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rauffenstein · 4 years
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Elle, elle ne mange plus de viande. Elle a commencé un lundi, parce qu'un lundi sans bidoche, c'est un lundi Avec Binoche. Elle sera bientôt végan, parce que le veganisme c'est l'antiracisme pour les bêtes et l'avenir de l'hystérie.
Bruno Lafourcade
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rauffenstein · 4 years
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“Ils m'ont accusé de génocide par courriers, je les accuse de meurtres sur scène. Je le dis haut et fort, j'emmerde les dirigeants d'Action contre la faim, j'emmerde toutes les ONG du même type, qu'envoient leurs torches culs à des pauvres pour les faire culpabiliser avec d'autres pauvres. J'emmerde ceux qui donnent sans réfléchir, pour se donner bonne conscience, ceux qui partagent des pétitions sur Facebook et qui ont l'impression de sauver la planète. T'as raison, quand t'auras 5 000 likes sur ta page ils arrêteront de massacrer les baleines au Japon pauvre con ! J'emmerde les journalistes sans couilles qui animent des débats sur la liberté d'expression mais qui ne savent même pas défendre la leur, pas un pour dénoncer que le cortège de Charlie Hebdo est bourré d'extrémistes et de dictateurs. J'emmerde mes collègues humoristes soi-disant engagés, qui servent la soupe à ces mêmes journalistes pour conserver trois putains de minutes d'antenne sur France Inter. Et pour finir j'emmerde ce pays, ses dirigeants et cette soi-disant démocratie. J'emmerde d'avance ces pro-démocrates qui me diront que j'suis démago et que voter est un devoir.”
— Jeremy Ferrari
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rauffenstein · 5 years
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rauffenstein · 5 years
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https://leblogalupus.com/2019/09/18/maitre-de-castelnau-et-la-montee-du-fascisme-societal-en-france/
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rauffenstein · 5 years
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rauffenstein · 5 years
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rauffenstein · 5 years
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Afrique du Sud : les cocus ayant cru à la fable de la nation arc-en-ciel peuvent sortir des rangs et avancer de trois pas…
En Afrique du Sud, pays de Nelson Mandela, des Noirs massacrent d'autres Noirs. Qui plus est, des Noirs immigrés, des frères migrants venus de pays ayant jadis soutenu leur lutte contre le régime blanc…
Comme en 2016, un peu partout, notamment au Natal et dans la région de Johannesburg, les étrangers noirs, qu'ils soient Malawites, Mozambicains, Somaliens, Zimbabwéens, Soudanais ou Nigérians, sont ainsi de nouveau pris pour cible, lynchés, brûlés vifs, cependant que leurs pauvres biens sont systématiquement pillés par des foules ayant échappé à tout contrôle policier.
Voilà de quoi déstabiliser ces cocus idéologiques qui, croyant au mythe-guimauve de la « nation arc-en-ciel », prétendaient que les maux du pays découlant de la domination blanche, une fois la majorité noire au pouvoir, les fontaines de la démocratie laisseraient couler le lait et le miel de la fraternité…
La réalité est évidemment autre car ces tueries xénophobes illustrent l’échec de la « Nouvelle Afrique du Sud » dont les dirigeants ont dilapidé le colossal héritage reçu de l’ancien régime blanc. Résultat :
- Le revenu de la tranche la plus démunie de la population noire est inférieur de près de 50% à celui qu’il était sous le régime blanc d’avant 1994 ;
- 17 millions de Noirs vivent essentiellement des prestations sociales et 14 millions ne survivent que grâce au versement d’une allocation (Social Grant) qui leur assure le minimum vital ;
- Le taux réel de chômage est de près de 35%, et celui des jeunes âgés de 15 à 34 ans de plus de 50%.
En 25 années de pouvoir, l'ANC - le parti de Nelson Mandela -, a donc transformé la prospère Afrique du Sud en un Etat du « tiers-monde » dérivant dans un océan de pénuries, de corruption, de misère sociale et de violences, réalité en partie masquée par les derniers secteurs ultraperformants  encore tenus par des Blancs. Un naufrage économique qui tient en trois points :
1) La production minière nécessite une énorme modernisation et donc de gros investissements ; or, la main d’œuvre noire revendiquant des salaires plombant la compétitivité,  les investisseurs ont délocalisé.
2) Les cadres blancs continuent à quitter le pays, chassés par la discrimination inversée, l’incroyable insécurité et le surfiscalisme.
3) Le secteur agricole, le seul à être excédentaire a été littéralement assassiné par la décision de spoliation des fermiers blancs.
Dans ce pays où un abîme s'est creusé entre une infime minorité de profiteurs noirs et des millions de chômeurs, d’assistés et de travailleurs sous-payés qui paralysent le pays avec de continuels mouvements de revendication, l’abyssal échec économique et social de l’ANC a donc débouché sur des violences xénophobes, les étrangers étant accusés de prendre le travail des plus pauvres.
Au pied du mur, acculé par le bilan de ses détournements et de son incompétence, l’Etat-parti ANC n’a désormais plus que trois options :
1) Chercher à redresser l’économie en empruntant une voie libérale, mais il provoquera alors une révolution.
2) Accuser le bouc-émissaire blanc en tentant de faire croire que la situation est un héritage de l’apartheid et en nationalisant les mines et la terre. La « poule aux œufs d’or » sera alors définitivement  tuée, comme au Zimbabwe, et le pays sombrera encore davantage  dans la misère.
3) Recourir à la « planche à billets », ce qui, comme au Zimbabwe, provoquera d’abord l’inflation, puis une hyperinflation et la ruine totale du pays.
Bernard Lugan (Blog de Bernard Lugan, 8 septembre 2019)
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rauffenstein · 5 years
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https://de.wikipedia.org/wiki/Joseph_von_Lauff
https://gutenberg.spiegel.de/buch/o-du-mein-niederrhein-480/11
Schwarz ist die Sorge und schwarz unser Brot,      Und schwarz ist die Fahne der Bauernnot.      Schwarz ist die Erde wohl unter dem Pflug,      Und schwarz geht der Bauer im Trauerzug.
Wir pflügen und säen und schaffen ohn’ Ruh’,      Wir ernten – und wissen doch nicht wozu.      Denn was wir erringen mit unserer Kraft,      Das wird uns genommen und fortgerafft.
Jetzt sind wir am Ende; wir wollen nicht mehr!      Wir sind ein verzweifeltes Bauernheer;      Denn schwarz ist die Sorge und schwarz unser Brot,      Und schwarz ist die Fahne der Bauernnot!
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rauffenstein · 5 years
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rauffenstein · 5 years
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Il n'y a pas si longtemps, la musique était produite avec des instruments faits de bois mais aussi de chair et de sang, de peaux tendues, d'os, de tendons, de crin. C'est avec ces ingrédients que s'établissait le lien entre le terrestre et le divin. La vibration parcourait la peau, glissait sur le crin de l'archer, remontait le long des vertèbres en os et poursuivait sa course au delà de la colonne de bois pour remonter tout là haut. La partition était écrite en bas avec de l'encre de seiche sur de la pulpe de bois mais l'inspiration venait d'en haut, de bien plus haut que la voute de la cathédrale la plus élancée. Ce qui était en haut était en bas et inversement.
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Ainsi le dialogue entre le terrestre et l'au delà était permanent. Les hommes, la nature et le divin ne faisaient qu'un dans la musique.
Ceci en est le résultat.
Certainement la plus belle musique au monde...
https://youtu.be/Les39aIKbzE
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rauffenstein · 5 years
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“Attrape, ce n'est qu'un cœur, loge-le dans le creux de ta main, et quand viendra l'heure, pour l'offrir à la chaleur du soleil, ouvre la main…”
— El Patojo
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rauffenstein · 5 years
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rauffenstein · 5 years
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The Cemetery Entrance, 1825, Caspar David Friedrich
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rauffenstein · 5 years
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« Le monde est matérialiste, le plus menu peuple compris. Il croit plus à rien qu’au tangible. C’est comme ça l’Instruction Publique, l’évaporation des Légendes. Ils veulent plus se remettre en route avant qu’on ait réglé les comptes. Une société civilisée, ça ne demande qu’à retourner à rien, déglinguer, redevenir sauvage, c’est un effort perpétuel, un redressement infini. C’est de l’effort et ça fatigue. La nôtre elle veut plus rien foutre, elle veut plus se fatiguer du tout. Elle se les retourne de plus en plus. Elle s’effondre dans tous les coins.
C’est la base qu’est vermoulue, qu’étant bâtie sur l’espoir, ils en veulent plus du tout de l’espoir, ça ressemble trop aux courants d’air, ils veulent du " tout de suite et confort ". C’est plus des hommes de Légende, c’est plus des imaginatifs, c’est des hommes de la mécanique. »
Louis Ferdinand Céline, Les beaux draps
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rauffenstein · 5 years
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Serbian farmer with a military police rocker sewn onto his shoulder guards his land with a civilian .308 rifle, 1991.
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rauffenstein · 5 years
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“When a nation rises up ardent to fight for its freedom and honour, it is always a minority that really fires the multitude.”
Oswald Spengler
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rauffenstein · 5 years
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When you’re looking at life, Deciphering scars, Just who fooled who, Sit still in their cars, The lights look bright, When you reach outside, Time for one last ride, Before the end of it all. Exercise One by Joy Division
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