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#place du commandeur
philoursmars · 2 years
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Retour à mon projet de présenter la plupart de mes 53880 photos (nouveau compte approximatif !)
2013. Marseille à Noël.
Le Fort Saint-Jean. On y voit la Place du Commandeur, la tour et la chapelle romane Saint-Jean.
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justforbooks · 10 months
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L'historienne Hélène Carrère d'Encausse est morte à l'âge de de 94 ans, a annoncé sa famille à l'AFP, samedi 5 août. "Elle s'est éteinte paisiblement entourée de sa famille", précise le communiqué rédigé par ses enfants. Elle était, depuis 1999, secrétaire perpétuel de l'Académie française, un poste qu'elle était la première femme à occuper. Russophone et russophile reconnue, celle qui était devenue “Immortel” (elle tenait au masculin) a longtemps été la référence en la matière, incontournable conseillère des politiques et oratrice hors pair des universités les plus prestigieuses.
Spécialiste reconnue de la Russie, elle a notamment écrit L'Empire éclaté (1978), un ouvrage dans lequel elle prédit avec plus d'une décennie d'avance la dissolution de l'URSS, souligne le jury. Commandeur de l'ordre des Arts et des Lettres (1996), Grand-officier de la Légion d'Honneur (2008), Grand Croix de la Légion d’honneur (2011)... Hélène Carrère d'Encausse a aussi revêtu le costume de députée européenne entre 1994 et 1999. Mais certaines de ses prises de position, parfois trop indulgentes à l’égard de Vladimir Poutine, lui ont valu des critiques ces dernières années.
Naturalisée française à 21 ans
Le 6 juillet 1929, Hélène Zourabichvili naît dans une famille cosmopolite, exilée à Paris depuis la révolution bolchevique de 1917. Sa mère Nathalie von Pelken est une aristocrate russo-allemande. Son père, l’économiste et philosophe Georges Zourabichvili, est géorgien. Parmi ses ancêtres, l'historienne compte aussi de grands serviteurs des tsars comme de virulents protestataires de l'Empire, le président de l'Académie des sciences sous l'impératrice Catherine II et pas moins de trois régicides.
Élevée dans la langue russe, la future historienne apprend le français à quatre ans. Poursuit sa scolarité au lycée Molière, dans le cossu XVIe arrondissement. Et obtient la nationalité française à 21 ans. Un “cas d'intégration parfaite”, assure-t-elle à Libération en 2019. “Dans l'identité, je me sens française. Mais j'ai deux cultures.”
Pendant la Seconde Guerre mondiale, son père travaille avec les Allemands grâce à sa maîtrise des langues. Il est assassiné à la Libération, en 1944, “enlevé et probablement tué” par les résistants comme “collaborateur”. Secrets de famille dont le fils de l’historienne, Emmanuel Carrère, tirera son Roman russe, paru en 2007. Une version romancée de la réalité selon elle. Mariée en 1952 à l’assureur Louis Carrère d'Encausse, elle a deux autres filles, Nathalie (avocate) et Marina (médecin et animatrice de télévision).
Spécialiste de la Russie des tsars et de l'URSS
Après de brillantes études à l’Institut d’études politiques de Paris, Hélène Carrère d’Encausse devient professeur d’histoire à l’université Paris-1, et directrice de la Fondation nationale des sciences politiques. Grande spécialiste de la Russie tsariste puis du monde soviétique, elle est invitée aux quatre coins du globe pour donner des conférences et poursuivre ses recherches. Notamment au Japon et en Amérique du Nord, où les universités Laval et de Montréal au Canada lui décernent le titre de docteur honoris causa.
Auteure d’une vingtaine d’ouvrages, récompensés par plusieurs prix, elle bouscule le monde intellectuel avec la sortie d’un essai très remarqué : L'Empire éclaté (1978), en pleine guerre froide. Elle y prédit la chute de l’URSS, conséquence de la montée en puissance des républiques asiatiques de l’Union, incompatible avec le fonctionnement du régime. L’Histoire lui donnera en partie tort. Qu’importe : le best-seller s’écoule à une centaine de milliers d’exemplaires en quelques semaines et l’écrivaine est récompensée des prix Aujourd'hui (1978) et Louise-Weiss (1987). Reconnue pour son œuvre, elle entre à l'Académie française en 1990, devenant ainsi la troisième femme à prendre place sous la coupole, après Marguerite Yourcenar (1980) et Jacqueline de Romilly (1988).
À la fin des années 1980, l’historienne se fait politique. Elle rejoint la Commission des sages pour la réforme du Code de la nationalité en 1986. Huit ans plus tard, elle est élue au Parlement européen sur la liste UDF-RPR. Parallèlement à ses activités de députée européenne, elle occupe la vice-présidence de la Commission des archives diplomatiques françaises, et préside la Commission des sciences de l'homme au Centre national du livre entre 1993 et 1996.
Madame le secrétaire perpétuel
Nouvel hommage de l’Académie : en 1999, l’historienne devient la première femme secrétaire perpétuel de l’institution. Un titre qu’elle refuse de féminiser car “le secrétaire du roi, c'est noble, alors que la secrétaire, c'est une bonne à tout faire”, explique-t-elle à Libération en 2019. Mais l’historienne est fréquemment accusée de ne pas promouvoir la candidature des femmes quai de Conti. En 2023, elles étaient seulement neuf à prendre place sous la coupole, contre 32 hommes… “Je fais ce que je peux, mais je ne peux pas inventer des candidatures. Il y a des femmes de très grande qualité mais qui sont réticentes car elles savent qu'en ce moment on cherche des femmes, et ne veulent pas venir pour cela.”
Mais c’est surtout pour son discours hésitant sur Vladimir Poutine que “Madame Russie” s’est fait épingler. En 2014, l’historienne déclare au JDD à propos de l’annexion de la Crimée : “Certes, le basculement de la Crimée dans le giron russe n’a pas été légal au regard du droit international, mais je ne parlerais pas pour autant d’annexion”. Davantage d’une modification des frontières qui n’a pas été réglée par le biais d’un accord international.” L’invasion russe en Ukraine, moins de dix ans plus tard ? Impensable pour elle, “jusqu’au 24 février au matin”. Longtemps perçue par les politiques et les intellectuels comme “l’académicienne qui parlait avec Vladimir Poutine et qui rapportait le récit du Kremlin en France”, selon la politiste Marie Mendras, Hélène Carrère d’Encausse nageait depuis “en plein brouillard” avouait-elle.
Daily inspiration. Discover more photos at Just for Books…?
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lingyunxiang · 5 months
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The Confrérie has promoted the wine of Champagne and the Art of Sabrage (the act of opening a bottle of Champagne with a sword), around the world, for more than 30 years. With more than 35,000 members in 36 countries, it is the most important brotherhood celebrating Champagne in the world.
The US Embassy of The Confrérie du Sabre d'Or was created in 2002 by a group of connoisseurs of Champagne, comprised of both American and French citizens. The members, men and women, are called Sabreurs, Chevaliers-Sabreurs then Officers and Commandeurs. The fun adds to the seriousness of this action. Opening a bottle with a sabre makes an occasion all the more memorable. We expect all Sabreurs to pass on this message to Champagne lovers throughout the world.
We, in the United States of America, consider the sabre a good substitute for the napkin and sprained wrist that can take place when opening a bottle of Champagne. The sharing of this spectacular event permits us to join a fraternity devoted to CHAMPAGNE! These are concepts that are relevant throughout the world.
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ladyniniane · 1 year
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Camp NaNo 3
Shirin entra par le fond de la salle, drapée dans un somptueux caftan noir et doré, un shamshir à la ceinture. Une pluie de perles illuminait la nuit de ses tresses et les ailes de la dame de la victoire ornaient sa tiare. Les flammes éclairaient sa peau hâlée, la changeant en statue de bronze. Les femmes gardes à ses côtés portaient des cuirasses rutilantes. Cette garce débordait de vitalité. Tiana n’en revenait toujours pas. Comment avait-elle pu grandir autant ? Elle égalait son père en taille, dépassait Khalid ! Les mauvaises herbes étaient toujours les plus difficiles à éliminer. Puissante et pleine d’assurance, Shirin s’était nourrie de l’adversité. Les rejets, les brimades, les machinations et les tentatives d’assassinat n’avaient fait que la renforcer. 
Le roi se leva alors et invita la princesse à le rejoindre, les bras généreusement ouverts.
- Bienvenue à ma fille victorieuse, la fierté de ma lignée, rugit-il alors. Elle a ramené la paix dans les provinces de l’Est et tout Almyra est témoin de sa gloire. Qui ose encore douter qu’elle soit de mon sang ? Que nul ne cherche plus à la calomnier ! La princesse Shirin est une véritable lionne et tous les guerriers ici présents doivent prendre exemple sur elle !
Un tonnerre d’acclamations remonta de l’assemblée. Shirin eut un sourire goguenard. Tiana résista à la tentation de le lui faire passer en s’agrippant de toutes ses forces aux accoudoirs.
-En récompense pour son mérite, je lui confère le titre de “princesse-commandeure” et lui confie un régiment supplémentaire d’immortels.
-Merci Votre Majesté. Vos ennemis tomberont sous ma lame et mes flèches. Buvons tous à la paix retrouvée ! Proclama Shirin.
La princesse prit place à leurs côtés, dissimulant ses vrais sentiments sous son masque. Jouer la fille dévouée lui répugnait. Cet homme avait rejeté sa mère comme une moins que rien après avoir joué avec elle. Elle n’avait pas oublié la négligence, la solitude et les punitions. Il ne l’avait gardée que pour avoir un autre hériter sous la main et la mettre en compétition avec son fils. Maintenant que Khalid était parti, il daignait enfin se souvenir de son existence. Shirin était soudain devenue sa fille préférée. 
C’était grotesque, comme toute cette famille. Des poignards se dissimulaient derrière chaque sourire, les murs du palais dégoulinaient de venin. Shirin contempla le trône et se promit de s’y asseoir un jour. Bientôt, elle n’aurait plus à ramper. Sa marâtre fulminait de son côté sans parvenir à se dissimuler. Voilà qui était au moins divertissant au milieu de cette comédie ridicule. 
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atthedas · 13 days
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Quelques personnages attendus
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Crédits : Icones de Factions par Mâo.
Sur Ainsi tomba Thédas, tous les trois mois environ, nous mettons en avant de nouveaux personnages prédéfinis attendus par nos membres et intégrés à l'univers ! Si vous souhaitez profiter d'un petit voyage en Thédas avec l'assurance de trouver du jeu, n'hésitez pas à jeter un œil à cette petite fournée.
ANJA ROSENMÜLLER - Âge : 22-23 ans. Genre : Féminin. Peuple : Humain. Nation d'origine : Anderfels. Occupation : Ménestrelle au service de la Commanderie de Starkhaven. Religion ou Croyances : Chantrie andrastienne. État civil : Libre. Fiche prédéfinie ici.
« Je n'ai pas honte de dire que je suis la lâcheté incarnée. J'ai peur de tout : des araignées, des serpents, des mages, des sourcils froncés et par dessus tout des engeances. Alors pourquoi suivre la garde ? Parce qu'il faut affronter ses peurs, un peu, et surtout parce que ces héros maudits méritent l'honneur des plus beaux chants. J'ai rencontré Senaste et Ateesha à Weisshaupt et depuis je les suis un peu partout, grâce à la volonté de la Commandeure-garde surtout. J'ai même eu la chance de monter sur un griffon. Mais passer l'union ? Jamais de la vie. Je ne suis qu'une artiste. Écrire des chansons et les chanter est le seul don dont je dispose pour les aider, et on me dit plutôt douée même si mon caractère enjoué les agace parfois. »
ARLISA. Âge : 32-33 ans. Genre : Féminin. Peuple : Elfe. Nation d'origine : Marches Libres (Starkhaven). Occupation : Marchande de bibelots. Religion ou Croyances : Libre. État civil : Mère célibataire. Fiche prédéfinie ici.
« Plus que les autres Elfes et autres pauvres gens, je me suis accrochée et j’ai eu de la chance : mon commerce est devenu l’étal de nombreux produits artisanaux du bascloître et il plut aux Humains de la ville. J’ai ainsi réussi à m’extraire du fond de la cité, hélant et m’enrichissant parmi ces marchands qui me toléraient. Mais voilà : la Guerre des Rats éclata, l’assassin avait réveillé de vieux démons et l’on me rappela que ma place n’aurait été due qu’à la chance. Du jour au lendemain, je peinais à nourrir mes enfants, et l’on se permit de s’en prendre plusieurs fois à mon étal : combien de fois mes mains ont-elles saigné car j’avais dû le reconstruire, seule ? Peut-être qu’aujourd’hui je peux compter sur le support de ce filou de Rivénien, grâce auquel les choses vont un peu mieux - mais pour combien de temps avant que ce ne soit définitivement la fin pour moi ? Avant que sur l'autel de l'Enclin, enjoint par les Elfes et les Humains, l'on sacrifie ce que j'ai eu tant de mal à construire ? »
FRANZISKA. Âge : 28-29 ans. Genre : Féminin. Peuple : Humain. Nation d'origine : Névarra. Occupation : Ancienne chirurgienne de guerre, elle tient désormais un office plus ou moins autorisé entre sa maison de Cairnayr et les quartiers défavorisés de Starkhaven. Religion ou Croyances : Libres. État civil : Mariée à Copper. Fiche prédéfinie ici.
« Les mains dans le sang, les pieds dans la boue, chirurgienne de talent pourtant reléguée aux quartiers les plus démunis et malfamés de Starkhaven… Souvent, on me demande pourquoi j’exerce dans la saleté et la pauvreté, pourquoi une mère de famille comme moi met les doigts dans le cambouis plutôt que d’exercer par les herbes et les sortilèges ; je réponds qu’heureusement que le Créateur m’a mise sur leur chemin pour leur permettre de poser des questions aussi stupides. Peu importe qui je suis et d’où je viens. Peu importe que, parfois, je repense à ce que j’ai laissé derrière. Peu importe ce que j’ai pu faire pour en arriver là : l’essentiel c’est que je sais ce que je fais lorsque l’on me confie leurs vies. Je ne veux montrer à personne à quel point j'ai peur, oui : peur de ceux qui nous ont toujours menacés, de ceux qui sont censés nous protéger et de cet Enclin qui ravage tout sur son passage ; peur de perdre cette vie si fragile que j'ai su me construire loin de la fuite. Pourquoi nous faut-il toujours courir ? »
KEITH FARWELL. Âge : 46-47 ans. Genre : Masculin. Peuple: Humain. Nation d'origine : Marches Libres (Tantervale). Occupation : Chercheur sénior à la tête de la délégation. Religion ou Croyances : Chantrie andrastienne. État civil : Célibataire. Fiche prédéfinie ici.
« Oui, je suis petit : pour les deux recrues malines qui s’imaginaient innover en blaguant sur ma taille réduite et ma grosse voix, l’affaire est déjà entendue ; pour tous ces géants d’ambitions ou de richesses, ils s’offusquent expressément de voir un Nain chez les Chercheurs de la Vérité, et je m’humilie à devoir justifier que je suis bien chantriste comme eux. De Tantervale, d’où je viens, on raconte que l’on s’agrandit dans la Lumière du Créateur : mais j’ai beau avoir passé des décennies à accomplir Son œuvre, à protéger Sa Divine, à avoir souffert dans leur dernière Marche Exaltée ; on ne me rappellera au final que mon ridicule. Sûrement que leurs moqueries cachent des intentions mauvaises, de vils secrets ; sûrement qu’en creusant dans le passé de toutes ces grandes gueules, je trouverais de quoi à mon tour les descendre dans le trou de leur médiocrité. Rien ne m'échappe.
Qu'ils m'arrêtent. »
VARLAS TANASSAVIR. Âge : 38-39 ans. Genre : Masculin. Peuple : Elfe. Nation d'origine : Clans dalatiens (Shiralen). Occupation : Ancien unique archiviste du clan Shiralhen, désormais l'un des deux Archivistes du clan Tanassavir. Religion ou Croyances : Panthéon dalatien. État civil : Marié. Fiche prédéfinie ici.
« Mon ancien clan ne comprend pas que je me mette autant en retrait, que je laisse l’Archiviste Rahnmyatha prendre les rênes et que j’intervienne si peu dans les décisions. Moi qui les ai pourtant toujours menés avec fermeté et bienveillance, qui suis d’ordinaire déterminé et sage. Ils ne comprennent pas parce que je ne leur montre pas les doutes qui me traversent depuis le combat contre le démon et aussi ceux inhérents à cette organisation pour le moins inédite. Ce combat a vu périr nombre des miens, dont ma propre jumelle et a marqué mon visage comme mon âme. Désormais, dans mes sommeils agités, les démons me murmurent et me tentent, prennent un visage connu, le mien ? Ou celui de ma sœur ? Quelle est cette famille dans laquelle je ne me retrouve plus ? »
À côté de ces prédéfini.e.s en sont attendu.e.s de nombreux.ses autres, comme de beaux scénarios, pré-liens et familles proposés par nos membres ! Nous n'attendons que vous.
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32-kader-tahri · 1 year
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Arrogance, chienlit et propagande : le Makhzen Marocain pète haut et fort !
Bien que le royaume du Maroc reste mal classé dans l'index de démocratie de l'Economist Intelligence Unit (EIU), étant même qualifié de «régime hybride» et  également mal classé dans le classement de l'inégalité de genre des Nations Unies et dans l'index LGBT de l'Equaldex, le Makhzen histoire de bien asseoir son sentiment de supériorité, après son échec à obtenir l’organisation de la Coupe du monde 2026, affirme qu’il se portera candidat pour la suivante afin de rejoindre le Portugal et l’Espagne pour une candidature commune en vue d’organiser la coupe du monde 2030. Cependant plusieurs similitudes avec le Qatar qui ne manqueraient pas de poser question si Rabat est choisie.
Dire que le Makhzen est une catastrophe, ce n'est pas beaucoup mieux. Il faut bien noter à quel rouleau compresseur, il fait face dans les guéguerres picrocholines au sein du Palais royal dont les sujets ne manquera pas de s'amuser, et certains ne pourront que écumer les plateaux télé pendant de longues heures pour expliquer les bienfaits de la tenaille identitaire du Makhzen. L’égo, l’entêtement dans l’égo est un vrai poison. Hérésie ! hérésie !
Dit autrement, nous avons le prototype de ce qu'on appelle une "Monarchie Bananière". Il y a toujours un bémol dans chaque répartition du Makhzen et il y  a quelqu'un ou quelque chose qui essaye de sortir de l'anonymat ou essaye de faire le Buzz et c'est le cas des sujets Politiques du palais royal, qui veulent que le makhzen Marocain peut jouer dans la cour  des grands, toutefois sans comprendre que ce régime moyenâgeux  n’a ni les moyens ni les capacités de le faire.
En tout état de cause, rien ne changera pour le pauvre peuple marocain d'en bas tant que leur pays appartient aux plus grands voleurs de la monarchie et à quelques-uns de leurs copains et coquins du CAC 40 français. En réalité, de soliveaux politiques du Palais, (les pires que le Maroc ait jamais connu) contemplent le pays tomber dans le déclassement avec une sacrée dose, alors ils caressent le subalterne sans toucher à l’essentiel en allant vers «la Somalisation du Maroc » avec des inégalités et des disparités sociales, toujours plus flagrantes mais aussi très choquantes et insupportables, au vu de ces difficultés, la population bascule très vite de la précarité vers la pauvreté.La responsabilité incombe aux élites mais aussi au peuple qui se laisse manipuler par l'apparence d'une démocratie et par des turpitudes politiciennes.
C'est bien pour cela que dans ce royaume du Roi des Pauvres d'aujourd'hui :
1/-le père de famille préfère envoyer son épouse en Espagne pour faire la cueillette des fruits rouges tout en restant à la maison pour la garde des enfants.
2/-La migration d’un ou de plusieurs membres de la famille, en particulier à l’étranger, est ressortie comme la principale stratégie des ménages pour se soustraire à la pauvreté et demeurer dans une situation plus vivable. La jeunesse marocaine fuit la famine à la nage pour rejoindre Ceuta et Melilla et que ceux qui ne savent pas nager préfèrent fuir la misère à pied pour rentrer clandestinement en Algérie (plus de 35.000)  à la recherche d'un travail au noir pour subvenir aux besoins de leurs familles restées dans la Zriba Royale du Maroc
Malgré le tout va bien fortement médiatisé au royaume, le Maroc continue de dégringoler dans le classement du PNUD traitant des IDH (Indices de Développement Humain) passant de la 96e place (en 2001), à la 121e place (en 2020) et à la 123eme place en 2022, loin derrière ses voisins l'Algérie (91e), la Tunisie (97e), l'Égypte (98e) et même derrière des pays en difficulté comme la Libye (104e), le Liban (112e) et l'Irak (120e). Et durant cette dégringolade l'auto-proclamé Commandeur des croyants est devenu grâce à son génie "divin" la 7ème fortune mondiale, la 3eme dans le monde musulman et la 1ere en Afrique sans qu'aucun marocain ne trouve rien à redire. Pourtant plus  de 45 % des Marocains se considèrent comme pauvres (38,6 % dans le milieu urbain et 58,4 % dans le milieu rural. Ils sont nombreux à vivre sous le seuil de pauvreté, n’arrivant plus à subvenir à leurs besoins, condamnés à fouiller les poubelles pour manger à leur faim.  
A noter que ce classement est établi sur la base des OMD (Objectifs du Millénaire pour le Développement) fixés par le Sommet Mondial de Rio en 1992 et qui sont:
1/- l'Analphabétisme,
2/- la Pauvreté,
3/- le Droit à la Santé et à l’Éducation,
4/- l'accès à l'Eau potable et à l’Électricité,
5/- les Infrastructures structurantes,
6/- l'Endettement public,
7/- la Gouvernance,
Par ailleurs le rapport  Davos 2023 du Forum économique mondial, estime que  le Maroc est sérieusement menacé par la crise du coût de la vie, ainsi que l’inflation, la hausse sévère des produits de base, les risques d’approvisionnement et la dette.
Je ne critique pas les Marocains, déjà, évidemment que la majorité reste honnête, mais je tiens à préciser que je suis depuis très longtemps profondément sympathisant de la cause Palestinienne et celle des Sahraouis, et surtout que dans le sillage du discours tenu par le palais, la théorie du ruissellement  On sait pourquoi, mais il ne faut pas le dire. Faut me pardonner, je viens de regarder à la télé le Roi des pauvres, le protecteur de la démocratie, de la liberté au Maroc et l'enthousiasme me trouble au point de commettre une confusion impardonnable, il s'agissait bien d'un Hitler Machin ou quelque chose comme ça, ce supposé dirigeant d’un royaume de l’abondance de la démocratie et de l’intelligence, encore du n’importe quoi, ce narco-régime de la prostitution devient l’ombre de lui-même, sous un monarque alcoolique et LGBT avéré qui arrive à faire du Maroc un pays des héritiers et des rentiers.
Un régime narco-monarchie nuisible et de ses acolytes, ont fait du Maroc :
Un pays synonyme du trafic d’herbe qui inonde tous ses voisins, de la femme mulet, de teinturiers, de babouches et surtout de misère et de pauvreté, ce qui fait que le Royaume reste le pays le plus inégalitaire d'Afrique du Nord.  
Un pays marqué par de criantes inégalités sociales et territoriales ainsi que la persistance d'une grande pauvreté dans le milieu rural et les zones enclavées du pays.
Un pays spécialiste en tourisme sexuel afin de détrôner d’autres pays comme la Thaïlande?   Un pays où il n'y a que la prostitution des villes jusqu’aux villages ?
Un pays où on abuse d'enfants de 5 et 6 ans (pédophilie). Qui dit pauvreté, dit manque d’éducation. ?
Un pays qui veut dépénaliser l'homosexualité, exemple à Ksar El Kébir  c'est la première fois qu'on a pu voir un mariage homosexuel, il y avait plus de 50 invités de plusieurs villes du pays, la fête a duré jusqu'aux premières heures du matin, ou encore à Tétouan, la police avait arrêté une quarantaine de personnes pour délinquance sexuelle avant de les libérer?
Un pays qui avait interdit l’usage de haut-parleurs dans les mosquées lors de l’appel à la prière aux environs des établissements touristiques, pour un meilleur respect du repos des hôtes étrangers du Maroc.
Un pays où il y a des manifestations de la soif (à Zagora).
 Un pays surnommé « le Royaume du Cochon », en effet le Maroc compte un important cheptel de porcs, la production de cochon connaît de beaux jours, justement grâce au développement du tourisme, de ce fait le Maroc de sa Majesté Commandeur des Croyants abandonne des principes islamiques, pour répondre aux exigences des touristes étrangers qui normalement sont appelés à découvrir la culture et à respecter les traditions marocaines ?
Bref rappel historique : “Siba” et “Makhzen” ont longtemps coexisté dans le système politique qui régissait le Maroc, jusqu'à l'arrivée du protectorat français du pays où son drapeau est d'origine juive et confectionné par le général Lyautey. Il n'est pas étonnant que Lyautey soit derrière la réinterprétation du drapeau marocain et la création de l'hymne national, comme ils  sont connus aujourd'hui. L'homme était un monarchiste au service de la république, qui avait trouvé un terrain d'expression idéal après la signature du Traité du protectorat et sa nomination comme résident général : il avait enfin l'occasion de mettre ses idées monarchistes en pratique.
Après avoir habilement écarté le sultan Moulay Hafid (1908-1912), il le remplaça par son frère, plus malléable, Moulay Youssef (1912-1927), en vue d'accélérer la signature de dahirs du royaume chérifien. Lyautey ne s'arrêta pas en si bon chemin puisque, en bon militaire, il ordonna la création d'un hymne pour le royaume. Cette musique, composée à l'époque de Moulay Youssef, n'était à l'origine qu'un simple “salut royal”, un air sans paroles, connu comme “l'hymne chérifien”. Le français Léo Morgan, chef de musique à la garde chérifienne, ne se doutait pas que la musique qu'il a composée allait lui survivre aussi longtemps…
Le commandeur des croyants du Maroc est une marionnette, béni par un religieux juif, bientôt ce monarque n’hésiterai pas à demander et obliger son indigent petit peuple à se convertir au judaïsme.
Tout le monde sait que le souverain marocain est aux ordres d'intérêts qui le dépassent complètement. Quand il accueille à chef de file de la communauté LGBT, au palais royal de Marrakech, nous voyons le maitre et son élève. Décidément ce souverain  montre bien la différence entre l'intelligence, dont il est évidemment pourvu, et le talent, qui lui manque tant en matière politique. C'est un autocratique totalement imprégné de culture lesbienne, fasciné par la réussite et par l'argent. Précisément sa majesté et ses sbires ne sont pas des politiques. Ce sont des politiciens qui pensent avant tout au trône et leurs carrières. Décidément ce Makhzen montre bien la différence entre l'intelligence, dont il est évidemment pourvu, et le talent, qui lui manque tant en matière politique
Historiquement le royaume du Maroc avait été taillé pour quelqu'un de l'envergure du sanguinaire Hassan 2. Dans un tel costume bien trop grand pour lui, on n'aperçoit même plus M6. Alors dans ce contexte, le personnage de M6 n'a finalement que peu d'importance ! Il n'est que le symptôme de ce désastre Marocain, et de l'autre il a à gérer un peuple qui ne croit plus à rien et qui est prêt à tomber dans les bras du plus démagogue, à ce petit jeu-là ce n’est pas sûr que le Makhzen soit plus fort avec l'alliance sioniste, ce n'est que la conséquence déplorable de la tenaille dans laquelle le Maroc est en train de s'étouffer.
Bien sûr, personne n’est dupe, tout ceci ne sont que des exemples d'une politique Marocaine avec du grand n'importe quoi dont les effets, dont la nullité sont démultipliés par un petit Roi qui se prend pour cador, qui humilie par exemple publiquement son peuple.
Tout est comme ça. Pour mener une politique il faut déjà savoir ce qu'on veut, quels sont les intérêts et ensuite développer des relations fondées sur le respect et sur la connaissance anthropologique des pays concernées.
Or le respect, le souverain du Makhzen ne connait pas, quant à ses diplomates ils sont plus sensibles aux qualités des gay prides dans le monde (comme en Israël) que le reste et franchement très arrogants vis-à-vis de ceux qui ne souhaitent pas en organiser dans l'immédiat.
Dire que la misère existe, c’est simplement dresser un constat de la réalité marocaine ; maintenant le makhzen veut se voiler la face et dire que “tout va bien dans le plus beau pays du monde”, Un pays insignifiant avec de Funestes perspectives  qui veut organiser une Coupe du Monde A chaque fois, le Maroc a été reconduits sans jamais vraiment donner l’impression d’être passés tout près de la victoire, cette fois-ci, le Maroc donne l’assurance que les compétitions en nocturne seront éclairées grâce aux énergies renouvelables, et les policiers réquisitionnés recevront des panoplies de drag-queen et des véhicules aux couleurs arc-en-ciel... Ça va impressionner le supporter européen.
Selon les médias de sa majesté, le Maroc est un pays en développement, en louant une image pour le moins imaginaire d’un pays en totale détresse qui soit sur le plan économique, politique et social et pourtant une grande partie de sa population vit encore dans la pauvreté. La répartition inégale des richesses et du déséquilibre contribue à la pauvreté. La majeure partie de la richesse du pays est concentrée parmi les riches. Cela signifie également que les opportunités sont inégales. C’est avec une telle image, que le Maroc se lance à organiser conjointement la Coupe du Monde 2030.
Au-delà de stratégies sportives et avec des enjeux politiques majeurs, il sera demandé aux participants à cette coupe du monde version 2030,  sans aucun doute d’apporter leur soutien à la vision marocaine sur la question du Sahara occidental. En d’autres termes, il s’agit de faire reconnaitre la “marocanité” du Sahara Occidental occupé, qui réclame son indépendance depuis des décennies.
En final Il peut arriver que le sport soit menacé par l’incompétence, l’ignorance, la démoralisation, la corruption, le pouvoir excessif de groupes de pression recherchant leur intérêt personnel que l’intérêt commun, et que les institutions sportives fonctionnent mal.
Voilà pourquoi nous en sommes là, les Marocains du Makhzen auraient-ils confondu sport et politique rancunière ?
Kader Tahri
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tadorsa · 1 year
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Léon Jean Colin (1830-1906)
Médecin militaire français. Père du capitaine breveté Paul Colin, et beau-père de M. Nimier, professeur au Val-de-Grâce.
Léon Colin commence sa carrière à l’hôpital militaire de Strasbourg en tant que chirurgien élève en 1848 puis est médecin stagiaire à l’École du Val-de-Grâce en 1853. Il est médecin aide-major de 2ème et 1ère classe au 4ème régiment des Chasseurs de 1854 à 1858 et à l’École de Strasbourg à partir de 1858, avant d’être promu médecin major de 2ère classe au 10ème régiment d’infanterie en 1859. Il est nommé professeur agrégé de l’École du Val-de-Grâce, où il enseigne l’épidémiologie, cette même année ainsi que médecin major de 1ère classe en 1864. Il occupe cette place aux Hôpitaux de la division d’occupation à Rome en 1864. En 1867, Colin est médecin professeur à l’École du Val-de-Grâce puis est nommé médecin principal de 2ème (1868) et 1ère (1872) classe de cet établissement. Léon Colin est nommé, en 1888, inspecteur général et président du Comité technique de santé. Grâce à sa droiture, à sa fermeté bienveillante et au sage emploi de son autorité, il sait se faire aimer tout en se faisant obéir.
Ses études de prédilection et sa compétence en matière d'hygiène et d'épidémiologie permettent à Léon Colin de composer plusieurs traités spéciaux, ainsi que de nombreux mémoires ou articles qui, tous, obtiennent un grand succès. Son Traité des fièvres intermittentes, qui parait en 1870, et son magistral ouvrage sur les Maladies épidémiques, publié en 1879, méritent tout particulièrement d'être mentionnés. Il en est de même de ses Études sur la fièvre typhoïde dans l'armée (1878 et 1882) de même encore, d'un petit volume in-12 plein d'intérêt, ayant pour titre: Paris, sa topographie, son hygiène, ses maladies (1885). On peut aussi évoquer son article: « Quarantaines », du Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales; son travail sur l'organisation des moyens de défense contre les maladies contagieuses (1892); son Mémoire sur la tuberculose dans l'armée (1899). Toutes ces publications portent, la marque d'un grand savoir et d'une expérience consommée. Reçu à l'Académie de médecine en mars 1880, il y débute dès le mois de novembre par une communication sur l'incubation et la prophylaxie de la rage, travail remarquable qui lui vaut les vives félicitations de Bouillaud, en même temps qu'une argumentation toute flatteuse de la part d'Henri Bouley. Plus tard, dans une savante discussion avec Verneuil, il démontre que le diabète au cours du paludisme n'est pas une complication aussi fréquente que le prétendait son contradicteur; et, en 1883, il prend une part active au long et retentissant débat qui avait lieu sur le traitement de la fièvre typhoïde, débat qu'il avait lui-même provoqué par un rapport sur la méthode de Brandt. Du reste, il intervient volontiers au sujet des questions d'hygiène et de prophylaxie. Sur ses instances, l’Académie de médecine demande au Ministre de la Guerre et obtient que l’incorporation ait lieu non plus au 15 novembre, c’est-à-dire à l’époque des grands froids, mais à la fin de septembre ou au commencement d’octobre. 
Il est élu membre de la section d’hygiène de l'Académie de médecine le 23 mars 1880. Président pour 1905.
Léon Colin est nommé chevalier, officier (1871), commandeur (1884) et Grand-Officier (1893) de la Légion d’Honneur suite à des rapports du ministre de la Guerre
Domicile : 10bis rue Vavin, Paris 6ème
G-5
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suis-nous · 1 year
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“ Je suis le fils de Beethoven” de Stéphane Malandrin au Seuil
par Richard Magaldi-Trichet
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Il était plusieurs fois...Nous sommes d'entrée de jeu prévenus par l'épigraphe de Borges tirée du Jardin aux sentiers qui bifurquent : nous pénétrons dans un labyrinthe mystérieux, où les voix du narrateur, telles un choeur antique, vont tour à tour nous mener et nous perdre en multipliant fausses pistes et chausses-trapes...Le décor est planté, Italo Zadouroff deuxième du nom, réfugié dans sa thébaïde aux murs recouverts de livres, nous révèle l'improbable secret de sa paternité:  autrefois, dans un château de Hongrie, sa mère, jeune et naïve domestique, a connu un amour bref mais inoubliable avec le compositeur Ludwig van Beethoven.
Stéphane Malandrin, dont le roman Mangeur de livres avait été finaliste du Goncourt premier roman en 2019, nous offre, avec cette rencontre remémorée, ce que Coleridge nommait une « momentanée suspension volontaire de l'incrédulité ». Nous savons dès le début bien sûr que cette filiation revendiquée est totalement fantasque, mais qu'importe, nous acceptons son contrat, et le suivons dans sa brume narrative aux confins d'une Europe de l'est au tournant du XIXe siècle, entre armées claudiquantes et estropiées, et bals de cour impériale aux costumes cousus d'or.
Malandrin tire agréablement les ficelles -quelquefois un peu voyantes- de ses récits multiples, semblant les entremêler mais pour mieux nous ferrer et ne plus nous lâcher jusqu'à la fin, à la fois attendue et redoutée.
A la manière du grand compositeur, quelquefois absent mais toujours en creux comme la statue du Commandeur de Dom Juan, il écrit son texte en partition symphonique, enchaînant mouvements lents et emportés. Malandrin réussit le tour de force d'une écriture polyphonique, où l'humour de la copulation initiale entre le maître et la servante sur les notes de L'ode à la joie laisse place à une poésie tout en finesse et émotion pour Le Clair de lune. On est tout proche de la synesthésie, couleurs, sons et parfums vibrent au même unisson.
En fin scénariste, Malandrin nous propose un récit empli de blancs, où les connecteurs incertains (selon lui, d'après, il dit...) à l'image des dièses et bémols, altèrent la vérité en possibles réticences, toujours à la limite d'une mémoire palimpseste où tout s'imbrique et s'enchâsse, un roman bibliothèque où fantômes et personnages célèbres sont convoqués dans une matérialité multidimensionnelle. Une véritable galerie de miroirs qui se traversent allégrement dans une alacrité enthousiaste.
Il nous emporte au pays des souvenirs non vécus, et nous offre un étagement de plans successifs, qui n'est pas sans rappeler le film Inception. Sa langue à la fois moderne et érudite au service d'une dynamique théâtrale riche en rebondissements, contribue à notre plaisir et notre émerveillement.
Le roman de Stéphane Malandrin, riche et foisonnant reflet d'un monde en transformation, est une magnifique occasion de célébrer le 250e anniversaire de la naissance de Beethoven. Son fils fantasmé, dont la réalité ne nous importe désormais plus, nous convainc définitivement que, comme l'écrivait Théophile Gautier, grand maître de l'irréel, « Il n'y a que les contes de fées qui sont vrais ».
Je suis le fils de Beethoven de Stéphane Malandrin aux Editions du Seuil
www.seuil.com
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jbgravereaux · 5 years
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Haruki Murakami - RICHARD DUMAS / AGENCE VU POUR LE MONDE                                                                                                                                            Haruki Murakami : « Mon travail consiste à proposer des textes, pas à trouver leur sens », par Florence Bouchy , Publié le 18 juillet 2019 - Mis à jour le 26 juillet 2019                                                                                                                                                                                                                                    ENTRETIEN                                                                                                                                                                                                                                            Le plus lu des romanciers japonais s’exprime peu dans les médias. Dans cette interview donnée en exclusivité au « Monde », et qui ouvre une série de conversations avec des figures de la littérature mondiale, il évoque son parcours et son art d’écrire.                                                                                                                                                                                                              Grands écrivains, grands entretiens (1|5).                                                                                                                                                                                            Haruki Murakami n’est pas de ces écrivains qui assurent volontiers la promotion de leurs livres. Sans doute les siens n’en ont-ils d’ailleurs pas besoin, tant chacune de ses publications constitue en ­elle-même un événement et se hisse immédiatement en tête des meilleures ventes.                                                                                                                                                                                    Qu’il s’agisse de la trilogie 1Q84 (Belfond, 2011-2012) ou du récent Meurtre du Commandeur (Belfond, 2018), qui met en scène un peintre en manque d’inspiration, tous ses romans s’écoulent à des millions d’exemplaires. L’écrivain japonais le plus lu au monde, fréquemment cité comme favori pour le prix Nobel de littérature, distille sa parole au compte-gouttes et préfère se tenir à l’écart de la vie littéraire comme des médias. Il préserve ainsi, dit-il, la « concentration » nécessaire à l’élaboration de son œuvre.                                                                                                                                                                       Fin février, dans le cadre de Japonismes 2018, l’année culturelle du Japon, le Théâtre de la Colline donnait l’adaptation du roman le plus célèbre d’Haruki Murakami, Kafka sur le rivage (2002 ; Belfond 2006), dans une mise en scène de Yukio Ninagawa. De ­passage à Paris pour la dernière de la pièce, c’est au Monde que le romancier, à l’emploi du temps millimétré, a choisi d’accorder une interview exclusive.                                                                                                                                                                                                                          Il nous consacre une heure de discussion dans le bureau de Wajdi Mouawad, le directeur du Théâtre national de la Colline, à Paris. Et s’il ne s’attarde pas outre mesure sur le sens de ses romans, souvent oniriques, tendant au fantastique, où se déploie une imagination féconde, il évoque volontiers son parcours et son travail. Un avant-goût des réflexions que l’on pourra lire dans un recueil d’essais, ­Profession écrivain, à paraître le 3 octobre chez Belfond.                                                                                                                                                Savez-vous à quelle époque remonte ­votre désir d’écriture ?                                                                                                                                                            Quand j’étais enfant, ce qui avait le plus d’importance pour moi, c’était les chats, la musique et les livres. Dans cet ordre-là. Mais je n’avais pas de goût particulier pour l’écriture, même si j’avais de bonnes notes en rédaction à l’école. Comme j’étais fils unique, la lecture me permettait de m’occuper, elle tenait une place importante dans ma vie. Mais pas aussi grande que la musique, ­passion vers laquelle je me suis d’abord tourné à l’âge adulte, puisque j’ai ouvert un club de jazz à Tokyo, le Peter Cat, en 1974.                                                                                                                                                        Je ressentais bien l’envie de créer, mais je pensais que je n’en étais pas capable, que je n’avais aucun talent particulier. Et plutôt que de créer moi-même, je préférais soit écouter de la bonne musique, soit lire de bons livres. Me nourrir des œuvres des grands créateurs, m’en imprégner. Ce n’est qu’à 29 ans que je me suis dit, subitement, que j’allais peut-être être capable d’écrire. Une véritable épiphanie ! Et depuis ce jour, je n’ai pas arrêté.                                                                                                                                                                      La légende assurant que cette ­ « épiphanie » a eu lieu durant un match de base-ball dit-elle vrai ?                                                                                                                                                                                                                          C’est la vérité. Je suis allé assister à un match de base-ball, au stade près de chez moi. Et tout à coup, je me suis dit : « Je suis capable d’écrire. » C’était le premier match de la saison, il y a eu un hit du batteur. Quand j’ai entendu le bruit de la balle contre la batte, je me suis dit que je pouvais peut-être écrire.                                                                                                                                  Selon vous, cette révélation a-t-elle tenu à la beauté du son ou à la perfection du geste du batteur ?                                                                                                                                                                                                                          C’est certainement un tout. Nous étions au printemps, il faisait beau, l’ambiance générale, dans ce grand stade, était propice au bonheur. Et puis, à l’intérieur de cela, il y a eu le coup, le bruit. Il se trouve que j’étais en train de boire une bière. Peut-être que cela aussi a eu son importance !                                                                                                                                                          Vous mentionniez votre passion de la musique. N’avez-vous jamais eu envie de devenir musicien ?                                                                                                                                                                                                                          J’aurais bien aimé, mais je chante faux et je ne suis pas doué pour les instruments. Je tenais ce club de jazz et j’avais donc la chance d’écouter en permanence de la bonne musique. Dans les années 1960, nous baignions dans la musique des plus grands, comme John Coltrane ou Miles Davis. Tous ces musiciens qui vivaient à la même époque, c’était extrêmement stimulant. Artistiquement, il y avait beaucoup d’énergie, que ce soit dans le jazz ou dans le rock. D’ailleurs, dans le quartier où nous sommes aujourd’hui, pas loin du Théâtre de la Colline, se trouve le ­cimetière du Père-Lachaise, où repose Jim Morrison, le chanteur des Doors, dont je suis un très grand fan. Je ne suis pas encore allé voir sa tombe, mais j’aimerais en avoir le temps.                                                                                                                                                            Quand j’avais 19 ans, au moment où je suis entré à l’université [Haruki Murakami y a étudié le théâtre et le cinéma], on entendait beaucoup une chanson des Doors, Light My Fire [1967]. Elle avait un côté magique. Aujourd’hui encore, quand je l’écoute, les sentiments que j’avais à cet âge-là me reviennent. L’envie de créer est donc certainement montée en moi petit à petit, dans ce climat de stimulation artistique, jusqu’à ce que, à 29 ans, ait lieu cette explosion, cette illumination lors d’un match de base-ball.                                                                                                                                              Comment cette évidence s’est-elle concrétisée ?                                                                                                                                                                                  Je me suis d’abord dit qu’il fallait que j’achète un stylo, parce que, dans mon travail au Peter Cat, je n’avais pas l’habitude d’écrire. Je me suis procuré un stylo à encre et me suis mis au travail à l’aube, sur la table de la cuisine. Ces moments restent pour moi de très beaux souvenirs.                                                                                                                                                                              Je ne savais absolument pas écrire, je partais de zéro. J’ai quand même écrit des pages, tant bien que mal, mais, à la lecture, je me suis aperçu que ce n’était pas intéressant. M’est alors venue l’idée d’écrire en anglais. Pourquoi en anglais ? Parce que mon vocabulaire est plus restreint. Il fallait que je m’exprime avec une langue moins riche, plus directe, une syntaxe moins complexe. En réalité, je n’ai écrit qu’un chapitre en anglais, que j’ai ensuite traduit moi-même en japonais. Mais cela m’a permis de trouver mon style. Voilà comment est né Ecoute le chant du vent [1979 ; Belfond, 2016].                                                                                                                                                      Ecrire dans une langue étrangère, c’est un très bon entraînement. Quand je lis des textes d’Agota Kristof [1935-2011], qui était d’origine hongroise mais écrivait ses romans en français, j’ai l’impression de me voir moi écrire en anglais. Il y a une similitude entre ce que je produisais, à ce moment-là, et ce qu’elle faisait. Les phrases sont courtes, le vocabulaire n’est pas très fourni, mais cette économie de moyens permet l’expression d’une émotion sincère.                                                                                                                                Souvent, le premier roman n’est pas le plus dur à écrire, et les écrivains disent que les ennuis arrivent avec le deuxième. Cela a-t-il été votre cas avec « Flipper, 1973 » (1980 ; Belfond, 2016) ?                                                                                                                                                                                                Non, l’écriture de Flipper, 1973 a été facile. En revanche, le troisième a été plus difficile. Le deuxième, en fait, je l’ai vécu un peu comme une suite au premier. Mais pour le suivant, je ne pouvais plus faire la même chose sans risquer de me répéter. Il fallait donc que j’invente une forme très différente. Et c’est ainsi que m’est venu La Course au mouton sauvage [1982 ; Seuil, 1990]. De plus, après Flipper, 1973, je m’étais décidé à vendre mon club de jazz. Et je pouvais donc me ­consacrer à temps plein à mon activité d’écrivain. Or, jusque-là, j’avais plutôt une vie nocturne et des horaires décalés. Après avoir vendu le Peter Cat, je me suis mis à me lever tôt, j’ai arrêté de fumer, commencé à faire du jogging… Cela a été une vraie révolution.                                                                                                                                                                                            Votre littérature en a-t-elle bénéficié, ­selon vous ?                                                                                                                                                                                Les deux premiers romans m’avaient ­permis de prendre confiance en moi, mais j’avais le sentiment que je pouvais écrire ­encore mieux. C’est la raison pour laquelle je devais me concentrer sur ce travail. Mes amis étaient très opposés à la vente du club de jazz, parce qu’abandonner une affaire qui marchait bien pour tout miser sur la littérature représentait un risque. Mais j’avais envie de relever ce défi que je me lançais : j’étais persuadé de pouvoir progresser. J’avais l’impression que, quand je travaillais au club, je n’étais qu’à 20 % ou 30 % de mes possibilités.                                                                                                                                                                                                                        Depuis cette époque, je me couche à 21 heures ou 22 heures tous les soirs, et je me lève tous les matins à 5 heures. Je cours beaucoup, cela m’est devenu indispensable, et je participe à un marathon chaque année [Haruki Murakami a du reste consacré à cette activité Autoportrait de l’auteur en coureur de fond – 2007 ; Belfond, 2009]. Je viens d’ailleurs tout juste de courir le marathon de Kyoto.                                                                                                                                                                                                                                                  Cette hygiène de vie est-elle vraiment ­nécessaire à votre activité créatrice ?                                                                                                                                        Le matin, j’écris très tôt, avant que la vie ne s’éveille autour de moi. Je pense que le travail d’un écrivain, c’est d’aller au fond de sa ­conscience. C’est donc un travail solitaire et qui demande beaucoup de concentration. S’il y a du bruit autour de moi, je n’y parviens pas. Certains auteurs, comme Hemingway, sont stimulés par les événements extérieurs – la guerre, une corrida, une partie de chasse… En ce qui me concerne, c’est le contraire.                                                                                                                                                                          Dans votre dernier livre traduit, « Le Meurtre du Commandeur » (Belfond, 2018), ce parcours que l’on fait pour aller chercher l’inspiration au fond de soi est mis en scène et métaphorisé. Ce roman constitue-t-il une réflexion sur la ­création artistique ?                                                                                                                                                                                                                                      Lorsqu’on descend au fond de sa conscience, il y a des choses que l’on voit, des bruits que l’on entend, et c’est tout ce matériel qu’on rassemble pour le remonter à la surface. Une fois que l’on dispose de ces éléments, il suffit de les agencer. Moi-même je ne sais pas comment se fait ce travail, c’est mystérieux. Si on écrit dans la logique, ce n’est plus une histoire qu’on raconte, mais une suite d’affirmations. Une histoire est belle parce qu’elle n’est pas explicable.��                                                                                                                                   Dans la littérature japonaise, il existe, de longue date, une veine personnelle, qui exprime des sentiments très intimes. Mon œuvre, au contraire, s’inscrit vraiment du côté de l’imagination, elle n’en est que le développement. D’ailleurs, au début, mes romans n’étaient pas très appréciés, car ils paraissaient trop différents de ce qu’on avait connu jusque-là au Japon.                                                                                                                                        Lorsque je vais au fond de ma conscience, que je rassemble les éléments que j’y ai trouvés pour raconter une histoire, et que, en ­lisant mon livre, vous vous sentez en empathie, il y a fort à parier qu’il y a des émotions communes entre nous deux, au fond de nos deux consciences. Et c’est l’émergence de ce lien-là, entre l’auteur et le lecteur, qui ­m’intéresse.                                                                                                                                                                                      Ne cherchez-vous pas à comprendre le mystère de la création ?                                                                                                                                                        Non, je n’ai pas le désir d’en savoir davantage sur le processus. C’est le récit qui doit me comprendre et pas moi qui dois comprendre le récit. Je n’ai d’intérêt particulier ni pour la psychologie ni pour la psychanalyse. Même s’il est vrai que les psychanalystes ont l’air de bien apprécier mon œuvre. Ils m’invitent souvent à des colloques… mais je n’y vais jamais ! Je n’aime pas expliquer les choses, je ne suis pas très doué pour cela, alors je m’arrange pour vivre sans devoir expliquer. Mon travail consiste à proposer des textes, pas à trouver leur sens.                                                                                                                                           Ma théorie, c’est seulement qu’il y a de l’art lorsque, en allant au plus profond de sa conscience, on trouve un lien avec les lecteurs, et que se crée une relation plus fondamentale, plus vive aussi. Lorsque l’on parle de compassion ou d’empathie, mais que cela reste, disons, au-dessus de la terre, ce n’est pas de l’art : c’est superficiel.                                                                                                                                                                                                                      Vous aimez échanger avec d’autres ­artistes, comme vous l’avez fait pour « De la musique » (Belfond, 2018), où vous ­dialoguez avec le chef ­d’orchestre Seiji Ozawa. Qu’est-ce qui vous intéresse dans ce dialogue avec d’autres créateurs ?                                                                                                                                                                                                                                                              En fait, là, vous évoquez le cas précis de la musique. Je n’ai pas de plaisir à échanger avec tous les créateurs. Seiji Ozawa est un ami. Mais quand nous nous voyons, nous ne parlons pas de musique. C’est pourquoi je me suis dit que, pour connaître ses idées sur le sujet, il fallait que j’en fasse un travail. Il a fallu que j’écoute beaucoup de musique avant de commencer les entretiens avec lui. Je savais que si je n’avais pas des avis très tranchés, il n’y aurait pas tellement d’échanges.                                                                                                                                                                                                                            Je le répète, la musique est vraiment centrale pour moi – le jazz comme le rock ou le classique. D’ailleurs, depuis quelque temps, je fais le disc-jockey sur une radio FM, au Japon, et cela me plaît beaucoup. Comme je suis très occupé, ça n’est possible qu’une fois tous les deux mois environ, mais nous avons déjà fait quatre émissions.                                                                                                                                                                                                                              Passez-vous tout type de musique ?                                                                                                                                                                                                    Surtout du rock, un peu de jazz également. J’apporte les CD que j’ai chez moi, ou mes disques vinyle. Je passe ce que je veux, et je dis ce que je veux. Jusqu’à une époque récente, je m’étais dit que je me consacrerais uniquement à l’écriture. Mais depuis peu, depuis que j’ai 70 ans [Haruki Murakami les a fêtés en janvier], je me rends compte que c’est peut-être un bel âge pour essayer de nou­velles choses.                                                                                                                                                                                                                J’ai compris qu’il ne faut pas trop se formaliser, ni être trop rigide, et que je peux m’essayer à ce qui me fait envie sans que cela nuise à l’écriture. C’est mon épouse qui m’a dit que disc-jockey, ça m’irait très bien. Alors, j’y suis allé.                                                                                                                                Avez-vous d’autres envies comme ­celle-ci ?                                                                                                                                                                                       Je n’ai pas d’idées précises, mais si des occasions se présentent… Une chose m’embête un peu, c’est que, avant, c’était la jeunesse qui aimait mes livres, et j’avais l’impression de n’être un auteur « culte » que pour les jeunes. Je m’aperçois que, petit à petit, je deviens moi-même un auteur grand public, consensuel, et certains disent que je suis un personnage important. Cela me gêne parce que c’est compliqué pour moi et que, en réalité, j’aime les choses simples. C’est l’une des raisons pour les­quelles cela peut être intéressant de tenter de nouvelles aventures. Mais encore faut-il les trouver.                                                                                                                                                                J’aime par exemple cuisiner, mais il n’y a pas là de défi particulier pour moi. Et j’aime également beaucoup traduire. Quand je n’écris pas mes propres œuvres, je traduis celle des autres [Murakami a traduit en japonais Raymond Carver, Francis Scott Fitzgerald, John Irving, Ursula Le Guin, J. D. Salinger], et quand je ne traduis pas, j’écris. Et quelquefois je fais le disc-jockey. Et quelquefois fois je cours aussi ! Peut-être que je suis workaholic !                                                                                                                                                                          Continuez-vous à beaucoup voyager ?                                                                                                                                                                                                Je voyage pas mal mais, aujourd’hui, je suis vraiment basé au Japon. J’ai vécu dans divers endroits, jeune, et, maintenant que je le suis moins, je souhaite vivre davantage dans mon pays. D’autant que ma mère est toujours là, j’en profite pour aller la voir. Et je ne veux pas trop m’éloigner de ma grande collection de disques !                                                                                                                                                                                                                           Il se trouve que j’ai écrit plusieurs de mes ­livres à l’étranger. J’ai écrit La Ballade de l’impossible [1987 ; Belfond, 2007] en Grèce et en Italie, Chroniques de l’oiseau à ressort [1994-1995 ; Belfond, 2001] à Princeton, aux Etats-Unis. J’ai besoin de concentration pour écrire, et je suis davantage concentré quand je suis à l’étranger. En tant que romancier, ce qui est formidable, c’est qu’en me concentrant, j’arrive à être un autre, je deviens un autre. Pendant un an et demi, j’ai écrit Kafka sur le rivage, et pendant cette période, j’étais devenu un jeune garçon de 15 ans, comme le protagoniste. Je ressentais le vent comme un enfant de 15 ans peut le ressentir, et je voyais le monde comme un enfant de 15 ans peut le voir.                                                                                                                                                                                                                                Pourquoi vous exprimez-vous si peu, ­notamment sur les questions politiques ou de société ?                                                                                                                                                                                                                                      Je suis romancier, mon travail est de ­proposer des histoires, pas de produire des commentaires. Mais il m’arrive de donner mon avis. Je m’exprime en tant que citoyen quand j’en ai l’occasion, comme je l’ai fait à Barcelone sur les enjeux écologiques, mais pas en tant que romancier.[En 2011, recevant le prix de Catalogne trois mois après l’accident de Fukushima, Haruki Murakami a dénoncé dans son discours le recours à l’énergie ­nucléaire.]                                                                                                                                                                Si je fais trop de déclarations, cela va nuire à mon travail de romancier. Il faut donc trouver un équilibre. L’un des problèmes les plus importants aujourd’hui, c’est celui du populisme, et de la montée de l’extrême droite. Je pense qu’il va falloir que je donne mon avis dessus. Mais si j’ai quelque chose à en dire, je veux le faire en prenant le temps de peser mes mots.                                                                                                                                                               Repères                                                                                                                                                                                                                                              1949 Naissance d’Haraki Murakami à Kyoto                                                                                                                                                                                      1974 Ouverture du Peter Cat, un bar de jazz à Tokyo                                                                                                                                                                        1978 Murakami décide de devenir romancier, lors d’un match de base-ball                                                                                                                                        1979 Parution de son premier roman, Ecoute le chant du vent, prix Gunzo (Belfond, 2016)1986 Il s’expatrie en Europe, puis aux Etats-Unis où il enseigne la littérature japonaise                                                                                                                                                                                                                              1987 La Ballade de l’impossible (Belfond, 2007), premier immense succès                                                                                                                                        1995 Après le séisme de Kobe et l’attaque au gaz sarin du métro de Tokyo, Murakami retourne au Japon, où il signe le recueil de nouvelles Après le tremblement de terre (10/18, 2011)                                                                                                                                                                                                      1996 Il court son premier ultramarathon (100 km)                                                                                                                                                                                1997 Underground (Belfond, 2013), reconstitution de l’attaque au gaz sarin du métro de Tokyo par la secte Aum. Murakami y retrouve certains terroristes et les interroge en essayant de comprendre les origines de la violence et les raisons pour lesquelles le Japon a été touché                                                                                                                                                                                                  2003 Kafka sur le rivage (Belfond, 2006), prix Franz Kafka 2006. Histoire fantastique d’un garçon de 15 ans qui quitte le foyer familial et accomplit son destin œdipien. Variation, au sens musical, sur la tragédie de Sophocle, le roman mêle réflexions sur la musique, sur la sexualité, sur la guerre… et sur les chats                                                                                                                                                                                                                                                        2007 Autoportrait de l’auteur en coureur de fond (Belfond, 2009)                                                                                                                                                      2009-2010 Parution des trois tomes de 1Q84 (Belfond, 2011-2012). La trilogie fantastique dont le titre est une allusion au 1984, de George Orwell, a été écrite en trois ans et compte 1 500 pages. Son succès consacre l’œuvre de Murakami                                                                                                                                                                                                                                              2017 Dans Le Meurtre du Commandeur (Belfond, 2018), Murakami met en scène un peintre en mal d’inspiration, qui s’installe chez un artiste célèbre après s’être séparé de sa femme. Les expériences fantastiques qu’il y vit lui font traverser des épreuves initiatiques, et renouvellent ses capacités créatrices                                                                                                                                      Lire aussi ce portrait littéraire de 2014 : Murakami origami
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lecameleontv · 4 years
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L’acteur belge Patrick Bauchau (1938) a été révélé grâce à la Nouvelle Vague française des années 60′, dont la réputation lui a permis une carrière européenne et internationale.
Où voir l’acteur Patrick Bauchau cette semaine à la TV française ?
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L’acteur a fait ses études à Oxford et pendant ses études de philologie, joue son 1er rôle en dilettante dans le film d’auteur  La Collectionneuse. Il a ensuite tourné avec les plus grands réalisateurs, Eric Rhomer, Wim Wenders, Andrzej Zulawski ..., aux côtés de têtes d’affiche les plus connues de l’époque : Nathalie Baye, Johnny Hallyday, Valerie Kaprisky, Lambert Wilson  ... Il a également joué dans de nombreuses langues, qu’il maîtrise (italien, portugais, espagnol, anglais, français...) et a pu tester tous les styles de film : auteur, horreur, populaire, érotique...
En hommage à son père, Henri Bauchau, thérapeute et écrivain célèbre en Belgique, membre de l’Académie royale de Belgique, commandeur de l’Ordre des Arts et Lettres, chevalier de la Légion d’Honneur et officier de l’Ordre de la Couronne de Belgique, l’acteur interprète souvent des médecins dans ses films. En Belgique, un prix littéraire et un fonds portent son nom. Ce dernier a également vécu longtemps à Louveciennes (Yvelines, France) là où le grand-père des soeurs Bardot avec un chalet. En réalité l’ancien pavillon de la Norvège de l’Exposition Universelle de 1901 déplacé à Louveciennes.
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Il a présenté le metteur en scène et réalisateur allemand Douglas Sirk, dont il aime beaucoup les films, à Jon Halliday.   
En 1984 il participe au 37ème Festival du film de Cannes (France) où son film Choose Me est présenté.  
Son 1er projet américain s’est fait avec l’épisode de la série Columbo - Portrait d’un Assassin, dont le tournage a duré 24 jours.
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Pour la série Le Caméléon (V.O. : The Pretender), l’acteur n’a besoin que de tourner 2 jours par semaine, ce qui lui laisse le temps de jardiner, une autre de ses passions. De son expérience sur la série Le Caméléon, il a conservé une amitié très forte avec l’acteur Jon Gries, qui ont plusieurs films en commun. A noter également que l’acteur avait déjà croisé brièvement l’acteur Richard Marcus en 1993 sur le film Les Soldats de l’Espérance, et a fait des clins d’oeil dans les projets post-Caméléon de certains de ses anciens camarades : Agence Matrix, Burn Notice...
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Sur un plan personnel, il a épousé en 1962 Marie Jeanne Bardot, dite Mijanou, la soeur de Brigitte Bardot, également actrice lorsqu’elle était jeune et qui se sont retrouvés sur le film La Collectionneuse. Pour en savoir plus sur les jeunes années des soeurs Bardot : série TV Bardot (France 2).
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Ensemble, ils ont eu une fille : Camille.
Après les événements de 1968, l’acteur fait une pause et se consacre à d’autres passions. Il devient ainsi charpentier-menuisier pendant que sa femme ouvre une entreprise de décoration d’intérieur : “Gain de place”.
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Dans les années 70, ils quittent la France pour les Etats-Unis et créent une entreprise de meuble, aujourd’hui réputée, Espace Loggia. Mijanou Bardot change définitivement et complètement de carrière, Patrick Bauchau la reprendra tout en consacrant du temps à ses multiples autres passions, dont le travail du bois. Régulièrement, il alterne les tournages américains et européens, et conserve une maison familiale à Louveciennes, en Ile-de-France, qui est l’ancien Pavillon de la Finlande de l’Exposition Universelle de 1889. Lorsqu’ils résident à Hollywood ou à Los Angeles, ce sont 2 amis peintres qui y résident.
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Alias Dr Sydney  dans la série Le Caméléon. Alias le Professeur Ernst Lodz dans La Caravane de l’Etrange avec Jon Gries  Alias le Général de Lestrade dans Mystère Alias ... dans Kindred : Le Clan des Maudits Alias André Valeur dans Mont-Royal
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Actualités 2023 : - projection spéciale du film Choose Me (1984) - The Knife Thrower avec Jon Gries
Sa Filmographie [extrait] :  2020 :  Desperado 2019 : -  Les Traducteurs - Transfert  2015 : - La Reine Garçon - Moi et Kaminski - Every Thing Will Be Fine 2013 - Méga araignée 2012 - Kill The Gringo 2011 - Burn Notice (Ep. 5.09) avec Jeffrey Donovan ! 2010 - Mesures Exceptionnelles 2009 : - Le parfum du succès avec Jon Gries - 2012 - Numb3rs (Ep. 5.14) 2007 - The Gray Man 2006 : - Perverse Karla - Boy Culture 2005 : - Alias (Ep. 5.05 et 5.09) - Dead Zone (Ep. 4.04) - Dr House (Ep. 1.13) 2004 : - Les Experts Manhattan (Ep. 1.06) - Ray 2002 : - Panic Room - La Secrétaire 2001 - Jackpot avec Jon Gries 2000 - The Cell 1999 - Les frères Falls avec Jon Gries 1996 - Enfands de salaud 1994 - Lisbon Story 1993 : - Havanera 1820 - Les Soldats de l’Espérance avec Richard Marcus 1992 - Arabesque (Ep. 8.14) 1991 : - Lo Mas Natural - The Rapture 1989 : - La Révolution Française (non crédité, scène supplémentaire) - Columbo - Portrait d’un Assassin (Ep. 9.01) 1988 - Le Maître de Musique 1987 : - Balada da Praia dos Càes - Cross - Accroche-coeur 1986 : - Conseil de Famille (non crédité) - Lola 1985 : - James Bond, Dangereusement Vôtre - Phenomena 1984 : - La femme publique - Choose Me 1983 - Coup de Foudre 1982 - L’Etat des Choses 1967 - La Collectionneuse avec Mijanou Barjot, sa femme. 1965 - Paris vu par ... (Producteur associé) 1963 - La carrière de Suzanne
sources : imdb et cnc.fr source photo : gettyimages.fr
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furiefrancaise · 5 years
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🇫🇷𝓙𝓾𝓵𝓮𝓼 𝓑𝓻𝓾𝓷𝓮𝓽, 𝓵𝓮 𝓭𝓮𝓻𝓷𝓲𝓮𝓻 𝓼𝓪𝓶𝓸𝓾𝓻𝓪𝓲̈🇯🇵
Peu de gens savent que le dernier samouraï n’était autre qu’un français, Jules Brunet, dont l’histoire a notamment inspiré le film “Le Dernier Samouraï” sorti en 2003 avec pour acteur principal Tom Cruise.
Jules Brunet était un polytechnicien spécialisé en artillerie, qui servira en premier lieu dans l’expédition française au Mexique (1861-1867). Il reçoit alors la Légion d’honneur en reconnaissance de ses capacités militaires, et est rapidement promu dans la garde impériale. En Novembre 1866, il est choisi pour faire parti d’une mission envoyée au Japon sous les ordres de Jules Chanoine, ayant pour but de former l’armée du Shogun Yoshinobu Tokugawa.
Yoshinobu Tokugawa souhaite moderniser le Japon, il estime que le retard de la nation est important. Mais il doit faire face à des rebellions, les Japonais jugeant que les accords passés en règle générale avec les puissances occidentales sont inégaux et favorisent l’occident. La France soutient le Shogun face à ces révoltes, aide le Japon à s’industrialiser, et fait face à la communauté internationale en faveur du Japon, qui suite à l’attaque de certains comptoirs occidentaux est en mauvaise position diplomatique. C’est dans ce contexte que Jules Brunet participe à la formation de l’armée du Shogun à partir de Janvier 1866 et acquiert rapidement le respect des Japonais. Il a l’esprit vif, est très respectueux et admiratif de la culture Nippone, et a un grand intérêt pour l’art et l’écriture (il est réputé très bon dessinateur et écrivain).
En Novembre Yoshinobu Tokugawa abandonne le Shogunat, et le jeune empereur Meiji prend la succession (connu en occident sous le nom de Mutsuhito), après plus de 600 ans de Shogunat (gouvernement militaire) sans empereur, car Yoshinobu Tokugawa souhaite la mise en place d’un conseil composé des différents daimyos (seigneurs locaux).
Mais le 3 Janvier 1868, les impérialistes prennent le pouvoir et rétablissent le fonctionnement monarchique, heureux du retour de l’empereur, ne souhaitant pas que celui-ci soit influencé, et ne voulant pas de Yoshinobu comme président du conseil. Les rebelles réalisent un faux arrêté impérial les autorisant à user de la force face à Yoshinobu Tokugawa et le destituent de ses terres et possessions en prenant garde à ce qu’aucun sympathisant ne puisse s’interposer. Les samouraïs de Tokugawa le prient de prendre les armes, c’est le début de la guerre de Boshin.
 Malgré la supériorité numérique des armées du Shogun, l’armée impériale disperse les forces de Tokugawa Yoshinobu grâce à leurs importantes avancées en armement moderne. Léon Roches, ambassadeur français, souhaite une revanche de Yoshinobu dont les hommes sont toujours formés par la mission française, mais ce dernier refuse et capitule le 27 Avril à Edo lorsqu’il constate que les rebelles se battent tous avec des bannières de l’empereur. La France a alors un devoir de neutralité face à ces événements, la mission Chanoine est terminée et les Français sont priés de quitter le territoire.
Mais Brunet refuse, son honneur lui dicte de rester fidèle aux samouraïs qu’il a formé, au Shogun et à leur souhaits pour l’avenir du Japon. La France ne soutient pas officiellement cette décision, et décide de donner à Brunet un congé sans solde d’un an, durant lequel il n’est plus qu’un simple étranger. Il est cependant soutenu, par Roches qui continue de défendre la bonne volonté de Yoshinobu auprès de l’empereur, et par huit officiers français qui viendront rejoindre Brunet au Japon. Grâce à l’artillerie, l’empire contrôle à présent toute l’île principale du Japon (Honshu) et le Shogun se retire et prend avec Brunet le contrôle de l’île de Hokkaido en créant la république d’Ezo sous la direction de Takeaki Enamoto, Tokugawa Yoshinobu s’étant retiré.
Brunet continue l’instruction de l’armée du Shogun, et organise avec Roches la défense de l’île qui est prise d’assaut le 30 juin 1868. Mais l’armée du Shogun est à présent composée de plus de trois fois moins de soldats. La résistance est héroïque, mais Brunet et les hommes du Shogun sont battus en mai 1869, avec lors du dernier combat 800 hommes face à 10000 impériaux. Les officiers français sont rapatriés. Brunet est alors suspendu pour ingérence dans les affaires d’un pays étranger, mais la torture étant courante au Japon à l’époque, la France refuse néanmoins de le rendre aux autorités Japonaises. Certains penseront que Brunet a été définitivement révoqué, en réalité la France lui demandera d’être discret et ses actes ne seront pas réellement condamnés au delà de l’apparente sanction validée par Napoléon III. Alors que le Japon s’estime satisfait de la sanction, Brunet est discrètement placé directeur adjoint d’une manufacture d’armes. Après quelques années, Brunet poursuivra ses actions militaires en tant que capitaine du 8ème régiment d’artillerie lors de la guerre franco-allemande, deviendra officier de la légion d’honneur, et poursuivra un cursus militaire des plus honorables en devenant commandeur de la légion d’honneur et en finissant sa carrière en tant que général.
En 1895, le Japon honorera Brunet en se souvenant de lui en tant que samouraï qui aura fait face à la modernisation de la nouvelle armée impériale, et lui donnera le grade de grand officier du Trésor sacré du Mikado.
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haitilegends · 5 years
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🎥 "CROISONS LE HUIT DANS UNE CONTREDANSE (HAÏTI , 1957)"
https://youtu.be/NhYB1_0Oft8
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#Resources
#Notes
CONTRE DANSE
FRÉMEAUX & ASSOCIÉS ÉDITEUR , La Librairie Sonore
<< Haïti partage l’île d’Hispaniola avec la République Dominicaine. Comme le merengue de Saint-Domingue, la meringue haïtienne plonge ses racines dans les musiques de chambre sur lesquelles les colons européens dansaient. Ces contre danses (danza en espagnol) étaient jouées à la cour des souverains européens aux XVIIIe et XIXe siècle. Elles étaient dansées en vis à vis, et certaines en carré par des partenaires se faisant face : on parlait alors de quadrille ou lanciers (les « lanciers » étaient un clin d’œil à la tradition ancienne des tournois). Différents rythmes et styles européens étaient ainsi prisés par les aristocrates et l’élite blanche coloniale, la bourgeoisie créole. Carnaval commence par exemple par la mélodie de « Au Clair de la lune », une chanson populaire vers 1780. Les mélodies et danses des Blancs étaient demandées par les planteurs. Les musiciens européens étaient rares aux colonies et les esclaves de maison ont été formés à les interpréter. Jouer de la musique représentait pour eux un privilège, un vent de liberté. Partout, les descendants d’Africains ont interprété ces musiques créées pour des danses guindées et codifiées. Ils y ont vite apporté leur balancement afro-créole, incitant à des danses plus libres. Des percussionnistes chevronnés nourris par les tambours vodou et leurs rythmes sophistiqués ont joué un rôle déterminant en donnant aux musiques européennes de jadis une dimension bien plus entraînante. Le rythme rabòdaye haïtien utilisé par les groupes rara (appelé en espagnol le cinquillo, ou clave dans la musique son cubaine et « rhythme Bo Diddley » aux États-Unis5) se retrouve par exemple dans nombre de musiques caribéennes, dont le mento jamaïcain6, la biguine martiniquaise7 et le konpa haïtien. Les planteurs haïtiens en fuite après la révolution ont contribué à l’exporter à Cuba et à la Nouvelle-Orléans : il est probable qu’il se soit disséminé à partir de Haïti. Certains Dominicains, dont Luis Alberti lui-même, réfutaient néanmoins que ce rythme essentiel ait pu avoir une origine noire, préférant y voir une racine espagnole — un regard dominicain caractéristiquement raciste. Quoi qu’il en soit, on retrouve ces musiques européennes créolisées dans toutes les Caraïbes : quadrille en Jamaïque ou Guadeloupe8, schottische ou java9 en Louisiane, mazurka ou valse en Martinique10, danzon ou paseo à Saint-Domingue et danza à Cuba — en français contre danse.
Contre Danse N°4 de Nemours Jean-Baptiste (ouverture du disque 1) est un exemple parlant de contre danse. Le style et la mélodie française y sont préservés, mais sur une.... >>
LIRE LA SUITE :
https://www.fremeaux.com/index.php?option=com_virtuemart&page=shop.livrets&content_id=8354&product_id=1672&category_id=128
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LES QUADRILLES DE LA CARAÏBE
4 b. LE QUADRILLE AUJOURD'HUI : HAÏTI
par Dr Dominique Cyrille
<< La mode du quadrille n'a pas touché tous les pays de la Caraïbe de façon uniforme. Haïti offre à ce propos un exemple particulier. Les contredanses y sont arrivées bien avant la Révolution française de 1789 et sont donc demeurées des danses séparées, comme le sont la valse et la biguine. Le quadrille français n'a pas pu s'imposer en Haïti à cause de l'état d'insurrection prolongée et de la guerre contre une majorité de pays européens qui a occupé toute la première moitié du 19ème siècle. Aujourd'hui c'est donc la contredanse française qui se danse encore sous la tonnelle, en marge de cérémonies liées à la religion vodou pendant la semaine sainte, ou comme à Jacmel, la semaine qui précède le carnaval. Quand elle est exécutée en marge d'une cérémonie religieuse vodou, la contredanse est une affaire relativement sérieuse qui exige une certaine retenue dans le maintien. Au milieu du 20ème siècle, la contredanse haïtienne a été intégrée au répertoire des danses de spectacle. Enseignée dans les écoles de danse comme par exemple celle de Viviane Gauthier, cette contredanse se distingue de la forme traditionnelle par les gestes et attitudes des danseurs.
Comme toutes les contredanses à la française, la contredanse haïtienne est exécutée par huit danseurs (quatre couples) disposés sur les bords d'un carré et tournés vers son centre. Qu'elle soit de scène ou
......>> LIRE LA SUITE
http://www.lameca.org/publications-numeriques/dossiers-et-articles/les-quadrilles-de-la-caraibe/4-b-le-quadrille-aujourdhui-haiti/
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*INVENTAIRE DU PATRIMOINE IMMATÉRIEL D'HAÏTI - ipimh.org
INTÉRÊT PATRIMONIAL
<<La contredanse, culture vivante, n‘existe que dans deux sections de la commune de Limonade: Bois de Lance et Pistère. Les danseurs de Bois de Lance transmettent cette danse depuis plusieurs générations et leur pratique est reconnue dans la région. Cette danse participe activement à l'identité et à la cohésion de la communauté. Métissée, elle est devenue une « danse de résistance », soit une sorte de contre - culture des esclaves haïtiens qui s'appropriaient des éléments de la culture européenne et qui reprenaient ainsi possession de leurs corps et de leurs vies.
DESCRIPTION DE LA PRATIQUE CULTURELLE
La contredanse est une succession de danses. On y retrouve les contredanses créolisées et les menuets kongos. Ces danses sont surtout accompagnées de tambours, corde de type Bantoue, tambourins, caisse ainsi que de la flûte comme instrument aérien créant la mélodie. Il y a un commandeur qui guide les figures en alternant les formes récurrentes et les improvisations. La langue utilisée est un jargon composé de français et de créole.
Cette danse métisse est devenue une « danse de résistance », ce qui fait de la musique du monde rural haïtien une sorte de contre-culture. D’aucuns pensent que la contredanse reproduit un combat amoureux avec les avances et les reculs, la séparation et la réunion. Quatre couples exécutent les figures principales comme : croisez les huit (kwaze lewit), où ils échangent leur place et se déplacent en faisant des entrechats >>.... LIRE LA SUITE
http://www.ipimh.org/fiche-contredanse-bois-lance-29.html
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🎥 Video #2 Contredanse en Haiti"
https://youtu.be/VW0yRMc2Ljg
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🎥 Video #3 (2014)
Watch "Men Bon Kwaze le 8" on YouTube
https://youtu.be/uBBeJIYzxYM
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Le Nouvelliste - Croisons le huit avec Zatrap
https://lenouvelliste.com/article/88054/croisons-le-huit-avec-zatrap
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🎥 "Kwaze le 8 (kontredans) -ZATRAP" on YouTube
https://youtu.be/KXtknqXmNPw
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CROISONS LE HUIT DANS UNE CONTREDANSE
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HAÏTI INTER
https://www.haitiinter.com/
#Video post contributor: Weber Toussaint👇🏽
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princevulgar · 5 years
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La Pucelle Du Diable
I’ve never uploaded anything on here, and I figured I’d put up a writing assignment I did for a final project in college that I’m actually really proud of. I’m still debating on whether or not continuing it since I feel like I already had the entire plot figured out, but obviously had to cut it way down for my project. Hope you few who read it enjoy it as much as I did writing it. This is a historical piece with a twist of fiction 
How does one do good in this world when it is so full of chaos? How does one do good when it could all be for nothing? How does one carry such a heavy responsibility? A burden…it is questions such as these that fill the empty cavern that has now become my mind. A place that no longer feels like my own. No. Not anymore. I lost that long ago. 
Such a distant memory now. I hardly remember how the warm sun shone down upon me, kissing my skin ever so gently with its warm embrace. How the cool breeze of the winds would dance across our open fields, nourishing our land with seeds, so that we would receive a beautiful and healthy harvest; a gift from our Lord in the sky. But that all came to an end. The very image shattering to pieces before me like an old withered mirror.
I could see myself in those pieces of a faded memory. Pure, yet broken. But it was not just I, within those shards of glass. Something else breathed within them, something that moved through my eyes until it engulfed my green irises like the fires I’ve seen, oh so, many times taking the lives of my people and the lands they’ve walked upon. I stared back at my broken reflection long and hard, unmoving and afraid no more, for those now black and hellish eyes were no longer mine, but his. Abigor.
~ ~ ~
“-anduer. Commandeur?” My head turned at that strange title, my attention drawn away from the view of an old crushed field. The grass was no longer green, but instead beaten to mud and muck by the steps of my soldiers. As I looked over, I saw a man, or perhaps a boy even from his age, with a plate of food in his hands. Though he looked young, the scars and wear across his face had aged him.  Dirt covered him from head to toe, his armor denied of the sun’s rays due to the mud that was smeared across it.
I smiled at him, reaching up to flick off a few pebbles of dirt that had nestled within his brown hair, “Please, do not give me a title for which I have not earned. My name is, Jeanne. As for you, you are?”
For a moment he looked flustered, not expecting that type of response at all, “Claude, Comm-“ he paused for a moment, “Jeanne. My name is, Claude.”
I smiled again, then looked at the small wooden plate he held. On it was a small bread bun with a block of cheese sitting right next to it.
Noticing my gaze, he quickly held it out to me, “Please, eat.” I looked him over once more before gingerly taking the plate into my own hands, thanking him. With a single smile, he turned and left, returning back to his group of friends. A group lost amongst the many other groups of soldiers that sat idly nearby. I took a bite of the bread I was given, suddenly feeling a wave of nostalgia course through the entirety of my small body. Even if it tasted stale, a part of me was taken back to my home in Domremy. Back to the farm lands in which I grew up in. 
“Finally eating now, eh?” The memories instantly faded as a voice sliced right through them.
An older man, who looked much more aged than Claude, and with darker hair, stood before me. He smiled down towards me, through his salt and pepper features, though it looked more forced than it should’ve been. “It’d do us no good if the maid died from starving herself before she even set foot on the battlefield.” He mocked with a hard laugh.
I stared up at him, unbothered by his snark comment. I was used to it by now. John the Bastard they called him. The Count of Dunois, and the last defender of the city, Orleans. He made the rules around here, and I was to take orders from him. Although, I just met him, it was clear that he wanted nothing to do with me. “I was merely waiting for my share. I had no intentions of refusing any type of sustenance.”
What I had said clearly offended him, although I’m not sure how. The smile he had forced quickly turned into a scowl, “My god, woman. Call it for what it is! Food! Not this sustenance shit!” he nearly spat before pinching the bridge of his nose, “I swear, sometimes you don’t even sound human.”
I grew puzzled by that last statement, but I quickly pushed it aside before hardening my gaze towards him, “I ask you refrain from such obscene language, John. I honestly wonder why you resort to such ill words.”
He laughed again, this time through his hand before letting it drop to his side, “And I wonder why you still insist on dressing as a man. Guess we’ll never know.” With that he left, back to his tent I assumed. A hand unconsciously reached up to touch the few blonde strands of hair that hung over my face. I had tied my golden locks into a tight bun with the exception of a few that refused to stay up. My hand fell to my chest which wore a light piece of leather that waited for the smooth and shining armor that went over it.
 As he walked away and disappeared into his tent, his words stuck with me like an arrow to my chest. Heavy, and painful. What did he mean by not sounding human? I am human! My body trembled at the emotions that spiraled out of control within me, then before I knew it, I had stormed off. The small plate of food left behind in my place.
It was a small clearing, but it was far enough from eyes that would grow suspicious. I knelt down, my knees instantly sinking into the small soft patch of grass beneath me. I clasped my hands together and bowed my head letting my lids fall closed. Though I have wandered far off, away from all the soldiers, away from John, if any had followed, all they would see would be a small girl praying to her lord.
As soon as my eyes had shut, I breathed out a calm breath. I felt something inside me shift and leave. My eyes opened, and I could see the clearing around me again. The thin trees that looked like they would fall at any second, the ground that was turned over, no longer a beautiful blanket of green. My eyes then fell upon myself, kneeling perfectly still on the ground. I wonder, was I always so small?
“You called for me?”
My ‘body’ immediately whipped around to the sound of a soothing, yet haunting voice. Not far off stood a man. From where I was, he looked like a shadow, a very tall looming shadow whose entire body looked to be covered in a cloak like the color of the night sky. A starless one.  His hair was also as black as night and I still did not know where it ended. All I could see and pull apart from his body was his face, which looked as pale as a corpse, and two curved objects protruding from his head that looked they were nearly able to touch. When I first saw it, I thought they looked similar to a halo, but his had been broken in two. They were a set of horns, as I’ve come to admit.
Once again, my gaze was stern as I stared into his own black eyes, refusing to show any fear. The only color I could see in them was the gold irises that glowed and burned into my own. I took in another breath, then opened my mouth, “Yes,” my lips shut as I struggled to find words, “Human…I am still human. Right, Abigor?”
Abigor. My saint, my angel. So I have said when asked about my visions, or the voices I’ve heard. I would’ve been executed immediately for following a child of Satan, for heresy, and this would’ve all been over much sooner. But I couldn’t do that. Abigor told me so. It was not my time as of yet, and if I did not follow through with this prophecy he spoke of, the future of my people and my family would be grim. I was the only one who could fulfill his mission. He would help me, but in return, I would have to give up something of my own. Something precious.  
In the blink of an eye, the shadow of a man was suddenly right in front of me. My vision obscured for a second from his dark body towering over my own. As I looked up, I felt a chill run down my spine. He was smiling, but it was anything but friendly. I felt something cold touch my cheek and as I turned my attention towards it, I saw a large, black, clawed hand. I’ve come to realize that this man, this monster, did not have human appendages. His hands were not frail like a humans’, nor did they have fingers like one. They just looked like long and sharp charred claws. A beast from hell. I did not want to think of what the rest of his body looked like. I hushed that curiosity long ago. “What makes you ask such a question my little maiden?”
The large claw moved to caress my skin, and I let it, unphased by this demon’s touch no longer. “I may appear human, but are my actions still such?” Like a lost child, I looked to my mother for answers, only that this thing was not my mother, nor my father, not my brother, my sister, not my anything.
I knew he could read me. Read my mind and body like an open book. His smile had cracked, “Are you concerned with what you had said to the Bastard?”
I nodded, gently pushing aside the claw which longed to tear into my skin. “Yes. I- for a moment, I sounded like-“
“Me.” He quickly interjected, his smile unwavered. 
I nodded once more, my heart throbbing from his answer. “Sustenance…that’s what you called me.”
Abigor chuckled, his body moving away from mine. I watched him move, almost glide to where my actual body knelt. Ironically enough, I had found out through prayer was the only way I could speak with Abigor face-to-face. My soul, as he had put, would leave my shell of a body during these times. I had done this many times as a child. During prayer, I would hear a voice and would follow it, but never did I know that I was leaving my body. I always thought it was a dream. An innocent dream. So, when I saw my body I would ‘wake up’ and would be back within it.
“That was long ago my little maiden. That word holds no meaning to me anymore.” Again, his clawed hand moved, shifting the cloak around his body as if he were cutting through smoke. The hand came to lay atop of my kneeling body’s head. “You are something far more important.” He retracted his hand, the appendage disappearing completely when it returned to his side, “Although, if you’d like, I could get rid of those for you.”
For a moment, my body froze, and a lump formed in my throat. It felt like it took all my strength, but I managed to take a step back. My eyes locked with his. I knew what he meant, and I hated the very idea of it.
“Yes. That.”
I shook my head, “No. If anything, my emotions are what makes me human. I will not let you have that. Not while I still walk on this earthly soil.” I released a shaky breath, one I didn’t know I was holding, “Please. Let me be selfish this once and ask you to leave my emotions be…please.” Before I knew it, my cheeks were warm and wet. Tears? When had I started crying? “You have my word on following through with this prophecy of yours…and you have my soul, but please, leave my emotions be.”
I blinked, the tears falling endlessly, and in that moment Abigor was at my side yet again, only this time I was in his arms. As cold as they were, and as empty as he felt, it was the first time where I was being comforted. I let those long dark claws embrace my small body for however long he wished.
I could hear his voice above me when he spoke, and I could feel the emptiness in his words, “But of course, my little maiden. I will grant you this wish of yours.” He pulled away, and I was left alone once more. A part of me wanted to stay in his arms, keep that comfort, however empty it was, and the other part of me wanted to run as far away as I could from him. I did not know how to feel around this demon anymore.
“Oh, my dear child. You make it sound as if all your actions, all your promises are going to be in vain. Did you forget just how many lives you are going to spare? How much you are going to help your people accomplish?” he smiled, almost tauntingly, “The future you will secure for your grandchildren-“ I looked away at the last part.  “Oh apologies, I meant your nieces and nephews.” 
I had taken a vow of chastity when I had gone back home from the garrison in Vancouleur. My purity, along with my will and soul, was his. “You truly do not know just how big of an impact you will make in the future because of all this. You will be known throughout history as one of the greatest heroines, St. Jeanne d’ Arc.”
My eyes did not search for his. I kept my gaze locked elsewhere. I did not care for this title, nor did I care for becoming infamous. The only thing that put me at ease was the fact that my people would be free, that my family would be safe, and that their generations would live on.
“Now. You must leave.”
My brows furrowed at this as I finally turned to him, “Why so suddenly?”
“Your enemies. They’re on the move.”
My eyes went wide as I wiped away the few remaining tears, “The English?”
Abigor simply nodded, “Yes. You leave, now.”
Wait, everything was happening way too fast now. It feels like I barely reached Orleans, and that was only traveling. I had yet to fight anything, let alone go to war, “Now? But-“ My head felt like it was spinning suddenly. I couldn’t find words.
Abigor could see my discomfort. Feel it even. “I have aided you this far, have I not?”
“Yes, but Abigor, this is war.”
I had barely enough time to finish my sentence before he spoke up, “Precisely what you were born for.” I swallowed hard, the lump in my throat refusing to leave. “Show no fear, nor hesitation, and I shall be there to guide you. Now go before you miss this chance.”
One second Abigor was in front of me, the next he was gone. I looked all around only to be brought back by the strange feeling of numbness in my legs. I stood up, as wobbly as I was, and forced the blood to flow back into my legs. I was back in my own body, and I had to move fast from what Abigor had said.
I wanted to show fear, I wanted to hesitate, but it felt as if my body had a mind of its own when I turned around and ran back to the camp. I had to move now. I couldn’t waste any time. I was going to get through this. I was going to lift the siege on Orleans and take my Dauphin to Reims to claim his throne, because no matter how much I hated it, I trusted Abigor’s words. He would not lead me astray. As much as I needed him to help me accomplish this prophecy, it had become clear to me that he needed me just as much. For what, I did not know, but soon I would find out.
After my prayer with Abigor, I ran back to camp demanding to speak with John. I told him about my vision with my saint. How he had said that we needed to attack that very day. I’m not sure exactly what I had said, or how I looked, but John the Bastard did not argue against me that day. Instead he felt vigor and confidence in my words. He rallied the men up, and had given me control over more than half of them. The soldiers had armed themselves, grabbing their weapons, and putting on their heavy armor. I too was given a set of armor, one small enough for my body. Though I carried a sword on my belt, I felt a stronger pull to a long metal pole with a banner flowing freely atop of it. It was on that day that I had decided for myself for once. I was going to take that banner, and carry it all the way to Reims, through battle and all.
The next four days felt like a blur to me. It felt like it all happened so quickly, yet I was able to remember every detail of it. I could remember how my fear had shifted within me, and turned into something livelier. Excitement? No. I do not wish to think I felt something so positive when lives were being taken. But there was something there, something that stirred inside me. I felt strength and sureness that I would have never recognized as my own.  And I exuded a courage that nearly terrified me. In one of those days, I was wounded. An arrow shot straight through my leg, and a heavy piece of stone had been thrown at my head. Yet, I felt nothing. I did not slow down. I couldn’t. I refused. Apparently, these were considered heroic actions. Heroic to some, nearly demonic to others. My behavior, so to speak, had gone unnoticed by my men, along with the English infantry. My comrades, my soldiers, became lions from my fearlessness, and the English began to retreat because of it.
What was four days felt like an eternity to me, but by the 7th of May at dawn, the siege at Orleans had finally been lifted, and an obstacle in my prophecy had been overcome. 
Reims was not so far out of reach now, and soon I would guide my Dauphin to his rightful throne. I would pave the way for him, for his crown. I would save my people and free my homeland. I would accomplish all of this, because I knew that Abigor would be with me, guiding me, every step of the way.
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rauffenstein · 5 years
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Si tu veux tomber de ta chaise lit ça :
Hugo Chavez ancien président du Venezuela fut accusé il y a longtemps maintenant, d'antisémitisme par l'institut Simon Wiesenthal car il avait déclaré :
« le monde appartient à tous......mais le fait est qu'une minorité... a pris possession de toutes les richesses du monde».
Maintenant lit ça :
Hier un diamantaire juif Anversois meurt d'un arrêt cardiaque sur une table d'opération , tard le soir dans une clinique parisienne alors qu'il subissait une opération d'agrandissement du pénis..Une opération banale... très tard... pas aux horaires habituels tu vois. Le type est entré en pleine forme et quand il ressort il est mort avant d'avoir pu roder sa super bite de compet.
Tu pense qu'il a pas eu de bol?
Aucun rapport à priori entre Hugo Chavez et la bite à Ehud...
Que tu crois...
Lis ça :
Anvers est une plaque tournante du marché mondial du diamant. Le marché du diamant est un business dans lequel il est intéressant d'avoir le monopole comme ça tu fixe les prix que tu veux et tout le monde ferme sa gueule.
Le diamant , l'or, le pétrole, le sel sont des «richesses du monde» ...Pense à Chavez..
Les juifs ont un quasi monopole sur le diamant mondial avec les indiens.
Sur ce marché la plus grosse boite d'Anvers s'appelle Omega Diamonds.
Le patron de Omega Diamonds c'est Ehud, le type qui vient de claquer lors de son opération de la bite.
Les diamantaires s'approvisionnent dans des pays ou c'est la merde comme l'Angola par exemple. Des pays pourris par la corruption, les trafics, la guerre et ou j'aimais rien ne change parce que c'est mieux que ça reste comme ça pour ceux qui en profitent.
Quand un diamantaire veut blanchir son argent sale issu de magouilles et veux éviter qu'on vienne lui demander des comptes parce qu'on le soupçonne de planquer de l'argent au fisc ou d'avoir du sang sur les mains il s'adresse à une banque. Mais pas n'importe quelle banque.Une banque d'affaire pour truands milliardaires. Une banque trouble avec laquelle on peut s'arranger. Notamment quand on vend ce qu'on appelle les «diamants de sang» ( pas besoin de te faire un dessin..)
Une de ses banques spécialisée en comptes off-shore est HSBC. Un compte off shore permet aussi de ne pas payer d'impôts. Les impôts c'est pour les cons comme toi qui croient que les riches en payent aussi.
HSBC c'est LA banque des diamantaires juifs d'Anvers.
Mais pas que... HSBC a été impliquée dans une affaire de fraude au fisc et la presse a donné les noms des clients qui avaient un compte off shore..Comme l'ancien président du CRIF par exemple...(voir document)
C'était tellement la merde avec le fisc belge que la banque a conclu un accord d'un montant record pour s'en sortir. Ils ont mis le paquet, promis que dorénavant ils seraient sages et les belges ont fermé leurs gueules.
Quand les noms des propriétaires des compte sont sortis les types ont dit que c'était leurs parents qui avaient ouvert le compte avant la guerre et que comme ils avaient du fuir à cause des nazis, ils avaient oublié qu'ils avaient un compte off shore... Comme quoi le devoir de mémoire, c'est essentiel.
Récemment HSBC est devenue un des plus importants groupe bancaire au monde après avoir réussi un coup décisif : racheter le groupe d'Edmond Safra, un banquier juif vereux propriétaire d'un t'as de banques à New York etc.
Edmond Safra a été impliqué lui aussi dans une affaire de fraude fiscale....
Il gérait l'argent des super-riches de la terre entière en leur rendant de "petits services" sans jamais poser de questions sur l'origine des fonds. Parmi ses clients figuraient les ennemis des uns et des autres : les émirs du Golfe, les chrétiens libanais et la diaspora juive.....à commencer par les diamantaires de New York, Anvers et Tel-Aviv.
C'était extrêmement tendu entre les deux groupes quand l'un s'est emparé de l'autre...
Beaucoup de ;richesses de la terre« en jeu.
Edmond lui aussi n'a pas eu de bol.
Il a été assassiné.
Les pompiers ont trouvé l'appartement en feu.
Un feu très vif dans un appartement blindé avec des sas de sécurité partout. Peu avant la sécurité avait été appelée car on signalait la présence de deux individus cagoulés.
Aucune trace bien sûr.
Au final c'est son infirmier qui a avoué. Un infirmier sûrement aussi compétant jusque-là que l'équipe de la clinique parisienne j'imagine.
Sa femme présente sur les lieux a dit n'avoir rien entendu. On la comprend. Passé un certain âge le risque de ne pas sortir vivant d'une mammographie peut être très élevé.
Peut être aussi que certains états ferment les yeux sur les méthodes de ceux à qui ils confient la mission de rafler au monde ses richesses tant que ça ne fait pas de vagues.
Quand des états comme la Belgique, la France et d'autres sont obligés de jouer des coudes avec des banques qui pèsent le poids d'un petit pays. Quand ses mêmes banques non contentes de s'accaparer les richesses du monde, siphonnent les caisses des états qui finissent par avoir du mal à faire réparer les routes, a faire fonctionner les hôpitaux, son armée ou assister des millions de précaires, le ministre téléphone à l'autre ministre pour se plaindre.
A Tel Aviv un petit avion d'école avec des types du genre sportif habillés en sombre et quelques heures plus tard les journaux annoncent la mort accidentelle et peu banale d'un milliardaire qui a en croire sa fiche Wikipedia, était un philanthrope obnubilé par la restauration de synagogues dans le monde, chevalier de la légion d'honneur, commandeur des arts et lettres etc.
Si j'etais a leur place la haut dans les grandes banques, je me dirais que pour être tranquille, le mieux serait d'avoir au pouvoir un type de la boite, un ancien stagiaire, un type qui sait ou sont nos intérêts et comment gérer le truc pour que ça roule....
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archivesbercy · 6 years
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Yvette Chassagne, une femme de grandes premières dans l’administration
Organisée dans le cadre de la Journée internationale des archives, la Grande collecte 2018 est consacrée cette année à l’Histoire des femmes. A cette occasion, le service des archives des ministères vous propose de découvrir Yvette Chassagne, qui occupe une place à part dans l’histoire des femmes aux ministères de l’économie et des finances, de l’action et des comptes publics.
Née le 28 mars 1922 à Bordeaux (Gironde), Yvette Chassagne, née Brunetière, est licenciée ès lettres, et certifiée en droit. Ayant eu une activité au sein de la résistance dès 1940, elle participe à des œuvres de propagande contre l’occupant au sein de la faculté des lettres de Bordeaux. Employée à la préfecture de Gironde, elle contribue jusqu’en 1943 au secours de Français de confession juive et de résistants des régions Est de la France occupée. D’octobre 1943 à octobre 1944, elle est agent de renseignement au sein du groupe Jade Amicol de l’Etat-major interallié. Elle a ainsi transmis à la résistance des renseignements capitaux relatifs à la défense de Bordeaux (zones minées et base sous-marine), aux mouvements de bateaux de guerre allemands et à l’établissement de cartes d’identité. Arrêtée par la Gestapo qui la soupçonne de résistance et malgré les brimades et menaces de mort, Yvette Chassagne ne dénonce pas son groupe de rattachement. Elle poursuit son travail au sein de la résistance jusqu’au 15 septembre 1944. Elle témoignera d’ailleurs au procès de Maurice Papon en 1998.
Parmi les premières femmes de l’ENA
Nommée en 1944 membre du comité départemental de l’Union des femmes françaises, elle travaille à partir d’août 1945 comme attachée de direction à l’Office de radiodiffusion – télévision française (ORTF). Elle intègre ensuite la promotion Jean Moulin de l’Ecole nationale d’administration (ENA) le 1er février 1947 et fait donc partie des trois premières femmes à avoir intégré l’institution.
A sa sortie de l’ENA en 1950, Yvette Chassagne, est nommée administrateur civil à l’administration centrale du ministère des armées. Rapidement reconnue pour son expertise en matière économique et financière notamment sur la coopération technique avec les jeunes États francophones d’Afrique noire, elle est détachée au ministère des finances et des affaires économiques en avril 1959. Chef de bureau à la direction des assurances en 1964, elle gravit ensuite tous les échelons de l’administration : 1ère femme « sous-directeur » du ministère des finances à la direction des assurances en 1967, elle devient ensuite directrice du développement économique au ministère de la coopération de 1974 à 1978. Elle est également la première femme à être nommée « conseiller maître » à la Cour des comptes par décret du 19 novembre 1979.
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Première femme préfet
En juillet 1981, elle est nommée 1ère femme préfet par le ministre de l’intérieur, Gaston Defferre, dans le département du Loir-et-Cher. Présidente de l’Union des assurances de Paris (UAP) de 1983 à 1987, elle termine sa carrière comme présidente d’honneur de la Prévention routière en 1989 tout en étant conseillère du président du Club Méditerranée (1988-1994). Elle écrit en 1988 un livre intitulé Fonctionnaire et patron, les préjugés renversés. Elle est l’un des membres fondateurs de l’Assemblée des femmes et présidente du comité de soutien de l’Assemblée des femmes du Languedoc et du Roussillon (2000-2007).
Conseillère municipale à Narbonne (Aude), elle s’éteint le 4 septembre 2007 à l’âge de 85 ans.
Yvette Chassagne était commandeur dans l’ordre de la Légion d’honneur, Grand officier de l’ordre national du Mérite et chevalier dans l’ordre des palmes académiques et du mérite agricole.
 [Crédits photos et documents]
Note de la direction des assurances, 11 décembre 1962 (MEF-MACP/SAEF).
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