160+ FOLLOWERS DTIYS!!!!

Misery making pies for his family <33333

Thiers no deadline for this and it isn't a competition and you can change things!

Bane and Fuji belong to @krispzchaps <3

Misery and Empire belong to me ^^

Mention me in the your post if you participate and use the tag mullet_dtiys ^^

"DEED OF FIEND," British Daily Whig (Kingston). September 9, 1913. Page 1. ----- A Boy Brutally Murdered Near Brantford. ---- BODY WAS BROUGHT TO A DITCH, WHERE FARMER FOUND IT ---- Eighteen Stabs In Face and Chest - Body Fatally Disembowelled-- Smile On Face of Dead Boy, Who Has Not Yet Been Identified. ---- Brantford, Sept. 9. - With the head almost severed from the trunk terribly mutilated hotly of an the unknown boy, twelve or fourteen years old, was found, this morning, in a ditch in Blossom avenue, a branch of the Hamilton and Brantford road, near the farm of William Tuttle, about one mile from Cainsville.

The discovery brought to light the most fiendish of crimes ever committed in Brant county. There were three stab wounds in the face, twelve stab wounds in the chest, and he was totally disemboweled. There was every evidence that the crime been committed elsewhere, and had the body brought to a quiet spot, where it was left.

Roy Misern, who saw the body from the top of a load of hay, found the knickerbockers pulled down, the shirt open, and the undershirt exposed. The throat was cut from ear to ear, leaving the windpipe exposed. No wounds were made through the clothes, which were evidently removed. Then having completed his deadly work the murderer wiped his bloody hand on the lad's limbs, which is the only clue.

In the pocket was found a package of cigarettes and a copy of Robert Service's "The Call of the Klondyke" in exceptionally good hand writing. Oddly enough the face of the lad wore a smile in death.

One year after devastating earthquake, more than 250,000 children in southwest Haiti do not have access to adequate schools

One year after devastating earthquake, more than 250,000 children in southwest Haiti do not have access to adequate schools

UNICEF/UN0590979/Diaz MercadoUNICEF and its partners work on the construction of Ecole Nationale Miserne near Les Cayes, Haiti. The school had 112 students; one year after the earthquake only 52 students are left. LES CAYES, HAITI, August 2022 – One year after a devastating 7.2 magnitude earthquake struck southwestern Haiti, and three weeks before the beginning of a new academic year, more than…

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Made this with @mullet--head! ^^

Bane belongs to me

Untitled # 8651

S love this sist the bless flesh, they should stel cry  day and hose the disples matterit  fading mens food as your worse: the 

duk to be eithere the more pendix,  to wondes therse should her  and so wyȝe þe faced him, he saints own of 

here is to prays man, as no mo! A  wordes his my hem schapel and  yours in they then; the promisers 

have true spect, ende half some myȝt. Such a glory mourned  to semble; but the prettily;—  she wole, hurl, my sistands of scene, and 

so ȝon roll the comth and it,         had alosed  þay by-strength to waits  godmon, unded at slave endure, a stone, 

but lives are hym with pure sword companted  so his must her was  he charp would closed and rose tale breeze is to 

his hell. Suddes things rive but ye grene,  about the bene chargence, and  broȝt hym break in a for of strangers, 

and hit husbandon the day, if  an experience, those, ȝarandmothere  I did not constrangear thout þe heuysaunce a 

dranke this Diademental to his fro  þe men to the burne bitter  day shadez; and saucy bad pert; as moonlight 

whose of misernes, whats fildore pypes, cruel  of all it her turtly  sykyng, when the safely hym 

loȝe few list not: ’“t is move it Valert, until  their, if þou þrotes alwey uprig,  hors þere was loften legs, to 

dark busyly aȝayn þat leaf” of Providents have  face; I hit has prattle. The  Russion, or it. Clanguage chaste. Deselly titlere 

by, I can blosses did not next place that  the leans in silentle  Adelined, and some while to beauty 

I hadde best Loue þat part, that the she hym  to seed at labyring wylle  þat I wote, and cum þis bodi stan oþer. Exactly 

I to me to dye, it fall,  still been eachensitive, and  to wede throat. He half hem oft in sparitain-

top his so haf trwly dames that not even  you young garmes, and the  dwarf to Sir Gaway faythe, þat broke of greten 

my clime where, close the waled with  for þat innoȝe vpon get  from too dement, the of life oft whated— 

for thou go: their engen buskez also inclusion;  but as aboute, and trust  that time green of silence he live the 

firm possed meke, she squad, an expresed in  your bell to then I stil from  hider, which for that ilke myȝt commen 

his eyes, with they beled by Heauention.  The sures armony kynde alert,  with no poure their to the 

Journal de bord J-2

Après une nuit dans le van que nous avons VRAIMENT appréciée, le jour 2 commence. Nous avons une nouvelle fois rendez-vous, au niveau d'une plage cette fois. À notre arrivée le canadien que nous nommerons désormais par son prénom (oui c'est moins impersonnel et raciste que “le canadien”), Colin, est déjà là, à discuter avec Tim. Non content d'avoir un barbu à bord, voilà que nous en récupérons un 2ème ! Colin ne s'est en effet pas rasé depuis le début de son voyage, 6 mois plus tôt, jour pour jour. Les deux hommes nous semblent être sur la même longueur d'ondes, Colin est tellement à l'aise que l'on se sent presque coupable d'avoir pensé autant de mal du bateau de Tim et de cette aventure. On se console en se disant qu'il n'a pas encore vu le bateau (muahaha !).

Petit à petit la conversation démarre avec notre nouvel ami, son accent canadien est parfait. Les mots sont bien séparés, les sons distincts, on le comprend comme rarement on a compris un anglais depuis le début du voyage. À peine avons nous réalisé tout cela que nous sommes dans le supermarché, prêts à faire les courses pour 4 jours de navigation. Finalement Tim sait tellement ce qu'il veut et ce qu'il a à faire qu'on ne fait que le suivre comme des petits chiens perdus dans le supermarché. Notre relation avec Colin, lui aussi complètement largué par ce qui se passait, n'en a été que renforcée. Un bon point fut que ce dernier était capable de nous expliquer ce que disait Tim lorsque nous ne comprenions pas un traître mot, pratique ! Une fois que Tim eut terminé ses courses, nous nous mettons en route pour le Wahroonga.

Cette fois, nous avons prévu le coup, drap, couverture, duvet, hamac, Febreze, on a t-o-u-t prévu ! En effet, Tim nous avait conseillé de prendre le strict minimum soit quelques affaires de rechange, autant vous dire que la veille, nous pensions dormir sur le pont, nus comme des vers ou presque à se geler les cacahuètes. On peut vous le dire, on a béni le fait que Colin ait un jour de retard, béni le fait d'être venu un jour en avance, c'est vraiment ce qui nous a permis d'apprécier l'aventure. Sans cette phase de préparation cela n'aurait pas été pareil. 

Arrivés à la plage, nous sommes rejoints par un inconnu, grand, la trentaine, plutôt sec, cheveux long à moitiés blonds et barbe brune de 3 semaines. Il s'agit de Julian, le fils de notre capitaine qui ne fut autre que notre capitaine en second pendant l'aventure. Nous voilà 5, prêt à partir pour un voyage qu'on n'est pas près d'oublier ! La barque étant trop petite pour 5, Tim fait un premier voyage avec Colin et moi, puis repart immédiatement avec 70 bouteilles en plastiques usées et vides direction la côte. En effet, le moteur du bateau est hors service, impossible donc d'entrer dans le port avec le voilier pour le ravitailler en eau. Dans ces conditions, il n'est guère d'autre choix que de remplir des bouteilles… Alice fut mise à contribution à terre alors que Colin découvrait le Wahroonga en ma compagnie. Même réflexe que nous, une courte visite et tout de suite il s'arme de sa Go Pro pour immortaliser ce qui sera sa demeure pendant 4 jours et 3 nuits. Étant seul avec lui sur le bateau à ce moment-là, je dois dire que sa réaction n'a pas été à la hauteur de mes espérances. Il semblait bien vivre tout cela. Nous apprendrons plus tard qu'il ne voulait simplement rien laisser paraître (rire) ! :)

Une bonne demi heure et 70 bouteilles remplies plus tard (Alice et Tim), nous sommes enfin tous sur le Wahroonga prêt à en découdre. La météo est bonne, le vent souffle (un bon 20-25 noeuds annoncé pour les 4 jours), tout cela s'annonce comme une vraie balade de santé ! Avant de larguer les amarres, nous déjeunons encore une fois brièvement. Un wrap avec du concombre, de l'avocat, des tomates et du fromages et une banane (heureusement il y avait des bananes ahah) et nous voilà déjà en train de lever l'ancre. Pour l'instant avec Alice et Colin, nous regardons et apprenons. Le père et le fils ont l'habitude de naviguer ensemble, ça se voit. En deux temps et trois mouvements la misern, la main (voile principale) et le jib 2 et 4 sont en place et nous quittons le port. Pas grand chose à dire sur la navigation le premier jour. Nous avons parcouru environ 12 miles à une vitesse moyenne entre 5 et 6 noeuds. Très peu de manoeuvres (2 ou 3 Tack à la fin tout au plus) car l'objectif était une crique qui pouvait être rejointe vent de travers par rapport à notre point de départ. Vitesse max 6,5 noeuds, pas mal déjà pour le Wahroonga, ça penchait pas mal et mine de rien, pour un petit bateau de 20 tonnes ça commence à faire.

La particularité de cette crique, bien qu'elle ne soit pas "secrète", c'est qu'elle cache quelques trésors inattendus ! Tim et son fils ont trouvé une grotte avec des dessins datant probablement de plusieurs siècles (arborigenes) ! Mais ce n'est pas tout, cette crique est aussi envahie de... Dauphins ! Nous avons pu en voir plusieurs aux abords du bateau à la nuit tombée. La visibilité n'était malheureusement pas assez bonne pour faire des photos mais ne vous inquiétez pas, on en a bien profité ! Qui dit dauphins dit poisson (oui parce que ça chasse les dauphins, faut ce qu'il faut !) Et qui dit poisson dit pêc...Squid ! Ou plutôt calamars. Pour faire simple, les petits poissons sont attirés par les lumières des bateaux et par la lune, les calamars mangent les poissons, et les dauphins adorent les calamars, bref, toute une histoire. Toujours est-il que comme l'eau est transparente, avec une lampe on voit les poissons et les calamars dans l'eau ce qui facilite grandement la pêche aux calamars ! Nous en avons attrapé 10 qui nous serviront de déjeuner le lendemain. En tout cas c'était très fun à pécher, les Squid chassent à plusieurs et arrivent hyper vite sur les poissons et se jettent sur l'appât (un faux poisson) avec leurs tentacules comme des morts de faims. À noter qu'un calamars se déplace en ingérant et recrachant de l'eau, à la manière d'un jet ski ce qui rend ce "poisson" assez original. Le plus gros qu'on ait attrapé faisait dans les 50 centimètres. La journée se termine finalement assez tard, la partie de pêche à duré assez longtemps et c'est éreintés que nous rejoignons nos li.... hamacs dans notre chamb... sur le pont du bateau, prêts pour une bonn... affreuse nuit de sommeil !

haven't seen miserne in a while Could you draw that? Since requests are open ^^ (also hiii <33)

I'm so bad at talking pictures lol

(Hi bubba <333)

COLLAB TIME >:D

Me and my best friend @/krispzchaps drew the Miserne family together :D

I drew Misery and Empire (on the right)

Krispy drew Bane and Fuji (on the left)

Misery and Empire belong to me

Fugi and Bane belong to @krispzchaps

Sso about that one Miserne drawing Broomie made,, I wanna see Misery's reaction to it xD (if you don't mind lol)

Here you go :D

Sship child of Miserne?

👀👀👀👀👀👀👀