Tumgik
#rapport sociaux
Text
META : Résolution Rapide de la Panne Globale - Facebook, Instagram et Messenger de Retour en Service
Ce mardi 5 mars 2024, une panne globale a frappé les réseaux sociaux emblématiques du groupe Meta, plongeant les utilisateurs de Facebook, Instagram et Messenger dans l’incertitude. Selon le site spécialisé Down Detector, la perturbation a débuté vers 16 heures, générant une vague de difficultés de connexion signalées par plus de 65 000 rapports pour Facebook. En réponse à ces problèmes, Andy…
Tumblr media
View On WordPress
1 note · View note
bttf-rpg · 5 months
Text
Tumblr media
Back to the Future est un projet de forum city, basé à Mariposa en Californie. City, oui… mais avec un twist 👀
On (@monoclegraphic et @undecided-rpg) a eu l’idée d’un forum city un peu rétro, vintage, ancré dans une ambiance familière de ces films qu’on aime tous·tes. D’où le titre, d’ailleurs, référence directe au cinéma, le premier d’une grande liste de références disséminées sur le forum… 
Le contexte officiel va rester secret encore un petit peu, mais voilà quelques éléments pour vous teaser le projet : 
Mariposa est une petite ville aux abords du parc national de Yosemite, et dans notre version, le réseau n’y est pas top. Pas seulement le réseau d’ailleurs, puisque vous ne trouverez aucun appareil technologique très récent. La ville entière, dans son style, dans ses habitudes et surtout dans son rapport au monde extérieur, est restée coincée entre les années 1980 et les années 1990. Oui oui, dites bonjour aux mulets et aux vestes fluos puisque vous allez en voir passer !
L’idée de la ville coupée de la technologie est venue en contraste avec le monde dans lequel on vit, parce qu’aujourd’hui c’est tellement simple de zieuter ses mails, de savoir ce qui se passe à l’autre bout du monde en étant chez soi. La technologie est partout, sans même qu’on ne s’en rende compte. Et puis, en ouvrant un forum rpg city, on a eu envie, aussi, d’y ajouter un petit twist en plus et soyez certain·e·s que des intrigues se préparent en coulisses pour jouer avec la différence de Mariposa !
Le jeu se déroulera bien en 2024 (eh oui, c’est même le futur par rapport à maintenant 👀) et les personnages du forum en auront conscience. Il est important pour nous que le forum soit un lieu inclusif et bienveillant, où chacun·e peut se sentir à l’aise. Si la ville peut sembler figée dans le temps, ça ne sera pas le cas des valeurs qui elles seront bel et bien similaires à celles que nous voulons défendre aujourd’hui. BttF, c’est donc un mix des époques, avec nos progrès sociaux de 2023/2024, et en même un temps une inspiration d’il y a quelques décennies. 
Donc si vous avez envie de vous perdre dans la nature de Yosemite, de glisser en patins à roulette et de lâcher les smartphones, Back to the Future pourrait être pour vous !
30 notes · View notes
montagnarde1793 · 8 months
Text
Pour la défense du terme "réaction (thermidorienne)"
Voici une section d'un article que je suis en train de faire à partir de la 4e partie (encore inédite) de ma thèse, que je viens de rédiger et qui va sans doute finir par être réduite de beaucoup, mais que je pense pouvoir intéresser mes abonnés ici. Il s'agit d'une réflexion sur la pertinence du terme "réaction (thermidorienne)".
Grosso modo, je suis plutôt d'accord avec l'idée qu'utiliser "Réaction thermidorienne" pour désigner la période 9 thermidor an II-4 Brumaire an IV n'est pas génial, parce que cela ignore les mois de flottements et de luttes politiques de la fin de l'an II et du début de l'an III (je préfère parler de la période de la "Convention thermidorienne"), mais je pense qu'il est insensé de prétendre que le projet politique qui a fini par triompher au cours de cette période n'était pas réactionnaire :
À l’instar des critiques de l’usage de « la Terreur », que ce soit comme désignant d’une « politique[1] » cohérente ou simple chrononyme, d’autres termes traditionnels connaissent en ce moment historiographique une remise en question salutaire. Celui de « Réaction thermidorienne » en fait partie. Comme le dit Michel Biard en parlant des désignants des acteurs, « « thermidorien » n’a aucun sens précis, « réacteur » est abusif puisqu’on ne peut réduire la période qui suit Thermidor à une « réaction » au sens politiquement piégé du mot[2] ». On ne peut qu’être d’accord avec Biard sur premier terme. Le problème du mot « thermidorien » — qui peut s’appliquer tant aux personnes ayant participé au coup d’État parlementaire du 9 thermidor ou qui y ont adhéré après, qu’à celles qui en profiteront par la suite pour dénoncer et renverser les politiques adoptées au cours de 1793 et de l’an II — est connu depuis longtemps. Néanmoins, l’usage continué du terme de « réacteur », qui a précisément été adopté pour différencier les individus de la seconde catégorie de ceux du premier, et avec lui de « réaction », me paraît justifié à trois titres. D’abord, comme il s’agit d’un terme d’époque, il peut être utile pour comprendre l’état d’esprit de ceux qui l’employèrent. Mais au-delà de ce premier type d’usage, et sans vouloir englober toute la dernière séquence de la Convention à partir du 9 thermidor dans le terme de « Réaction », ce qui serait effectivement abusif, il y a fondamentalement un processus de « réaction » au premier sens du mot à l’œuvre puisque il y eut chez beaucoup de conventionnels une volonté affichée (quoique sélective) de revenir sur l’œuvre des mois précédents. Ensuite, le terme de « réaction » au sens fort du terme, non comme chrononyme, mais pour désigner la politique d’abandon des mesures et jusqu’aux principes démocratiques, sociaux et jusnaturalistes de 1793-an II, et de « réacteur » pour désigner ceux qui soutenaient un tel projet politique, me paraît adapté. On peut reconnaître la complexité de la « réaction » contre une « terreur » construite de façon à imbriquer aussi étroitement violence et participation populaire, de façon cynique chez les anciens Montagnards et sans doute beaucoup plus sincère, tant le lien leur paraissait naturel (leurs propres expériences semblant confirmer les écrits des auteurs anciens hostiles à la démocratie) chez les « Brissotins » réintégrés. On peut même se demander comment situer par rapport à ce terme les démocrates qui ont participé à la construction de l’épouvantail « terroriste » en croyant ne s’opposer qu’au volet répressif des politiques de 1793-an II mais qui finirent par dénoncer la « réaction ». Néanmoins, on ne peut comprendre une période qui vit l’abandon de la constitution de 1793 en faveur de celle qui fonda le Directoire, qui réprima la gauche et anéantit le mouvement populaire, sans pouvoir nommer le projet politique antidémocratique, antisocial et donc réactionnaire qui fut la cause de ces retournements, et ceux qui en étaient porteurs. [1] Patrice GUENIFFEY, La politique de la Terreur, 2000. [2] Michel BIARD, Les derniers jours de la Montagne, 2023, p. 23.
39 notes · View notes
raisongardee · 8 months
Text
Tumblr media
"Pour manipuler au mieux les individus, il faut les isoler. Le pervers ne fait pas autrement, lorsqu’il entend exercer son emprise sur sa proie : il l’isole. Le totalitarisme enlève aux individus les rapports sociaux, ou plutôt, il ne leur tolèrera que certains rapports sociaux, ceux qui seront politisés par l’idéologie. Les liens familiaux sont attaqués, par la désunion que crée le fanatisme idéologique. Les mouvements totalitaires sont des organisations de masse d’individus atomisés et isolés."
Ariane Bilheran, Conférences 2021-2022.
47 notes · View notes
Text
Tumblr media
Deux réflexions de Georges Canguilhem sur la santé
«Les normes de vie pathologiques sont celles qui obligent désormais l’organisme à vivre dans un milieu "rétréci”, différent qualitativement, dans sa structure, du milieu antérieur de vie, et dans ce milieu rétréci exclusivement, par l’impossibilité où l’organisme se trouve d’affronter les exigences de nouveaux milieux, sous forme de réactions ou d’entreprises dictées par des situations nouvelles. Or, vivre pour l’animal déjà, et à plus forte raison pour l’homme, ce n’est pas seulement végéter et se conserver, c’est affronter des risques et en triompher. La santé est précisément, et principalement chez l’homme, une certaine latitude, un certain jeu des normes de la vie et du comportement. Ce qui la caractérise c’est la capacité de tolérer des variations des normes
auxquelles seule la stabilité, apparemment garantie et en fait toujours nécessairement précaire, des situations et du milieu confère une valeur trompeuse de normal définitif. L’homme n’est vraiment sain que lorsqu’il est capable de plusieurs normes, lorsqu’il est plus que normal. La mesure de la santé c’est une certaine capacité de surmonter des crises organiques pour instaurer un nouvel ordre physiologique, différent de l’ancien. Sans intention de plaisanterie, la santé c’est le luxe de pouvoir tomber malade et de s’en relever. Toute maladie est au contraire la réduction du pouvoir d’en surmonter d’autres. […] Il ne peut rien manquer à un vivant, si l’on veut bien admettre qu’il y a mille et une façons de vivre.» (Georges Canguilhem, La Connaissance de la vie, 1952)
«À partir du moment où "santé" a été dit de l’homme en tant que participant d’une communauté sociale ou professionnelle, son sens existentiel a été occulté par les exigences d’une comptabilité […]
L’élargissement historique de l’espace où s’exerce le contrôle administratif de la santé des individus a abouti, dans le présent, à une Organisation mondiale de la santé qui ne pouvait pas délimiter son domaine d’intervention sans publier, elle-même, sa propre définition de la santé. La voici: “La santé est un état de complet bien-être physique, moral et social, ne consistant pas
seulement en l’absence d’infirmité ou de maladie.” […] Ce discours est celui de l’Hygiène, discipline médicale traditionnelle, désormais récupérée et travestie par une ambition socio-politico-médicale de règlement de la vie des individus […] L’hygiéniste s’applique à régir une population. Il n’a pas affaire à des individus. Santé publique est une appellation contestable.
Salubrité conviendrait mieux. Ce qui est public, publié, c’est très souvent la maladie. Le malade appelle à l’aide, attire l’attention ; il est dépendant. L’homme sain qui s’adapte silencieusement à ses tâches, qui vit sa vérité d’existence dans la liberté relative de ses choix, est présent dans la société qui l’ignore. La santé n’est pas seulement la vie dans le silence des organes, c’est aussi la vie dans la discrétion des rapports sociaux.» (Georges Canguilhem, La Santé. Concept vulgaire et question philosophique, conférence donnée à Strasbourg en 1988)
Il est clair qu’aucun des télétoubibs, membres du Conseil pseudo-scientifique, journalistes ou politiques covidiotistes n’a jamais lu une ligne du plus grand philosophe français de la médecine…
Les champs sémantiques recouverts par les termes de "santé" et de "numérique" sont originellement disjoints et n’ont radicalement rien à faire ensemble, sauf à vouloir induire un forçage idéologique voué à la catastrophe humaine et sociale.
Le corps, c’est la part de "nature" qui entre dans la constitution du sujet.
Plus la "nature" (même étymologie que naissance) tarde à se venger des offenses commises contre elle, plus sa vengeance est cruelle…
9 notes · View notes
helene-tolden · 3 months
Text
Tumblr media
🇫🇷Café Gaudi Février 2024.
Jour 11.
En France, le rapport que l'on peut développer avec l'alcool peut parfois se révéler compliqué.
🍷
En effet, nous sommes dans une culture où l'exploitation viticole est une grande fierté nationale, c'est pourquoi vin et fromage sont le symbole de notre gastronomie à travers le monde tout en faisant partie de notre éducation.
🧀
Selon les familles, le vin peut être associé aux réunions de famille durant les repas du dimanche ou les grands événements comme les anniversaires, les mariages, les naissances et même les décès. Nourriture et boissons vont toujours de paire avec les moments forts en émotion.
🥂
Un aspect affectif avec l'alcool peut donc se développer, sans qu'on en prenne tout de suite conscience car on a pris l'habitude de voir son entourage boire du vin, du champagne, des apéritifs ou des digestifs qui rythment le repas.
🍺
Hélas, cette banalisation de l'alcool peut facilement amener à l'alcoolisme. D'une part le vin est disponible à prix modique, en grande quantité et en accès libre dans tous les supermarchés. D'un autre côté, l'hypocrisie généralisée concernant cette addiction la rend difficile à détecter et à soigner.
🚨
Le plus compliqué reste qu'une personne n'admette qu'elle ait un problème d'alcoolisme. Elle se dira bon vivant car notre culture fait l'éloge de la dégustation d'un bon vin qui accompagne un bon plat. Elle estimera que boire un seul verre par jour est raisonnable puisque pour la majorité des gens l'alcoolique se résume à l'image d'un sans domicile fixe ivre, gisant dans le caniveau.
🚑
Alcool : 5 signes qui montrent qu’il faut s’inquiéter
1. Vous consommez de l’alcool plus souvent
2. … et en plus grande quantité
3. Votre comportement est modifié…
4. …et vos rapports sociaux aussi
5. Vous montrez des symptômes de dépendance
Physiquement, les symptômes du manque et de la dépendance sont divers : tremblements, sueurs, hypertension, crises de tachycardie, nausées et vomissements sont les plus répandus et se manifestent en l'absence de consommation d'alcool.
☎️
Si vous avez un doute ou souhaitez aider un proche, contactez Alcool Info Service : 0 980 980 930 (tous les jours de 8h à 2h).
11 notes · View notes
tristesseclub · 4 months
Text
BoooOoonJooUuuuw
ok. Bonjour.
Tout d'abord, si tu es là, merci de m'accorder quelques minutes et de continuer d'être sur Tumblr et de voir mes billets. Je suis désolé (?) de mon absence cette dernière année. Parfois la vie te donne des citrons et tu ne trouves rien de mieux que les écraser sur le sol avant de te rouler en boule sur ton lit sans te déchausser. Je ne sais pas si tu vois ce que je veux dire car même moi, je ne comprends pas bien l'idée.
Le capitalisme et l'évolution des réseaux sociaux ont eu raison de mon aciduité sur Tumblr. Je préférais voir des gens faire le ménage sur Tiktok et/ou travailler plutôt que rester ici à lire des posts et suivre des gens. Certes, j'ai aussi déménagé, fait un groupe de musiques avec des amis et pleuré sous ma douche.
J'aimerais dire que cela va changer mais si il y a bien un endroit sur Terre et Internet où j'essaie tant bien que mal d'être honnête c'est ici, donc je ne promets rien. Quoiqu'il en soit, durant plusieurs mois je me suis dit "oh je vais arrêter ce blog, avoir une vie calme et posée" sauf que régulièrement ça me manquait et c'est peut-être la seule expérience proche de la paternité que j'aurai donc bon.
Tout ça pour dire que je reviens en espérant toujours comprendre comment ce site fonctionne. J'ai plein d'anecdotes gênantes et de blablas à faire car on ne peut pas le faire sur un autre réseau sans montrer son visage ou être pointé du doigt car il faut présenter la meilleure version de soi.
Merci et à très vite.
P.S: par rapport au dernier post. Le livre que je souhaitais lire était "L'Affaire Sparsholt" d'Alan Hollinghurst. Je l'ai abandonné et même mis dans un arbre à livres en allant chez le coiffeur. Je suis repassé devant après m'être fait couper les cheveux et il n'y était plus. Je souhaite bien du courage à quiconque souhaite le lire.
8 notes · View notes
francepittoresque · 4 months
Photo
Tumblr media
EXPOSITION | Loading. L’art urbain à l’ère numérique ➽ https://bit.ly/Exposition-Loading Au XXe siècle, les murs des villes sont marqués par une large diffusion de l’art urbain ; l’espace public devient un terrain d’expression privilégié, un lieu de création, d’exposition et de détournement pour un art qui se définit en marge des instances officielles. Avec l’arrivée d’internet puis des réseaux sociaux, le street art connaît une révolution, entraînant un nouveau rapport des artistes à la ville
7 notes · View notes
lupitovi · 1 year
Quote
Que nous apprend le projet politique qu’on appelle néolibéralisme ? Puisant ses racines idéologiques dans La Route de la servitude de Friedrich Hayek et les développant au sein de l’École de Chicago, le néolibéralisme a atteint l’Europe à la suite des luttes ouvrières des années 1970. Le cadre a été fixé par les représentants politiques du grand capital. En Grande-Bretagne, ce fut le gouvernement de Margaret Thatcher. Liberté et capitalisme, dit-on, sont indissociables. La moindre intervention de l’État pour modérer le « libre » marché serait le premier pas sur la voie de la dictature. En conséquence, le capitalisme doit réussir et les profits doivent être garantis. Cela signifie, inévitablement, un effort constant pour accroître l’exploitation de la classe ouvrière. Thatcher s’est employée à cette tâche avec une précision militaire en menant son attaque sur trois fronts : retirer les subventions de l’État aux industries défaillantes et permettre une augmentation massive du chômage ; promulguer des lois afin de restreindre la capacité des syndicats à résister ; et provoquer des grèves que le gouvernement savait pouvoir briser. Les choses se sont passées comme prévu. Alors que les usines étaient obligées de fermer les unes après les autres et que les industries tombaient en faillite, le chômage augmentait rapidement. La plupart des dirigeants syndicaux, des sociaux-démocrates de droite, ont choisi de ne pas mobiliser les militants alors que beaucoup étaient prêts à se battre. Cet échec, largement passé sous silence dans l’histoire écrite par la classe dominante, a joué un rôle important dans le succès de Thatcher. Avec tant de personnes sans emploi, il était plus difficile de défendre les salaires et les conditions de travail. « Si vous ne voulez pas travailler dans ces conditions, dix autres personnes sont prêtes à prendre votre place. » Les nouvelles lois ont été violentes. Les travailleurs ne pouvaient pas décider la grève lors d’une assemblée générale. On devait voter par correspondance, l’employeur se donnait ainsi le temps de se préparer et la presse pouvait faire campagne contre un éventuel débrayage. Seule une poignée de piquets de grève pouvaient s’opposer aux briseurs de grève lorsqu’ils essayaient de se rendre au travail. Le rapport de force entre classes sociales tournait fortement à l’avantage des employeurs. Les grèves étaient manipulées de telle sorte que les syndicats les plus fragiles étaient entraînés dans des combats qu’ils ne pouvaient pas gagner, à commencer par les sidérurgistes. Le syndicat le plus puissant et le plus politisé a été le dernier à rendre les armes. La grève des mineurs, en 1984, a duré un an et cette bataille a été cruciale. Le mouvement ouvrier a bénéficié d’un grand soutien de la base, mais, là encore, les leaders syndicaux se sont tenus à l’écart. Les dirigeants du parti travailliste, Neil Kinnock et Roy Hattersley, ont refusé d’apporter leur soutien aux grévistes. Ils se sont joints à la longue et honteuse liste de ceux qui ont accédé au pouvoir sur le dos des travailleurs et des travailleuses, mais qui les ont abandonnés quand ceux-ci avaient besoin d’eux. Les mineurs ont été vaincus. Et le néolibéralisme s’est poursuivi sans autre obstacle sur sa route. Les leçons ? Premièrement, le conflit entre les intérêts du capital et ceux du travail est au cœur même du capitalisme. Le grand capital cherchera toujours de nouvelles façons d’exploiter les travailleurs. C’est dans son ADN. La coexistence pacifique est vouée à l’échec. Le marché à vocation sociale est un mythe. Deuxièmement, le peuple se défendra toujours. La pauvreté, l’injustice, l’inégalité et le fait de savoir que l’on vous trompe – tout cela fera l’objet de résistances. Le peuple est courageux et a le sens de ce qui est juste et équitable. Mais cet engagement n’est pas suffisant et conduit à la leçon suivante... Troisièmement, il est essentiel qu’un mouvement de rupture avec le néolibéralisme soit guidé par de solides principes tout en ayant une stratégie politique avisée. Les responsables de ce mouvement doivent comprendre que la classe dominante est impitoyable. Toutes les avancées que les travailleurs peuvent conquérir doivent être consolidées et sécurisées et, en fin de compte, ne peuvent être sauvegardées que par la prise du pouvoir politique. Nos acquis de 1945, à savoir les nationalisations, le service de santé publique, l’éducation gratuite pour tous et bien d’autres choses encore, ont soit disparu soit sont en train d’être balayés à mesure que le capital continue de se développer. Le militantisme sans un puissant mouvement politique de rupture est comme la vapeur d’une bouilloire, il se dissipe dans l’air. Quatrièmement… pourquoi faut-il garder espoir ? Le capital n’est jamais rassasié. Il peut gagner une bataille, trouver de nouveaux modes d’exploitation, mais la concurrence acharnée oblige les gros employeurs à toujours trouver d’autres moyens de tirer des profits. Il faut alors mener une nouvelle lutte. Le cycle se répète sans cesse. Chaque tour de roue est donc une opportunité. Pouvons-nous nous organiser, nous défendre et gagner la prochaine fois ? Et, pour finir, mon avertissement. Il n’est plus possible que cette lutte se poursuive indéfiniment. Le changement climatique et la menace qui pèse sur l’environnement nous mettent en danger de façon imminente et rendent d’autant plus urgente la nécessité d’un changement fondamental. Rosa Luxemburg posait cette question : « Socialisme ou barbarie ? » Aujourd’hui, la question est celle-ci : Le socialisme ou la mort ?
Ken Loach - Socialisme ou la mort ? 
45 notes · View notes
arashderambarsh · 2 months
Text
Comment la ville de Courbevoie est devenue un leader mondial dans la lutte contre le gaspillage alimentaire (par Arash DERAMBARSH dans REVUE POLITIQUE ET PARLEMENTAIRE).
Depuis l’adoption de la loi contre le gaspillage alimentaire, votée le 11 février 2016, les supermarchés ont l’obligation de reverser leurs invendus à des associations caritatives.[1]
Ainsi, cette loi a rapidement prouvé ses effets bénéfiques : plus de 10 millions de repas sont distribués chaque année en France. Cela représente une augmentation de 22 % des dons alimentaires destinés aux associations caritatives.
De plus, nous veillons à la bonne application de la loi.
Accompagnés de lanceurs d’alerte et d’huissiers de justice, nous n’avons cessé d’inspecter les poubelles à côté des supermarchés pour constater les atteintes à la loi.
Après avoir constaté que plusieurs magasins continuaient de jeter les invendus alimentaires à la poubelle, nous avons déposé de nombreuses plaintes à leur encontre. Les procédures fonctionnent et sont un moyen de dissuasion efficace. Sans compter les « Bad buzz » et la mauvaise réputation des magasins récalcitrants.
Mais cela n’a pas suffi et il fallait donc aller plus loin.
Ainsi qui mieux qu’une municipalité pour appliquer la loi contre le gaspillage alimentaire et devenir un laboratoire mondial ?
La ville de Courbevoie a reçu les agents de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) le 2 vendredi février 2024.
Ils sont venus de Rome pour constater et valider l’officialisation d’un chiffre record : 400 000 repas ont été économisés et redistribués à des associations caritatives pour que les démunis (classe moyenne représentant des mères ou pères célibataires élevant plusieurs enfants, des retraités, des chômeurs ou encore des étudiants) puissent manger à leur faim.[2]
Cette situation sociale démontre d’ailleurs que même dans une ville d’apparence « riche », la pauvreté a de multiples facettes. La pauvreté augmente et la classe moyenne décline.
Ainsi dans un rapport alarmant, le Secours Catholique a estimé que près de 10 % des Français ont recours à l’aide alimentaire.[3]
En effet, « entre 5 et 7 millions de personnes » ont eu recours à l’aide alimentaire en 2020 alerte le Secours Catholique dans son rapport annuel sur l’état de la pauvreté en France publié sur la base des données de la Direction générale de la cohésion sociale (DGCS).[4]
La ville de Courbevoie a donc fait preuve d’inventivité dans sa lutte contre le gaspillage alimentaire.[5]
Depuis 2020, avec son Maire Jacques Kossowski, nous avons lancé une campagne pour mettre fin au gaspillage alimentaire.
En France, le mandat d’un élu municipal est de six ans. L’objectif était donc de faire de notre ville un laboratoire mondial.
Avant toute chose, il convenait de faire un premier constat.
Depuis le 11 février 2016, la règle interdisant le gaspillage alimentaire est limitée aux seuls magasins de plus de 400 m2.
La loi a permis la distribution de plus de 10 millions de repas par an et ses effets positifs se sont immédiatement fait sentir.
C’est en effet une hausse de plus de 22 % d’invendus alimentaires qui sont destinés chaque année aux associations caritatives.
Cette loi a été applaudie dans le monde entier.
Mais au niveau local, il y a encore des marges de manœuvres permettant de faire reculer ce fléau.
En effet, cette loi exonère les deux tiers des supermarché implantés à Courbevoie car leur surface de vente est inférieure à 400 m².
Il a donc été décidé qu’avec l’aide de plusieurs start-up et acteurs sociaux et économiques, une charte contre le gaspillage alimentaire serait votée chaque année dans toutes les sphères d’activité de la ville :
2020 avec tous les supermarchés situés dans la ville sans délimitation de superficie
2021 avec restauration hospitalière
2022 avec restauration scolaire
2023 auprès des commerces alimentaires (commerces de bouche, restaurants, boulangeries, marchés)
2024 avec les maisons de retraite
Ces chartes d’engagement, une première en France, ont un objectif multiple :
Créer des synergies pour que chacun puisse prendre part à ce combat et adapter ses pratiques
Participer à la sensibilisation du grand public à la lutte contre le gaspillage alimentaire
Contribuer à réduire l’impact économique de ces déchets
Mettre en place des partenariats de dons alimentaires en faveur des associations conformément à la loi
Promouvoir les partenariats avec les associations municipales
Organiser des promotions « anti-gaspi », notamment pour les produits proches de la date limite de consommation (DLC)
Proposer des ventes en gros ou à l’unité afin d’adapter les quantités achetées et réduire les emballages
Favoriser le développement des produits frais, et développer des opérations marketing de sensibilisation (opération « Fruits et Légumes Moches », etc.)
Mener une discussion avec les fournisseurs afin de définir une stratégie de contrôle contre le gaspillage alimentaire (chartes qualité des produits, etc.)
Agir pour valoriser les déchets.
Par ailleurs, le 24 octobre 2022, la ville de Courbevoie a organisé une réunion de travail à l’Assemblée nationale dans le but de proposer un amendement à la législation française contre le gaspillage alimentaire. Les députés Karl Olive et Philippe Juvin étaient présents à la réunion.[6]
La proposition était simple : modifier la loi contre le gaspillage alimentaire promulguée le 11 février 2016.[7]
La ville de Courbevoie a spécifiquement proposé les amendements suivants :
Réduire le plafond actuel de 400 m2 imposé aux supermarchés pour le réduire à au moins 100 m2 afin d’inclure plus de 5 000 points de vente supplémentaires.
Augmenter les amendes actuelles de la 5ème classe représentant 10 000 euros à 20 000 euros contre les supermarchés qui continuent de jeter les invendus alimentaires consommables.
Fort de tout ce travail, la FAO a désigné la ville de Courbevoie « Ville verte mondiale » en 2024, lui accordant ainsi une reconnaissance formelle.
Nous appelons ainsi toutes les communes à décliner ces chartes qui ne coûtent rien aux contribuables.
Comme le rappellent les rapports du projet DrawDown (2020) et du GIEC (2022), la réduction du gaspillage alimentaire est l’une des trois principales solutions pour lutter contre le réchauffement climatique.
Nous ne dirons pas que nous n’étions pas informés.
Arash Derambarsh
Adjoint au maire en charge du développement durable dans la commune de Courbevoie
Il est à l’origine de la loi contre le gaspillage alimentaire votée le 3 février 2016 en France. En Suède, en 2019, il a reçu le « WIN WIN Gothenburg Sustainability Award ».
—–
[1] Banque Alimentaire : https://www.ba-81.org/actualites/blog-des-b%C3%A9n%C3%A9voles/323-la-france-pionni%C3%A8re-de-la-lutte-contre-le-gaspillage-alimentaire.html
[2] « Courbevoie lutte contre le gaspillage alimentaire » (BFM TV) : https://www.bfmtv.com/paris/replay-emissions/bonjour-paris/hauts-de-seine-courbevoie-lutte-contre-le-gaspillage-alimentaire_VN-202402050155.html
[3] « Pauvreté en France : 10% de la population a eu besoin d’une aide alimentaire en 2020 » (Université Paris Saclay) : http://www.ritm.universite-paris-saclay.fr/poverty-in-france-10-of-the-population-needed-food-aid-in-2020/
[4] Site Ville de Courbevoie : https://www.ville-courbevoie.fr/2195/lutte-contre-le-gaspillage-alimentaire.htm
[5] The law on Food Waste – From Courbevoie to Assembly : https://resource.co/article/law-food-waste-courbevoie-assembly-10198
[6] « Antigaspillage alimentaire: une proposition de loi pour «aller plus loin» (La Voix du Nord) : https://www.lavoixdunord.fr/1252076/article/2022-11-10/antigaspillage-alimentaire-une-proposition-de-loi-pour-aller-plus-loin
[7] Proposition de loi : https://acrobat.adobe.com/id/urn:aaid:sc:EU:727392be-c20e-4f68-b86d-dcc46fca7193
@arashderambarsh @arash-derambarsh
Tumblr media
4 notes · View notes
Text
Panne Mondiale Paralyse les Plateformes de Meta : Facebook et Instagram Inaccessibles le 5 Mars 2024
Ce mardi 5 mars 2024, une perturbation d’envergure frappe les utilisateurs du monde entier alors que les différentes plateformes de Meta, incluant les réseaux sociaux Facebook et Instagram, se retrouvent inexplicablement hors service. Downdetector, le site spécialisé dans le suivi en temps réel de l’état de divers services, indique une multitude de plaintes d’utilisateurs qui se voient…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
gfxced · 7 months
Text
Lol je me suis fait bloquer parce que j'ai partagé un post sur les préférences saisonales en y mettant un petit commentaire. L'hyper-fragilité, ce fléau.
En fait je crois que je ne comprends pas une partie non négligeable de zoomers (et alphas) par rapport à tout un tas de leurs réactions. Ils sont sur réseaux sociaux mais c'est comme s'ils ne voulaient pas y être? Ils s'étonnent de recevoir de l'engagement et tout devient une microagression (sic).
Les parents et le systême éducatif devaient vous préparer à intéragir avec le monde avec plus d'aplomb. 0 pointé je crois mais ce n'est pas nouveau. Le système scolaire forme surtout des travailleurs et non des citoyens épanouïs et les parents sont souvent bien trop à la ramasse.
6 notes · View notes
tallula-diary · 11 days
Text
2h23
C'est difficile de prendre l'habitude d'écrire ici.
J'ai toujours écrit, mais dans des carnets, des pensées, des petits paragraphes. Surtout lorsque les émotions se mélangeaient, me submergeaient.
J'ai envie d'essayer d'être plus régulière et surtout tenter d'écrire sans être emportée par les émotions, le tourbillons de sentiments qui m'envahie très souvent, surtout ces derniers temps.
Cela fait un an que ma mère est décédée. Mais la douleur que je ressens par rapport à ça n'est plus aussi forte. Mais cela fait 1 mois qu'une relation importante pour moi s'est terminée. Ce n'est qu'une relation, ça ne faisait que 10 mois que je connaissais cette personne et pour autant elle m'a détruit.
Comment une relation plus courte, moins construite, peut me faire plus de mal maintenant qu'elle s'est terminée que le décès de ma propre mère ?
Je ne dois pas tournée très rond. Ma psychologue me dit que c'est une question de manipulation, etc. Elle a sûrement raison, je ne suis peut-être pas assez armée contre ce genre de personnes. Elle parle aussi de difficultés affectives, peur de l'abandon, et j'en passe. Et ouais, elle a raison, et je le sais aussi depuis toujours.
Mais je me suis jetée à corps perdue dans cette relation pensant qu'il était la solution à toutes mes questions, mes démons, que lui seul comprendrait mes pensées les plus tordues, les plus inavouables.
Lorsque j'avais 10 ans, dans mon lit, dans cette petite chambre, la nuit à travers le velux je regardais les étoiles et je me demandais s'il existait sur cette Terre une autre personne comme moi, aussi perturbée, à réfléchir autant, à ne pas comprendre l'intérêt de son existence, à ne pas se sentir à sa place.
J'ai toujours voulu faire du théâtre, peut-être parce que j'ai inconsciemment une grande facilité à jouer un rôle dans la vie depuis toujours, depuis toute petite. Paraître normale, comme les autres, même si je ne comprenais rien aux codes sociaux, aux façons de se comporter, j'essayais. Les autres enfants voyaient bien que je ne bitais rien à rien, et je finissais seule dans mon coin, dans mon imaginaire, mes questionnements.
Je ne cherchais plus à exprimer ce que je ressentais vraiment, je voyais bien que personne n'arriverait à répondre à mes interrogations ou même à en discuter avec moi. En même temps, à 5 ans, les enfants ont autre chose à faire que de discuter sur l'existence, les inquiétudes du monde et surtout tenter de comprendre à quoi on sert, à quoi ça sert tout ça et surtout le pourquoi, le fameux pourquoi. Non, à 5 ans, on joue à loup, à cache cache, on court dans la cours, on s'imagine un monde, on sociabilise, bref on évolue dans une micro société dictée par les règles de l'école d'une part, de l'éducation donnée par la sphère familiale d'une autre.
Ouais, je n'ai jamais trop compris ma manière de réfléchir, je la subis plus qu'autre chose.
Mais lorsque je l'ai rencontré, que je lui ai parlé de tout cela, de mes angoisses, mes peurs, ma non envie de continuer, mon côté désabusé, ma misanthropie, ça ne lui a pas fait peur à lui. J'ai même cru voir en lui une certaine fascination et surtout j'ai cru qu'il se retrouvait en moi, en mes démons. J'ai plongé dans cette illusion qu'était sa manière de me voir selon moi, selon ce que j'en avais compris.
Au final, il était pareil que les autres, c'est cette façon que j'avais de le considérer qui lui plaisait. Croire qu'il était différent lui donner ce sentiment de l'être, et qui n'aime pas se sentir différent de tous les autres ? On ne va pas se mentir, nous ne sommes pas si exceptionnel que ça, alors lorsqu'une femme plus âgée vous trouve ce quelque chose que les autres ne voit pas, ouais ça flatte l'égo. Surtout si cette femme plus âgée en a un peu chié dans la vie et qui paraît forte malgré toutes ses failles. C'est sûr que ça peut attirer certains hommes, et pas forcément les plus sains.
Bref, j'essaie d'avancer avec toutes ces douleurs qui se mélangent en moi. La colère. La tristesse. La honte. La peur. Le manque. L'amour. Le regret. Autant nuances de couleurs dans ma palette des émotions qui fusionnent. Je n'y vois plus trop clair.
Les anxiolytiques m'aident à dormir, du moins à me rendre plus molle. Je suis fatiguée, tout le temps. De moi, des autres.
Je lui ai dit au revoir, l'amour c'est surtout des histoires, des menteries comme dirait Gab Bouchard.
Je ne lui ai pas dit au revoir à elle, à ma mère, mais je lui ai écrit une lettre que j'ai glissé dans son cercueil.
J'aurais préféré l'inverse finalement.
Malgré ma bienveillance à son égard, il m'a traité comme si j'étais la pire des personnes qui existent sur Terre. C'est fou comme on peut être la plus belle personne pour quelqu'un et en même temps la pire personne qui n'ait jamais existé.
Les gens peuvent être si méchant, blessant, injuste. La remise en question n'est pas quelque chose d'inné et surtout, j'ai l'impression, ne s'apprend nulle part.
Ouais, je vous écris ma vie, mais je m'en fiche un peu. J'en ai besoin.
Cela fait 20 minutes, que je crache tous ces mots, sans vraiment savoir vers quoi je vais.
J'essaierai de recommencer demain.
Un ami m'a dit que la personne la plus importante c'était moi, que j'étais une personne formidable et donc quelque part que j'avais de la chance d'être seule avec moi, cette fille si formidable.
Il a le don de me faire sourire même lorsque je n'ai qu'une envie c'est de m'endormir pour toujours. Lui, il sait me dire ces mots qui me laisse un jour de sursis. Un jour de plus ici. Un jour de plus à écrire.
Je pleure, encore. Je ne pensais pas avoir autant de réserve de larmes. Lorsque ma mère est décédée, je me retenais de pleurer devant mon père pour ne pas lui montrer que sa fille était aussi effondrée que lui. Il fallait une personne qui garde les yeux le moins embrumés possible pour tout gérer.
Mais pour autant, je me suis surprise à payer les courses à la caisse du carrefour, avec des larmes qui coulaient et tombaient sur le terminal de paiement. Je ne les voyais même plus venir, je ne les ressentais plus. Elles coulaient, juste.
Maintenant, je les sens monter, donc j'arrive plus facilement à les arrêter. C'est déjà un progrès, non ?
Ce même ami, m'a dit que ce n'était pas grave de pleurer, que ça pouvait même faire un grand bien. Il a raison, je crois, mais pourquoi par moment ça m'effraie autant ?
Je n'y arrive plus, à croire en la bienveillance des autres purement. Donc, je réapprend à lire les conseils, à les écouter.
Je suis une femme formidable comme il dit, intelligente, douce, et j'ai une jolie voix. Je vais garder ces mots en tête cette nuit.µ
Possiblement ma nuit sera plus douce grâce à ces mots.
Merci de m'avoir lu, même si ça ne mène à rien.
J'en avais besoin.
A bientôt.
3 notes · View notes
blackexcellencesblog · 3 months
Text
SÉANCE #6 - pixels et soi
Dans la société actuelle, nous sommes inévitablement immergés par la technologie et les médias numériques. En effet, la popularité croissante des réseaux sociaux ont engendré une ère numérique où les limites entre le monde réel et le monde virtuel n’existe plus, créant ainsi une ambiguïté constante autour de notre identité et de nos interactions sociales. 
Selon moi, l'identité numérique, la présentation de soi et le rapport à l'autre en ligne sont des concepts qui entrent catégoriquement dans la définition de l’ère numérique. Je crois que dans l’ère numérique d’aujourd’hui les communautés virtuelles, telles que des forums de discussion en ligne, créent des espaces ou les individus partageant des sujets, intérêts communs, afin qui puissent se rassembler et interagir entre eux. Par exemple, des groupes sportifs se forment en ligne pour se motiver, échanger des conseils et même s'entraîner par vidéoconférence, ce qui crée des liens sociaux significatifs malgré la distance géographique.
D’un autre côté, nous avons les réseaux sociaux numériques comme Instagram, Snapchat, Tiktok ou encore twitter qui permettent aux utilisateurs de montrer et de partager leur identité en ligne, en soit construisent des profils visuels pour représenter leur vie d'une manière attrayante, créant ainsi une version idéalisée de soi-même pour le public en ligne. Cette étape chez l’utilisateur se décrit comme  « l'identité déclarative (ou Représentation de soi) se compose de données saisies directement par l’utilisateur, notamment au cours de la procédure d’inscription au service (exemple : nom, centres d’intérêt, amis) » (Sur La Relation À Soi Et L’identité Numérique, 2023). 
De plus, l'identité numérique peut être comprise d’un autre sens. Dans le contexte de la société moderne, elle adopte une perspective bien distincte de celle observée sur les médias sociaux. En effet, au canada il est déjà discuté de mettre en place pour les années à venir « Une vérification d’identité « bonifiée » par l’utilisation potentielle de la biométrie, par exemple la reconnaissance faciale, est prévue » ( Papineau & Khelil, 2023). Par contre, l'implantation de la reconnaissance faciale du  gouvernement pourrait bien entraîner une fracture numérique dans la société. Effectivement, la confidentialité et la sécurité des gens seront menacées et ceux-ci ne voudront pas partager leurs informations personnelles aussi facilement.  
En conclusion, il est essentiel de rester conscients et engagés dans la vie réelle plutôt que de se laisser absorber par les écrans, car ces plateformes ne représentent qu'un monde virtuel de pixels.
Bibliographie
Sur la relation à soi et l’identité numérique. (2023, August 19). Fanny Georges. https://fannygeorges.fr/2023/08/18/sur-lidentite-numerique-la-representation-de-soi/
Papineau, A & Khelil, L (2023, October 24). Pas d’identifiant numérique sans débat ni transparence. Le Devoir. https://www.ledevoir.com/opinion/libre-opinion/800538/libre-opinion-pas-identifiant-numerique-debat-ni-transparence
Tumblr media
3 notes · View notes
raisongardee · 4 months
Text
Tumblr media
"La bourgeoisie ne peut exister sans révolutionner constamment les instruments de production et donc les rapports de production, c’est-à-dire l’ensemble des rapports sociaux. Le maintien sans changement de l’ancien mode de production était, au contraire, pour toutes les classes industrielles antérieures, la condition première de leur existence. Ce bouleversement continuel de la production, ce constant ébranlement de toutes les conditions sociales, cette agitation et cette insécurité perpétuelles distinguent l’époque bourgeoise de toutes les précédentes. Tous les rapports sociaux stables et figés, avec leur cortège de conceptions et d’idées traditionnelles et vénérables, se dissolvent ; les rapports nouvellement établis vieillissent avant d’avoir pu s’ossifier."
Karl Marx & Friedrich Engels, Manifeste du parti communiste, trad. Laura Lafargue, 1848.
15 notes · View notes
profenscene · 9 months
Text
Samedi 9 septembre
Tumblr media
(NB : L'image du fragment dans ce billet vient en droite ligne du dernier roman de Chloé Delaume, Pauvre Folle)
J'enseigne à des élèves privilégiés.
Depuis la rentrée, lundi, je tourne le terme entre mes doigts. Il est dense, mince, un peu coupant sur les bords. Je ne l'ai jamais manipulé. Ma carrière m'a plutôt amené vers des établissements dits "en difficulté". Je ne m'en plains pas. Je m'y suis épanoui, bien plus que ce que je pensais, et m'y suis forgé la petite légende que je sors parfois d'un tout suffisant en salle des profs : "Tu sais, moi quand j'enseignais en REP+, dans le 91..."
Donc, ce label d'élèves privilégiés, je m'en méfie un peu. Et comme tout ce qui m'inquiète, je tente de le définir. Au début, je pensais que cet adjectif, "privilégié", ça voulait dire qu'ils avaient évacué les difficultés. Qu'ils jouaient la partie en mode facile, avec les cheat codes : famille disponible et aimante, argent, relations. Quelque part, c'est vrai. Mais pas pour tous, pas tout le temps. En quelques jours, ma définition s'est transformée.
Être un élève privilégié, c'est être plus haut dans la pyramide des besoins. Ni plus ni moins.
Et c'est énorme. Les élèves de Keves et d'Agnus ne connaîtront pas des nuits blanches parce que les forces de l'ordre font le siège de leur cité, à la recherche de dealers. Dans leur immense majorité, ils mangent à leur faim, on du matériel pour travailler.
Ça ne leur épargne ni la souffrance, ni les difficultés.
Elles commencent déjà à se dessiner, petites épées de Damoclès au-dessus de leurs têtes. Au début de l'année, j'avais envie de les trouver dérisoires. J'utilisais la réplique - qui me fait toujours autant rire - de Daria : "Vous voyez, même les top models ont des problèmes, alors accrochez-vous jeunes gens !" Seulement ça n'est jamais dérisoire. Une grande partie des rancœurs que trainent les adultes - l'expérience des réseaux sociaux est assez éloquente là-dessus - vient des cassures qu'ils se sont pris dans le passé et dont ils ont l'impression qu'on ne tient pas compte. Il ne s'agit pas de faire de la calinothérapie. Ni de se montrer complaisant sous prétexte qu'on souffre. J'ai eu des élèves capables de se comporter comme de sacrés connards en Essonne, indépendamment de leurs conditions de vies. Et ils pouvaient se montrer tout aussi géniaux, généreux et doux. Nul doute que ce sera le cas à Keves et Agnus.
Oui, il y a aussi des gueules qui les mordent, des voix qui murmurent du néant à leurs oreilles. Refuser d'en tenir compte, ça me semble aussi néfaste que de se rendre compte qu'ils ont vachement de chance, par rapport à nombre de leurs semblables.
Des élèves privilégiés. Dans ma main, les angles aigus s'adoucissent. Un peu.
Il est encore tôt.
12 notes · View notes