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narrateur · 7 months
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kaantt · 1 year
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live image du narrateur en train de faire le rapprochement entre Mlle Vinteuil et Albertine et leur « intimité [qui] n’avait pas cessé de grandir »
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Lui après avoir compris
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laviedunefilledebordee · 11 months
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Rentrée d’une journée surveillance de bac et se rappeler qu’il y a la saison 2 Notre planète sur Netflix qui vient de sortir ! (oui j’adore les docus dans ce genre!)
Mais se rappeler soudainement que le narrateur VF ne sera pas Jacques Frantz cette fois...
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Sa voix si reconnaissable me manque tellement...
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capharnaum-frh · 1 year
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L'Appel de Cthulhu de H. P. Lovecraft
“ Je prie seulement, au cas où je ne survive pas à ce manuscrit, que mes exécuteurs fassent passer la prudence avant le risque, et s'efforcent qu'il ne tombe sous aucun œil. ” 
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La difficulté en abordant les récits de Lovecraft est de savoir par où commencer tant ses œuvres sont nombreuses et complexes, la plus emblématique doit pourtant être L'Appel de Cthulhu publié en février 1928 dans le magasine Weird Tales.
La nouvelle s'implante dans un cycle intitulé le Mythe de Cthulhu, composé de six histoires : Dagon (1917), L'Appel de Cthulhu (1926), l'Affaire Charles Dexter Ward (1927), l'Abomination de Dunwich (1928), les Montagnes hallucinées (1931), Dans l'abîme du temps (1936) et le Cauchemar d'Innsmouth (1936).
Résumé détaillé
L'intrigue non linéaire nous amène à découvrir l'enquête du défunt professeur en langues sémites George Gammell Angell dont les documents ont étés confiés à son petit-neveu, narrateur du récit, essayant de découvrir ce sur quoi enquêtait son oncle avant son décès soudain.
Parmi les documents recueillis par Francis Wayland Thruston, le petit-neveu s'avérant aussi être anthropologue, se trouve un manuscrit portant le titre Le Culte de Cthulhu, des coupures de presse et une statuette représentant une sorte de chimère entre dragon, humain et poulpe.
Le manuscrit débute avec la rencontre du sculpteur de la statuette, Henry Wilcox, un jeune artiste disant avoir réalisé la statuette suite à un rêve angoissant. Ce rêve étrange représentait une cité perdue, recouverte de vase, à l'architecture invraisemblable et obscure. D'abord sceptique, Angell va devenir de plus en plus sensible au discours du sculpteur, pensant que le rêve et la sculpture pourraient avoir un lien avec un ancien culte païen. Ils vont se rencontrer à plusieurs reprises jusqu'à ce que Wilcox soit prit d'une crise de délire, entendant les pas d'une créature gigantesque.
Dans la seconde partie du manuscrit, un inspecteur de police, John Legrasse, entre en contact avec Angell au sujet d'une statuette réalisée dans un matériau inconnu, trouvée lors d'un assaut contre une secte vaudou se livrant à des sacrifices humains. Les suspects incarcérés, l'un d'eux confessera que la secte vénère les "Grands Anciens", dieux venus des étoiles venus il y a des milliers d'années et dormant désormais sous la terre et la mer. Ce culte aurait la capacité de se répandre à travers le monde, comme en témoigne le Necronomicon, grimoire ancien écrit par Abdul Alhazred.
Thurston, en découvrant l'existence de la secte, s'interroge sur la possibilité que son oncle ait pu être assassiné par un membre du culte en raison de son enquête.
La troisième et dernière partie du récit explique comment Thurston découvre un article de journal australien relatant un accident en mer ayant causé la mort étrange de tout un équipage, à l'exception d'un rescapé. Thurston voyage jusque Oslo où il découvre le journal du survivant. Gustaf Johansen, un marin norvégien, explique que son navire, l'Emma, alors dans l'Océan Pacifique, croise la route d'un yacht avec à bord des individus agités donnant l'ordre à l'Emma de faire demi-tour. Après avoir refusé, une bataille s'ensuit et l'équipage survit. Curieux de découvrir la raison pour laquelle le yacht insistait pour qu'ils partent, l'équipage poursuit son chemin.
L'équipage découvrir une île étonnante sur laquelle se trouve une étrange cité, l'équipage ouvre une porte et sans le savoir, libère un des Grands Anciens, Cthulhu. En le voyant, deux des hommes meurent de peur, trois autres meurent sous ses griffes. Johansen parvient à se sauver avec un autre membre de son équipage, qui mourra par la suite sur le bateau.
Johansen, avant de mourir, confit son journal à son épouse qui le donnera ultérieurement à Thurston. Ce dernier comprend que, tout comme son oncle, Johansen s'est probablement fait tuer. Il réalise également qu'il est lui-même en danger.
Avis
Considéré comme un classique de la littérature d'horreur et de ce qui sera qualifié par la suite de science-fiction, L'Appel de Cthulhu est une œuvre à part, frappante par son aspect sérieux et crédible, deux éléments importants dans l'écriture de Lovecraft. Appliquant une écriture journalistique sur des éléments mystérieux et obscures. Cthulhu, créature gigantesque et terrifiante, cruelle aussi, n'a absolument rien qui l'approche de l'Homme, donnant ainsi une sensation de fin du monde à la fin du récit, où le lecteur comprend que la libération du dieu ne peut que signifier la fin de la race humaine.
Toutefois, il est important de noter que les récits de Lovecraft reflètent aussi la mentalité d'une époque (il dit pas mal de trucs racistes/misogynes quand même), c'est pourquoi, même si je reconnais les qualités littéraires et horrifiques de ses récits, je peux difficilement dire qu'il s'agit d'un livre à lire absolument.
Édition
Édité très régulièrement dans diverses maisons d'éditions françaises, je me suis dirigée chez les Éditions Points pour cet achat. Publié en 2020 pour un prix de 7,10€, le petit ouvrage aux belles dorures en couverture présente une apparence rappelant les affiches d'anciens films de science-fiction.
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lesperlescachees · 1 year
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Mes lectures du moment
Bonsoir à toi, explorateur !
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Aujourd'hui pour inaugurer le premier vrai post du blog, je t'offre une petite sélection de mes lectures du moment, en cours ou terminées. N'hésite pas à aller jeter un coup d'oeil !
Malheureusement, toutes les fics sont en anglais car c'est désormais la langue que je lis le plus au niveau des fanfics, néanmoins, je n'abandonnerais JAMAIS ma francophonie bien aimée !
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Catch Your Own Happiness, truelovetaesawhile (MCU, Spider-Man)
Je lis cet UA depuis ses premiers chapitres et j'attends toujours avec autant d'impatience chaque nouvel update !
HYDRA!Peter est le genre d'UA que je préfère mais si on ajoute à ça le Irondad, Spiderson found family habituel là, on m'a perdue je vous le dis.
Une bonne fic plutôt sympathique qui explore avec pertinence les traumatismes d'un Peter enlevé par HYDRA et qui essaye de s'adapter au monde normal.
J'apprécie également le fait qu'il ai plus de caractéristiques d'araignées et liées à ses pouvoirs que d'habitude, c'est le genre de détail qui me plait beaucoup.
Tooth and Claw, BrickSheep (DC, Batman)
Cette fanfic est mon petit rayon de fluff et de soleil régulier.
Damian en forme de petit dragon est si adorable et l'amour que lui porte sa famille fait complètement fondre mon cœur. En plus de ça, le lore autour de cette fanfic se développe au fur et à mesure des chapitres et on peut doucement voir se dessiner une sorte d'UA fantasy super intéressant mais peu exploré car on observe tout sous le regard d'enfant de Damian.
Bref, du fluff, du love, de la mignonnerie, j'adore.
Glass, succeeding (DC, Batman)
ALORS CA ! Cette série de fics mérite sa propre chronique parce que c'est très sérieusement la série par laquelle je suis le plus obsédée depuis ces deux derniers mois.
ATTENTION !
On parle de thèmes très durs comme les abus sexuels, la dépression, tentative de suicide, santé mentale, relation abusives, mutilations etc. C'est vraiment un très gros dossier je vais pas mentir, j'ai eu souvent du mal à lire d'un seul coup certains chapitres.
J'ai aussi pleuré.
Mais si j'adore cette série de fics c'est principalement pour sa violence et sa justesse. On n'a pas juste des descriptions graphiques de traumas, non. Ici, on est totalement plongés dans la psyché du perso principal qui a subis des abus et qui montre absolument tous les aspects et les conséquences de ce genre de violences.
C'est très explicite, on a beaucoup de dialogues internes, un narrateur parfois peu fiable ce qui montre super bien l'instabilité de son état mental, mais tout est écrit avec une justesse et une finesse si parfaite que c'en est passionnant.
J'en dirais plus dans ma chronique spéciale pour cette série.
C'était mes lectures du moment à la prochaine !
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"Les faits étaient ceux-ci: (...)"
- le narrateur de Pushing Daisies (Une série télévisée americaine)
♥ c'est magique ♥
les images, dans l'ordre:
un image des marguerites, grandit en forme d'un coeur
un GIF de quelq'un toucher des livres avec leur doigt. c'est problement dans un bibliothèque.
un GIF d'un golden retriever. il se retourne et te regarde.
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je-suis-une-fangirl · 7 years
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Quand je m'absente 5min en laissant mes sims se gérer tout seul
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lasoifdelire · 5 years
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Le narrateur vit dans un abri de fortune dans le parc Ueno à Tokyo.
The narrator lives in a makeshift home in Ueno Park in Tokyo.
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mangacultes80 · 2 years
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Set : A Flintstones Christmas Carol 1994
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La pièce commence enfin avec le narrateur Charles Brickens lisant les premières lignes, et après un moment de trac
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Noms: A Flintstones Christmas Carol 1994
Type du Set: Film
Taille du Fichiers : 102 Mo
NB Images: 1.363 Imgs
Taille des Images: 1005x768
Date de Publication : 23.03.2022
Ages: Tous Public
Liens des Téléchargement du Set Images : "A Flintstones Christmas Carol 1994"
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La pièce commence enfin avec le narrateur Charles Brickens lisant les premières lignes, et après un moment de trac, Fred entre. La pièce se déroule normalement. À l’ouverture du deuxième acte, Wilma et Betty découvrent que Garnet, la femme jouant le Fantôme de Noël passé, a contracté le "Bedrock Bug", une maladie semblable à la grippe. En tant que régisseuse, Wilma est laissée à elle-même. Au cours de la scène suivante, à la fête de Noël de Fezziwig, Betty informe Wilma que Maggie est descendue avec le Bedrock Bug ainsi; Wilma met son costume et joue Belle. Le troisième acte commence avec la figure cagoulée du fantôme de Noël encore à venir apparaissant devant Scrooge ; il montre l’homme âgé une tombe abandonnée marquée avec les mots "EBONEZER SCROOGE."
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page-a-pages · 3 years
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Des lectures pour l’été, en veux-tu, en voilà
Parmi mes lectures figurent des livres que j’ai autant aimés que ceux qui figurent sur ce blog. Proposer des lectures pour l’été est le moyen de les mettre en lumière, de rattraper en quelque sorte le coup.
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Rassemblez-vous en mon nom / Maya Angelou. – Editions Noir sur blanc, 2020 (Notabilia)
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Autobiographique, Rassemblez-vous en mon nom retrace sur quelques années la vie de Maya Angelou,  écrivaine afro-américaine et figure de la lutte féministe et anti-raciale aux Etats-Unis. Ce roman fait suite à Je sais pourquoi chante l’oiseau en cage alors que jeune mère de dix-ans, elle se bat pour défendre son identité de femme noire, trouver du travail, une maison et élever son enfant. Précédemment, j’avais lu Lettre à ma fille. Et si j’avais beaucoup apprécié certaines nouvelles qui composent le recueil, d’autres étaient trop empreintes de religion et de leçons. On ne saurait le lui reprocher puisqu’elle l’a écrit alors qu’elle était âgée de 80 ans. Si donc vous n’avez jamais lu Maya Angelou, rassemblez-vous en son nom et lisez ce grand, grand roman qu’on lâche, tout comme son héroïne, avec peine.
Fille, femme, autre / Bernardine Evaristo. – Editions Globe, 2020
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Bernardine Evaristo a reçu le Booker Prize 2019 pour ce roman choral et c’est amplement mérité tant il y a une belle dynamique dans sa construction et sa thématique. Douze femmes noires d’âge et de condition sociale différents vont tour à tour prendre la parole pour raconter leur parcours. Le livre est comme un grand carrousel vivant qui entraîne le lecteur pour un long tour tout en couleurs. A la fin, alors que la musique s’arrête, c’est pour mieux reprendre et rejoindre ces femmes réunies dans une grande fête, celle de leur liberté. Que le lecteur ne soit pas découragé par l’absence de points et de majuscules. Après quelques pages, il s’apercevra que cela génère un rythme particulier au texte et il s’en régalera.
Il est juste que les forts soient frappés / Thibault Bérard. – J’ai lu, 2021
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Un roman d’amour peut-il traiter de maladie et de mort ? Oui. Et même s’il est largement autobiographique ! Thibault Bérard – Tibo quand il est éditeur de romans chez Sarbacane ou encore Théo dans ce texte –, a choisi de donner la parole à sa compagne, Sarah dans le roman, au seuil de la mort ou juste après, avant qu’elle ne s’éclipse, car voyez-vous elle a un message à nous faire passer. Quand ils se rencontrent dans une fête, ils sont jeunes ; elle, révoltée, lui comme un jeune chien fou. Ils vont faire un bout de chemin ensemble et deux enfants, jeunes, si jeunes. Alors qu’elle est enceinte du deuxième, une petite fille, un bouton de rose, on lui découvre un cancer très avancé. C’est cela qu’elle raconte, elle, Théo, son fils, la famille, leurs amis. Il y a des fêtes, de la douleur dans les fêtes, une solidarité incroyable, Théo qui se démène, trouvant une énergie de – presque – chaque instant. C’est un livre de vie là où elle fait mal et là où elle repose, dans les enfants, l’amour à venir. Déjà et encore. Je l’ai ouvert et ne l’ai plus lâché.
Ombres sur la tamise / Michael Ondaatje. – Points, 2020
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« En 1945, nos parents partirent en nous laissant aux soins de deux hommes qui étaient peut-être des criminels. Nous habitions dans une rue de Londres appelée Ruvigny Gardens, et un matin, notre père ou notre mère, je ne sais plus, proposa que nous ayons une discussion en famille après le petit déjeuner. C’est alors qu’ils nous annoncèrent qu’ils allaient nous quitter et s’établir à Singapour pendant un an. Pas très longtemps, dirent-ils, mais ce ne serait pas non plus un court séjour. Pendant leur absence, on s’occuperait de nous, évidemment. » Ainsi débute ce roman où le narrateur, Nathanael, et sa sœur, à peine adolescents se retrouvent du jour au lendemain dans un monde interlope et brumeux où les adultes sont porteurs de bien des secrets. Nathanael, devenu adulte cherche à comprendre, à reconstituer, à tisser un fil avec son passé, avec sa mère.
Manuel à l’usage des femmes de ménage / Lucia Berlin. – Le Livre de poche, 2018
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Quel destin que celui de Lucia Berlin ! Née en 1936 en Alaska, sa vie lui a fait parcourir et s’établir dans plusieurs états des USA avec une incursion à Santiago du Chili et au Mexique. Elle a exercé quantité de petits boulots, dont celui de femme de ménage. Mais ce n’est pas tout, elle s’est inscrite à l’Université du Nouveau-Mexique, a fréquenté des écrivains et des artistes, enseigné à l’Université du Colorado et écrit. Il faut ajouter à ce portrait qu’elle a eu quatre fils et des amours malheureuses, a été alcoolique et a souffert de graves problèmes de santé déclenchés par une scoliose et qu’elle s’est occupée de sa sœur emportée par un cancer. Elle est décédée en 2004. Sa vie s’était enfin stabilisée. Oubliant sans doute quantité d’éléments dans cette biographie, je ne peux que vous recommander de lire ce récit autobiographique composé de quarante-trois nouvelles dont les situations qu’elle décrit et le ton varient. Brillante observatrice et attachante, elle nous emporte dans un voyage en des lieux souvent improbables qu’elle transcende. Et puis… belle, elle nous rappelle les actrices américaine ou même italiennes des années 1960.
A la folie / Joy Sorman. – Flammarion, 2021
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Durant une année, Joy Sorman s’est rendue chaque semaine dans un hôpital psychiatrique pour y côtoyer les malades, les soignants et la folie. De cette expérience, elle a bâti une fiction très forte en leur donnant la parole. Est-il possible d’évaluer la folie ? Ne faut-il pas juste recevoir les récits qu’en font les malades ? Car, la folie n’est pas la même d’un patient et d’un jour à l’autre. Il faut apprendre à faire, composer, avec la réalité du moment. La violence et la souffrance ne sont jamais loin dans ce type d’établissements ; celles de l’enfermement et de ses odeurs, des contraintes imposées, d’histoires de vie où l’égalité des chances n’existe pas, à se taper la tête de douleur contre les murs. Mais malgré tout, la vie n’en est pas absente qui pousse dans les interstices sous forme de résistance, de moments de complicité et de grande clairvoyance, de rires et de chants. Soignants et fous affrontent comme ils peuvent un système hospitalier où l’administration et les protocoles prennent de plus en plus de place, où règnent les économies. Joy Sorman a travaillé son écriture afin de se faire porte-parole ; une parole sans pathos, mais pas non plus clinique. Empathique. Et elle ne pouvait décidément trouver meilleur titre qu’à la folie.
Charlotte Impératrice / Fabien Nury et Matthieu Bonhomme. – Dargaud, 2018, 2020 (deux tomes)
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  Heureux qui n’a pas lu les deux premiers tomes de Charlotte Impératrice, de la toute grande bande dessinée, historique et en costumes.
La jeune Charlotte de Belgique n’ignore pas que son destin est de faire un mariage glorieux, arrangé et menant à une alliance. Sur ce point, l’Archiduc Maximilien, jeune frère du futur empereur d’Autriche, est des plus francs, ce qui séduit la jeune fille. Soit. Elle fera donc un mariage d’amour, qui se révèle rapidement décevant. Car le reste de la famille des Habsbourg méprise le jeune couple et Maximilien essuie humiliations et frustrations. Charlotte, si elle subit cette vie auprès d’un homme bon à pas grand chose, va peu à peu prendre sa vie en main et défendre ses idées. Dans le second tome, plus politique, voire « western », nous suivons le couple au Mexique où Maximilien a été nommé empereur. Charlotte prend de plus en plus de place dans les affaires politiques de son mari.
Oleg / Frederik Peeters. – Atrabile, 2020
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  Oleg c’est aussi l’occasion de relire ou de découvrir Pilules bleues où l’auteur faisait le récit de sa rencontre avec sa future compagne, atteinte du VIH. Un petit chef d’œuvre ! Nous les retrouvons vingt ans plus tard, toujours aussi amoureux. Mais ici, Frederik Peeters a troqué le « je » pour le « il ». L’effet est réussi en ce sens que cela lui permet de prendre de la distance et de se transformer en personnage, en héros. Un héros, cela dit, à l’opposé de la définition première du mot. Oleg est dessinateur de bande dessinée. Ces temps, il doute beaucoup : sur le monde qui l’entoure, sur sa prochaine BD, sur lui. Alix, sa compagne, toujours optimiste et dynamique, le secoue, le rassure. Elena, leur fille, lui remet les pieds sur terre à sa façon. Une terre dans un monde qu’il ne comprend plus et refuse, s’agissant de la surconsommation, de l’emprise de la technologie sur nos vies, de la superficialité ambiante, des pensées réactionnaires ; tout ce que dénonce Frederik Peeters dans ce récit touchant et drôle qui est également une belle déclaration d’amour à sa compagne et à sa fille. Dans la dernière réédition de Pilules bleues, un cahier a été ajouté où l’auteur donne, entre autres, des nouvelles du fils de sa compagne, également séropositif. C’est dire que malgré le portrait d’auteur un peu névrosé sous les traits duquel il se montre, le lecteur est surtout confronté à un homme très attentif aux siens. Enfin, ce récit n’a pas été sans me rappeler l’épatante série « Paul » du Québécois Michel Rabagliati.
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Ainsi, j’ai fait des recherches et suis tombée sur un article de Thierry Groensteen à lire ici : http://neuviemeart.citebd.org/spip.php?article1362
A suivre... et à venir, entre autres :
Pas l’ombre d’un loup / Natali Fortier Factomule / Oyvind Torseter Tu t’appelleras Lapin / Marine Schneider
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narrateur · 3 months
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teamfreeofficial · 3 years
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BIOGRAPHIE
Zachary Alexander Bagans dit Zak Bagans est né le 4 Avril 1977 à Waschington DC. Il est investigateur principal et narrateur de la série, il en est aussi le producteur exécutif et le redacteur en chef. Zak est le fondateur du "Ghost Adventures Crew" dit GAC, une communauté mondiale d'enqueteurs paranormals, il y a environ 500 membres ( Attention ce n'est pas 500 personnes mais 500 groupes d'investigateurs ). Il réside actuellement à Las Vegas dans le Nevada. Zak était un sceptique jusqu'au jour ou il rencontra un fantôme dans la chambre de son appartement à Trenton dans le Michighan en 2002. Il s'avéra apres enquête que c'était le fantôme d'une femme qui s'était suicidé dans la baignoire de sa salle de bain, depuis ce jour il n'a de cesse de prouver que ce qu'il à vu était bien réel. Zak est connu et critiqué pour ses méthodes provocatrice dans ses enquêtes. Mais il maintient qu'il respecte l'au-delà et ne provoque que des entités mauvaises pour les faire réagir et obtenir des réponses. Dans une interview de Juin 2009 pour un magazine il déclare : " Je ne veux pas que le public nous perçoivent comme des enquêteurs provocateurs. Nous ne provoquons que des entités ayant attaquer des vivants". Zak à des phobies qui sont : le vide, les serpents et les poupées. Il a également un musée qu'il dédit à ses enquêtes. Les objets qui y sont proviennent souvent des endroits ou des affaires sur lesquelles il a était. Il a ouvert un musée il y'a quelques années où il regroupe plusieurs objets hantés qu'il a trouvé ici et là ou sur des affaires qu'il a traité. De plus, Zak est obligé de porter des lunettes de vue depuis son enquête dans la demon house, l'une des affaires les plus terrible où il a était. Zak est quelqu'un de très sérieux surtout lorsqu'il s'agit de son boulot. Il a tendance à avoir d'ailleurs beaucoup de problèmes parce qu'il a tendance à provoquer les mauvais esprits. Il aime bien emmerder son monde et dans le groupe c'est lui le leader. Il lui arrive aussi d'être souvent affecté par les mauvaises entités. Etant un personnage de la vie réelle, Zak ne jouera qu'avec des personnalités et non des personnages inventés ou provenant de séries ou films. Je refuserais tous les jeux avec des personnages inventés et si je me rend compte que la tête que vous utilisez n'a pas le même nom que votre personnage, je considèrerais ça comme un personnage inventé et je mettrais fin au jeu dans l'immédiat. (oui je ne connais pas toutes les célébrités du monde).
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astraementamars · 7 years
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« Delilah n’avait pas la réputation d’être la plus solide, ni la plus discrète, ni même la plus agile ou la plus intelligente des goules, mais elle faisait sans nul doute partie des plus dingues. » — narrateur ; 0/song of healing
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bibliotheek · 7 years
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Chronique d’une Mort Annoncée Gabriel García Márquez 1987, Poche, 115 pages
ISBN 13: 9782253043973    ISBN 10: 2253043974
Sur la silhouette de Santiago Nasar s'est penchée la figure grimaçante de la mort. Qui n'a pas entendu, de la bouche même des assassins en puissance, les frères Vicario, le désir ardent de laver dans le sang l'honneur bafoué de la famille ? Nombreux sont ceux - les amis, la famille, les criminels eux-mêmes - qui tenteront de déjouer ce que le narrateur, enquêteur minutieux, affirme comme inéluctable dès les premières pages... Mais sur ce bout de terre tropicale, rien ne semble capable de fléchir l'axe effilé du destin. Récit bref, l'histoire se déroule en cercles concentriques sous la forme d'une spirale infernale qui précipite la victime vers sa fin, connue de tous, qu'il soit acteur ou lecteur. L'écrivain colombien, par cette construction ingénieuse, développe avec humour et imagination - annonçant l'explosion lyrique et stylistique de Cent ans de solitude - le thème de la fatalité. Une fatalité décrite par Gabriel Garcia Marquez comme l'émanation concrète, émancipée au-delà du concept, d'une population aux règles ancestrales et à la destinée pétrifiée.
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uneautreimage · 7 years
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DÉRIVE URBAINE #4
Tout en prolongeant et précisant des expérimentations graphiques et narratives situées dans l'entre-deux de la bande dessinée, de l'illustration et de la poésie, le quatrième numéro de Dérive Urbaine prend un tournant dans la définition qu'elle cherche à donner, depuis 2006, à la notion d'errance. Celle-ci se voit plus posée, presque apaisée, correspondant à des temps d'observation, d'attente et de spéculation sur le sens de l'existence, comme une réponse possible à l'angoisse, la névrose et la violence dénoncée dans les précédents numéros. A la manière d'un effet de loupe et à l'image de sa couverture réalisée par U235, entre figure identifiable et dessin éparpillé, la revue opère des allers-retours entre le précis et le trouble, l'individuel et le collectif, le lyrisme du particulier et du général, aussi bien à l'échelle de sa globalité qu'au sein des histoires qu'elle contient.
La première page annonce un sommeil hypnotique, qui pourrait être l'explication de ce repos finalement aussi engagé que la révolte des premiers numéros. G dissémine à travers l'ouvrage le récit d'une femme prise entre fiction hallucinée et réalité endormie, employant au début de chaque planche deux cases identiques, comme si son histoire se rejouait sans fin. Mais les issues semblent toujours mener à la même angoisse, et l'échappatoire que représente le réveil semble elle-même compromise... A travers une adaptation d'un texte d'Henri Michaux, avec qui il partage un registre graphique tachiste, Boris Hurtel nous écrit d'un pays lointain. Effaçant la figure de tout personnage identifiable pour se contenter de rares silhouettes, l'auteur emprunte à Michaux sa voix de narrateur pour inviter le lecteur à la rêverie et au voyage, dans un style toujours entre abstraction et figuration qui trouve son sens dans des cadrages et des gros plans presque cinématographiques, jouant des matières et de la fragmentation des séquences narratives. Bob Hurt, sorte de double de Hurtel, propose quant à lui une déclaration d'amour à la ville de Saint-Ouen, remplie des motifs que font les innombrables fenêtres des immeubles, les fleurs des quais de Seine et la fumée des pots d'échappement. Gaiihin raconte la balade, qui sonne presque comme une ballade, d'un couple en voyage, aussi bien définie par la matérialité du langage littéraire qui les décrit que par les hasards de leur trajet, marqué en son centre de l'apparition surréaliste d'un gant trouvé par terre, comme une parenthèse rompant un instant la cohésion du réel et de la logique. Guillaume Soulatges chorégraphie des saynettes animalières dont le graphisme à la fois précis et caricatural représente des situations absurdes d'animaux ne prenant la parole que pour se plaindre, comme si toute tentative d'action était vaine. Comme en écho, Martin Péronard évoque l'ennui d'un superhéros aillant perdu ses pouvoirs, et sa rencontre avec un méchant aussi incapable que lui d'assurer ses fonctions.
Dans un registre qui tient également du récit de voyage, Gautier Ducatez livre un documentaire dessiné reliant entre eux deux parcours autonomes. Il entremêle ainsi un texte sur un voyage à vélo vers Prisme, plateforme de transport de livres, et des dessins du paysage de Royène de Vassivière, si bien que les identités des deux lieux se mélangent pour n'en former qu'un et proposer un espace hybride, laissant le lecteur chercher dans les paysages de la Creuse les angles de ce bâtiment en cuivre oxydé dont il est question dans le texte. Jacques Velay propose une version revue et corrigée des Plus beaux villages de France, mais situe son récit dans une époque d'après-guerre futuriste, en 2099. Les communes françaises prennent l'apparence de constructions géométriques abstraites, volumes spatialisés évoquant l'univers surréalistes de Dino Buzzati, accompagnées de descriptions ornementées et de déclamations anarchistes. Comme en prolongement de cette spéculation sur l'avenir, U235 présente le programme de l'Institut synthétique, organisation politico-scientifique fictive projettant d'améliorer l'être humain coûte que coûte grâce à la création d'une île utopique et à l'abolition des règles éthiques qui régissent nos cultures. Rendu cynique et grinçant par la naïveté des mascottes qui le promeuvent, le projet ne semble pourtant pas si lointain des objectifs de performance de notre société actuelle... Avec ses planches à chute au graphisme spontané, hésitant entre humour noir et rire jaune, Lucas Taïeb installe des systèmes autonomes, microcosmes quotidiens régis par une poésie de l'absurde qui finit par trouver sens dans la réinvention des règles de communication, de relation et de reproduction des individus.
Plus surréaliste, moins punk que les précédents, le numéro 4 de Dérive Urbaine initie à la rêverie et au voyage, que celui-ci soit de l'ordre de la contemplation métaphysique ou l'occasion de spéculer sur des systèmes utopiques futuriques, à la manière d'un voyage dans le temps. Plaçant le récit de voyage au centre de sa construction, il se détache un moment de la notion de personnage pour atteindre une ambition plus large, liée à des rapports humains dépassant l'individu, comme si la barque prête à accueillir le lecteur pour le faire dériver au fil de l'eau s'était élargie, et que des rames étaient désormais mises à sa disposition.
60 pages - 21x29,7 cm - couverture couleur - intérieur noir et blanc
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letrounoirmeth · 7 years
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Citizen Kane dans le trou noir.
  Souvent considéré comme le meilleur film de tous les temps, Citizen Kane est un chef-d’œuvre du cinéma américain. Réalisé par Orson Welles en 1941, il est surtout reconnu pour ses innovations cinématographiques, notamment en ce qui concerne la profondeur de champ. Personnellement, ce qui m’a le plus attiré dans Citizen Kane, c’est la magnifique direction artistique et particulièrement les décors enneigés. D’ailleurs j’ai pensé à Citizen Kane comme intermédialité dans ma nouvelle Le trou noir, car je cherchais un film avec des décors enneigés pour créer des images de qualité dans mon texte. J’ai alors pensé à  la scène de la  boule à neige  dans Citizen Kane et c’est ce qui a inspiré presque tout cet extrait sur celle-ci. Il y a aussi plusieurs références au film dans la nouvelle. Les noms des personnages, Charlie et Rose, sont inspirés du personnage principal qui s’appelle Charles et de sa luge qui porte l’écriteau Rosebud. D’autres liens unissent le personnage de Citizen Kane et la protagoniste de Trou noir.  Si pour Charlie, la boule à neige représente son enfance, les jours avec son père et la vie qu’elle aurait souhaité avoir,  c’est la même chose pour Charles Kane qui sombre dans une dure nostalgie en repensant à sa luge qui représente l’innocence de l’enfance et l’avenir que ses parents ont tout tracé pour lui. Les deux personnages repensent aussi à ces objets tout juste avant leur mort. Le temps de la narration est aussi similaire entre celle du narrateur de Citizen Kane et celle de Charlie. Dans le film et dans la nouvelle, il y a constamment des analepses, mélangeant ainsi passé et présent. Ces analepses, dans les deux cas, sont essentielles à la caractérisation et à la compréhension des deux personnages principaux. Le manoir lugubre de Kane, où il finit par mourir seul, peut aussi être comparé au bunker de Charlie, où elle aussi y meurt seule. Charlie déteste le  bunker, on le comprend facilement. Comme le manoir pour Kane, il représente une prison, la noirceur quelque chose qui l’empêche de « vivre ».  
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