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#saducéens
sabbathsermon · 10 months
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L'orchestration de Dieu dans la vie des hommes de bien
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christophe76460 · 3 months
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Il Y A MALHEUREUSEMENT DES CHRÉTIENS QUI NE CONNAISSENT PAS DIEU.
ILS NE SONT QUE DES SENTIMENTAUX RELIGIEUX QUI NE CONNAISSENT PAS LA CRAINTE DE DIEU NI L'AUTORITÉ DE SA PAROLE.
Lorsqu'il faut faire des choix, leurs intérêts charnels émotionnels et sentimentaux prennent le dessus, QU’IMPORTE CE QUE DIT la Parole de Dieu sur la sanctification, le mensonge, la fraude, les relations sexuelles ...
"Revenez à la raison, comme il convient, et cessez de pécher. Je le dis à votre honte: certains d’entre vous ne connaissent pas Dieu. (Première lettre aux Corinthiens 15:34 FRC97)
Qu'en est-il de toi ?
Quelle est la place de la Parole de DIEU dans ta vie lorsqu'il s'agit de réagir ou de prendre des décisions ?
Connais tu Dieu selon sa Parole ou selon ce que tu en as entendu dans les prédications ou les séminaires sans vérifier selon la Parole et le Saint Esprit?
Actuellement beaucoup de "chrétiens" pourraient s'entendre dire la réponse du Seigneur aux saducéens:
«Jésus leur répondit : Vous êtes dans l’erreur, parce que vous ne connaissez pas les Ecritures, ni quelle est la puissance de Dieu.»
‭‭Matthieu‬ ‭22:29‬ ‭BDS‬‬
TON BONHEUR DÉPEND DE LA CONNAISSANCE DE TON DIEU. SI TU CONNAIS ET OBÉIS ALORS TU SERAS VRAIMENT HEUREUX !
«Si vous m’aimez, vous suivrez mes commandements.
Celui qui m’aime, c’est celui qui retient mes commandements et les applique. Mon Père aimera celui qui m’aime ; moi aussi, je l’aimerai et je me ferai connaître à lui.»
‭‭Jean‬ ‭14:15, 21‬ ‭BDS‬‬
Ne sois pas de ces « chrétiens » qui s’entourent de faux chrétiens rebelles selon leur propre convoitise et qui persistent contre Dieu. La chute sera terrible !
Bonne journée !
Guy Rémi Pambou
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bm-european-art · 3 years
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The Pharisees and the Saduccees Come to Tempt Jesus (Les pharisiens et les saducéens viennent pour tenter Jésus), James Tissot, 1886-1894, Brooklyn Museum: European Art
Size: Image: 7 1/2 x 11 3/16 in. (19.1 x 28.4 cm) Sheet: 7 1/2 x 11 3/16 in. (19.1 x 28.4 cm) Medium: Opaque watercolor over graphite on gray wove paper
https://www.brooklynmuseum.org/opencollection/objects/4515
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eglise22 · 5 years
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Homélie de la messe du 10 novembre 2019 à Lourdes - Le Jour du Seigneur -
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Pour Jésus, la vie éternelle est une évidence : « Dieu n'est pas le Dieu des morts mais le Dieu des vivants ». Dans sa bouche, c'est comme un cri vers le Père. Le Dieu vivant, le Dieu créateur, ne règne pas sur les morts, sa puissance est pour la vie et la vie est faite pour durer toujours. Croyons-nous cela, frères et sœurs ? Le croyons-nous en vérité, ou faisons-nous partie de ceux dont l'apôtre saint Paul dit que « tous n'ont pas la foi » ? Car une grande partie des drames de l'humanité naît de la peur de la mort, de la conviction secrète, irraisonnée, mais inscrite dans nos profondeurs, que la mort finira l'emporter.
Les Saducéens en sont l'illustration. Pourquoi se réfèrent-ils à la pratique qui voulait qu'un homme dont le frère était mort sans laisser d'enfant prenne la veuve de celui-ci comme épouse et tâche de la rendre mère, achevant ainsi ce que son frère n'avait pu mener à bien ? Dans un univers où l'on ne croit pas à la résurrection, il n'y a que deux manières de conjurer la mort et le néant : acquérir la gloire, ou engendrer des enfants qui garderont votre mémoire et qui, à tout le moins, porteront la trace que vous avez existé.
Jésus, frères et sœurs, nous délivre de ce besoin-là. Par lui, en lui, nous recevons accès à la vie même de Dieu, nous sommes appelés à participer à l'échange éternel du Père et du Fils, l'un et l'autre laissant jaillir de leur échange l'Esprit qui le renouvelle toujours. Dans cette foi-là, nous n'avons plus à nous inquiéter de notre survie et, alors, tout ici-bas change de signe.
La procréation n'est plus une nécessité vitale, elle peut être paisiblement un émerveillement pour la fécondité de l'union des corps et un service de la vocation personnelle de chaque nouvel être humain.
Acquérir des biens peut ne plus être un objectif déterminant dans l'existence, mais plutôt le déploiement de ses dons pour servir la vie de tous les autres.
Les autres êtres humains ne sont plus des concurrents dont il faut toujours se méfier dans un monde limité, ils peuvent être regardés comme des frères et des sœurs en puissance dont nous aurons la joie de découvrir dans l'éternité la beauté et la profondeur, où se reflète la richesse de Dieu.
Ensemble, nous évêques achevant notre assemblée et vous qui célébrez avec nous dans cette basilique ou grâce au service public et au « Jour du Seigneur », nous entendons les vœux de l'Apôtre : « Que notre Seigneur Jésus Christ lui-même et Dieu notre Père […] réconfortent vos cœurs et les affermissent en tout ce que vous pouvez faire et dire de bien ».
Pendant ces jours, nous avons poursuivi, avec l'aide de personnes qui en ont été elles-mêmes victimes, notre travail pour faire face à la réalité des agressions sexuelles commises par des prêtres contre des mineurs et en sortir définitivement. Il est affreux et intolérable que des ministres du Dieu vivant, de celui pour qui « tous vivent », puissent être des porteurs de mort. A travers différentes causes qu'il faut essayer de mieux cerner, les coupables d'actes de ce genre cherchent toujours à conjurer la mort et le néant. Comment la foi en la résurrection, comment notre foi en Dieu le Père, Dieu des vivants, peut-elle pénétrer le fond le plus archaïque de nos libertés pour nous faire renoncer à la fascination de la mort et servir humblement la vie qui ne peut mourir ?
Nous nous sommes laissés bousculer par des personnes qui changent de vie en raison de la contrainte écologique. La foi en la résurrection ne constitue pas une échappatoire face aux bouleversements auxquels l'humanité fait face et va faire face sur notre planète. Elle nous encourage à chercher des modes de production, de consommation et de vie qui puissent être partagés avec tous les êtres humains, et elle nous promet de trouver en cette recherche de la joie.
Comment des serviteurs du Dieu des vivants ont-ils pu se comporter en prédateurs des ressources de la planète au détriment des autres ? L'ignorance, sans doute, des liaisons entre les phénomènes l'explique et l'excuse pour une part. Désormais, nous autres disciples de Jésus, devons puiser dans notre foi en la vie éternelle les immenses encouragements nécessaires, les motivations profondes, pour participer aux transformations nécessaires sans colère, sans ressentiment, sans panique ni recherche de solutions faciles, sans égoïsme surtout, avec l'espérance forte que le cosmos est un don du Dieu des vivants, non pour que nous nous y enfermions mais pour que tout homme y trouve de quoi se préparer à la vie en plénitude.
Nous ne sommes guère menacés des horribles supplices subis par les sept frères dont le livre des Maccabées nous raconte l'histoire. Nous n'aurons pas forcément besoin de leur héroïsme. Trop d'hommes et de femmes ont été torturés à travers l'histoire, trop le sont encore aujourd'hui. Tout tortionnaire, quelles que soient ses motivations, manque à la foi en la résurrection, manque à la foi dans le Dieu vivant. Le roi grec hellénistique Antiochos est la figure de tous les pouvoirs politiques qui ne supportent pas d'autres pouvoirs que le leur ou qui ne s'accommodent que des pouvoirs à leur mesure. L'assurance des sept frères, que Dieu qui les a créés les veut vivants pour toujours, nous stimule. Puisse la foi en la puissante bonté du Dieu des vivants éclairer nos choix, habiter nos pensées, ouvrir nos cœurs à la recherche de la communion avec tous, nous permettre de vivre les changements du monde dans la générosité, la confiance, l'espérance.
« Que le Seigneur conduise nos cœurs dans l'amour de Dieu et l'endurance du Christ »,
Amen.
Références bibliques : 2 M 7, 1-2.9-14 ; Ps 16 ; 2 Th 2, 26-3, 5 ; Lc 20, 27-38.
Prédicateur : Mgr Eric de Moulins-BeaufortParoisse : Notre-Dame de LourdesVille : Lourdes
via Communauté pastorale du Littoral Ouest https://ift.tt/2q9OzNc
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lina8562-blog · 7 years
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MESSAGE DU 26 FÉVRIER 2005 G.S.R.D. L’Esprit de Jésus me demande de m’adresser directement aux traditionalistes fanatiques et plus particulièrement à « l’Opus Dei », ainsi qu'à tous les membres de l'Église catholique en général. Voici ce que me dit Notre Seigneur, tel que le Message m'a été dicté : « Attention ! Le fanatisme religieux est aussi dangereux pour votre âme que l’extrême liberté dont joui Mon Église actuelle. Ce sont deux extrêmes que Je condamne, parce qu’ils proviennent de Satan. Votre conduite n’est pas celle que J’ai demandée. Votre tradition est celle des hommes et non celle de Mon Père ni la Mienne. Mes Apôtres, dont vous êtes les héritiers, ne se conduisaient pas comme vous le faites. Je vous demande de relire attentivement les Écritures, en demandant à l’Esprit Saint de vous éclairer, parce que vous ne les connaissez pas. Vous vous conduisez comme ces Pharisiens, Prêtres, Scribes et Saducéens, qui suivaient une tradition d’homme et non pas la Parole de Dieu. Relisez plutôt ce que Mon Père, Moi-même et Mes Apôtres vous ont laissé comme témoignage et ne faites pas votre volonté. Il est écrit : [ "C’est la Miséricorde que J’aime et non le sacrifice. Aimez-vous les uns les autres. Soyez humbles de coeur. Ne jugez pas et ne condamnez pas. Pardonnez si vous voulez être pardonné et pardonnez jusqu’à soixante dix fois sept fois et plus encore. Pratiquez la miséricorde les uns envers les autres et ne méditez aucun mal dans votre coeur. Ne vous faites pas appeler « père », car un seul Père est dans les Cieux Le Créateur de toute vie : Yahweh-Él-Shaddaï, le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob : Mon Père et votre Père. Que votre esprit soit simple comme des petits enfants, car le Royaume des Cieux est pour leur semblable. Ne méprisez pas les petits, les exclus, la veuve et l’orphelin. Ne faites pas partie de ceux qui apportent le scandale. Restez purs et soyez sans reproche. Montrez le bon exemple. Faites vous serviteurs les uns des autres, avec un visage agréable. Que votre joie paraisse et non votre tristesse lorsque vous jeûnez. Restez petits si vous voulez devenir grands, car les premiers seront les derniers et les derniers seront les premiers. Allez partout proclamer l’Évangile qui vous a été transmis, avec : Foi, Amour et diplomatie, sans en détourner le sens à votre convenance. Ne cessez surtout pas de convertir le monde, car nul ne va au Père que par Moi et trop de créatures sont dans l’ignorance. Allez visiter les malades et les prisonniers, mais quoi qu’ils aient pu faire ne les rejugez surtout pas car vous ne connaissez pas leur âme. Donnez à manger à ceux qui ont faim, à boire à ceux qui ont soif, accueillez ceux qui sont sans abris, couvrez ceux qui ont froid ou qui sont nus. Donnez à ceux qui vous demandent et apportez du réconfort à tous les malheureux. Priez pour ceux qui vous persécutent et vous persécuteront encore. Tenez bon dans la Foi jusqu’à la fin, ayez confiance en Moi. Ne rendez pas le mal pour le mal. Imposez les mains et chassez les démons en Mon Nom. Bénissez toujours au Nom du Père du Fils et du Saint Esprit, ne maudissez jamais. Soyez charitables, patients, remplis d’Amour et de tolérance. N’ayez pas une opinion trop flatteuse de vous-mêmes, mais soyez discrets et modestes. Soyez parfaits comme votre Père des Cieux est parfait. Ne vous faites pas de mal sur votre corps, car votre corps est Mon Temple et Je vous Aime. Il ne sert à rien que vous vous mortifiez jusqu’au sang, parce que Moi, l’Agneau de Dieu, Le Saint et Le Pur, J’ai donné Mon Sang pour vous. J’ai racheté vos péchés et une seule fois suffit. Aux yeux de Dieu, en tant qu’hommes, vous serez toujours pécheurs, poussières et cendres quoi que vous fassiez. Il n’est donc pas utile que vous portiez une croix trop lourde, car Mon joug est agréable et Mon fardeau léger. A chaque jour suffit sa peine. Veillez parce que vous ne savez ni le jour ni l’heure où votre Maître viendra. Votre Père sait ce dont vous avez besoin, ne multipliez pas les demandes inutiles. Ne doutez jamais ni de la puissance de Son Amour ni de Ma Miséricorde infinie." ] Ne faites plus souffrir Mon Divin Coeur par vos pensées, vos paroles et vos actes. Votre mortification doit être : dans le jeûne une fois par semaine le vendredi et le mercredi des Cendres puis, dans la lecture journalière des Psaumes, des Cantiques, des Évangiles, les Actes, les Lettres de Saint Paul et de l’Apocalypse, ainsi qu’au travers des hymnes et des louanges chantées avec le coeur. La musique traditionnelle à l’orgue, mais aussi symphonique est agréable à mon Coeur. Votre mortification doit se situer dans la prière quotidienne du Rosaire traditionnel proposé par Ma Très Sainte Mère, les litanies et la neuvaine à Mon Sacré-Coeur, mais aussi du chapelet de la Miséricorde Divine que vous devez réciter seul ou en groupe tous les jours à 15 heures. A 3 heures tous les matins, vous devez vous lever et priez aussi au moins trois quart d’heure et si possible une heure pour toutes les âmes, dont celles du purgatoire et Mon Sacré-Coeur. Vous terminerez par la prière quotidienne de la Croix Glorieuse que j’ai enseignée à Dozulé pour son élévation par Mon Église. Vous prierez seul, dans le silence de la nuit, parce c’est le moment où les démons rôdent et des âmes se perdent. Voilà la mortification que Je demande et avec vos peines quotidiennes remplies de charité, d’Amour, de tolérance, cela suffit. Ne faites pas comme ces enfants perdus d’Israël des temps anciens, à l’époque d’Elie le Prophète et avant, où ils se fendaient le corps avec des lames tranchantes. Mon Père et Moi, nous ne vous demandons pas cela, car cet excès de souffrance provient de l’esprit de Satan et non de l’Esprit Saint. Votre cilice n’est pas une obligation, cela concerne votre propre individualité si vous voulez le porter, mais n’obligez personne à vous suivre en ce sens. Ceci est une question de conscience toute personnelle, non une contrainte imposée par Moi. D’ailleurs, Je n’ai jamais imposé une douleur extrême à quiconque. Au contraire, il est écrit que je ne vous ferai jamais porter un fardeau plus lourd que vous ne puissiez porter, ni Mon Père ni Moi nous vous le demandons. N’inventez pas d’autres paroles autour des Écritures mais faites exactement ce qui est écrit ; n’en rajoutez pas et n’en n’enlevez pas car, au Jour du Jugement, vous recevrez en addition des fléaux en rapport à ce que vous aurez ajouté, et il vous sera retranché une part de la Promesse écrite en fonction de ce que vous aurez enlevé. Votre sacrifice doit être dans votre patience infinie pratiquée à l’égard de tous, en supportant avec Amour et tolérance ceux qui ne sont pas de votre avis ou vous persécutent. L’humilité n’est pas dans les coups que vous aurez portés sur vous-mêmes, mais sur la remise en question de votre conscience. Votre humilité doit se situer dans l’écoute intérieure du Coeur de l’âme où demeure l’Esprit de Dieu. L’humilité c’est la charité que vous aurez apportée à votre prochain souffrant. Sans charité, l’humilité est inexistante. Vous portez encore des habits de corbeaux, alors que vos robes ont été lavées dans le Sang de l’Agneau. Je ne Suis pas Le Dieu des morts mais des vivants. Je Suis Ressuscité d’entre les morts, alors pourquoi portez-vous encore le deuil ? Pour la semaine Sainte, que vous fassiez des sacrifices et que vous portiez le noir en souvenir de Ma Passion, Je le comprendrais, et vous auriez Ma Bénédiction, mais en dehors de cette Commémoration Sacrée, Je ne comprends pas ? Portez plutôt des robes immaculées. Soyez des enfants de la Lumière pour être digne d’entrer dans Ma nouvelle Église de Lumière Universelle représentée par l’Élu de Mon Divin Coeur. Il n’est plus temps de sauver les corps mais les âmes. Aussi Je vous le demande : sauvez les âmes perdues, par votre constance dans la prière et par les invocations traditionnelles d’exorcismes. Merci de prendre au sérieux ce Message donné à Mon Frère bien-aimé : « le Porteur de la Lumière de Dieu » que J’ai choisi pour accomplir cette tâche et d’autres encore. Ne le blâmez pas et ne le rejetez pas, car il écrit et fait par Mon Esprit ce que Je lui demande. Ses Écritssont Vérités, écoutez-le et que la Paix soit avec vous ! » Dans ce Message qui concerne l'Église, voire toutes les Églises, Notre Seigneur ne m'a pas fait signer Son Nom de "Yeshouah", comme à l'accoutumé. La raison à cela, est que ce  http://www.prophete-du-sacre-coeur.com/
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haitilegends · 7 years
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L'ORIGINE DU CARNAVAL Le Carnaval est une des fêtes païennes européennes qui furent introduites en Amérique avec la conquête espagnole au XVIe siècle. Le Carnaval est caractérisé par une période de réjouissances à travers lesquelles l'ordre social habituel est remplacé par le contraire de celui établi ; la vie normale est temporairement arrêtée au profit d'une licence des moeurs, de la boisson et de la ripaille. Deux théories existent au sujet de l'origine du Carnaval. L'histoire fait référence au « carrus navalis », le chariot naval qui prenait part ordinairement à la fête romaine d'Isis. Isis, déesse du mariage et de la famille, était une des plus importantes divinités de la mythologie de l'ancienne Egypte et fut adoptée par les Grecs et les Romains. Dans les temps reculés, les Anciens considéraient le mois de mars comme le premier mois de l'année, celui du renouveau. D'après une croyance de l'époque, pour toute nouvelle création, le monde devait retourner au chaos initial pour se ressourcer : la confusion, la folie, la disparition des individualités sous les masques et le maquillage ; un pauvre d'esprit était élu roi et ce dernier revêtait des ornements royaux, il y avait aussi l'âne qui portait des vêtements épiscopaux et officiait à l'autel de l'église ; l'âne représentait alors Satan, le contraire de l'ordre officiel. Le Carnaval fut identifié aux fêtes annuelles licencieuses, les Lupercales, célébrées à Rome pendant la dernière quinzaine de février en l'honneur du dieu Lupercus, protecteur des champs et des troupeaux; un rite consacré au début du printemps, le temps de la purification, de la fécondité et de la productivité. L'histoire fait aussi référence au latin « carnelevare » au Xe siècle. « Carnelevare » vient de carne (viande) et levare (laisser). Ainsi, le mot carnaval voudrait dire « quitter la viande » avant le Carême, période de jeûne débutant le Mercredi des Cendres pour se prolonger jusqu'à Pâques, soit 40 jours. La période avant le Carême, du jour des Rois - le 6 janvier - aux trois jours Gras finissant le Mardi, marquerait la période du Carnaval. Pendant la période de Carême, la viande, le gras, n'était pas consommée, et avant cette période, les gens se débarrassaient de tout ce qui avait du gras pour préparer des fritures, beignes, etc. Chez nous en Haïti, cette tradition est représentée par la préparation et la consommation des beignets chauds, qui ont la particularité de ne se vendre qu'exclusivement au cours de la période carnavalesque... Le jeûne pendant le Carême se pratiquait en Europe au VIIe siècle ; le Pape Grégoire le Grand nomma le dimanche précédant le Carême dominica ad carnes levandas, d'où vint carne levamen et finalement carnevale. Au VIIIe siècle, le jeûne gagna toute l'Europe qui au XIIIe connaissait le mot italien « carnavale », d'où le mot actuel « Carnaval ». Au XIVe siècle, l'Europe avait un Carnaval policé dans les villes et un autre axé sur des rituels liés aux saisons dans les campagnes. La date du Mardi Gras est fixée tous les ans par rapport à celle de Pâques, qui elle-même varie en fonction du cycle de la Lune. Le Carnaval se rattache à une autre conception fondamentalement opposée au Carême ; c'est le monde à l'envers : Carnaval contre Carême, gras contre maigre, viande contre poisson, ivresse contre sobriété, licence contre abstinence, masques et maquillages contre identité réelle ; tous les tabous et les interdits sont suspendus et tous les excès permis. Le Mardi Gras était brûlé ou noyé dans la nuit du Mardi, d'où notre tradition en Haïti du « brûler » ou « pran lè sann ». L'ÉVOLUTION DU CARNAVAL Une des fonctions du Carnaval est de favoriser la cohésion et l'homogénéité du corps social. La hiérarchie est renversée, toutes les contraintes qui s'exerçaient dans l'année sont rejetées ; tout rentre dans l'ordre les jours suivants. Sorte de soupape de sécurité, le Carnaval renforce le sentiment d'appartenance à une agglomération, à une nation. Le Carnaval présente aussi une fonction conservatrice, car il transmet de génération en génération un ordre retracé à ses origines, tout en renouvelant les croyances et les mythes. Le présent est de ce fait relié au passé et les membres de la communauté participent à l'Histoire qui les dépasse en tant qu'individus. A l'origine, le Carnaval était en réalité un rituel. Les préceptes du Carnaval débutèrent bien avant l'ère chrétienne. Depuis l'Antiquité, les différents peuples nordiques avaient institué des fêtes pour marquer la fin de l'hiver et le renouveau du soleil, implicitement la reprise de la fertilité de la terre. Les dieux chassaient le froid et favorisaient le retour de la végétation à travers des sacrifices et des fêtes. Ces réjouissances avaient lieu entre le solstice d'hiver et l'équinoxe du printemps pour saluer le réveil de la nature, et « il s'agirait même là de la racine "matérielle et existentielle " de la plupart des mythes, religions et formes de pensée plus ou moins symboliques développées par l'Homme, pour exprimer la lutte de la Lumière contre les Ténèbres ». Le Carnaval représente la survivance d'un amalgame de traditions religieuses de la plus haute Antiquité greffées aux fêtes chrétiennes au Moyen Age et évoluant au fil du temps. En Europe, il est rapporté que déjà en -1000, les tribus nordiques accueillaient le char solaire à travers des processions et des fêtes pour signifier les premiers labours et la fécondité, ils paradaient avec masques et cornes ; les rangs sociaux s'inversaient temporairement. En Grèce, au temps de Périclès, on commémorait au début de février les fêtes annuelles de Dionysos, elles-mêmes issues de traditions plus anciennes. Ce culte de Dionysos s'éparpillera dans tout l'Orient avec les campagnes d'Alexandre et intégrera les diverses traditions locales similaires. En Judée, dans l'ancien calendrier juif, les Saducéens consultaient le ciel au début de février pour intégrer les jours supplémentaires avant de recommencer l'année ; une période dite de purification et d'alliance avec le Temple. Il existe encore la fête de Purim, fête des Sorts et de la Lumière, avec mascarades et déguisements. Chez les Celtes, la première semaine de février était marquée par des fêtes et rituels entre les deux saisons ; il fallait se purifier, chasser les esprits, brûler les sorcières fictives ou brûler des effigies de rois. Les rois abdiquaient le pouvoir pour quelques jours. Un faux roi dirigeait les rites, il y mettait tant de désordre qu'il fallait sa mort pour que tout rentre dans l'ordre. Une tradition celtique voulait qu'au cours de ces fêtes, tuer symboliquement un dieu ou un roi, un fils de roi ou un fils de dieu, permettait la transmission magique de la force et la renaissance de la Lumière. Vers 200-300, les Chrétiens incorporèrent Jésus le messie avec certains dieux grecs et persans tels Dionysos, Orphée, Mithra. Le catholicisme se centralisant à Rome, les rites divergèrent entre l'Orient et l'Occident. L'Eglise d'Orient gardera la fête de la reconnaissance de Jésus comme Dieu. L'Eglise d'Occident récupéra les rites de purification d'origine juive, le culte de la Vierge Marie, l'influence celtique à propos de la fécondité, les anciens cultes romains Lupercales, Saturnales, Bacchanales. Au VIe siècle, un mannequin incarnait le Carnaval, il était accompagné par les habitants en chantant, puis il était brûlé. Les fêtards décidaient de le mettre à mort après une parodie de jugement où tous les maux de l'année écoulée lui étaient publiquement attribués ; son enterrement donnait lieu à un joyeux adieu public. A la tombée de la nuit, on jetait les masques dans les flammes du bûcher du Roi Carnaval. Ces manifestations se retrouvent encore aujourd'hui : la négation du quotidien, le changement de rôle et la destruction du mannequin. A Rome, au VIIe siècle encore, les Lupercales étaient fêtées autour du 15 février. Les célébrants, vêtus de peaux de bouc, couraient à travers la ville en frappant avec des lanières de ces peaux tous ceux qu'ils rencontraient, notamment les femmes. Celles-ci ne cherchaient pas à se soustraire aux coups, parce qu'elles croyaient que cela favorisait la grossesse. Les Lupercales symbolisaient l'intrusion du monde sauvage dans le monde civilisé, celle du désordre dans la vie réglée, en bref, des fêtes de purification sociale et de fécondation, avant la nouvelle année. L'année administrative débutait en février, période où la puissance du roi était mise au défi et contrecarrée. Par ailleurs, on chassait les loups qui rôdaient durant l'hiver ("lupus arcere" deviendra " Lupercales "). Les Saturnales avaient lieu aux alentours du solstice d'hiver, vers le 21 décembre. De joyeux banquets étaient organisés, le maître de maison allait jusqu'à servir ses esclaves à table, un roi de fantaisie était aussi élu. Les Bacchanales étaient en l'honneur de Bacchus. Dès le XIVe siècle, le Carnaval atteignit les villes. « Le plus ancien document semble être le Schwembartbuch qui décrit les costumes de carnaval de Nuremberg de 1429 à 1539. » Malgré les interdictions des Papes à propos de ces fêtes licencieuses, le carnaval se perpétua depuis le Moyen Age jusqu'à nos jours. Au Moyen Age, l'Eglise christianisa les fêtes païennes et les rebaptisa. Par ailleurs, au carnaval de 1393, Charles VI (1316-1378) dénommé le Bien-Aimé ou le Fou, amateur de fêtes, aurait failli périr lors d'un bal masqué, le " bal des ardents " ; déguisé en ours, le feu prit à son accoutrement ; sa cour mit fin à la mode des bals masqués. Au Moyen Age encore, on dansait dans l'église, on chantait la messe à l'envers, les riches se déguisaient en pauvres et les pauvres en riches, les adultes en enfants et vice versa. Sous la Renaissance, les catholiques organisaient des chars décorés et des déguisements. La pratique de bouleversement des rôles et des statuts sociaux s'institutionnalisa davantage ; l'esprit même du Carnaval encourageait le changement de personnalité afin de pousser son contraire à outrance. Vers le XVIe siècle, le masque se propagea en Europe avec l'épanouissement des divertissements sur les places publiques. Plus loin, au Carnaval de Venise au XVIIIe siècle, le bouc émissaire ne fut autre que le grand seigneur, le Doge. Des taureaux et cochons, symboles des taxes, étaient égorgés en sa présence ; on se moquait de lui en le parodiant et on brûlait sa Majesté Carnaval, symbole du pouvoir. De plus en plus, les éléments fondamentaux du carnaval se retrouvèrent partout, incluant défilés avec masques, déguisements et refrains ironiques permettant un défoulement dans un désordre permis sur fond de débridement de la sensualité orale. - See more at: http://lenouvelliste.com/lenouvelliste/article/89942/LORIGINE-DU-CARNAVAL#sthash.Paw2zdxy.dpuf
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lily-yvonne · 4 years
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LE MARDI AVANT LA PÂQUE (PESSAH)
Plans de jour à l’extérieur
Fondu noir avec enchaînement sur Jésus et ses apôtres qui descendent vers la ville, avec l’intention d’entrer par la Porte du Troupeau, près de la Probatique et dans le but de se rendre au Temple. Mais plusieurs des soixante douze disciples attendent Jésus, au-delà du Cédron, et dès qu’ils le voient apparaître au milieu des oliviers, dans son vêtement pourpre, ils vont à sa rencontre. Ils se réunissent pour aller en ville. Pierre, qui regarde en avant, en bas de la pente, soupçonnant toujours de voir apparaître quelque mal intentionné, voit parmi le vert frais des dernières pentes un amas de feuilles fanées et qui pendent, en se penchant au-dessus de l’eau du Cédron.
 Pierre crie en montrant de la main l’arbre et en tournant la tête pour s’adresser au Maître : — Mais c’est le figuier d’hier ! Le figuier que tu as maudit !
Tous accourent, sauf Jésus qui avance de son pas habituel. Les apôtres racontent aux disciples l’antécédent de ce qu’ils voient et tous ensemble commentent en regardant stupéfait Jésus. Nous n’entendons pas avec précision les paroles d’exclamations, mais ils paraissent tous frappés par cet événement.
Jésus arrivé à leur niveau sourit en voyant ces visages aux regards stupéfaits et craintifs. Il leur dit : — Et quoi ? Vous êtes tellement émerveillés qu’à ma parole un figuier se soit desséché ? Ne m’avez-vous pas vu ressusciter les morts, guérir les lépreux, donner la vue aux aveugles, multiplier les pains, calmer les tempêtes, éteindre le feu ? Et vous êtes stupéfaits qu’un figuier se dessèche ?
Barthélemy dit en réduisant en poussière des branches qu’il a facilement cassées : — Ce n’est pas pour le figuier. C’est qu’hier il était robuste quand tu l’as maudit, et maintenant il est sec. Regarde, il est friable comme de l’argile sèche. Ses branches n’ont plus de moelle. Regarde, elles s’en vont en poussière !
Jésus : — Elles n’ont plus de moelle. Tu l’as dit. Et c’est la mort quand il n’y a plus de moelle, aussi bien dans un arbre que dans une nation, que dans une religion. Mais il reste seulement la dure écorce et le feuillage inutile : férocité et extérieur hypocrite. La moelle, blanche, entière, pleine de sève, correspond à la sacralité, à la spiritualité. L’écorce dure et le feuillage inutile à l’humanité dépourvue de vie spirituelle et juste. Malheur aux religions qui deviennent humaines parce que leurs prêtres et leurs fidèles n’ont plus l’esprit vital. Malheur aux nations dont les chefs ne sont que férocité et verbosité tapageuse dépourvues d’idées fertiles ! Malheur aux hommes auxquels manque la vie de l’esprit !
L’Iscariote dit, sans amertume, mais d’un ton doctoral : — Pourtant si tu devais dire cela aux grands d’Israël, encore que ta parole soit juste, tu ne serais pas sage. Ne te flatte pas que jusqu’à présent ils t’ont laissé parler. Toi-même le dis que ce n’est pas par conversion de cœur, mais par calcul. Sache alors, Toi aussi, calculer la portée et les conséquences de tes Paroles. Parce qu’il y a aussi la sagesse du monde en dehors de la sagesse de l’esprit. Et il faut savoir en user à notre avantage. Car enfin, pour l’instant, on est dans le monde, et pas dans le Royaume d’Elohîm.
Jésus lui répond fermement mais sans élever la voix, d’autant qu’il s’adresse aussi à tous ses fidèles : — Le vrai sage, c’est celui qui sait voir les choses sans que les ombres de la propre sensualité et les réflexions du calcul les altèrent. Je dirai toujours la vérité de ce que je vois.
Philippe demande à Jésus : — Mais, en somme, ce figuier est mort parce que tu as été Toi à le maudire, ou bien… c’est un pur hasard…un signe… je ne sais pas ?
Jésus :— C’est tout ce que tu dis. Mais ce que j’ai fait, vous aussi vous pourrez le faire si vous arrivez à avoir la Foi parfaite. Ayez cette foi dans l’Adonaï Él-Shaddaï. Et quand vous l’aurez, en vérité je vous dis, vous pourrez faire cela et encore davantage. En vérité je vous dis, si quelqu’un arrive à avoir la confiance  parfaite dans la force de la prière et dans la bonté d’Adonaï, il pourra dire à cette montagne : « Déplace-toi de là et jette-toi dans la mer » et si en le disant il n’a pas d’hésitation dans son cœur, mais croit fermement que ce qu’il ordonne peut se réaliser, alors ce qu’il a dit se réalisera.
L’Iscariote en hochant la tête dit : — Et nous semblerons des magiciens et nous serons lapidés, comme il est écrit dans la Loi pour qui exerce la magie. Ce serait un miracle bien sot et à notre détriment !
Jude réplique en haussant les épaules :  — C’est toi qui es sot, car tu ne comprends pas la parabole !
Jésus ne répond pas directement à Judas, mais il parle à tous : — Je vous dis, et c’est une ancienne leçon que je répète à cette heure : quoi que vous demandiez par la prière, ayez la Foi de l’obtenir et vous l’obtiendrez. Mais si avant de prier, vous avez un sentiment de rancœur contre quelqu’un, pardonnez d’abord et faites la Paix, afin d’avoir pour Ami votre Père qui est dans les Cieux, qui vous pardonne tant et vous comble tant, du matin au soir et du couchant à l’aurore.
Ils entrent au Temple. Les soldats de l’Antonia les regardent passer. Ils vont adorer l’Adonaï Él-Shaddaï, puis reviennent dans la cour où les rabbis enseignent. Avant que les gens n’arrivent et se groupent autour de Jésus, s’approchent des saphorim, des docteurs d’Israël et des hérodiens qui le saluent avec un respect hypocrite et fourbe.
L’un d’entre eux Lui adresse la parole : — Rabbi, nous savons que tu es sage et véridique, et que tu enseignes la voie d’Elohîm sans tenir compte de rien ni de personne, excepté de la vérité et de la justice, et que tu te soucies peu du jugement des autres sur Toi, mais seulement de conduire les hommes au bien, sans regarder l’apparence des gens. Dis-nous alors : est-il permis de payer le tribu à César ou bien n’est-il pas licite de le faire ?
Jésus les regarde de l’un de ces regards d’une pénétrante et solennelle perspicacité, puis il répond : — Pourquoi me tentez-vous hypocritement ? Et pourtant quelqu’un de vous sait que l’on ne me trompe pas avec des honneurs hypocrites ! Mais montrez-moi une pièce de monnaie de celles qui servent pour le tribu.
Ils Lui présentent une pièce de monnaie. Il l’observe des deux côtés et, en la tenant appuyée sur la paume de sa main gauche, il l’a frappe de l’index de sa main droite en disant : — De qui est cette image et que dit cette inscription ?
Un autre répond : — C’est la figure de César et l’inscription porte son nom. Le nom de Caius Tibère César qui est maintenant empereur de Roma.
Jésus : — Et alors, rendez à César ce qui est à César et donnez à Elohîm ce qui est à Elohîm.
Puis il leur tourne le dos après avoir rendu la pièce à celui qui la Lui avait donnée. Il écoute tel ou tel des nombreux pèlerins qui l’interrogent. Mais la musique qui a commencé à se faire entendre couvre les paroles. Cependant en plan large montre Jésus qui réconforte, absout, guérit. Puis ellipse, par un plan général de la caméra s’élevant progressivement, afin de filmer en plongée l’ensemble du Temple. Ces dix secondes du plan sont toujours accompagnées d’un fond musical pour montrer les heures qui passent. Fondu enchaîné sur le couchant du soleil, puis transition et ouverture sur les apôtres assis par terre, fatigués, sous le portique. A ce moment s’approche de Jésus, appuyé contre un mur à l’ombre, des hommes riches à en juger par leurs vêtements somptueux. Matthieu, qui ne sommeille que d’un œil, se lève pour secouer les autres :
— Des Sadouqîm1 vont trouver le Rabbi. Ne le laissons pas seul pour qu’ils ne l’offensent pas ou ne cherche pas à Lui faire tort et à le mépriser encore. 
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1 Saducéens. Sadouqîm est tiré du nom : Sadoq, grand prêtre à l’époque de Salomon. Les sadducéens faisaient partie de l’aristocratie sacerdotale. Ils étaient les dominateurs du Temple et du Sanhédrin. Toutefois, ils étaient divisés, à cause de leurs idées plus politiques que religieux, en deux groupes : Ceux qui étaient pour le pouvoir des Asmonéens, et les "Hérodiens", favorables au pouvoir d’Hérode. Ils ont disparu dès la destruction du Temple en 70 après Jésus-Christ.
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Ils se lèvent tous pour rejoindre Jésus qu’ils entourent immédiatement.
Les sadducéens rendent honneur à Jésus avec des courbettes exagérées et l’un d’eux Lui dit : — Rabbi, tu as répondu si sagement aux hérodiens que nous est venu le désir d’avoir nous aussi un rayon de ta lumière. Ecoute, Moshè a dit : « Si quelqu’un meurt sans enfant, que son frère épouse la veuve pour donner une descendance à son frère. » Or, il y avait parmi nous sept frères. Le premier, après avoir épousé une jeune fille, mourut sans laisser de descendance et ainsi, il laissa sa femme à son frère. Le second mourut aussi sans laisser de descendance, et de même le troisième qui épousa la veuve des deux qui l’avaient précédé, et il en fut de même jusqu’au septième. Finalement après avoir épousé les sept frères, la femme mourut. Dis-nous, à la résurrection des corps, s’il est assurément vrai que les hommes ressuscitent1 et que notre âme survit et s’unit de nouveau au dernier jour, en reformant les vivants, lequel des sept frères aura la femme, puisqu’ils l’ont eue tous les sept sur la Terre ?
Jésus : — Vous vous trompez. Vous ne savez comprendre ni les Ecritures ni la puissance d’Elohîm. Très différente de celle-ci sera l’autre vie, et dans le Royaume éternel n’existeront pas comme dans celui-ci les nécessités de la chair. Car, en vérité, après le jugement final la chair ressuscitera et se réunira à l’âme immortelle pour reformer un tout, vivant, comme et mieux que n’est vivante maintenant ma personne et la vôtre. Mais elle ne sera plus sujette aux lois et surtout aux impulsions et aux abus qui existent maintenant. A la résurrection les hommes et les femmes ne se marieront pas, mais ils seront semblables aux Anges d’Elohîm dans le Ciel qui ne se marient pas. Tout est vivant dans l’amour parfait qui est divin et spirituel. Quant à la résurrection des morts, n’avez-vous pas lu comment du buisson Elohîm a parlé à Moshè ? Que dit alors ÉlShaddaï : « Je suis Yahweh, l’Eloah d’Abrahâm, l’Eloah d’Ish’ac, l’Eloah de Ia’acob. » Il n’a pas dit : "J’ai été", pour faire comprendre qu’Abrahâm, Is’hac et Ia’acob avaient existé, mais n’existaient plus. Il a dit : « Je suis », parce qu’Abrahâm, Is’hac et Ia’acob existent ; immortels. Comme tous les hommes dans leur partie immortelle, tant que les siècles dureront, et ensuite avec la chair ressuscitée pour l’éternité. Ils existent comme existent Moshè, les Prophètes, les justes, comme malheureusement existe Caîn. De même qu’ils existent ceux du déluge, et les sodomites, et tous ceux qui sont morts en faute mortelle. Elohîm n’est pas l’Eloah des morts mais des vivants.
Les sadducéens sont déjà las de leur douceur feinte. Leur rancœur est telle qu’ils ne savent se contenir, et ils demandent à Jésus d’un ton sarcastique et presque méprisant, comme pour le tenter : — Est-ce que Toi aussi tu mourras et ensuite seras vivant ?
Jésus : — Je suis le Vivant et ma Chair ne connaîtra pas la décomposition. L’Arche d’Alliance nous a été enlevée et l’actuelle, qui n’est que symbolique, sera aussi enlevée. Le Tabernacle nous a été enlevé et sera détruit. Mais le vrai Temple d’Elohîm ne pourra être enlevé ni détruit. Quand ses adversaires croiront l’avoir fait, alors ce sera le moment qu’il s’établira dans la véritable Ieroushalaîm, dans toute sa gloire. Adieu.
Puis Jésus se hâte vers la Cour des Israélites car les deux shophars2 appellent au sacrifice du soir.
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1 Les Sadducéens ne croyaient pas à la résurrection des morts. 2 Les shophars étaient des cornes de bélier utilisés pour sonner les heures du culte du Temple, mais aussi pour avertir d’un danger imminent.
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EXTRAIT DE L’OUVRAGE  “SCÉNARIO - L’ULTIME ALLIANCE” : http://www.prophete-du-sacre-coeur.com/scenario-l_ultime-alliance.pdf
http://www.prophete-du-sacre-coeur.com/ https://www.youtube.com/watch?v=1qI8FeNbFsM&t=621s https://www.change.org/p/emmanuel-macron-dieu-ne-veut-pas-de-fl%C3%A8che-sur-notre-dame-098097a0-f72c-4021-9b66-cc9c78ecb8a8?lang=fr-FR
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jelismabible · 4 years
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Matthieu 3
Dans ce chapitre y a pas mal de promesses de choses peu réjouissantes au premier abord. Mais en tant que chrétiens avant de voir les paroles de Jean-Baptiste comme d'effrayantes menaces, il est important de bien contextualiser ses propos. Jean-Baptiste s'adresse avant tout aux pharisiens et aux saducéens et les invite à "produire" le fruit de leur repentance. C'est à dire de manifester la foi en Jésus qui s'en vient ? Ou d'avoir un comportement qui déjà manifeste cette foi qui arrive ? Toujours est-il que pour lui être descendant d'Abraham ne suffit plus et c'est ça la clé ! À ceux qui s'approchent de lui pour le baptême il annonce que cette qualité n'a plus de valeur dans le chemin qui s'ouvre. C'est tout nouveau pour eux dont la naissance assurait la benediction: Désormais pour être sauvé il faudra manifester les fruits de sa repentance. C'est pourquoi il dit que les arbres qui ne produiront pas de bon fruits- Ceux qui ne se convertiront pas réellement, les vipères qui demandent le baptêmes par superstition ou par conformisme- seront coupés. Voilà pourquoi ces versets sont un peu violent parce que la donne à violemment changé pour le peuple juif et pour l'humanité avec la venue de Jésus. Sinon le reste du chapitre me donne réellement envie de me baptiser. Vivement.
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RT @bpdflores: Les pharisiens et les saducéens viennent pour tenter Jésus James Tissot c. 1890 https://t.co/VKsWKbAEI3
elliottmartha1 RT @bpdflores: Les pharisiens et les saducéens viennent pour tenter Jésus James Tissot c. 1890 https://t.co/VKsWKbAEI3 http://twitter.com/elliottmartha1/status/934560306352787457
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christophe76460 · 3 months
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DÉVOTION QUOTIDIENNE D'MFM. LA VIE AU SOMMET DE LA MONTAGNE.
Mercredi 14 février 2024
THÈME : ENNEMIS DE LA FAMILLE -L'ORGUEIL
BIBLE EN UN AN : Nombres 16, Nombres 17, Nombres 18, Romains 16, 1 Corinthiens 1, 1 Corinthiens 2
ÉCRITURE DE FEU : Ézéchiel 16 : 49-50
VERSET DE MÉMOIRE :
Daniel 5:20 - "Mais lorsque son coeur s`éleva et que son esprit s`endurcit jusqu`à l`arrogance, il fut précipité de son trône royal et dépouillé de sa gloire;"
CITATIONS INSPIRANTES :
La fierté est un destructeur, évite-la.
LOUANGE ET ADORATION :
Prenez des chants de louange et d’adoration dirigés par le Saint-Esprit.
PAROLE PROPHÉTIQUE DU JOUR :
Tout esprit d'orgueil assigné contre votre vie mourra, au Nom de Jésus.
LE MESSAGE :
Tous les problèmes ont des causes, des effets et parfois des solutions selon les cas. Cependant, avec Dieu, il y a toujours une solution à chaque problème car avec Dieu, tout est possible. Le Dieu Tout-Puissant nous soutient toujours en tant qu’enfants bien-aimés. Jérémie 29 : 11 dit : « Car je connais les projets que j'ai formé sur toi, dit l'Éternel, projets de paix et non de malheur, afin de te donner un avenir et de l'espérance»
Une autre chose qui pose problème dans la famille est la fierté. La Bible dit que Proverbes, L`arrogance précède la ruine, Et l`orgueil précède la chute. (Proverbes 16 : 18). L'orgueil dans la vie des membres de la famille attirera sur eux la colère de Dieu. Cela ne permet pas à Dieu d’agir dans la famille comme Il le voudrait. Cela limite le mouvement de Dieu dans la famille. Une famille orgueilleuse ne peut jamais connaître la plénitude de la faveur, de la gloire et des bénédictions de Dieu en général. Dieu résiste aux orgueilleux ; Il ne cache pas son dédain pour l'orgueil. Par conséquent, toute famille fière ne peut jamais se vanter de la présence de Dieu et de toutes les bénédictions qui en découlent.
La fierté d’une famille laisse présager un danger pour cette famille. Si vous regardez bien, vous découvrirez que l’orgueil est derrière tout mal que les hommes font à leurs semblables. Les membres de la famille ne sont pas épargnés dans son œuvre destructrice. Voilà à quel point la fierté peut être horrible. Joseph était fier de son don spirituel de rêves et de visions, ainsi que de la faveur de son père envers ses frères et il a failli être assassiné par ses frères. Le couple, Adam et Ève, est devenu trop sûr de lui et n’a plus jamais considéré Dieu. La fin fut la perte de la paix et finalement la destruction. Nous devons apprendre à élever nos familles à craindre Dieu et à lui rendre toujours gloire.
L’orgueil mène à la désobéissance et à la rébellion. Cela provoque des conflits et de la désunion. Une personne orgueilleuse mettra toute une famille en difficulté. L'orgueil est un péché parce qu'il rend les gens égocentriques au lieu de se concentrer sur Dieu. Dans Matthieu 3 : 9, Jean-Baptiste a mis en garde les pharisiens et les saducéens contre leur orgueil vantard et leur prétention d’avoir Abraham pour père. Naaman a failli rater son miracle et la visite de Dieu à sa famille à cause de son orgueil. Je prie que l'orgueil ne détruise pas votre famille, au nom de Jésus.
POINTS DE PRIÈRE :
MATIN
1. Tout esprit de fierté dans la fondation de ma famille, meurs, au nom de Jésus.
2. Fierté générationnelle et arrogance dans ma lignée familiale, meurs, au nom de Jésus.
3. Ma famille et moi ne serons pas détruits par l'esprit d'orgueil, au nom de Jésus.
SOIR
4. Saint-Esprit, apprends-nous à craindre le Seigneur et à l'honorer, au nom de Jésus.
5. Esprit d'humilité, couvre ma famille, au nom de Jésus.
6. Toute bonne chose que ma famille a perdue à cause de l'orgueil, soit restaurée, au nom de Jésus.
7. Père Seigneur, glorifie ton nom dans ma famille, au nom de Jésus.
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christophe76460 · 5 months
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Amis ou camarades ?
“Là où tu iras, j'irai. Là où tu habiteras, j'habiterai... et ton Dieu sera mon Dieu.” Ruth 1. 16
Au cours de votre vie, vous rencontrerez des gens qui vous sembleront proches, parce que vous luttez pour les mêmes causes et affrontez les mêmes ennemis. Vous formerez avec eux une alliance faite d’opportunisme et de pragmatisme, tout en sachant que vous n’avez pas les mêmes idéaux, les mêmes valeurs, que vous ne respectez pas les mêmes principes. Ils vous épauleront tant que vous irez dans la même direction, mais une fois la bataille terminée, ils s’éloigneront de vous pour suivre leur propre route. Ce ne sont pas des amis, mais des camarades. Ils ressemblent à des soldats de nationalités différentes, unis seulement pour se battre contre un ennemi commun.
Les pharisiens et les saducéens se retrouvèrent alliés contre Jésus lorsqu’ils vinrent exiger de Lui qu’Il leur donne un signe venu du ciel (Matthieu 16. 1). Pourtant ces deux groupes avaient des vues opposées. Leur seule motivation commune : tuer Jésus ! Certains se targueront d’être vos amis ; pour déterminer s’ils le sont vraiment, prêtez attention à leurs discours. Ils dévoileront vite quelles sont leurs valeurs et pourquoi ils recherchent votre compagnie ! Lorsque Noémi suggéra à ses deux belles-filles de rester dans leur pays et d’y chercher un nouveau mari, l’une d’elles, Ruth lui déclara : “Là où tu iras, j’irai, là où tu habiteras, j’habiterai.
Ton peuple sera mon peuple, et ton Dieu sera mon Dieu.” (Ruth 1. 16). Ruth n’avait aucun intérêt à rester aux côtés de Noémi. Aucun agenda commun ne les liait. Elle aurait pu abandonner sa belle-mère maintenant que celle-ci souhaitait rentrer dans son pays. Mais elle déclara vouloir aller habiter dans le même pays que Noémi (un pays étranger pour elle), au sein d’un peuple dont elle ne connaissait pas les coutumes, et en accepter les valeurs morales et la religion. Les camarades peuvent vous être utiles un temps, mais méfiez-vous-en ! La Bible nous avertit : “Ne formez pas avec les non-croyants un attelage disparate... Quelle communion entre la lumière et les ténèbres?” (2 Corinthiens 6. 14).
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christophe76460 · 7 months
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DÉVOTION QUOTIDIENNE D'MFM. LA VIE AU SOMMET DE LA MONTAGNE.
Mercredi 01 novembre 2023
THÈME : VOUS DEVEZ ÊTRE DIFFÉRENT.
BIBLE EN UN AN : Ezéchiel 6, Ezéchiel 7, 1 Corinthiens 6, 1 Corinthiens 7
ÉCRITURE DE FEU : Daniel 1:1-8
VERSET DE MÉMOIRE :
1 Pierre 2:9 - "Vous, au contraire, vous êtes une race élue, un sacerdoce royal, une nation sainte, un peuple acquis, afin que vous annonciez les vertus de celui qui vous a appelés des ténèbres à son admirable lumière"
CITATIONS INSPIRANTES :
Ose être différent; osez être un Daniel.
LOUANGE ET ADORATION :
Prenez des chants de louange et d’adoration dirigés par le Saint-Esprit.
PAROLE PROPHÉTIQUE DU JOUR :
Recevez la grâce d'être positivement différent et de montrer la merveilleuse lumière de Dieu dans votre génération, au Nom de Jésus.
LE MESSAGE :
Jésus était différent à son époque. Sa vie et son ministère étaient consacrés à l'enseignement de nouveaux modes de vie basés sur l'amour sans égal de Dieu et menant au ciel. Les Pharisiens, les Saducéens et les docteurs de la loi disaient œil pour œil, mais Jésus dit : aimez vos ennemis et bénissez ceux qui vous persécutent et vous maltraitent. Bien-aimé, toi aussi tu dois être différent du monde. Premièrement, vous devez connaître et apprécier votre identité en Christ. 1 Pierre 2 : 9 affirme "Vous, au contraire, vous êtes une race élue, un sacerdoce royal, une nation sainte, un peuple acquis, afin que vous annonciez les vertus de celui qui vous a appelés des ténèbres à son admirable lumière,"
Pourquoi devriez-vous être différent ? La première raison est que Dieu l’a ordonné. Il a dit de ne pas aimer le monde et les choses du monde. La parole de Dieu dit que l'amour du monde est inimitié envers Dieu. La vérité est que le monde est séparé de Dieu et n’a pas la connaissance de Dieu. En tant que croyant, vous connaissez Christ et vous séparer du monde et être différent vous empêchera d'être pollué. Éphésiens 4 : 17-18 souligne ce point : « Voici donc ce que je dis et ce que je déclare dans le Seigneur, c`est que vous ne devez plus marcher comme les païens, qui marchent selon la vanité de leurs pensées. Ils ont l`intelligence obscurcie, ils sont étrangers à la vie de Dieu, à cause de l`ignorance qui est en eux, à cause de l`endurcissement de leur coeur.»
À Babylone, Daniel résolut dans son cœur d’être différent. Il refusa de prendre le somptueux repas et les vins exotiques sur la table du roi païen Nabuchodonosor. Il savait que la nourriture offerte aux idoles le souillerait. Joseph a choisi d'être différent en disant non et en fuyant la séduisante Mme Potiphar.
Bien-aimé, pour que tu sois différent en ces derniers jours, tu dois te dépouiller de l’ancien moi et revêtir le nouvelle nature (2 Pierre 1 : 4). Dans Lévitique 18 : 2-4, Dieu a averti les enfants d’Israël de ne pas suivre les pratiques du pays de Canaan ni de suivre leurs ordonnances. Il a ajouté dans Lévitique 19 : 2. "Vous serez saints : car moi, l'Éternel, votre Dieu, je suis saint."
POINTS DE PRIÈRE :
MATIN
1. O Seigneur, pardonne mes péchés et pardonne mes iniquités, au nom de Jésus.
2. Une incitation satanique conçue pour mettre ma gloire à la poubelle, sois frustrée, au nom de Jésus.
3. Table à manger des ténèbres assignée à polluer mon âme, sois détruite par le tonnerre, au nom de Jésus.
SOIR
4. Flèches tirées pour couvrir ma tête de ténèbres, reçois le feu, au nom de Jésus.
5. Les voix de rétrogradation de ma fondation entourant mon étoile, soient réduites au silence pour toujours, au nom de Jésus.
6. Je ne suivrai pas le chemin qui mène à la destruction, par la puissance du sang de Jésus, au nom de Jésus.
7. O Dieu, lève-toi, fais de moi un Daniel dans ma génération, au nom de Jésus.
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christophe76460 · 10 months
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Amis ou camarades ?
“Là où tu iras, j'irai. Là où tu habiteras, j'habiterai... et ton Dieu sera mon Dieu.” Ruth 1. 16
Au cours de votre vie, vous rencontrerez des gens qui vous sembleront proches, parce que vous luttez pour les mêmes causes et affrontez les mêmes ennemis. Vous formerez avec eux une alliance faite d’opportunisme et de pragmatisme, tout en sachant que vous n’avez pas les mêmes idéaux, les mêmes valeurs, que vous ne respectez pas les mêmes principes. Ils vous épauleront tant que vous irez dans la même direction, mais une fois la bataille terminée, ils s’éloigneront de vous pour suivre leur propre route. Ce ne sont pas des amis, mais des camarades. Ils ressemblent à des soldats de nationalités différentes, unis seulement pour se battre contre un ennemi commun.
Les pharisiens et les saducéens se retrouvèrent alliés contre Jésus lorsqu’ils vinrent exiger de Lui qu’Il leur donne un signe venu du ciel (Matthieu 16. 1). Pourtant ces deux groupes avaient des vues opposées. Leur seule motivation commune : tuer Jésus ! Certains se targueront d’être vos amis ; pour déterminer s’ils le sont vraiment, prêtez attention à leurs discours. Ils dévoileront vite quelles sont leurs valeurs et pourquoi ils recherchent votre compagnie ! Lorsque Noémi suggéra à ses deux belles-filles de rester dans leur pays et d’y chercher un nouveau mari, l’une d’elles, Ruth lui déclara : “Là où tu iras, j’irai, là où tu habiteras, j’habiterai.
Ton peuple sera mon peuple, et ton Dieu sera mon Dieu.” (Ruth 1. 16). Ruth n’avait aucun intérêt à rester aux côtés de Noémi. Aucun agenda commun ne les liait. Elle aurait pu abandonner sa belle-mère maintenant que celle-ci souhaitait rentrer dans son pays. Mais elle déclara vouloir aller habiter dans le même pays que Noémi (un pays étranger pour elle), au sein d’un peuple dont elle ne connaissait pas les coutumes, et en accepter les valeurs morales et la religion. Les camarades peuvent vous être utiles un temps, mais méfiez-vous-en ! La Bible nous avertit : “Ne formez pas avec les non-croyants un attelage disparate... Quelle communion entre la lumière et les ténèbres?” (2 Corinthiens 6. 14).
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christophe76460 · 1 year
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Amis ou camarades ?
“Là où tu iras, j'irai. Là où tu habiteras, j'habiterai... et ton Dieu sera mon Dieu.” Ruth 1. 16
Au cours de votre vie, vous rencontrerez des gens qui vous sembleront proches, parce que vous luttez pour les mêmes causes et affrontez les mêmes ennemis. Vous formerez avec eux une alliance faite d’opportunisme et de pragmatisme, tout en sachant que vous n’avez pas les mêmes idéaux, les mêmes valeurs, que vous ne respectez pas les mêmes principes. Ils vous épauleront tant que vous irez dans la même direction, mais une fois la bataille terminée, ils s’éloigneront de vous pour suivre leur propre route. Ce ne sont pas des amis, mais des camarades. Ils ressemblent à des soldats de nationalités différentes, unis seulement pour se battre contre un ennemi commun.
Les pharisiens et les saducéens se retrouvèrent alliés contre Jésus lorsqu’ils vinrent exiger de Lui qu’Il leur donne un signe venu du ciel (Matthieu 16. 1). Pourtant ces deux groupes avaient des vues opposées. Leur seule motivation commune : tuer Jésus ! Certains se targueront d’être vos amis ; pour déterminer s’ils le sont vraiment, prêtez attention à leurs discours. Ils dévoileront vite quelles sont leurs valeurs et pourquoi ils recherchent votre compagnie ! Lorsque Noémi suggéra à ses deux belles-filles de rester dans leur pays et d’y chercher un nouveau mari, l’une d’elles, Ruth lui déclara : “Là où tu iras, j’irai, là où tu habiteras, j’habiterai.
Ton peuple sera mon peuple, et ton Dieu sera mon Dieu.” (Ruth 1. 16). Ruth n’avait aucun intérêt à rester aux côtés de Noémi. Aucun agenda commun ne les liait. Elle aurait pu abandonner sa belle-mère maintenant que celle-ci souhaitait rentrer dans son pays. Mais elle déclara vouloir aller habiter dans le même pays que Noémi (un pays étranger pour elle), au sein d’un peuple dont elle ne connaissait pas les coutumes, et en accepter les valeurs morales et la religion. Les camarades peuvent vous être utiles un temps, mais méfiez-vous-en ! La Bible nous avertit : “Ne formez pas avec les non-croyants un attelage disparate... Quelle communion entre la lumière et les ténèbres?” (2 Corinthiens 6. 14).
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christophe76460 · 1 year
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Amis ou camarades ?
“Là où tu iras, j'irai. Là où tu habiteras, j'habiterai... et ton Dieu sera mon Dieu.” Ruth 1. 16
Au cours de votre vie, vous rencontrerez des gens qui vous sembleront proches, parce que vous luttez pour les mêmes causes et affrontez les mêmes ennemis. Vous formerez avec eux une alliance faite d’opportunisme et de pragmatisme, tout en sachant que vous n’avez pas les mêmes idéaux, les mêmes valeurs, que vous ne respectez pas les mêmes principes. Ils vous épauleront tant que vous irez dans la même direction, mais une fois la bataille terminée, ils s’éloigneront de vous pour suivre leur propre route. Ce ne sont pas des amis, mais des camarades. Ils ressemblent à des soldats de nationalités différentes, unis seulement pour se battre contre un ennemi commun.
Les pharisiens et les saducéens se retrouvèrent alliés contre Jésus lorsqu’ils vinrent exiger de Lui qu’Il leur donne un signe venu du ciel (Matthieu 16. 1). Pourtant ces deux groupes avaient des vues opposées. Leur seule motivation commune : tuer Jésus ! Certains se targueront d’être vos amis ; pour déterminer s’ils le sont vraiment, prêtez attention à leurs discours. Ils dévoileront vite quelles sont leurs valeurs et pourquoi ils recherchent votre compagnie ! Lorsque Noémi suggéra à ses deux belles-filles de rester dans leur pays et d’y chercher un nouveau mari, l’une d’elles, Ruth lui déclara : “Là où tu iras, j’irai, là où tu habiteras, j’habiterai.
Ton peuple sera mon peuple, et ton Dieu sera mon Dieu.” (Ruth 1. 16). Ruth n’avait aucun intérêt à rester aux côtés de Noémi. Aucun agenda commun ne les liait. Elle aurait pu abandonner sa belle-mère maintenant que celle-ci souhaitait rentrer dans son pays. Mais elle déclara vouloir aller habiter dans le même pays que Noémi (un pays étranger pour elle), au sein d’un peuple dont elle ne connaissait pas les coutumes, et en accepter les valeurs morales et la religion. Les camarades peuvent vous être utiles un temps, mais méfiez-vous-en ! La Bible nous avertit : “Ne formez pas avec les non-croyants un attelage disparate... Quelle communion entre la lumière et les ténèbres?” (2 Corinthiens 6. 14).
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christophe76460 · 1 year
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Vous avez dit : secte ?
Bonjour Stéphane ,
“Il y aura de faux docteurs, qui introduiront des sectes pernicieuses” (2 Pierre 2.1).
L’Écriture nous parle de sectes pernicieuses. Le mot “secte” est chargé d’une connotation péjorative et même parfois d’une certaine dangerosité. C’est un mot qui fait peur, d’ailleurs il est souvent employé dans le but de faire peur, par ceux qui occupent une position reconnue. Dans leur bouche le mot secte est utilisé pour dire : «Nous ne sommes pas une secte, ceux qui pensent autrement le sont et présentent un réel danger».
Ce mot est employé pour stigmatiser l’autre, pour le désigner comme dangereux ou toxique. Voici une citation du journaliste Jean-François Kahn : “En fait, toute religion est une secte qui a réussi à s’implanter. On donne d’ailleurs le nom de secte à toute Église non officielle qui concurrence les Églises officielles” (Extrait de Dictionnaire incorrect de Jean-François Kahn).
En fait, le mot secte désigne l’émergence d’un courant de pensée nouveau au sein d’un groupe donné. L’émergence de ces courants nouveaux peut se faire aussi bien dans les domaines de la philosophie, de la croyance, de l’art, de la politique, de l’économie, de la médecine, de la science… C’est le propre de l’homme d’être créatif, et de proposer continuellement de nouvelles pistes.
Par exemple dans le domaine médical, en s’éloignant du concept de la génération spontanée, admise à l’époque au sein du corps médical, Louis Pasteur nous fait entrer dans la découverte des microbes, des bactéries et donc des vaccins.
Dans le domaine religieux, en se séparant du polythéisme Chaldéen pour aller vers le monothéisme, Abraham met en place une nouvelle secte, celle des monothéistes. Le tronc polythéiste n’a jamais disparu pour autant. Au sein même de ce monothéisme, le judaïsme est né, avec diverses sectes qui ont marqué son histoire. Certaines sont mentionnées dans les Évangiles : Les saducéens, les pharisiens, les zélotes…
Par son enseignement, Jésus, tout en accomplissant la loi, donne un nouvel éclairage à cette même loi. Il introduit donc une nouvelle secte qui sera appelée après sa mort et sa résurrection, la secte des Nazaréens : “Nous avons trouvé cet homme (l’apôtre Paul), qui est une peste, qui excite des divisions parmi les juifs du monde, qui est le chef de la secte des Nazaréens” (Actes 24.5). Il est important de noter que le mot secte est utilisé non par ceux qui suivent la vision nouvelle des choses, mais d’une manière péjorative par ceux qui sont dans le conservatisme. Rien n’a changé depuis !
Ce qui vient d’être dit ne signifie pas que toutes les séparations d’un tronc déjà existant sont bonnes. Cependant il existe des moyens d’identifier ce qui est pernicieux de ce qui ne l’est pas.
Ma prière en ce jour :
A l’heure où les enseignants de la Bible, parfois auto-proclamés, sont de plus en plus nombreux, donne-moi Seigneur de savoir discerner ce qui peut être pernicieux ou pas. Amen !
À demain pour la suite.
Paul Calzada
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