Tumgik
#ça y est c'est bon j'arrête
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grosse envie de laisser tomber (tous ces gens qui sont contents d’être tes ami.e.s parce que c’est toi qui organise tout le temps tout et qui relance tout le temps pour tout)
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soeurdelune · 7 months
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parce qu'on approche doucement mais sûrement de la spooky season 🎃, c'est l'occasion de parfaire votre culture en films d'horreur! voici une petite sélection de 10 diamants du genre, visionnables gratuitement sur youtube (et sous titrés en anglais pour ceux en langue étrangère! que demande le peuple...) il va sans dire que l'horreur étant un genre parfois costaud, pensez à vérifier vos triggers pour chaque film sur le site does the dog die?
carnival of souls, 1962 (vo: anglais américain), une masterclass, un des premiers grand films d'horreur moderne, il a inspiré des réalisateurs comme david lynch ou james wan. (la note de lune: 5/5)
el espinazo del diablo (l'échine du diable), 2001 (vo: espagnol), personne ne raconte une histoire de fantômes comme guillermo del toro, un très beau film qui inaugure sa trilogie de la guerre civile, à suivre avec le labyrinthe de pan et son pinocchio de 2022. (la note de lune: 4/5)
a tale of two sisters, 2003 (vo: coréen), des influences gothiques saisissantes et une histoire aux allures de diabolique petit puzzle. (la note de lune: 4/5)
ringu, 1998 (vo: japonais), un immense classique de la j-horror que l'on ne présente plus, efficace et très bien ficelé, featuring hiroyuki sanada ♥️ (la note de lune: 5/5)
the last man on earth, 1964 (vo: anglais américain), inspiré du roman i am legend qui a donné une palanquée d'adaptations au fil des années, celui-ci est de loin mon favori, vincent price est une ICÔNE et ce film est un pur plaisir à regarder. (la note de lune: 4/5)
kairo (pulse), 2001 (vo: japonais), un autre classique de la j-horror, l'ambiance est profondément troublante et mélancolique, avec des scènes qui vous hanteront pendant un bon moment. (la note de lune: 4/5)
hellraiser, 1987 (vo: anglais américain), tout le monde l'a probablement déjà vu mais la version youtube est tellement quali que je le mets ici quand même, pinhead est un méchant incroyable, le film a des défauts mais les qualités l'emportent sur le reste, un bijou de l'horreur un peu gory des 80s! (la note de lune: 3/5)
donnie darko, 2001 (vo: anglais américain), diffile à mettre dans une catégorie plutôt qu'une autre, un peu d'horreur mêlée à du thriller psychologique et une pointe de sci-fi, ça reste un classique au dénouement final incroyable. (la note de lune: 5/5)
one missed call, 2003 (vo: japonais), juré après j'arrête avec la j-horror, celui-ci est plus efficace dans sa seconde moitié que dans la première, il y a des moments qui font vraiment vraiment peur. (la note de lune: 3/5)
les yeux sans visage, 1960 (vo: français), avant la piel que habito d'almodovar, il y a eu les yeux sans visage, un petit précurseur considéré comme le premier film d'horreur moderne français. (la note de lune: 3/5)
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tealviscaria · 3 months
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bonjour bonjour :D comment ça va ?
j'avais une petite question ✨🤸🏻‍♀️
c'est quoi ta chanson préférée d'Orelsan ?
voilà je m'en vais 🤸🏻‍♀️
Bonjour!! :D Ça va, et toi?
Oh là là, c'est une question difficile, ça. Je dirais que ça change selon mon humeur actuelle, même s'il y a des favorites qui ne changent pas.
D'abord, je voulais dire tout de suite "Tout va bien", parce qu'à chaque fois que je l'écoute je trouve la musique absolument incroyable. Mais je ne sais pas si ce serait pertinent en ce cas-là, étant donné que Stromae a probablement joué un grand rôle dans la conception du son. (La collaboration fait partie intégrante de toutes les chanson d'Orelsan, mais quand même j'aimerais choisir une qui soit plus "la sienne", si on peut le dire.) Et vu que dans cette chanson j'aime plus la musique que les paroles, il faudrait peut-être choisir une autre.
"Défaite de famille" me fait tellement rire, mais là encore, j'imagine que j'apprécie plus le clip (et vraiment je trouve que ses capacités d'acteur sont au top là) que la chanson elle-même, donc pas celle-là non plus :D
D'un point de vue nostalgique, je pourrais choisir "Basique", parce que c'est la première que j'ai écoutée. (Il est THÉORIQUEMENT possible que j'ai entendu "Logo dans le ciel" comme la toute première chanson, dans une vidéo de MisterJDay, mais je n'ai aucun moyen de vérifier laquelle était la vraie première écoute :D).
"Jour meilleur" est génial aussi. Je crois que c'est la première où j'ai essayé consciemment de mémoriser les paroles. (C'est bizarre que d'habitude j'ai une bonne mémoire pour les paroles, mais en fait je crois que je pourrais pas chanter une seule de ses chansons à 100% 😅)
Honorable mentions: Peur de l'échec, Finir mal, Bonne meuf, Excuses ou mensonges, Du propre, Rêve mieux (!!) et j'arrête avant que je liste toutes les chansons de Civilisation :D
*Drum roll* Bon. Je suis pas tout à fait convaincue de mon propre choix. Mais si je dois choisir UNE (1) seule, j'opte pour "Civilisation".
Ce n'est pas forcément celle que j'écoute le plus (j'en suis même sûre) mais un peu comme "Tout va bien", je me dis à chaque fois que je l'écoute "mais putain les paroles sont magnifiques".
- Dit Teal, d'un ton ferme mêlé d'admiration.
Et toi, quelle est la tienne? :D
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jefaiscequejepeux · 1 year
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Semaine dernière c'était le chaos tout est arrivé en même temps alors qu'il se passe rien de rien dans ma vie depuis 3 mois j'ai vu un hypnothérapeute il m'a fait chialer ma grosse race et il m'a fait réaliser plein de trucs hyper intéressants sur mon enfance et mes parents et ma rupture et ça m'a remuée j'y ai pensé toute la semaine ça m'a fait réaliser d'autres trucs plus tard et j'en ai discuté avec un pote hier c'était trop cool bref j'ai hâte de le revoir et de commencer l'hypnose (là c'était juste la séance d'intro pour comprendre c'est quoi mon problème) parce que je suis pas 100% convaincue par tout ce qu'il raconte mais il a vraiment soulevé des points intéressants et fait des liens auxquels j'avais jamais pensé et ça m'a déjà fait beaucoup de bien. Aussi y a un type à qui je parle depuis 1 an et je pensais jamais le voir parce qu'il vivait à 1h et qu'il est super timide et j'étais ok avec le fait qu'on soit potos virtuels sauf que le bougre est venu s'installer dans ma ville à 10 mètres de chez ma mère y a 1 mois car il a trouvé du travail ici et il voulait toujours pas me voir car trop tendax le garçon et j'étais wtf c'est 100 fois pire de savoir qu'on peut se croiser n'importe quand que de se voir vraiment une fois qu'on en finisse quoi. Et bref j'allais pas forcer non plus donc tant pis mais en partant de chez ma mère (car je devais m'occuper de l'enfant-chat la semaine dernière) je le croise lui en voiture moi à pied j'en ai enlevé mes lunettes de soleil de manière dramatique et il m'a juste regardée dans le rétro (même pas capable de me regarder en face mdr plus timide y a pas) donc après 1 an à se parler que par message ça m'a fait trop bizarre. Sinon sans transition un autre truc qui m'a remuée (littéralement lolilol) c'est que j'ai ken avec deux mecs différents cette même semaine et je devais ken avec un troisième mec toujours la même semaine mais j'ai annulé parce que je me suis dit c'est bon on va pas faire la tournée des grands ducs non plus c'est trop d'émotion pour moi là mdr en plus ça m'a niquée toute ma libido ces conneries parce qu'imaginer qu'on ken quelqu'un c'est super mais le ken en vrai c'est rarement si super pas forcément que pour l'acte en lui-même mais à cause de tout ce qu'il y a autour et même si je fais un peu la meuf détachée parfois sur le moment je trouve vraiment pas ça anodin de faire du sexe et ça m'impacte je me sens toujours flouée d'une certaine manière mais je crois c'est juste qu'il faut que j'arrête de ken des types horribles avec moi et malheureusement c'est tout ce qu'il y a en magasin donc peut être faut juste que j'arrête de ken tout court retour à ma vie de moine hop la
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leleaulait · 8 months
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Déboires n°60 avec mon Sub :
Alors !! Hier je vais voir mon médecin pour qu'il me fasse un chevauchement d'ordonnance car j'avais pris BIEN plus de Sub que prévu, j'ai merdé quoi. J'étais ultra nerveuse je me suis même effondré devant lui alors qu'il m'a clairement dit qu'il fallait que j'arrête de me flagellé pour ça, il n'y a rien de grave, ça arrive et c'est pas si grave vraiment. Il m'a dit qu'en 3ans de traitement je n'avait jamais été demandé un chevauchement et ça c'est déjà ouf et qu'il fallait que la prochaine fois que ça m'arrive, j'aille le voir tout de suite pour ne pas subir le manque, ça sert a rien, qu'il préfère me faire un chevauchement de 20 boîtes plutôt que j'aille me défoncer comme avant.
Bref il fait le chevauchement, l'ordonnance blabla, je vais à la pharmacie et la.... Bah elle ne peuvent pas me donner les boîtes car il a oublié de marqué "chevauchement autorisé dessus". Ah ! La pharma essai de le joindre au tel, évidemment il était 18h50 il était déjà partie 👍 du coup bah pas grave demain matin j'appelle la secrétaire pour qu'elle lui dise de me refaire une ordo (je n'en veux pas au pharmaciennes adorables, elles n'ont pas le droit de depane ce genre de médocs). Donc ce matin je prends tout mon courage à deux mains, j'appelle la secrétaire qui me dit que, bah non il est pas là le jeudi. Ah ! Je lui explique que c'est con parce que c'est juste une erreur d'ordonnance, et la... Elle commence à me dire "attendais je regarde votre dossier pour voir pour quoi c'est", je me suis dis "soit elle est sympa, soit elle vas me faire chier parce que c'est mon traitement de substitution au drogue"
Bon je vous laisse deviner hein ! Elle m'a littéralement dit de façon incroyablement hautaine "non mais vous avez surdosé la !" Oui madame c'est pour ça que j'ai vu le médecin, c'est a ça que me sert l'ordo qu'il m'a fait. "Non mais vous croyez que je vais vous arranger le coup ? Vous aviez qu'à pas surdosé aussi"... Ok meuf t'es mon médecin ? T'es psy ? T'es mon addicto ? Je crois pas non alors juste ta gueule ! Je vous épargne BEAUCOUP de l'histoire mais mon copain a péter un câble et a demandé quoi faire a ma pharma qui on appeller SON médecin à lui qui a bien voulu me délivrer une boîte après qu'elles aient défendu m'a cause auprès du Doc parceque c'était pas gagné, ouuuuuf ! J'ai cru que j'allais encadrer la secrétaire. Elle m'a même dis "rappeler demain pour un rdv je verrai mais je sais pas si je pourrais vous arranger le coup" non mais wesh ! Je te demande pas d'arranger un coup ! Je demande que mon médecin corrige SON erreur ! Je suis déjà assez mal d'avoir foiré comme ça....
Pfiouuu ! Bravo si vous avez tout lu ! J'écris ça uniquement parce qu'il fallait que ça sorte j'en pouvais plus ! 💞
Et j'écris ça à chaud donc les il y a blindé de fautes 😅
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lekintsugihumain · 3 months
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Les relations sont une course contre la montre / On les consommes comme un Mcdo
ça faisait longtemps que je n'avais pas écrit comme ça j'espère que ce texte trouvera une "oreille"
J'ai l'impression que le "feeling" qu'on peut avoir avec des personnes peut se perdre très vite, quand tu ne vas pas à leur rythme, ou bien quand tu "casses" ce rythme. On peut parler ensemble tous les jours, ou du moins régulièrement, mais si je te réponds plus pendant un temps (chose qui arrive souvent et c'est jamais personnel, c'est juste moi et je ne comprends pas pourquoi je suis comme ça et je me déteste d'être comme ça.).
Et bien ce "feeling" va se casser. Et il y a comme un engrenage que tu dois relancer, c'est pour ça que je n'aime pas les échanges virtuels en continu, tu dois toujours maintenir une sorte d'intérêt, sinon tout le potentiel de la relation part dans le néant.
Je trouve qu'il y a une réelle pression à répondre vite, pourquoi ? Parce que l'autre t'oublie ou il se lasse, encore une fois, on fonctionne de façon très consumériste. On veut tout, tout de suite, et il y a une date de péremption, il y a un temps imparti, il y a comme "tu as été trop lent, je suis passé à autre chose tu ne m'intéresse plus" ; en fait, c'est comme au McDo, tu ne supportes pas d'attendre ton repas plus de 10 minutes, et si tu attend trop de temps, tu en as même plus envie. L'analogie est drôle, on consomme les gens comme des McDo, on les veux tous, tout de suite maintenant et après on les digère mal, et s'ils mettent trop de temps à arriver, on ne prend pas de plaisir. 
Le temps, c'est de l'argent ? Oui, mais pas que.  Le temps, c'est aussi l'importance, tu es aimé si tu es le plus rapide, le premier à réagir, à être présent, à répondre.  On ne veut plus prendre le temps de connaître et d'apprécier les gens, tant on veut les consumer aussi vite qu'on les a découverts, c'est comme tout.  Pourquoi beaucoup ont la flemme de voir un très bon film 3h, mais disent oui à un film médiocre de 1h15 ? Pour les mêmes raisons.  Et c'est à l'image de nos relations d'aujourd'hui, on ne connaît même pas son propre entourage, tu ne connais même pas les passions de tes propres "ami.es" ni de ta famille. Voilà pourquoi j'y vais parfois à reculons avec les nouvelles (pas que) personne dans ma vie ou autour, ou bien que j'arrête. Parce que je sais que je ne vais pas forcément avoir l'énergie de me battre pour maintenir une forme d'intérêt qu'a la personne pour moi, forcément je suis (de)nouveau dans sa vie, et la (re)nouveauté attise la curiosité, puis quand tu connais... Tu te lasses, ou pour ce qui est de mon cas, on découvre à quel point je suis inconsistant, banal et sans intérêt voir médiocre et méprisable, mais des gens restes pour je ne sais qu'elles raisons, sûrement car on aime avoir cette personne de bon coeur sur qui on sait qu'on compter et piétiner à la fois. Tel un chien qui reviens pour des caresses malgré que tu l'es tapé avant.
Ou l'énergie d'être le seul à maintenir une relation qui probablement ne va exister que dans ma tête, car moi je m'attache, j'ai décris un comportement que j'ai observé, que ne je fais pas, du moins pas totalement, car je pense qu'on est tous un peu comme ça à cause de notre système.
Alors parfois j'abandonne, car je sais que j'ai mis trop de temps à répondre aux messages, ou que je n'ai pas pu être assez présent à tout les événements, à toutes les soirées, que je n'ai pas assez liké ou commenté.
J'abandonne aussi d'avance, car je ne serai pas à la hauteur, je ne pourrais pas te parler h24, tout simplement car je ne suis pas doué pour ça, j'admire ceux qui peuvent entretenir des conversations. ça me rend triste aussi, je vois cette amie avec qui je parle tout les jours, enfin, parlait... Plein de vocaux, elle pourrait disserter sur la pluie et le beau temps, et tu as moi... Moi qui ne peux pas parler autant, qui n'arrive pas à parler de sa journée plus de 10 min et encore parce que il y a juste rien d'intéressant à dire. En fait c'est ça, j'ai rien d'intéressant à dire, et je ne le suis déjà pas moi même, je suppose que ça s'apparente à de l'ennui. Je ne m'ennui pas des autres, je m'ennui des conversations superflues, inutiles...
Je m'ennui de beaucoup de choses, mais pas des gens.
Moi ça me va d'être chill avec toi en silence, ont est pas obligé de casser absolument ce silence, c'est là où je ressens une vrai connexion, quand on peut-être ensemble en silence sans que ça soit gênant, que ça soit même agréable, le plaisir d'être ensemble.
Alors il y a des personnes avec qui ça s'arrête, d'autres avec qui ça ne (re)commencera jamais, parce que je n'ose pas et que je sais que c'est perdu d'avance.
À toutes nos histoires mortes avant d'avoir démarré. Et à toutes nos histoires mortes dans l'oublie au fond de ce portable.
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homomenhommes · 7 months
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story: JOURNAL D’UN CUL JOUISSIF / 14
14 | ENTRE AMIS
Cette aventure s'est déroulée il y a plus de 18 ans alors que j'avais à peine 24 ans. Tout comme aujourd'hui, j'étais un beau petit mec brun, plus ou moins sportif, d'1m70 pour 57kg, bite de 19 cm et un petit cul rebondi que je commençais à raser régulièrement. Actif et passif, avec un net penchant pour la jouissance anale.
Ma meilleure amie m'a proposé de passer une soirée avec elle et l'ex d'une de ses amies. J'acceptai. Seulement, elle me pria, cette fois-ci, de ne pas parler de cul, et encore moins du mien, car cet ami lui plaisait depuis très longtemps.
Elle me connaissait que trop bien et savait que, pour choquer un hétéro, je n'hésitais pas à parler de mes plans et à mentionner que j'aimais m'en prendre plein le cul.
Je devais les rejoindre vers 21h dans le centre de Lille. De là, nous devions aller dans un bar à rhum que cet ami affectionnait.
A l'heure, j'ai dû poireauter un bon quart d'heure. Au loin, je voyais arriver ma meilleure amie, appelons la Marie, et son pote, que je vais prénommer Julien pour préserver son anonymat. Elle me fit la bise et s'excusa pour leur retard.
"Pas grave, je n'ai que ça à faire : attendre." Dis-je agacé.
"C'est entièrement de ma faute. Je n'ai pas vu l'heure passer. Du coup, je suis arrivé en retard chez Marie. Enchanté (mon prénom), moi c'est Julien." Me répondit cet ami que je n'allais pas tarder à connaître. Il me fit la bise et m'offrit son plus beau sourire.
Je pris le temps de le observer un instant. Beau mec de mon âge, l'air sportif, un peu plus grand que moi, 1m80/85 peut-être, cheveux mi-longs bruns légèrement ondulés et des yeux d'un bleu intense derrière des lunettes de vue rondes. J'ai très vite compris l'intérêt de Marie pour ce type et pourquoi elle espérait concrétiser avec lui durant la soirée.
"Ce n'est rien va. Comme t'es beau gosse, je te pardonne." Lui dis-je en lui faisant un clin d'œil.
Quant à Marie, elle me regardait avec un air qui voulait dire "Arrête ça tout de suite".
Nous nous sommes donc rendus dans ce bar à rhum où nous avons discuté, rigolé et bu, un peu trop bu peut-être.
Sans crier gare, Julien commença à me poser des questions un peu déplacées, voir même un peu trop intimes. Du genre : "Qu'est-ce qui te plaît chez un mec ?" "C'est quoi ton kif ?" "Tu peux nous parler de ton dernier plan ?"
Je ne me suis pas laissé décontenancé.
A sa première question, je lui répondis "Les fesses puis les yeux".
A la seconde, "Me mettre à quatre pattes pour me faire bouffer longuement le cul avant de me faire enculer jusqu'à être rempli".
Et à sa troisième, je lui ai raconté mon plan de la fin d'après-midi après m'être fait défoncer le midi même par mon pote DJ :
"Pas plus tard que tout à l'heure, j'ai eu un plan avec un mec rencontré sur un tchate. Je me suis rendu chez lui pour qu'il me bouffe le cul avant de me le défoncer. C'est à dire, qu'arrivé chez lui, j'ai baissé mon jean en m'installant, cul tendu, sur son canapé. Il en a, ensuite, fait ce qu'il voulait. Ce qui est dingue, c'est que j'ai eu un plan similaire, chez moi, avec l'un de mes potes ce midi."
"Putain, tu t'es fait baiser deux fois aujourd'hui... T'es un chaud lapin toi. Et jamais tu ne suces ou tu ne bouffe, toi, le cul ?" Me demanda-t-il.
"Non mais les gars, fait chier, on ne va pas parler de cul toute la soirée." S'agaça Marie.
"Attends Marie, laisse-moi au moins lui répondre. Après, j'arrête, promis." Répliquai-je aussitôt en me tournant vers elle.
"Donc, pour ce qui est de bouffer un cul, j'adore ça et il m'arrive même de jouer à l'actif." Continuai-je. "Et je suce parfois, tout dépend du plan prédéfini et du mec, bien entendu. J'ai même un plan régulier que je ne vois que pour ça. J'arrive chez lui, je me mets à genoux, je lui suce sa grosse queue jusqu'à ce qu'il jouisse dans ma bouche pour que j'avale tout. Satisfait ?" Lui demandai-je d'un air espiègle.
"C'est chaud. Sérieux, tu sais profiter de la vie toi." Me dit-il en me tapotant sur l'épaule.
"Oui et toi, t'es complètement torché." Lui dis-je, en retour, amusé.
Nous recommençâmes à discuter tous les trois pendant près d'une heure quand Julien lança à Marie et à moi, le défi de nous embrasser. Ce que nous avons fait, sans la langue. Fallait pas pousser quand même.
Marie, après cela, lui dit, en se levant : "A notre tour, maintenant, de relever le défi."
"Ah non, ça n'aurait aucun sens, on est hétéro tous les deux." S'exclama Julien, stoppant net Marie dans son élan.
Puis sur ses propres mots, il se lève à son tour, s'assoit à mes côtés sur la banquette où j'étais, pris mon visage entre ses mains pour me roula une impressionnante galoche.
Marie, sûrement vexée et, sans doute, par pure jalousie, prétexta se sentir mal et émit le désir de rentrer chez elle.
"Oula, oui. Il est déjà plus d'une deux heures du mat. Je vais vous laisser rentrer tranquille." Dis-je en me levant, encore surpris et un peu émoustillé par ce baiser.
"Arrête un peu, tu ne vas pas rentrer tout seul. Et à pieds en plus ? A cette heure-ci ? Il n'y a même plus de métro. Je ramène Marie chez elle et je te raccompagne chez toi, juste après." Me dit Julien en me retenant par le bras.
"Euh ouais, mais il était convenu que tu dormes chez moi, non ?" Dit, d'une toute petite voix, Marie.
"Ah bon ? Bah, ce sera pour une prochaine fois. On ne peut quand même pas laisser (mon prénom) rentrer seul. En plus il caille dehors." Répondit calmement Julien.
A ce moment précis, Marie me lança un regard noir qui en signifiait long. Que je n'avais pas tenu ma promesse et que je lui avais, de fait, cassé son coup. Si tant est qu'elle ait eu, un jour, une chance avec lui. Il ne faut pas oublier qu'il avait été le petit ami de l'une de ses meilleures potes alors qu'ils étaient en fac.
Me voilà donc, assis à l'arrière de la voiture de Julien dans laquelle une atmosphère lourde et des plus étrange régnait.
Garés devant chez Marie, elle nous salua et me demanda de lui téléphoner dès que j'étais arrivé chez moi.
"Passe à l'avant (mon prénom)." Me demanda Julien. "J'aurai moins l'impression d'être un chauffeur de taxi."
Passé à l'avant, je lui ai indiqué la chemin vers chez moi et lui ai dit que Marie espérait vraiment qu'il dorme chez elle car elle avait un petit faible pour lui.
Ce à quoi Julien répondit :
"Depuis la fac, elle me tourne autour. Je sortais avec sa copine, elle essayait déjà. Jamais, je ne lui ai dit que je dormirai chez elle d'ailleurs. Elle l'a fantasmé. Elle ne me plaît pas puis je la trouve superficielle. Tu peux me dire ce qu'un mec authentique comme toi fout avec un meuf pareille."
J'ai bien tenté de prendre sa défense. Mais ce fut peine perdue.
Nous approchâmes de chez moi quand, tout en cherchant une place pour se garer, Julien me demanda s'il pouvait entrer pour aller "pisser" avant de repartir. Ce que j'acceptai, bien entendu.
Sorti de toilettes, il me demanda un verre d'eau car tout l'alcool qu'il avait bu durant la soirée, lui avait asséché la bouche. Je lui répondis que j'étais dans le même cas. Nous nous sommes installés autour de la table et discutions en buvant notre malheureux verre d'eau.
Mon fixe se mit à sonner.
"Merde, c'est Marie. Pas un mot. Déjà qu'elle pense que je lui ai cassé son coup mais si en plus elle savait que tu étais chez moi, elle ne me le pardonnerait jamais." Dis-je en me dirigeant vers le téléphone.
La conversation dura à peine cinq minutes. Le temps de lui dire que nous n'avions pas parlé d'elle et que Julien était vite reparti après m'avoir déposé chez moi. Oh, le menteur que j'étais.
Après cela, Julien reçu un sms de Marie qui lui réitérer sa demande de passer la nuit chez elle. Puis un second, et un troisième...
"Putain, elle me fait chier, sérieux. Elle veut quoi ?" S'écria Julien en éteignant son téléphone portable.
"Euh, tu sais, je pense qu'elle veut coucher, tout simplement." Répondis-je gentiment.
"Bah alors là, elle peut toujours courir. J'ai bien plus bandé en t'écoutant raconter tes histoires de cul qu'en la regardant."
Sur ces mots-là, j'éclatai de rire et répétai, sur le ton de la plaisanterie, "mes histoires de cul" contées durant la soirée, en appuyant sur le fait que j'avais toujours le cul en feu.
"Non mais sérieux, arrête, je bande comme un malade, là." Dit-il en riant.
Je baissai mon regard vers son entrejambe et constata, effectivement, une bosse énorme sous la braguette de son jean.
"Ah putain, ouais, ça, c'est du morceau. Je suis désolé." Riai-je.
"Ne le sois pas, je suis sûr que t'aimerai l'avoir dans le cul celle-là." Plaisanta-t-il.
"Je ne dirai pas non. Je ne suis qu'un homme après tout." Répondis-je du tac-au-tac.
"Bah écoute, je me laisserai peut-être bien tenté par une bonne pipe. Mais je ne pense pas que je pourrais assumer tout le reste." Ajouta-t-il en me regardant droit dans les yeux.
"Ok, sort-la moi."
Ce qu'il fit sous mes yeux ébahis. Je m'agenouillais devant cette belle bite de mâle hétéro, d'un bon 19 cm, et la saisis d'une main. Doucement, je la branlais en prenant soin de libérer le gland du prépuce. A l'aide de la pointe de ma langue, je titillais le frein de sa queue et lèchais délicatement son gland jusqu'au méat.
Lui, adora ce que je lui faisais. Il s'était affalé sur sa chaise, la tête en arrière et les yeux fermés.
J'engouffrais lentement sa queue dans ma bouche en commençant par son gland tel une bonne fraise juteuse, puis m'enfouissais le nez dans ses poils noirs et soyeux, à l'odeur virile, afin de sentir son gland au fond de ma gorge. Je pris dans ma main ses couilles pour les caresser et me mis à le sucer tel l'affamé que j'étais.
Il gémissait puis, au bout de deux minutes, il cria "Putain, je viens !"
J'accélèrais la cadence de ma fellation, voulant goûter à son jus. Je l'entendis grogner de plaisir et une bonne quantité de foutre tapissa le fond de ma gorge. J'avalais tout et ne voulais pas en perdre une goutte.
"Merde, désolé." Dit-il alors que je lui nettoyais consciencieusement la queue.
"Pas grave, j'ai adoré te donner du plaisir. En plus, tu as une très bonne queue et ton jus était très goûteux." Répondis-je rassasié.
"Non, mais, sérieux. Faut que je me fasse pardonner."
"Tu peux toujours me casser le cul." Tentai-je.
"Je ne sais pas trop. Franchement. Ça me ferait trop bizarre je crois. Mais, si tu veux, tu peux me bouffer le cul. A t'écouter tout à l'heure raconter comment tu faisais, je me suis dit que ça avait l'air pas mal." Dit-il calmement.
"Ok, je suis partant." Répondis-je surpris.
"Euh, par contre, comment on fait ?" Demanda-t-il avec candeur.
"Déjà, mets-toi à l'aise. Soit, tu te déshabilles, soit, tu ne retires que le bas." Répondis-je en le voyant se mettre entièrement nu, me dévoilant ainsi son corps d'athlète légèrement poilu. "Et maintenant, si tu veux, tu peux te mettre à quatre pattes sur le lit en me présentant ton cul." Ce qu'il fit sans sourciller.
J'observais ce cul poilu et rebondi de vrai mâle en ne revenant pas que j'allais bouffer du cul d'hétéro. Je m'y suis approché et me suis agenouillé devant. J'ai posé mes mains sur chacune de ses fesses.
Il sursauta légèrement et se mit à rire en précisant que ça lui faisait bizarre d'être dans cette position attendant que je lui bouffe le cul.
Je lui répondis de ne pas trop se poser de questions et de se laisser faire.
Sur ces paroles, je lui ai écarté les fesses afin de découvrir sa rondelle au milieu de ses poils et ai osé une première léchouille.
Il eût un frisson.
"Ça va ?" Demandai-je.
Julien me répondit que oui et m'invita à poursuivre même si, pour lui, la situation était étrange.
J'ai donc laissé ma langue continuer sa lèche anale.
Je lui bouffais le cul avec tendresse mais, très vite, mon instinct animal pris le dessus. Si bien que je tentais, désormais, de lui fouiller le cul plus profondément avec ma langue.
Il gémit de plaisir en précisant que ça lui plaisait.
Encouragé par ces mots, j'entrais et sortais ma langue de ce trou vierge et résistant. Je me suis également saisi de sa queue, demie molle, pour la reprendre en bouche. J'allais ainsi de son trou à sa bite, de sa bite à son trou. Il banda à nouveau bien dur. J'adorais ça.
"Attends. Attends. A mon tour." Dit-il en se redressant.
"A ton tour de quoi ?" Demandai-je.
"Mets-toi à quatre pattes, je vais te bouffer le cul." Ordonna presque Julien.
"Euh. T'es sûr de toi ? T'es sérieux ? T'es pas obligé." Réponds-je sincèrement.
"T'inquiète, je veux me racheter pour avoir joui trop vite tout à l'heure. Puis, j'en ai fait des cunnilingus aux filles, ça ne doit pas être trop différent."
Je me suis donc rapidement déshabillé et pris sa place, à quatre pattes, sur le lit. A son tour, il s'agenouilla devant mon cul.
"Ouah, t'es imberbe du cul ?" Demanda-t-il en le caressant.
"Non, je le rase." Répondis-je en appréciant ses mains sur mes fesses.
"C'est super doux. J'adore." Surenchèrit-il en commençant à écarter mes fesses. "Putain, tu as le trou tout rose, c'est trop kiffant."
Et, sur ses paroles de parfait débutant, il commença à me lécher la rondelle. De mon côté, j'appréciais le moment. Il me bouffait le cul comme un pro, sûrement imitait-il ces fameux cunnilingus. Puis il s'arrêta en écartant bien mes fesses pour mieux réintroduire sa langue dans mon fondement. Je commençais sérieusement à jouir du cul.
"Putain, t'a le trou super ouvert, il était comme ça le mien quand tu l'as bouffé ? Et, je ne savais pas que le cul des mecs mouillait comme fes chattes." Me dit-il en reprenant son anulingus.
"Non, t'avais le trou plutôt serré. Disons que je suis très réceptif. Je suis très anal comme mec. Et t'es pas le premier à me faire remarquer que je mouille du cul. Mais tous les mecs ne mouillent pas comme ça. Disons que c'est mon lubrifiant naturel. Les mecs peuvent me la mettre sans problème comme ça." Répondis-je en me délectant de sa langue dans mon cul.
Langue qu'il retira aussitôt après ma réponse pour, sans dire un mot, se redresser et me foutre sa grosse queue dans mon cul.
Je lâchai une crie de plaisir.
"Merde. Je t'ai fait mal. Désolé, en t'écoutant parler de lubrifiant naturel j'ai eu envie de tester et de te baiser. Je n'ai pas réfléchi." Réagit-il en retirant sa queue de mon cul.
"Mais non, t'inquiète. J'ai poussé un cri car tu me fais carrément jouir du cul, t'as pas idée. Alors, remets la moi vite dans le cul. Ne fais pas attention à moi et baise moi comme une pute." Répondis-je rapidement.
Il me remit d'un coup sec sa grosse queue et commença à me pilonner sévère. Je gémis comme un vrai bâtard et lui tendis mon cul de plus en plus. Les mains agrippées à mes hanches, il me défonçait littéralement le cul. J'étais aux anges. Puis, dans un grognement bestial, il me remplit le cul et décula pour s'allonger à mes côtés alors que j'étais encore à quatre pattes.
"Ton cul est aussi bon qu'une chatte, mec. J'ai trop kiffé." Dit-il tout en regardant l'heure. "Putain, il est déjà presque 6h. Je peux dormir ici. Je suis trop crevé."
"Ça va pour moi. Et content que mon cul t'ait plus. Tu peux t'en servir que tu veux." Répondis-je en lui souriant.
Nous nous couchâmes direct, sans même prendre la peine de nous rafraîchir un peu. Je me suis endormi, le cul débordant de son sperme.
Au réveil, vers 11h15, je l'ai observé alors qu'il dormait encore. "Qu'il est beau." Je n'en revienais toujours pas qu'un hétéro tel que lui ait pu me défoncer le cul.
Il ouvrit les yeux.
"Bonjour, ça fait longtemps que tu me regardes ainsi ?" Demanda-t-il amusé.
"Non, je repensais à hier. J'ai adoré que tu me casses le cul comme ça." Répondis-je encore tout excité.
"Si tu veux, je bande dur, viens t'asseoir dessus." Dit-il en retirant la couette de sur lui.
Effectivement, elle était bien raide et, comme il me l'avait suggéré, je me suis assis sans attendre dessus. Mais là, c'était moi qui lui imposais ma cadence. Tantôt lent, tantôt rapide, jusqu'à le faire jouir en moi.
Nous nous sommes jamais revu. Je ne sais même pas ce qu'il est devenu... Même, Marie n'a jamais plus eu de nouvelles.
Bonus 1 - Songe humide (de nos jours)
Nous avions invité un couple d'amis hétéro, Sabrina et Grégory (prénoms inventés).
La soirée se déroule normalement quand Sabrina, une collègue de mon mari, dit que son imbécile d'époux avait réservé une petite escapade en amoureux le week-end à venir sans lui avoir demandé si elle était libre.
Il est vrai que mon mari et elle travaillent parfois les weekends mais de là à traiter le sien d'imbécile.
Je rétorque simplement qu'il souhaitait sûrement lui faire la surprise. Que ce n'était qu'un geste romantique.
Elle me répond que comme je semblais vouloir prendre sa défense, je n'avais qu'à partir en week-end avec lui.
Son mari, Grégory, dit que ce n'est sans doute pas une mauvaise idée.
C'est ainsi que je me retrouve en week-end avec Gregory. Seulement, n'ayant pas était sauté depuis plus de 15 ans, j'avais le cul en feu et arrivés dans la chambre d'hôtel, je baisse mon pantalon, me mets à quatre pattes sur le lit et le supplie de bien vouloir me la mettre. Et, comme s'il avait attendu ça depuis longtemps, il sort sa queue déjà bien raide et me la fout à sec et profond dans le cul.
Après cela, partout où nous allions, je ne pouvais pas m'empêcher de baisser mon froc pour qu'il me défonce énergiquement.
J'ouvre les yeux, il fait nuit. A mes côtés, mon mari, toujours aussi passif, dort. Ce n'était qu'un rêve. Déçu et excité, je me caresse la rondelle que je trouve gonflée, comme bandée, et humide. Il ne réclame qu'une bonne queue pour le soulager.
Bonus 2 - Rencontre impromptue (de nos jours)
Je devais rejoindre une amie en salle de sport après le boulot.
Sur le trajet j'entends des pas rapides derrière moi.
"Eh, excuse-moi." Dit un mec d'une bonne cinquantaine d'années, pas trop moche mais sans charisme ni charme.
"Oui ?" Demandes-je en stoppant mon pas.
"On se connais, Non ?"
"Je ne crois pas non."
"Mais si, ça fait pas mal de temps mais je suis sûr que c'est toi. Y a plus de quinze de ça. Tu ne vivais pas au rez-de-chaussée d'un immeuble en centre-ville ?" Insiste-t-il.
"Euh si, mais je ne me souviens pas de toi désolé."
"C'est normal. Tu m'avais invité chez toi pour que je te bouffe le cul et que je t'encule. Tu m'attendais à quatre pattes. Tu ne m'as pas regardé une seule fois. Mais, moi, j't'ai reconnu direct, ta belle petite gueule et ton petit cul. T'as pas changé, c'est dingue."
"Ah... Je vois... Oui, ça fait longtemps. Je suis désolé mais je n'ai pas trop le temps de discuter là. On m'attend." Dis-je embarrassé.
"Ok. Je comprends, Je voulais juste te dire que jamais je n'oublierai ton cul. J'ai trop aimé le bouffer et le défoncer. En plus, si je me souviens bien, t'adorais te faire remplir."
"Oui. C'était le bon temps. C'est fini tout ça pour moi."
"C'est dommage. Rien que d'y repenser, j'aurais bien envie de regoûter à ton cul là, maintenant."
"Désolé, je dois vraiment y aller." Sur ces paroles, je pars sans même me retourner.
Puis, le soir, en y repensant, je m'en suis voulu d'être parti sans lui avoir demandé son mail.
Quand je repense à toutes se occasions que je n'ai pas saisi par simple fidélité, je m'en veux car je souffre quand même de ne pas me faire défoncer de temps en temps.
N'hésitez pas à me laisser un petit message
LE CUL JOUISSIF
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+
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softnasty · 1 year
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"j'suis fatigué, orel. on rend l'album demain j'suis fatigué."
tumblr a bouffé tout mon post et j'avais pas fait de copier-coller donc j'ai le seum de devoir tout retaper mais 🤡
je me suis refait les 2 saisons du doc post concert depression oblige et c'est dur de choisir un moment préféré mais je crois que c'est celui là. les KILOMÈTRES de notes qu'il a écrit rien que pour civilisation ça me fume. en vrai la réédition de civilisation ça aurait pu juste être 10 versions différentes de civilisation mdr
juste avant le "et après j'arrête le rap" + le face cam avec clém "j'y arrive jamais" alors qu'au final il l'a sorti ce 4ème album et qu'il est en pleine tournée super successful 🥲 on sent vraiment qu'il était (et toute l'équipe également) à bout niveau fatigue et que ça s'est terminé dans la douleur. on dirait moi quand je dois finir un projet pro ou perso et que je suis à bout (comme il le dit si bien, il s'est vrrraiment mis en mode san "je craquerais pas" pour finir)
épilogue "7h j'enregistre seul à l'hôtel seul au mini stud / 7h du mat / je dois rendre l'épilogue dans 7h /y'a de fortes chances pour que le son soit jamais mixé" 🤝 civilisation terminée la veille de la deadline de rendu de l'album.
le contraste entre cette difficulté à finir civilisation (même si on comprend que comme c'est le dernier titre y'a vraiment la pression) et la "facilité" de CF infinity terminée en 3 jours (certes un titre fun avec moins de stakes) dans la bonne humeur etc. orel et gringe complémentaires, complices et acolytes qui se tirent vers le haut vraiment 🥹 et puis pour reprendre orel dans la s1 qui dit qu'il veut faire san qui n'est "pas un hit" aux victoires de la musique-> je regardais cette itw de gringe hier où il dit qu'il n'y a que 4-5 chansons sur son album qu'il trouve "honnête" et genre. *shakes them both* vous vous rendez pas compte de vos génies respectifs, c'est fou 🥹
etttt je viens de me rendre compte (parce que passion faire pause à chaque fois que la cam passe sur les notes d'orel lmao) que dans ses 40000 lignes de notes pour civilisation il y a une partie qui a fini dans peon avec vald !! "pour donner la vie faut jour [...]" trop marrant que ça ait pas du tout fini dans l'album ni la réédition mais dans ce feat. (et la partie en haut du screen, "vert parce qu'on va s'faire rattraper par la terre" dans civilisation perdue bien évidemment.)
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j'avais d'autres trucs dans mon post à la base mais bon 🥲 merci tumblr. CETTE FOIS je copie colle dans mes notes si jamais ça se poste pas.
en attendant je reste dans mes émotions intenses, la vague tristesse ou nostalgie de n'avoir découvert orel que cette année, l'attente d'autres dates de festivals été 2023 pour choisir les 1 ou 2 dates où j'irai très certainement le revoir etc etc j'ai écouté épilogue 10000 fois ajd en marchant par-10 sous la neige dans varsovie je me sentais invincible ce son et cette instru putain.
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hayden-univ-lorr · 2 months
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Vent Familial (/neg)
Je n'en peux plus des conflits permanents.
De ma mère qui crie, qui s'énerve, n'explique pas pourquoi, fait mine d'ignorer le conflit pour le relancer deux minutes plus tard, et fait subir la punition du silence.
Et cette fois, ce n'est même pas envers moi, mais envers ma sœur.
Pour la faire courte, mon petit frère ne se sent pas très bien et il est allé prendre une douche. Ma mère a déposé sa serviette sur le radiateur de la salle de bain, et quelques minutes après ma sœur l'a décalée, par souci de praticité.
Ma mère s'est énervée après elle, lui demandant pourquoi elle "repassait sans cesse derrière [elle]" et faisait tout à son inverse, en lui "parlant comme de la merde" (parce qu'elle se justifie et comprend pas pourquoi elle s'en prend plein la gueule pour rien. Ma sœur a expliqué qu'elle avait pas vu que la serviette était mise là exprès, que c'était pas "dans le but d'aller à l'encontre de [ma mère]", et qu'elle avait rien fait de mal, rien qui justifie de se faire hurler dessus.
Ma mère a dit "aller c'est bon", puis "si tu me réponds comme ça tu peux aller te faire foutre", et ma soeur a refermé la porte de la salle de bain pour finir de se brosser les dents, ma mère est partie (genre 'la discussion est finie, t'es une ingrate, j'arrête là').
Puis à peine 30sec après, elle s'énerve dans le salon, puis dans la cuisine, et dit ''Je suis tout le temps là pour vous, 24/24H, 7/7J, 365j dans l'année, et on me parle comme de la merde, ça me casse les burnes ! vraiment je commence à en avoir marre ! Il y a un moment où je vais vraiment m'énerver et vous allez pas comprendre pourquoi ! (elle dit ça presque chaque semaine, et s'énerve presque chaque jour, du moins de ce que j'en vois quand je suis à la maison)".
Avant ça, elle disait les mêmes choses en parlant de ma sœur à la troisième personne, comme si elle n'entendait pas. Elle le lui a donc dit ''tu sais que je suis là hein ? je t'entends parler de moi''.
---
J'ai écrit ça hier soir, je n'ai pas eu le temps de le terminer, mais en bref : Les conflits j'en peux plus. Je fais tellement d'effort pour les éviter en permanence, et quand je suis avec mes ami.es je me rend compte que je ne devrais pas avoir besoin de le faire ; que mon environnement actuel n'est simplement pas sain pour moi. Ou en tout cas, ne l'est plus.
Vivement que je trouve un travail, que je puisse partir en colocation avec mon amie <3
Hayden.
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moinsbienquekaworu · 11 months
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T'es probablement entrain de dormir (du moins j'espère, même pour toi il est tard lol) mais euhhhh j'ai finis Dites-le avec des fleurs ^^" c'est absolument génial, je crois avoir vu que cette fic t'as converti à kylux and well... moi aussi 😭😭 si t'as d'autres reco pas trop longues (100k ça commence à faire beaucoup pour moi), je suis preneur 🙏🏻
Par contre juste cette fic m'a fait me rendre compte qu'il me manque beaucoup de bases au star wars lore mdr, le gars qui dit "kriff" (je crois que ça s'écrit comme ça), apparement il y a une page fandom entière dédiée à ce mot (wtf). Pareil pour le métal qui fait l'obsession de Hux et que Kylo détruit tous les 4 matins, enchanté 🫡 Il y a du travail à faire avant que je puisse comprendre tout ça sans chercher des definitions en continue (j'ai l'impression d'apprendre une langue entière absbdndn)
En parlant de langue, je n'avais jamais lu de fic en français, ça faisait bizarre, surtout voir de l'anglais sur ao3. À chaque début de chapitre mon cerveau faisait un petit lag de "what is... what's this langua- oh. yeah ok switch. français activé." c'est fatiguantttt. Mais bonne expérience et agréablement surpris, tout ce que je connaissais du monde francophone de la fanfiction c'était les extraits cringe wattpad que des potes me forçait à lire lol
Brrrref j'arrête de bavarder byee
J'étais en train de m'endormir oui je crois, après j'ai pas une sleep schedule de ouf non plus donc bon. Je suis trop contente de t'avoir converti aussi bienvenu au club <3 je pense que je vais faire une reclist de fics en anglais dans le weekend, je suis très très fan de multichaps et de longues fics perso mais y en a pas tant que ça de ce que j'ai vu pour le Kylux donc tu devrais pouvoir trouver ton bonheur aussi.
Ah oui ça on s'y fait super vite mais c'est vrai qu'au début c'est un peu chelou lol. De têre, kriff/kark c'est fuck, transparisteel c'est genre du verre mais renforcé, plasteel c'est du +/- plastique il me semble, flimsi(plast) c'est le papier, caf c'est café, sonic c'est une douche mais sans eau genre juste avec des ondes ou je sais pas trop quoi, et le reste est moins important. Je trouve ça extrêmement charmant perso, comme le faux alphabet que des gens ont inventé, et j'ai tellement l'habitude je fais plus gaffe, mais j'avoue que la page Wookieepedia elle est pas incroyable incroyable haha. Ceci dit en terme de langue, funfact, mais quand ils parlent anglais dans les trucs SW, c'est vraiment la langue qu'ils parlent! C'est pas une traduction genre Tolkien, au niveau watsonien c'est la langue qu'ils parlent, même si ils utilisent l'aurebesh pour écrire et pas l'alphabet latin. Je trouve ça mignon hehe
Ouaaais les fics en français je suis rarement séduite après 5-6 ans de lecture et ça me perturbe grave mais y a des trucs biens dans le tas. Je vais pas pouvoir te convaincre sur du Snarry mais y a genre deux trois masterpieces dans chaque fandom en français. Je les ai lues sur FFnet ces Kylux là mais je préfère linker AO3 parce que FFnet franchement bon. Voilà quoi.
Un plaisir franchement <3
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marie-swriting · 1 year
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Plus Qu'une Amitié - Shawn Mendes
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Masterlist
Romance Masterlist
Résumé : Tu es amie avec Shawn, mais il t'a embrassé alors que tu es en couple. Tu essayes de l'éviter pour ne pas te perdre dans tes sentiments.
Warnings : Angst, tromperie en quelque sorte, fin mignonne, dites-moi si j'ai loupé d'autres warnings !
Nombre de mots : 1.5K
Version Wattpad
Version anglaise sur Tumblr
Chanson qui m'a inspiré : Bad Kind Of Butterlies par Camila Cabello
- Shawn, je t'en prie, arrête de m'appeler, je chuchote à mon téléphone.
- S'il te plaît, écoute moi avant de raccrocher. Je m'excuse, je ne voulais pas faire ça, je ne sais pas pourquoi je t'ai embrassé. S'il te plaît, crois moi quand je te dis que je ne veux pas que notre amitié change, me supplie-t-il.
- Elle a changé au moment où tu as posé tes lèvres sur les miennes, je murmure avec dureté
- Y/N, s'il te plaît, tente-t-il de me retenir.
- Laisse moi du temps.
    À peine ai-je raccroché que Dean, mon petit-ami, rentre dans le salon, le bol de pop-corn dans les mains. J'essaye de ne pas paraître déstabilisée face à l'appel de Shawn, même si c'est compliqué. Le geste qu'il a eu envers moi la semaine dernière m'a plus que perturbé. Je ne pensais pas que je réagirais comme ça à son touché. J'ai beau essayé, je ne peux oublier la sensation de ses lèvres sur les miennes. Mais je ne peux également oublier la culpabilité que je ressens quand je vois le visage angélique de Dean. Nous sommes en couple depuis un an et je l'aime. Tout va bien pour nous deux. Enfin, jusqu'au geste de Shawn.
- Tu étais au téléphone avec qui ? Me demande-t-il.
- Avec ma mère, elle voulait me dire qu'il y avait Si je reste à la télé, à peine ce mensonge sorti de mes lèvres, je sens mon ventre se tordre de culpabilité.
- Tu veux qu'on regarde ça, ce soir, comme c'est ton film préféré ?
- Je l'ai en DVD, on le regardera un autre jour.
- Tu es sûre ?
- Oui. On va pas changer de film à la dernière minute, je rigole en tentant de cacher ma nervosité. On avait dit qu'on regarderait ton film préféré, pas le mien, alors lance Fast and Furious.
- Comme tu veux, chérie, dit Dean avant de m'embrasser.
    Sans surprise, je n'ai pas réussi à me concentrer sur le film plus d'une minute. Ce genre de film n'est pas celui que je regarde d'habitude et mes pensées sont toutes dirigées vers la même personne. Shawn. On est amis depuis six ans. Je suis la cousine de son meilleur ami, Brian, donc j'ai vite été amené à le rencontrer. Le courant est bien passé entre Shawn et moi. On est de bons amis. 
    Enfin, c'est ce que je pensais avant la semaine dernière. Je ne sais pas vraiment pourquoi, mais Shawn m'a embrassé et depuis ce moment, je n'arrête pas de penser à lui et à ses lèvres. J'ai honte de ce que j'ai ressenti pendant ce baiser. Je suis avec Dean et pourtant je ne peux pas m'enlever Shawn de la tête. Quand il m'a embrassé, j'ai ressenti des papillons dans mon ventre et quand je parle à Dean, j'en ressens également, mais ça n'a rien à voir avec de l'amour, c'est parce que je culpabilise de penser autant à Shawn et de ressentir les bons papillons avec celui qui est censé être mon ami. Je suis une horrible personne.
- Y/N, ça va ? Questionne Dean en me sortant de mes pensées.
- Oui, je vais bien. Pourquoi ?
- Tu avais l'air perdu dans tes pensées.
- Désolée, je réfléchissais à quelque chose, rien d'important, ne t'inquiète pas.
    J'ai honte de lui mentir aussi facilement. Il ne se doute de rien, il me fait confiance et je le trahis. Comment puis-je lui faire ça ? Il a toujours été là pour moi depuis que l'on s'est rencontrés en dernière année de lycée, après son déménagement à Toronto, et comment je le remercie ? En pensant à un autre homme que lui.
    Il faut vraiment que j'arrête de ressasser ce qu'il s'est passé avec Shawn. Je dois oublier ce qui s'est passé et lui dire de ne plus le refaire parce que j'aime Dean. Je ne peux pas me permettre de me retrouver dans une situation où je devrais choisir car je ne pourrais pas, dans tous les cas je perdrais quelqu'un et je ne veux pas que ça se passe comme ça.
    Les vibrations de mon téléphone me coupe dans mes pensées. Je regarde discrètement qui m'a envoyé un SMS. Bien évidemment, c'est Shawn.
Message de Shawn, 23h02 :
Je ne veux pas perdre mon amitié avec toi. On a qu'à oublier ce qui s'est passé. Je ne sais même pas ce qu'il m'a pris.
Je lui réponds en faisant attention à ce que Dean ne me voit pas.
Message à Shawn, 23h04 :
On oublie tout. Tu es mon ami et je ne veux pas te perdre non plus, mais laisse moi encore quelques jours, s'il te plaît.
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    Une semaine est passée et c'est de pire en pire. Je suis de plus en plus distraite et je m'éloigne de plus en plus de Dean. Je ne suis plus capable de le regarder dans les yeux. Je sais qu'il sent qu'il se passe quelque chose, mais je ne peux pas l'en empêcher. Je ne sais pas comment l'en empêcher. J'ai essayé du mieux que je pouvais, mais je dois me rendre à l'évidence, c'est devenu plus qu'une amitié avec Shawn. Mais je ne veux pas perdre Dean. Malheureusement, je sais que je vais en perdre un, si ce n'est les deux.
- Il faut qu'on parle, Y/N, déclare mon petit-ami. Ça ne peut plus continuer. Je vois bien que tu t'éloignes de moi et ça me tue de voir que je te perds doucement. Qu'est-ce qu'il se passe ? Tu sais que tu peux tout me dire. On peut arranger les choses, me rassure-t-il.
Je n'ai pas la force de me battre, alors je rends les armes directement.
- Je dois t'avouer quelque chose, dis-je, en ne le regardant pas dans les yeux. S'il te plaît, assieds-toi à côté de moi.
- Y/N, tu me fais peur.
- Je comprendrais si tu me détestes après ce que je vais dire. Je suis perdue, Dean, j'avoue d'un coup, les larmes déjà aux yeux. Je t'aime, mais je veux quelqu'un d'autre. Et je ne sais pas quoi faire car je ne veux pas te perdre, ni toi, ni lui.
- Comment ça ? Qui c'est cet autre gars ?
- Il m'a embrassé et depuis je ne peux m'empêcher de penser à lui. J'ai essayé de ne pas y penser car je t'aime, mais c'est devenu plus qu'une amitié avec lui. Et je m'en veux tellement de te faire souffrir. J'ai mon estomac qui se retourne à chaque fois que je te vois car je sais que je te fais du mal. Je te promets que je t'aime Dean.
- Mais pourtant, c'est lui que tu veux. J'arrive pas à y croire ! S'emporte-t-il en se levant. J'ai tout donné dans notre relation et tu veux me larguer pour un mec qui t'a embrassé ? C'est qui ce gars ? Je veux savoir son nom !
- Dean, s'il te..., j'essaye de dire, mais il me coupe.
- Son nom !
- C'est Shawn, je confesse, encore plus honteuse. S'il te plaît, ne lui fais rien. Il s'en veut tellement pour son geste.
- Mais heureusement qu'il a des remords ! Et dire que tu me disais que c'était "juste un ami". J'arrive pas à croire que je te croyais ! s'énerve-t-il en se dirigeant vers la porte d'entrée.
- Où tu vas ?
- Je veux une discussion avec lui.
- Dean, s'il te plaît, je le supplie, en le retenant par le bras. Tu as le droit de me détester, mais ne le blesse pas.
- Et tu le défends en plus ? Il a fichu notre couple en l'air et tu prends sa défense ?! C'est la meilleure ! C'est fini, Y/N, déclare-t-il, durement. Je ne veux plus te voir. Pars.
    Les larmes ruisselantes sur mes joues, je me dirige dans notre ancienne chambre commune et prépare une valise. J'essaye de la faire le plus vite possible malgré mes mains tremblantes. Une quinzaine de minutes plus tard, je suis prête à quitter l'appartement que je partageais avec Dean. Je le retrouve au salon, la tête entre les mains, les épaules bougeant au rythme de ses pleurs. Je l'ai tellement blessé. Je m'en veux tellement. Je le regarde, les joues baignées de larmes. Je n'ose pas dire quelque chose de peur de faire quelque chose de mal, alors je quitte l'appartement en silence, non sans lui lancer un dernier regard. Un an de relation et six mois de vie commune gâchées à cause de moi et de mon égoïsme...
    Je monte dans ma voiture pour me rendre chez celui qui me fait tourner la tête depuis bien trop longtemps. Une fois devant sa porte, je ne sais plus si c'était une bonne idée de venir. Je n'aurais peut-être pas dû le faire. Et s'il ne voulait pas de moi ? Après tout, je lui ai dit que je voulais qu'on reste amis et je me suis éloignée de lui depuis deux semaines. Sur un coup de folie, je sonne à la porte et patiente nerveusement. Il vient ouvrir la porte deux minutes plus tard.
- Y/N ? S'étonne Shawn. Qu'est-ce que tu fais là ?
- Dean a rompu avec moi et je ne sais pas où aller, je dis en désignant ma valise.
- Rentre. Tu peux rester dormir, bien-sûr. Pourquoi vous avez rompu ?
- Je ne pouvais plus me mentir et il voyait que je m'éloignais de lui. Je lui ai tout avoué, j'annonce en ayant de nouveau les larmes aux yeux. Je sais que j'ai dit qu'on était amis et que je voulais qu'on le reste, mais je ne peux m'empêcher de penser au baiser qu'on a partagé.
- Mais, je croyais...
- Je sais, je le coupe, mais c'est parce que je ne voulais pas l'avouer, mais sans que je ne puisse l'expliquer, ça m'a fait réaliser que c'est plus que de l'amitié ce que je ressens pour toi.
- Je voulais que tu me dises ça depuis tant d'années, me dit-il, en caressant ma joue pendant que je souris.
- Et je me suis cachée la vérité pendant tant d'années. Je tiens beaucoup à toi, Shawn, je confesse en me rapprochant de lui.
- Y/N, tu viens de sortir d'une relation, déclare le brun en se reculant doucement. Je ne crois pas qu'on devrait commencer quelque chose maintenant.
- Tu as raison.
- Mais je te promets que je tiens également à toi. On a qu'à attendre, le temps de comprendre tout ce qu'ils nous arrivent réellement et après on verra.
- C'est parfait pour moi.  
Masterlist
Romance Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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chifourmi · 2 years
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Bon j'ai décidé de lâcher prise et de ne plus avoir d'attentes envers mes potes d'unif. Je vais rester en bons termes avec elles jusqu'à la fin de ma dernière année et puis on verra. Je vais juste prendre les choses comme elles viennent et je vais arrêter de m'attendre à ce qu'on ait une réelle amitié. Tant que ça se passe bien quand on se voit, c'est le principal. Il y a des gens qui sont moins messages et je dois l'accepter. J'ai d'autres potes du lycée qui sont comme ça et pourtant on est super proches. Je préfère réagir comme ça parce que là j'avais une haine démesurée envers elles mdrr et ça me faisait plus de mal qu'autre chose. Donc je suis allée prendre des nouvelles de L et je lui ai expliqué que j'étais toujours en Belgique au final.
Faut vraiment que j'arrête d'être aussi exigeante et susceptible c'est ouf. C'est toujours à cause de ça que je fais 10000 interprétations des choses et que je finis déprimée. Il me faudrait une alarme qui sonne quand je commence à haïr les gens pour rien.
(05/10/2022)
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jefaiscequejepeux · 2 years
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L'autre fois j'étais tristoune donc je me suis remise sur Tinder 2 minutes chrono j'ai swipe genre 5 types et j'ai matché avec plusieurs et parlé avec un et il était cool et il m'a proposé un date assez rapidement donc j'étais allez ok mais franchement j'étais pas de super compagnie et c'était pas une catastrophe le date parce que je lui ai fait visiter la ville il a kiffé mais c'était horrible parce que même s'il était objectivement mignon j'avais 0 attirance pour lui (aussi parce qu'il me faisait pas rire j'ai besoin de rire +++) et des fois je le voyais me regarder avec un air intéressé un sourire un peu niais et j'étais eeeww et tant qu'on marchait ça allait parce que je pouvais ne pas parler des fois mais après on a pris un goûter donc on était face à face et franchement j'ai trouvé ce moment méga gênant et je me suis dit "bon on est clairement tous les deux gênés donc après le date on va plus se reparler c'est clair" et en fait je sais pas comment c'est possible d'avoir autant pas eu la même perception du date mais lui il a kiffé de ouf et carrément il m'en a reproposé un pour le we suivant j'étais "ah non désolée je suis pas libre" (c'était la vérité en plus). Vers la fin il me dit "alors du coup t'en es où avec Tinder ?" je dis "hein ?" (parce que incompréhensible cette question mdr) il me dit "tu nous vois plutôt devenir potes ou plus ?" je dis "ah oui en fait tu veux pas savoir où j'en suis avec Tinder mais où j'en suis avec toi lol" et bref j'étais méga gênée par sa question en vrai je pensais discuter de ça tranquillement après le date à tête reposée mdr et en plus je me suis juste dit ni l'un ni l'autre mais je pouvais pas lui répondre ça mdr donc j'ai dit "euh plutôt potes" il me dit "quoi ?" parce qu'il avait pas compris mdr j'étais "pitié me fais pas répéter ça 😭 je veux être juste pote 😭" un enfer, par réflexe je dis "et toi ?" il me dit "ah bah moi tu me plaisais bien j'aurais voulu plus" j'étais "haha ok 😅". Plus tard je le raccompagne à la gare, pire idée je lui demande "alors tu parles à d'autres filles ?" Il dit "oui mais elles m'intéressent pas y a que toi qui m'intéresses" 😅😅 après il a dit que j'étais jolie et drôle et ouverte d'esprit et qu'il aimerait bien me revoir et il arrêtait pas de me fixer j'étais 😅😅😅 stop pitié je veux crever. Et bref depuis il arrête pas de m'envoyer des messages alors que je suis vraiment au service minimum et en vrai j'ai pas la force donc enfin là ce soir je lui ai envoyé un sms d'adieu mais c'était dur je suis vraiment naze en relations faut que j'arrête de parler à des keums je brise des coeurs on me brise le cœur ça marche jamais ça suffit en fait
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e642 · 1 year
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Je ne sais pas trop quoi penser de tout ce qu'il se passe dans ma vie. Mine de rien, il y a des rebondissements. Ceux que j'aimerais ? Je ne sais pas. Est ce que j'en aimerais certains en particulier ? Je ne sais pas non plus. J'ai peur d'être bourrée ce soir. C'est fou cette phobie de l'alcool que j'entretiens. Dès ma première gorgée je me suis dit qu'il fallait que j'arrête. J'ai l'impression de tout rater. D'être nulle. D'être décevante et en sincère roues libres. Je n'ai pas l'impression qu'il y ait de freins à ma voiture. Si je vais vers un mur, je vais le prendre à 130. Ça me fait peur. Quand je me regarde dans le miroir, je n'ai pas la sensation que c'est moi. Je n'arrive pas à me reconnaître. Je vois une étrangère à la peau ravagée et aux yeux vitreux. J'ai réussi à être ma propre pale copie de moi même. Rongée par la peur de tout, de la moindre goutte d'alcool au moindre master en passant par la moindre présence. Qui suis-je au fond ? Je ne sais même pas. Je me laisse glisser, comme si le courant que je suis était le bon. La vérité c'est que je ne sais pas où aller, qui je suis, ce que je veux. Et plus j'avance, plus ça se soit. La question d'aujourd'hui c'était auprès de qui faites vous illusion. Personne et tout le monde à la fois. Les gens se sont toujours contentés de peu, de trop peu. Pas assez ambitieux pour se demander qui est l'interlocuteur en face d'eux. C'est sûrement la pire période depuis l'hôpital à la différence que les larmes sont restées bloquées. Les mots aussi. Ma seule réponse à tout ça c'est le silence. Je ne suis même pas à l'aise avec moi même. Je trouve ça triste et je pensais ça impensable de se mettre mal à l'aise. Je ne me déteste même pas, je me dérange juste. Si même moi je me dérange, qui sera enclin à ne pas le faire ? Je me le demande bien. Tout ça c'est du vent. Pourquoi je m'investirai au final ? Il n'y a qu'avec autant de monde que je ressens autant l'envie de vider mon sac vide
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claudehenrion · 1 year
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Pessimiste... moi ?
  Que ceux qui ont une telle pensée se posent aussitôt la question suivante : ''Et pourquoi le serai-je ?''. Le discours officiel est on-ne-peut-plus-rassurant :  non seulement il n'y a pas de problème... mais en plus, nos ''génies-au-pouvoir'' les ont tous résolus – y compris ceux dont ils répètent qu'ils n'existent pas... Ils ne sont plus à ça près ! J'arrête : à ce degré de foutage de gueule, l'ironie grinçante n'est même plus drôle ! Le gouffre qui sépare la terrible réalité de la dystopie de leurs gros mensonges-par-système se mesure en années-lumière –à ceci près que, étant éteintes, nos ''Lumières'' sont des trous noirs ! Des ''années-trous-noirs'' ? Si on m'avait dit que j'inventerais un jour une nouvelle unité de la politique-cauchemar...
Vous connaissez ma sympathie pour les ''retours sur images'' : ils permettent, plus et bien mieux que de longs commentaires, de comprendre les ramifications d'un problème et la succession de fautes graves qui l'ont fait naître. Or, l’une des caractéristiques de la convergence des drames insolubles qui rendent nos jours désagréables et tout futur ''sympa'' impossible, c'est que tous les ingrédients de notre marasme actuel sont ou ont été fabriqués. Disons, pour ne pas être accusé de partialité, que 95 % des horreurs qui dénaturent notre présent et ferment la porte à nos lendemains sont le résultat des (très) mauvaises décisions qui ont été prises des générations de politicards (très) indignes des fonctions qu'ils occupaient...  En ce début d'année, les perspectives sont si sombres que le seul souhait qu'on puisse s'envoyer les uns aux autres, devrait être : ''Pourvu que ça change''... Mais même là, les dés sont pipés : entre les mauvaises analyses de nos dirigeants, leur attirance pour le désastre, les effroyables réponses de la Gauche (encore mortifère, malgré sa baisse de forme), les menaces inhérentes au wokisme et l'agressivité de l'islam (en hausse certaine)... on est en droit de redouter que tout changement se fasse dans un sens ''aussi pire'', voire même ''plus pire encore'' !
Mais un refrain lancinant refait sans arrêt surface : ''Citez-moi une seule chose qui n'aille pas horriblement mal, dans notre pauvre France''. Vous aurez noté la double différence par rapport aux fois précédentes où nous partagions notre forte inquiétude à travers l'antienne ''ça va mal, en France'' : il n'est plus possible d'éviter les qualificatifs ''horriblement'' et ''pauvre''... tout comme il est devenu impossible de formuler une réponse qui soit hors des interdits, tant notre pseudo ''liberté'' s'est laissé réduire à sa propre caricature : on ne voit plus ce qui pourrait donner espoir. Et refaire une fois de plus la liste désespérante des sujets de discorde et des objets d'inquiétude n'est même plus nécessaire : le seul fait de commencer cette litanie interminable (d'ailleurs beaucoup plus ''minable'' que ''inter''!), où on va toujours retrouver la série ''immigration + sécurité  + immigration + hôpital + immigration + dette + immigration + etc...'' décourage tout lecteur de poursuivre sa lecture, tant il connaît par cœur cette liste douloureuse de nos (bons) motifs de nous plaindre... ou d'être plaints ! Bien entendu, il reste toujours une petite marge incompressible des haineux de tout ce qui avait fait de la France le ''pays de Dieu'' que le monde entier admirait, + ces pouillèmes % qui ne rêvent que de notre disparition en tant que ''ce que nous sommes'' et se réjouissent de notre déchéance en cours, + les optimistes-par-système'' qui ne veulent voir dans la chute que la promesse (qui n'existe pas !) d'un redressement... ce qui donne à nos dirigeants incultes un motif de donner pour vrai ce qui ne l'est plus depuis une bonne dizaine d’années....
Nos ''Bonne année'' doivent donc être lus, reçus ou entendus au second degré, un peu comme des anti-phrases soit ironiques, soit désespérées, soit destinées à détourner le ''mauvais œil'' (nous disions, en Afrique du Nord, ''la Scoumoune'', vocable dont la riche sonorité camouflait une imprécision bien précise !). Il n'y a, objectivement, pas le plus léger frémissement, pas la moindre raison, pas le plus petit signe que quoi que ce soit puisse changer ''dans le bon sens''. Au contraire, toutes les mesures qui nous sont imposées en douce, en faisant joujou avec ‘’le’’ 49-3 (il s'agit du tour de passe-passe politico-vicelard éponyme, pas du tee-shirt de madame Borne !) ou sur tout ce qui peut attirer l'attention des français sur un fait (très) divers, le plus souvent fabriqué, pour voter en douce des lois épouvantables, mortifères, inutiles et désastreuses, toutes contraires à tout ce qui est souhaitable, à tout ce qu'il aurait fallu faire, en un mot : ''dans le bon sens de notre chute finale''.
Au moment où nous nous présentons des vœux et des souhaits les uns aux autres, il est difficile de ne pas ressentir un pressentiment que l'année qui commence risque d'avoir un très bon rang parmi ''les pires, jamais...'' : elle risque aussi de ne nous apporter que très peu de joies, en dehors bien sûr et comme toujours, des bonheurs familiaux et intimes –un mariage, une naissance, une fête de famille pleine d'émotions vraies... Il serait même sage et prévoyant de nous préparer à voir s'effondrer –plus vite que nous ne le pensions, hélas-- un monde que nous aimions bien --malgré nos récriminations (souvent injustifiées puisque provoquées par les ennemis de tout bonheur-- un monde où nous savons qu'on pouvait être heureux, pour peu que l'on refuse d'écouter les voix maléfiques de très méchantes sirènes (la Gauche, les faux écolos, les ‘’woke’’, le Nupes, et ceux des nouveaux arrivants qui ne nous veulent pas que du bien... entre autres), toutes porteuses de mort.
Alors... Le temps serait-il venu de perdre tout espoir et de jeter le manche après la cognée ou le bébé avec l'eau du bain ?  Mais certainement pas ! D'abord parce que ''tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir... ''.  Et surtout parce que toute l'histoire n'a jamais eu qu'une seule et unique leçon à nous donner, répétée à l'envi à travers les siècles : L'homme propose et Dieu dispose ! Il suffit de penser au nombre de générations qui, avant la nôtre, ont cru ''toucher le fond'', et qui ont vu surgir ''un sauveur inattendu'' ou ''un virage salvateur''. Rien qu'en France il vient aussitôt à l'esprit ce à quoi pensaient sans doute nos ancêtres... lors des guerres de religion, pendant la guerre de 100 ans, dans les horreurs robespierristes de 1793, ou, plus près de nous lors de la débâcle de 39-40, quand tout semblait perdu à jamais, ou encore lors des immenses famines et des pandémies des siècles précédents, qui n'avait absolument rien à voir avec le ''caca nerveux'' (je demande pardon : c'est le seul mot qui convienne, ici !) dit ''covid'', qui a fait prendre à nos élus 100 % de décisions absurdes (NB : j'exagère. C'est peut-être 97 ou 98 %).
Il faut bien se rendre compte que ''ça'' ne va as être facile de ''corriger le tir'' et de rattraper le retard et les occasions perdues : depuis Giscard –c'était dans les années 70--, nous avons bradé nos fondamentaux, tout bon sens et tout sens de ''ce qui est bon'', toute intelligence... rongé, ruiné par des idées ou des idéologies aussi néfastes que perverses sur à peu près tous les sujets. Aujourd'hui, les survivants des époques heureuses (en tout cas certainement plus heureuses que tout ce qui s'étale devant nous et ce qu'on nous promet) sont comme des gens qui sortiraient de leurs abris après une conflagration guerrière ou une déflagration météorologique : tout est détruit, tout est en mille morceaux, au point que nous ne savons pas par quel bout attaquer ce chantier multiforme... mélange d'école, de médecine, du système hospitalier, du système pénitentiaire, de la fiscalité, des transports, d’un Etat obèse ou d'une Administration qui l'est plus encore, et j'en oublie. La période de disette qui s'ouvre va être d'autant plus insupportable qu'elle va frapper une génération de ''consommateurs'' gâtés-pourris par un ''jus uti et abuti'' (en droit romain : droit d'user et d'abuser), habitués à avoir tout, tout de suite, sans restrictions, à l'excès, et à avoir infiniment plus de droits que de devoirs...
La réponse est connue, hélas : il faut faire tout, et tout de suite... Et comme ce n'est pas possible... le chantier va être long, très long. Mais nous avons tout ''laissé filer'' si loin de tout ce qui était raisonnable, et ouvert la porte à tant de monstruosités mortifères, que seuls des larmes et des grincements de dents sont envisageables... si quelqu'un trouve le courage de les proposer comme programme, toute autre solution ne pouvant que nous maintenir dans l'horreur de la chute actuelle. Nous sommes bien mal barrés, les hommes providentiels (dans la mesure où ils peuvent être une solution !) se cachant bien, ces temps-ci... Il reste l'espoir d'un éventuel ‘’changement de logiciel’’... et ça, c'est peut-être bien plus proche qu'on ne le croit !
H-Cl
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gedjub · 4 months
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181223 là un lieu humain a été créé et quelqu'un y attend quelqu'un.
+ Victimes des grosses et des petites bêtes on a poussé le vice.
+ Un motif de visage au niveau du ventre et/ou un motif de pied au niveau de la poitrine
191223 c'est pas compliqué, ce qu'on peut faire ensemble.
+ Une petite mélodie importante qu'on invente d'abord et qu'on dissémine dans la chanson, en biais de la mélodie principale
+ La plante véloce. Pose menaçante d'une des feuilles piquantes (agave) et à un moment, excitation matadore!
201223 A headset is when the head slowly falls onto the table.
211223 Haltebereich Kurzzug
+ Pour de nombreuses choses je ne suis pas meilleur que les autres et de la déchéance de ce piédestal par moi-même érigé je me redresse et me retrousse les manches.
221223 Your lips my lips, apocalypse (Cigarettes After Sex)
+ C'était pas aussi long qu'on a bien voulu le dire, l'amour
Et à bien y réfléchir, c'est moi qui ai compté quatre ans, qui sait quand toi tu as arrêté.
Et puis c'était pas l'amour, c'était notre amour, le chat que j'ai gardé après notre première année, dans la gorge, lové dans mon ventre...
J'aimerais m'en débarrasser maintenant, irresponsable que tu es.
J'ai d'autres chats à aimer
+ Deuxième nuit Adrien.
231223 Chanter avec toi
Ça se fait ça
Se dit pas.
+ Et si j'étais fatigué ? Il ne passe un jour où je ne crée, où je n'ai d'idée qui me plaise et que je voudrais poursuivre. Je n'ai jamais arrêté, je le dis tout le temps.
J'arrête et je vis sans le souci, l'habitude, la lubie de créer et de réfléchir. Pour un temps. Je prends un job. Je prends Netflix. Je bosse et je rentre, je me commande des sushi et je me regarde un bon film. Eh? (Je suppose que le juste milieu, qui viendra ensuite, a le goût de la discipline, des horaires bien délimités et respectés.)
261223 Faire l'histoire sur Damon Albarn et Stevie Wonder, plus tard il sera trop tard !
271223 Peut être une circulaire qui circule parmi les hautes sphères et qui dit qu'il faut laisser mourir un maximum de monde (pour le bien de...?).
+ Ruine et nature. Des murs détruits, c'est la pierre qui retourne à l'état sauvage artificiellement, pas joli comme les ruines du temps.
+ Chanter les arbres, encore
+ En une couleur vert foncé j'ai trouvé un filon de l'atmosphère de mon passé.
+ Je me retrouve à chercher du vieux soit-disant connu dans des rues inconnues avec cette délectation de fouisseur de poubelles. Je réclame pour moi-même les poubelles du temps, voilà ce que je fais, parce que là j'ai la place de chercher seul pendant que les autres scrutent les futurs et les présents. Trop cher pour moi, dirait-on. Encore une fable...
281223 Une bande de papier roulée et un peu aplatie fait une oreille.
+ J'écoute la musique nouvelle de Philip Selway. Je trouve les mélodies, jouées et chantées, banales bien que tout soit joliment arrangé et je me demande ce que j'attends. Je crois qu'à trop penser en chercheur j'en oublie de savourer la beauté simple. Les histoires, les berceuses. Bien sûr ç'a à voir avec ce que j'attends de moi-même. Encore une fois, ma conclusion pour aujourd'hui, c'est que je veux la fin, la perfection (rions), en tout cas une étape très avancée, trop vite.
+ Si ton ombre est longue c'est que le soleil te brille dessus. Voir au verso!
+ Un jour vous nous direz: "nous devons vous protéger du ciel qui est devenu une menace pour l'humanité." Nous vous répondrons: "Laissez-nous le ciel, on ne rêve pas les yeux tournés vers le bas."
+ En prêtant attention à tout ce que font les reflets et les ombres en mouvement, surtout dans la ville, on a assez d'amusement pour plusieurs vies.
291223 Avec ma vision périphérique, j'ai beaucoup rêvé, surtout les lieux. Regarder les lieux en face
311223 Gregrace
+ Raconter Norbert
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