Le « Smart lighting » au service de la sobriété énergétique des collectivités : La Ville intelligente peut-elle aider les collectivités à réduire leurs consommations d’électricité tout en répondant à leurs obligations de service et de sécurité ?

et si on commençait à faire un bilan de l'expérience de coupure de l'éclairage public en Wallonie? quelques réflexions...

Temps de lecture : 10 minutesmots-clés : Smart lightning, smart cities, éclairage public, citoyen, insécurité, développement durable, wallonie, communes, ORES, RESA Chers lecteurs, Voici le deuxième article issu du travail de cours sur les villes intelligentes dispensé dans le cade du master en management territorial et développement urbain à Charleroi (ULB/UMONS). Il a été rédigé par Hélène…

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Extinction partielle de l'éclairage public dans le territoire Sud Roussillon

Extinction partielle de l’éclairage public dans le territoire Sud Roussillon

Dès le lundi 17 octobre, une extinction de l’éclairage public de 1h du matin à 6h du matin sera expérimentée par la Communauté de communes Sud Roussillon dans ses six communes. Cette mesure a pour but de réaliser des économies financières, d’énergie et de préserver l’environnement. Elle concerne toutes les rues et secteurs de Saint-Cyprien, Alénya, Latour-Bas-Elne, Corneilla-del-Vercol, Théza et…

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CONCEPT LIGHT illumine vos projets

MISE EN LUMIERE , VIDEOMAPPING , CONCEPTION , CREATION LUMIERE , FRESQUE LUMIERE , GOBO SUR MESURE , NOUS CONCEVONS ET FABRIQUONS SELON VOS BESOINS ....

L'injustice environnementale

L’injustice environnementale

Nous étions si fragiles…     Le scandale de l’eau empoisonnée de Flint était un cas flagrant d’injustice environnementale. L’accès à un air respirable, à une eau potable ou à des aires de jeu sûres pour les enfants, était un droit que les groupes sociaux favorisés, aux Etats-Unis, tenaient pour acquis, mais pour les citoyens les plus pauvres et issus des minorités, il n’y avait pas d’accès assuré…

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4 juillet 1465 : ordonnance imposant la présence de lanternes dans les rues ➽ http://bit.ly/Lanternes-Rues Ce n’est que bien récemment que l’on a su mettre en œuvre, dans les grandes villes de l’Europe, les mesures de sûreté nécessaires à leur police intérieure. Au début du XVIIIe siècle, Paris était encore mal éclairé pendant la nuit

Comment ca se passe quand tu fais un shoot ?

Hello Anon! C'est assez simple, je donne rendez-vous aux gens en ville et on marche entre une heure trente et deux heures à la recherche d'endroits cools. C'est pas tant les endroits mais surtout certaines lumières que je cherche.

Les photographes avec un demi neurone actif le savent (ou devraient le savoir) : la lumière directe c'est pourri sauf pendant 20 minutes à l'heure dorée et vu que c'est très restrictif, je suis plutôt du genre à chercher la lumière réfléchie en ville ce qui rend possible la photo de portrait à presque n'importe quel moment.

Je cherche donc la lumière qu'elle soit réfléchie depuis des fenêtres ou réfléchie depuis un mur ou encore depuis le sol. Ça offre beaucoup de variété et parfois certains agencements sont aussi bons qu'en studio et c'est ce qui me motive le plus je pense. Devoir être attentif à la configuration des lieux afin de pouvoir avoir un éclairage impeccable sans vraiment avoir de contrôle direct dessus c'est du problem-solving excitant pour mon côté ND. Une fois que t'as la bonne lumière, c'est 70% du boulot qui est fait, tapes n'importe qui dedans et ils auront l'air bien, à condition de pas trop mal cadrer.

Portraits réalisés en lumière indirecte ^

Aux modèles, avant le jour du shoot, je rappelle évidemment qu'elles peuvent venir accompagnées pour être aidées si plusieurs tenues sont prévues ou simplement pour être à l'aise — car on sait tous qu'il y a plein de saloperies qui se passent dans ces milieux là, les "photographes" douteux sont d'ailleurs facilement identifiables à leurs feeds ; par le choix des poses "infligées" aux modèles, par le manque de qualité du travail, par le côté monomaniaque "je ne photographie que des jeunes filles" (bien que ça puisse être un biais, car les mecs sont bien moins demandeurs de shoots bien que ça change doucement). Ce ne sont pas toujours nécessairement des red flags, mais moi ça m'interpelle. Mais parfois certaines personnes de talent cachent bien leur jeu alors être prudent.e.s pour les modèles c'est un bon réflexe et c'est mon boulot de leur signifier dès le début, l'air de rien, que c'est totalement okay de prendre ses précautions et venir avec quelqu'un.

Je pense que dans mon cas mon feed reflête une bonne image. J'ai de la photo perso, du reportage, de la photo de paysage et quand je fais du portrait c'est bien lêché et très cachère. Je suis bien plus intéressé par le regard de gens et les émotions qu'ils peuvent évoquer que par leur plastique.

La gueule de mon feed insta ^

Ensuite, selon le niveau du / de la modèle, je fais 10-15 minutes de principes de pose de base comme utilisés dans la photo de mode. Souvent même des modèles avec un peu d'expérience ne les connaissent pas vraiment parce que justement elles n'ont jamais posé qu'avec des amateurs qui les voient en tant qu'objet plutôt qu'en tant qu'acteur de la photo. Du coup je mets l'accent sur ma manière de travailler et ils ou elles apprennent quelques trucs qui leur seront utiles au long terme.

Ensuite on marche, je cherche les endroits avec la lumière qui m'intéresse, on shoot et durant ce temps je donne verbalement beaucoup de feedback positif, (rien de pire qu'un photographe silencieux) si quelque chose ne me plaît pas, j'explique ce qui me dérange comme ça la personne n'interprête pas mon non verbal comme étant une réaction à quelque chose qu'elle aurait mal fait (99% du temps c'est le cadrage ou la lumière qui m'ennuie et pas la personne) et ça se passe tranquillement comme ça dans des lieux publics.

J'explique bien que les premières trente minutes les images ne sont pas top parce qu'il faut que l'appréhension s'estompe, et que les meilleures images sont souvent sur les dernières 30 minutes quand tout le monde est bien à l'aise dans le processus.

Au cœur du crépuscule indifférent d’une ville dont le jour s’en est allé, laissant place à une ville de nuit de tous les déserts, éclairages publics, néons blêmes ou « frénétiques », enseignes lumineuses, panneaux publicitaires lactescents, dardent leurs raies, dessinent des contours d’obscurités et de clartés, incendies d’ombres et de lueurs vives qui attirent aux lampadaires une société de papillons à la recherche de la lumière...

Patrick Chamoiseau

Un homme de paroles

L'autobiographie du parolier de Michel Polnareff, Mika, Alain Bashung, Sylvie Vartan, Lio, Julien Doré, Camelia Jordana, Emmanuelle Seigner, L5…

Avant de se faire connaître sous le nom de Doriand, Laurent Lescarret, jeune homme issu d'une famille modeste, quitte Bordeaux au début des années 90 pour tenter sa chance dans la musique. Rêvant de chanter, il fait tout pour rencontrer ses idoles : s'il a la chance d'être adoubé par Etienne Daho et Lio, il est également confronté à la dureté du showbiz et à la difficulté de s'imposer dans ce domaine.

Sa carrière de chanteur (cinq albums à son actif) laisse aussi la place à celle de parolier, et c'est finalement ses collaborations avec des artistes comme Michel Polnareff, Alain Bashung, Mika, Keren Ann, Lio, Sylvie Vartan, Helena Noguerra, Julien Doré, et tant d'autres, qui lui permettent de vivre de sa passion.

En rentrant dans la vie de ces chanteurs, Doriand raconte comment ces derniers font aussi partie de la sienne, l'autobiographie étant l'occasion de dévoiler ces relations à la fois artistiques et intimes, émaillées d'anecdotes cocasses et émouvantes, donnant un éclairage inédit sur la fabrication de hits comme « Toutes les femmes de ta vie » ou « Elle me dit ».

EXTRAIT

« Sa femme et son fils ne sont pas là en ce moment, il y a des tensions, et il a peur de rentrer dans « sa maison vide ». Moi aussi, j'ai peur de rentrer à Paris, où mon cocon familial se fragilise. Je ne me doute pourtant pas que ma vie familiale va voler en éclats dans peu de temps. Autant, je peux être un bon conseiller ou un ami intuitif quand il s'agit des autres, autant je suis miro et d'une naïveté confondante quand il s'agit de ma propre vie.

Michel [Polnareff] parle souvent de ses concerts et de son public dont il se sent si proche. Il dit pourtant que c'est pareil de jouer devant 15 000 ou 150 000 personnes. Je lui réponds que le plus difficile est de jouer devant une seule personne, mais son sens de la repartie inimitable lui fera me balancer : “Vos expériences personnelles m'ennuient !” »

L'AUTEUR

Doriand est auteur-compositeur-interprète, mais il est surtout l'un des derniers paroliers à exercer ce métier « à l'ancienne ».

Un homme de paroles est son premier livre.

L' Eglise ? - ( III ) : Mais pour qui, au fond ?

  Le CFRT –Comité français de radio-télévision (''le jour du Seigneur'')-- vient de rendre public un sondage de l'Institut Harris-Interactive sur ''Qui sont les chrétiens, aujourd'hui''. Ce sondage porte sur 2807 citoyens français (pourquoi ''07'' ? Sans doute un résultat plus qu'une volonté !). Ce chiffre, très au dessus de la ''moyenne'' des sondages, est très ''honnête'' et permet des analyses et des extrapolations dignes d'intérêt, un sondage général de ce type portant sur un millier de personnes questionnées. Les résultats confirment certaines idées... mais en détruit d'autres, mettant plusieurs points sous un éclairage auquel personne ne pensait plus.

Premier enseignement : un peu moins d'un français sur deux (46 %) se dit proche du christianisme et ''estime que la foi chrétienne est d'une forte utilité pour lui''. Le sondage les appelle ''les intéressés''. Si on lit ce chiffre à la lumière du plus récent sondage national, qui dit que 19,6 % de la population française est ou sont issus de 3 générations d'immigrés –dont une forte majorité de musulmans, peu concernés par cette question (dits ''les éloignés''), ce qui devrait statistiquement rapprocher ces ''46 %'' de la barre des 50 %--, on trouve là la démonstration éclatante de cette idée que ''la France, malgré trois siècles de militantisme anti-chrétien à la limite du pathologique'', reste imprégnée en profondeur par le christianisme'', et aussi l'explication du fait que, pendant la période honteusement liberticide des mortelles interdictions et humiliations soi-disant dues au covid, ''la messe à la télé'', sur France 2, s’est retrouvée première en part d'audience, le dimanche à 11 heures.

Allons plus loin : une petite moitié de ces ''46 % d'intéressés'' (48 % de ces 46) avoue se positionner dans les  ''non-pratiquants mais de culture et d'éducation chrétienne'', et ''en recherche de sens''  (NDLR : ''Tu ne me chercherais pas... si tu ne m'avais pas déjà trouvé'', disait Pascal), 22 % (des mêmes 46), dits ''les appétents'', n'ont pas le temps de pratiquer régulièrement (ou ne veulent pas le trouver !), et 18 % ‘’ont oublié une éducation chrétienne’’ mais sont en attente de réponses sur des questions spirituelles (voir notre éditorial d'hier sur l'absence dramatique de réponses appropriées). Dans cette catégorie, dite ''les curieux'' dans l'étude, on trouve les plus jeunes (44 % ont entre 18 et 34 ans), qui sont ceux qui témoignent d'un intérêt réel pour les sujets religieux. Quant aux chrétiens qui sont dits ''pratiquants'' (NDLR : qui étaient les seuls ''chrétiens reconnus'', dans ma jeunesse ! Autres temps... autres mots !), ils se présentent en deux catégories : les ''convaincus'', soit les habituels 3 % qui se partagent entre des ''réguliers'' (2 %) et des ''engagés'' (1 %)... et enfin les ''classiques'' (9 %), dont la pratique est ''plus ou moins régulière''. Ces 12 % ne sont pas une surprise : ce chiffre est souvent cité.

Dans les 46 % des ''intéressés'' qui se sentent proches de la foi chrétienne, 90 % affirment ''être baptisés'', 83 % se définissent comme ''chrétiens'' – contre 50 % pour les ''curieux''--, et 79 % se déclarent catholiques. Cependant (car rien n'est jamais simple !) , toujours sur ces 46 % des ''proches du christianisme'' auto-déclarés, 36 % disent ''fréquenter un lieu de culte plus ou moins  régulièrement'' dont seulement 12 % ''au moins une fois par mois'', alors que 47 % déclarent ''ne s'y rendre que pour des cérémonies ou des grandes fêtes''. Dans un autre domaine, la prière, 36 % des mêmes ''46 %'' assurent prier une fois par mois, et 32 % ''moins souvent'' (?).

Benoît Cassagne, le Président du CFRT, déduit de ces chiffres que la part des pratiquants réguliers et occasionnels qui fréquentent un lieu de culte et qui prient... de temps en temps, tourne autour de ces 36 %, ce qui fait un petit 8 millions de personnes à vocation de ''fidèles'', et il ajoute ''ce qui est plus que ce que l'on croit généralement'' : il y aurait donc entre 1,3 et 8 millions de vrais chrétiens résiduels chez cette ex-fille aînée de l'Eglise, qui pratiquait à plus de 70 % jusque vers 1962 ! La chute est vertigineuse : presque ''fois 10'' (comme on le dit maintenant), en un demi-siècle... Bravo, les gars ! Surtout, ne changez rien à vos errances mortifères !

En reprenant ces chiffres avec le plus d'objectivité possible sur un sujet passionnel et passionné entre tous –pour moi, en tout cas-- on est frappé par l'immensité du spectre devant lequel on se trouve : les sondés vont des plus ardents défenseurs de la messe en latin et de ''la liturgie pré-Vatican II'' jusqu'à la véritable haine pour le christianisme (et le catholicisme au tout premier chef) des plus violents de ceux qui se croient ''libres-penseurs'' et dont le seul but est de faire disparaître les crèches de Noël et toute trace de notre belle et riche ''Histoire de France'' qui tourne autour de la chrétienté... leur ''liberté''(sic !) se limitant à réciter les mantras sans magie de gourous sans âme. Voilà un sujet où la synthèse n'est pas un ''allant de soi'' !

Au sein des répondants qui ne sont pas des ''ennemis irréductibles'' du sujet-même de l'enquête,  67 % trouvent l'Eglise ''tolérante'' (Aïe ! Ça, ça fait mal ! Combien de musulmans, d’israélites, ou d'hindouistes –et combien d'islamo-gauchistes ou de féministes endiablées, tant qu'on y est !-- vont choisir ce vocable peu valorisant pour qualifier leur ''foi ''? Nous jouons ''à qui perd, perd'' dès le premier mot !)... et 80 % la trouvent ''ouverte'' (deuxième surprise : ouverte, peut-être, mais aux autres religions concurrentes qui ne pensent qu'à abattre cette championne du monde des violences encaissées-- mais pas aux pauvres ''tradis'', matraqués ''H24'' par le Vatican, un peu comme les ''suspendus'' de --et par-- Macron !). Autre chose : 92 % condamnent les abus sexuels (c'est une autre grosse surprise ! Il y en aurait donc 8 % qui les absolvent ? Je refuse d''y croire)... ''Mais, dit le commentaire-mode d’emploi, les chiffres montrent une volonté d'évolution qui peut être interprétée comme une remise en cause''... (NDLR : Si seulement !).

La leçon que l'on pourrait tirer de nos trois ''éditos'' sur le christianisme, c'est une vérification de la profondeur perdurable de ''l'empreinte chrétienne'' sur les mentalités, en France : la violence de la haine projetée dans leur combat par les ennemis de toute civilisation (puisque personne ne peut plus mettre en doute le principe qu'une civilisation ne peut exister et se concevoir que s'appuyant sur un Dieu, une foi et une religion) ont un rendement qui oscille entre ''très faible'' et ''nul'' -ce dernier mot leur convenant très bien. Et ensuite, il existe une véritable ''fringale'' pour des vraies réponses de type religieux. L'Homme, décidément, ne se nourrit pas que de pain, de consommation forcenée et de vide spirituel... Et je trouve ça à la fois très beau, encourageant, et un peu nostalgique : pourquoi l'Eglise s'entête-t-elle dans les mauvais choix de sa fascination actuelle pour l'horizontalité, la perte du sens du sacré, le désert spirituel et la médiocrité (je suis poli !) des rites ?

Si j'osais, je donnerais bien un conseil, du haut de ma nullité prétentieuse : parlez nous moins de social, beaucoup moins de sociétal, presque pas du covid, pas du tout de politique, et à peine de météo –sinon pour nous encourager à relire les versets merveilleux de la Genèse... et à les suivre ! Vous serez étonnés de la vitesse avec laquelle nous autres, les ''pauvres pécheurs'', vous retrouverons...  Une suggestion : comme nous l'ont recommandé nos faux  Experts ânes bâtés ''Bac +18'' à propos des covideries qu'ils nous ont imposées (135€ l'une !) et qui ne servaient à rien, il ne serait peut-être pas idiot, cette fois-ci, d’établir une ''balance bénéfices-coûts'' entre nos gains (s'il y en a eu !)...  et ce que nous avons perdu !  Et une remarque : à titre personnel... je n'aimerais pas avoir à me présenter un jour devant mon créateur avec un tel bilan d'églises vidées, de séminaires désertés, des prélats indignes, un continent –ancien leader du monde-- devenu un objet d’opprobre, et ma religion, la plus détestée au monde. Mais ce n'est pas le sujet !

H-Cl.

Sunday 10 November 1839

9

12 20/..

fine morning F58 ½° on my table now at 10am and R -9° and breakfast – off to church at 11 – arrived just before service began – Mr. Camidge preached 33 minutes from Mat. xxii. vv. 16 to 22. on our return found Mr. de Richter – off again in a few minutes – and he who set off at the same time was ready at the door of the university library to receive us – we arrived about 1 ½ and staid till 4 ½ - 65,000 volumes – rich in philosophy – our government has given them 2 copies of our statues etc. from Magna carta to queen Anne – 4 librarians – de R- the 2nd in rank – salary = 2500/. – Retraite after  36 years of service = 400/. – I think he said he had already served 9 years – said yesterday he was aet. 36 – no chance of his accompanying us in our tour – cannot leave Moscow – shewed us the work of Ledebour Charles Frederic (I think) a Ledebourg i.e. a Latin for de [?] – vid. Upsala [Uppsala] observation on à Linnée – all the voyages that have been published on Russia – then talked of going to read at the

open to the public from 11am to 2pm – should have given up the idea of doing anything at botany at home but he thought we could examine dried plants .:. said we would begin on Tuesday – botany instead of Russian – poeles [poêles] = 25/. to 30/. per month each – the latter price if heated with bouleau but perhaps Mrs. Howard gives up Sapin which is worth perhaps five roubles a month less than bouleau (birch) – oil for one lamp from 5 to 11 pm would probably cost about ./40 – and stearine candles = 50/. per ppd of 40lbs. x 4 candles = 160 candles 600/. per month (including chauffage et éclairage) enough and 15/. per day for nourriture – Give our 2 coachmen 10/. between them per month – home at 4 40/.. dressed – dinner from 6 to 7 – off at 7 ¼ to Mr. Fischers’ – one gentleman there in addition to the [family] – papa and mamma, son and 3 daughters – tea on the table – there from about 7 ½ to 8 ¾ - home about 9 – princess R- had sent to say tea was ready – so went to her about 9 ¼ and staid till 10 55/.. A- poorly – seemed very well at Mr. Fischers’ – had been starved all the day – did not go with me tonight – on my return found her undressing – wrote the last 5 lines till 11 10/.. – fine day F60 ¼° now at midnight and the same at 9 ¼ pm and R -6 ½° now at midnight = F18°

COMMENT LA VILLE INTELLIGENTE PEUT AVOIR UN IMPACT ÉCOLOGIQUE, ÉCONOMIQUE ET DE SÉCURITÉ GRÂCE À L'ÉCLAIRAGE PUBLIC ? LA VILLE D'OSLO, UNE VILLE PIONNIÈRE EN EXEMPLE

Voici le second article rédigé par un de mes étudiants. Si l'éclairage public et la gestion énergétique vous intéresse, cela vaut la peine de le lire. Enzo Maci vous emmène à Oslo pour voir comme cela se passe.

From Oslo, with love (2022), Opera house, Snøhetta, 2008 Temps de lecture : 10 minutesmots-clés : espace public, sécurité, éclairage, lighting, public space, security, women, femmes, security, environnement Chers lecteurs, Voici le second et dernier article de la session de juin. L’article proposé par Enzo MACI traite d’un sujet que nous avions déjà soulevé lors de l’a coupure des éclairages…

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Se laisser surprendre

Après une semaine riche en découvertes et apprentissages, c'est avec beaucoup de hâte que je me suis rendue à la fondation Fiminco pour le salon MAD. En tête, le nouvel éclairage que m'avait apporté cette première semaine de DSAA sur la pratique éditoriale, je m'attendais donc à un vaste espace d'exposition, de remarquables éditions contemporaines, une profusion de propositions d'une qualité professionnelle.

Finalement, quelle découverte surprenante et agréable que la réalité du salon. L'espace répartie sur plusieurs salles, proposait des rencontres plus intimiste et un contact facile avec les professionnels du monde de l'édition. La richesse apparente de productions contemporaines était finalement minime à côté de la richesse que représente une brève discussion avec un auteur sur son propre travail.

C'est notamment ce que vous auriez découvert dans le stand des éditions PARIS EXPÉRIMENTAL,  Christian Lebrat, plasticien, photographe et cinéaste présente ses nombreuses productions allant de la photographie, aux livres imprimés en passant par le film. Parmi ces propositions, l'attention s'arrête sur une série d'objets très sobres. Une couverture blanche habillée de quelques lignes de textes, les pages au format A4 modestement reliées par une spirale. Les énoncés sont de courts ouvrages atypiques dont la couverture annonce rigoureusement le contenu de chaque page. L'intérêt de ses créations, n'était pas esthétique mais l'auteur a su capter l'attention grâce au concept fort qui dicte ses ouvrages, grâce à leur excentricité et à la conviction qu'il mettait en son projet.

Je suis alors sortie de la fondation Fiminco enrichie, très inspirée culturellement comme visuellement et surtout avec l'idée que le concept du livre est plus important que son esthétique.

J'ai compris que l'intérêt majeur de ce salon n'était pas de regarder ni même de toucher les productions mais d'échanger avec leurs auteurs, de découvrir des concepts et de faire des rencontres professionnelles et culturelles.

Le multiple d'artiste, au-delà d'un objet édité (donc reproductible en quantité) est un objet qui se veut être une extension de son auteur. Il porte ses idées et valeurs afin de les transmettre à un public. Un objet passerelle entre le créateur et les visiteurs qui permet d'engager une discussion autour de la thématique abordée.

Christian Lebrat - Les énoncés (2005-2013)

Léa Guelaud

Article 1 – 2334 signes

11 Septembre 2022

Quelles menaces pèsent sur la faune et la flore de France hexagonale et de Corse ? Un éclairage à partir de la Liste rouge nationale - Publications scientifiques du Muséum national d'Histoire natur...

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En France métropolitaine, 5 grandes pressions pèsent sur la faune et la flore : la disparition des habitats est en tête. Découvrez la 1re cartographie de 642 espèces menacées à partir de 1,7 millions de données d' occurrence

  Publié le 17 avril 2024

  Publications scientifiques du Muséum national d'Histoire naturelle https://sciencepress.mnhn.fr/sites/default/files/articles/pdf/naturae2024a7.pdf

  "La Liste rouge nationale (LRN) est une démarche collaborative d’évaluation du risque d’extinction des espèces sur le territoire français selon la méthodologie de l’Union internationale pour la Conservation de la Nature (UICN).

  Entre 2008 et 2020, 6 700 espèces réparties en 11 chapitres ont été évaluées, et 700 sont considérées comme menacées.

  Les auteurs ont bancarisé et harmonisé les catégories de menaces identifiées lors des ateliers selon la classification des menaces directes de l’UICN, afin de proposer une analyse des activités et des processus d’origine humaine ayant un impact négatif sur les espèces menacées de France hexagonale et de Corse. La disparition de leurs milieux de vie due à l’urbanisation, au développement industriel, à l’agriculture, à la production d’énergie, aux exploitations minières et aux modifications du système naturel apparaît comme la principale menace qui pèse sur les espèces terrestres.

  Pour les espèces inféodées au milieu marin, les résultats de la Liste rouge nationale en métropole mettent en évidence les prélèvements comme la principale menace directe ou indirecte. Cet article présente également une carte de la répartition des espèces menacées en France hexagonale et en Corse à partir de 1,7 millions de données d’occurrence de l’INPN. Celle-ci met en évidence l’importance de la région méditerranéenne (en particulier du sud-est), des massifs montagneux et des vallées comme celles de la Loire et du Rhône.

  Cette carte n’a pas l’ambition d’être exhaustive, notamment en raison de l’hétérogénéité du niveau de connaissance, mais doit contribuer à l’identification de secteurs à fort enjeu de conservation à l’échelle nationale.

  Enfin, ce travail inclut à titre exploratoire, une analyse des patrons de distribution des espèces impactées par la pollution et l’enfrichement afin de diagnostiquer les zones potentiellement plus sensibles.

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NDÉ

via Muséum national d'Histoire naturelle sur X, 19.04.2024

https://twitter.com/Le_Museum/status/1781286178068533602

Comment améliorer la qualité de vie dans les villes ?

La qualité de vie dans les villes est devenue une préoccupation centrale pour de nombreux résidents, urbanistes et dirigeants municipaux. Avec l'augmentation constante de la population urbaine, l'enjeu est grand : comment pouvons-nous faire de nos villes des lieux plus vivables, sains et heureux? Voici quelques pistes pour nous guider. Prioriser la mobilité verte Le transport en commun, les pistes cyclables et les zones piétonnes réduisent la pollution, les embouteillages et encouragent un mode de vie actif. En optant pour des moyens de transport écologiques, nous contribuons non seulement à la santé de notre planète, mais aussi à notre propre bien-être. Espaces verts et nature en ville Un parc, un petit jardin ou même un toit vert peuvent avoir un impact significatif sur notre moral. Les espaces verts purifient l'air, réduisent le stress et offrent des zones de loisirs pour les familles et les individus. Promouvoir la cohésion communautaire La qualité de vie ne concerne pas seulement l'environnement physique, mais aussi les liens que nous tissons avec nos voisins. Organiser des événements locaux ou créer des espaces de rencontre peut renforcer le sentiment d'appartenance et la solidarité au sein de la communauté. Réduire la pollution sonore Des rues plus silencieuses peuvent faire une énorme différence dans notre bien-être quotidien. Des solutions comme les revêtements routiers absorbant le son ou les zones à faible bruit peuvent grandement améliorer notre expérience urbaine. Urbanisme centré sur l'humain En plaçant l'être humain au centre de nos préoccupations d'aménagement, nous créons des villes qui répondent mieux à nos besoins. Cela peut signifier plus de bancs publics, des éclairages de rue agréables ou des routes plus sûres pour tous. Accessibilité pour tous Tout le monde mérite de profiter de la ville, quelle que soit sa capacité physique. Des villes accessibles sont non seulement éthiquement justes, mais elles enrichissent la diversité et l'inclusivité de la communauté. A lire : Tout savoir sur le développement personnel moderne Soutenir les commerces locaux Les marchés locaux, les boutiques artisanales et les cafés de quartier non seulement renforcent l'économie, mais ajoutent aussi un charme unique à nos rues. Soutenir ces entreprises renforce le tissu social et améliore la qualité de vie. Promouvoir la culture et l'art Les expositions, les spectacles de rue et les ateliers d'art font vibrer une ville. En investissant dans la culture, nous enrichissons nos âmes et créons des espaces d'expression et de dialogue. Sécurité et prévention Un sentiment de sécurité est fondamental. Cela implique une patrouille efficace, une bonne éclairage et une communauté vigilante pour garantir que chacun puisse profiter de la ville sans crainte. Éduquer et sensibiliser Chaque résident peut jouer un rôle dans l'amélioration de sa ville. En offrant des ateliers et des formations, nous autonomisons les citoyens à devenir des agents actifs du changement. Améliorer la qualité de vie en ville est un défi qui nécessite l'effort et la collaboration de tous. Chaque petite initiative, chaque sourire échangé, chaque arbre planté contribue à faire de nos villes des havres de paix, de bonheur et de solidarité. Ensemble, nous pouvons transformer nos villes en des lieux où chaque jour est une célébration de la vie. Read the full article

4 juillet 1465 : ordonnance imposant la présence de lanternes dans les rues ➽ https://bit.ly/2Wvf0Ht Ce n’est que bien récemment que l’on a su mettre en œuvre, dans les grandes villes de l’Europe, les mesures de sûreté nécessaires à leur police intérieure. Au début du XVIIIe siècle, Paris était encore mal éclairé pendant la nuit