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#Bord Cadre Films
jontheblogcentric · 4 months
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VIFF 2023 Review: Do Not Expect Too Much From The End Of The World (Nu astepta prea mult de la sfârsitul lumii)
Ilinca Manolache stars as Angela: a Romanian business executive who represents capitalism in Romania well in all its strengths and flaws in Do Not Expect Too Much From The End Of The World. My VIFF experience for 2023 ended with the Romanian film Do Not Expect Too Much From The End Of The World. It was a good choice to end the film festival with, but not a really great choice. It has a point to…
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badgaymovies · 2 years
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Triangle Of Sadness (2022)
Triangle Of Sadness by #RubenOstlund starring #HarrisDickinson, #CharlbiDean and #WoodyHarrelson, "social morality isn’t just a lie in Östlund’s imagination, it’s a very funny joke", Now reviewed on MyOldAddiction.com
RUBEN OSTLUND Bil’s rating (out of 5): BBBB Sweden/France/United Kingdom/Germany/Turkey/Greece, 2022. Imperative Entertainment, Film i Vast, BBC Films, 30West, Plattform Produktion, Essential Filmproduktion GmbH, Coproduction Office, Sveriges Television, ZDF/Arte, Arte France Cinema, TRT, Svenska Filminstitutet, Eurimages, Medienboard Berlin-Brandenburg, Det Danske Filminstitut, MOIN – Film Fund…
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coolvieilledentelle · 3 months
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Train bleu ... Orient Express
Se prendre pour Hercule Poirot, c'est possible, mais cela coûte cher. La société Orient Express propose à quelques privilégiés de voyager dans un wagon qui a servi de décor au Crime de l'Orient Express, film adapté du roman d'Agatha Christie. 38 passagers quittent tous les soirs la gare Saint-Jean à bord de deux wagons pour un repas gastronomique, proposé au prix de 530 euros. Au menu, des plats imaginés par le chef étoilé Yannick Alléno et des desserts du pâtissier Yann Couvreur. Mais c'est surtout l'occasion d'apprécier le cadre du repas, avec deux wagons datant des années 1920. Si le wagon-restaurant a réellement fait partie de l'Orient Express, le second a appartenu au Train bleu, qui reliait Paris à Vintimille.
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La chaise Inception est un meuble unique conçu par Vivian Chiu, diplômée de la Rhode Island School of Design. Il a été créé dans le cadre d’un court projet expérimental et construit en seulement quatre semaines. La chaise se compose de dix cadres de chaise individuels en bois de frêne, allant de la taille adulte standard à une taille humoristiquement petite. Chaque cadre comporte des rainures découpées à la main sur les bords intérieurs du cadre du siège et des chevilles à l'arrière, leur permettant de s'insérer dans la rainure du cadre d'une taille plus grande. Cette conception permet aux cadres de chaise d'être démontés et réassemblés, fonctionnant comme une seule chaise une fois assemblés. Outre son aspect fonctionnel, une fois démonté, il peut également être considéré comme une œuvre de sculpture. Le nom « Inception Chair » a été choisi plutôt que « Matryoshka Chair » pour refléter le concept d'une chaise dans une chaise, rappelant les poupées russes imbriquées. Le nom fait également un parallèle avec le film « Inception », où les choses ne sont pas toujours ce qu’elles paraissent à première vue.
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alain-keler · 2 years
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Journal d’un photographe / Après une si longue absence / Journal d’Auvergne
Grande commande photographique - BNF - Bibliothèque nationale de France/ Ministère de la Culture.
Mercredi 13 avril.
Pour ma pension j’ai tout faux. Le patron est très sympa. Lui et sa femme viennent du nord. Comme quoi les premières impressions ne sont pas toujours bonnes. « chez tante Soly » se trouve dans ce qui a été une ancienne pension d’enfants qui a accueilli  et protégé des enfants juifs pendant la guerre. L’histoire de cette petite ville est singulière*.
« En plus de la quarantaine de médailles de « Justes parmi les nations » attribuées individuellement aux habitants, en 1990, le gouvernement israélien avec l’Institut Yad Vashem de Jérusalem honore le Chambon-sur-Lignon et les communes avoisinantes. Il décerne un diplôme d’honneur collectivement « aux habitants du Chambon-sur-Lignon et des communes voisines qui se sont portés à l’aide des Juifs durant l’occupation allemande, et les ont sauvés de la déportation et de la mort »
La journée s’annonce longue avec pas grand chose à faire, en dehors de l’invitation à déjeuner du maire, Mr Jean-Michel Eyraud. Je photographie les lieux de mémoire, mais en cette saison ils sont vides d’humains et aujourd’hui la lumière est grise.
Le lieu de mémoire de la fondation de la Shoah montre des photos et films de réfugiés pendant la seconde guerre mondiale, l’exode comme les ukrainiens qui vont en Pologne.
  Déjeuner avec le maire du Chambon et Mme Denise Vallat, son adjointe et en charge de la culture. Ensuite il me fait faire un tour des hameaux qui constituent Le Chambon et qui sont beaucoup plus beaux que le centre ville. Ces hameaux expliquent comment on a pu cacher de tout temps des réfugiés et des juifs pendant l’occupation allemande. Le maire, protestant, sa femme de confession juive rencontrée à l’université, a eu dans sa famille des justes, dont son grand père. J’ai été très touché par ses explications, sa vision humaniste du monde, émouvante, son regard, son humanité.
   Je ne peux m’empêcher de penser à ma famille. Ils n’ont pas eu la chance de rencontrer des justes comme au Chambon.
 Le soir photo du maire de Sainte Sigolène et du conseil municipal, avec Ludovic A. Ludovic est enseignant à Sainte Sigolène et photographe amateur. Avec un collègue professeur d’arts plastiques, il a créé une association pour mettre en avant le travail de leurs élèves en photographie argentique, sérigraphie et gravure. C’est lui qui m’a parlé de la procession des pénitents blancs  qui se déroulera ce vendredi, saint par son appellation ! Il m’a aussi mis en contact avec le maire. Ce soir je l’ai photographié avec son écharpe tricolore, entouré du conseil municipal. J’essaie de faire cette photo partout où je passe, démocratie locale oblige. Je reste un peu au début de la réunion puis Ludovic m’emmène dans un restaurant et bar à vin à Minestrol, le « Kitch’n » tenu par des femmes. Un verre, deux verres et je m’arrête car mes soirées sont plutôt consacrées à développer mon travail de la journée. J’utilise toujours ce terme, même pour le numérique. Développer = découvrir. Afficher, projeter, révéler, étaler, montrer sont des synonymes.
Hôtel à Monistrol sur Loire. Le Corsy est plutôt un bar restaurant avec quelques chambres. La mienne, numéro zéro donne sur la rue principale. La tenancière me garantit qu’elle sera calme. Après 20.00 heures, dire qu’il n’y a pas grand monde dans la rue est un euphémisme, il n’y a personne dehors, ou presque.
BNF / Au final il y aura un rendu de dix photographies. Beaucoup de photos, que j’appellerais « intermédiaires », non choisies mais importantes dans le cadre de mon histoire paraitront dans ce journal. Elles seront le ciment de ce projet personnel qui dépassera la commande.
Les modestes textes de mon journal de bord essayeront de raconter le déroulé et les raisons de ce travail.
Photo : le maire du Chambon sur Lignon, Mr Mr Jean-Michel Eyraud entouré de membres du conseil municipal.
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agendaculturaldelima · 3 months
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#ProyeccionDeVida
  🎥 Cine al Aire Libre. Perú en Pantalla, presenta:
🎬 “CANCIÓN SIN NOMBRE” [Song without a Name] 👶👩
🔎 Género: Drama / Años 80 / Secuestros / Desapariciones
⌛️ Duración: 97 minutos
✍️ Guión: Melina León y Michael J. White
📷 Fotografía: Inti Briones (B&W)
♪ Música: Pauchi Sasaki
🗯 Argumento: Georgina Condori es una música andina cuya bebé recién nacida desaparece de forma misteriosa. En medio del caos político de la época, Pedro Campos, un joven periodista limeño toma a su cargo la investigación y emprende junto a ella la desesperada búsqueda.
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👥 Reparto: Tommy Párraga (Pedro), Pamela Mendoza Arpi (Georgina), Bruno Odar, Lucio A. Rojas (Leo Quipse), Ruth Armas (Marta) y Maykol Hernández (Isa)
📢 Dirección: Melina León
© Productoras: Bord Cadre Films, La Vida Misma Films, MGC & Torch Films
🌎 Paises: Perú-Suiza-Estados Unidos
📅 Año: 2019
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📽 Proyección:
📆 Jueves 25 de Enero
🕖 7:30pm.
🏡 Centro Cultural Británico (jr. Bellavista 538 – Miraflores)
🚶‍♀️🚶‍♂️ Ingreso libre 
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😺🐶🐱🐭 A tener en cuenta: El lugar cuenta con Espacio Pet Friendly.
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yeong--hwa · 4 months
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La Vénus d'argent - Héléna Klotz
Ange déchu
Dans un vibrant éclat de néons, au cœur des tunnels nocturnes reliant la banlieue à La Défense, Victor Seguin façonne les contours évanescents de La Vénus d'argent, métaphore cinématographique de la célèbre icône rollsienne, la Spirit of Ecstasy. Notre vénus à nous, Jeanne, est incarnée par l'effervescente Claire Pommet. Elle émerge tel un astre errant, chevauchant un modeste scooter, l'allure libre. Comme Takeshi dans le tunnel hong-kongais de Fallen Angels, elle recherche sa liberté, avec une ambition différente : celle de filer vers les hautes sphères du monde financier parisien.
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Très tristement, et comme un obscur clin d'oeil au titre de Kar-wai, ce grandiose départ à l'esthétique splendide, s'échoue dès la quatrième coupe du film. Fallen Angel. Cette fracture qui surgit est symptomatique du film entier : de belles idées qui s'effritent sous des choix narratifs superficiels. Jeanne, qui doit se rendre à un entretien d'embauche, brise dans un geste énigmatique les vitrines d'une bijouterie pour s'approprier un modeste costume, une action incongrue face à l'évidence d'une alternative plus plausible. Cette dissonance, telle une rhapsodie absurde, s'étend au-delà, questionnant la crédibilité de chaque acte qui s'égrène à l'écran. La toile du récit se déchire ainsi davantage chaque fois que le scénario tente maladroitement d'ériger son arc, se révélant dans un manège nauséabond d'incohérences toutes de plus en plus flagrantes.
Cela aurait pu en être tout autrement : le premier geste incompressible de Jeanne aurait presque su s'évaporer lorsqu'on comprend qu'elle vient du monde d'en-dessous, issue d'une modeste famille logée dans une caserne de gendarmes. Les fulgurances électriques de la finance d'un côté, avec ses chiffres interminables, ses hauts-lieux de rencontres et ses dérives de richesse ; les péripéties terre-à-terre de la gendarmerie de l'autre, avec ses immeubles presque désuets, son monde clos, ses difficultés, bref, sa réalité crue. Et Pomme, incarnant un insouciant mais habile personnage, totalement irréel et donc cinématographique à souhait, prêt à en découdre. Tout semblait là réuni pour sculpter une bâtisse authentique et habile.
Mais il a fallu réduire toute l'ambition de cette fondation à néant, en érigeant sans cesse Jeanne au milieu d'événements impossibles, comme cette scène où, fraîchement diplômée de l'ESCP, et tandis que, stagiaire, elle sert du café dans un moyen fond d'investissement, elle façonne subitement un algorithme complexe d'un simple effleurement de doigt. Une symphonie improbable dans l'orchestration des possibles, s'éloignant des rythmes réalistes de la finance. On pourrait défendre que filmer les chiffres n'a jamais été chose simple : beaucoup se sont égarés en chemin. Mais dans Margin Call, une fiction pourtant, le jeune ingénieur financier qu'incarne Zachary Quinto, au parcours brillant, prend presque une nuit entière à reprendre les analyses de son chef pour remettre en cause un modèle financier complexe. Jeanne, La Vénus d'argent, modestement diplômée, trace un algorithme de trading automatisé performant en l'espace de quelques heures.
Bien loin est alors reléguée la promesse initiale, qui s'effiloche à toute vitesse dans les plis d'un scénario fragile, égaré dans les dédales de l'irréalité. C'est d'autant plus triste que l'art cinématographique demeure remarquable de bout en bout : la symétrie des architectures, les faces filmées bord-cadre, et l'opposition flagrante entre artifices grandiose des couleurs du côté du monde de la finance, contre réalisme terne du côté de la caserne de gendarmes, sont tout autant d'atouts perpétués par un montage lui-aussi correct. Pour faire un film, premièrement, une bonne histoire, deuxièmement, une bonne histoire, troisièmement, une bonne histoire. Jamais la citation de Clouzot n'a semble-t-il aussi bien été illustrée.
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Il faut dire que les veines tentatives d'à-côté sont aussi bâclées. Jeanne, trop immaculée dans son aisance, s'égare dans les méandres d'une réalité qu'elle peine à appréhender. Son éclat brille, mais ses failles se révèlent comme autant de constellations voilées, notamment lors de son inconfortable tentative de séduction d'une riche héritière pour lever des fonds, éclairant les fractures de son essence. Elle affirme à son boss être non genrée, comme les chiffres, et condamne dans des péripéties inutiles son ex-compagnon pour l'avoir forcée à l'acte. Plus tard, le film la fait revenir à ses côtés. Par quelle utilité ? À quoi diable sert ce personnage, sinon à donner à Jeanne la possibilité de trouver un nouveau regard, alors que le sien est autrement plus pertinent, plus complexe, et plus subtil ?
L'invraisemblance contamine même jusqu'aux décors mêmes, pourtant somptueux dans leurs états. Les opulents lieux filmés, comme la suite du Shangri-la, ne trouvent pas l'écho justifié dans les nuances évoquées, soulevant des interrogations sur la justesse de la représentation : si le n+1 de Jeanne semble être le grand patron des lieux, la réalité le foudroierait en poisson dans une moyenne marre, et il est peu probable qu'un tel homme puisse se loger en permanence dans une suite à 20 000 euros la nuit. Mais qu'importe, car La Vénus d'argent semble parfois vouloir s'incarner en illusionniste, vendeuse de Longines alors qu'elle pourrait simplement faire comme tout le monde : continuer à passer des entretiens.
C'est ainsi que la plume d'Helena Klotz, accompagnée de ses scénaristes égarés, se perd dans les méandres de l'incompréhension du monde de la finance, tachant la pureté du sujet par des éclats d'approximations. Cette lacune, comme une note dissonante, trouble l'harmonie de cette production, tandis que le cinéma français, dans un bal hésitant entre conscience et inertie, semble buter sur des thématiques maladroitement abordées, entre relations lacunaires et identités en quête de clarté. Critique ou soutien au monde frénétique du capital, le plus incroyable est qu'on ne sait pas où se situer, car le film se veut neutre de jugement. Il préfère initier des idées sans les approfondir, c'est bien plus confortable.
Un dernier espoir émerge néanmoins de cette mer d'inconstances : l'apparition éclairée de Mathieu Amalric en banquier d'affaires offre un contrepoint salvateur. Un éclair de lucidité, parmi les tumultes d'une narration défaillante, résonnant comme une poignée d'espoir dans ce panorama éclaté. La force indéniable de la caméra, capturant des entretiens d'embauche d'une surréaliste vérité, émerge comme un îlot de réalisme dans ce flot d'incohérences, suscitant une ambiguïté troublante, reflétant, peut-être, les tourments de ce monde financier impitoyable.
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lefeusacre-editions · 4 months
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"PHENOMENA" (Dario Argento, 1985), par Pierre Pigot
Cela faisait une paye au Feu Sacré que nous n'avions pas eu de nouvelles (écrites !) de Pierre Pigot. Nous le savions travaillant à un Ciné-Atlas aux allures warburgiennes ; puis en pleine introspection véda parmi la filmographie d'Hitchcock ; et enfin aux prises avec un Dictionnaire du cinéma concurrençant celui illustre de Jacques Lourcelles. Au milieu de toutes ces entreprises littéraires, une seule certitude : l'homme écrivait, inlassablement il écrivait. S'abreuvant de films de tous bords et de toutes natures. Aujourd'hui, il nous donne à lire sa lecture de l'un d'entre eux.
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I.
Un coin de prairie verdoyante, isolé, calme et froid, dans les montagnes suisses. Une route qui, à l’horizon, se tord dans un lacet bizarroïde, comme si la perspective au bout de laquelle le bus fatidique va s’enfuir, débouchait sur une note d’angoisse immédiate. Une jeune Danoise égarée, son ample chevelure malmenée par le vent qui souffle, et autour de laquelle plane d’emblée un parfum de victime. C’est comme les pièces d’un jeu d’échecs, aux règles classiques, que l’on dispose dans une fausse tranquillité dont la déchirure est imminente. Et la main qui mène le jeu, davantage que celle du meurtrier qui s’active déjà en coulisses, serait celle d’une entité abstraite, inspirante dans le mauvais sens du terme – cette evil breeze, ce vent incessant qui souffle dans les hauts sapins sombres, qui agite leurs branches comme des frissons ou des supplications, ces sapins qu’un mouvement de caméra à la grue explore avec une gourmandise calculée alors que défile le générique. Nous sommes, on nous le signalera à deux reprises, dans « la Transylvanie suisse » (ou comment, avec la magie d’un seul toponyme, mieux faire tinter la guirlande des références). Mais cette brise a un nom, c’est le foehn, nom ténébreux et inquiétant – et comme l’expliquera plus tard dans le film le professeur McGregor (Donald Pleasance), c’est un vent qui porte avec lui maladie, catastrophe et folie, autrement dit les attributs de la main sans visage qui manie dès son premier meurtre sur l’écran le ciseau hitchcockien, la chaîne médiévale, la vitre éclatée à l’image du monde blessé, le tranchant définitif de la décapitation. Le vent est le personnage esthétique capital de Phenomena : il circule chaque nuit sanglante autour des jeunes filles promises à la mort, il flatte la nature nymphique de son héroïne, il agite dans les branches le cerf-volant rose qui leurre loin de sa maison le singe protecteur. Il n’y a qu’un seul autre lieu qui saura par la suite donner à ce point au vent dans les arbres, fascinant motif aussi vieux que l’arrière-plan du Repas de bébé des frères Lumière : la ville de Twin Peaks et le chœur funèbre de ses douglas fir trees.
II.    
Jennifer Corvino (Jennifer Connelly, alors âgée de quinze ans), est venue étudier en Suisse, tandis que son père, un célèbre acteur, enchaîne les tournages à travers le monde. La vie au Mädchen Internat Richard Wagner, supervisé par la sèche Frau Bruckner (Daria Nicolodi), offre le portrait rapide et presque habituel des cours, des amitiés, des mesquineries entre jeunes filles. Il incarne un lieu de haute et froide civilisation (le bâtiment de style palladien, à la façade théâtrale, aux plafonds hauts, mais menacé par l’abandon et la déréliction), qui regarde à la fois vers le passé du propre cinéma d’Argento, et vers un présent hétérogène signalant l’autodestruction de ce type de récit, cerné par la complaisance et le Grand-Guignol. Le passé, c’est celui de Suspiria, dont les couleurs ont été délavées pour se fondre dans l’esthétique des années 80, univers d’où sort encore la directrice au chignon blond sévère (décalque rajeuni d’Alida Valli), et dont il ne reste plus qu’un récit-cadre, facilement malléable, ne nécessitant qu’une mise à jour rapide. Le présent, c’est tout le magasin des accessoires qui étaient censés rajeunir ce cadre fictionnel, mais qui aujourd’hui le rabattent plutôt sur sa propre époque révolue : le tee-shirt à face de Bee Gees, Richard Gere préféré à Richard Wagner, la télévision avec laquelle s’abrutit la colocataire Sophie, les jeunes voyous à blousons bombers dans leur voiture de sport – sans oublier la propre garde-robe de Jennifer, à laquelle Sophie empruntera un blouson à phénix de strass doré. Alors que la seconde victime explore un pavillon abandonné de l’internat, traversant des pièces désertes où rôde le meurtrier, la pop organique de Goblin laisse place à un hard rock qui, au lieu de donner une vitalité moderne à la séquence, ne fait qu’exacerber la distance entre ce plaquage sonore gratuit, ivre de mouvement et d’anarchie, et le soin maniaque des cadres qu’habite encore la nostalgie des grandes heures du giallo. L’objet contemporain, dans les films d’Argento, n’est efficace que s’il appartient pleinement à la cérémonie sanglante. S’il lui reste extérieur, sa valeur s’effrite, et il n’est plus qu’une preuve visuelle, témoignage vide.
III.
Jennifer a tous les atouts de la beauté botticellienne, dans sa version brune et adolescente : la calme tranquillité d’une harmonie aussi durable que celle des sphères célestes, la placidité d’une existence protégée, loin de tout ce qui serait chaos ou insécurité. Soit, exactement, le genre de créature irréelle que le giallo aimait encore davantage malmener ces années-là. Une victime terrifiée qui court dans un parc nocturne agrémenté de statues antiques, arpente le terrain même qui fut celui de l’histoire de Nastagio degli Onesti, lorsque Botticelli la mit en images peintes – avec, en son centre, une femme nue que l’on poursuit (fantôme) et que l’on écorche (chair). Mais Jennifer possède un attribut supplémentaire, qui introduit dans ce beau portrait programmé pour souffrir, une nuance de pouvoir et de vibration : « j’aime tous les insectes ». Elle les admire, elle les protège, les caresse entre ses doigts – et on apprend plus tard que les insectes, eux aussi, la caressent en retour, à l’instar de celui qu’elle excite sexuellement. Une luciole, des vers ou une mouche nécrophages, sont ses messagers personnels à travers la ténèbre grandissante des visions macabres (en jouant sur l’étymologie, on dirait avec ironie : ses anges). Ils sont à l’origine de ses crises de somnambulisme, inaugurées par des battements de cœur (ici tout ce qui est flux invisible s’écoule plus vite, comme le sang) ; ils la guident vers des objets capitaux (un gant ou les chaînes du meurtrier) ; mais ils lui offrent aussi des visions d’horreur (le visage déchiré de sa colocataire, démultiplié en six médaillons Renaissance qui reprennent la vision en facette entomologique), et la relient ainsi à une relation intime qui dérange, et qui n’est autre que celle entre Eros et Thanatos. Celle-ci apparaît dès la révélation de la tête momifiée et dévorée de la Danoise, datée et identifiée par les cycles de nécrophages qui l’ont habitée : derrière la Beauté, rôde la Charogne ; derrière l’impériale fragilité du présent, circule le sceau d’une éternité décomposée ; la séduction peut, d’un geste arbitraire de serial killer, se renverser en répugnance. La jeune fille somnambule qui marche sur l’herbe en nuisette blanche si préraphaëlite d’esprit : McGregor discerne parfaitement en elle l’équivalent d’un papillon, que les anciens Grecs assimilaient à l’âme (psyche). Les insectes deviennent ainsi un véhicule spirituel pour Jennifer – dans un système de vases communicants, sa colère devient leur colère, son calme devient leur calme. Le royaume de l’entomologie s’identifie donc à la fois à une vaste nation empathique, à une flottille de coursiers détectives, et à une cour secrète de triboulets, dont la présence lui rappelle le revers sordide de sa puissance : le néant qui engloutit toute psyche. C’est aux carrefours de tous ces concepts que se situe la scène iconique où Jennifer, harcelée par ses camarades, convoque la nuée des insectes : le vent qui agite ses cheveux n’est pas la evil breeze, mais la pure brise nymphique, celle qui apporte au monde à la fois vie (érotique) et violence (engloutissement) ; la nuée qui recouvre l’internat, en obscurcit les vitres, est un néant grouillant, abstrait, obscène ; et les mots de la jeune fille, « je vous aime tous », que ses collègues étudiantes éberluées croient s’adresser à elles, est en réalité le remerciement qu’une reine transmet à ses chevaliers servants, ici venus des profondeurs de la chair morte amoureusement nettoyée. Quand elle retrouvera, dans la maison aux volets d’acier, des vers jusque dans une salle de bains immaculée, ce sera comme une métaphore ultime : tout ce qui étincelle et aspire à la pureté, entretient une correspondance secrète avec la décomposition.
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IV.
Il y a aussi quelque chose d’Alice au pays des merveilles dans les mésaventures et terreurs de Jennifer : une Alice brune, mais tout aussi entêtée, que le surgissement de l’étrange semble davantage accompagner depuis toujours que rebuter. Plutôt que dans le kitsch onirique de ses crises de somnambulisme, avec ses couloirs blancs en guise d’impasse freudienne, c’est dans l’état de veille, filmé comme une glissade impromptue, trop calme et nimbée de mystère, que Jennifer enchaîne les chutes dans le terrier, chacun débouchant sur un autre. Jetée hors de leur voiture par les deux voyous, elle dégringole dans un sous-bois où la femelle chimpanzé Inga la recueille et l’emmène chez son maître, l’entomologiste McGregor, qui incarne enfin une bulle d’empathie et de savoir ; dans le chalet où l’a menée la mouche nécrophage, elle n’arrive pas à attraper des rouleaux de papier au-dessus d’un placard trop grand pour elle (comme Alice, elle a des problèmes de taille), et créant un trou dans le parquet, restera ignorante du membre sectionné et pourri qui sommeille en-dessous ; chez la sous-directrice Bruckner, enfin, elle doit élaborer à la hâte tout un dispositif (une chaise, une porte à vasistas, un manche), qui résulte dans la quête claustrophobe d’un téléphone blanc ne tenant littéralement qu’à un fil jusqu’au fond d’un improbable tunnel. Telle est la leçon ironique d’une telle descente aux enfers, catabase vers la vérité putréfiée de l’énigme : l’apprentissage de Jennifer doit passer par la souffrance, le déniaisement de la jeune fille aisée, le déchirement des apparences innocentes.
V.
Chez Argento l’enfance est rare, et presque toujours profanée, si elle n’est pas maléfique. Celle dont Phenomena trace tout du long le portrait aniconique (toujours invisible dans l’ombre ou hors-champ) ne déroge pas à cette règle, composée par petites touches d’idiosyncrasies au premier abord indéchiffrables, ou anodines, et qui ne prennent sens que lorsque les miroirs sont enfin autorisés à refléter quelque chose. Lors du second meurtre, dans le pavillon abandonné, pourquoi cette lampe frontale située si près du sol ? Et cette lance télescopique en acier brillant, dont le claquement sec d’assemblage constitue le leitmotiv sinistre, n’est-elle qu’une variation sadique sur un instrumentaire de la mort jusqu’à présent assez balisé ? La lance est cette prothèse ultime, ivre dans la distance effacée, qui décapite ou empale (gorge, ventre) sa victime avec la rapidité de la flèche archaïque, et qui aime voir le corps devenir cadavre à la renverse traversant la frontière fragile du verre. (Mais Argento ne peut s’empêcher d’inclure dans le même film l’écho dérisoire de cet éclair sanglant : le bruit d’empalement étouffé que produit une aiguille à tricoter qui se plante à la verticale dans une pelote de laine.) Le propriétaire de cette arme demeure une silhouette d’autant plus terrifiante qu’elle est muette, et sourde aux injonctions comme aux cris, pur fatum personnifié. (Et comme toujours, la main de cinéma qui tient l’arme est celle d’Argento himself). Dans le chalet désert, Jennifer découvre les chaînes arrachées suggérant un prisonnier ; mais le véritable indice était plutôt le tas de jouets poussiéreux délaissé sous une bâche en plastique. Chez la vice-directrice, tous les miroirs sont couverts de draps, pendant telles des décorations de pompes funèbres, dans une sorte de deuil interminable de cette réalité parallèle. Explication de l’intéressée : son fils est gravement malade et doit ignorer son état. Dans la chambre d’enfant où une ombre l’a attiré, par mégarde Jennifer renverse avec un petit train la silhouette assise de dos – mais illusions des éclairages, ce n’était qu’un pantin à taille d’enfant, que la mère rejette aussitôt, démantibulé, avec un rire méprisant. A partir d’ici, une atmosphère d’hybris criminelle monte du personnage joué par Daria Nicolodi, dont le caractère strict se fissure de partout, perdant ses lunettes, bras nus, les cheveux ébouriffés, dans un devenir-gorgone avide de persifler enfin sa volonté de puissance venimeuse. Qu’elle montre la cicatrice de son torse à l’inspecteur (Patrick Bauchau), qu’il soit question d’un viol il y a une dizaine d’années, il ne s’agit là que de précautions policières inutiles : ce qui compte, c’est la catastrophe et la révélation vers lesquelles le film se précipite sur un rythme accéléré, comme si fatigué de jouer au mystère il ne rêvait plus que de jeter à la figure de son spectateur l’horreur que son scénario a engendrée. Et au bout du tunnel de la nouvelle Alice, par-delà la piscine nécrophile dans laquelle elle est plongée (souvenir du récent Poltergeist), au bord de laquelle s’entretuent le flic ensanglanté et la mère folle, ce que Jennifer découvre, c’est bien la plus hideuse des profanations : un enfant de dos, qui pleure, esseulé, malheureux (topos de l’enfant que l’empathie porte à défendre et sauver), qui dans le même plan offre soudain son visage, difforme, hideux, parodie d’enfance infâme à la bouche de piranha et aux yeux de murène (inspiré, selon Sergio Stivaletti qui la conçut, d’une maladie génétique, le syndrome de Patau) – un être purement mauvais dans un petit corps normalement dédié à l’innocence. C’est, après l’éviscération des jeunes filles, l’ultime discordance corporelle entre Mal et Bien que le giallo puisse encore se permettre : un oxymoron intégral, creusant sa contradiction au cœur même des instincts primaires de son spectateur.
VI.
Pour Jennifer, la conclusion de Phenomena est simultanément un chemin de croix (elle est plongée dans un bain boueux de cadavres en décomposition, elle est poursuivie par un gosse monstrueux armé d’une lance, elle doit nager sous l’eau pour éviter des flammes) et l’acmé de la révélation de sa vraie nature nymphique. Sortant des terreurs souterraines qu’elle vient d’affronter, elle se retrouve au bord d’un lac nocturne, et trouve refuge à bord d’un bateau à moteur. Lorsque l’enfant parvient à sauter dedans, telle Doris Day à l’Albert Hall, il ne lui reste que la plus primitive des armes : le cri, convoquant au-dessus des eaux la nuée des insectes dévoreurs, qui s’acharnent aussitôt sur l’assassin. Ce dernier en vient, avec ses mains, à s’arracher les lambeaux de chair du masque grotesque qui lui tenait lieu de visage, avant de tomber à l’eau. C’est là que le dernier combat se joue, underwater : la belle nageuse agile qui guette la poche d’air cernée de flammes, et la créature dont les eaux n’ont lavé que la putréfaction sanguinolente, et que l’oubli va enfin engloutir pour de bon. Alors, nympha absoluta, Jennifer peut littéralement émerger des eaux, lustrée, purifiée, révélée par celles-ci – dans un long plan nocturne d’une immobilité splendide, où pas une ride n’agite le lac sombre, où la seule flamme du bateau à l’horizon rappelle encore la lutte. La jeune fille n’a pas seulement résolu l’énigme, elle a aussi abandonné derrière elle la compagnie des insectes, qui se sont aussitôt retirés une fois leur aide apportée. À ce dernier stade du film, la série de meurtres en chaîne, aussi fulgurants que grand-guignolesques, qui le conclut, appartient moins à la peur de Jennifer, qu’à une revanche qu’on avait oubliée : celle de Inga la chimpanzé, dont le rasoir lacère le visage de la mère qui vient juste de décapiter un pseudo sauveur providentiel. Inga qui n’avait pas oublié les volets qui même arrachés ne lui avaient pas permis de sauver son maître McGregor, qui dans sa fureur montrait les dents carnassières bien éloignées de son rôle de nurse pour handicapé, qui avait ramassé dans une poubelle un rasoir d’un argent aussi brillant que celui de la lance télescopique auquel il répondrait, et qui n’avait pas oublié la leçon de choses du professeur : un rasoir, ça coupe, ça déchire, ça blesse… ça permet surtout l’extermination des monstres, après quoi la jeune fille et la femme chimpanzé peuvent en silence s’enlacer, et communier – dans la vengeance sacrificielle et dans la nature archaïque pleinement assumée.
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christophe76460 · 7 months
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Sa Parole Pour Aujourd'hui du Mercredi le 11 Octobre 2023
Encadrez votre tableau !
“Or la foi est une ferme assurance des choses qu'on espère, une démonstration de celles qu'on ne voit pas” He 11. 1
Ben Jeffery, un responsable de l'Alliance évangélique britannique, a partagé une pensée qui s’est imposée à lui suite à une expérience lors d’une escapade vacancière : en plein hiver au cours du mois de janvier, Ben et sa famille ont décidé de passer leurs vacances en Ecosse. Dans les Highlands d'Ecosse, ils étaient entourés de lochs et de montagnes : le paysage était juste sublime. Les journées d’hiver étant courtes ils avaient l’impression de vivre un coucher ou un lever de soleil perpétuel. La lumière était magnifique et le paysage incroyable, du moins c’est ce que sa femme lui a raconté car Ben conduisait et lui devait garder les yeux fixés sur les routes sinueuses et dangereuses ! Les garçons sur les sièges arrière regardaient des films. Tous étaient dans le même véhicule, faisant la même route mais ne vivaient pas la même expérience. Afin d’apprécier le même trajet que son épouse Ben a dû s’arrêter sur la bord de la route et prendre le temps de recadrer son regard.
On aurait presque envie de traiter l’apôtre Jacques de fou quand il écrit : “Mes frères, regardez comme un sujet de joie complète les diverses épreuves auxquelles vous pouvez être exposés” (Jc 1. 2). Ou peut-être de penser que Paul avait perdu la raison quand, en prison et ne sachant pas ce qu’il allait lui arriver, il écrit : “Christ est ma vie, et la mort m'est un gain” (Ph 1. 21). Quelles que soient les circonstances qu’il pourrait traverser plus tard, il se sentait victorieux ! Comme pour une fausse pièce avec la même impression sur les deux côtés. Déception ? Persécution ? Prison ? Victoire, victoire, victoire ! Si nous étions dans la même situation que Paul, nous aurions sans doute envie de raconter à tout le monde combien nous souffrons, cependant au lieu de s’apitoyer sur son sort, lui, il se réjouit et prend le temps d’écrire une lettre d’encouragement ! Faisons donc une pause et prenons le temps de recadrer la perspective que nous avons de notre situation. Servons-nous de notre espérance de foi en Jésus Christ comme cadre pour considérer le tableau de notre vie car : “Pour l'avoir possédée, les anciens ont obtenu un témoignage favorable” (He 11. 3).
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yes-bernie-stuff · 7 months
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mercredi 11 octobre 2023
Encadrez votre tableau !
“Or la foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas” He 11. 1
Ben Jeffery, un responsable de l’Alliance évangélique britannique, a partagé une pensée qui s’est imposée à lui suite à une expérience lors d’une escapade vacancière : en plein hiver au cours du mois de janvier, Ben et sa famille ont décidé de passer leurs vacances en Ecosse. Dans les Highlands d’Ecosse, ils étaient entourés de lochs et de montagnes : le paysage était juste sublime. Les journées d’hiver étant courtes ils avaient l’impression de vivre un coucher ou un lever de soleil perpétuel. La lumière était magnifique et le paysage incroyable, du moins c’est ce que sa femme lui a raconté car Ben conduisait et lui devait garder les yeux fixés sur les routes sinueuses et dangereuses ! Les garçons sur les sièges arrière regardaient des films. Tous étaient dans le même véhicule, faisant la même route mais ne vivaient pas la même expérience. Afin d’apprécier la même trajet que son épouse Ben a dû s’arrêter sur la bord de la route et prendre le temps de recadrer son regard. On aurait presque envie de traiter l’apôtre Jacques de fou quand il écrit : “Mes frères, regardez comme un sujet de joie complète les diverses épreuves auxquelles vous pouvez être exposés” (Jc 1. 2). Ou peut-être de penser que Paul avait perdu la raison quand, en prison et ne sachant pas ce qu’il allait lui arriver, il écrit : “Christ est ma vie, et la mort m’est un gain” (Ph 1. 21). Quelles que soient les circonstances qu’il pourrait traverser plus tard, il se sentait victorieux ! Comme pour une fausse pièce avec la même impression sur les deux côtés. Déception ? Persécution ? Prison ? Victoire, victoire, victoire ! Si nous étions dans la même situation que Paul, nous aurions sans doute envie de raconter à tout le monde combien nous souffrons, cependant au lieu de s’apitoyer sur son sort, lui, il se réjouit et prend le temps d’écrire une lettre d’encouragement ! Faisons donc une pause et prenons le temps de recadrer la perspective que nous avons de notre situation. Servons-nous de notre espérance de foi en Jésus Christ comme cadre pour considérer le tableau de notre vie car : “Pour l’avoir possédée, les anciens ont obtenu un témoignage favorable” (He 11. 3).
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pdj-france · 9 months
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Par Chris Snellgrove | Publié il y a 14 secondes Emily Blunt dans Un endroit calmeQuand vous recherchez un film qui est le mélange parfait de concept élevé et de petit budget, alors il est temps de choisir un film d'horreur. Ce genre regorge de films qui vous laisseront sur le bord de votre siège tout en envoyant votre esprit s'emballer, et il n'y a peut-être pas de meilleur exemple de cela que le film d'horreur d'Emily Blunt A Quiet Place. Et croyez-nous sur parole : votre propre maison sera tout sauf silencieuse une fois que vous aurez diffusé ce hit d'horreur sur Paramount+. Emily Blunt joue dans A Quiet Place, un film d'horreur unique écrit et réalisé par son mari John Krasinski. Si vous n'êtes pas familier avec A Quiet Place, il a une prémisse simple et effrayante… nous suivons une petite famille alors qu'ils tentent de survivre dans une dystopie post-apocalyptique, mais chacun de leurs mouvements peut les faire tuer. Pourquoi est-ce, cela dit? Si le personnage d'Emily Blunt ou le reste de sa famille fait trop de bruit, ils risquent d'être tout de suite attaqués par des extraterrestres vicieux qui ne peuvent pas voir mais qui ont un sens de l'ouïe qui donnerait à Daredevil une course pour son argent. De cette façon, A Quiet Place va à l'encontre des conventions typiques de l'horreur : au lieu de s'inquiéter qu'un tueur les poursuive dans une cabane dans les bois, nos protagonistes doivent s'inquiéter de se faire attaquer à tout instant et en tout lieu. En parlant de protagonistes, le film a un petit casting d'acteurs doués, y compris des noms très familiers. Emily Blunt joue une mère qui doit garder ses enfants en vie dans un monde plein de terreurs, et elle est rejointe par la star de The Office, John Krasinski, qui joue son mari. Fait intéressant, Krasinski est aussi le réalisateur du film, et ce film a été un tel réussite qu'il a prouvé à lui seul qu'il était aussi doué derrière la caméra que devant. Emily Blunt et John Krasinski dans Un endroit calmeSi ce n'est pas assez impressionnant, Krasinski est co-auteur du scénario avec Scott Beck et Bryan Woods. Et tous ont énormément contribué à l'histoire: Beck et Woods ont grandi dans l'Iowa, et leur familiarité avec les terres agricoles a contribué à donner au cadre rural du film une réelle authenticité. Ces deux-là étaient aussi de grands fans de films muets, ce qui les a aidés à créer un film largement silencieux, car même un mot égaré des personnages pouvait les tuer tout de suite. Emily Blunt et John Krasinski sont des fans de films muets, ce qui se retrouve dans les moments silencieux et tendus de A Quiet Place où un simple bruit signifie le décès. Quant à Krasinski, lui et Emily Blunt venaient d'avoir leur deuxième enfant, et il a déversé ses angoisses compréhensibles a propos l'éducation d'un nouvel enfant dans cette histoire de parents confrontés à leur pire cauchemar : un monde où quelque chose d'aussi simple que le cri d'un bébé pourrait conduire au désastre. . Blunt a aussi encouragé Krasinski à réaliser, et bien qu'il ait déjà réalisé de plus petits longs métrages, ce fut une grande victoire pour toute la famille quand Paramount Pictures a non seulement acheté le scénario, mais a accepté d'avoir Krasinski comme réalisateur, ce qui en fait son premier rôle de réalisateur pour un film. grand atelier. À l'origine, Emily Blunt n'avait aucune intention de jouer dans A Quiet Place, et elle est allée jusqu'à suggérer un certain nombre d'autres acteurs qui devraient être le rôle principal féminin dans le film de son mari. Tout a changé lorsqu'elle était sur un vol et qu'elle a eu le temps de lire le scénario, c'est à ce moment-là qu'elle a choisi qu'elle-même était parfaite pour le rôle. Après que Krasinski ait convenu qu'il ne serait pas trop étrange pour elle de jouer dans le film de son mari, Paramount les a tous les deux choisis comme acteurs principaux, et ils donnent des performances immersives compréhensibles en qualité de duo conjugal dont le seul objectif est de maintenir leur famille en vie.
Un endroit silencieuxEt que ce soit grâce aux performances meurtrières de John Krasinski et Emily Blunt, au scénario serré, ou un peu des deux, le public est tombé instantanément amoureux de A Quiet Place. Il a fini par rapporter 341 millions de dollars au box-office, ce qui est incroyablement impressionnant pour un film avec un budget de seulement 17 millions de dollars. Grâce à ce réussite inattendu, Paramount a mis au vert une suite, et un troisième film, de même qu'un spin-off, sont prévus pour les années à venir. A Quiet Place est l'un des plus grands réussite de la carrière d'Emily Blunt, rapportant 341 millions de dollars et lançant une franchise entière. Si les performances au box-office ne vous séduisent pas, alors cela pourrait: sur Rotten Tomatoes, A Quiet Place a une note critique de 96%, et des notes aussi élevées sont extrêmement rares pour les films en général et le genre d'horreur en particulier. Heureusement, vous pouvez découvrir ce film d'horreur de haute qualité d'Emily Blunt et John Krasinski depuis chez vous en le diffusant sur Paramount +. Méfiez-vous: toute la famille entendra chaque craquement de pop-corn pendant les nombreuses scènes calmes du film.
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ouyander · 1 year
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Le Maroc annonce 5 arrestations dans le démantèlement d'un réseau de trafic international de drogues. Les éléments de la Brigade de police judiciaire de la ville de Guelmim, sur la base d'informations précises fournies par les services de la Direction générale de surveillance du territoire (DGST), sont parvenus, mardi, à interpeller cinq individus pour leur implication présumée dans une affaire de trafic international de drogues. 5 arrestations au Maroc dans le démantèlement d'un réseau de trafic international de drogues démantèlement d'un réseau de fabrication d'armes à feu, Maroc Dix arrestations_www.kafunel.com Capture web_5-11-2022_13450 Dans un communiqué, la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) indique que l’un des individus interpellés faisait l’objet d’un mandat d’arrêt national pour l’organisation d’opérations d’immigration illégale, précisant que les cinq mis en cause sont âgés de 24 à 44 ans. démantèlement d'un réseau de fabrication d'armes à feu, Maroc Dix arrestations A lire aussi Les drogues dures de plus en plus populaires chez les jeunes (etude) L’interpellation des prévenus est intervenue lors d’opérations sécuritaires déployées au quartier Rahma à Guelmim, relève la DGSN, précisant que les perquisitions menées dans une zone isolée à la commune rurale de Sbouya, à environ 50 km en direction de Sidi Ifni, ont abouti à la saisie de 55 colis d’un poids total de 2 tonnes, ainsi que 120 kg de chira destinés au trafic international. Film du démantèlement d'un réseau de trafic international de drogues au Maroc 5 arrestations au Maroc dans le démantèlement d'un réseau de trafic international de drogues Les perquisitions réalisées dans le cadre de cette affaire ont également permis la saisie d’un canot pneumatique équipé de deux moteurs hors-bord, ainsi que de nombreux équipements de navigation maritime, dont une boussole, des téléphones portables et un GPS, outre une somme d’argent suspectée de constituer le butin découlant du trafic de drogues, ajoute la même source. Cité Keur Gorgui La police disperse la foule devant chez Ousmane Sonko à coups de lacrymogènes, plusieurs arrestations et des blessés... A lire aussi Les hackers et les dealers de drogues font aussi des promos Black Friday Les mis en cause ont été placés en garde à vue à la disposition des besoins de l’enquête menée sous la supervision du parquet compétent.
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naantokhi · 1 year
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Le Maroc annonce 5 arrestations dans le démantèlement d'un réseau de trafic international de drogues. Les éléments de la Brigade de police judiciaire de la ville de Guelmim, sur la base d'informations précises fournies par les services de la Direction générale de surveillance du territoire (DGST), sont parvenus, mardi, à interpeller cinq individus pour leur implication présumée dans une affaire de trafic international de drogues. 5 arrestations au Maroc dans le démantèlement d'un réseau de trafic international de drogues démantèlement d'un réseau de fabrication d'armes à feu, Maroc Dix arrestations_www.kafunel.com Capture web_5-11-2022_13450 Dans un communiqué, la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) indique que l’un des individus interpellés faisait l’objet d’un mandat d’arrêt national pour l’organisation d’opérations d’immigration illégale, précisant que les cinq mis en cause sont âgés de 24 à 44 ans. démantèlement d'un réseau de fabrication d'armes à feu, Maroc Dix arrestations A lire aussi Les drogues dures de plus en plus populaires chez les jeunes (etude) L’interpellation des prévenus est intervenue lors d’opérations sécuritaires déployées au quartier Rahma à Guelmim, relève la DGSN, précisant que les perquisitions menées dans une zone isolée à la commune rurale de Sbouya, à environ 50 km en direction de Sidi Ifni, ont abouti à la saisie de 55 colis d’un poids total de 2 tonnes, ainsi que 120 kg de chira destinés au trafic international. Film du démantèlement d'un réseau de trafic international de drogues au Maroc 5 arrestations au Maroc dans le démantèlement d'un réseau de trafic international de drogues Les perquisitions réalisées dans le cadre de cette affaire ont également permis la saisie d’un canot pneumatique équipé de deux moteurs hors-bord, ainsi que de nombreux équipements de navigation maritime, dont une boussole, des téléphones portables et un GPS, outre une somme d’argent suspectée de constituer le butin découlant du trafic de drogues, ajoute la même source. Cité Keur Gorgui La police disperse la foule devant chez Ousmane Sonko à coups de lacrymogènes, plusieurs arrestations et des blessés... A lire aussi Les hackers et les dealers de drogues font aussi des promos Black Friday Les mis en cause ont été placés en garde à vue à la disposition des besoins de l’enquête menée sous la supervision du parquet compétent.
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alain-keler · 2 years
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Après une si longue absence
Journal d’Auvergne
Je commence la parution de mon projet BNF. Au final il y aura un rendu de dix photographies, choix qui se fera cette semaine. Beaucoup de photos, que j’appellerais « intermédiaires », non choisies mais importantes dans le cadre de mon histoire paraitront dans ce journal. Elles seront le ciment de ce projet personnel qui dépassera la commande. Néanmoins chaque parution sera précédée de cette mention :
"Cette photographie a été produite dans le cadre de la grande commande nationale "Radioscopie de la France : regards sur un pays traversé par la crise sanitaire" financée par le Ministère de la culture et pilotée par la BnF."
Les modestes textes de mon journal de bord essayeront de raconter le déroulé et les raisons de ce travail.
Jeudi 17 février.
 Voyage vers Clermont avec Henri et Claude. Henri est mon plus vieux copain. Nos parents étaient amis lorsque j’habitais Clermont.
Apparition de la chaine des puys, couverte par des nuages.
En pénétrant dans Clermont, des maisons particulières construites comme je pense n’avoir jamais vu ailleurs. On passe devant les pistes d’essai de Michelin. Elles ne sont plus utilisées depuis belle lurette, mais elles ont été pendant longtemps la marque de Michelin et un peu de Clermont. Nous sommes passés devant la maison du peuple. Elle n’a pas beaucoup changé depuis les années cinquante ou nos parents nous emmenaient voir des réunions politiques communistes. Je m’amusais entre les rangées de fauteuils pendant les discours, et sans doute Henri aussi. Mais lorsque les projections de films soviétiques vantant les mérites du communisme commençaient, j’étais fasciné par les images en noir et blanc des moissons, prises sans doute au 50 mm. La langue russe, si belle chantait les louanges des travailleurs et des agriculteurs.
Resto place de Jaude.  La statue de Vercingétorix  trône au milieu de la place, devant le très beau théâtre municipal.
On passe rue du Maréchal Foch, où ma mère avait un magasin de maroquinerie. Les sacs à main étaient fabriqués par mon père, dans un sous-sol impasse Pasteur, à Chamalières, à une centaine de mètres de l’immeuble où nous habitions.
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omagazineparis · 1 year
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Le succès des feuilletons quotidiens
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Le lancement en août dernier d'Un si grand soleil sur France 2 confirme l’appétence du public pour les feuilletons quotidiens. Avec 4 millions de téléspectateurs dès la diffusion du premier épisode. Durant l’été 2017, TF1 a lancé  sa série Demain nous appartient. La série rassemble une moyenne de 3 millions de curieux… Et bien évidemment, comment ne pas mentionner Plus belle la vie sur France 3 ? Le feuilleton cartonne en audience depuis 2004. Mais quelles sont les raisons qui expliquent ces succès ? « Notre existence quotidienne est un mauvais feuilleton par lequel nous nous laissons envoûter ». Cette phrase, tirée du livre Répertoire de l’écrivain français Michel Butor. Elle pourrait être transposée aux feuilletons actuels qui animent la petite lucarne de millions de français. L'identification comme moteur du succès L’identification. Il s’agit d’un premier élément d’explication qui peut justifier le succès du feuilleton quotidien en tant que genre : le public adhère aux histoires tel un miroir qui fait écho à sa propre vie. Claire, l’héroïne principale de la série Un si grand soleil sur France 2, incarnée par l’actrice Mélanie Maudran, revient dans sa ville natale de Montpellier après 17 ans d’absence avec son fils Théo après un départ précipité pour des raisons obscures. Cette dernière sera plus tard arrêtée et accusée du meurtre de son meilleur ami. Pour justifier son innocence, la jeune femme devra déterrer les secrets du passé, aussi lourds soient-ils. Au cours de l’intrigue, les pièces du puzzle vont s’additionner au fil de l'intrigue. Des exemples ? Bisbilles entre couples. Révélations étonnantes. Histoires familiales à fort quotient émotionnel. Mais aussi enquêtes policières. Le téléspectateur, retenu en apnée devant son écran, est comme happé dans cette trame narrative grâce à un scénario bien orchestré par ses auteurs. Ces derniers arrivent à saisir le public à tel point que les téléspectateurs peuvent penser qu’ils s’adressent directement à eux. En ce sens, qui n’a pas jamais connu une déconfiture amoureuse, des revers professionnels, de lourds secrets familiaux ou bien des trahisons multiples ? https://youtu.be/A0JjcuDz4Qk Des feuilletons à la hauteur des moyens Ces séries quotidiennes s’inspirent du réel en infusant une fibre émotionnelle à travers la galerie de personnages présente pour toucher un large auditoire. En ce sens, la formule semble fonctionner avec des courbes d’audience en hausse avec toujours plus d’aficionados. Un aspect intéressant à souligner concerne le lieu des intrigues : Demain nous appartient se passe à Sète, Un si grand soleil à Montpellier et Plus belle la vie se déroule à Marseille. En sortant du microcosme parisien, les producteurs misent sur la proximité avec le public. Ce dernier se reconnaît dans les profils des protagonistes. Le tout, en voyageant à travers des paysages somptueux, telle une carte postale à la française. Sans bouger de son canapé ! Chaque lieu de tournage a ses spécificités avec le cadre idyllique au bord de la mer à Sète ou la Canebière, lieu mythique de la cité phocéenne. En ce qui concerne le feuilleton de France 2, un budget de 35 millions d’euros fut nécessaire pour lancer le projet de fiction. Un véritable pari sans garantie de succès qui aurait fait tousser plus d’un producteur mais qui s’est avéré être lucratif avec les scores d’audience actuels très satisfaisants. A lire également : Mulholland Drive, retour sur un film culte Une belle évasion pour le téléspectateur Dans un autre ordre, nous vivons actuellement dans une société qui a tendance au repli sur soi : pour un bon nombre de personnes, ces feuilletons apportent un supplément d’âme non négligeable telle une échappatoire à une réalité morose. Mais ne serait-ce pas l’un des rôles d’une fiction, télévisuelle ou autre, de permettre aux personnes de s’évader du quotidien en essayant de tirer des leçons positives d’une œuvre et d’en apprendre de ces dernières ? Qu’on le veuille ou non, c’est en réalité le public qui décide ou non des prolongations d’une intrigue dans la mesure où c’est grâce à lui qu’un feuilleton quotidien peut continuer à exister dans la dure loi des séries. De fait, les producteurs mobilisent un arsenal créatif d’envergure pour plaire au plus grand nombre. Cette intrigue dans l’intrigue venant non pas des auteurs mais du public, ne constituerait-elle pas aussi un feuilleton quotidien à part entière ? Retrouvez du lundi au vendredi Demain nous appartient sur TF1 à 19h20, Un si grand soleil à 20h40 juste après le journal de 20 heures sur France 2 et Plus belle la vie à 20h20 sur France 3. Read the full article
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