There’s a dream in every shadow of sunlight 🌻 (à LILAR Paris) https://www.instagram.com/p/CgUszqgrxAp/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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Suzanne Lilar Le journal de l'analogiste, paru en 1954, lui vaut, à Paris, le prix Sainte-Beuve. Comme Montaigne, l'auteur se prend pour premier sujet d'étude et, à partir d'expériences vécues, retrace la genèse d'une approche originale du phénomène poétique. Lilar définit la poésie comme la nostalgie platonicienne de l'âme qui conserve la mémoire de la présence de Dieu. Breton et Gracq ont approuvé cette distinction entre le beau et la poésie, car si la beauté est dans les choses, c'est nous qui y projetons la poésie. Éternelle habitante des bois dormants de la pensée, c'est en nous qu'elle attend le réveil des analogies et c'est le monde extérieur qui joue le rôle de l'enchanteur.
https://www.arllfb.be/composition/membres/lilar.html
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Flashback . . . 📸 @paulettevicente ❤️ (à LILAR Paris) https://www.instagram.com/p/Cd_MPBOA7q2/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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Je ne me justifierai plus jamais 🌹 . 📸 @i_am_naomiwu ❤️ (à LILAR Paris) https://www.instagram.com/p/CdtROohLTMk/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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Chine du lundi . . . . 📸 @i_am_naomiwu (at LILAR Paris) https://www.instagram.com/p/CdoAa5GKd80/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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Personne ne sourira à votre place ☀️ . . . 📸 @i_am_naomiwu (à LILAR Paris) https://www.instagram.com/p/CdWBPPlKqLt/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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