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#robert sauveur
illiana-mystery · 1 year
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1988/1989/1990
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carbone14 · 1 year
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Parachutiste du 505e Régiment d'infanterie parachutiste (505th PIR) de la 82e Division aéroportée américaine (82nd Airborne division) dans les ruines de Saint-Sauveur-le-Vicomte – Bataille de Normandie – 16 juin 1944
Photographe : Robert Capa
©International Center of Photography/Magnum photos
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fidjiefidjie · 11 months
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Bonjour, bonne journée ☕️ 🪖 79e D-Day
Parachutiste de la 82e Airborne, Saint-Sauveur-le-Vicomte 🪂 Manche 1944
Photo de Robert Capa/ Militaryimages
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Alfred Molina as Robert Sauveur in 'The Butcher's segment; one of four monologues celebrating the bicentennial of the French Revolution in Revolutionary Witness (1989).
Watch the brilliant performance on YouTube and Dailymotion.
Promo photos: Twitter and Pinterest.
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miroir-de-sports · 15 days
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Yves Costille, cyclo navigateur
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Sortie vélo 12 janvier 2022
Parmi ceux qui ont souhaité partager l'hommage rendu à Yves Costille, ils sont nombreux à avoir découvert une passion qui l'animait et qu'ils ignoraient. Aux souvenirs du gardien de but de Pontailler-sur-Saône, du cycliste chevronné qui a inscrit son nom au palmarès du Challeng'Afrique en mai 2015, du pilote de tandem dévoué à Jérôme, déficient visuel du Club de Chevigny-Saint-Sauveur, s'ancrera désormais l'image d'un navigateur.
On doit la commémoration marine suivante, à Danielle, secrétaire de l'association Ascola, le Club croisière dijonnais.
Yves, je vais parler de toi au nom de l’ASCOLA association qui a permis à de nombreux dijonnais mais pas que, de pratiquer la voile de croisière sans bourse délier, même si Dijon, en France, est l’un des endroits les plus éloignés de toute mer.  
Tu as succédé à Maurice Bomann comme président et tu l’as été pendant 12 ans, ensuite tu es devenu trésorier, notre actuel président est Max Ducuing dont je salue la présence ici. 
Pour nombre d’entre nous tu as été le pilier de notre association, bénévole bien entendu. De nombreux chefs de bord nous ont aussi accompagnés bénévolement : Maurice, Jean-Paul, Hervé, Lionel, Max, Serge, Philippe, Robert, Gérard, Bernard et j’en passe. Beaucoup sont ici aujourd’hui. Ils ont emmené les membres de l’association naviguer en Italie, en Croatie, dans les Antilles, en Polynésie. 
Yves, certes tu aimais naviguer mais par-dessus tout partager et transmettre, tu nous a permis de découvrir et aimer ces voyages écologiques avant l’heure et si « prenants ». 
Tu as organisé, avec d’autres bien sûr, des croisières côtières, hauturières, des week-ends de voile de loisir à Panthier, des visites au salon nautique pour louer les bateaux et le fameux anniversaire des 20 ans de l’ASCOLA en 2002 où les adhérents se sont retrouvés sur 2 grands voiliers : l’Etoile polaire et l’Etoile molène pour un tour dans les Anglo- Normandes, navigation, chants et danses, bonne chère et bons crus, quelle Fête et quelle convivialité ! 
Grâce à tes connaissances très pointues acquises aux Glénans, à ton calme, ta patience envers les néophytes tu as su transmettre, rassurer, permettre de progresser et de devenir plus autonome. 
Attention, patience et calme ne signifient pas manque de fermeté car tu savais aussi cadrer quand il fallait.  
J’ai souvent navigué à ton bord avec Hélène. Avec toi j’ai appris le vocabulaire maritime nécessaire pour que l’équipage se comprenne : pas de cordes ou de ficelles mais des écoutes, des drisses, des bouts, des aussières, des bras de spi etc… 
Appris à lire les cartes marines, à calculer les 12èmes des marées, le marnage, les courants leur sens et leur vitesse, les allures de la voile au vent, comment négocier les vagues en cas de houle, de quel côté   franchir les bouées cardinales, les alignements de feux pour les entrées de port la nuit, les phares (les Héaux de Bréhat, Keréon, la Jument, le Stiff et reconnaître leurs éclats pour se repérer). Un autre monde. 
Nous n’avions pas de GPS et tout se faisait à l’estime. Heureusement, pour toi, c’était simple et clair même si pour certains d’entre nous c’était un vrai casse-tête. 
Tu nous as emmenés dans tous les ports et les mouillages de Bretagne et de Vendée, en Normandie aussi, au départ du petit port de Diélette dans le Cotentin, aux iles Scilly, à l’ile de Wight et à Portsmouth, dans les Anglo-Normandes : Jersey, Guernesey, Serk et les îles Chausey. 
Tu as pris la responsabilité d’escadres de bateaux, 3 ou 4 voiliers et même 8 ou 9 petits Muscadets dans le Golfe du Morbihan. Quelle responsabilité effectivement ! Toujours en alerte au cas où l’un d’entre eux soit en difficulté, s’avise de partir toutes voiles dehors en ayant oublié de relever son ancre par exemple, s’échoue sur un banc de sable ou ne parvienne pas à quitter son mouillage à Chausey où c’est toujours difficile ou encore parte dans la mauvaise direction. ça n’étaient pas des vacances pour toi mais toujours le partage, l’engagement. 
Avec toi nous avons navigué en toute confiance et sécurité, même dans les endroits dangereux dont les noms donnés par les marins  font peur : des récifs appelés Pater Noster ou la balise nommée La Noire Pute dans les parages de Guernesey. Avec toi on les passait sans trembler. 
Il y a tout de même une chose que tu faisais qui était désagréable c’est quand, bien blottis dans notre couchette, tu venais nous réveiller car c’était notre tour de quart de nuit. 
J’ai un souvenir heureux et ému d’un super quart de nuit avec Hélène. 
Et la vie à bord, l’amitié encore, le partage des tâches pour les manœuvres, la conduite du bateau et la vie quotidienne. Les repas arrosés ou non, les histoires drôles qu’on avait le temps de se raconter pendant les longs bords. Tu en connaissais beaucoup, je ne me souviens que de celle où il s’agissait de gagner des Bounty… ça dira sans doute quelque chose à ceux qui ont navigué avec toi. Beaucoup de rires partagés aussi. 
Une navigation m’a particulièrement interpelée : toi qui aimais les mouillages forains et les petites escales, cette année-là nous avons fait tous les ports ayant des cafés disposant de télévisions. 
En fait c’était en 1998 et, bien sûr, pas question de louper la coupe du monde de foot (une de tes autres passions), faut pas exagérer quand même. 
Bref Yves, je résume, désintéressement, partage, transmission, savoir rassembler autour de soi, amitié, responsabilité, énergie, gaieté, compétence, patience et bonne humeur. 
Pour moi Yves tu respires le large, le vent, l’ouverture et pour chaque coin de côte Bretonne j’ai dans le cœur Yves et Hélène. 
Bientôt je vais me rendre à l’île de Sein et là je vais vous retrouver  tous les deux entre les feux deTévennec, de la Vieille et le pignon peint d’une bande noire sur une maison, pour signaler l’entrée dans le petit port de Sein. 
A bientôt Yves 
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christophe76460 · 2 months
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JÉSUS ET L'ÉLECTION
Jésus a enseigné la doctrine de l’élection. Il a expliqué que son Père agissait dans la vie des hommes selon un plan et un but. Cette pensée constitue une grande partie de son enseignement sur le royaume de Dieu. Ce royaume a déjà été préparé pour les « bénis » dès la fondation du monde (Matthieu 25.34). Il appartient à Dieu d’y accorder les places d’honneur (Matthieu 20.23). Ces versets donnent une indication générale des desseins souverains de Dieu. De plus, Jésus insiste sur le fait que l’entrée dans le royaume de Dieu est associée à un appel (Matthieu 9.13) et que cet appel n’est effectif qu’avec une autre restriction du cœur de la part de Dieu, par laquelle son choix s’opère. Il y a beaucoup d’appelés, mais peu d’élus (Matthieu 22.14). Les « paroles de réconfort » sont elles-mêmes basées sur ce principe :
En ce temps-là, Jésus prit la parole et dit : Je te loue, Père, Seigneur du ciel et de la terre, de ce que tu as caché ces choses aux sages et aux intelligents et de ce que tu les as révélées aux enfants. Oui, Père, je te loue de ce que tel a été ton bienveillant dessein. Tout m’a été remis par mon Père, et personne ne connaît le Fils, si ce n’est le Père, personne non plus ne connaît le Père, si ce n’est le Fils et celui à qui le Fils veut le révéler. Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos (Matthieu 11.25-28).
Ces paroles sont insondables. À la façon dont elles parlent de la relation interpersonnelle entre le Père et le Fils, elles nous transportent dans les vérités profondes de Dieu. Elles attirent notre attention sur des mystères qui dépassent notre entendement, mais elles évoquent aussi avec simplicité la façon dont les hommes viennent à Christ. C’est en effet par le choix du Père et du Fils :
Choisi non par ma justice,
Éveillé de la colère afin que je fuisse
Aux côtés du Sauveur, caché
Par l’Esprit, sanctifié,
Enseigne-moi, Seigneur, à montrer ici-bas
Par mon amour, ce que je te dois.
Robert Murray M’Cheyne [Traduction libre]
Pourtant, c’est pour mettre en œuvre ces desseins électifs que Christ racontait ses paraboles. Il soutenait qu’elles appelaient les élus et endurcissaient les indifférents, qui sont justes à leurs propres yeux (Matthieu 13.14-15).
L’élection dans l’Évangile de Jean
La même vérité ressort avec encore plus d’éclat dans l’Évangile de Jean. Jésus y partage sa profonde conscience des desseins prédestinés du Père pour sa vie. Il vit par la volonté de son Père (Jean 4.34;5.30;6.38-40). Il vit pour « l’heure » que son Père a déjà fixée (Jean 2.4; 7.30; 8.20; 12.27; 13.1; 17.1). Jésus lui-même était conscient des desseins prédestinés de Dieu et il y faisait référence.
Aussi, l’Évangile de Jean décrit Jésus comme le Sauveur du monde. Il se trouve une dimension universelle à sa mission, dans la mesure où il est le Fils unique de Dieu et donc l’unique Sauveur de l’humanité. C’est pourquoi il doit être élevé à la vue de tous les hommes (voir Jean 3.14; 8.28; 12.32, 34). Cela ne doit toutefois pas nous empêcher de voir un autre principe que Jean décrit sans la moindre réserve. Il apparaît d’abord dans un point particulièrement crucial du récit de Jean et son importance est accentuée par la perte de l’appui que Jésus a subie de la part du peuple, lorsqu’il l’a enseigné :
Jésus leur dit : Moi, je suis le pain de vie. Celui qui vient à moi n’aura jamais faim, et celui qui croit en moi n’aura jamais soif. Mais je vous l’ai dit : Vous m’avez vu, et vous ne croyez pas. Tout ce que le Père me donne viendra à moi, et je ne jetterai point dehors celui qui vient à moi; car je suis descendu du ciel pour faire, non ma volonté, mais la volonté de celui qui m’a envoyé. Or, voici la volonté de celui qui m’a envoyé : que je ne perde rien de tout ce qu’il m’a donné, mais que je le ressuscite au dernier jour. Voici, en effet, la volonté de mon Père : que quiconque voit le Fils et croit en lui ait la vie éternelle; et je le ressusciterai au dernier jour… Dès lors, plusieurs de ses disciples se retirèrent en arrière et cessèrent d’aller avec lui (Jean 6 35-40, 66).
Notre foi, le résultat de la volonté divine
Ce qui se produit lorsque des hommes et des femmes placent leur confiance en Christ n’est pas le résultat de leur propre volonté, mais celui de la volonté divine. Jésus enseigne que tous ceux qui lui ont été donnés viendront à lui, mais il dit aussi qu’il n’y a pas d’autre moyen de venir à lui. Il est impossible d’ignorer cette insistance récurrente sur l’élection de Dieu. Il choisit tous ceux qui deviennent ses enfants. Jésus parle d’eux comme étant les « siens » (Jean 6.44, 13.1), c’est-à-dire ceux qu’il a choisis (Jean 13.18; 15.16, 19). Il prie pour eux (Jean 17.9) et leur donne la vie éternelle (Jean 10,28; 17.2).
Par conséquent, ce que Jésus dit d’abord à ses disciples s’applique aussi à tous les chrétiens : « Ce n’est pas vous qui m’avez choisi, mais moi, je vous ai choisis et je vous ai établis, afin que vous alliez, que vous portiez du fruit » (Jean 15.16). Un privilège comporte des responsabilités.
Cet article est tiré du livre : La vie chrétienne de Sinclair Ferguson
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c-40 · 4 months
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A-T-3 338 Computer Selection
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A Home Computer on the cover of a conservative US magazine
Home computers were doing great business and in the run up to the Christmas of 1983 companies are anticipating a bonanza. 1983 was the year home-micro ownership in the UK far surpassed the US and elsewhere around the world. Britain is still the world's third largest producer of video games despite many of its leading figures moving to America or Japan in the 1990s and early 2000s with half the world's most profitable games franchises originating here. Many decent computer documentaries come out of the UK like the From Bedrooms To Billions series
Back to 1983 and computers were in music studios, arcade games had hit their peak, and the space shuttle Challenger had made its maiden flight. Computers they were part of the cultural zeitgeist and so referred to in many many songs
Jean-Luc Ponty – Computer Incantations For World Peace terrific piece of music and the title of a great compilation series on Jazzanova's Sonar Kollektiv label
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King Sunny Ade & His African Beats - Synchro System the title track from King Sunny Ade's second western release
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Data 3 - Who's That? (Instrumental) - digital reggae hasn't got to Jamaica yet but in Canada
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Sauveur Mallia - New Wave Sequence French library music from the Tele Music album Automation Volume 2
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Robert Palmer - You Are In My System cover of The System's US hit. Palmer will have major success with his cover of Cherrelle's 1983 classic I Didn't Mean To Turn You On in 1985
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Casco – Cybernetic Love (Instrumental) by Italian Dj/Producer Salvatore Cusato and the House Of Music team
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Osé - Computer Funk debut release from American electro group
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Eberhard Schoener - Systeme German prog composer and a track fro his album Spurensicherung
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R.E.M. - Computer Communication italo track that uses a Speak & Spell for the electronic voices
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Bruno Spoerri, Betha Sarasin - Frangen An Den Computer another from the German avant-garde
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Other notable computer related tracks from 1983 are J. M. Band – Computer Monkey, Starr's Computer Band – Computer Rock Control, Data-Bank-A – Spiritus Sanctus, Alexander Robotnick – Computer Sourire, R.E.K. – Computer Haben Herzschmerz
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yes-bernie-stuff · 8 months
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Mercredi 13 septembre 2023
Nous étions… détestables, nous haïssant l’un l’autre. Mais, quand la bonté de notre Dieu sauveur et son amour envers les hommes sont apparus, il nous sauva, non sur la base d’œuvres accomplies en justice que nous, nous aurions faites, mais selon sa propre miséricorde.
Tite 3. 3-5
Les Betchouanas
Au 19e siècle, le missionnaire-pionnier Robert Moffat a travaillé 50 ans en Afrique du Sud parmi la tribu des Betchouanas, le long du fleuve Orange. Ses compétences de jardinier, charpentier et forgeron lui ont attiré le respect de la population locale. Son souci principal, cependant, était de leur apporter le message de Jésus Christ. Dans ce but, il a traduit la Bible dans leur dialecte.
Un jour, un homme de la tribu vint voir Moffat et lui demanda :
– Maître, j’aimerais te poser une question : Est-ce que les gens qui ont écrit le Nouveau Testament connaissent notre tribu ? Nous en avons discuté entre nous dans nos villages, et beaucoup pensent que oui.
– Qu’est-ce qui vous fait penser cela ? demanda Moffat.
– Eh bien, nous pensons qu’ils devaient nous connaître, parce que tout le mal que nous avons dans notre cœur est mentionné dans ce livre.
À cette époque, beaucoup de Betchouanas ont été convaincus par le message clair et vrai de la Parole de Dieu à leur sujet, mais aussi par le message d’amour du Dieu sauveur. Par la foi en Christ, ils ont fait l’expérience d’une profonde transformation dans leur vie.
“Si quelqu’un est en Christ, c’est une nouvelle création : les choses vieilles sont passées ; voici, toutes choses sont faites nouvelles” (2 Corinthiens 5. 17).
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culturevsnews-blog · 10 months
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Sauveur & Fils - Saison 7 de Marie-Aude Murail (Auteur), Constance Robert-Murail (Auteur)
Achat : https://amzn.to/433GCWg En trois ans, bien des choses se sont passées au 12, rue des Murlins. Chronique : “Sauveur & Fils – Saison 7” de Marie-Aude Murail et Constance Robert-Murail nous plonge une fois de plus dans l’univers attachant et complexe de Sauveur Saint-Yves, psychologue. Dans cette septième saison, le contexte de la pandémie de Covid-19 vient semer la pagaille dans la vie…
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isabelle201180 · 1 year
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Sauveur et fils saison 7 de Marie-Aude Murrail et Constance Robert-Murail
Cher Sauveur, vous m’accompagnez depuis sept ans déjà. Je suis heureuse de vous retrouver pour cette septième saison – et à chaque fois, l’on croit, l’on craint, que ce sera la dernière. Depuis la saison 6, la pandémie est passée par là, la pandémie et ses conséquences pour toute la population, qui a plus ou […]Sauveur et fils saison 7 de Marie-Aude Murrail et Constance Robert-Murail
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illiana-mystery · 1 year
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I just started watching this, but my god. It's as great as I imagined and I love his look here.
I'd love to get down and dirty with him. 😏
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amberfaber40 · 1 year
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photos by Robert Capa
photos by Robert Capa
Pablo Picasso and Françoise Gilot and Picasso's nephew, Javier Vilato. Spain, Barcelona. January 1939. Watching an air raid over the city. Barcelona was being heavily bombed by fascist planes, as General Franco's troops rapidly approached (left). Nüremberg, 20th April 1945. The city after the…
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First Look: Robert Capa’s Stunning Color Photographs
Bikinis in Biarritz to skiing in the Alps.
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20 Of The Most Iconic Photographs And The Cameras That Captured Them
They say a picture is worth a thousand words. Some pictures, however, are worth at least a million. I’m talking about the iconic pictures that nearly everyone recognizes and that will forever be etched into our shared history. Even though these historical photos might be known by all, far from everyone knows about the superstar photographers who took them. Even less know about the film photography cameras they used to capture history in the making. Buckle up, amigos, you’re about to become photography buffs!
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Pablo Picasso and Françoise Gilot and Picasso's nephew, Javier Vilato.Spain, Barcelona. January 1939. Watching an air raid over the city. Barcelona was being heavily bombed by fascist planes, as General Franco's troops rapidly approached (left). Nüremberg, 20th April 1945. The city after the Allied bombing. Spain, Madrid. Winter 1936-1937. After an Italo-German air raid. The Nationalist offensive on Madrid, which lasted from November 1936 to February 1937, was one of the fiercest of the Civil War. During this period Italy and Germany started helping the Nationalist forces, and the USSR the Popular Front government. France, Paris. August 25th, 1944. Members of the French Resistance during the liberation of the city. France, Chartres. August 18th, 1944. A mother (dark dress) and her daughter (white dress), accused of collaboration, have their hair shaved, as a sign of humiliation. The daughter is holding a baby conceived with a German soldier. August, 1945. An American soldier selling a watch to a Russian soldier. After the entry of the French 2nd Armored Division, numerous pockets of German snipers had to be rooted out in street fighting. Many French civilians and members of the Resistance helped the French troops in this fighting. This photograph shows a French civilian who was unable to contain his wrath against a German soldier who had surrendered. Paris. August 25th, 1944. Soldiers of the U.S. 82nd Airborne Division. Saint-Sauveur-le-Vicomte, France, June 16, 1944. Running for shelter during an air raid Bilbau, May 1937. Just after the liberation of the town, a French woman who had had a baby with a German soldier was punished by having her head shaved. Chartres, Eure-et-Loir, France, 18 August 1944. Immigrants from Europe Arriving in Haifa, Israel. Tour de France bicycle race, France, July 1939. Watching the Tour de France in front of the bicycle shop owned by Pierre Cloarec, one of the cyclists in the race, Pleyben, Brittany, France, July 1939. Watching the Tour de France in front of the bicycle shop owned by Pierre Cloarec, one of the cyclists in the race, Pleyben, Brittany, France, July 1939. Galilee. Near Gedera (south of Tel Aviv). November-December, 1950. Village for blind immigrants (victims of trachoma) and their families, founded by a Pole. Three men are led to the community dining hall. Haifa, Israel, 1950. Italy, Naples. Funeral of 20 teenage partisans of the Liceo Sannazaro, in the Vomero district. Led by one of their teachers, the boys had fought against the Germans for 4 days before the arrival of the Allies. October 2nd, 1943. Landing of the American troops on Omaha Beach. Normandy. June 6th, 1944. Nuremberg, Germany, April 20, 1945, (right). Gary Cooper, 1942. Spain, Madrid. November-December 1936. A member of the International Brigades. Pablo Picasso in his studio at the Rue des Grands-Augustins, Paris. Gary Cooper, 1942. American soldier (left) interrogating an Italian prisoner of war. Sicily, Italy, August 1943. Truman Capote, Italy, 1953. Henri Matisse, France. Israel, Tel Aviv. May, 1949. Armon Café, on Hayarkan Street. France, Eure-et-loir. Chartres. August 18th, 1944. Shortly after the liberation of the city, a French woman who had a baby with a German soldier has her head shaved, as a sign of humiliation. Her mother (left) suffered the same treatment. Spain, April 1935, (left). Spain, Barcelona. January 1939. Little girl resting during the evacuation of the city. A member of the American Medical Corps treats a German prisoner of war. Italy, July 1943. France, Eure-et-Loir. Chartres. August 18th, 1944. Shortly after the liberation of the city, a French woman who had collaborated with the Germans has her hair shaved at police headquarters as a sign of humiliation. Ernest Hemingway and his son Gregory. Sun Valley, October 1941. Ernest Hemingway. Spain, Madrid. November-December 1936. After the Italo-German air raids. The Nationalist offensive on Madrid, which lasted from November 1936 to February 1937, was one of the fiercest of the Civil War. During this period Italy and Germany started helping the Nationalist forces, and the USSR the Popular Front government. The civilians were severely affected by the bombings. Members of the International Brigades, engaged in a house to house fight around the slaughterhouse, near the university campus, in the western outskirts of the capital. Madrid. November-December 1936. Death of a loyalist militiaman. Spain, Cordoba front. September, 1936. Near Nicosia, July 28th, 1943. An Italian soldier straggling behind a column of his captured comrades , marching towards a Prisoner Of War camp. Ernest Hemingway. France, near Chartres. August, 1944. Resistance fighters take a German paratroop officer prisoner. Republican Soldier and Gerda Taro, near Cordoba, Spain 1936. Haifa, May/June, 1950. Immigrants from Europe arriving to settle in Israel. Berlin. Jewish New Year. Paris, Les Champs ELysées. August 26th, 1944. Members of the French Resistance and soldiers of the French Army celebrating the liberation of the city. Italy, Cefalu. Two days after the liberation of the city. July 26th, 1943. France, Paris. August 26th, 1944. General Charles de Gaulle leading the parade down the Avenue des Champs-Elysées to celebrate the liberation of the city. France Paris. June 1936. Employees of the department store "Galeries Lafayette" on the rooftop terrace during a sit-in strike, (right). Spain, Barcelona. January 13, 1939. Man with two women and a baby preparing for mobilization as General Franco's troops approached the city. Spain, Barcelona. August 1936. Republican militiamembers.
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auda-isarn · 1 year
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Sidonie Gabrielle Colette est une femme de lettres, actrice et journaliste française, née le 28 janvier 1873 à Saint-Sauveur-en Puisaye. Elle est l'une des plus célèbres romancières de la littérature française et européenne. Ses livres transpire également le paganisme.
Mon autrice préférée. C'était aussi l'une des rares personnes qui a demandée la grâce de Robert Brasillach, malgré leur très grande divergence politique.
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cdnart · 2 years
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Robert Pilot; Early Spring, Saint-Sauveur
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christophe76460 · 3 months
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BIOGRAPHIE DE JIM ELLIOT
Philip James Elliot (8 octobre 1927 – 8 janvier 1956) était un missionnaire chrétien évangélique en Équateur, qui avec d’autres furent tués en essayant d’évangéliser les Huaorani à travers divers ministères connus sous le nom d’Operation Auca.
Jim Elliot est né à Portland (Oregon) aux États-Unis. Ses parents sont Fred et Clara Elliot. Ses grands parents paternels, d'origine écossaise faisaient partie des premières de la famille à s’installer en Amérique du Nord. Ses grands-parents maternelsont déménagé à la fin du xixe siècle de la Suisse à l’est de Washington, où ils géraient un grand ranch. Ses parents se sont rencontrés à Portland, où Clara faisait des études pour devenir chiropracteur, et où Fred, après s’être consacré au ministère chrétien, travaillait comme prédicateur itinérant dans une petite église des Assemblées de Frères. Après deux années de correspondance, ils se sont mariés en 1918. Robert, leur premier enfant, est né en 1921, alors qu’ils vivaient à Seattle. Puis arriva Herbert, Jim et Jane, qui sont nés après que la famille se fut installée à Portland. Les parents de Jim Elliot avaient des fortes convictions chrétiennes et ils élevaient leurs enfants en conséquence, les amenant à l’église et leur lisant la Bible régulièrement. Elliot accepta Jésus-Christ comme sauveur personnel à l’âge de six ans. Il a grandi dans une famille où l’obéissance et l’honnêteté étaient de rigueur. Les parents Elliot encourageaient leurs enfants à être aventureux et à vivre pour Jésus-Christ.
En 1941, Elliot entra au lycée Benson Polytechnic, où il étudia le dessin d'architecture. Là, il participa à de nombreuses activités, y compris le journal de l’école, l’équipe de football américain, des spectacles, et le club d’art oratoire. Son talent d'acteur poussa certains professeurs de l’école à lui suggérer qu’il poursuive une carrière d’acteur, et ses qualités d’orateur furent remarquées.
Elliot utilisait ses capacités à parler en public régulièrement. Un camarade de classe raconte comment Elliot avait cité la Bible au président du corps étudiant comme une explication pour ne pas être présent à une fête de l’école. Une autre fois, Elliot risquait l’expulsion du club d’art oratoire en refusant de donner un discours politique, en croyant que les chrétiens ne devraient pas être associés dans la politique. En tant que Pacifiste, il a rejeté l’idée de l’utilisation de la force pour éliminer l’esclavage en Afrique, et il était prêt à se présenter comme un objecteur de conscience s’il avait été enrôlé à servir dans la Seconde Guerre mondiale.
En automne de 1945, Elliot entra à l’université de Wheaton, une université chrétienne privée dans l’Illinois. Croyant à l’importance d’une bonne condition physique et d’une bonne discipline, il a intégré l’équipe de lutte pendant sa première année. L’année suivante, il refusa une poste dans le staff de l’université qui lui aurait permis d’avoir une année sans frais de scolarité mais qui aurait exigé un engagement d'une période significative de sa part et représentait ce qu'il considérait comme de ridicules responsabilités. Il n'était même pas entièrement convaincu de l'importance de ses études, considérant certaines matières comme étant des distractions pour quelqu'un qui essaie de suivre Dieu.
L'intérêt d'Elliot pour la mission se solidifia pendant ses années à Wheaton. Il suivit bientôt le modèle des autres « faith missions » en ne cherchant pas à être financé par une dénomination. Membre de l'organisation Student Foreign Missions Fellowship sur le campus avec son colocataire David Howard, Elliot parla à un groupe, Intervarsity Christian Fellowship, du rôle du Saint Esprit sur la mission. Pendant l'été 1947, après sa deuxième année d'université, lui et son ami Ron Harris firent un voyage missionnaire au Mexique. Il resta là-bas pendant 6 semaines, travaillant avec une famille missionnaire avec laquelle il apprit la mission sur le terrain. À la fin de l'année qui suivit, il assista à une convention missionnaire pour étudiant international, sponsorisé par InterVarsity. Il y rencontra un missionnaire du Brésil, et ce dernier le conduisit à croire plus fermement que son appel missionnaire était le travail auprès des tribus d'Amérique Centrale.
Au début de sa troisième année à Wheaton, Elliot décida de se spécialiser en grec, convaincu que cela l'aiderait dans ses études personnelles de la Bible et pourrait aider la traduction des Écritures dans la langue de peuples encore non atteints par l’Évangile. Malgré sa conviction que les relations amoureuses distrayaient souvent les gens de leur poursuite de la volonté de Dieu, son intérêt pour Elisabeth Howard grandit, alors sa camarade de classe. Il apprit à la connaître mieux, elle et sa famille. Ils étaient d'accord sur le fait d'être attirés l'un par l'autre, mais n'étant pas convaincus que Dieu était au centre de cette relation, ils n'ont pas immédiatement poursuivi une relation sérieuse.
Au Camp Wycliffe, Elliot eu pour la première fois l’opportunité d’écrire dans une autre langue en travaillant avec un ancien missionnaire du peuple Quichua. Le missionnaire lui avait parlé du peuple Waodani, qui étaient connus comme étant les « Indians Auca » (Auca étant le mot quechua pour « sauvage »). Ce peuple indigène en Équateur était considéré comme violent et dangereux envers ceux qui étaient en dehors de leur territoire. Elliot ne savait toujours pas s'il devait aller en Équateur ou en Inde jusqu'en juillet. Ses parents et amis se demandaient s'il ne pourrait pas plutôt être plus efficace dans le ministère auprès des jeunes aux États-Unis, mais considérant l’église mère comme « bien nourri » il estimait que les missions internationales devaient avoir la priorité.
Après l'achèvement de ses études linguistiques, Elliot fit une demande de passeport et commença à faire des plans avec son ami Bill Cathers pour partir en Équateur. Cependant, deux mois plus tard, Bill l’informa qu’il avait l’intention de se marier, rendant impossible pour lui d'accompagner Elliot comme ils l'avaient prévu. Elliot passa alors l'hiver et le printemps de 1951 à travailler avec son ami Ed McCully à Chester, en Illinois, où ils présentèrent un programme de radio, prêchèrent dans les prisons, organisèrent des rassemblements d’évangélisation, et enseignèrent l’école de dimanche.
Ed McCully s’est marié plus tard cet été, forçant Elliot à chercher un autre homme non marié qui pourrait l’accompagner en Équateur. Cet homme s'est révélé être Pete Fleming, diplômé de l'Université de Washington en philosophie. Il correspondait fréquemment avec Elliot, et en septembre, il fut convaincu de son appel en Équateur. Pendant ce temps, Elliot visitait des amis sur la côte est, y compris Elisabeth. Dans son journal, il exprimait l'espoir qu'il avait qu'un jour ils pourraient se marier, mais en même temps il avait l'impression qu'il avait été appelé à aller à l'Équateur sans elle. Elliot retourna à Portland en novembre et commença à se préparer à quitter le pays.
Elliot et Fleming arrivèrent en Équateur le 21 février 1952, avec l'objectif d'évangéliser les Indiens Waodani de l’équateur. D’abord, ils restèrent à Quito où ils étudièrent l’espagnol, et puis déménagèrent dans la jungle. Ils prirent une résidence permanente à la station missionnaire Shandia. Le 8 octobre 1953, il épousa son ancienne camarade de Wheaton et missionnaire Elisabeth Howard. Le mariage était une simple cérémonie civile qui s'est tenue à Quito. Ed et Marilou McCully étaient les témoins. Ensuite, le couple est parti en voyage de noces brièvement au Panama et au Costa Rica, puis sont retournés en Équateur. Leur enfant unique, Valérie, est née le 27 février, 1955. Pendant leur travail auprès des Indiens Quechua, Elliot commençait à s'organiser pour atteindre les Waodani.
Lui et quatre autres missionnaires, Ed McCully, Roger Youderian, Pete Fleming et leur pilote, Nate Saint, établirent un contact de leur avion avec les Indiens Waodani, en utilisant un haut-parleur et un panier pour leur donner des présents. Après plusieurs mois, les hommes décidèrent de construire une base à une courte distance du village indien, le long de la rivière Curaray. Là, ils furent approchés une fois par un petit groupe de Waodanis et ont même donné un tour d'avion à un curieux Waodani qu'ils appelaient George (de son vrai nom Naenkiwi). Encouragés par ces rencontres amicales, ils commencèrent à planifier une visite de la Waodanis, sans savoir que Naenkiwi avait menti aux autres au sujet des intentions des missionnaires. Leurs plans ont été contrecarrés par l'arrivée d'un grand groupe d'environ 10 guerriers Waodani, qui tuèrent Elliot et ses quatre compagnons le 8 janvier 1956. Le corps d’Elliot et de ses compagnons furent retrouvés en aval.
Sa note de journal du 28 octobre 1949 exprime sa conviction que le travail de mission était plus important que sa vie. « Il n'est pas si bête, celui qui donne ce qu'il ne peut garder pour obtenir ce qu'il ne peut perdre » (cette citation est très proche de celle du prédicateur anglais non conformiste Philippe Henry (1631-1696) : « Il n'est pas si bête, celui qui se sépare de ce qu'il ne peut garder quand il est sûr d'être récompensé avec ce qu'il ne peut perdre. »).
Life Magazine publia un article de dix pages sur le ministère et la mort d’Elliot et ses amis. Après la mort de son mari, Elisabeth Elliot et d'autres missionnaires commencèrent à travailler parmi les Indiens Auca, où ils ont poursuivi le travail évangélique. Plus tard, elle publia deux livres Shadow of the Almighty: The Life and Testament of Jim Elliot et Through Gates of Splendor, qui décrivent la vie et la mort de son mari. En 1991, l’école chrétienne de Jim Elliot fut créée à Denver, Colorado. En 1997, le lycée chrétien de Jim Elliot a été fondé à Lodi, CA.
En 2002, un documentaire basé sur cette histoire fut publié: Beyond the Gates of Splendor. En 2003, une comédie musicale basée sur l'histoire de Jim et Elisabeth Elliot, intitulée Love Above All, fut mise en scène au Victoria Hall Concert à Singapour par l’église presbytérienne-bible de mont Carmel. Cette comédie musicale a été mise en scène une deuxième fois en 2007 au Centre Culturel Universitaire NUS. En 2006, un film théâtral fut publié, End of the Spear, basé sur l'histoire du pilote, Nate Saint, et le retour du fils de Saint essayant d'atteindre les indigènes de l'Équateur avec la Bonne Nouvelle.
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omegaradiowusb · 4 years
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OCTOBER 12, 2020 (#243)
Tumblr media
Year One “Transitory River”
Joe South & The Believers “Walk A Mile In My Shoes”
Continental Showstoppers “Not Too Young”
Ceyleib People, The “Changes”
Bama “Thanksgiving”
Overton Berry Trio, The “Hey Jude”
Sun Ra “Outside The Time Zone”, “Love In Outer Space”
Crystal Touch “You’re For Me”
Dave Richmond “Nightwatch”
Bullet “The Peterman”
Louis Brunelli “Love Letter”
Reg Tilsley “Clarrisa”
Fred Bongustos Flexus “Le Faro Da Padre”
Roy Kent “More Than Yesterday”
Victor Feldman “Skippin’”
Marion Jarvis “Hell Of A Fix”
Bloodstone “Natural High”
Robert Lamm “A Lifetime We”
Helio Matheus “Mias Kriola”
Whitehead “Sho You Right”
Creative Source “I’d Find You Anywhere”
Vaneese & Carolyn “Goodbye Song”
Pat Stallworth “Questions”
Tom Ranier “Good For You”
Larry McGee “Revolution The Burg”
Long Night, The “Who Can I Turn To?”
Tranzam “August 9th”
Wee “You Can Fly On My Aeroplane”
Jackie Ross “Take The Weight Off Of Me”
Eddie Russ “Feelin’ Fine”
Harold Land “In The Back, In The Corner, In The Dark”
Tony Hymas & Frank Ricotti & Stan Sulzmann “Penthouse Sweet”
Lonnie Liston Smith “Bridge Through Time”
L'eclair “Castor McDavid”
Garry Davis & The Vendors “Funk Machine”
Sauveur Mallia “Galactics”
Pole (jazz) “Lundi Matin”
Steve Khan “Dr. Slump”
Håkon Graf & Sveinung Hovensjø & Jon Eberson & Jon Christensen “Alive Again”
Tomorrow's People “Open Soul”
The fourth and final bonus crate-digging and vinyl finds’ set for Year Eight. Our quarterly promise to all of our Omega Radio listeners ends here with a three-hour journey to a once-possible world which no longer exists but feels all-to-familiar. Jazz-fusion, soul, 45′s, space rock, groove, and other wax bin delights take you to an era like no other, and all producers, samplists, and appreciatists are more than welcome to apply.
Next deluxe Omega airs October 24, 2020 (10PM, New York City). Next bonus Omega airs October 26, 2020 (midnight, New York City) when we fill-in for Purple Starlight for our fourth and final golden-era hip-hop broadcast of the year.
Stay tuned for more Omega.
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