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#mafia albanaise
latinaz-gurl · 3 months
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ACTES SUD (on Wattpad) https://www.wattpad.com/story/355316613-actes-sud?utm_source=web&utm_medium=tumblr&utm_content=share_myworks&wp_uname=insz52k Vengeance. Kaysa Zalachenko, une tueuse à gages torturée par une obsession risquée, sombre peu à peu dans la folie la plus obscure. Réputée pour son statut au service de la dangereuse Camorra, elle se voit qualifiée de bombe à retardement par les gens de son milieu. Contrainte de s'infiltrer dans les réseaux de Kompania Bello, mafia albanaise, pour empêcher son ascension au sein du crime organisé, elle se retrouve de nouveau confrontée aux problèmes de son ancienne vie. Et au bout du tunnel commencera aussi l'exécution de son sombre plan, l'obligeant à mener un double-jeu où elle finira par s'y perdre. « Mais la lumière du désespoir n'est-elle pas la mort ? »
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Maxime Girardeau - Ego
Maxime Girardeau – Ego
Après Persona, centré sur la vengeance, Maxime Girardeau sort son second roman, Ego, celui-ci centré sur la manipulation, avec, comme pour le premier, le milieu de l’Intelligence artificielle et des technologies de l’information et de la communication en toile de fond. Mais, Ego diversifie ses intérêts avec la présence de la mafia albanaise, spécialiste de la traite des migrants qui contrôle des…
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Le miroir des âmes, Nicolas Feuz, Le Livre de Poche, 7,40€
Lorsque le procureur Jemsen se réveille à l'hôpital, il ne lui reste que quelques bribes de souvenirs : le centre-ville de Neuchätel, la terrasse d'un café, des visages souriants, puis l'explosion. Ensuite, le trou noir. Tandis que le procureur, aidé de sa greffière, tente de remonter le fil de sa mémoire pour comprendre qui était visé par la bombe, deux policiers se lancent sur les traces d'un mystérieux tueur en série qui sévit dans la région. On le surnomme Le Vénitien à cause d'un procédé singulier : il coule du verre de Murano dans la gorge de ses victimes. Un attentat sans commanditaire, des meurtres sans mobile apparent, tout est trouble dans ce polar où se mêlent assassinats barbares, corruption politique, réseau de prostitution et mafia albanaise...
(1 Exemplaire)
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birdyrunaway-blog · 5 years
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Tout seul on va plus vite, ensemble on va plus loin !
Mostar, Bosnie. Le 13 janvier 2019. Histoire du "Gitan Blanc"
Après avoir traversé toute la chaîne de montagnes et profité encore de beaucoup de générosité, nous voilà arrivés à Mostar en soirée, territoire où règne le "Gitan Blanc".
Dans le centre, près du vieux pont, nous rencontrons David. Alors que nous parlons français, il nous interpelle dans notre langue maternelle.
- "Vous recherchez un hotel ?", nous demande-t-il dans un parfait français.
Interloqués, nous lui répondons que nous cherchons un bar et un lieu où dormir mais pas un hotel ou une auberge.
- "Je connais tout ça, la galère et tout !" dit-il en nous invitant à le suivre.
À ses côtés, nous rejoignons une vieille maison abandonnée où un vieil ami à lui (plus de 30 ans qu'ils se connaissent) a élu domicile depuis la guerre. David nous informe que son ami s'est renfermé sur lui-même depuis la guerre et qu'il parle peu. Nous découvrons un homme d'une cinquantaine d'années assis sur une chaise de bureau en cuir, les jambes croisées, une épaisse chevelure et une barbe poivre et sel hirsute.
Par opposition, David est très loquace, il ne s'arrête de parler que pour nous laisser acquiescer. Par bribes d'histoires, nous en apprenons un peu plus sur lui. Il fut chef cuisiner en France, à Marseille et Paris, puis en Belgique à Bruxelles. Sa vie fut trépidante et bien éloignée de la notre, enlevé de sa mère jeune, il s'exile en France pour travailler. C'est là-bas qu'il intègre la mafia albanaise, pensant être accueilli dans ce cercle comme dans une famille. De fil en aiguille, il commet quelques larcins jusqu'au meurtre. Accusé en France par les renseignements généraux d'un meurtre dont il se clame innocent, il purge une lourde peine et enchaîne les séjours en prison dans tous les pays qu'il traverse.
Il se vente néanmoins d'un meurtre qu'il aurait commis sans préméditation dont nous vous passerons les détails.
Malgré la violence de certains de ses propros, il parle avec calme, semble avoir la tête sur les épaules et nous nous sentons à l'aise en sa compagnie.
Grâce à lui, nous en apprenons davantage sur la guerre et sur l'histoire de son pays, la Bosnie.
Après une longue marche, nous campons au sud de la ville. Malgré les généreuses invitations de David, nous préférons nous éloigner et rester sur une bonne impression du Gitan Blanc dont nous ne pouvons vous révéler le nom...
Citations de David :
- "L'invité ne peut rester plus de trois jours, au delà tu t'en lasses."
- "Si tu veux faire rire Dieu, fais des plans.", sa manière à lui de parjurer le destin.
- "En France, un black avec une vraie carte, avec un joint il prend une tarte." La carte rappelle la carte d'identité et justifie que lui était illégalement en France mais qu'il n'a pas été expulsé. Du moins, pendant quelques années...
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Banja Luka, Bosnie. Le 12 janvier 2019.
Au bord de la route, de nombreuses maisons, à peine terminées, paraissent abandonnées pour la plupart mais restent habitées pour certaines. Comme constaté à Lipik hier, de nombreuses habitations ont été détruites par la guerre, des organisations internationales ont rendu ces locaux tout juste habitables. Les murs sont reconstruits, les trous de balles rebouchés mais finalement aucun enduit n'y a été appliqué. Cela donne l'impression d'être plongé plusieurs années en arrière tout juste après la fin de la guerre.
Un jeune homme s'arrête au bout de quelques temps. Nous arrivons à Banja Luka, 50 kilomètres plus loin. Lui se rendait initialement à Nova Topola mais il décide de venir avec nous pour visiter. Slavisa ne semble pas moins perdu que nous, il faut dire qu'il n'est pas aidé par l'absence totale de panneaux directionnels... À notre arrivée, Slavisa nous offre un burger bosnien, composé d'un steak de poulet haché enfuit dans un pain pita. Avant de partir, il nous demande quelle est la meilleure nourriture à emporter en voyage. Il souhaite donc nous acheter des pâtes. Nous ne demandons rien mais recevons beaucoup. Voyager sans argent nous rapproche des personnes que nous rencontrons. Nous passons plus de temps en leur compagnie et pouvons donc connaître leur histoire et celle de leur pays selon leur vision. De surcroît, cela constitue un témoignage de ce qu'est finalement capable l'humain.
Plusieurs kilomètres au sud, aux pieds des premières montagnes bosniaques, nous marchons et voyons dans l'air se former de la vapeur d'eau autour d'une petite cascade.
À la vue de ces sources chaudes, nous abandonnons toute idée d'avancer et partons s'y baigner.
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Gradiska, Hongrie. Le 11 janvier 2019.
Le réveil sonne à 4h15. Nous avons rendez-vous à 4h50 devant le portail, avec Eva, une amie de Lori qui se rend au marché de Kaposvàr pour y vendre ses fromages. Nous n'avons plus un sou et souhaitons rejoindre le Monténégro ainsi.
Nous tendons le pouce vers 8h sur la route 67. Un homme puis une femme nous avancent successivement de quelques kilomètres. Cette dernière, dresseuse de chevaux, nous offre café et petit-déjeuner au restaurant de la ferme où elle travaille. La journée s'entame de la meilleure des manières.
Deux hommes puis un père et sa fille nous conduisent droit à la frontière croate que nous franchissons à pied. Trois voitures nous permettent enfin d'effectuer 45 kilomètres jusqu'à Veliki Zdenci. Là, un couple de bikers nous conduit à Daruvar. En chemin, ils nous invitent à boire un café au Snooker. Un enchaînement de trois voitures effectuant chaque fois la liaison d'un village à l'autre nous fait atterrir à Lipik.
Nous attendons longuement une voiture. La nuit ne tarde pas à tomber. Un homme nous tient compagnie et nous offre finalement des bananes et des figues séchées puis s'en va. Nous décidons de lever le camp, il fait nuit et les voitures sont rares. Tout espoir perdu pour avancer, c'est alors qu'un jeune ralentit à notre hauteur après avoir fait demi-tour. Cet ingénieur en génie électrique est fasciné par notre voyage et souhaite, par conséquent, nous rendre service autant que possible. Il nous dépose à la frontière bosniaque, 35 kilomètres plus loin, puis fait chemin arrière pour revenir au point de départ. Nous franchissons la frontière à pied.
Cette journée aura été épuisante. Nous avons beaucoup marché, traversé toute la Croatie du nord et effectué 280 kilomètres grâce à 14 voitures différentes. Une journée plus que satisfaisante en somme puisque nous sommes rassasiés par ces multiples rencontres.
Une longue nuit s'impose ...
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Syófok, Hongrie. Le 10 janvier 2019
Réveil tardif sous la neige ce matin. Il est environ midi lorsque nous atteignons un arrêt de bus où il fait bon de faire de l'auto-stop. Pendant qu'Adrian et Nicolas commencent, nous mangeons sur les marches du restaurant se trouvant derrière. À ce moment précis, le patron du lieu, Gyula, sort et nous invite à lâcher nos sandwiches pour goûter ses plats. Installés au fond de la salle, près de la cheminée à inertie, une soupe aux vermicelles arrive accompagnée d'une bière. Le plat de résistance arrive à son tour. Pensant bénéficier de l'entrée seulement, nous n'avons déjà plus faim pour ces pommes de terre en sauce. Pour finir, Gyula en personne nous apporte deux cafés et le digestif (palinca).
Nous avançons sans grande réussite. Entre chiens et loups, Valentin s'arrête et se dirige vers Siofók pour un rendez-vous professionnel. À l'arrivée, nous devons l'attendre pour qu'il nous emmène un peu plus loin sur notre route. Après une heure et demie d'attente, il sort accompagné d'un homme plus âgé et ce dernier nous aborde. Il nous propose finalement de nous conduire chez lui où une chambre nous attend. Nous découvrons ainsi le ranch exceptionnel de Lori à l'extérieur de la ville. Nous occuperons la chambre de l'ancien palfrenier. Pour couronner le tout, un plateau de nourriture nous est apporté ainsi qu'un sac remplit de friandises.
PS : Gyula, en contrepartie de son repas, nous demande de suivre sa chaîne Youtube et de la partager, nous vous laissons apprécier son talent ici : https://www.youtube.com/channel/UCv1RcyhvQ99r5JhlpMgZ7ug
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- Holice, République Tchèque. Le 16 décembre 2018
Le réveil sonne à 7h45. Un jeune homme passe et nous demande un briquet. Il s'éloigne puis revient fumer une seconde cigarette à nos côtés, 2 cafés qui nous sont destinés à la main. Il rentre d'une soirée visiblement bien arrosée et s'en va, titubant, probablement commencer sa nuit.
Nous terminons de plier la tente, lorsque, d'un balcon au loin, une femme nous interpelle en tchèque. Nous pensons comprendre qu'elle souhaite nous offrir un café. Peu sûrs, nous passons devant l'entrée de l'immeuble, l'air de rien. La dame nous attend, une tasse de café fumant dans chaque main et quelques gâteaux. Nous avons juste le temps de nous brûler la langue avant de poursuivre notre chemin. Cet élan de générosité constituera les prémices d'une journée très productive avec pas moins de 280 kilomètres parcourus en 6 voitures et se terminant dans la maison pastorale de Karvina dont notre chauffeur, le prêtre du village, nous donne la totalité des clefs.
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Tout seul on va plus vite, ENSEMBLE ON VA PLUS LOIN !
Actuellement en voyage pour s'éclaircir les idées, cette page est l'occasion de vous tenir informé(e)s de notre avancée et des expériences humaines que l'on souhaite vous partager.
(English : Currently travelling and hitchhiking on the way to Asia, this page is an opportunity to keep you informed of our advance and to share human experiments we're living. To follow us : https://www.instagram.com/toutseulonvaplusvite & https://alexbirdy.travelmap.net)
Cette initiative est la première étape pour se réunir vers un projet plus conséquent où chacun partage la même vision du monde.
Notre rêve, construire ensemble une communauté. Dès notre retour en France, nous souhaitons acquérir un terrain où vivre et accueillir diverses activités. Nos objectifs :
- Tenter d'inspirer et de mettre en lumière des alternatives dans un pays où la carrière apparaît comme une nécessité pour réussir ;
- Mettre les connaissances de chacun(e) au profit de l'intérêt public ;
- Prendre soin des Hommes et de la Terre tout en engrangeant des ressources.
L’élévation de la conscience collective pour la protection de l'environnement et notre attrait pour les énergies vertes, l'économie circulaire et le partage des savoirs et techniques, nous poussent à agir concrètement et sur le long terme.
Nos premières idées visent l'autosuffisance énergétique et alimentaire. Pour ce faire, nous désirons construire un ou plusieurs bâtiment(s) bioclimatique(s) producteur(s) d'énergie propre en liaison avec un potager en permaculture (autoconsommation , marchés, AMAP ..). Une fois l'autarcie acquise, nous avons la volonté de multiplier les activités : brasserie, café-concert, galerie d'art, atelier participatif pour artistes et artisan(e)s, boutique éphémère, ferme pédagogique, camping, gîte, etc.
Si tu souhaites t'investir, fais-nous part de tes intentions. Nous souhaitons profiter de cette occasion pour faire mûrir le projet et faire évoluer les perspectives ensemble. Chaque idée ou suggestion sera la bienvenue.
Tu pourras t'installer, séjourner plus ou moins longtemps ou ne faire que passer pour faire jouir l'ensemble du collectif de tes talents. Nous aimerions ouvrir le champ des possibles. Cette ambition n'est pas risquée ni éphémère mais bel et bien réelle. Nous pensons que le retour au naturel et la décroissance ne constituent en aucun cas une régression. Au plus vite on se met en mouvement, au plus ce sera facile et efficace.
Facebook : facebook.com/toutseulonvaplusvite
Instagram : instagram.com/toutseulonvaplusvite
Pour suivre notre voyage : https://alexbirdy.travelmap.net
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reseau-actu · 6 years
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Alors que l'Albanie ne connaît pas, ou plus, de tensions majeures ou de situation de guerre civile ou extérieure, le nombre de demandeurs d'asile albanais en France est le deuxième plus important après l'Afghanistan.
Nul ne s'étonnera de trouver l'Afghanistan au premier rang des demandes d'asile. La présence de l'Albanie en seconde position est plus surprenante. Considérée comme une nation «sûre» par l'Ofpra, elle ne connaît pas, ou plus, de tensions majeures ou de situation de guerre civile ou extérieure. Économiquement, elle se situe au 96e rang mondial en termes de PIB par habitant, un résultat bien meilleur que l'Afghanistan (175e) et les trois autres pays du «top 5» des demandeurs (Guinée, 174e, Côte d'Ivoire, 151e, Soudan, 173e).
Les associations de défense des demandeurs d'asile dénoncent notamment une résurgence des vendettas traditionnelles. Ce qui ne suffit peut-être pas à expliquer cette seconde place, certes en fort recul (- 43,9 % avec 2767 demandes de janvier à juillet 2018 contre 4931 demandes pour la même période de 2017).
La libéralisation des visas
La réponse tient en réalité en trois mots: libéralisation des visas. L'Albanie, après d'autres pays aux frontières de l'Union européenne, en a bénéficié. Avec pour conséquence, des plus classiques, une augmentation des demandes d'asile. En 2017, les Albanais représentaient la première demande en France, en forte hausse annuelle (+ 65%). L'Hexagone semblait particulièrement attractif puisque la France concentrait 40 % des demandes d'asile «albanaises» de l'Union. Des chiffres témoignant de l'existence de véritables filières de passeurs. Et un problème se compliquant encore du fait des activités criminelles des mafias albanaises, spécialisées dans le proxénétisme et le trafic de drogue et bien connues des services de police européens. Début 2018, un demandeur d'asile était ainsi interpellé dans la région lyonnaise alors qu'il avait installé dans son logement social… un laboratoire de fabrication d'héroïne.
» LIRE AUSSI - La France débordée par les demandes d'asile
Face à ces problèmes, le ministre de l'Intérieur, Gérard Collomb, a rapidement pris contact avec le gouvernement albanais pour renforcer la coopération, dissuader les départs et lutter contre les réseaux criminels. L'Albanie étant candidate à l'entrée dans l'Union européenne avec un possible démarrage du processus, très long, dès 2019, Tirana s'est montrée réceptive. Le 20 juillet 2017, un plan d'action a été présenté par la Place Beauvau. Côté albanais, les contrôles des départs ont été renforcés, avec une hausse du nombre de refus de sortie du territoire. Les réadmissions en Albanie de ressortissants albanais faisant l'objet d'une obligation de quitter le territoire français ont également augmenté de 30 % en 2017 par rapport à 2016 et le mouvement s'est poursuivi en 2018. Côté français, le nombre des éloignements a connu une nouvelle hausse pour les sept premiers mois de 2018 (+ 23,25%).
Par ailleurs, en juillet 2018, l'Albanie était au premier rang (17,9 % du total) des demandes d'asile placées en procédure accélérée. Selon cette procédure, l'Ofpra doit se prononcer en quinze jours et la Cour nationale du droit d'asile en cinq semaines contre des mois pour la procédure classique. Autant de mesures qui expliquent le recul de 43,9 % pour les sept premiers mois de 2018. Sans oublier le renforcement de la coopération policière avec l'arrivée de quatre officiers de liaison albanais déployés dans les services territoriaux de la Police aux frontières à Metz et à Lyon, à la DCPJ et à la DGGN pour mieux lutter contre les passeurs et les mafias albanaises.
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yamar-org · 7 years
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KOSOVO | Un mafialand parrainé par la Suisse
KOSOVO | Un mafialand parrainé par la Suisse
Que Haradinaj soit extradé ou non vers la Serbie, sa réapparition soudaine est l’occasion de rappeler quelques faits que les médias de grand chemin se gardent bien de souligner.
Arraché à la Serbie par l’OTAN au terme de 78 jours de bombardements, en 1999, le Kosovo a été livré en pâture aux mafias albanaises et reconnu par l’OTAN et ses alliés, soit environ une moitié des Etats de la planète.…
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stephanemortimore · 4 months
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Sur la trace du Serpent, part 3
Je vais à l’église si c’est ça la question mais est-ce que je crois… c’est un peu la question que se posent tous ceux qui pensent croire non ? Ah oui, le doute, au cœur de nos questionnements également. J’aime les gens qui doutent. Nous allons faire affaire monsieur Begari. Malheureusement je ne sais pas grand-chose de cet Ira mais je vous ferais transmettre le dossier que nous avons sur…
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stephanemortimore · 5 months
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Sur la trace du Serpent, part 1.
Ils étaient une douzaine dans la camionnette, la plus vieille devait avoir tout juste onze ans, le plus jeune à peine un an. Noémie, assise entre deux fillettes à l’air malade, lui donnait le biberon. Les gamins se regardaient entre elles sans un mot, effrayées, fatiguées, sales pour la plupart. Trois jours qu’elle n’avaient rien mangé une journée sans boire non plus. La faim et la soif les…
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stephanemortimore · 6 months
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La Tortue Noire
C’est à vous maitre. La salle du tribunal était pleine de monde, journalistes, partie civile, simples curieux. Une affaire de fratricide dans une riche famille suisse qui alimentait les gazettes depuis plusieurs mois. Un meurtre horrible, des histoires d’argent, des confidences douteuses, des soupçons d’inceste, la totale. L’avocat se leva et alla à la barre plaider. Son client était…
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