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#le souffleur de sons
fidjiefidjie · 9 months
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Bon Soir 💙🧘‍♂️🌝 🆕️
Le Souffleur de Sons 🎵 Lettre à la Lune
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recapqsmp · 9 months
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Lundi 21/08 - Perte de mémoire
Philza a accompli sa quête de prendre des photos de lieux ou choses qu'il juge intéressant ou drôle. Cucurucho a validé la quête, il a donc reçu un chapeau, un souffleur a bulle, un trident, et un catalogue de photos de Cucurucho…
BadBoyHalo a effectué un appel avec Skeppy en compagnie des oeufs, en branchant un skeppy block à l'antenne de Sofia. Skeppy lui a dit qu'il était sur l'île, sous forme de blocs de diamant empilés, mais que BadBoy ne l'avait pas encore trouvé. Lorsqu'il le trouvera, il devra casser les blocs pour le faire revenir sous sa forme humaine. Il a appris que BadBoy avait adopté Pomme, et souhaite qu'elle soit en charge de Dapper et BadBoy en attendant d'être sauvé.
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Quackity est revenu ! Il est réapparu, piégé dans l'eau, comme lors de sa disparition. Le plafond de son piège s'est ouvert, et Cucurucho lui a dit de le suivre. Quackity était effrayé par Cucurucho, a essayé d'abord de poser des blocs pour se protéger, et Cucurucho a du le menacer avec un flingue pour lui faire faire certaines tâches. Il l'a fait monter sur un tapis roulant, mais Quackity était très faible et n'arrivait pas a tenir longtemps dessus. Il préférait repartir dans le bac d'eau plutôt que de continuer a monter sur le tapis roulant. Il a aussi subit un test de mémoire, mais il ne se souvenait pas de grand chose, ni de Tilin, ni de l'école qu'il a construite… Quand on lui demande d'écrire quelque chose, sa réponse n'a aucun sens. Il lui a aussi fait passer un test de Rorschach. Après avoir effectué tous ces tests, Cucurucho l'a ramené sur l'île, devant sa maison (qui a été reconstruite dans la nuit).
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- Areo
Après s'être un peu baladé et avoir vu l'endroit où se tenait la cérémonie de mariage, Quackity a demandé aux autres à quelle heure était la fête. Ils se sont réunis pour comprendre ce qui s'était passé, mais le comportement de Quackity était très flou, il ne se souvenait uniquement du moment où il avait été invité à la fête. Quackity avait l'air de vouloir quelque chose en particulier, mais il n'arrivait pas a écrire correctement, et errait pendant que les joueurs l'interrogeaient.
Au bout d'un moment, il a fini par faire faux bond aux autres et est allé dans un endroit sous-terrain, pour construire quelque chose avec du Quartz. Il n'en avait pas assez, donc il a essayé de demander dans le chat si quelqu'un en avait (mais en écrivant un gribouillis que personne n'a compris), puis est allé à la rencontre de Baghera pour lui demander de l'aide. Les deux sont parti dans le désert, en allant d'abord dans un temple où un coffre se trouvait, contenant des souvenirs de la vie de Quackity. Il a ensuite dit vouloir chercher de la lave, a fini par en trouver, et a brûlé tout ce qu'il possédait (excepté un toast à l'avocat). Il est parti dans un village (tout seul, car Baghera l'a perdu de vue), et a eu l'air d'effectuer un speedrun pour aller dans le nether : il a d'abord récupéré un lit, du bois, a crafté une hache, a fait un pillier de 3 blocs de hauts pour frapper un golem. Lorsqu'il s'est retrouvé piégé contre un zombie dans une maison, et qu'il allait mourir, il s'est déconnecté.
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https://clips.twitch.tv/EnchantingAggressiveJackalPupper-ZbcvO-xe3JuAx_Yo
Baghera, ne le trouvant plus, est allé récupérer les livres et photos souvenirs vu dans le temple, a tout traduit, et en a fait une copie. Elle a compris en voyant un tableau de Rorschach que la fédération lui avait probablement fait faire des tests de mémoire, et que tous les livres trouvés dataient de plusieurs mois.
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clhook · 2 years
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on est mi-octobre, voici donc la liste de mes cadeaux de noël de cette année :
ma maman : un châle tricoté par mes douces mains
mon père : un souffleur à feuilles
mes frères : un sac à dos pour l'un et une lampe en forme de vieux téléphone à cadran pour l'autre
mon keum : un vinyle de concert, un livre de Jules Verne, une casquette, un manga dragon ball spécial qui se trouve seulement en convention et des beaux moulins sel/poivre si j'arrive à trouver ce que je veux en occasion
ma grand-mère : un châle tricoté par mes douces mains et un herbier de Colette
mon grand-père : des babas au rhum et un livre sur Jean Mermoz
mon autre grand-mère : une bougie
la grand-mère de mon keum : encore un châle
mon oncle : un livre sur le vin et un plateau fabriqué à partir d'une bouteille en verre fondue
ma belle-famille : du vin local
mes collègues respectivement : du thé au caramel beurre salé, du chocolat original, des boucles d'oreilles drôles de noël, des chaufferettes pour les mains et 2 bougies
le père noël secret du travail : un âne au crochet avec un savon au lait d'ânesse
le meilleur ami de mon keum et sa copine : un bon pour un repas au resto de jeux de société
une copine qui fête ses 30 ans : un coffret avec des lettres à écrire à son futur soi-même
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francepittoresque · 11 months
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7 juillet 1784 : mort de Louis Anseaume, l’un des pères de l’opéra-comique ➽ http://bit.ly/Antoine-Anseaume Auteur de quelque 25 pièces, comptant avec Poinsinet parmi les plus anciens librettistes de la nouvelle Comédie-Italienne, le modeste et laborieux souffleur Louis Anseaume, un des pères de l’opéra-comique, naquit à Paris en 1721, son professionnalisme lui valant d’être sollicité par plusieurs compositeurs importants
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crown-of-serpents · 6 months
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Les Enfants des Volcans
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Pyromancie : feu, lumière, chaleur
Hiérarchie
⨳ Lea Souverain.e Igné.e : Membre qu’iels considèrent lea plus proche de leurs ancêtres, iel est choisi.e parmi les oracles du Coven. Contrairement à d’autres Coven, lea souverain.e igné.e n’a pas d’influence diplomatique : c’est un symbole du soleil et saon représentant.e parmi les vivants. Lea souverain.e est très respecté.e du reste des membres, et sa famille vit dans une situation très confortable. Iel ne peut pas être élu comme représentant.e de son Coven au Conseil.
⨳ L'Espoir Igné.e : Lea souverain.e igné.e n’ayant pas de pouvoir politique, cette tâche revient donc à l’Espoir Igné. Ce dernier s’occupe des affaires du Coven et des relations avec les autres sorcier.ère.s.
⨳ Lea Solargentier.ère : Iel s’occupe des finances du Coven. Puisque les Enfants des Volcans sont des artisans émérites et reconnus, son seul rôle est de s’assurer que l’argent et l’or coulent à flots au sein des plus hautes sphères du Coven.
⨳ Lea Magistrat.e des flammes de verre : Grâce à leur maîtrise de la chaleur et des flammes, les membres du Coven sont d’excellents artisans dans le domaine du verre. Souffleurs de verre et autres créateurs de vitraux décorant les temples et les habitation des plus fortunés, ces artistes du verre sont dirigés par lea Magistrat.e des flammes de verre. C’est ellui qui gère le recrutement et encadre la formation des jeunes rejoignant ce métier prestigieux.
⨳ Lea Secrétaire Ardent.e : Iel est responsable de la documentation, de la gestion des archives, et de la préservation des connaissances et rituels au sein du Coven. Iel assure l'organisation des événements spéciaux et la traduction de textes anciens liés à la foi de Pyroluxion.
⨳ ⨳ Les Sentinelles Incandescentes : Les Sentinelles Incandescentes sont des expert.e.s dans l'art de la Pyromancie offensive. Iels sont essentiel.le.s pour repousser les attaques rapprochées et maintenir une distance de sécurité pour le Coven.
⨳ ⨳ Les Oracles des Flammes : Mystiques du Coven, iels sont en charge de guider les fidèles. L’un.e d’entre elleux sera choisi.e pour devenir lea prochain.e Souverain.e Igné.e. Profondément dévoué.e.s à l'esprit et aux ancêtres, il est courant que les deux oracles soient constamment en compétition pour débattre de qui est un.e meilleur.e croyant.e.
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claudehenrion · 10 months
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Cacophonies sans limites...
  Certains moments de l'Histoire semblent décider d'obéir aux modes les plus perverses pour le futur de l'espèce humaine... qui serait, disent certains, en voie d'extinction malgré la tromperie des chiffres : on est de plus en plus nombreux sur Terre, mais de moins en moins ''humains''. Il y a eu d'autres époques où la laideur était un signe distinctif d'adhésion aux  comportements les plus pitoyables et aux théories les plus absurdes... au nom d'un iso-''modernisme'' adapté au temps, bien sûr. Cela a toujours correspondu aux plus grandes régressions morales et aux périodes sombres de l’Histoire. Ne serions-nous pas en train de renouer avec une tendance qui mêle mauvais goût et décrépitude ? La question vaut d'être posée !
Précisons, à notre habitude, de quoi nous parlons : le mot ''cacophonie'' vient –vous vous en doutiez !- du grec ancien φωνη ́, prononcé phoni, qui veut dire ''voix'', et de κακο ́ς , qui veut dire ''mauvais'' et est surtout célèbre par son pluriel κακα, prononcé comme on le devine, et très mal vu des parents de petits enfants réputés ''bien élevés.... On utilise le plus souvent ce mot composé  pour décrire des bruits discordants produits par des instruments abusivement dits ''de musique'',  mais il n'est pas interdit d'étendre son usage à tout et n'importe quoi de désagréable à l'oreille... ou à d'autres sens. Et là... nous sommes comblés au delà du possible.
La séquence en cours a commencé le 14 juillet dernier lorsque notre européo-maniaque élyséen nous a fait don non pas de sa personne (ça, c'est déjà fait, et on sait maintenant qu'on ne s'en remettra sans doute jamais), mais d'un orchestre fait des meilleurs souffleurs militaires des pays membres de cette Alliance faussement dite européenne, qui lui tient tant à cœur et chante si mal en chœur : notre grand défilé ''sur les Champs'', marqueur incontesté de ''notre 14 juillet à nous'', devrait désormais être vécu en harmonie théorique avec des pays pour qui cette date n'a pas le moindre sens ! Résultat : une immense cacophonie (et les mots ont un sens, nous l'avons précisé !) où chacun jouait, pour son propre compte et sans tenir compte des autres, des extraits  de rengaines tirées de séries-télé américaines. C'est l'image parfaite de ce qu'est devenue cette ''Europe-institution'' à laquelle notre Président, toujours juvénile (''Malheur à la Cité dont le Roi est un enfant'', prophétisait Ezechiel  il y a 2600 ans), croit toujours, malgré toutes les preuves accumulées, et malgré les bévues contre-civilisationnelles de Madame von der truc et toutes les dérives morales, sociétales et autres qu’elle impose autour d’elle...
Je passe sous silence le seul fait vraiment marquant (à ce jour) de ce second quinquennat : les banlieues (rebaptisées ''quartiers'' en novlangue, comme pour atténuer l'horreur qui s'y prépare (Tu parles ! Elle est là depuis longtemps, l'horreur, mais nos politiciens aux têtes vides refusent de la voir !) : banlieues ou quartiers sont entrés en sécession, soumis à un islam politisé, mais avant tout anti-français, anti-blanc et anti-intelligent, lui-même soumis (c'est la définition du mot ''Islam'') à la bonne volonté des ''grands frères'' et des ''éducateurs'', et à la seule décision des caïds de la drogue (fonction  du niveau de leurs ventes de poisons), événement difficilement guérissable que le Pouvoir, dans sa lecture infantile des faits (voir Ezechiel, ci-dessus !) croit avoir interrompue grâce à sa sublime intelligence (Sic !). Comme quoi toutes les croyances sont possibles ! Cette seconde cacophonie était digne des bras cassés qui entourent la Présidence.  On était loin d'avoir tout vu !
Le troisième drame de ce triste mois de juillet est venu du soi-disant ''remaniement ministériel'' qui a consisté en un jeu de chaises non pas réputées musicales, mais cacophoniques, elles aussi. Comme nous avions annoncé la semaine dernière ce qui allait se passer et que la séquence prévue a été suivie comme si nous étions les initiateurs de ce ''bal des nuls'', il y a peu à en dire, d'autant que Philippe de Villiers a, à son habitude, parfaitement décrit le seul changement important de ce ''coup-pour-rien'' : le remplacement, à l'éducation nationale, d'un sinistre pro-woke par un sinistre pro-LGBT... (NDLR : le concert de cris des vierges effarouchées de gauche qui a suivi l'énoncé de cette vérité première (insupportable, puisque vraie) a été le seul moment agréable de cette semaine ratée en tout, pour tout, et sur tout !)
Comme si tout ça ne suffisait pas a rendre les français encore plus ''paumés'', ils ont ensuite eu droit à un mauvais ''remake'' de  ''causerie au coin du feu'' par leur Président qui (par souci d'économie, sans doute) a préféré s'adresser à eux depuis Nouméa que depuis le Faubourg St Honoré : on risquait moins d'entendre le gai tintamarre des casserolades qui ''cacophonisent'' (si j'ose !) épisodiquement ses prestations ratées. Mais au fond, vu des palais de la République, pourquoi faire simple quand on a la chance de pouvoir faire compliqué ? Le seul ennui (à part l'ennui intrinsèque que notre Président secrète comme d'autres l'envie de rire ou de pleurer...), c'est que, comme à chaque fois, il n'a rien eu à dire, sous son flot énarchien de répétitions vides de tout bon sens. En résumé : ''Circulez, y a rien à voir''... Pourquoi se donner en spectacle alors que l'on a vraiment rien à dire ? se demandent de plus en plus de braves gens. A ce jour, la question est sans réponse.
C'est pourtant là, peut être, avec le ''zim-boum-boum'' raté du 14 juillet, que j'ai eu le plus cette impression de cacophonie qui m'a envahi depuis que j'ai été contraint de vivre en Macronie : les français, pratiquement unanimes (une unanimité ''à la française'', peut-être, mais rarement atteinte et persistante à ce degré) citent en boucle trois ou quatre mots simples autour desquels ils ont très peu varié, depuis des mois : immigration, sécurité, ''être français en France...'', et remettre enfin de l'ordre dans les banlieues, sans nouveau ''Plan'' plus coûteux qu'efficace... Or il se trouve que ce sont les seuls qui sont totalement absents du discours présidentiel ! Comme dirait ma vieille amie Madame Michu, ''il voudrait le faire qu'il le ferait pas aussi bien''. Faut-il se réjouir de cette fuite volontaire devant le réel, faut-il ''accepter de vivre avec'', ou faut-il s'en attrister, voire s'en désoler ? Chacun décidera, en fonction de ses propres critères . Mon choix --pas très intéressant-- est connu...
H-Cl.
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Le port de Bordeaux au XIXe siècle
SAMEDI 19 AOÛT 2023 (Billet 3 / 4)
JM avait pris l’affiche en photo et l’a bien sûr montrée à nos invités qui en ont été étonnés. Puis, puisqu’il était question de « pied », une unité de mesure qui n’existe plus, en France du moins, JM a dérivé, par association d’idée, sur la contenance des bouteilles de vin, 75cl et leur a posé la question : pourquoi les bouteilles de vin, dans le monde entier, font 75cl et non pas 1 litre, ce qui aurait pu sembler plus logique ?
Comme le raisonnement est un peu compliqué pour un non-matheux comme lui, il a pris son iPhone, s’est mis sur Google et leur a lu l’explication trouvée sur Wikipédia :
« POURQUOI LES BOUTEILLES FONT 75 CENTILITRES ?
Un peu d’histoire
Il faut savoir que la bouteille de vin a été standardisée au XIXème siècle.
Les idées reçues
La contenance est à 75 cl pour une raison pratique. Ce n’est ni parce que cela correspond à la capacité pulmonaire d’un souffleur de verre, ni pour des raisons de conservation, ni parce que la taille de cette bouteille est liée à la consommation moyenne lors d’un repas. Toutes ces raisons sont fausses !
La vraie raison : simplifier le commerce des bouteilles
Les bouteilles de vin ont été standardisées à 75 cl car à l’époque, les principaux clients des domaines viticoles français sont nos voisins anglais. Mais la différence de mesure entre les anglais et les français est un souci pour les échanges. Le système de mesure des anglais est le « gallon » ce qui équivaut précisément à 4,54609 litres. Les conversions d’une mesure à l’autre ne sont pas simples et il faut donc trouver une quantité commune.
Pour éviter trop de complication lors de la conversion, il a été convenu que 225 litres seraient transportés en barriques, ce qui équivaut en arrondissant à 50 « gallons ». Le but était d’avoir un chiffre rond. De plus, 225 litres correspondent à 300 bouteilles de 75 cl. Fixer la contenance à 75 cl était donc la solution pour faciliter les échanges avec les anglais et continuer les ventes en France. Proposer un autre volume aurait bien compliqué les choses !
La contenance de 75 cl a donc été standardisée pour faciliter la situation. 1 « gallon » valait donc 6 bouteilles. 
Aujourd’hui encore, le commerce des vins reste marqué par cette histoire car les caisses de bouteilles de vin sont majoritairement vendues par 6 ou par 12 ! »
NB Il existe 12 contenances de bouteilles (vin ou Champagne), de 18,7 cl à 30 litres, toutes des « multiples » de la contenance initiale de 75cl.
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lemaupertus · 3 months
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Podcast: Interview: J'ai eu un rendez-vous avec un magnétiseur
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Magnétiseur, coupeur ou souffleur de feu, les médecines alternatives ne s'explique pas... mais pourtant, certains ne jurent que par elles. Et vous, avez-vous déjà essayé ? Pour rappel, consulter un praticien médecine alternative ne remplace en rien votre suivi médical. Ecouter le Podcast : https://www.francebleu.fr/emissions/a-votre-service-par-france-bleu-picardie/j-ai-eu-un-rendez-vous-avec-un-magnetiseur-4732165 -----En studio : - Emilie, praticienne de médecine alternative à Camon (80)- son site internet : emilie-guerisseuse.business.site- sa page Facebook Cet Article est apparu d'abord sur https://news.google.com/rss/articles/CBMif2h0dHBzOi8vd3d3LmZyYW5jZWJsZXUuZnIvZW1pc3Npb25zL2Etdm90cmUtc2VydmljZS1wYXItZnJhbmNlLWJsZXUtcGljYXJkaWUvai1haS1ldS11bi1yZW5kZXotdm91cy1hdmVjLXVuLW1hZ25ldGlzZXVyLTQ3MzIxNjXSAQA?oc=5&hl=en-US&gl=US&ceid=US:en Lire ici la suite de l'Article Original Read the full article
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d-bovet · 4 months
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Hugo Pratt and Corto Maltese : a long story who begins during WW2 in Ethiopia !!!!!
Créée par le dessinateur et scénariste italien Hugo Pratt en 1967, la série Corto Maltese fait partie des bandes dessinées les plus célèbres. Depuis le décès du maître italien, les aventures de Corto se poursuivent… avec un intérêt inégal.
1-Hugo Pratt (1927-1995), par sa mère, est issu de juifs de Tolède exilés et convertis au catholicisme, et, par son père, de jacobites anglais, de turcs et de vénitiens souffleurs de verre à Murano. Après une enfance vénitienne, il part avec sa mère rejoindre son père, militaire de carrière en Éthiopie, envahie par l’Italie depuis 1935. En 1940, le père s’engage avec son fils Hugo, âgé de treize ans, dans la police coloniale, afin de réprimer les indépendantistes. Hugo Pratt s’amusait à dire qu’il avait été « le plus jeune soldat de Mussolini ». En 1941, son père est capturé par les troupes britanniques, tombe malade et meurt en captivité. En 1942, Hugo et sa mère sont internés dans un camp de prisonniers, où il se met à lire des comics achetés aux gardes. En 1943, il rejoint la République Sociale Italienne et est brièvement marin dans sa Xème Flottille. En 1944, à Venise, il est arrêté par les SS qui le prennent pour un espion sud-africain.
Enrôlé dans la police maritime du Reich, il s’échappe et se met au service des Alliés, comme interprète, organisant alors des spectacles à Venise.
2- Hugo Pratt reste ainsi connu pour sa série Corto Maltese, dans laquelle il mélange voyages, aventure, mystère, légendes et ésotérisme.
Il dessine dans les années 1950 Sergent Kirk, histoire d’un soldat du 7e de Cavalerie de l’armée nordiste américaine qui, révolté par le massacre des Indiens, déserte puis se range à leur côté, et Ernie Pike, récit d’un correspondant de guerre pendant la Seconde Guerre mondiale. Après avoir passé treize ans en Argentine, il revient à Venise. Parallèlement à sa série Corto Maltese, Hugo Pratt dessine Les Scorpions du désert, l’action se déroulant au début des années 1940 en Afrique du Nord et mettant en valeur une section d’élite britannique. Dans les années 1990, il publie de superbes albums indépendants : Cato Zoulou (1990), Dans un ciel lointain (1996), Saint-Exupéry, Le Dernier vol (1995) et Morgan (1999). Ses amis le décrivaient comme un bon vivant, doté d’une sacrée personnalité. Même s’il a vécu la fin de sa vie en Suisse, il était enraciné dans la ville de Venise, avec laquelle il entretenait un lien particulièrement fort.
2- Hugo Pratt reste ainsi connu pour sa série Corto Maltese, dans laquelle il mélange voyages, aventure, mystère, légendes et ésotérisme.
Son dessin est très éloigné de la ligne claire de l’école belge. Son style lui est propre. Un trait haché, nerveux, est rehaussé de zones d’ombres d’un noir absolu, l’ensemble suggérant relief et dynamisme. Le trait, les jeux d’ombres et de lumières et le texte s’entrelacent à merveille. Chez Pratt, le noir prend la place des autres couleurs.
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Cette journée fut placée sous le signe de l'eau ... Fort heureusement pour nous, pas trop sur le bout de notre nez, on passe entre les gouttes !
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Nous sommes allées nous balader à la surface de la lune ce matin !
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(j'y peux rien si c'est le nom officiel de la zone moi). On est sur une plaine avec un peu beaucoup d'activité géothermique, des geysers (maintenant éteints), des explosions partout, ça a donc fait des jolis trous ... La légende maori raconte que la zone est devenue volcanique suite à une légère sur-reaction de deux déesses quand leur frère leur a dit qu'il avait froid.
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Petit rappel sur la création des volcans : en simplifié, la couche océanique passe sous une autre. En plongeant, la croûte fond, ça fait du magma, et sous la pression ça remonte et finit par faire un joli volcan !
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Ici, on est dans une zone avec beaucoup d'eau prisonnière sous la croûte : elle monte à plus de 300°C (différence de pression oblige, c'est l'inverse d'essayer de faire cuire des patates en haute montagne), crée de la vapeur, et finit par trouver une faille et s'y engouffrer, faisant des grosses fumerolles ! Si elle ne trouve pas d'échappatoire, la pression monte monte monte, et ça finit par exploser!
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La zone avait plein de très belles couleurs : en fonction du type de minéraux/éléments présents dans les fumerolles, les différents cratères n'avaient pas les mêmes teintes. Ça allait du violet (mercure) au saumon (sulfate de mercure) en passant par le jaune orange (soufre ou soufre + arsenic ), ou le rouge (oxide de fer)! En plus, si les températures ne sont pas trop élevées, il y a des végétaux qui poussent là dedans (lol), ça faisait donc de jolis contrastes avec le vert !
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Bref, une petite matinée fort sympathique! On est ensuite tombées sur un magasin de souffleur de verre, aux couleurs juste incroyables. Bon, les prix aussi étaient un peu incroyables (32000$ pour un gros vase incroyable), donc on s'est contentées de baver. On nous a fort gentiment offert l'accès gratuitement aux jardins, où il y avait plein d'oeuvres d'exposées !
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Après un petit échec d'accès à une autre balade en zone geothermale (le typhon de début d'année a laissé des séquelles conséquentes partout, ici 150 arbres au milieu du chemin), mais qui s'est soldée par la rencontre d'un lapin-singe (Sisi, les yeux de Clochette sont excellents), d'un papi farceur (qui m'a mis un paquet entre les doigts en me faisant croire que c'était des oeufs de tarentule géante), de poules suicidaires se cachant sous les roues, de lamas déguisés en moutons et de dindes visiblement fort intéressées par la potentialité d'un goûter, nous avons pu confirmer que mes six mois de vadrouille ont fortement amélioré mon système digestif. Clochette a moins apprécié le poulet bizarre du déjeuner, ce qui ne nous a finalement pas empêché de profiter du reste de la journée !
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Nous voici donc aux chutes d'eau d'Aratiatia, où nous sommes arrivées juste à temps pour l'ouverture du barrage, où nous sommes donc passés d'un ruisseau à sec à un énorme torrent entraînant tout sur son passage ... Très très impressionnant ! Et toujours cette couleur bleue absolument magnifique
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Et là, on est posées tranquilles au bord d'un lac, bien au chaud (en doudoune/polaire/écharpe dans le sac de couchage et sous la couette) dans le van alors qu'il pleut dehors ! Pas de mission toilettes ce soir ><
Bizouuuuux
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Voilà nous sommes le Samedi 27 MAI 2023 . 
Je remercie mes amis ceux qui sont venus ici , que je connais bien  , puis les autres anonymes ou inconnus qui ont lu mes textes pour certains et les ont appréciés . Je ne remercie pas ceux que je nommerais " des fouilles merde " , qui venus ici sur ma page Facebook d'Ecrivaine , ancien mari , ancien amant ou même relation , cousin ex belles sœur où encore de ceux qui , comme je l'ai écrit parlent sans vraiment me connaitre alors qu'ils n'ont un seul jour , que frôler le pan de ma veste . D'une injustice criante restera pourtant une fable des fous .  De ceux qui mugissent , ragent , voguent en silence et frappent en cadences leurs idioties burlesques et indignes , combinant bêtise enflammée et ondes qui déploient d'une odeur nauséabonde ! . Souffleurs de rage dont le vacarme enfle comme le vent dans le cœur d'une montgolfière , ou idiots patentés de la bêtise qui gravit en ce monde , et malheureusement se multiplie dans ces cerveaux mal-nés et juste bons à tourner autour d'une proie dont le sang chaud s'écoulerait un jour béni pour eux ! . Tandis qu'un mal fatal les dévorent nommé par les psy complexe d'infériorité , ils inventent , mentent , ajoutent , dispersent à grands coup d'éclats et de commentaires voilés souvent désobligeants , et insistent alors  à grands renforts de joie , que leur victime les lise , où bien encore commente une seule fois , à leurs élucubrations ! . Ils nous prouvent ici leur maladie , l'acharnement à mon encontre , comme ce pourrait à être malheureusement à d'autres internautes et dans différents réseaux . Des cancaniers floués et aigris . Alors , d''une tremblante horreur à vous donner les poils , comme le disent certaines artistes , on se demande pourquoi et jusqu'où ces fous dans ces réseaux sont capables d'aller !. Je leur souhaite donc le pire , l'étendue étant immense de leurs folies et bassesses . Passons à autre chose . ..Je remercie mon premier éditeur d'avoir cru en moi , en mon écriture et ma ténacité . Je le remercie aussi d'avoir protégé mes poésies et mes deux autres romans envoyés  , qui ne sont pas encore édités . Et je remercie aussi à cette occasion , mon ami Gaston Bellemare et son beau Festival International de la Poésie qui m'a permis de publier quelque uns de mes poèmes et textes , et de me faire connaître en temps qu'écrivaine . Certains de mes textes ont ainsi été protégés de piratage possible .PATRICIA COINTE LAURENT
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latribune · 1 year
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Bonjour à tous
Collectionneur et passionné de vhs depuis les années 90 j'en ai fait mon métier et vous pouvez me retrouver sous le nom de Librairie Melodie en Sous-Sol 
Tous les films ont été testés avant d'être mis en vente et fonctionnent bien !
Pour un envoi vers international merci de me contacter avant svp
Un film de #WernerHerzog
Synopsis :
Bavière, xviiie siècle, Mühlbeck, maître verrier, est mort en emportant avec lui le secret de fabrication du verre rubis, laissant son village, dont la verrerie est la seule source de richesse, dans le désarroi. Afin de retrouver la recette du verre-rubis les travailleurs et le patron de la manufacture font appel à Hias, une sorte d'oracle. Mais toutes les paroles de l'oracle annoncent l'Apocalypse. La technique de fabrication du verre-rubis demeure introuvable et des événements funestes se produisent entraînant le village dans la folie...
Autour du film :
Tous les acteurs du film y jouèrent sous état d'hypnose, hormis le personnage principal de Hias et ceux des souffleurs de verre. Leurs performances en sont ainsi teintées d'une étrangeté certaine, et d'autant plus que la plupart des dialogues sont partiellement improvisés.
#librairiemelodieensoussol  #melodieensoussol
#oiseaumortvintage
#libraire #librairie #librairiemarseille #librairieparis #librairieindependante #librairieenligne #librairiedoccasion #livresdoccasion #bookstagram #booklover #cassettevideo #vhs #vhstape #vhsavendre #videoclub #videoclubmarseille #vhscollection #vhscollector #vhssurvivor #mubi #nanarland #madmovies
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manieresdedire · 1 year
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Oser penser
Si je confonds tout, dans le désastre de l’absence de logique, dans la victoire du flou et de l’à peu près, je laisse la porosité du non-sens corrompre mon identité, même si celle-ci est factuelle et
éphémère.
Le faux-ami en position de souffleur, sous la scène du théâtre du sens commun, suggère des pensées molles, des opinions. Celles-ci, écoutées naïvement, accumulées, martelées, vont repousser le réel
très loin au-delà des frontières de la logique élémentaire.
La pensée, secrètement infiltrée par la magie, imbibée d’analogies, va titubante, balbutiant des mots qui forment un poème étrange aux incontestables accents de vérité.
C’est qu’ici la force des mots, aux confins du délire et de la poésie, détient le pouvoir
d’anéantissement de la logique, la capacité de renverser la table, les chaises, les murs, la maison tout entière.
Mais après le vacarme, le silence est profond.
Que faire des ruines, aussi belles et porteuses d’infinis questionnements soient-elles ?
C’est là que nous devons inventer, structurer, reconstruire, suivre un fil conducteur pour tisser une toile souple et solide à la fois. Il nous faut tenter de nommer un chat, un chat et son ombre portée aux allures de chimères...
C’est un long et lourd combat qui s’annonce, dont l’issue sera, pour toujours, incertaine...
Granjabiel
Novembre 2022
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Amougies Festival 1969 : 4ème jour de festival
54 / Amougies Festival 1969 : 4ème jour de festival
         Lundi matin : 4ème jour de festival où la musique est devenue environnement, nouvelle nature ou forêt vierge, les nouveaux « sauvages » ne cherchent plus à écouter des « compos » sonores mais vivre une autre destinée en communauté pleinement musicale. Le mur du « son » est franchi. On vit.
         Fred déambule un peu sonné, groggy comme les autres au milieu des sacs de couchages et se retrouve dehors et croise Pierre Clémenti avec des amies un sac de couchage sur les épaules qui se dirige vers une DS commerciale bourrée d’oreillers, de couettes et de couvertures. Freddie le reconnaît et déclame en le dépassant : « J’ai tué mon père, j’ai mangé de la chair humaine et je tremble de joie… » Clémenti se retourne et sourit en amorçant un commentaire mais son entourage lui parle… le reprend… et le froid… et la tête dans les étoiles… et les vappes… Les carapaces ne sont pas toutes entièrement tombées ; Fred passe son chemin.
         Le public du W.E. est parti, il ne reste que les aficionados et Marc le voltigeur du soir qui fait sa tournée d’entretien :
         — On ne va pas parler des groupes français car ça va tourner à l’obsession ! attaque-t-il.
         — Aujourd’hui j’ai flâné, pris une douche… J’ai reconnu
Eric Bamy et je l’ai entendu au retour sans les écouter tel un mur sonore,… un environnement avec son groupe Les Frogeaters que j’avais vu au Golf il y a quelques temps qui était déjà dépassés  mais là  le public les a trépassés  sans  mauvais  jeux  de mots, enfin !
         — On a encore deux jours de musique ; il faut en profiter au maximum. Ne nous laissons pas gagner par la lassitude !
         — Absolument de ton avis ! Ecoutons ! Enregistrons ! Mémorisons !
     — Je retourne dans mon jardin comme on dit dans les coulisses du spectacle, ironise-t-il en s’apprêtant comme à son habitude à volter tel l’oiseau de nuit au-dessus des sacs de couchages.
         Arthur Jones d’où il retrouve l’atmosphère du disque Scorpio un piano en plus – beaucoup plus structuré : des descentes et des remontées de gammes à fond de cale sur son alto déferlent sur des roulements de toms et de grosse caisse à l’africaine de Claude Delcloo ; les solos de la basse de Bob Guerin empruntent les mêmes chemins de vitesse filant en opposant les basses aux aigus tel un dialogue soutenu entre deux comparses. Morceau suivant : déchaînements-enchaînements du motif comme l’écrit Henri Michaux – fricassé de caisse claire boostée par les semonces de frappe de grosse caisse – cris d’alerte incantatoires à l’alto voire de discours. Puis la mélodie romantique de Sad Eyes qui fout le spleen le long d’un nulle part désertique en dehors de son imagination arpentant, flânant au gré des néons agressifs et autres lumières de Greenwich village pour se rassurer des immeubles en briques zébrés d’escaliers en fer et de la chaleur des clubs de jazz qui se dégage de l’intérieur…  porte ouverte. 4ème morceau blues cool de “Brother B.“ au commencement puis déchirure, cris, et trilles incantatoires appels modulés en hurlements stridents du sax – du cool à la rage puis le calme revient et la ballade romantique peut recommencer vouée à l’apaisement des âmes du blues – grande maîtrise du début à la fin.
         N’étant pas spécialiste de jazz et encore moins de free-jazz, Fred se laisse emporter depuis le début de cette session de « free » par le changement de souffleur & leader Kenneth Terroade et au violon Alan Silva en gardant la même section rythmique basse/batterie/piano et débarque dans une jungle sonore ; y’a du son partout ! se dit-il. Mais bien vite la jungle devient urbaine et New York transparaît dans les brumes des Bermudes d’Alan Silva même si son violon électrique veut célébrer la lune comme il l’a fait sur un disque. Là ce n’est pas le désert mais le fracas des sons et des stridences à l’instar des sirènes en tous genres qui supplantent toutes échappatoires ou fuites, pense-t-il.
       Finalement Fred se fait du concert cette déduction (réflexion) (citation) suivante: « C’est l’homme qui est immobile ; alourdi par la pesanteur,  les pieds dans la boue, ancré dans la terre, il n’y a que les âmes qui voyagent (quand ils sont morts). Et puis les églises se mirent à danser. » Des décennies plus tard il apprit que Kenneth était retourné en Jamaïque et qu’il faisait le missionnaire et continuait également de jouer à New York ou ailleurs.
       Toujours la même  formation  mais annoncée  maintenant comme celle de Clifford Thornton dont personne s’en plaint – plutôt excellents musiciens. Celui-ci joue d’un instrument qui ressemble à un hautbois et se nomme d’après les connaisseurs qui sont allés aux Indes, installés à proximité de son sac de couchage : un shehnaï. Là ça déménage d’emblée en Afrique avec les congas comme un carnaval panafricain… intello tout de même. Un duo percussions et le Shehnaî qui entraîne tout le monde progressivement dans un solo de l’alto Joseph Jarman splendide que le public applaudit ainsi que la prestation du groupe.
         Retour au “tcha poum poum“ avec YES : Fred se demande s’il ne va pas en profiter pour pousser un roupillon. D’emblée, il est conquis par le guitariste qui développe un jeu de guitare (sur une Rickenbaker 330 blanche demi-caisse à la découpe particulière en double pans coupés nets de part et d’autre au bas du manche avec un post collé du nom du groupe)  très personnel hormis sa gestuelle forcée qui avec l’organiste essaient de bouger le chanteur pop par excellence qui ont ou le producteur, choisi de « variètisé » le classique sur des chansons folks américains et une rythmique rock. D’ailleurs Peter Banks le guitariste et peu après l’organiste (membres fondateurs) ont quitté le groupe à cause de rajout sur les bandes des disques de violons et violoncelles à la place de leurs solos qu’ils avaient composés. Bref, le premier morceau invite à cavaler dans la nuit et écouter les sons que vos oreilles n’entendent pas dixit la chanson. Puis une reprise des Byrds comme « I see you » montage de séquence en arpège à la guitare, de plages jazziques etc… De 3mn l’original ils en font 15mn ; d’autres chansons folks notamment « Everydays » des Buffalo Springfield hachées à l’électricité et à la batterie. Des berceuses énervées. Progessive rock, sommeil progessif pour Freddy. « It’s love » chantent-ils. Pourquoi pas ! se dit-il.
         Engoncé dans son duvet à moitié endormi voire complètement comme la plupart des spectateurs à cause du froid et de l’humidité. Dans son sommeil Freddy entend crier :  « Get up ! Get up ! Get up ! Get up !... » . Il voit le batteur Twink des Pretty Things avec un pied de cymbales qu’il frappe comme un malade puis descend de scène tant bien que mal et fend la foule endormie dans les sacs en leur marchant dessus puis grimpe à la plateforme de régie pour escalader un des mâts du chapiteau tout en martelant la cymbale.
         C’est là que son copain volant de l’aube – eh oui, déjà ! survient :
         « Il a bien fait de nous réveiller en plus je voulais les écouter, dit-il en sous-entendant le groupe.
         — Tu dormais aussi ?
         —  Oui !  Après toutes  ces  journées  et  nuits,  la  fatigue commence à nous gagner. Je ne sais pas si t’as remarqué mais pratiquement tout le monde roupillait… J’espère qu’il ne va pas se casser la gueule ?  dit-il  en regardant  Twink  en  position  très instable qui raisonné par les technos de la plate-forme redescend.
         — T’as vu qu’il commence à faire jour !
         — Pas tout à fait !
         — Ça va pas tarder !
         — Alors le Free Jazz ? Les 3 compères Arthur Jones, Ken Terroade et Clifford Thornton, tu les a écoutés ?
         — Oui ! Et j’ai apprécié. Peut-être qu’à force d’en entendre on s’y fait. Derrière cet agrégat de rythmiques syncopés, fracassés, il y a des mélodies hyper-intéressantes, très travaillées.
         — Absolument d’accord. Ce mælstrom comme tu dis, m’immerge comme dans une musique de film avec des climats, des tensions, des aplats, des phases calmes, des périodes enragées…, etc. Ça rejoint ou découle quand même de la musique classique toutes ces atmosphères ; la différence c’est que cela se passe à l’ère industrielle ainsi que dans les banlieues suburbaines.
         — Bien vu enfin bien entendu. T’as remarqué que les morceaux ont toujours un début et une fin comme dans une histoire. Ils racontent ou jouent plutôt une Histoire avec un grand H. Leur  Histoire.
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