαφορετικές ηπείρους και αυτή η δυνατότητα μπορεί να ενισχυθεί τόσο με την ανάπτυξη μιας πολυδιάστατης εξωτερικής πολιτικής -την εφαρμόζουμε δυόμισι χρόνια και αποδίδει καρπούς- όσο και από τη διαρκή προσπάθεια όχι μόνο να βγει η χώρα από την κρίση αλλά και να προσδώσει προστιθέμενη αξία σε όλη την Ευρωπαϊκή Ένωση”, υπογράμμισε ο κ. Τσίπρας.
Σύμφωνα με το Γαλλικό Πρακτορείο Ειδήσεων (AFP), η επίσκεψη του Γάλλου προέδρου στην Ελλάδα θα είναι γεμάτη συμβολισμούς, με επίκεντρο την ομιλία για τη δημοκρατία που θα εκφωνήσει ο Εμμανουέλ Μακρόν στον Λόφο της Πνύκας.
«Οφείλουμε να συνοδεύσουμε την Ελλάδα στην θετικότερη αυτή φάση που ανοίγεται και που συμβολίζει, είμαστε σε θέση να ελπίζουμε, μία νέα φάση για την ευρωζώνη», αναφέρει το Γαλλικό Πρακτορείο επικαλούμενο πηγές της γαλλικής προεδρίας.
«Ο Πρόεδρος της Γαλλίας θέλει να στείλει το ισχυρό μήνυμα ότι η στήριξη της Γαλλίας συνεχίζεται και μετά την κρίση. Ο Εμμανουέλ Μακρόν ήταν παρών ως υπουργός Οικονομίας την κυβέρνηση Ολάντ στη διαχείριση της ελληνικής κρίσης και είχε διαμορφώσει μία πολύ σαφή θέση: στήριξη της Ελλάδας και πάση θυσία αποφυγή ενός Grexit», αναφέρει επίσης το Γαλλικό Πρακτορείο.
Ο Γάλλος Πρόεδρος συνοδεύεται από τον υπουργό Οικονομίας Μπρουνό Λε Μερ, την υπουργό Ευρωπαϊκών Υποθέσεων Ναταλί Λουαζό και 40 Γάλλους επιχειρηματίες.
Γάλλοι και Έλληνες επιχειρηματίες θα έχουν την ευκαιρία να συναντηθούν κατά τη διάρκεια της επίσκεψης Μακρόν, παρουσία του πρωθυπουργού Αλέξη Τσίπρα.
Στόχος, η επαφή της γαλλικής με την ελληνική επιχείρηση, σε ποικίλους τομείς σε όλα τα επίπεδα, ο εντοπισμός των δυσκολιών και των ευκαιριών.
Οι τομείς ενδιαφέροντος είναι η ενέργεια, οι υποδομές στις μεταφορές, το περιβάλλον και υπάρχει πληθώρα γαλλικών επιχειρήσεων που εκφράζουν ενδιαφέρον για την Ελλάδα, ανάμεσά τους, και εκτός των μεγάλων ομίλων, μικρές και μεσαίες επιχειρήσεις, καθώς και start ups.
Η αναλυτική λίστα των επιχειρηματιών όπως δόθηκε από την γαλλική προεδρία:
Thierry Lajoie, πρόεδρος του Grand Paris Aménagement, εταιρεία σχεδιασμού και αστικής ανάπλασης
Jacques Le Pape, γενικός επιθεωρητής Οικονομικών, πρόεδρος του Εποπτικού Συμβουλίου της Ελληνικής Εταιρείας Συμμετοχών και Περιουσίας
Thierry Bedoin, Τράπεζα της Γαλλίας (Banque de France), διεύθυνση της ψηφιακής Μετατροπής.
Frιdιric Rossi, αναπληρωτής γενικός διευθυντής της BUSINESS FRANCE.
Julien Anglade, μέλος της εκτελεστικής επιτροπής του «Groupe Up» και γενικός διευθυντής της Ζώνης Ευρασίας. Το Groupe UP λειτουργεί σε συνεταιριστική βάση/ αλληλέγγυα και κοινωνική οικονομία.
Adrien Aumont, συνιδρυτής της εταιρeίας Kisskissbankbank που είναι ένας από τους μεγαλύτερους χρηματοοικονομικούς ιστότοπους στην Ευρώπη.
Patrick Bergougnou, πρόεδρος της Cirpack η οποία δραστηριοποιείται στις τηλεπικοινωνίες και το διαδίκτυο.
Jean-Marc Bianchi, πρόεδρος της Kerneos η οποία είναι εξειδικευμένη στην τεχνολογία αργιλικού ασβεστίου.
Paul-Antoine Briat, συνδιευθυντής του Yellow Korner, εκδοτικού οίκου με φωτογραφίες τέχνης
Louis-Roch Burgard, εκτελεστικός πρόεδρος της Saur που ασχολείται με την παραγωγή, διανομή και καθαρισμό ύδατος.
Thierry Campos, πρόεδρος της HGH Systèmes Infrarouges η οποία αναπτύσσει συστήματα «optroniques» υψηλών προδιαγραφών για εφαρμογές παρακολούθησης σε μεγάλες εκτάσεις.
Nicolas Cappelaere, πρόεδρος των εργαστηρίων «Laboratoires Ineldea» ειδικευμένων στα συμπληρώματα διατροφής και στα καλλυντικά.
Viviane Chaine-Ribeiro, πρόεδρος της Talentia Software, η οποία ασχολείται με λογισμικά διαχείρισης επιχειρήσεων.
Jean-Louis Chaussade, πρόεδρος της Suez Environnement, που ασχολείται με το περιβάλλον, το νερό και την καθαριότητα.
Emmanuel Commault, Γενικός διευθυντής της Cooperl ο οποίος είναι γεωργικός συνεταιρισμός εκτροφής χοίρων.
Julien Coulon, συνιδρυτής της Cedexis η οποία προσφέρει εξαιρετικά τεχνικές υπηρεσίες για τη βελτίωση της κυκλοφορίας και της απόδοσης στο Διαδίκτυο, στους ιστότοπους και στις εφαρμογές κινητής τηλεφωνίας.
Philippe Delleur, αντιπρόεδρος της d”Alstom η οποία ασχολείται με τον εξοπλισμό και τις υπηρεσίες στον τομέα των σιδηροδρόμων.
Nicolas Dufourcq, γενικός διευθυντής της Bpifrance, Γαλλικής κρατικής τράπεζας επενδύσεων.
Eric Elkaim, πρόεδρος της Alertgasoil η οποία ασχολείται με εργαλεία μέτρησης αποθεμάτων καύσιμων
Christophe Fontaine, γενικός διευθυντής της d”OT-Morpho, που ασχολείται με Βιομετρική και ψηφιακή ταυτότητα.
Carole Garcia, πρόεδρος της Graine De Pastel εταιρείας για φυσικά προϊόντα, καλλυντικά, αρώματα, ιδέες δώρων.
Jean-Marie Lefevre, πρόεδρος της Biocodex, η οποία είναι φαρμακευτικό εργαστήριο.
Muriel Lelong, πρόεδρος της 2PS, συμβουλευτικής εταιρείας εμπειρογνωμόνων στο network.
Guillaume Leroy, πρόεδρος της Sanofi, φαρμακευτικής εταιρείας.
Philippe Louis, πρόεδρος της Nex Composites, η οποία ασχολείται με την τεχνογνωσία στην κατασκευή αξεσουάρ από πολυεστέρα και υαλοβάμβακα.
Emmanuel Masson, γενικός διευθυντής του Groupe Clinea,η οποία έχει την φροντίδα οίκων ευγηρίας και ασχολείται με την κλινική αποκατάσταση, την ψυχιατρική, και οικιακές υπηρεσίες.
Gιrard Mestrallet, πρόεδρος του Διοικητικού Συμβουλίου της Engie Eνέργεια, εταιρείας φυσικού αερίου.
Pierre Mestre, πρόεδρος της Orchestra, βιομηχανίας ενδυμάτων.
Jacques Moussafir, πρόεδρος της Aria Technologies SA, η οποία ασχολείται με την ατμοσφαιρική ρύπανση.
Nicolas Notebaert, μέλος της Εκτελεστικής Επιτροπής της Vinci, κατασκευαστικής εταιρείας, (δρόμοι κ.α.)
Agnθs Paillard, πρόεδρος της Aerospace Valley, η οποία αποτελεί ομάδα γαλλικών εταιριών και ερευνητικών κέντρων αεροναυπηγικής.
Patrick Pouyanne, πρόεδρος της Total, πετρελαϊκής εταιρείας.
Agnθs Tomas, Υπεύθυνος εξαγωγών της de Captels, η οποία ασχολείται με γεφυροπλάστιγγες και συστήματα αξονικής ζύγισης.
Suat Topsu, πρόεδρος της Oledcomm η οποία ασχολείται με την νέα γενιά ευρυζωνικών δικτύων και την μεταφορα δεδομένων μέσω της φωτεινής ακτονοβολίας.
Joλl Uguet, διευθυντής εξαγωγών της Tecofi, κατασκευαστής ηλεκτρονικών βαλβίδων.
David Vauthrin, συνιδρυτής της FINALCAD , η οποία ασχολείται με νέες εφαρμογές για κτίρια και δημόσια έργα.
Pascal Veillat, πρόεδρος της Thomson Broadcast.
Gregory Veret, πρόεδρος της XOOLOO , η οποία ασχολείται με καινοτόμες εφαρμογές για παιδιά, για καλύτερες ψηφιακές συνήθειες.
Denis Zervudacki, διευθυντής της DZA consulting, συμβουλευτικής εταιρείας για επικοινωνία και δημόσιες σχέσεις.
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kultguy · 7 years
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Oh my Lordy, Sydney Pollack’s Castle Keep is a revelation. First thing is the magical Michel Legrand score; second is the gorgeous winter imagery – shot with Panavision perfection by French New Wave legend Henri Decaë; and thirdly, the sterling cast of Hollywood heavyweights, including Burt Lancaster, Peter Falk, Patrick O’Neal and a very nutty Bruce Dern.
Shot in Novi Sab, Serbia using a Disney-like castle (supposedly made out of Styrofoam) as its centrepiece, this dreamlike anti-war satire takes a brave stab at adapting William Eastlake’s offbeat 1965 novel of the same name, which drew on the author’s experiences at the Battle of Bulge.
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Burt Lancaster heads the cast as the mercurial one-eyed Major Falcone billeting his remaining soldiers at the Ardennes castle of the Count and Countess of Maldorais (Jean-Pierre Aumont and Astrid Heeren).
With the castle’s position in the direct line of the German advance, Falcone prepares the castle for an assault; much to the concern of Captain Beckman (Patrick O’Neal), an art historian who is using the long waiting time to do an inventory of the castle’s art treasures which he wants saved.
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While Beckman and Falcone debate the castle’s fate, the war-weary ragtag squad consisting of a ‘22-gold carat Indian’, cowboy, cook, baker, and minister occupy their free time at a local whorehouse, which is being picketed by Bruce Dern’s band of hymn-singing conscientious objectors.
Although Castle Keep preceded Robert Altman’s groundbreaking M*A*S*H* by a mere five months, it bears much the same style of black comedy, albeit with a strong dose surrealism added in. And this comes from the fact that the film is being told from the perspective of Private Benjamin (Al Freeman Jr), whose wartime experiences have been turned into a book called – yep, you guessed it! Castle Keep.
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Among the visual highlights is the Red Queen brothel which, under Altman and Decaë’s visual eye, is turned into a dazzling jewel box hued in Bava-esque colours, and a comical scene in which a Volkswagen racing Beetle seems to have a mind of its own (ala Herbie The Love Bug) and refuses to sink after two soldiers try to shoot holes in it.
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Altman peppers the film with imagery that really bangs home his nihilistic anti-war message – best represented in a sequence in which Dern’s fundamentalist Lieutenant leads shell-shocked soldiers Pied Piper-liked through a street under attack – and an underlying theme about class: which bubbles through a sub-plot involving the castle’s aristocratic owners wanting to continue their bloodline by getting the young Countess (symbolising old Europe) to mate with the Major (aka the New World).
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Unlike M*A*S*H* however, Castle Keep was a flop on its release – probably on account of the film’s surreal, arthouse approach, and the dialogue – which comes off a little pretentious at times – penned by Daniel Taradash (From Here to Eternity) and Altman’s frequent collaborator David Rayfiel.
Thankfully, however, Powerhouse Films have dragged Castle Keep out the shadows to present a region-free Dual Format Edition as part of the Indicator series so that cult film fans can reappraise this underrated cinematic gem. Now, if only I can find that score….
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SPECIAL FEATURES: • High Definition re-master • Original mono audio • Alternative 4.0 Surround sound track • The John Player Lecture with Burt Lancaster (1972, 100 mins): audio recording of an interview conducted by Joan Bakewell at the National Film Theatre, London • The Lullaby of War (2017, 18 mins): a new interview with actor Tony Bill, who played Lieutenant Amberjack, about his experiences making Castle Keep • Eastlake at USD (1968, 29 mins): an archival, videotaped interview with author William Eastlake • Original theatrical trailer • New and improved English subtitles for the deaf and hard-of-hearing • Limited edition booklet with a new essay by Brad Stevens, archival interviews with Sydney Pollack and Burt Lancaster, and original pressbook material
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Castle Keep (1969) | Burt Lancaster leads the charge in Sydney Pollack’s underrated anti-war satire Oh my Lordy, Sydney Pollack’s Castle Keep is a revelation. First thing is the magical Michel Legrand score; second is the gorgeous winter imagery – shot with Panavision perfection by French New Wave legend Henri Decaë; and thirdly, the sterling cast of Hollywood heavyweights, including Burt Lancaster, Peter Falk, Patrick O’Neal and a very nutty Bruce Dern.
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Du casting aux petits oignons et comme on en fait plus : Robert Dalban (1903-1987), Michel Aumont (1936-2019), Jean Bouise (1929-1989), Michel Fortin (1937-2011) et Mario David (1927-1996).
Coup de tête (Jean-Jacques Annaud - 1979)
(Aussi au générique : Paul Le Person, Maurice Barrier, Hubert Deschamps, Gérard Hernandez! Et Patrick Dewaere of course)
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laurent-bigot · 7 years
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A l’instar des institutions et des mentalités, le cinéma français n’a pas échappé à l’influence de Mai 68. Les années qui suivirent ce printemps historique furent, dans ce domaine, celles d’une irrésistible évolution vers la permissivité.
La période qui s’étend de 1969 à 1974 forme une période historique assez homogène, celle qu’un critique français, Jean-Pierre Jeancolas a pu baptiser “les années Pompidou”. Des années, dit-il, « où le calme apparent, la torpeur et la morosité de surface cachaient des mouvements de profondeur, des mutations à la fois sociales et mentales ». Ces mouvements profonds, le cinéma français les a enregistrés à sa manière, du cinéma politique d’après Mai 68, dont la secousse se prolongea assez longtemps, jusqu’à celui de la « permissivité », autre conséquence directe du fameux printemps parisien, qui devait déboucher sur la vague de cinéma pornographique des années 1973-1975, au terme d’une escalade aussi logique qu’irrésistible. Mais à côté de ce cinéma aux couleurs de l’époque continua de subsister, comme si de rien n’était, une production courante qui eut pour fonction, comme par le passé, et avec un succès inchangé, de satisfaire les goûts du grand publIc, un public toujours désireux de voir des films qui lui fassent oublier les problèmes du temps, bien plus que d’y trouver des interrogations nuisibles à son confort intellectuel.
L’HORLOGER DE SAINT-PAUL de Bertrand Tavernier (1974) avec Philippe Noiret, Jean Rochefort, Jacques Denis
LA TRAQUE de Serge Leroy (1975) avec Mimsy Farmer, Jean-Pierre Marielle, Michael Lonsdale, Michel Constantin, Philippe Léotard
Z de Costa-Gavras (1969) avec Jean-Louis Trintignant, Yves Montand, Irène Papas, Jacques Perrin
EMMANUELLE de Just Jaeckin (1974) avec Sylvia Kristel Alain Cuny
COUSIN COUSINE de Jean-Charles Tacchella (1975) avec Marie-Christine Barrault, Victor Lanoux, Marie-France Pisier
LACOMBE LUCIEN de Louis Malle (1974) avec Pierre Blaise et Aurore Clément
MOI Y’EN A VOULOIR DES SOUS de Jean Yanne (1973) avec Bernard Blier, Nicole Calfan, Michel Serrault, Fernand Ledoux, Jean-Roger Caussimon, Daniel Prévost
LA NUIT AMERICAINE de François Truffaut (1973) avec Jacqueline Bisset, Jean-Pierre Léaud, Jean,Pierre Aumont, Valentina Cortese
L’AMOUR L’APRES-MIDI d’Éric Rohmer (1972) (sixième et dernier volet des Six contes moraux) avec Bernard Verley, Zouzou, Françoise Verley, Daniel Ceccaldi
GLISSEMENTS PROGRESSIFS DU PLAISIR d’Alain Robbe-Grillet (1974) avec Jean-Louis Trintignant, Anicée Alvina, Olga Georges-Picot, Michael Lonsdale 
LES VALSEUSES de Bertrand Blier (1974) avec Gérard Depardieu, Patrick Dewaere, Miou-Miou, Jeanne Moreau, Brigitte Fossey, Isabelle Huppert
LE CERCLE ROUGE de Jean-Pierre Melville (1970) avec Alain Delon, André Bourvil, Gian Maria Volonte, Yves Montand, François Périer
L’esprit militant
Le cinéaste le plus représentatif des courants qui agitent alors la société française est certainement Jean-Luc Godard. Après avoir génialement annoncé, avec presque un an d’avance, ce qu’allait être Mai 68, dans La Chinoise (1967), après avoir vécu intensément cette période, Godard s’en fit le chroniqueur et le propagandiste dans des films marginaux, réalisés plus ou moins collectivement ou en collaboration (avec Jean-Pierre Gorin, le plus souvent) et qui ne connurent en général qu’une diffusion de circuits parallèles, comme Le Gai Savoir (1969), Le Vent d’Est (1970), Pravda (1970), Vladimir et Rosa (1971), etc. Cette première période « underground » prit fin avec un retour à la production normale, à l’occasion de Tout va bien (1972), interprété par Jane Fonda et Yves Montand. Après l’échec de ce film, Godard reprit ses expériences, se retira en province, s’essaya à la vidéo, et sacrifia même à la mode du porno en incluant des scènes « hard » dans Numéro deux (1975) réalisé avec Anne-Marie Miéville. Cette période d’errances se poursuivra jusqu’à l’orée des années 80. Itinéraire exemplaire d’un cinéaste fidèle à lui-même et à ses prises de position, et qui n’a cessé d’intriguer ses confrères et de malmener le public.
Autre cinéaste politique, à la trajectoire plus cohérente que celle de Godard, Chris Marker ressentit également profondément les événements de Mai 68. Associé successivement aux « collectifs » SLON et ISKRA, il avait dès 1967 filmé une grève dure à Besançon avec A bientôt, j’espère, au titre prophétique. Il y aura ensuite, notamment, La Bataille des dix millions (1971), Le Train en marche (1971), La Grève des travailleurs de Lip (1974), etc. Tout cet effort trouvera son aboutissement dans Le fond de l’air est rouge (1977), puissante synthèse politique, d’un grand non-conformisme, sur les années récentes.
De son côté, le groupe ISKRA poursuivit son activité, dans l’esprit du cinéma militant, issu de Mai 68 et des États généraux du cinéma français qui avaient donné l’impulsion et publié des manifestes énergiques. Plusieurs groupes du même genre fonctionnèrent un certain temps, mais aucun ne révéla un nouveau Marker. D’autres cinéastes réagirent différemment, ainsi Louis Malle qui partit pour l’Inde, d’où il rapporta d’intéressants documentaires comme Calcutta (1969) et L’Inde fantôme (1969), avant de se faire, à son tour, l’explorateur de la société française, avec Humain trop humain (1974) sur les usines Citroën, et Place de la République (1974), sortes de reportages sociologiques qui rencontrèrent beaucoup moins de succès qu’un film à scandale, Le Souffle au cœur (1971). Malle ne reviendra au premier plan qu’avec Lacombe Lucien (1974), une des œuvres qui contribuèrent le plus à la fameuse mode « rétro » qui devait caractériser le début de la période suivante.
Au nombre des produits de Mai 68, on rangera encore Marin Karmitz, avec Camarades (1969) et Coup pour coup (1972), films engagés qui n’échappèrent pas à l’accusation de démagogie de la part même des milieux auxquels ils s’adressaient, et ce que la suite de la carrière du cinéaste sembla confirmer. Vétéran des luttes clandestines, René Vautier trouva dans le climat de ces années l’occasion de refaire surface, avec Avoir vingt ans dans les Aurès (1972) et La Folle de Toujane (1974).
TOUT VA BIEN – écrit et réalisé par Jean-Luc Godard et Jean-Pierre Gorin (1972) avec Yves Montand, Jane Fonda
LE SOUFFLE AU COEUR de Louis Malle (1971) avec Benoît Ferreux, Lea Massari, Daniel Gélin, Michael Lonsdale
COUP POUR COUP, film documentaire français militant réalisé par Marin Karmitz (1972)
LA GREVE DES TRAVAILLEURS DE LIP de Chris Marker (1974)
Sur fond de politique
A la faveur du climat ainsi créé, on vit se constituer un cinéma politique moins confidentiel, plus délibérément commercial, et recherchant par divers moyens (gros budgets, vedettes, recours à une actualité d’exploitation plus facile) l’audience du public le plus large, généralement avec succès. Ainsi firent Costa-Gavras, avec Z (1969), histoire de l’assassinat d’un homme politique grec de gauche et avec L’Aveu (1970), inspiré de l’autobiographie d’Arthur London consacrée aux purges communistes, ou Yves Boisset avec L’Attentat (1972), film sur l’affaire Ben Barka, R.A.S. (1973) sur la guerre d’Algérie et Dupont Lajoie (1974) sur le racisme ordinaire des Français. Dans la même lignée, encore que d’une orientation politique différente, on peut mentionner Le Complot (1973) de René Gainville, consacré à l’O.A.S. et aux complots des « activistes » Algérie française, dans lequel Jean Rochefort incarne une belle figure d’ «officier perdu» unique dans le cinéma d’alors.
La politique apparaît aussi, avec plus ou moins d’acuité selon les cas, dans certains films de Claude Chabrol, qui tourne beaucoup au cours de la période : une dizaine de films entre 1969 et 1974. Parmi les meilleurs : Le Boucher (1970), Juste avant la nuit (1971), Les Noces rouges (1973). Ce dernier est sans doute le plus directement politique, avec Nada (1973) d’un niveau inférieur. Dans Les Noces rouges, fait divers criminel, les protagonistes sont des personnages politiques (appartenant à la majorité gaulliste), et l’intrigue évoque certains scandales immobiliers, comme il en pullulait alors. Malgré les outrances habituelles de Chabrol, le film n’est pas dépourvu d’une certaine vérité. Plus conventionnel apparaît Nada, qui s’en prend aux réseaux terroristes d’extrême gauche et aux captures d’otages. Cette fois le romanesque l’emporte nettement sur la vérité sociale et l’observation.
On trouve des références plus exactes à la réalité politique et sociale dans La Race des seigneurs (1974) de Pierre Granier-Deferre, adapté par Pascal Jardin d’un roman à succès de Félicien Marceau. Alain Delon y campait avec autorité un « jeune loup » de la politique, comme la Ve République en a produit beaucoup. La Horse (1970), dû à la même équipe Granier-Deferre et Pascal Jardin, contenait aussi des allusions précises à des débats idéologiques contemporains, ce qui n’est plus le cas des autres films réalisés par le même duo.
Enfin, on rattachera, un peu artificiellement, au cinéma politique les films de Jean-Pierre Mocky, dont la verve caricaturale et un anarchisme foncier et volontiers salace rendent l’auteur difficile à situer. Tournant beaucoup au cours de la période, il a réalisé notamment : Solo (1969), L’Étalon (1969), L’Albatros (1971) et Chut ! (1972). Mais aucun de ses films, pas tous réussis, ne saurait laisser indifférent.
L’AVEU de Costa-Gavras (1970) adapté du livre du même nom d’Artur London avec Yves Montand, Simone Signoret, Michel Vitold
DUPONT LAJOIE d’Yves Boisset (1974) avec Jean Carmet, Jean Bouise, Pierre Tornade, Ginette Garcin, Jean-Pierre Marielle, Isabelle Huppert
LES NOCES ROUGES de Claude Chabrol (1973) avec Claude Piéplu, Michel Piccoli, Stéphane Audran
LA RACE DES SEIGNEURS de Pierre Granier-Deferre (1974) avec Alain Delon, Sydne Rome, Jeanne Moreau
L’ETALON de Jean-Pierre Mocky (1970) avec Bourvil, Francis Blanche, Jacques Legras
En marge
Une autre conséquence de l’éclatement des structures de l’ancien cinéma, accéléré sinon provoqué par la secousse de Mai 68, fut, à l’opposé d’un cinéma engagé, voire militant, l’apparition d’une tendance ultra-formaliste, résolument marginale, et s’en prenant aux fondements même du langage cinématographique. Cette tendance est surtout illustrée par des noms comme Philippe Garrel, avec Marie pour mémoire (1967), Le Révélateur (1968), Le Lit de la vierge (1969), Les Hautes Solitudes (1973), etc, Yvan Lagrange avec Tristan et Iseult (1972) et Jacques Robiolles avec Le Jardin des Hespérides (1975).
Proches de ce courant, on rangera les tentatives cinématographiques d’écrivains comme Alain Robbe-Grillet, avec L’homme qui ment (1968), L’Éden et après (1969) ou Glissements progressifs du plaisir (1973) et surtout Marguerite Duras, qui, avec Détruire, dit-elle (1969), Nathalie Granger (1972), La Femme du Gange (1973) et India Song (1974), amorçait cette exploration des vertiges cinématographiques, qui allait la conduire jusqu’aux limites d’un non-cinéma, revendiqué comme but ultime de sa démarche.
Tout comme celle de Godard, cette démarche allait exercer un pouvoir de fascination sur certains cinéastes apparemment éloignés d’elle, ainsi Eric Rohmer, captivé par la part croissante faite à la parole, dans ce qui cessera bientôt de pouvoir être appelé un art de l’image. Quant à l’inclassable Jean-Daniel Pollet, il oscille d’un cinéma pseudo-commercial (L’amour c’est gai, l’amour c’est triste, 1968) à une sorte d’avant-garde, très personnelle, avec Le Maître du temps (1969) ou Aquarius (1971).
LES HAUTES SOLITUDES de Philippe Garrel, sorti en France (1974) avec Jean Seberg, Nico, Tina Aumont, Laurent Terzieff
L’HOMME QUI MENT de Alain Robbe-Grillet (1968) avec Jean-Louis Trintignant
L’AMOUR C’EST GAI, L’AMOUR C’EST TRISTE de Jean-Daniel Pollet (réalisé en 1968, sorti en 1971) avec Claude Melki, Bernadette Lafont, Jean-Pierre Marielle, Chantal Goya, Marcel Dalio
De quoi rire et frémir
A l’opposé de ces recherches ésotériques, souvent ignorées du public (c’est l’époque où les films qui ne trouvent pas de distributeur deviennent nombreux), on voit un cinéma pour les masses devenir plus prospère que jamais, en dépit de la crise cinématographique bien réelle. Si Bourvil meurt en 1970 et Fernandel en 1971, c’est à ce moment que Louis de Funès s’installe définitivement dans son personnage de grand comique national, grâce surtout aux films de Gérard Oury ; après La Grande Vadrouille (1966), record absolu du box-office français, ils tournent ensemble La Folie des grandeurs (1971) et Les Aventures de Rabbi Jacob (1973), deux autres grands succès, que vient compléter, pour de Funès, la série du Gendarme, réalisée par Jean Girault (Le gendarme se marie, 1968, etc.).
Un concurrent dangereux semble un moment se manifester, avec Jean Yanne, acteur réalisateur de Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil (1972) et Moi y en a vouloir des sous (1973), dont l’humour souvent savoureux connaît un immense succès. Mais ce ne sera qu’un feu de paille, auquel le demi-échec des Chinois à Paris (1974), et celui, total, de Chobizenesse (1975), viennent pratiquement mettre fin.
Moins corrosif et plus boulevardier, Michel Audiard, fameux scénariste passé à la mise en scène, tourne plusieurs films dont les plus connus sont sans doute Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas… mais elle cause (1970) et Comment réussir dans la vie quand on est con et Pleurnichard (1973). Il réalise également Vive la France ! (1973), film de montage satirique un peu facile et que son esprit anarchiste de droite fit mal accueillir. Sa carrière de réalisateur tournant court, Audiard reviendra à son ancienne spécialité, où l’attendaient de nouvelles satisfactions.
Parmi les cinéastes les plus appréciés du grand public, Henri Verneuil figure au premier rang, avec Gérard Oury. Il tourne alors une série de films policiers à succès, Le Clan des Siciliens (1969), Le Casse (1971), Le Serpent (1972), Peur sur la ville (1975), œuvres adroitement réalisées, avec un tour de main qui se veut « à l’américaine» et y parvient parfois, et bien servies par des interprètes de choix (Gabin, Delon, Ventura, Belmondo). Dans un genre assez voisin, mais avec une réussite moins constante, opère ainsi l’ancien romancier José Giovanni : La Scoumoune (1972), Deux Hommes dans la ville (1973), Le Gitan (1975). Les acteurs sont souvent les mêmes que chez Verneuil, car, aux yeux des producteurs, les recettes de succès ne sont pas variées… C’est ce qu’on peut vérifier avec les films d’un autre cinéaste à la mode, d’ailleurs de bonne qualité : Jacques Deray qui, après La Piscine (1968), obtient un triomphe en réunissant Delon et Belmondo dans Borsalino (1970), qui sera suivi de Borsalino and Co (1974) – sans Belmondo – et de Flic Story (1975) avec Delon et Trintignant.
Toujours dans le genre policier, mais avec l’ambition déclarée de faire du « cinéma d’auteur » Jean-Pierre Melville cultive son style très personnel, non dénué de maniérisme, dans Le Cercle rouge (1970) et Un flic (1972) avant de disparaître prématurément en 1973. Enfin, avec Max et les ferrailleurs (1971), c’est une belle réussite relevant du policier que signe Claude Sautet ; pourtant, ses plus grands succès publics, il les obtiendra dans une autre veine, celle du romanesque et de l’observation des mœurs, qu’illustrent Les Choses de la vie (1970), César et Rosalie (1972) ou Vincent, François, Paul et les autres (1974).
Autre habitué du box-office, Claude Lelouch a au moins le mérite de n’exploiter systématiquement ni les recettes du comique facile, ni celles du policier classique, même s’il recourt à l’occasion à l’un ou l’autre de ces genres. Il tourne beaucoup au cours de la période, souvent avec succès, et pas seulement sur le plan commercial : Un homme qui me plaît (1969), Le Voyou (1970), L’aventure, c’est l’aventure (1972), La Bonne Année (1973). Par contre, un film plus ambitieux, Toute une vie (1974), qui se présente comme une grande fresque d’histoire contemporaine, essuiera un échec sans appel. Le cinéaste s’en remettra en alignant quatre nouveaux films coup sur coup, afin de confondre ses détracteurs.
LES AVENTURES DE RABBI JACOB de Gérard Oury (1973) avec Louis de Funès, Claude Giraud, Suzy Delair, Renzo Montagnani, Henri Guybet
TOUT LE MONDE IL EST BEAU, TOUT LE MONDE IL EST GENTIL de Jean Yanne (1972) avec Jean Yanne, Michel Serrault, Bernard Blier
ELLE BOIT PAS, ELLE FUME PAS, ELLE DRAGUE PAS, MAIS… ELLE CAUSE ! de Michel Audiard (1970) avec Annie Girardot, Bernard Blier, Mireille Darc
LE CASSE d’Henri Verneuil, (1971) avec Jean-Paul Belmondo,Omar Sharif
LES CHOSES DE LA VIE Claude Sautet (1970) avec Michel Piccoli, Romy Schneider, Lea Massari
LA BONNE ANNEE de Claude Lelouch (1973) avec Lino Ventura, Françoise Fabian, Charles Gérard 
Anciens de la nouvelle vague et vétérans du cinéma
En 1968, la nouvelle vague a dix ans (Le Beau Serge ou Les Mistons sont de 1958), et ses cinéastes sont en pleine maturité. A part Godard et un peu Malle, ils n’ont guère, dans l’ensemble, réagi aux événements de Mai. Cette année-là, Truffaut a montré Baisers volés, où il poursuivait l’histoire d’Antoine Doinel, son premier héros, aux accents nostalgiques d’une vieille chanson de Charles Trenet, avant d’y revenir en 1970 avec Domicile conjugal. Difficile d’être plus inactuel… Entretemps, il a réalisé un policier, tout à fait manqué, La Sirène du Mississippi (1968) et un film psychologique en costumes, excellent, L’Enfant sauvage (1969). Parmi ses autres films, Les Deux Anglaises et le continent (1971), histoire discrète qui contient de jolis moments, La Nuit américaine (1972), peinture du milieu cinématographique, L’Histoire d’Adèle H (1975), biographie émouvante de la fille de Victor Hugo.
Tout aussi étranger aux remous de l’époque demeure Eric Rohmer, qui poursuit avec impavidité sa série de Six Contes moraux, avec Ma nuit chez Maud (1969), fascinante méditation pascalienne, Le Genou de Claire (1970) fable douce-amère digne du siècle passé, et L’Amour l’après-midi (1972), un peu plus contemporain en apparence, mais ce n’est qu’une apparence. Finalement, Rohmer est encore bien plus inactuel que Truffaut, cette ignorance têtue de la mode faisant d’ailleurs partie de ses principaux mérites. Alain Resnais avait fait une incursion dans le cinéma politique dès 1966, avec La Guerre est finie, consacré aux séquelles de la guerre d’Espagne; en 1968 il se réfugia dans l’imaginaire, avec Je t’aime, je t’aime, avant de succomber, à sa manière, à la « mode » rétro avec Stavisky (1974). Quant à Jacques Demy qui en 1968 tournait Model Shop (The Model Shop) en Amérique, de retour en France il choisit la féerie, adapte Perrault et se met à conter Peau d’Ane (1970), non sans charme d’ailleurs, avant d’aller continuer avec Grimm en Angleterre (Le Joueur de flûte (The Pied Piper of Hamelin), 1972). D’autres enfin optent pour l’histoire, tel Jean-Paul Rappeneau, avec ses agréables Mariés de l’an II (1971).
Les cinéastes des générations antérieures apparaissent tout aussi désaccordés par rapport à l’actualité. Jean Renoir se voit refuser une avance sur recettes du ministère de la Culture pour un projet intitulé avec à-propos C’est la Révolution ! Il pourra en utiliser quelques éléments dans ce qui sera son dernier film, Le Petit Théâtre de Jean Renoir (1969), produit grâce aux télévisions française et italienne, avant de se retirer aux Etats-Unis.
Guère plus chanceux, Clouzot, malade, vieilli, ne pourra rien faire après La Prisonnière (1968) où apparaissent les préoccupations métaphysiques qui hanteront ses dernières années. C’est également la métaphysique qui inspire, plus ouvertement, l’œuvre de Bresson ; celui-ci adapte deux fois Dostoïevski, dans Une femme douce (1968) et Quatre Nuits d’un rêveur (1971), avant de réaliser son admirable poème médiéval, Lancelot du lac (1974), projet poursuivi pendant vingt ans avant d’être enfin mené à bien.
L’autre grand solitaire du cinéma français, Jacques Tati, ruiné par l’échec de Playtime (1968), peut-être son chef-d’œuvre, parvient dans des conditions difficiles à tourner Trafic (1971) puis Parade (1974), avant de retomber dans un silence définitif et plein d’amertume. Condamnés au silence, également, Autant-Lara, après l’échec des Patates (1968), Gance qui récrit inlassablement un Christophe Colomb qu’il ne tournera jamais, Astruc qui ne pourra pas davantage monter son adaptation des « Affinités électives » de Goethe, et d’autres encore.
Plus heureux, Buñuel, qui tourne aussi en Espagne (Tristana, en 1970), parviendra à poursuivre en France une œuvre pour le moins inégale : La Voie lactée (1969), Le Charme discret de la bourgeoisie (1972) et Le Fantôme de la liberté (1974). D’autres exilés, polonais comme Borowczyk (Goto, l’île d’amour, 1969 ; Blanche, 1971) ou belges comme André Delvaux (Rendez-vous à Bray, 1971) viennent infuser un sang neuf au cinéma français.
L’HISTOIRE D’ADELE H.de François Truffaut (1975) avec Isabelle Adjani, Bruce Robinson
PEAU D’ÂNE de Jacques Demy (1970), inspiré du conte de Charles Perrault paru en 1694 avec Catherine Deneuve, Delphine Seyrig, Jacques Perrin, Jean Marais, Micheline Presle
LA PRISONNIERE est un film français réalisé par Henri-Georges Clouzot sorti en 1968 avec Laurent Terzieff, Elisabeth Wiener, Bernard Fresson, Dany Carrel, Claude Piéplu 
TRAFIC de Jacques Tati (1971) avec Jacques Tati, Maria Kimberly
LE CHARME DISCRET DE LA BOURGEOISIE de Luis Buñuel (1972) avec Fernando Rey, Paul Frankeur, Delphine Seyrig, Stéphane Audran, Bulle Ogier, Jean-Pierre Cassel
La relève
C’est l’époque où un apport national nouveau réussit également à se manifester avec plus ou moins de bonheur. La nouvelle vague intégrée dans le système dans son ensemble, il y a place pour de nouveaux venus. Beaucoup, grâce aux avances sur recettes, parviennent à tourner un premier film. La difficulté, c’est de continuer. Une dizaine de nouveaux cinéastes, pas davantage, imposeront un talent véritable, sans faire trop de concessions.
Ancien acteur de Truffaut et Chabrol et grand admirateur de Bresson, Gérard Blain fait d’intéressants débuts avec Les Amis (1970), que suivront Le Pélican (1973) et Un enfant dans la foule (1975), encore supérieurs. Déjà auteur des Ruses du diable (1965) et ancien critique aux Cahiers du Cinéma, Paul Vecchiali affirme avec L’Étrangleur (1970) et Femmes, femmes (1974) un style très personnel qui s’épanouira dans son œuvre ultérieure.
Pascal Thomas, également ancien journaliste, se révèle comme un des débutants le plus prometteurs, avec Les Zozos (1972) et Pleure pas la bouche Pleine (1973) ; après un ou deux films moins réussis, lui aussi fera mieux par la suite. Avec L’Enfance nue (1969) apparaît Maurice Pialat, très prisé des cinéphiles, mais ignoré du grand public ; il rencontrera le succès avec un film moins confidentiel, qu’il désavouera en partie, Nous ne vieillirons pas ensemble (1972), avant de réaliser La Gueule ouverte (1973), œuvre très noire qui sera vue par très peu de spectateurs. Pialat restera ensuite de longues années sans pouvoir tourner de nouveau film. Plus dramatique encore sera le sort de Jean Eustache qui, après la révélation tumultueuse de La Maman et la putain (1973), et un film à demi réussi, Mes petites amoureuses (1975), se verra réduit à une situation marginale, dont il s’échappera par le suicide.
A l’écart des modes, René Allio poursuit une intéressante carrière avec Pierre et Paul (1969), et surtout Les Camisards (1970), film historique plus soucieux de vérité intérieure que de reconstitution spectaculaire, et qui annonce cet authentique chef-d’ œuvre méconnu que sera Moi, Pierre Rivière... (1976). Parmi les bons films ignorés de la période, il faut encore citer La Traque (1975) de Serge Leroy, habile spécialiste du film d’action, qui, grâce à un sujet exceptionnel, montrait à quel niveau il est susceptible de se hausser.
Après une longue carrière de scénariste, Jean-Charles Tacchella débute dans la mise en scène en 1973 avec Voyage en Grande Tartarie, mais c’est avec l’amusant Cousin cousine (1974) qu’il remportera un triomphe démesuré, y compris aux Etats-Unis, pays traditionnellement allergique au cinéma français.
Tous ces exemples montrent l’importance du scénario, parent pauvre de la nouvelle vague, dans les réussites du nouveau cinéma français. On peut en dire autant des films de Bertrand Blier ou Bertrand Tavernier, autres nouveaux venus pleins de talent. Le premier, après deux films modestes, s’impose avec le coup d’éclat des Valseuses (1974), suivi de Calmos (1975), moins bien accueilli, mais plus original. Quant au second, cinéphile et ancien critique, c’est significativement qu’il s’adresse à Aurenche et Bost pour le scénario de son premier grand film, L’Horloger de Saint-Paul (1974), qui d’emblée lui vaut le prix Delluc. Succès confirmé par Que la fête commence (1975), film historique plus inégal, mais plein des qualités que Tavernier allait développer dans les films suivants.
Toutefois, aucun de ces cinéastes n’égalera dans la faveur du public Emmanuelle (1973) du photographe Just Jaeckin, Le triomphe inespéré de ce film érotique (8 millions de spectateurs en France, à ce jour), entraînera le déferlement de la vague pornographique, avec ses Jouisseuses (1975), ses Exhibition (1975) et ses Furies porno (1975), qui, en quelques mois, submergèrent le marché français (plus de 15 % de la fréquentation). Les films normaux furent noyés au milieu des titres (épicés) de ces bandes tournées en quatre ou cinq jours, qui déshonoraient les façades des Champs-Élysées. Il fallut une loi, celle du 31 octobre 1975, pour y mettre bon ordre. Puis la mode reflua. D’autres périls guettaient un cinéma français tombé à 175 millions de spectateurs en 1973, contre 300 millions dix ans plus tôt… Derrière une façade assez brillante pour faire illusion, la crise était sérieusement installée.
LE PELICAN de Gérard Blain (1974) avec Gérard Blain, Dominique Ravix, Daniel Sarky
NOUS NE VIEILLIRONS PAS ENSEMBLE de Maurice Pialat (1972) avec Marlène Jobert, Jean Yanne, Macha Méril, Christine Fabrega
LA MAMAN ET LA PUTAIN de Jean Eustache réalisé (1973) avec Jean-Pierre Léaud, Françoise Lebrun, Bernadette Lafont
QUE LA FÊTE COMMENCE de Bertrand Tavernier (1975) avec Philippe Noiret, Jean Rochefort, Jean-Pierre Marielle, Marina Vlady, Christine Pascal
Le Midi Minuit , sur les Grands Boulevards en 1972 (Boulevard Poissonière, Paris) © Michel Giniès
Le cinéma des années “Pompidou” A l'instar des institutions et des mentalités, le cinéma français n'a pas échappé à l'influence de Mai 68.
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