Tumgik
#le papillon barbie
maretriarch · 2 years
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currently obsessed to bastard death with bob mackies barbies
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saisew · 10 months
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Barbies that serve absolute cunt. pt 1.
OG Barbie - 1959
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Twist n Turn - 1967
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Malibu Barbie - 1971
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Western Barbie - 1980
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Totally Hair - 1992
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Earring Magic Barbie & Ken - 1993
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Bob Mackie Moon Goddess - 1996
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Atlanta Convention - 1998
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Bob Mackie Le Papillon - 1999
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Silkstone Lingerie - 2000
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swedesinstockholm · 2 months
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23 février
j'ai entendu une humoriste sur france inter qui disait qu'elle se sentait tellement seule qu'elle allait se faire faire des manucures pour que quelqu'un la touche et les gens dans le studio ont poussé des exclamations de dégoût choqué, les gens ne sont clairement pas prêts pour mon livre. et puis ce matin, toujours sur france inter, j'ai entendu un écrivain que je connaissais pas qui parlait de son travail d'homme à tout faire et de sa situation d'ultra précarité et que parfois c'est dur mais bon c'est lui qui l'a choisi (avant il était photographe et il portait des costumes dior). il est publié chez gallimard mais il est quand même homme de ménage et archi pauvre, il peut pas chauffer plus d'une pièce de son appartement que j'imaginais tout pourri à la bordure d'un paris imaginaire avec de la tôle rouillée et des murs qui suintent. il faut que j'arrête de voir la publication comme une finalité. je veux de l'argent, tant pis pour la liberté, ça veut rien dire la liberté. il me faut un plan de carrière.
25 février
encore en train d'écouter le nouvel album d'mgmt, je crois que je commence à l'adorer. j'étais un peu partagée au début. j'ai regardé des interviews et ça m'a replongée en 2008 dans mes jours de groupie en chef d'andrew vanwyngarden. ils sont inextricablement liés à mon adolescence de bloggueuse insupportable mais touchante (quelqu'un m'avait dit ça un jour dans les commentaires et je trouve que c'est une bonne description). dans une interview on leur demande pourquoi ils sont pas sur les réseaux sociaux et andrew dit qu'à leur époque c'était pas cool de s'auto-promouvoir et que faire un selfie c'était le truc le plus embarrassant du monde et ça m'a fait réaliser que beaucoup de temps avait passé depuis... je sais pas, que je suis née? aussi j'ai toujours honte de faire un selfie en public.
andrew a 41 ans. il est verseau, comme r. et comme a. j'ai réécouté leurs deux premiers albums hier, après m'être promenée sur le campus du lycée pour me rouler dans la nostalgie. la nostalgie de quoi, je sais pas trop parce que j'étais aussi déprimée à 17 ans qu'aujourd'hui, le seul truc bien c'était la musique les concerts et ma double vie de bloggueuse populaire où les gens me disaient que je leur manquais quand je partais en vacances. la première fois que j'ai écouté mgmt c'était un dimanche matin sur youtube, c'était le printemps et j'avais 17 ans et j'étais assise au pc dans la pièce de l'ordi et il faisait probablement soleil. le soleil et le printemps sont des composantes importantes de ma relation à mgmt. leur musique me rend nostalgique de plein de choses que j'ai connues et pas connues. comme wildflower des avalanches. 
les choses pas connues: les époques avant les années 90; les états-unis. les choses connues: un truc doux et joyeux de l'enfance, une piscine chaude où il fait bon vivre; les sapins, la forêt de manière générale; le soleil (PLEDGE ALLEGIANCE TO THE SUN); le jardin de la maison quand j'étais petite, les fleurs de ma grand-mère, les habits que j'aimais quand j'étais petite (le tshirt avec les papillons, du rose barbie et du vert fluo, du jaune bordé de rouge, des pois, des fleurs); du bois (meubles).
6 mars
je me force à écrire. je suis en crise. j'ai envie d'exploser et d'imploser en même temps. j'ai envie de manger du sucre mais j'en ai pas envie, j'ai juste besoin de combler un vide, HA, à chaque fois je crois avoir trouvé un truc profond mais après je me rappelle que ça existe déjà et que c'est archi commun. j'essaie d'écrire un texte sur les mythes pour un appel à textes mais je me sens submergée par l'ampleur du thème et par les choses que j'ai à dire mais en même temps j'ai rien à dire. j'ai trop pris goût à avoir mes textes publiés dans des revues, c'est en train de devenir addictif, comme mon addiction aux annonces de location immobilières bruxelloises sur fb. je suis accro aux photos d'apparts dans lesquels me projeter et je suis accro à voir mon nom imprimé sur du papier.
mon texte sur a. tiré de bluettes que j'ai été assez naïve d'envoyer à deux revues différentes a été sélectionné par les deux revues et j'ai du choisir entre les deux et ça m'a stressée toute la journée lundi. j'en avais mal au ventre, comme à chaque fois que je dois faire un choix, ça a pris des proportions de vie ou de mort, j'avais peur de faire le mauvais choix et de le regretter toute ma vie. j'arrive pas à accepter l'idée selon laquelle y a pas de mauvais choix. dans ma vision des choses, y en a toujours un qui est forcément mieux que l'autre. j'arrive pas à voir les choses à égalité, tout est en compétition. alors j'ai demandé conseil à j. de paris, vu qu'elle a fait des meilleurs choix de vie que moi, je me suis dit que son intuition fonctionnait mieux que la mienne, et je l'ai suivie.
j'ai écrit aux deux revues en rentrant de la chorale et j'avais l'impression d'être dans the voice quand les candidats doivent choisir un coach et qu'ils s'excusent auprès des autres de pas les avoir choisis, sauf que ça aurait été mille fois plus facile de choisir un coach de the voice (mika). j'arrivais pas à croire que j'étais en train d'écrire un mail à une revue pour leur dire qu'elles pouvaient pas publier mon texte, j'avais l'impression de me tirer une balle dans le pied. en plus elles m'ont dit que ça leur faisait rien à elles que mon texte soit publié ailleurs. j'arrive pas à m'en remettre. l'autre revue m'a dit que c'était un beau luxe de pouvoir choisir mais entre la peur de faire le mauvais choix et la déception de pas être publiée dans mouche j'arrivais à peine à savourer le goût du succès.
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mlwritersguild · 2 years
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Miraculous Writers' Guild presents: the MWG Official Playlist!
For our August Event and in celebration of our two year anniversary, we asked our members to first submit songs of their choice to the playlist. These songs were anything from ones that remind us of Miraculous Ladybug and its characters, of specific fics, or just songs that make us inspired to write in general! Everyone was allowed to submit up to three songs, and these are the songs they chose! (See the full track list and contributors after the break)
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We're so happy to be celebrating 2 years with everyone, and we can't wait to see what the future holds. Happy anniversary MWG and happy listening!
Follow and listen to the playlist on spotify!
1. every little thing she does is magic by the police [by @maggies-scribblings]
2. like i’m gonna lose you by meghan trainor (feat. john legend) [by @team-leo-v]
3. …well, better than the alternative by will wood [by @azuriteartist]
4. limits by little violet [by @azuriteartist]
5. tt by twice [by @marvelousmsmol]
6. le tourbillon by jeanne moreau [by @2manyfandoms2count]
7. follow you by imagine dragons [by @ladybugs-and-black-cats]
8. atlantis by seafret [by mod stsi, who deactivated their tumblr]
9. venus in blue jeans by jimmy clanton [by @alexseanchai]
10. halfway (reprise) by original caste of amélie [by @multimousenette]
11. the moon will sing by the crane wives [by @theladyfae]
12. what’s wrong by half•alive [by mod stsi *SHAMES*]
13. build me up buttercup by the foundations [by @alexseanchai]
14. eulogy by charlie allen [by @marimeetsmischief]
15. amazing by rex orange county [by @deinde-prandium]
16. where do we go from here by original cast of amélie [by @multimousenette]
17. it’s time by imagine dragons [by @marvelousmsmol]
18. youth by daughter [by @team-leo-v]
19. love bug by gfriend [by @xiueryn]
20. la vie en rose by édith piaf [by @strangerahne]
21. pictures of you by the cure [by @strangerahne]
22. lua by bright eyes [by @sunfoxfic]
23. paper rings by taylor swift [by @bugchat]
24. metaphor by the crane wives [by @theladyfae]
25. moondance by van morrison [by @strangerahne]
26. black cat by mayday parade [by @charcoalhawk]
27. papillon by the sonder bombs [by @marimeetsmischief]
28. shut up and dance by walk the moon [by @charcoalhawk]
29. it was always you by maroon 5 [by @2manyfandoms2count]
30. fearless (taylor’s version) by taylor swift [by @2manyfandoms2count]
31. don’t let me fall by lenka [by @thedreadpirateholmes]
32. you don’t know me by ray charles [by @thedreadpirateholmes]
33. hello by weeekly [by @xiueryn]
34. still into you by paramore [by @team-leo-v]
35. the hawkmoth rap by keith silverstein [by @hanaasbananas]
36. feel special by twice [by @marvelousmsmol]
37. cute boys with short haircuts by anneliese van der pol [by @queer-cosette]
38. hurting each other by carpenters [by @alexseanchai]
39. the sun is in your eyes - voice memo by jacob collier [by @deinde-prandium]
40. shallow river by the crane wives [by @theladyfae]
41. glimpse of us by joji [by @bugchat]
42. lay low (acoustic) by david benjamin and conro [by @bugchat]
43. page 28 by sleeping at last [by @sunfoxfic]
44. in case you don’t live forever by ben platt [by @multimousenette]
45. death valley by fall out boy [by @azuriteartist]
46. i’m serious by day6 [by @xiueryn]
47. the lovecats by the cure [by @maggies-scribblings]
48. walk in the sun by mcfly [by @hanaasbananas]
49. on top of the world by barbie [by @queer-cosette]
50. i’m still here (jim’s theme) by john rzeznik [by @thedreadpirateholmes]
51. to the end by blur [by @maggies-scribblings]
52. you, dear by eloise [by @deinde-prandium]
53. dream boy by waterparks [by @miabrown007]
54. daisy by karine polwart [by @queer-cosette]
55. oh! gravity. by switchfoot [by mod stsi *shames*]
56. i’ve got you by mcfly [by @hanaasbananas]
57. rabbit heart (raise it up) by florence + the machine [by @marimeetsmischief]
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laulywood · 1 year
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Dua Lipa présente sa collection en collaboration avec Versace
C'était l'événement mode du Festival de Cannes. Dua Lipa avait récemment annoncé sa collaboration avec Donatella Versace. Ce 23 mai 2023, les deux célébrités ont présenté leur collection estivale “La Vacanza”mêlant l'univers pop de la chanteuse au code de la maison de luxe. Après leur défilé tant attendu, la popstar et la créatrice de mode ont abordé le fruit de leur collaboration, à commencer par la chanteuse d'origine albanaise qui s'est confiée sur cette nouvelle expérience :
"La création de mode est une méthode de travail très différente de celle de la musique. J'ai l'impression que l'énergie de Versace m'a inspirée. Je ne sais pas dessiner du tout, mais j'ai appris à comprendre le langage du design et à rebondir sur les idées. La valeur fondamentale de Versace est la famille, parce que c'est une vraie famille".
La sœur de Gianni Versace prend à son tour la parole sur cet échange : 
"C'était beaucoup de travail, mais entendre cette voix à mes côtés était formidable. Dua est la femme d'aujourd'hui, confiante et forte. Je voulais que la collection reflète ce qui se passe aujourd'hui. Pour moi, il s'agit de plaisir, de liberté et d'opulence.”
"Des vêtements de vacances, des couleurs d'été, de l'amusement et de la liberté, mais aussi de l'insolence ! Même si nous avons également essayé de créer quelque chose de très Versace, de sorte qu'il n'est pas nécessaire de regarder l'étiquette pour savoir de quoi il s'agit", finit par ajouter Dua Lipa.
L'interprète de “Break My Heart” semble d’ailleurs prendre son prochain rôle dans le film de Greta Gerwick “Barbie” très au sérieux puisque sur le catwalk le public a pu voir apparaître des silhouettes totalement roses ! Un clin d'œil à la tendance du Barbiecore.
Parmi les 39 silhouettes, on retrouve également des mini-robes irisées aux couleurs pastel et des glitters omniprésents, des silhouettes sexy aussi en vue des découpes révélatrices, robes harnais, dos-nu, brassière aux diverses inspirations. Dans une collection pre-fall au rythme des vacances sur La Riviera les deux femmes mixent swimwear et prêt-à-porter pour nous habiller cet été.
“J’adore l’été et pour moi cette collection célèbre à la perfection cette période de l’année avec ses couleurs vibrantes, ses imprimés fun et ses silhouettes légères. C’est la parfaite ligne estivale pour se prélasser à la piscine dans un bikini sexy ou investir le dancefloor dans une mini-robe… Ces vêtements me font immédiatement penser à de longues journées au soleil… Des vraies vacances en somme”, explique la styliste.
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Crédit photo : Elle magazine.
Mais rassurez-vous la célèbre maison italienne n’a pas dit son dernier mot. Puisque les éléments clé de Versace sont eux aussi bien présents sur le podium. L'essence de la maison de couture se cache dans les détails. À l'image de l'imprimé papillons et coccinelles introduit dans la collection printemps-été 1995 et remis au goût du jour dans un all-over sur une robe de soirée signée Versace x Dua Lipa. Les effets sangles et harnais très chers à la marque sont eux aussi là, références à l’ancienne collection automne-hiver de 1992. Ainsi, le duo a revisité les archives de la maison en les adaptant de façon moderne au vestiaire de la chanteuse.
Crédit : Espace Radio.
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lilithdusk · 3 years
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Avant que tout implose - partie 2
En écoutant “We are warriors” de  Secession Studios & Greg Dombrowski.
https://youtu.be/XNuwl8lCSBw?list=PLyicFnp7XPNNb4HjzqOPG8KlDNJddjWY6
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Après le départ de Marinette, Adrien s'était penché à la rambarde, seul. Il se repassait leur danse en boucle quand une explosion retentit plus loin. De la fumée noire, des cris et surtout un nouveau vilain. Adrien se pencha et ouvrit sa veste de costume, laissant une petite créature aux allures de chat voler.
- Le devoir nous appelle Plagg.
- Et moi qui pensais avoir la paix ce soir, se plaignit-il.
Adrien ne prit pas la peine de lui répondre, seulement de se cacher sur la terrasse, à l'abri des invités qui commençaient à sortir, alertés par l'explosion. Adrien disparu, Chat Noir pouvait maintenant aller sur le lieu de l'incident. D'un geste habile, il positionna son bâton à la verticale et se hissa sur le toit de l'hôtel. Il s’élança ensuite dans les airs et bondit de bâtiments en bâtiments, le vent fouettant ses cheveux. Son cœur se serra à mesure qu'il se rapprochait de l'accident. Peut-être était-ce égoïste de sa part mais l'arrivée d'un nouveau vilain le réconfortait : il pouvait être Chat Noir, encore une fois. Il savait bien qu'un jour, Ladybug n'aurait plus besoin de lui. Elle était gardienne des Miraculous ; elle pouvait faire appel à n'importe quel super-héro à tout moment et se servir d'un Miraculous plus puissant, plus adéquate à la situation que celui de la destruction. Parce qu'après tout, il ne servait qu'à faire des dégâts. Chat Noir secoua la tête et atterrit souplement au sol, devant trois voitures en feu. Il repéra rapidement les conducteurs déjà sortis des véhicules et vérifia que plus personne ne se trouvait l'intérieur. Lorsqu'il leva la tête, il découvrit le nouvel akumatisé... Pas si nouveau que cela. Un enfant sur un coussin ; les cheveux, les yeux, la peau et les vêtements bleus.  Le marchand de sable, à l'exception près qu'une peluche se trouvait sur son épaule, de la même couleur que son costume aux détails en or. Du sable tombait de son coussin, touchant les passants qui prenaient la fuite. Aussitôt, une baleine tomba du ciel et Chat Noir sauta. D'un bras, il attrapa un homme et l'emmena plus loin, à l'abri, alors que la baleine tombait à l'endroit même où ils se trouvaient il y a quelques secondes.
- Restez ici, ordonna le héros tandis que l'homme acquiesçait.
Chat Noir retourna dans la rue principale et découvrit une femme crier alors qu'un clown la poursuivait, les bras tendus et sa bouche grande ouverte. Chat Noir tendit son bâton et tapa sur la tête du clown qui s'immobilisa immédiatement. Sur l'épaule du marchand de sable, la peluche leva la tête, soudainement animée et ouvrit les paupières pour dévoiler deux yeux rouges. Immédiatement, le clown se retourna vers Chat Noir, les yeux aussi rouges que la peluche, et reprit sa course vers sa nouvelle cible. Surpris, Chat Noir l'esquiva de justesse et atterrit plus loin, déséquilibré.
- Le marchand de sable est passé, le cauchemar peut commencer. Et maintenant les cauchemars m'obéissent !
Le héros de Paris ne perdit pas de temps à comprendre. La peluche sur son épaule était un sentimonstre qui donnait le pouvoir de contrôler les cauchemars et de choisir leurs cibles. Il restait maintenant à savoir si le marchand de sable pouvait contrôler un cauchemar ou plusieurs à la fois. De toute manière, Chat Noir allait avoir besoin d'aide rapidement s'il devait protéger les civils de leurs cauchemars tout en esquivant ces dits cauchemars qui l'attaqueraient pour son Miraculous. Il n'avait pas plus de temps à perdre à réfléchir, Ladybug le rejoindrait d'ici quelques minutes, probablement accompagnée de Rena Rouge. Et ce fut dans la précipitation, qu'il n'envisagea pas à la possibilité qu'il se fasse toucher par le marchand de sable et que son pire cauchemar prenne vie.
De l'autre côté de la rue, Marinette reprit ses esprits et aida les passants à se réfugier dans les boutiques aux alentours. Elle se dépêcha de se cacher et de se transformer, ayant déjà remarqué au loin la silhouette de Chat Noir en train de lutter contre le nouvel akumatisé. Sa déclaration devra attendre la fin du combat. Elle sentit l'impatience se répandre en elle sous forme d'adrénaline pendant qu'elle balançait son yoyo. S'ajouta à ceci, de l'anxiété à l'idée de retrouver son partenaire qu'elle n'avait vu depuis leur dispute. Ladybug sentit ses entrailles se tordre sous l'émotion, la faisant perdre l'équilibre. Instinctivement, elle relança son yoyo et retrouva son équilibre quand elle atterrit sur un toit, le vilain lui tournant le dos. Elle souffla longuement et rouvrit les yeux. Elle devait garder son calme ; elle ne pouvait pas se permettre de faire une erreur d'inattention ou même de perdre son sang-froid. Elle était l’héroïne de Paris, combattant le Papillon depuis presque un an. Elle ne le laisserait pas prendre son Miraculous et ne le laisserait encore moins gagner à cause d'une erreur de sa part. Mais tout ceci fut balayer quand elle découvrit à qui ils allaient devoir refaire face. Son sang ne fit qu'un tour et elle fut paralysée quant à la simple pensée de se faire toucher par le sable. Devant les yeux bleus de l’héroïne, tout défila comme un film. Son incapacité à réagir devant son pire cauchemar, la destruction de Paris, de la Lune mais surtout Chat Blanc. Ses mains tremblantes la ramenèrent à la réalité et elle serra les poings, la mâchoire serrée. Ne pas céder à la panique, à l'envie irrésistible de prendre ses jambes à son cou et de se cacher, comme tout le monde, espérant secrètement que le problème se réglerait sans elle. Elle prit une grande inspiration, ignora les larmes qui piquaient ses yeux et s'élança dans les airs, rejoignant son meilleur ami.
Malgré leur violente dispute, quand Chat Noir vit du coin de l’œil une silhouette rouge aux points noirs ; un sentiment de soulagement l'envahit aussitôt. Ladybug était là, elle saura quoi faire. Il bondit sur un lampadaire, esquivant cette fois-ci un chien enragé et se retenu de faire une  quelconque remarque sur l'amitié entre chien et chat. La peluche sur l'épaule du marchand de sable s'affaissa et le chien perdit ses yeux rouges. Toujours enragé, il changea de cible et poursuivit un petit garçon. Sans perdre une seconde, Chat Noir récupéra l'enfant en plein vol et s'arrêta sur un balcon, le déposant. Sur le chemin jusqu'à Ladybug, il mit à l'abri quelques civils tout en évitant les attaques des cauchemars devenus réels. Quand il fut enfin à ses côtés, sa mâchoire tressauta sous l'émotion. Il hésita quelques instants, cherchant ses mots pour aller le plus vite à l'essentiel.
- Il a le même pouvoir que la dernière fois, à l'exception près qu'un sentimonstre se cache dans la peluche sur son épaule et qu'il peut contrôler la cible des cauchemars.
- Donc on doit à la fois protéger les civils, esquiver les attaques des cauchemars qui nous visent et éviter de se faire toucher, résuma Ladybug.
Chat Noir acquiesça d'un mouvement de tête.
- La bonne nouvelle, c'est qu'il ne peut contrôler qu'un cauchemar à la fois et qu'il est reconnaissable à cause de ses yeux rouges. La moins bonne, c'est qu'il peut changer autant de fois qu'il le veut.
Ladybug tourna la tête vers son compagnon et remarqua son attitude sérieuse, concentrée, les yeux fixés sur le vilain. Même lorsqu'il esquiva une nouvelle attaque, il fit attention à ne jamais croiser son regard. Le marchand de sable s'éloignait déjà, à la recherche de nouveaux cauchemars qui mettraient en difficulté les deux héros.
- On va régler ça rapidement alors.
Alors qu'elle allait lancer son lucky charm, Chat Noir fut attaqué par un plaid géant animé qui s'accrocha à lui, l'étouffant et le faisant chuter. Le marchand de sable se retourna et une barbie taille humaine, cognant à la porte d'un bâtiment se figea brusquement, ses yeux passant au rouge. Elle se retourna vers le plaid où Chat Noir se débattait sans relâche. La barbie se pencha, les mains tendues, prête à saisir le miraculous quand Chat Noir lancerait son attaque. Ladybug sentit son cœur s'arrêter un instant. Elle comprit immédiatement. Elle lança son yoyo et l'entoura autour des poignets de la barbie à l'instant où Chat Noir lança son cataclysme. Le plaid se changea en poussière et Chat Noir roula sur plusieurs mètres pour éviter les mains de la barbie qui souhaitaient attraper sa bague. Ladybug sur son dos, son yoyo autour d'elle, la barbie perdit l'équilibre, entraînant l’héroïne dans sa chute. Ladybug ne comprit pas tout de suite, même lorsque l'ombre du coussin du marchand de sable s'éloigna et qu'un rire diabolique résonna. Ce n'est que lorsqu'elle se releva et découvrit le regard horrifié de son partenaire qui fixait quelque chose derrière elle que soudain, la réalisation la frappa de plein fouet. Son sang ne fit qu'un tour, elle crut que le monde autour d'elle retint sa respiration, tout comme elle faisait. Une peur bleue l'envahit, si bien qu'elle la paralysa. Son corps ne répondait plus et pourtant, Marinette n'avait jamais senti son corps si vivant. Tous ses nerfs s'étaient réveillés, prêts à l'entraîner dans sa fuite quand l'adrénaline la ferait bouger. Mais Marinette n'était plus qu'une coquille vide qui pouvait se briser à tout instant. Son cauchemar venait de prendre vie.
- Comme on se retrouve..., déclara sans émotion la voix de Chat Blanc dans son dos.
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acowenfrance · 3 years
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2020 a laissé beaucoup d'entre nous se sentir impuissants, mais avec cette nouvelle année il y a une chance de récupérer nos pouvoirs. Il n'y a pas de meilleure façon d'accueillir cette énergie en regardant la nouvelle série Fate: The Winx Saga , mettant en vedette Abigail Cowen , qui joue le rôle de Bloom dans cette nouvelle série Netflix. Bloom nous montre à tous que ce sont nos différences qui font de nous une force avec laquelle il faut compter. Si vous avez du mal à découvrir votre propre pouvoir unique, lisez la suite de notre entretien avec Abigail, qui discute avec nous de son expérience de travail sur le tournage de Fate: The Winx Saga , de son parcours en tant qu'actrice et de sa passion pour le mental. plaidoyer pour la santé.
𝐶𝑜𝑚𝑝𝑟𝑒𝑛𝑒𝑧 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝑔𝑢𝑒́𝑟𝑖𝑠𝑜𝑛 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑙𝑖𝑛𝑒́𝑎𝑖𝑟𝑒. 𝐶𝑒 𝑛𝑒 𝑠𝑒𝑟𝑎 𝑝𝑎𝑠 𝑚𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑑𝑒𝑚𝑎𝑖𝑛. 𝐶'𝑒𝑠𝑡 𝑢𝑛 𝑣𝑜𝑦𝑎𝑔𝑒 𝑒𝑡 𝑢𝑛 𝑐𝑜𝑚𝑏𝑎𝑡. 𝑉𝑜𝑢𝑠 𝑑𝑒𝑣𝑒𝑧 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑏𝑎𝑡𝑡𝑟𝑒.
Votre nouvelle série Fate , basée sur la série Winx Club , sortira très bientôt. Que pensez-vous de la sortie? Je suis très excité, mais je suis aussi très nerveuse. C'est mon premier rôle principal dans quelque chose. C'est un mélange d'émotions. C'est de l'excitation et des nerfs! Vous jouez Bloom. Pouvez-vous nous parler un peu de son personnage dans la série? Bloom est un étrangère. Le spectacle se déroule dans l'Autre Monde, mais elle est née dans le monde des humains. Elle a découvert vers 16 ans qu'elle avait des pouvoirs et elle a été envoyée dans l'Autre Monde pour apprendre à les contrôler. Elle est têtue, il s'agit donc en quelque sorte de son parcours d'apprentissage sur elle-même et de développement d'amitiés, tout en essayant de contrôler ces pouvoirs de feu. En quoi pensez-vous que vous êtes semblable et différent de Bloom? Je dirais certainement que je suis lié à sa personnalité têtue. J'ai été un peu têtu et dur toute ma vie. Je me rapporte beaucoup à Bloom en fait, surtout à cet âge et aux choses qu'elle traverse, à découvrir qui elle est et à s'entendre avec elle-même. Vous savez, les choses typiques que vivent la plupart des adolescents. Je me rapporte à sa volonté et à son entêtement maintenant dans ma vie. Je dirais que la différence est… je ne sais pas vraiment. Je dirais peut-être juste les pouvoirs de feu. Je n'en ai pas. Quelle a été selon vous la plus grande leçon que vous avez tirée de Bloom? J'ai tellement appris de Bloom. Ce qui vous différencie, c'est votre superpuissance. C'est ce qui vous rend spécial et beau. C'est ce qui fait de vous, vous. Mais cela peut être effrayant au début. En la jouant en tant que personnage et en passant par ces émotions avec elle, je pense que tout le monde peut comprendre cela. Toute la série apprend à accepter ce qui vous rend différent et ce qui vous distingue. Je n'ai regardé que les premiers épisodes, donc évidemment, les fées apprennent encore à se connaître et il y a un peu de tension, mais comment cela fonctionnait-il avec autant de femmes formidables dans les coulisses? C'était incroyable! C'est tellement spécial quand vous avez une émission centrée sur les femmes comme celle-ci. Cela crée un environnement merveilleux sur le plateau et à l'écran. Le casting a juste ces femmes formidables et fortes qui se soutiennent toutes et s'encouragent les unes les autres. C'est formidable de travailler et d'être là. Nous sommes tous devenus de très bons amis et nous nous sommes bien entendus dès le premier jour. En vous donnant une seconde pour vous vanter, que pensez-vous avoir apporté à la table sur le tournage de Fate: The Winx Saga ? Vous savez, je pense que tout le monde a apporté quelque chose de différent. C'était le thème principal pour tout le monde. J'ai définitivement des manières étranges. Je ne sais pas si c'est une bonne chose. Je sais que c'est ce qui m'a été mentionné. C'était quelque chose dont je n'étais pas sûr de moi parce que quand je parle, je pense que j'ai des manières idiotes. Mais comme je l'ai dit, étant sur le plateau avec tant de gens qui aimaient et soutenaient vraiment ce qui vous rend différent, j'ai en quelque sorte pensé que cela pourrait être intégré à Bloom. J'ai pensé que c'était une belle réalisation pour moi. J'espère que cela répond à votre question, mais je ne sais pas si c'est un moment de vantardise. * rires* De quelles manières ce spectacle ou cet ensemble particulier vous a-t-il défié en tant qu'acteur? De toutes les manières possibles, pour être honnête. C'était mon tout premier rôle principal. C'était mon premier rôle lourd. Cela ne veut pas dire qu'il existe un petit rôle ou un petit acteur. C'était juste un rôle avec une responsabilité plus lourde. J'avais l'impression de travailler jour après jour, de longues heures dans des conditions météorologiques folles. Avoir cette quantité de responsabilité et les différentes émotions à représenter dans différentes scènes en une journée était beaucoup. J'étais très nerveux à l'idée de m'y mettre, et j'ai dû surmonter ces nerfs et sortir de ma tête, n'ayant jamais joué un rôle principal auparavant. J'ai vraiment dû me forcer à y aller et aussi simplement chercher le soutien et les conseils des gens sur le plateau. Avoir cet environnement favorable sur le plateau a été utile. Mais oui, cela m'a mis au défi de toutes les manières possibles - en tant que personne, en tant qu'acteur, en tant qu'ami. De toute évidence, cette version est un peu plus pointue que le Nickelodeon Winx Club . Mais d'une certaine manière, je pense que cela rend les choses plus faciles à comprendre pour les personnes de mon âge, les jeunes adultes. Quels types de leçons ou de moments espérez-vous que les téléspectateurs retiennent vraiment de ces épisodes? C'est définitivement différent. J'aime le dicton: «The Winx le public a grandi et nous aussi. Je pense que nous nous sommes vraiment concentrés là-dessus pour la série. C'était le programme pour cela. Il y a tellement de leçons à tirer. Je pense que l'aspect de l'amitié est merveilleux et important à embrasser. La plupart du temps, cela peut être une lutte dans le monde. Je pense que la façon dont la série décrit ces amitiés est spéciale car elle ne montre pas seulement cinq filles s'entendant avec des papillons et des arcs-en-ciel. Cela montre les inconvénients, mais que grâce à l'amitié, vous pouvez en sortir. Il montre les différents types de femmes dans l'amitié et l'acceptation, l'autonomisation et l'inclusion. Il est si important d'en faire partie et d'en tirer des leçons. Pour les personnes de l'âge des filles, elles peuvent regarder cela et être encouragées à s'accepter pour qui elles sont. A cet âge, c'est dur parce que tu veux t'intégrer. Je sais qu'à cet âge, je voulais être tout le monde, et je détestais ce qui me rendait différent. J'adore le fait que cette émission le montre, et cela montre l'amitié qui en découle. J'ai lu que vous avez grandi dans une ferme, souvent en jouant et en créant vos propres histoires. Rétrospectivement, comment pensez-vous que ces simples moments ont influencé votre jeu d'acteur maintenant? Oh mon Dieu, de toutes les manières possibles! En repensant beaucoup ces derniers temps, je réalise à quel point cela a affecté ma méthode. Je me souviens avoir joué à Barbies tout seul, ou je sortais avec mon frère et créais des histoires. Je mettais en scène sur des spectacles avec différents scénarios. Je créais constamment. C'était incroyable d'avoir cette liberté en tant qu'enfant de s'exprimer comme tu le voulais et comme tu l'entends. Cela permet également des possibilités infinies dans votre vie d'adulte, car vous vous habituez à permettre à votre cerveau d'aller où il veut. Quand j'étais jeune, je jouais aux Barbies et je créais ces histoires. Je commençais à pleurer sur l'histoire. Je me souviens avoir pensé: «Oh mon Dieu. Je peux pleurer comme ça? Peut-être que je peux être une actrice. J'étais tellement dans les émotions de ça. Je tire de ces moments maintenant, étant en contact avec différentes émotions. C'est comme un muscle que j'ai entraîné depuis que je suis enfant. Changement de vitesse… Je sais que vous êtes un ardent défenseur de votre santé mentale. 2020 n'a pas été facile pour nous tous, alors comment avez-vous veillé sur vous-même? Je me suis assuré d'être patient avec moi-même et de me donner la grâce. Avec cela, cela m'a aidé à ne pas être si en colère contre moi-même de ne pas vouloir être social ou de me sentir déprimé pendant une journée. Je pense que beaucoup de gens se sentent comme ça en ce moment et se sentent en colère contre eux-mêmes pour se demander ce qui ne va pas avec eux. Je pense qu'être patient avec soi-même est la chose la plus importante en ce moment. Et en réalisant que nous ne sommes pas les seuls à vivre cela. Nous sommes tous là dedans. Rien ne va pas avec nous. C'est juste la main que la vie nous a donnée en ce moment. Même avec ça, ça n'aide pas toujours. Je pense qu'il est important de faire de l'exercice, de bien manger et de se confier aux gens. Dites-leur que vous ne vous portez pas bien aujourd'hui. Le simple fait de le dire et d'être audacieux est, je pense, la chose la plus importante à faire, car c'est la plus effrayante. Je pense que c'est le plus effrayant parce qu'il y a une telle stigmatisation autour de la santé mentale et la stigmatisation autour de se sentir triste dans la journée. La stigmatisation dit que si vous vous sentez triste, déprimé, déprimé ou anxieux, cela signifie que vous êtes faible ou que quelque chose ne va pas avec vous. Ce n'est pas du tout le cas. Avec cette stigmatisation, les gens n'en parlent pas, et ils le refoulent. Ensuite, ils entrent simplement dans une spirale, et la situation empire. Je pense qu'en ce moment, être patient avec soi-même et demander de l'aide est la chose la plus courageuse que vous puissiez faire. Et la chose la plus importante. et ça empire. Je pense qu'en ce moment, être patient avec soi-même et demander de l'aide est la chose la plus courageuse que vous puissiez faire. Et la chose la plus importante. et ça empire. Je pense qu'en ce moment, être patient avec soi-même et demander de l'aide est la chose la plus courageuse que vous puissiez faire. Et la chose la plus importante. En entrant seulement dans les détails avec lesquels vous êtes à l'aise, qu'est-ce qui a déclenché votre passion pour parler de santé mentale? Quand j'ai traversé une période difficile au collège - après avoir été victime d'intimidation pour avoir les cheveux roux - cela m'a coûté très cher. J'ai été scolarisé à la maison en huitième à cause de cela. J'ai beaucoup appris sur comment m'aimer moi-même. C'est un long, long voyage. Cela va être un voyage pour le reste de ma vie, et je dois utiliser les outils dont je dispose pour m'accepter, m'aimer et me donner la priorité. Je dirais que cela en a déclenché beaucoup. Cela a vraiment frappé il y a quelques années lorsqu'un de mes amis proches s'est suicidé. Après cela, cela a frappé quelque chose en moi [d'être] aussi ouvert et vocal que possible sur les choses. Cela m'a ouvert les yeux de réaliser que tant de gens traversent cela en silence. Si une personne peut parler et dire: «Hé, tu n'es pas seul», ou simplement expliquer le processus chimique en cours dans le cerveau… il ne s'agit pas de dire aux gens qu'ils peuvent être «réparés», c'est de dire: «Hé, il existe une solution à votre douleur en ce moment. Ce n’est pas la fin, tout est tout. Faire ces choses est important. Si je peux être la seule personne à aider une autre personne, cela en vaudrait vraiment la peine pour moi. Je sais que les gens souffrent tout le temps, la douleur de subir les effets du suicide. Je pense que c'est l'une des choses les plus importantes dont il faut parler. Pour les jeunes qui vous admirent, quels conseils pouvez-vous offrir à quelqu'un qui ne sait peut-être pas comment défendre ses besoins mentaux? C'est difficile parce que certaines personnes qui passent par ces choses ne se tournent pas parce qu'elles ont l'impression de n'avoir personne à qui s'adresser. Mon conseil est qu'il y a toujours des lignes d'assistance à appeler. J'ai entendu des gens les appeler. Je sais que c'est quelque chose que vous pouvez atteindre. Mais même le simple fait de le publier et de toucher une seule personne et de parler à l'existence peut vous aider à l'accepter. C'est plus facile à dire qu'à faire. Vous pouvez même l'écrire ou un journal à ce sujet. Le sortir et ne pas avoir l'impression que c'est un sale secret est un premier pas important. Rappelez-vous qu'en ce moment, vous pouvez vous sentir désespéré et que cela ne va peut-être pas automatiquement, mais que demain est un nouveau jour pour que quelque chose de nouveau se produise dans votre vie. Cela vaudra la peine de rester dans les parages. Rappelez-vous qu'il y a de meilleurs moments à venir, car le principal problème de la dépression et de l'anxiété est que cela provient en grande partie du désespoir. Trouvez-vous quelque chose pour vous donner un peu d'espoir. Comprenez que la guérison n'est pas linéaire. Ce ne sera pas mieux demain. C'est un voyage et un combat. Vous devez vous battre. Je pense qu'il existe de nombreuses ressources différentes et j'espère qu'il y en aura d'autres à l'avenir qui seront plus accessibles.
𝐿𝑒 𝑚𝑜𝑡 𝑞𝑢𝑖 𝑚'𝑒𝑠𝑡 𝑣𝑒𝑛𝑢 𝑎̀ 𝑙'𝑒𝑠𝑝𝑟𝑖𝑡 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡« 𝑒𝑠𝑝𝑜𝑖𝑟 ». 𝐺𝑎𝑟𝑑𝑒𝑧 𝑙𝑎 𝑓𝑜𝑖 𝑒𝑡 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑖𝑛𝑢𝑒𝑧 𝑎̀ 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑦𝑒𝑛𝑠 𝑑'𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑑𝑒 𝑙'𝑒𝑠𝑝𝑜𝑖𝑟 𝑠𝑢𝑟 𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑠𝑒𝑟𝑎 𝑒𝑡 𝑝𝑒𝑢𝑡 𝑒̂𝑡𝑟𝑒
Enfin, quelle est selon vous une bonne intention ou un objectif que tout le monde peut se fixer à l’entrée de cette nouvelle année? Je pense avoir de l'espoir. Le mot qui m'est venu à l'esprit était «espoir». Gardez la foi et continuez à trouver des moyens d'avoir de l'espoir sur ce que le monde sera et peut être. C'est beaucoup de ce que les gens vivent en ce moment, perdant espoir de trouver une solution à cette pandémie. Je pense qu'il est important de garder espoir et de manifester cela.
▪ source  ▪ traduit par ACFR.
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juliettemanciniart · 3 years
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Au fond, ils se sentent le besoin d’hurler leurs existence à tout va. Et j’en ai assez de cette politique du moi je moi je. Je trouve ça fou, depuis le début de l’année aucun n’a été capable de me demander un simple ça va ? En s’adaptant à mon cerveau atrophié, sans rire dans une hysterie collective niveau 6eme. Ces anorexiques. Masochistes. Maso moi ? Conne, vaine, paresseuse oui. Certes. Alors on se fait remarquer. En vomissant dans les poubelles, en fumant, en baisant.
Soudain on s’arrete. On nous parle. Un nouveau discours sur l’art contemporain. C’est sûrement passionnant, puissant, prophétique, mais trop long. Trop compliqué pour mon cerveau embrumé. Je baille et m’éloigne de ce groupe de jeune épuisant. Il y a des jours où je réfléchis vraiment comme une gamine, mais mon cerveau n’a pas le temps de grandir.
Je pars dans le musée de Barbie et je la regarde. Et je lance des attaques gros yeux à ces amis pseudo hype de paris qui n’ont rien de mieux à faire que de venir la moquer, ma princesse de plastique.. sèche tes larmes papillons mascara. Moi je te trouve bien belle, jurant dans tout ce paysage aigris. Je vais vous dire une confidence, je me projette sous ce soleil blond platine. C’est cadeau. Quelle sont niaises, remplissez leur la tête d’histoire d’amours hypocrites et on écarte leurs jambes si facilement. Elles ouvrent leurs bras à qui en mettent le prix, sans distinction du genre ou de l’espèce. Puis vient le chien Medore, la maison qui va avec. Mais au fond, qui y a t’il de mal à ça ? Est ce mal, d’être une femme objet ? C’est émouvant, exaspérant, moitié moitié. Je crois que j’ai trouvé le nouvel objet de mon affection, je me sens prête à extrapoler dessus pendant des heures. Elle veut juste qu’on l’aime, quitte à faire la popote. Et puis qu’on la jette, qu’on la laisse pourrir dans un coin ! C’est tant mieux pour elle. Ma bouche forme une parenthèse inversée. J’ai presque envie de pleurer. Enfin quelqu’un a ma hauteur dans tout Paris. Pourquoi rient elles ces poupées Shelly ? Elle sont si laides, elles ne comprennent pas la beauté de l’humaine disproportionnalité. Je sors de la salle refregidaire et me façonne à son image. Je suis bien prête à tout pour vous plaire, douce, dure, facile, inaccessible. C’est de nul importe. M’apercevoir que je n’étais pas la seule jolie poupée fut si cataclysmique. Maintenant je veux être la pire, la mieux habillée, la plus cadavérique. Je veux bien être diablement belle ! Avant de passer dans le monde de ces salles adultes. Je plaque un sourire candide sur mon visage ingénue. Ne jamais se fier à un sourire pareil, avant gardiste, dangereux. Par delà les pays, j’entends qu’on clame le retour de la potentielle génialité féministe entre ces lignes ? Ouhla. On se calme. Cessez un peu de lécher mes repetto achetés sur internet et à + dans l’bus. C’est si voluptueux, ce ceintre, ces clavicules blafardes se soulevant qu’importe si le vent vient de l’est ou de l’ouest, suspendant des vêtements informes et larges aux yeux de tous. Mieux vaut aller de suite me suspendre à l’étage Delacroix. J’y vais sans plus de cérémonie.
En bas, les gens se pressent, ils grouillent. Je ne vois qu’une masse floue, secoué de ricanement. Sûrement à mon sujet. Sûrement peu glorieux. Qu’ils rient. J’ai l’habitude. Qu’ils me collent une balle dans la tête. Je veux mourir. Une collégienne me pointe du doigt. Elle porte des Stan smith. C’est mignon, ce marshmallow congelé. Je secoue la tête. Tachant de chasser mon délire. Mais je suis hypnotisée par son autre main. Elle a un effet plus purifiant sur moi que tout potentielle fond marin dYves Klein. Cette parisienne n’est pas belle, elle est mignonne. Et ses cheveux de paille trahissent la maladie. On est à paris, la concurrence est rude, ici c’est genre, normal d’être anorexique. Elle fouille dans son paquet de harribos rejetant naïvement les dragées noires. Me, rejetant naïvement. J’ai envie de faire un Spoerri de ce moment, mais je ne suis pas une artiste de talent. Voir le caprice des dieux couler de ses lèvres labellotees, et en faire un ready made d’éponge, l’imprégnant de sa baveuse gloire cheesy. Et je pense: un jour, tout ce sucre fondera alors qu’elle criera le nom du premier conard venue.
J’erre entre les tableaux de scènes de torture sans plus les voir. Comme dans une forêt narcotique, attentiste de l’éveil paradoxal de son baiser anémié. Je ne sais plus quel rôle jouer, pourtant s’imposer l’immobilisme devant une telle perspective me laisse pantoise. Lent... lent.. mon sweat bleu spectral laisse une traînée gris cendrée sur mon passage. Je veux qu’il me transfuse, mon ombre, de cette aiguille trotteuse de l’heure qui passe. Lui faisant un croche pied. Je veux qu’il me traine sous le bois endormie de la table à manger. J’y reviens tous les week end, mon cœur exsangue d’Happy end. Qu’on aille fuser en dragon délavé. Chercher le diamant oublié et tremblant. Une javelle. Dans les chiottes. Qu’on casse la vaisselle de ce musée. Qu’ils fourmille sous mon teint hyalin et me fasse traverser son toit boule à facette, en un tas de silhouettes étirantes et caoutchouteuses pour aller rejoindre un astre blanc et nu, à l’artiste inconnu, underground, trouvé sur Tumblr.com. Je veux me pâlir pour me faire renaître à l’encre de Chine. Imiter une signature au Crystal bic bleu. Et la tasse de café qui se fele tandis qu’on entoure mon bras maigre. Dans vos yeux je lis la rage, dans les miens dans les vôtre je lis la peur. Mais je veux la faire trembler cette lueur manichéenne. Comme sur un fil d’un doigté, mutin et effilé, pantin épileptique. Alors j’arrache de mon poignet ridiculement fin l’entonnoir de la porcelaine dédoublée, et je nous fais tomber dans un monde inverse, le diable et moi. Dans les chiottes. La, rallumer la joie dans ses yeux, me fait éclater d’un rire joyeux 😀 et je me jette d’une montagne de Caspar David Friedrich. Mais on nous arrache bientôt à notre transe, textuel. Qui donc vient trouble ce moment d’intimité? Paniquée, je sors la tête de l’eau de rose du Marcel Duchamp. J’ouvre la porte et lui éclate la tête à la volée. Une femme de ménage du musée. Elle part laver ailleurs. Bon. Je voulais simplement discuter. Quelle malédictions que la beauté. Je referme la porte lentement et retourne dans les ténèbres de la possession. Je vois mon reflet au fond Duchamp. L’eau perle à mon front de marbre et va tomber sur mon marcel borde de rayures de marin. Mais, le spectre de mufasa vient me visiter et déclare: Juliette, tu dois reprendre ta place dans le cycle de la vie. Mais je ne le peux, tout le temps, je pense à mon ex, tel est le cycle de la mort. J’hurle. Et fait trembler la lumière tel des papillons Nabokov. Et j’ai peur du noir, je retourne donc dans le couloir.
C’est l’heure de manger. J’attends que mes esclaves viennent me faire de l’ombre avec leurs palmes mais le métro leurs coûtent trop chère. Je marche donc vers mes camarades. Ça ira. Il faut juste que je trouve quelqu’un pour écourter ces moments de récré qui font engendrer mon estomac une œuvre satirique et contemporaine. Je vendrais mes charmes de Barbie pour cela. Je la bénirais, ferais des portraits classiques entourés de fleurs impressionnistes pour qu’il, ou elle, ne me laisse pas m’enfermer dans les toilettes pour me scarifier dans ces moments d’angoisse sociale. Je m’assois en tailleurs au milieu de ce cercle de cannibale et chante en hindou pour passer le rite d’initiation. Mais l’on ne veut pas, on me rejette aussi ici, moi le mouton noir des brebis égarées, quel échec cuisant pour une émission de télé-réalité. Leur regard lancent des infra rouges et leurs bouches s’affaissent en signe de désapprobation. Je recule sous l effet de la terreur, ma démarche compassé forme maintenant une équerre. Mes yeux exorbités de chihuahua se mouillent de déception. Les débris de mon cœur se fêlent de plus belle. Ils sembleraient qu’ils soient jaloux de mon aura de vampire cristal. Il faut dire qu’en dessous des 40 kilos je suis belle rires. Je comprends. Je leur tapotte l’épaule en riant. Dieu pardonne. Mais c’est que ces prolétaires sont têtus ! Ils me jettent leurs nourritures à ma baby face pour conjurer le mauvais sort et en remplacement de l’ail et du pieu dans le cœur. Ils veulent que je l’avale. Bande de pleutres amoraux ! Je vous exècre tous ! Toi toi et toi. Je lève mon verre à l’abandon, au diable qui m’emporte, et vous maudit, tous ! Je resterais la queen B. Allez pourrir dans votre lac de mc do Je m’abaisse à leurs niveau, plus bas que terre, et leur demande de signer la fiche de présence de mon dessin au crayon de couleur de Renaissance. Je l’agite à leur nez, des étoiles pleins les yeux. Je leur explique, patiente. Là c’est un chien à trois têtes, là c’est des pâquerettes, là un sceau magique, et des carcasses qui font des bébés embryons ! Il n’en ont rien à foutre. Préférant les saucisses aux sceaux 6. Ils allument un callumé de la paix qui m’est interdit. Je tousse et agite ma main devant mon nez. Ils rient. Je leur répond que j’ai une constitution fragile ! Ils m’arrachent à mon dessin, le froissent et le font tomber en slow motion dans un hambergeur ! Je joins mes mains délicates en inspirant sous toute cette violence. Je tente de le ramasser, j’ai le nez presque sur le ventre de mère nature. Elle me chuchote un faible merci. Je lui réponds que je compatis, mon corps fragile pourrait se briser si facilement. J’entends qu’ils disent des choses, à mon propos. Ils pensent que je suis:.. possédée ? Oh. Je calfeutre mon visage. Non... je ne veux pas qu’on voit... cette larme... je vais vous dire un secret, au fond de moi, je suis dépressive, et quand on dit des choses comme ça, ça fait mal à mon cœur, il saigne, il noircit. Jour après jours, toujours la même chose. Je pars sans plus de cérémonie. Soupirante. Les cèdres du parc artificiel m’ombrent de leurs sourcils. Je ne marche pas très bien sûr ce chemin d’exil, je chancelle, mais ça ira, ça ira, continuez sans moi.
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candycloth · 6 years
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Bob Mackie Le Papillon™ Barbie® Doll | Barbie Collector:
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marie-bradshaw · 3 years
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“Love is in the air”
23h30: je verse une larme, émue, (bon ok plus d’une) lors de la premiere danse des jeunes mariés, me rappelant avec emotion de la magie qui opere quand deux coeurs unis se regardent dans les yeux.
Dans cette salle remplie de convives ennivrés par le vin et la joie de celebrer ce moment unique tous ensemble, j’observe les Insecurités de chacun.
Elles se remarquent en faisant attention aux details, une posture avachie, des bras croisés, une veste non quittée par 30 degrés pour camoufler une legere bedaine…
A la verité, nous en avons tous une ou deux.
Qu’on se trouve trop gros, trop minces, trop timides, qu’on ait peur de s’exposer et de se faire briser le coeur, encore, qu’on n’aime pas son nez ou sa façon de danser, l’imperfection est le propre de l’etre humain, et si nous etions tous lisses et identiques, le Monde serait une boite de Barbies sans intérêt.
Passer outre pour s’ouvrir au Monde et aux autres, ca demande du courage, mais on ne le regrette que rarement.
L’experience nous enrichie toujours, et que peut-on demander de plus, vraiment, que le savoir qui nous fait evoluer vers une meilleure version de nous-même, une version qui ne se protegerait plus autant contre l’amour et ses meandres?
Et quand je vous parle d’amour je ne parle pas que de romantisme.
L’amour est partout et prend diverses formes… les bras d’un enfant qui reclame sa mère, un ami qui vous sert dans ses bras quand vous avez le coeur brisé, une inconnue qui vous sourie sincerement, sans raisons.
Et je vous le dis, sans Amour, rien ne nous differencie des machines.
Il est le tresor qu’il faut savoir decouvrir et chercher avec les yeux grands ouverts, car bien qu’il fasse parfois aussi peur qu’un grand huit un lendemain de soiree, le jeu en vaut la chandelle.
Il vous transporte, sans billets ni pass sanitaire, il vous transcende, il vous fait tout oublier pour ne plus suivre que le battement binaire sous votre poitrine.
Et que vous dire encore du bonheur sans limites, plus puissant que le soleil, qui vous habite lorsque vous aimez, et êtes aimé(e) en retour, romantiquement cette fois.
La theorie de Platon nous dit qu’au commencement de l’univers nous etions tous attachés par deux, reliés par le sexe, et que pour nous punir de notre defiance Zeus a brisé ce lien sacré- nous mettant en quête eternelle de retrouver notre âme-soeur, dans cette vie et toutes celles qui suivent.
Alors quand vous ressentez ce frisson, ces papillons dans le bas-ventre, ce declic, cette certitude d’enfin l’avoir en face de vous- de vous etre reconnecté à votre moitié si durement manquée, eh bien vous vous prennez à esperer.
Esperer pouvoir resouder ce lien sacré à l’acier, à force d’efforts et d’amour, car il est le ciment de votre relation, il vous unie à votre partenaire dans le grand jeu de la vie, sur un pied d’egalité.
Et ça, mes amis, c’est l’espoir de la garantie de ne plus jamais être seul(e). D’avoir à vos côtés quelqu’un qui vous connaisse, qui vous comprenne, qui vous soutienne, qui ne desire et n’aime que vous, pour partager les rires comme les epreuves.
Un air qui ne peut que resonner à vos oreilles, quand bien même independance et liberté seraient comme à moi vos valeurs clefs.
La beauté du geste residant dans le simple fait de ne pas les sentir s’echapper, au moment d’ouvrir votre coeur.
Ouvrez les yeux, respirez, regardez avec ce dernier, Aimez.
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personal-spy · 6 years
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Bob Mackie Le Papillon Barbie Doll, Collection Gianni Grossi, 1999
Barbi exhibition in National Museum in Helsinki, Finland
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deslilas-lee · 7 years
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Pourquoi je snobe les pubs de rasoir
En allant sur Facebook, je suis tombée sur une publication sponsorisée du nouveau rasoir waterproof d’une marque. Première image que je capte, trois blondes en bikini “bonasses”, avec des buissons au niveau de l’entrejambe qu’elles vont “s’amuser” à tailler. J’ai immédiatement cliqué sur “Masquer la publicité > contenu inapproprié > ce type de contenu ne me correspond pas”. 
Le sujet est traité de manière inappropriée. Ce spot est créer dans les grandes règles d’art des agences de marketing. Les images sont parfaites, le fond et le sujet sont lisses. Pourtant la cible choisie ici, n’est pas une femme ou une personne lambda souhaitant se raser. Cette vidéo vend des rasoirs aux maris machistes à l’humour graveleux qui fantasment sur les barbies. Il y a mille façons de créer une publicité, de nombreux artistes et créateurs ont d’excellentes idées et au delà de la promotion d’une marque diffuse des messages positifs. Ici, on est loin de l’intelligence et de la réflexion autour de la cible.
Si j’ai choisi l’option “ne me correspond pas”, c’est parce que malgré tout, cette publicité a été créée et réfléchie et qu'elle conviendra à certaines personnes. On a le droit d’avoir un avis. Le mien c’est “je n’aime pas” et je le fais savoir par le procédé mis en place par Facebook. J’aurais préféré une armée de bûcherons de tout sexe et de corpulences différentes et que finalement cela soit le gros nounours barbus qui obtient un magnifique petit buisson en forme de cœur ou de papillon. Mais tout le monde n’est pas de cet avis. C’est important la tolérance et jouer au plus idiot n’est pas intelligent ;)
See you !
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sand01-blog1 · 7 years
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Société à marde Je ne suis pas Barbie , je ne suis pas aussi parfaite que elle et personne l'est... on à tous des complexes , nos seins , nos fesses , nos cuisses , nos hanches , nos poingner d'amours, notre poil, notre forme de visages , nos cheveux , notre acné, nos rougeurs , notre teins, notre ventre notre morphologie? Tout ces complexes son cause pAs les critères que nous impose la société . Si cette misérable société n'existait pas tous ces complexes se volatiliserais dans l'aire tel un papillons prennent son envole. Tout ce que je voudrais dire à la société c'est de ce mettre ces critères dans le cul
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Vidéo : Leur grand kiff ? Ressembler à un personnage de fiction !
Luis Padron : Fan de fantaisy, le jeune homme qui a usé de la chirurgie esthétique dès l’âge de 14 ans a fini par se métamorphoser en elfe. Botox, liposuccions, rhinoplastie… Au total pour ce papillon : plus de 40 interventions ! Bientôt le nouvel interprète de Legolas ?
Justin Jedlica : Qui ne connaît pas cet américain d’une trentaine d’années qui prétend être l’incarnation humaine de Ken ? Son intérêt pour la poupée plastique l’a fait passer par la case billard plus de 150 fois et débourser au moins $168 000. Mais ressemble t-il vraiment au petit-ami de Barbie ? Ça, c’est une autre histoire… 
Julian Jaye : Pour ressembler à Trunks du manga Dragon Ball Z, ce coach sportif n’a pas hésité à claquer plus de $15 000 en soins capillaires, shopping et musculation. Sur les réseaux sociaux, il adore incarner son héros favori en prenant diverses poses épiques. Une chose est sûre : il est à fond !
Henry Damon : Lui, il est allé carrément trop loin. Ce vénézuélien à la quarantaine s'est fait tailler le nez et modifier complètement son visage pour ressembler au super-vilain Red Skull. On l'imagine plus dans un film d'horreur que dans un Marvel.
Anastasiya Shpagina : Pas certain qu’elle soit moins effrayante qu’Henry ! La jeune ukrainienne n’est pas seulement fan de cosplay : grâce au maquillage et à la chirurgie esthétique bien sûr, elle s'est transformée en véritable personnage de manga.
Herbert Chavez : Avant, c’était un Philippin comme un autre. Puis, il est devenu Superman. Tel était son destin !
Annette Edwards : A presque 60 ans, Annette a décidé du jour au lendemain de passer sous le bistouris pour ressembler à l’une des pin up les plus glamour du cartoon : Jessica Rabbit, la femme du lapin Roger Rabbit. Quand on la compare avec certains, c’est plutôt pas trop mal !
Vinny Ohh : L’Américain vit sur une autre planète. Après plus d’une centaine d’opérations de chirurgie, Vinny a enfin le corps de ses rêves : celui d’un alien asexué. Il faut de tout pour faire un monde !
HF.
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