Grand remplacée par les Bretons bretonnants

Une vidéo de la tête de liste de Reconquête ! aux européennes circule sur les réseaux sociaux. Son équipe de campagne dédramatise.

FAIRE MONTER LES NÉONAZIS POUR AFFAIBLIR LES FASCISTES ? LA STRATÉGIE BRILLANTE DU MACRONISME

«Face au RN, on essaye de faire monter Marion Maréchal. On la considère, on fait des débats avec elle.» Ce sont les propos hallucinants tenus par un Ministre de Macron dans le journal Libération.

Celui ci explique tranquillement que le gouvernement assume désormais de faire monter le parti fasciste Reconquête pour «affaiblir » le Rassemblement National et « limiter la casse aux européennes ».

Les managers cyniques et autoritaires qui nous gouvernent ont fait depuis longtemps le pari du fascisme. Plutôt que d'opposer à la famille Le Pen une véritable campagne anti-raciste ou sociale, c'est à dire la seule façon réaliste de contrer les idées d'extrême droite, ils privilégient un parti encore plus extrême, dont le dirigeant, pétainiste assumé, a été condamné à plusieurs reprises pour des provocations à la haine raciale répétées.

Pour rappel, la stratégie des macronistes avait déjà été utilisée dans les années 1980 par le Parti Socialiste. A l'époque, le projet du gouvernement Mitterrand était de faire monter le FN pour « affaiblir » la droite classique, celle de Chirac et du RPR.

François Mitterrand, président socialiste, avait alors demandé à la chaîne Antenne 2 de donner la parole à Jean-Marie Le Pen, que personne ne connaissait, pour «diviser» la droite. En 1981, le Front National comptait moins de 300 adhérents et recueille 0,18% des suffrages. En 1988, après sa médiatisation massive, Jean-Marie Le Pen faisait 14,38% des voix. La classe politique, et le Parti Socialiste en particulier, portent une écrasante responsabilité dans cette escalade.

Le FN avait été créé le 5 octobre 1972, lors d’une réunion privée qui n'avait réuni que 70 personnes. Ce n'était qu’un obscur groupuscule composé de quelques dizaines de membres. Un parti confidentiel réunissant des néo-nazis, d’anciens collaborationnistes, des SS, des colonialistes et des criminels de guerre. Le parti fasciste n'a dû sa fulgurante ascension qu'aux trahisons répétées de la gauche qui ont écœuré le prolétariat, à sa médiatisation complaisante outrancière, et au soutien assumé d'une grande partie des milliardaires et des médias français.

Faire monter l'extrême droite pour «affaiblir » la droite, puis aujourd'hui faire monter des néo-nazis pour affaiblir des fascistes est non seulement une stratégie abjecte moralement, mais aussi criminelle, puisqu'elle ne profite qu'à l'extrême droite. Depuis les années 1980, la classe politique n'a pas cessé de se droitiser, en calquant ses propos et ses idées sur ceux de Le Pen. Des dizaines de lois sécuritaires et anti-immigrés ont été votées. La droite n'a pas été « divisée » par la manœuvre de Mitterand, elle s'est radicalisée, puis a conquis tout le champ politique.

Lorsqu’il était président, Nicolas Sarkozy était conseillé par l’idéologue fasciste Patrick Buisson. Plus tard, le politicien d’extrême droite Paul-Marie Coûteaux rédigera les discours de Fillon. A présent, Macron ne cache plus ses liens avec Zemmour et ses références au pétainisme. Et le RN est électoralement le premier parti de France.

Et le plus fou dans tout cela ? Ceux qui choisissent de faire « monter » Reconquête sont les mêmes qui diffament à longueur de journée la gauche, qui qualifient la France Insoumise, premier mouvement d'opposition de France, d'être « anti-républicain », « antisémite » voire « terroriste », et qui répriment implacablement toutes les voix réclamant la justice sociale, la liberté et l'égalité. Le centre-gauche est désormais qualifié « d'extrémiste » alors que les héritiers de Pétain sont des interlocuteurs validés par le gouvernement.

Nous sommes à la veille du fascisme, et les responsabilités écrasantes de la classe dirigeante et de leurs médias aux ordres ne devra pas être oubliée dans la catastrophe qui s'installe déjà.

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Source : https://www.liberation.fr/politique/contre-le-rn-la-macronie-veut-faire-monter-marion-marechal-20240429_T5WBJLZ5IJDKFC3IFZ2ZS4ECVU/?redirected=1

Marion Maréchal : “Si Jean-Marie Le Pen avait été écouté, il y aurait moins d’actes antisémites”

Source Le Salon beige cliquez ici Marion Maréchal est courageuse et n’hésite pas à rappeler l’œuvre prophétique de son grand-père Jean-Marie Le Pen en déclarant sur Europe 1 : “Si Jean-Marie Le Pen avait été écouté, il y aurait moins d’actes antisémites” Or, il est assez navrant de voir des journalistes biberonnés à la haine anti-FN faire le parallèle entre les positions intenables de Jean-Luc…

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The French Far Rights, Marine Le Pen sets sail

By Roman Eldin

Breaking NEWS !

It is official, at the 18th congress of the Rassemblement National, Marine Le Pen officially leaves the presidency of the RN on Saturday, November 5, 2022. After 10 years at the head of the National Front, (which has meanwhile become a national rally), after 3 elections and two second rounds. The latter had already announced that this presidential election would be her last and that she would later leave the party's presidency.

(Copyrights: RTL)

What to remember

Whether you disagree or disagree with your ideas, you must be honest about your status as a party leader. She brought him to 89 deputies in the National Assembly, 41% in the last elections, which is a historic score for the RN. The party is now considered the first party to oppose Emmanuel Macron. While she was repeatedly dropped by party relatives such as Florian Philippot, Gilbert Colart, Marion Maréchal, Jean Messiah and so on. Some joined Eric Zemmour who was given the favorite at the beginning of the elections with his reconquest party, to finish in fourth place largely ahead of Marine le Pen. Appearing as less brutal and more maternal towards the French, where Éric Zemmour did not manage to convince public opinion in general, or would only be the stuff of a presidential according to many. Le Pen therefore succeeded there where Zemmour failed. Since it now relies on a more sympathetic approach and to detach itself from the bad reputation that the RN still holds in the minds of many French people.

One of Marine Le Pen's missions was to demonize the RN, already by building it Rassemblement National rather than Front National. This name change is important to her and allowed her to open the party rather than have a conservative connotation and close. She reaffirms it in her speech: "All patriots of all origins are free to join our fight". The biggest attempt to demonize the RN remains the exclusion in 2015 of Jean Marie Le Pen of the party for making inappropriate remarks when it was the founder of the party, the main donor and especially his father. It will go so far as to vote recently on one of the censorship mentions filed by the Nupes.

What Future?

In her last talks as presidents of the national rally, she says that with the current situation in France and Europe, the National Rally has never been so necessary. Since even if she leaves the presidency of the RN, she will remain mobilized within the party and still a deputy. She relies a lot on Europeans where even the legislative elections in the event of dissolution, she says with humor.

(Copyrights: La Dépêche)

It is officially the second of the party, Jordan Bardera, who succeeds the presidency. With 85% of the votes. Being only 27 years old, the future of the party is offered to it and perhaps even the presidential ambition. But as said before, Marine le Pen does not give up the party but only the position of president. It may not be excluded that she will show up in 2027 and the fact that there is no longer Macron and Mélanchon might be the perfect opportunity for her. Unless Bardella, then 32 years old in 2027, takes her place.

Our last article ⬇️

#MeToo

"Pour moi la droite est moins une doctrine qu’un rapport au monde, c’est une disposition de l’esprit : la conservation du bien, du juste et du beau façonnés par les siècles et la protection des fidélités mutuelles dessinées par l’expérience et l’histoire."

Marion maréchal Le Pen

Samedi 17 décembre 2022

Z et la reconquête médiatique 

Électoralement Eric Zemmour a perdu et son parti Reconquête aussi. Pas médiatiquement car il reste incontournable en ce qui concerne le débat des idées.

Qui a immédiatement répondu au président Macron quand ce dernier a prétendu que la France était une terre d’immigration ? Quelle est l’obsession du ministre de l’Éducation nationale ? Attaquer Eric Zemmour considéré comme le chef de file de l’opposition à l’endoctrinement wokiste, LGGT et islamiste à l’école. Sans être capable de répondre sur le fond et préférant prendre la tangente en revenant sur des écrits anciens relatifs aux responsabilités du maréchal Pétain à l’égard des juifs que le président de Reconquête n’aurait pas dû, en tant qu’homme politique, reprendre ou commenter.

Ses détracteurs auront beau jeu de faire observer que les propositions d’Eric Zemmour sur l’immigration exprimées parfois de façon brutale, provocatrice et sommaire ne seront pas reprises dans le projet de loi qui sera discuté en 2023. C’est vrai.

Le combat d’Eric Zemmour et de Reconquête ne saurait se situer dans l’immédiat court terme. C’est un rendez-vous avec l’Histoire qui dépasse la personne d’Eric Zemmour mais que d’autres, et Marion Maréchal Le Pen en tête, continueront de mener dans les prochaines décennies.

François BAUDILLON *

La stratégie du coucou

La stratégie du coucou

Nous étions si fragiles…     Le populisme de droite avait eu beau jeu de dénoncer l’échec du “président des riches”, tout en profitant comme un coucou du nid de ses politiques autoritaires et xénophobes. La défaite d’Emmanuel Macron et la victoire de Marion Maréchal-Le Pen en 2037 étaient la consécration de cinquante ans d’abandon progressif des principes fondateurs de la République française, de…

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Riposte Médiatique N°57

NOUVELLE VERSIONEn révolte contre la pensée unique ! Avec Marion Maréchal, Marine Le Pen, Jordan Bardella, Alexandre Goldfarb, Sarah Knafo, Yona et Isabelle Surply. Par Observatoire du MENSONGE Riposte Médiatique, le média de l’opposition qui s’oppose N° 57- Mai 2024 – parution le premier dimanche du mois – NOUVELLE VERSION Vous pouvez soutenir notre juste combat en vous abonnant à Semaine…

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Marion Maréchal Le Pen se moque du Mbappé macronien

Marie tartois est la folle de Marseille, il semble qu'ils lui trouvent un air d'être une bonne sosie de edmonde Charles roux.... Cannibale....

folle de Marseille, ce sont le nom de la famille le Pen et maréchal qui est'utilisé.

Une sosie de marine le Pen complètement folle et qui s'y croit vraiment à être élue présidente elle....

La troisième malade mentale, c'est la sosie de Marion Maréchal. Elle louche elle aussi. L'une et l'autre disent 'c'est pas moi, c'est l'autre'.. donc pour les départager, jugement de Salomon, on les tue toutes les 2...

La quatrième dingue, c'est la compagne de zegut de RTL... Elle est psychiatre, elle nous pourrit nos vies a tout Marseille depuis très longtemps....

Il faut chercher toutes les autres malades mentales, comme l'ex journaliste Sylvie depierre de france3 Marseille...

Far right in France

Reconquête! as seen by Le Monde subscribers Eco89 - April 28, 2024

An analysis of reactions to Le Monde article: "European elections: Reconquête!, Sarah Knafo emerges from the shadows to lead an offensive against the RN" dated 04/28/2024. Spoiler alert: Le Monde's moderation policy is not respected...

In short, the French far-right is divided, and the atmosphere is not good among the Zemmourian neo-fascists. The Le Monde article highlights Sarah Knafo's role within Reconquête! for the European elections on June 9, 2024, where she seeks to counter the RN. The absence of elected officials could threaten the very existence of the party. Knafo thus attacks Jordan Bardella, aiming to retain potential Zemmour voters who are leaning heavily towards the RN in polls. Internal divisions on the strategy to adopt persist, notably between Marion Maréchal Le Pen and Eric Zemmour.

Summary of reactions: On April 28, just over 24 hours after the article was published, 48 out of 62 comments displayed a clear hostility towards Reconquête! or the RN. This may be welcomed, but it is hardly surprising on the page of a newspaper generally situated between Macronism and Glucksmannism. Only 5 comments seem to tepidly defend the Zemmourian party, without it being entirely clear or acknowledged.

Of course, online comments are worth what they're worth, which is not much, with nearly half being "trolls" or tasteless jokes (28 out of 62). Nevertheless, they give a certain idea of the atmosphere of the electoral campaign a few weeks before the vote.

Sexism: What is significantly less pleasing is the recurrence of misogynistic comments on this page of lemonde.fr. Indeed, 9 internet users feel entitled to attack Sarah Knafo solely based on her gender and her relationship with Zemmour. Jémino reduces her to her status as a mother, implying that a woman should stay at home to take care of the children rather than running for election. This is fair game, knowing that Zemmour has delivered many speeches praising triumphant patriarchy, the virile man whose educational role should be reduced to administering spankings. Hansi attacks her on her weight, while blok lerec reduces her to her sexual performance. Mob rules drives the nail of misogynistic obscenity even further by equating female politicians to prostitutes. It is true that Knafo and Maréchal are themselves reactionary and intolerant, but does that justify such blatantly sexist remarks? It is worth noting that Le Monde's charter is not respected, and moderation seemed to be off duty this weekend.

Antisemitism: 5 commentators delve into the stagnant waters of insinuated antisemitism. While the article mentions neither Israel nor Sarah Knafo's Jewish faith, fantasies and extrapolations abound, relying on quite dubious amalgams. PLD, for example, accuses the candidate of betraying the country in favor of Israel: Jeandesbois crosses a red line by making the ultimate amalgam "all Jews... have turned extreme right." By insinuating that Jews would have only one political thought and would necessarily all be supportive of Netanyahu's neo-fascist government, the internet user perpetuates a discourse of essentialization and amalgamation typical of all forms of racism. Of course, anyone who has listened to Meyer Habib for more than a few seconds has seen his pro-Israel fanaticism and deep hatred of Palestinians, but before asserting that Knafo is on the same line, one would still need to find evidence... Considering Zemmour's very good score among French citizens in Israel, Habib's constituency, one can imagine a compatibility, but all of this remains quite speculative. We would prefer to see internet users dismantle Zemmour's nauseating and revisionist ideology based on tangible elements. There is no shortage of angles: fantasized rewriting of French history, praise for Pétain, the fantasy of the great replacement, project to exit the rule of law, deportation of Muslims...

and also... Several subscribers are surprised that far-right candidates have foreign names, while preaching xenophobia. A lost reader supports the presidential majority. 1 out of 62 doesn't bode well for a Macron-compatible newspaper. 5 readers equate Reconquête! and LFI based solely on the leader of the party's relationship, who is older, with a much younger woman. A level of tabloid rhetoric that contributes to the demonization of LFI. Mélenchon had indeed debated with Zemmour, thus giving him an extra legitimacy that we could have done without. 5 commentators criticize the media, although they are Le Monde subscribers. Finally, an environmental sympathizer, Punchingball, very alone, regrets the lack of media coverage of Marie Toussaint, EELV candidate in the European elections.

The ECR group: If the Zemmourians manage to win elected officials, they will sit with Meloni's friends in the European Conservatives and Reformists group. The terms "conservative" and "reformist" seem poorly chosen to describe clearly neo-fascist formations. It should be noted that the dominant component of this group is the Polish party PiS, recently defeated in national elections but carrying an extremely reactionary, anti-LGBT, anti-immigration, and anti-European policy. The division of the far right at national and European levels is an opportunity, but it is more than worrying that this political current, which plunged Europe into horror a century ago, has the means to constitute two groups as strong in Strasbourg and Brussels.

Together, the two far-right groups ID and ECR were credited with more than 22% of the votes at the end of March, at the European level, compared to only 8% for the Greens. Yes, the European Union is in trouble..

What brings Nigel Farage and Suella Braverman, accompanied by Viktor Orbán, back to Brussels? Notorious far-right figures are descending on the Belgian capital on 16-17 April for "The National Conservatism Conference: Preserving the Nation-State in Europe" – a European version of the Conservative Political Action Conference (CPAC) in the US. The event will bring together politicians, journalists, academics, religious figures, members of the European nobility and shady think tankers –all affiliated with the populist far-right –  at the Concert Noble venue in Brussels to hear inflammatory speeches on topics such as migration, the EU, climate change and LGBTQ+ rights. With important national and European elections on the horizon, protests against the conference – widely seen as a fundraiser for the far-right – are growing. First held in 2019, the annual event has taken place in major cities around the world. Previous attendees have included Georgia Meloni and Marion Maréchal Le Pen. While this year's keynote speakers are Eric Zemmour, Farage, Braverman and Orbán, the conference will also feature speeches by politicians from Belgium's Vlaams Belang, Spain's Vox, Poland's Law & Justice and France's National Rally – standard bearers of Europe's populist far-right. The National Conservative movement is, simply put, an expression of the contemporary far-right, much like Italian Prime Minister Giorgia Meloni, but it disguises itself as traditional conservatism as a way of appealing to the mainstream. The movement is finding a new life on social media, aided by inflammatory posts against immigration and liberal values (often aided by bots) which are designed to shock and reach as many eyeballs as possible.

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There was Truss at CPAC in Florida, rubbing shoulders with the likes of Steve Bannon and now Braverman to attend The National Conservatism Conference in Brussels, a who's who of little Hitlers in Europe, and we're supposed to believe the Tories are not far-right?

Then we have the BBC apologising to party leader Richard Tice for calling Reform UK far-right while Farage, their honorary president, will hobnob with Europe's mini Mussolinis.

What the fuck are they doing in Belgium? They left the EU, but obviously will be not happy until the EU is destroyed.

[ÉDITO] À Domrémy, Marion Maréchal relève le drapeau de Jeanne d’Arc

« Jeanne, au secours ! » On se souvient de l’irruption de Jean-Marie Le Pen, habillé d’une parka rouge, le 1er mai 2015, sur la scène dressée par le Front national, place de l’Opéra à Paris, et de son cri, poussé devant les militants quand les rapports n’étaient pas au mieux entre le père et la fille. Ce cri, Marion Maréchal l’a repris et poussé à sa façon, ce jeudi 1er mai à Domrémy-la-Pucelle,…

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