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#Edmund Appel
vintagewildlife · 5 months
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Gibbon By: Edmund Appel From: Natural History Magazine 1977
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thatbiologist · 1 year
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G’eth Character Name Bank
First Names
Masculine Names
Alfred, Andrew, Arlo, Arthur, Balthazar, Barry, Ben, Benedick, Bernard, Burchard, Cedric, Charibert, Crispin, Cyrill, Daegal, Derek, Digory, Drustan, Duncan, Edmund, Edwin, Elric, Evaine, Frederick, Geffery, George, Godfreed, Gregory, Guy, Harris, Harry, Horsa, Hugh, Humphrey, Iago, Jack, Jeremy, John, Kazamir, Kenric, Lawrence, Leoric, Lorik, Luke, Lynton, Lysander, Madoc, Magnus, Maukolum, Micheal, Miles, Milhouse, Mordred, Mosseus, Ori, Orvyn, Neville, Norbert, Nycolas, Paul, Percival, Randulf, Richard, Robert, Roderick, Stephen, Tennys, Theodoric, Thomas, Tristan, Tybalt, Victor, Vincent, Vortimer, Willcock, Willian, Wymond
Feminine Names
Adelin, Alice, Amelia, Beatrix, Beryl, Bogdana, Branwyne, Brigida, Catalina, Catherine, Claudia, Crystina, Deanna, Desdemona, Elaine, Elinora, Eliza, Enide, Eva, Ferelith, Fiora, Freya, Gertrude, Gregoria, Gueanor, Gwen, Gwendolyn, Hannah, Hegelina, Helen, Helga, Heloise, Henrietta, Igraine, Imogen, Jacquelyn, Jane, Jean, Jenny, Jill, Juliana, Juliet, Katie, Leela, Lettice, Lilibet, Lilith, Lucy, Luthera, Luz, Lyra, Malyna, Margherita, Marion, Meryl, Millie, Miranda, Molle, Morgana, Morgause, Nezetta, Nina, Novella, Olwen, Oriana, Oriolda, Osanna, Pamela, Petra, Philippa, Revna, Rohez, Rosalind, Rose, Sallie, Sarra, Serphina, Sif, Simona, Sophie, Thomasine, Tiffany, Ursula, Viola, Winifred, Yrsa, Ysabella, Yvaine, Zelda, Zillah
Gender-Neutral/Unisex Names
Adrian, Alex, Aiden, Arden, Ariel, Auden, Avery, Bailey, Blaire, Blake, Brett, Breslin, Caelan, Cadain, Cameron, Charlie, Dagon, Dana, Darby, Darra, Devon, Drew, Dylan, Evan, Felize, Fenix, Fernley, Finley, Glenn, Gavyn, Haskell, Hayden, Hunter, Jace, Jaime, Jesse, Jo, Kai, Kane, Karter, Kieran, Kylin, Landon, Leslie, Mallory, Marin, Meritt, Morgan, Nell, Noel, Oakley, Otzar, Paris, Peregrine, Quant, Quyn, Reagan, Remy, Robin, Rowan, Ryan, Sam, Samar, Sasha, Sloan, Stace, Tatum, Teegan, Terrin, Urbain, Vahn, Valo, Vick, Wallace, Waverly, Whitney, Yardley, Yarden, Zasha
Surnames
Surnames, Patrilineal - First Name (Patrilineal Surname)
Ace, Allaire, Appel, Arrow, Baker, Bamford, Barnard, Beckett, Berryann, Blakewood, Blanning, Bigge, Binns, Bisby, Brewer, Brickenden, Brooker, Browne, Buller, Carey, Carpenter, Carter, Cheeseman, Clarke, Cooper, Ead, Elwood, Emory, Farmer, Fish, Fisher, Fitzroy, Fletcher, Foreman, Foster, Fuller, Galahad, Gerard, Graves, Grover, Harlow, Hawkins, Hayward, Hill, Holley, Holt, Hunter, Jester, Kerr, Kirk, Leigh, MacGuffin, Maddock, Mason, Maynard, Mercer, Miller, Nash, Paige, Payne, Pernelle, Raleigh, Ryder, Scroggs, Seller, Shepard, Shore, Slater, Smith, Tanner, Taylor, Thatcher, Thorn, Tilly, Turner, Underwood, Vaughan, Walter, Webb, Wilde, Wood, Wren, Wyatt, Wynne
Surnames, Townships in G’eth - First Name of (Location)
Abelforth, Argent Keep, Barrow Springs, Barrowmere, Bedford, Brunhelm, Bumble, Casterfalls, Dunbridge, Falmore Forest, Folk’s Bounty, Frostmaid, Fulstad, Heller’s Crossing, Hertfordshire, Humberdale, Inkwater, Little Avery, Marrowton, Mistfall, Mistmire, Morcow, Necropolis-on-Sea, Otherway, Parsendale, Piddlehinton, Port Fairwind, Redcastle, Ransom, Rutherglen, Saint Crois, Tanner’s Folly, Tavern’s Point, Wilmington
Surnames, Geographical Locations in G’eth - First Name of the (Location)
Cove of Calamity, Deep Woods of Falmore, Eastern Isles, Eastern Mountains, Foothills, Frozen Peak, Lakes, Maegor Cobblestones, Northern Mountains, Southern Isle, Tangle, West Coast, Wild Wild Woods, Woods of Angarad
Surnames, Nickname - First Name the (Something) 
Bald, Bastard, Bear, Bearded, Big, Bird, Bold, Brave, Broken, Butcher, Bruiser, Careless, Caring, Charitable, Clever, Clumsy, Cold, Confessor, Coward, Crow, Cyclops, Devious, Devoted, Dog, Dragonheart, Dreamer, Elder, Faithful, Fearless, Fey, Fool, Friend, Generous, Giant, Goldheart, Goldfang, Gouty, Gracious, Great, Hag, Handsome, Hawk, Honest, Huge, Humble, Hungry, Hunter, Innocent, Ironfist, Ironside, Keeper, Kind, Lesser, Liar, Lionheart, Little, Loyal, Magical, Mercenary, Merchant, Messenger, Old, Orphan, Pale, Polite, Poet, Poor, Prodigy, Prophet, Proud, Reliable, Romantic, Rude, Selfish, Sellsword, Scab, Scholar, Shield, Shy, Singer, Sirrah, Slayer, Slug, Small, Stoneheart, Swift, Tadde, Talented, Tart, Tenacious, Timid, Tiny, Tough, Traveller, Trusted, Truthful, Viper, Wizard, Wolf, Wyrm
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cosmicanger · 4 months
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Edmund Appel
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raisongardee · 7 months
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"Ces pères de l’athéisme ont une bigoterie à eux ; et pour déclamer contre les moines, ils ont appris à se servir du langage monacal. Mais en plusieurs choses, ils appartiennent au siècle. Ils savent faire appel aux ressources de l’intrigue pour suppléer aux défauts du raisonnement et de l’esprit. Ils renforcent leur système de monopole littéraire d’une activité inlassable pour noircir et discréditer par tous les moyens tous ceux qui ne font pas partie de leur faction. Aux yeux de ceux qui observaient leur conduite, il était clair depuis longtemps que pour transformer l’intolérance de leur parole et de leur plume en une persécution qui frapperait la propriété, la liberté et la vie même de leurs concitoyens, il ne leur manquait que le pouvoir nécessaire […] En définitive, les résistances rencontrées comme les succès remportés firent qu’un zèle violent et malfaisant, d’une espèce inconnue jusqu’ici dans le monde, s’empara de leurs esprits et que leur commerce, au lieu d’être agréable et instructif, devint parfaitement révoltant. Un esprit de cabale, d’intrigue et de prosélytisme dominait toutes leurs pensées, leurs moindres paroles, leurs moindres actions. Et comme le zèle de la controverse tourne bientôt les idées vers l’usage de la force, ils entreprirent de s’introduire près des princes étrangers en entrant en correspondance avec eux, dans l’espoir qu’en s’appuyant de leur autorité, qu’ils commencèrent par flatter, ils pourraient venir à bout de produire les changements qu’ils avaient en vue. Il leur était indifférent que ces changements fussent opérés par la foudre du despotisme ou par le tremblement de terre d’une commotion populaire […] Dans le même dessein qui les faisait intriguer avec les princes, ils cultivaient avec une diligence toute particulière les pouvoirs d’argent en France ; et enfin, mettant notamment à profit les bonnes grâces de quelques personnes dont les charges spéciales leur assuraient l’audience la plus sûre et la plus étendue, ils s’emparèrent avec grand soin de toutes les avenues de l’opinion."
Edmund Burke, Réflexions sur la révolution de France, trad. Pierre Andler, 1790.
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penguinwriter24 · 11 months
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Chapitre 7: The Search [ Fr ]
TW : mention de la mort.
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Edmund
Edmund était à l’avant avec Caspian, c’était lui qui montrait le chemin aux autres. Il détestait de savoir qu’il connaissait encore le chemin qui menait jusqu’au château de Jadis.
La nuit commençait à tomber alors ils s’arrêtèrent. Ils attachèrent les chevaux pour pas qu’ils s’enfuient pendant la nuit, ils allumèrent ensuite un feu pour avoir un minimum de chaleur durant la nuit. Edmund annonça qu’il montrait la garde cette nuit. Il ne trouverait pas le sommeil alors il pensait cela inutile de confier la tâche à quelqu’un d’autre. 
Alors, pendant que ses compagnons dormaient, Edmund entretenait le feu pour qu’il ne s’éteigne pas et il contemplait les étoiles. Edmund se surprit à faire une chose qu’il n’avait jamais fait avant. Il pria. Il pria un Dieu auquel il ne croyait pas vraiment, mais s’il y avait bien un moment pour croire en Dieu, il pensa que c’était celui-là.
C’était celui-là parce que son passé allait lui exploser au visage et il en était parfaitement conscient. Ses démons du passé allaient refaire surface et il n’était pas sûr d’avoir la force de les affronter une deuxième fois. Battre ses démons une seconde fois semblait être une mission impossible pour Edmund parce qu’il serait tout seul à les affronter. La première fois, il avait eu le soutien de son frère et de ses sœurs. Sans eux, la partie changeait radicalement.
Donc, Edmund pria. Il pria Dieu ou les Dieux de lui venir en aide. Il pria pour qu’aucun mal ne soit fait Dahlia. Il pria pour que personne ne meurt s’il devait y avoir une bataille.
-On y sera quand, tu penses ?
Edmund tourna vers Caspian quand il entendit le son de sa voix briser le silence si apaisant.
-On y sera demain, avant la tombée de la nuit. Enfin, je l’espère.
Caspian hocha la tête et n’ajouta rien de plus à cet échange.
-Quand on y sera. Laisse-moi y aller seul.
-Quoi ? Est-ce tu as perdu la tête ?
-Si la Jadis est bel et bien dans sa petite maison qu’elle ose appeler un château.., Edmund s’interrompit tout seul. Il est inutile qu’on meurt tous les deux demain. L’un de nous doit rester vivant pour Dahlia.
Caspian se redressa d’un seul coup. Il n’avait jamais entendu Edmund parler de la sorte, il parlait comme s’il savait qu’il allait mourir durant cette mission. Et, Caspian devait avouer qu’il avait peur pour Edmund, il avait vraiment peur qu’il fasse quelque chose de stupide.
-Tu ne crois pas que c’est toi qui devrais rester en vie pour elle ?
-Ne sois pas idiot, Caspian. Tu es le Roi, tu ne peux pas laisser ton royaume comme ça. Crois-moi, je l’ai fait une fois. La seule différence c’est que toi tu ne reviendras pas.
-Et si aucun de nous ne mourrait, qu’est-ce que tu en penses ?
-Tu ignores de quoi elle est capable. Ne perd pas ton temps avec l’espoir. Une fois qu’elle sait ce qu’elle veut, rien ne l’arrêtera, fais-moi confiance là-dessus.
Edmund se leva et marcha un peu pour se dégourdir les jambes. Il avait aussi besoin de temps pour réfléchir. 
C’était un secret pour personne, tout le monde savait qu’Edmund sacrifierait sa vie pour n’importe lequel des Narniens et Narniennes, mais Caspian était surpris de constater qu’il se jeterait volontairement dans la gueule du loup. Il en vint à se demander si Edmund était dans le bon état d’esprit pour cette mission. D’habitude, Edmund arrivait à prendre du recule et pour lui, ce qu’il vivait était plus une “aventure” qu’une “mission” mais cette fois, ça le touchait de près. Cette fois, il était directement concerné. Et Caspian s'inquiétait vraiment pour son jeune ami.
Edmund marchait près du campement, il gardait un œil sur ses compagnons et il tendait l’oreille à chaque petit bruit qu’il entendait. Le jeune anglais savait que c’était pour lui le moment de prendre une décision définitive.
Jusqu'où était-il prêt à aller pour sauver Dahlia et pour stopper la Sorcière Blanche ? Et, à l'époque Peter avait soulevé une question importante : qu'est-ce qui se passerait pour lui s'il mourrait à Narnia ? Est-ce qu'il retournerait juste en Angleterre comme si rien n'était arrivé ? Ou il mourrait dans les deux mondes et personne en Angleterre ne saurait ce qu’il lui serait réellement arrivé ?
C’étaient des questions valables et justifiées, mais en même temps, il n’était pas vraiment pressé d’en connaître les réponses. Surtout pour les trois dernières.
Edmund était terrifié. Il l'était pour différentes raisons. Quatre, plus précisément.
Premièrement, il avait peur d'arriver trop tard et de ne pas pouvoir sauver Dahlia. Deuxièmement, il avait peur d’être à nouveau en face de la Sorcière Blanche. (Troisièmement, il avait peur de mourir, mais ça il ne l’avouerait jamais à haute voix.) Quatrièmement, et c’était sans doute sa plus grosse peur, il avait peur du nombre de compagnons qu’il perdrait. Il faisait encore des cauchemars de l’attaque au château de Miraz quand il avait vu son peuple être pris au piège et être abandonné à leur sort. C’était dans ces moment-là qu’Edmund regrettait d’avoir une seule vie à sacrifier pour son peuple. Il en avait d’abord voulu à Peter de les avoir abandonnés, puis à Caspian quand il avait su qu’en réalité c’était lui le responsable de ce massacre.
La nuit avait été tranquille. À part quelques animaux curieux, ils n'avaient pas eu de visite inattendue. Alors, dès les premières lueurs du jour, Caspian s'était réveillé et avait réveillé tous ses compagnons puis ils avaient tous reprit la route. Edmund était en tête des troupes avec Caspian.
-À propos de ce dont on a discuté cette nuit, commença Caspian.
-Avec tout le respect que je te dois, ma décision est prise, Caspian. Rien ne me fera changer d'avis.
-C'est insensé ! Tu ne devrais pas prendre une telle décision dans ton état !
Edmund tira sur les rênes de son cheval pour le forcer à s'arrêter de marcher. Caspian fit la même chose que son jeune ami.
-Qu'est-ce que ça veut dire, ça, au juste ? demanda Edmund qui sentait déjà la colère s'emparer de lui.
-Ça veut dire que tu es aveuglé par la colère et dans un tel état, tu n'es pas en position de prendre une décision rationnelle ! répondit Caspian en gardant son calme.
-Et qui est plus qualifié que moi pour prendre des décisions me concernant ? Toi, peut-être ?
-Edmund, je…
-Combien de fois as-tu affronté la Sorcière Blanche ? As-tu déjà vu de quoi elle est capable ? Non, je ne crois pas. Moi je sais, alors la discussion s’arrête là.
-Non, ça suffit! s’emporta finalement Caspian.
Caspian descendit de son cheval et Edmund en fit autant. Les deux hommes se mirent l’un en face de l’autre. Soutenant d’abord le regard de l’autre avant que Caspian se mette à parler. Ou plutôt se mette à crier sur Edmund. S’il avait besoin de lui crier dessus pour qu’Edmund comprenne les choses, Caspian était plus qu’heureux de le faire.
-Tu ne te rends absolument pas compte de ce que tu es en train de dire, n’est-ce pas ? Tu ne te rends absolument pas compte de ce que Dahlia va ressentir quand elle va comprendre que tu as échangé ta vie contre la sienne ! Tu ne penses vraiment pas à elle, c'est aberrant !
-Je ne pense pas elle ? C'est réellement à moi que tu dis ça ? Je ne fais que ça, penser à elle ! Je pense à ce que Jadis doit être en train de lui faire subir ! Je pense à quel point elle doit être terrifiée d'être enfermée dans ce cachot ! Je pense à elle qui doit supplier et prier pour qu'on vienne la délivrer ! Je ne fais que ça, Caspian ! Je ne fais que penser à elle à un tel point que je ne peux penser à autre chose ! Alors ne viens pas me dire que je ne pense pas à elle !
-Si c'était le cas, tu saurais qu'elle préférerait rester là où elle est plutôt que de te voir mourir pour elle ! Tu n'étais pas là ces derniers mois. Elle faisait bonne figure devant tout le monde, mais au fond, elle était détruite ! C'était une loque humaine ! Tu n'as pas l'air de te rendre compte que te perdre définitivement va littéralement la tuer ! Elle ne pourra pas s'en remettre cette fois !
-Donc tu proposes quoi ? Qu'on retourne à Cair Paravel et qu'on attende que Jadis nous la rende de son plein gré parce qu'elle sera subitement devenue une bonne personne ? Je ne laisserai pas Jadis faire de mal à la seule femme que j'aime, Caspian !
-Tu es tellement têtu, c'est pas possible ! Je ne suis pas en train de dire qu'il ne faut rien faire, je dis juste qu'il faut agir intelligemment !
Edmund croisa les bras sur son torse et recula d'un pas. Il fit un signe de la tête à Caspian pour qu'il continue de parler. Il n'avait pas changé d'avis, mais il s'était dit que s'il voulait se dépêcher, il était dans son intérêt de laisser Caspian parler et le laisser croire qu'il était d'accord avec lui.
-La Sorcière Blanche doit s'attendre à ce qu'on fonce la tête baissée dans son piège ! Tu me l'as dit toi-même, elle ne réfléchit pas, alors c'est à nous de le faire. On doit être plus malin qu'elle, Edmund ! C'est le seul moyen pour qu'on réussisse. Alors, fais-moi confiance.
Edmund hocha la tête, il ne l’admettrait pas totalement, mais Caspian avait presque réussi à le convaincre de changer d’avis. Presque. Il suivrait le plan de Caspian, mais s’il voyait qu’il avait une opportunité, il la saisirait.
Edmund remonta sur son cheval, Caspian aussi. Ils reprirent ensuite leur route.
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singeratlarge · 1 year
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HAPPY BIRTHDAY to pedal steel guitarist Joe Alterio, composer John Antes, Dave Appell, Roscoe Arbuckle, J.S. Bach’s BRANDENBURG CONCERTOS (1721), Joseph Barbera, the 1980 Beatles RARITIES LP, Beethoven’s MISSA SOLEMNIS (1824), Laura Flynn Boyle, Sharon Corr, Don Covay, Fanny Crosby “Queen of Gospel Songwriters,” Klaus Dinger (Kraftwerk), Lawrence Ferlinghetti, Gorgeous George, the 1988 musical GOSPEL AT COLONUS, civil rights activist Dorothy Height, Connie Hines (Mr. Ed), Patterson Hood (Drive By Truckers), Harry Houdini, Yanks Janis, Carol Kaye, Mike Kellie (Spooky Tooth), Krisdayanti, Kelly LeBrock, Pacemaster Mase (De La Soul), Steve McQueen (got that song waiting for you), Malcolm Muggeridge, Nivea, Lee Oskar, Paradox Thought, Joseph Priestley, cellist Hank Roberts, Klavdiya Shulzhenko, Billy Stewart, Dorothy Stratton, Sylvester the Cat, Dougie Thompson (Supertramp), Fred Vail, Boogie Bill Webb, Tommy Wilson, and the great singer-songwriter, producer, and entertainer Nick Lowe. If you collected all the recordings he’s produced, played on, and/or wrote songs for (plus the cover versions), you’d have an amazing, well-rounded record library par excellente. He’s intersected with Johnny Cash, Elvis Costello, Dave Edmunds, and a galaxy of other notables. Seeing him with Rockpile (twice) left an indelible impression on me in terms of stage presence and entertainment value. When his PURE POP FOR NOW PEOPLE LP came out, it became required listening in my social circle. I read that Nick never does live performances of his song “I Love the Sound of Breaking Glass” (allegedly a comeback to a Blondie song). So here’s my take of it, live at the Cellblock (opening for The Badlees). Meanwhile, HB Nick!
#nicklowe #breakingglass #johnnyjblair #singeratlarge #thebadlees #cellblock #williamsportPA #concert #soloacoustic #blondie #elviscostello #johnnycash #daveedmunds #rockpile
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radiomaxmusic · 2 months
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Saturday, February 17, 2024 9pm ET: That Thing with Rich Appel
Chicago – Old DaysByrds – Turn! Turn! Turn!Johnnie Taylor – Disco LadyDire Straits – Money For NothingJames Taylor – Handy ManDave Edmunds – Girls TalkDoors – People Are StrangeWilliam DeVaughn – Be Thankful For What You’ve GotMonkees – Pleasant Valley SundayMott the Hoople – All The Young DudesTavares – WhodunitChuck Berry – Sweet Little SixteenAl Jarreau – MoonlightingJanis Joplin – Mercedes…
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writer59january13 · 3 months
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Pleasant spring like day February 9th, 2024
A scent (and sixth sense predominates), when apple boughs and other aromatic flora laden with blossoms and fruit
gently assail cilia of the nostrils, aside from aiding distinguishing pleasant or unpleasant smells additionally incorporate complex structures of the paranasal sinus mucosa in which function critical linkedin to respiratory defense. Cilia beat in a coordinated manner
to clear the paranasal sinus cavities
and upper airway of the mucus blanket
that contains the pathogens and debris
continually inspired in normal respiration.
Avast extent of following poem crafted a couple plus years ago, when foretaste of temperate weather covered swath of eastern seaboard.
Courtesy climate change (think global warming),
I would forever wish to exchange
unseasonably warm temperature
(10 plus degrees Celsius
in Schwenksville, Pennsylvania today) for brutally cold subzero windchill factor,
no matter unseasonably warm degrees way out of expected range,
of established “normal” far to balmy, undoubtedly for the likes of old man winter furious his blizzard snowbound
weather forecasts shortchanged.
Once thermometer readings rise even smidgen one moost not minimize
Earth way out of balance,
an inconvenient truth I haint gonna catastrophize
as bajillion acres plus one after another ocean dries
even the skeptic cannot turn third eye blind and believe contrary lies,
when every species practically extinct
and self proclaimed éminence grise doth trumpet and stubbornly tries
to claim plethora unearthed resources
as sudden goldmine against wages of sin former traitor joe
(biden his time) redeemers actualize to catalyze nth industrial revolution
teaching as heresy ecocentric, which material basket
of deplorables power mongers bowdlerize
concurrence toward meteorological trend most all people agree toward adapting, experiencing,
and witnessing increase - fair in height degree
bestowed upon Thomas Newcomen, Richard Arkwright, Samuel Crompton, Edmund Cartwright and James Watt first Industrial
Revolution conferred as honoree
appellation not necessarily
in retrospect donned as noble pedigree,
now hundred of years later downside we see
of belching, coughing, disorging... yes siree
foul, (née deadly) cancerous, gaseous, malodorous,
noxious, poisonous... pollutants.
Decreased dissension grudgingly did abate and one doubting Thomas less nasty toward the braying donkeys in general, when Democratic contender clinched the electorate majoritty
unclouded protests muted trumpeting base aggressivity, depravity, and incendiary proclivity for hunted prey (slapped
with felony charges that H_ lied on a federal form when he claimed being drug-free at the time unnamed person purchased a Colt Cobra 38SPL revolver in October 2018) hastening Grand Poobah to abdicate
irrefutable proof generates contentious voices to accumulate
additionally disappointment
resolving global warming
activists linkedin over Green Party blessedly to administrate
hoop fully figurative tide will turn and aerate
political atmosphere whereby progressive minds will affiliate
otherwise business as usual, cuz spewing deadly particulate will only aggravate
dire straits, where
webbed wide world series of unfortunate events will airdate
prophetic apocalyptic fate
especially if nonprogressive stodgy former el presidente number Cuarenta y cinco commander in chief re-elected flush with bigotry and hate
increased chance (chants) ripe state
for revolution avast swath of population to amalgamate,
and overthrow anachronistic government
absolute zero survival unless dramatic
nondestructive strategy eschewed
to supplant exploitation and mandate
radical transformation, which dramatic shift off grid if lucky requisite Earth friendly manufacturing can possibly ameliorate.
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stephanedugast · 11 months
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📌[ÉCHO] Il y a 70 ans et 1 jour, tout en haut, tout là-haut. L’EXPÉDITION ROYALE. 
‘‘Well, we’ve knocked the bastard off!*”
Ce sont les mots d’Edmund Hillary quand il débarque, avec son compagnon de cordée Tenzing Norgay, sur le sommet le plus haut du monde. L’Everest et ses 8 848 mètres sont enfin vaincus.
Nous sommes le 29 mai 1953, il est 11 h 30, deux hommes pénètrent sur une terre jamais foulée, le « sommet des dieux » comme aiment à le dire les poètes des cimes. L’un est néo-zélandais. Il a trente-quatre ans, il est apiculteur de profession et grand marcheur. L’autre est indien et sherpa, agile et sportif lui aussi. Il a trente-neuf ans, et a déjà participé à des expéditions anglaises et suisses. Là-haut, les deux alpinistes ne resteront que quinze minutes. Hillary prend une photo de son compagnon qui déplie à sa demande les drapeaux de l’Inde, du Népal et du Royaume-Uni qu’il avait soigneusement enroulés sur son piolet avant de les agiter au-dessus de sa tête. Une scène cocasse qui amusera son photographe : «  Il est dramatique ainsi, revêtu de son volumineux équipement, ses drapeaux claquant furieusement dans le vent. Si elle est techniquement réussie, j’ai le sentiment que l’image sera excellente. Je ne prends pas le temps de demander à Tenzing de me photographier. Pour autant que je sache, il n’a jamais fait de photo et le sommet de l’Everest n’est pas l’emplacement rêvé pour une première leçon. » Leur exploit est le fruit d’une entreprise colossale qui a fait appel à 14 alpinistes, 22 Sherpas et 362 porteurs afin d’acheminer depuis Katmandou dix tonnes d’équipement et de provisions au camp de base puis dans les neuf camps installés jusqu’au sommet. ‘‘The Crowning Glory, Everest is Climbed***”, titre le quotidien News Chronicle du 2 juin 1953. L’article est dithyrambique : « Excellentes nouvelles pour la Reine. Hillary l’a fait. Nouvelles glorieuses le jour du couronnement ! L’Everest – l’Everest invincible – a été conquis. Et conquis par des hommes de sang et de race britannique. » Il faut dire que cette expédition victorieuse coïncide avec le couronnement de la reine d’Angleterre, Élisabeth II, donnant d’emblée à cet exploit une portée symbolique. Le télégramme signifiant le succès de l’expédition britannique est, en effet, parvenu à Londres le 1er juin 1953, juste avant que ne démarrent les festivités royales. Cette expédition alpine était la neuvième tentative britannique, et la première qui réussissait officiellement, balayant ainsi 32 années d’échecs. « L’Everest c’était bien, mais ce n’était pas le plus important », déclarera pour sa part Edmund Hillary qui mettra ensuite sa notoriété au service des populations locales, valorisant ainsi les Sherpas. Anobli, sir Edmund Hillary multipliera les expéditions d’exception, devenant le seul homme à avoir conquis le pôle Sud (en 1958), le pôle Nord (en 1985) et l’Everest (en 1953). La marque d’un grand, assurément. Stéphane Dugast
Extrait du livre « Une histoire de l’exploration ★ Neiges et des glaces » paru aux éditions Glénat. Actuellement disponible en librairie
Pour le commander 👉 https://urlz.fr/kyT5
* : « Eh bien, nous avons assommé ce bâtard ! » ** : « Le couronnement de la gloire, l’Everest est gravi. »
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christophe76460 · 1 year
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Sa Parole Pour Aujourd'hui du Samedi 20 Mai 2023
Apprendre à marcher sur l’eau (2)
“Seigneur, sauve-moi ! Aussitôt, Jésus étendit la main, le saisit… Ils montèrent tous les deux dans la barque et le vent tomba.“ Mt 14. 30-32
Nous sommes tellement habitués à notre confort que nous trouvons difficile de quitter notre barque lorsque les tempêtes de l’existence éclatent autour de nous. Nous choisissons de courber l’échine au lieu de faire face au danger. Pourtant nous ne découvrirons rien de nouveau si nous cédons à notre peur. Par contre, en la conquérant une fois, puis deux, nous en arrivons éventuellement à la dominer, chaque fois que s’approchent les difficultés.
Notez que Pierre n’a pas attendu plus longtemps que le premier appel de Jésus : “Viens !” Attendre trop longtemps aurait fait disparaître l’opportunité de faire comme Jésus : marcher sur l’eau.
Tout se passe très vite quand vous obéissez à la voix divine. Même votre cri d’angoisse sera entendu sur le champ : dès que Pierre crie à Jésus “Sauve-moi !”, Jésus aussitôt étend la main. Ne craignez pas d’être abandonné. Il est prêt à intervenir dès que votre foi vacille un tant soit peu. L’échec n’est jamais définitif. Winston Churchill aimait affirmer : “Je n’ai jamais échoué à quoi que ce soit dans ma vie. J’ai simplement obtenu très souvent une occasion supplémentaire de m’améliorer !”
On raconte que Sir Edmund Hillary, après de multiples échecs à conquérir l’Everest, brandit un jour son poing dans la direction de la montagne et s’écria “Je te vaincrai un jour. Tu ne grandiras jamais plus haut, mais moi je suis toujours en train de grandir !”
C’est l’attitude que tout croyant devrait adopter ! Que dire des autres disciples : ils demeurèrent tranquilles dans leur barque et ne connurent jamais la sensation de Pierre marchant sur l’eau. Remarquez que le vent ne tomba que quand Jésus et Pierre montèrent dans la barque, comme si Jésus avait associé son courageux disciple au miracle du contrôle du vent !
Vous ne marcherez probablement jamais sur l’eau, mais vous connaîtrez vous aussi des moments d’intimité avec Jésus si vous Le suivez sur des chemins risqués qui déboucheront peut-être sur des miracles que les autres ne connaîtront pas. Alors, apprenez à marcher sur l’eau !
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tunglo · 1 year
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Reynolds Newspaper, Feb 2nd 1868. Report on an anti-ritualist lecture in London, featuring Brothers Stanislaus, Edmund and Osmund...
Mr. J. B. Hughes, who was habited in monk's attire, with crucifix and knotted rope ("for the purpose of illustration") said he was "Brother Stanislaus" in the Church of Rome, and retained that appellation when he was admitted to the monastery of Norwich. A new order, "the Order of St. William of Norwich," was founded when he entered, and he was made superior or provost. He was recommended to it, on desiring to leave the Church of Rome, by the Rev. Archer Gurney, of Paris, and went there believing it to be a Church of England institution, but he soon found that it was more Popish than the system he had left. 
Part of his duty was to confess the boys, and that he did strictly according to the Romish system, knowing no other. In the confessional he had been compelled to put questions which would horrify the meeting if he dared to repeat them, and he had no hesitation in saying that the records of the Reformation never laid bare greater enormides than those which were practised amongst the men in the Norwich Monastery - men they were not, but fiends in human shape. 
George Mills, a youth of seventeen, was called forward, and answered questions put to him by the chairman. He said he was formerly an inmate of the Benedictine Monastery at Norwich, and was known as "Brother Edmund," of "the Order of St. William." The members of the order were certainly not the most virtuous, pious, or elevated persons in the world. He underwent penance on various occasions. He had to lie prostrate three or four hours with his arms and legs extended, and to lick the dust off the floor in the form of a cross.
A gentleman in the room said: Are you prepared to state what that was for?
Mills said that would be going too far. How he got into the monastery was in this way: He attended the chapel services as other lads did, and Ignatius, having noticed him, asked him if he would blow the bellows. Afterwards Ignatius and the Rev. Gideon Ouseley got him up stairs, and persuaded him to enter the monastery, much against the wish of his mother (his father being dead). 
His mother, after the lapse of some time, managed to get him out. Ignatius was away at the time, and the brother who had charge of the monastery during his absence was in bed drunk. The inmates had great difficulty in communicating with their parents and others. They could only see them through a sort of cage, and in the presence of some official of the monastery.
The Chairman: Was there a course of proceeding there too disgraceful to tell a public assembly, and too horrible to contemplate?
Mills: Yes, there was.
John Meadows, a youth of about the same age, was then called, and said he was known in the monastery as "Brother Stanislaus," a name given to him before Mr. Hughes entered. He could endorse what Mills had stated. Father Ignatius behaved with extreme cruelty to him.
The Chairman: Were things done in the monastery which were disgraceful and unfit to talk about?
Meadows: Yes, and unfit to be thought about.
George Nobbs said he went to the monastery when he was thirteen years of age, and was called "Brother Osmund." He had held a situation at a wine merchants, but went so often to the monastery and to St. Lawrence Church that his master discharged him. Ignatius told him to follow him, and he would be like Peter and the other apostles. 
He agreed with Mills and Meadows that most demoralizing proceedings took place in the monastery. He was one shut up in a room in solitary confinement for five days, and once had all his hair out off because Ignatius thought he was proud of himself. Ignatius said it did not become "Williamites" to be vain.
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mediathequecarcosa · 1 year
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Introduction à la Phénoménologie
Dans cette petite présentation, je tenterai de vous présenter succinctement l’œuvre d’Edmund Husserl, instigateur du domaine de recherches philosophiques que l’on nomme Phénoménologie. 
Pour commencer, Edmund Husserl est un philosophe spécialiste des questions de logique, né en avril 1859 et mort juste avant la Seconde Guerre mondiale, en avril 1938. Il était, au départ, versé dans des études scientifiques, étudiant l’astronomie, la physique et les mathématiques, disciplines qui l'ont amené à s’intéresser à la logique. Sa principale inspiration est le philosophe et psychologue Franz Brentano, connu pour la fondation de son concept d’Intentionnalité, qu’Husserl reprit plus tard dans sa phénoménologie.
La question originelle qui anime toute la phénoménologie est une question de relation entre la conscience et le monde, une question héritée de Descartes que l’on pourrait formuler ainsi : comment se fait-il que nous puissions, en général, être certains ? Où se trouve le fondement de notre certitude et comment être certain de quelque chose ? Cette question, qui au fond est celle de la connaissance, est passée en philosophie par toutes les mains, nombre d’éminents philosophes s’y sont essayé sans pour autant trouver de réponse convenable aux yeux de tous.
Un philosophe en particulier a formé son travail autour de cette question de la Connaissance : Emmanuel Kant. Pour Kant, notre connaissance et en particulier notre certitude provient d’un avant, d’une pré-connaissance que nous avons tous en nous, une intuition des objets et des choses qui fait office de base à des recherches empiriques, c’est-à-dire des recherches basées sur l’expérience. Une intuition a priori cachée au fond de notre conscience intérieure et qui est le point d’origine de nos certitudes. Husserl aussi était à la recherche d’un originel, des fondements, et remettra en question l’approche kantienne de la certitude, refusant que nos états psychiques soient le fondement d’une connaissance. Husserl pense les différents états se succédant dans notre esprit comme des objets, objets auxquels nous sommes soumis, mais objet et non origine.
En refusant cela, Husserl refuse aussi les thèses immatérialistes comme celles de Berkeley. Mais en se plaçant à l’encontre des thèses kantienne et d’une possible connaissance a priori, il refuse aussi le Cogito cartésien. Pour ce cher Descartes, ce qui rapproche l’Homme de Dieu, c’est le fait qu’il pense, et ce fait-là induit que l’Homme existe, puisqu’il pense. La pensée, et en particulier la conscience est, pour le philosophe du déterminisme, une substance, avant le fait de penser ou de réfléchir, il y a une substance qui pense. C’est sur ce point précis qu’Husserl révise Descartes. En effet dans la pensée phénoménologique, une conscience est avant tout conscience de quelque chose. L’on pense, oui, mais l’on pense à quelque chose, autour de quelque chose, pour quelque chose ; la conscience est un principe de relation à un contenu, elle est toujours dirigée vers un objet et ne se soutient pas toute seule, comme la gravité porterait la Terre : ce principe-là, c’est ce que Brentano appelle l’Intentionnalité, et c’est ce qui fonde toute la phénoménologie husserlienne. Si la conscience est intention et non plus substance, il n’y a plus aucun intérêt à essayer de fonder, de créer une conscience ou du moins d’en percer son apparent mystère, et il est temps de se mettre à décrire l’objet de cette conscience. La conscience donne du sens, mais a besoin d’un objet auquel donner un sens.
Très bien, la conscience est toujours "conscience de quelque chose", mais rien ne change le fait que tout passe par elle. Tout ce qui nous est donné passe par la conscience et ce qui intéressera Husserl, c’est donc la manière dont les choses nous sont données. Les objets apparaissent à la conscience, qui les prend comme fondement de sa réalisation, et des objets qui apparaissent, nous appellerons cela des Phénomènes (grec φαινόμενον, phainómenon, "apparence"). La phénoménologie, c’est l’étude des phénomènes.
Pour étudier la conscience, Husserl se penchera donc en détail sur les objets de celle-ci, les phénomènes, afin de découvrir une conscience immédiate, originelle. Il s’efforce de s’en tenir à l’expérience instantanée. Husserl ne construit rien, il décrit. La phénoménologie ne décrira pas cette lampe ou cette table, mais essaiera de décrire comment cette table ou cette lampe entre dans mon expérience, comment ces phénomènes apparaissent à ma conscience. Ce qui importe, c’est l’objet visé par ma conscience. Dans L’étonnement philosophique, Jeanne Hersch prend l’exemple d’une feuille de papier pour expliquer le sujet de recherche de la discipline :
Une feuille de papier a deux faces, un recto et un verso. Le recto de cette feuille de papier, c’est le phénomène d’une expérience, donc une lampe. Sur le verso, c’est ce qui se passe dans ma conscience, mes souvenirs de lampes, mon imagination ou encore des réflexions sur les lampes. La philosophie a toujours séparé ces deux choses, l’expérience et la psyché, l’âme et le corps, le ciel et la terre… La phénoménologie s’intéresse elle à ce qui se passe à l’intérieur de cette feuille, à la relation entre la lampe et ce que je pense de cette lampe, ce qui m’est donné du phénomène.
Pour accéder à ce “donné” du phénomène, à la relation entre la conscience et le monde comme Husserl l’entend, la principale arme dont s’est dotée la phénoménologie est la Réduction. La réduction phénoménologique est une expérience de pensée qui consiste en la "mise entre parenthèses" du monde, de ce que l’on sait des choses et des objets, en une invisibilisation de notre rapport quotidien et pratique aux choses. En mettant entre parenthèses notre vécu personnel, une nouvelle vision de l’objet apparaîtra, une vision qui fera primer l’apparence des phénomènes. Pour faire court, la réduction met entre parenthèses la thèse de la réalité du monde, la cohérence de l’objet de sa pensée, et ses effets réels. Sans ses conséquences, sans son utilité et dépourvu de son sens, le phénomène n’est qu’apparence de lui-même, il n’est que la Perception que l’on se fait. C’est ce qu’Husserl soutiendra :
L’être des phénomènes, ce sont leurs apparaîtres, et rien d’autre. Pas de substance, que de l’apparition.
Dans ce petit texte, j’ai essayé de rendre compte des fondements du si vaste et si intrigant domaine qu’est la phénoménologie, en passant rapidement sur ses principaux thèmes, comme l’Intentionnalité ou la Réduction, mais je n’ai bien sûr pas pu être exhaustif ni précis.
Vincent Hatem, ��27/11/2022, 22:33.
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entomoblog · 2 months
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Nettie Stevens, inventrice de la théorie sur les chromosomes sexuels
See on Scoop.it - EntomoScience
Cinquième et dernière épisode de la saison pour cette nouvelle chronique "Not Just The Wife", [Pas seulement “femme de”] sur Podcast Science
  Nettie Stevens et Mary Lyon - Strange Stuff And Funky Things
Par taupo, lundi 25 mai 2020
  "Nettie Stevens, née dans le Vermont en 1861, avait une véritable passion pour la biologie.  Sa carrière de chercheuse a cependant mis un certain temps avant de démarrer en raison des difficultés que rencontraient les femmes pour étudier les sciences à la fin du XIXe siècle. Avant d’obtenir un doctorat, elle a dû longuement économiser sur ses revenus d'enseignante.
Enfin, à l'âge de 39 ans, la recherche devient son activité principale et elle choisit de s’intéresser à un nouveau domaine scientifique qui la fascine : la génétique et les chromosomes, dont on découvrait tout juste l’existence. En 1905, elle fait elle-même une importante découverte d’après ses études portant sur les ovules et le sperme des coléoptères. Elle fait l’observation suivante : alors que la plupart des paires de chromosomes sont identiques, l’une d’entre elles n’est pas assortie et contient deux chromosomes de tailles différentes. Elle appelle le plus grand des deux le chromosome X, et le plus petit le chromosome Y.
Elle remarque par ailleurs que les spermatozoïdes peuvent contenir soit un chromosome X soit un chromosome Y, tandis que les ovules ne possèdent que des X. Face au même constat chez les mouches drosophiles, Nettie conclut que la distinction mâle/femelle dépend de la combinaison de ces chromosomes inhabituels - XY pour les mâles et XX pour les femelles. Elle comprend que le sexe de la progéniture résulte du spermatozoïde impliqué lors de la fécondation, puisque c’est son contenu chromosomique est variable et fournit un chromosome X ou Y.
Il s’avère que pendant longtemps, cette découverte a été attribuée à Edmund Wilson, qui avait fait des observations similaires à peu près à la même époque, mais dont les conclusions étaient légèrement erronées. Comme il travaillait sur une espèce d'insecte chez laquelle le chromosome sexuel mâle est absent, il accordait un rôle prédominant à l'environnement dans la détermination génétique du sexe, contrairement à la théorie de Nettie qui estimait que cela dépendait des chromosomes. Ayant publié son article avant Nettie, morte peu de temps après d’un cancer du sein, c’est lui qui obtient une grande partie de la gloire liée à cette découverte majeure.
Mais c’est bien la théorie de Nettie sur les chromosomes sexuels qui s'est avérée valable pour un grand nombre d'espèces, quand bien même celles-ci ne possèdent pas toutes la même version du système X et Y. (...)"
  [Image] via 3e partie A - Théorie chromosomique de l’hérédité Nettie Stevens (1905) : Tenebrio H. Henking - Studocu https://www.studocu.com/fr/document/universite-de-picardie-jules-verne/analyse-des-donnees/3eme-partie-a/44735317
(capture d'écran)
Bernadette Cassel's insight:
  Précédemment :
  Nettie Stevens et Mary Lyon, deux généticiennes d'exception - De ssaft.com - 4 août 2020, 19:28
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themalhambird · 6 years
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York storms in to his brother’s room without bothering to knock, and slams the door behind him. “You’re a fool!” he snaps; Thomas looks up from his desk and narrows his eyes.
“Don’t speak to me like that.”
“I’ll speak to you however I damn well please!” York retorts, temper flaring and fists curling. “You might think this swaggering about of yours makes you important- it doesn’t. You’re still the little shit who used to run crying to mother any time Ned, Lionel, John or I wouldn’t let you play, or if we did let you play and didn’t let you win- do you have any understanding of what you’ve done today?”
“We’ve removed a vile and corrupting influence on the country,” Thomas said coolly, “Burley was a blight. He taught our dear nephew to be spoilt and arrogant and-”
“Richard loved him like a father.” York snaps, and Thomas falls abruptly silent. York almost laughs. “You didn’t know,” he realizes. “You didn't see it. Because you’ve forgotten, haven’t you: the King is a still a very young man, and young men rely on advice from their fathers, and from their friends, it takes them a while to learn to look elsewhere for guidance. You’re a damned fool,” he repeats. “You should have listened when I told you to leave Burley be, it wouldn’t have hurt to allow Richard one friend in all of this-”
Thomas exhales. “He’ll get over it,” he says, “He’ll see we were right, in time. We are not his enemies, if he would only do as we say-”perhaps I should go and see him-”
“You’re not listening to me,” York says. “The boy’s just lost his father. The last thing he needs is some officious lecture from the man who killed him. And anyway, he’s sleeping.”
“How do you know?”
“Because I put him to bed. After he’d made himself sick with weeping and then cried even harder when he realised that on top of anything else he couldn’t even offer to replace my shoes because he doesn’t have access to any money”
“...shoes?”
“As I say,” York says, “He was sick.”
Thomas wrinkled his nose. “But this is exactly the problem, don’t you see? Over-emotional, volatile-”
“Exhausted, broken hearted, and now thoroughly orphaned. He’s never going to forgive you for this. However well meaning your intentions-” though much as York wanted to think otherwise, this was Thomas grabbing at power for power’s sake rather than anyone else’s, even if his brother didn’t quite realise that himself- “he’s never going to forgive you for any of this. “ he exhaled, shaking his head. “None of you, ever. I hope to god you’re ready to deal with the fallout Thomas. For all our sakes.”
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shredsandpatches · 2 years
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wip wednesday (who ends up king potato edition)
I’ve been working all weekend on the big confrontation with the Lords Appellant in the Tower of London, so here’s a little more of that scene. I am, more or less, going with the narrative that Richard was, in fact, temporarily deposed (in the sense, at least, of not being acknowledged as still king) for a few days, but then reinstated fairly quickly for reasons that Richard himself calls out in the passage below. He’s putting up a pretty good fight, all things considered.
(The way the scene plays out, I think the appellants’ end may be more to let Richard panic himself into compliance than to actually formally depose him—not that they’re opposed in principle, but they do recognize that they probably can’t actually get away with it, not while John of Gaunt is ahead of all of them in the line of succession. The Bad Pregnancy Timing AU—which I am still working on—is of course founded on the idea that having an heir apparent at this precise moment would be even more dangerous.) 
In Richard’s speech near the end of the passage I think I’ve come over a bit Richard of Bordeaux, but from one of the parts of Richard of Bordeaux I actually like (that doesn’t involve getting Anne’s characterization ALL WRONG).
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“You do have an heir, anyway,” Thomas says, “and one who is of age to sit on the throne—and who will govern the realm and follow the advice of his lords.”
Another threat, and one that may not be sitting well with all of the appellants— even Warwick looks uncomfortable, though he isn’t speaking up either: he is more polite than the others, but Richard doubts he is a genuinely mediating influence. Henry is openly stewing; he appears to be biting his tongue rather than objecting in Richard’s presence. Thomas, of course, is well behind even Henry in the line of succession. Neither he nor Mowbray have had much to say yet, having seemingly chosen to follow the lead of their senior colleagues. If Richard could speak to the two of them alone, perhaps he could drive them apart.
If he can speak to them alone. If he survives this meeting.
“I have an heir who is of age?” Richard says. “This is news to me, my lords. Roger Mortimer is a boy of thirteen, and I doubt the five of you have gone to all of this effort, and risked your own necks, to put John of Gaunt on the throne. Do you really think he’d rule according to your counsel? Especially you, Thomas—I know perfectly well you have been at odds with him for the past ten years. Or did you mean to make yourself king? I’m sure our cousin of Derby might object. And your brother the Duke of York, and his sons. Have you forgotten he’s here, in the Tower? Should we go downstairs and ask him?”
Thomas snorts. “Edmund would get used to it,” he says. “Anyway, he’d rather cut off his own foot than be king.”
“If you were fighting on the Duke of Lancaster’s behalf,” Richard says, “you would hardly have waited until he was out of the country.” He turns to Henry. “You, cousin—do you mean to make yourself king? What do you think your father will do, when he gets back?”
Henry’s face pales—Richard’s blow has struck home. Nothing frightens Henry more than his own father. In which case, he should have refrained from committing treason while Gaunt was away. Even Thomas, whom Richard knows is almost as big a thorn in his elder brother’s side as he is in Richard’s, looks uncomfortable for a moment.
“Every man you have named,” Thomas says, “is better suited to sit on the throne than you have shown yourself to be—England should be ruled by men, not by a spoiled brat who raises his low-born friends to the highest offices, and schemes to sell his patrimony to his greatest enemy, and is not even the son of a king.”
“All right!” Richard cries. “I admit it! If you’re going to charge me with inheriting my father’s position, if it’s supposed to be my fault that my father and grandfather died while I was still a child, I acknowledge everything, I cast myself upon your mercy! I am guilty of having been a child king, I confess it, I humbly await your sentence.” He presses a hand to his eyes, runs it down his face. “Christ, you talk like I’d killed them both.”
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singeratlarge · 2 years
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HAPPY BIRTHDAY to pedal steel guitarist Joe Alterio, composer John Antes, Dave Appell, Roscoe Arbuckle, J.S. Bach’s BRANDENBURG CONCERTOS (1721), Joseph Barbera, the 1980 Beatles RARITIES LP, Beethoven’s MISSA SOLEMNIS (1824), Laura Flynn Boyle, Sharon Corr, Don Covay, Fanny Crosby “Queen of Gospel Songwriters,” Klaus Dinger (Kraftwerk), Lawrence Ferlinghetti, Gorgeous George, the 1988 musical GOSPEL AT COLONUS, civil rights activist Dorothy Height, Connie Hines (Mr. Ed), Patterson Hood (Drive By Truckers), Harry Houdini, Yanks Janis, Carol Kaye, Mike Kellie (Spooky Tooth), Krisdayanti, Kelly LeBrock, Pacemaster Mase (De La Soul), Steve McQueen (got that song waiting for you), Malcolm Muggeridge, Nivea, Lee Oskar, Paradox Thought, Joseph Priestley, cellist Hank Roberts, Klavdiya Shulzhenko, Billy Stewart, Dorothy Stratton, Sylvester the Cat, Dougie Thompson (Supertramp), Fred Vail, Boogie Bill Webb, Tommy Wilson, and the great singer-songwriter, producer, and entertainer Nick Lowe. If you collected all the recordings he’s produced, played on, and/or wrote songs for (plus the cover versions), you’d have an amazing, well-rounded record library par excellente. He’s intersected with Johnny Cash, Elvis Costello, Dave Edmunds, and a galaxy of other notables. Seeing him with Rockpile (twice) left an indelible impression on me in terms of stage presence and entertainment value. When his PURE POP FOR NOW PEOPLE LP came out, it became required listening in my social circle. I read that Nick never does live performances of his song “I Love the Sound of Breaking Glass” (allegedly a comeback to a Blondie song). So here’s my take of it, live at the Cellblock (opening for The Badlees). Meanwhile, HB Nick!
https://johnnyjblairsingeratlarge.bandcamp.com/track/i-love-the-sound-of-breaking-glass-live-7-4-03
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