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#lac-saint-jean-est
ruemorinpointcom · 4 months
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J’aime internet, mais MOINS cher.
Communiqué conjoint des Services budgétaires Lac-Saint-Jean-Est et de Saint-Félicien, du MEPAC et de Accès Conditions Vie Continue reading J’aime internet, mais MOINS cher.
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darefollowme · 1 year
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Midsommar — la fête suédoise par excellence
Les touristes errent dans les rues désertes de la capitale vidée de Stockholmois. Et pour cause, les Suédois sont tous partis se mettre au vert pour fêter midsommar. Attendue toute l’année par ceux que la rigueur luthérienne étouffe un peu, cette fête salvatrice où se lâcher est enfin accepté, est un savant mélange de traditions hédoniques, d’orgies païennes, de l’ancienne société paysanne et de l’été idéal avec « sill, sex and sol ».
Un peu d’histoire
Midsommar célèbre le solstice d’été, une cérémonie rituelle en l’honneur du soleil et de la Terre nourricière. Importée d’Allemagne, elle se fête autour du mât fleuri, symbole phallique érigé par les costauds du village, et de ses anneaux féminins, symboles d’abondance et de fertilité. Midsommar est la fête de la fécondité depuis le haut Moyen-Âge. Cette manifestation païenne fut récupérée par l’Église pour fêter Saint Jean-Baptiste et le mât se transforma en substitut de la croix chrétienne. Si jusqu’au XIXème siècle de nombreuses variantes régionales perdurent, de nos jours le mât de mai est relativement uniforme dans tout le royaume, mais ceux de Dalécarlie, les plus richement ornés et fleuris, attirent des touristes bien au-delà des frontières.
Midsommar, jour sans nuit, était une expérience entre le naturel et le surnaturel. Ainsi, les plantes, cueillies juste au moment de la rosée, possédaient des vertus médicinales décuplées, et se rouler nu dans la rosée le matin de midsommar assurait force et santé, tandis que quelques gouttes de cette rosée magique permettait à la bière de fermenter et à la pâte à pain de bien lever. On se méfiait du Näcken, une créature maléfique des eaux, particulièrement actif à la midsommar aux abords des lacs. Mais rester sage, choisir sept fleurs différentes et les placer sous l’oreiller, permettait aux jeunes filles à marier de voir l’élu de leur coeur en rêve.
De nos jours, midsommar se fête encore, de préférence à la campagne, en famille, avec les copains et les voisins autour du mât planté dans le jardin du hembygdsgården, maison des traditions populaires. Danser la tête ornée d’une couronne de fleurs et chanter « Små Grodorna » autour du mât est une tradition assez récente et permet d’inclure les plus jeunes à des festivités marquées par des activités davantage destinées aux adultes.
Des harengs à toutes les sauces et de l’eau de vie aromatisée : sill et nubbe
Le menu de midsommar comporte des valeurs sûres et incontournables : pommes de terre primeurs suédoises, de préférence en robe des champs, à l’aneth, et sill (harengs marinés) à toutes les sauces, senapsill (à la moutarde douce), skärgårdssill (crème, ciboulette, crevettes et oeufs de poisson) et le fransk löksill qui n’a de français que le nom et sa concentration en oignons et épices. Enfin, le grand numéro de parade, la tarte au sill (recette ci-dessous).
À midsommar, les boissons alcoolisées sont consommées en grande quantité, Systembolaget réalise une grosse partie de son chiffre d’affaire annuel à cette période-là. Chaque année, les revues spécialisées proposent une liste des meilleurs nubbe. Voici mon top 3 : Hallands fläder (aux fleurs de sureau), avec son petit goût de cumin et d’anis, OP Andersson est un grand classique et enfin mon nubbe à la rhubarbe (à préparer 3 jours à l’avance — recette également ci-dessous).
Midsommar, c’est aussi la fête du slip
Il fait beau (ou pas, le plus souvent !) mais la lumière fait grimper le taux de sérotonine, on se sent bien et toutes les bonnes choses ingurgitées donnent envie de pécho… ! Même si la vente des préservatifs est exponentielle, Statistiska Centralbyrån enregistre 24 % de naissances au-dessus de la moyenne mensuelle entre le 15 mars et le 15 avril et la date de naissance la plus répandue est le 22 mars, soit exactement neuf mois après midsommar…
Soleil, soleil, soleil, pluie et grêle
La météo de la midsommar est capricieuse ! Les écarts de température varient à Stockholm, de 38 degrés en 1970 à -11 degrés en 1987. Des ondées surprises, une soirée un peu fraîche… mieux vaut s’équiper d’un pull et d’un imper. Pour ré-interpréter les pubs de harengs et de bière, vous pouvez suivre le va-et-vient de la table de l’extérieur à l’intérieur et vice-versa.
Bonus 1 : La super recette de nubbe à la rhubarbe
Ingrédients : 6-8 tiges de rhubarbe  environ 2 cm de gingembre frais • 3 c. à s. de sucre semoule • 1 bouteille d’eau de vie (j’utilise Renat, mais la vodka convient également)
Laver la rhubarbe et le gingembre puis les couper en petits troncons.
Mettre dans un pot à couvercle hermétique, avec le sucre puis recouvrir  avec l’eau de vie.
Laisser reposer au réfrigérateur pendant au moins deux jours, de préférence plus.
Filtrer la préparation au chinois (ou à travers des filtres à café).
Servi très frais, ce nubbe à la jolie couleur rosée se consomme avec modération, bien sûr !
Bonus 2 : La silltårta de parade
Ingrédients : 2 pains kavring (env 600 g) • 80 g de beurre • une boîte de matjesill de 200 g et 1 c. à s. de son jus • des restes de poisson fûmé à chaud ou à froid • une boîte d’œufs de poisson (stenbitsrom car sans colorant) • 3 feuilles de gélatine • un bel oignon rouge ou des cébettes • un pot de kesella • un pot de crème fraîche • 1 c. à s. de moutarde • 1 cm de gingembre râpé • de la ciboulette et des radis pour la déco
Pour le fond de tarte :
Réduire le pain kavring en miettes et le mélanger avec le beurre en pommade.
Tapisser un moule à bord amovible avec cette préparation en aplatissant bien, puis laisser reposer au réfrigérateur pendant environ 15 minutes.
Pour l’appareil :
Faire tremper la gélatine dans l’eau froide pendant environ 5 minutes.
Égoutter le hareng mais garder le jus.
Hacher finement l’oignon et le hareng. Mélanger l’oignon, le hareng, le kesella, la crème fraîche, le jus de hareng, les oeufs de poisson et les restes de poisson fumé et la moutarde et le gingembre. Poivrer.
Faire fondre la gélatine à feu doux. Incorporer au mélange.
Verser dans le moule. Laisser reposer au réfrigérateur au moins 3 heures pour durcir avant démoulage.
Garnir de ciboulette et de rondelles de radis avant de servir.
Bonus 3 : Fläderblomschampagne, pétillant de fleurs de sureau
Ingrédients pour 3 litres de boisson :  env. 2,5 dl de sucre de canne • 1 citron bio coupé en tranches • 1 c.à.s. de vinaigre de cidre bio • 2, 7 l d’eau • 15 corymbes de sureau sans les tiges. Il s’agit bien sûr du sureau Sambucus Nigra.
Secouer les corymbes de fleurs pour éventuellement faire tomber les insectes, puis dans un grand bocal, mettre le sucre, les tranches de citron, l’eau, le vinaigre et les fleurs de sureau. Mélanger et recouvrir le bocal d’un linge fixé à l’aide d’un élastique. Laisser macérer 4 à 6 jours à température ambiante, des petites bulles vont apparaître. Filtrer et mettre en bouteilles à capsule mécanique. Conserver les bouteilles au frais et consommer après 2 semaines.
Si vous désirez conserver votre pétillant plus longtemps, on vous conseille de laisser échapper un peu de gaz de vos bouteilles.
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marciamattos · 6 months
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Gustave Courbet (1819 - 1877)Bourgeois et socialiste - dans la revue Hérodote
Gustave Courbet cultive une technique de peinture conventionnelle mais se veut révolutionnaire et provocateur par le choix des sujets, ce qui lui vaut d'être désigné comme le chef de file de l'école réaliste sous le règne de Napoléon III, aux côtés d'Honoré Daumier et Jean-François Millet.
Un autre regard
Gustave Courbet passe les années heureuses de l'enfance dans la ferme familiale de Flagey. À 14 ans, il entre pour cinq ans au petit séminaire d'Ornans. Il perd complètement la foi mais découvre la peinture sous la direction d'un professeur attentionné, le père Beau.
Il poursuit sa formation à l'Académie de Besançon et «monte» enfin à Paris.
À grand renfort de cours privés et de travail personnel, avec le soutien aussi du marchand néerlandais Hendrik Jan Van Wisselingh, il se fait enfin remarquer au Salon de 1850-1851 avec trois toiles monumentales : Une après-dîner à Ornans, Les casseurs de pierre et surtout Un enterrement à Ornans. Cette toile est une forme de parodie du Sacre de Napoléon par David. Les personnages sont montrés à taille réelle mais dans toute leur crudité et leur médiocrité.
Ces toiles sont le reflet de la nouvelle esthétique réaliste dont Courbet s'affirme le chef de file, en rupture avec la peinture académique et les sujets mythologiques ou historiques.
Foin de convenances
Bourgeois voltairien et anticlérical, convaincu de son génie («Je peins comme un Dieu», dit-il), Gustave Courbet ne s'embarrasse pas de convenances, aidé en cela par la bienveillance du pouvoir impérial. Si conservateur soit-il, celui-ci traite ses artistes avec l'indulgence d'un père pour ses garnements.
L'artiste se rapproche en 1863 du penseur anarchiste Joseph Proudhon (il peindra à sa mort un célèbre portrait du penseur entouré de ses filles).
Conséquent avec lui-même, il refuse en 1870 la Légion d'honneur proposée par le gouvernement de Napoléon III. Après que celui-ci eut été renversé par les républicains, il participe à la Commune de Paris comme conseiller municipal du 6e arrondissement et président d'une Commission pour la protection des beaux-arts. Un décret inspiré par ladite commission ordonne d’abattre la colonne Vendôme, témoin honni de l'ère napoléonienne. Il semble toutefois que Courbet était absent lorsque la décision a été prise et que lui-même préconisait simplement qu’elle soit déplacée.
Arrêté le 7 juin 1871 et interné à Sainte-Pélagie, le peintre est condamné à six mois de prison et à une forte amende en raison de sa participation à la Commune.
Après quoi, il reprend son atelier à Ornans et s’entoure de plusieurs élèves. Mais cette trêve ne dure pas. Il est poursuivi en justice sous l’accusation d’avoir fait abattre la colonne Vendôme pendant la Commune. Ses biens sont saisis et il doit s’exiler en Suisse.
C'est là, à La Tour-de-Peilz, près du lac Léman, qu'il finit ses jours le 31 décembre 1877, à 58 ans.
Via Bernadette Lambotte Philippe Jamart
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Nouvelle Revue d'Histoire : Est-ce à ce moment-là que vous décidez avec des camarades scouts de refaire l'expédition du père Marquette, des Grands-Lacs au Mississippi ?
Jean Raspail : J'ai rarement évoqué cette aventure car je ne souhaitais pas me voir coller en plus de tant d'autres étiquettes, celle de boy-scout attardé. Pourtant, cette expérience de jeunesse fut très importante pour moi. Je me sentais bien dans cet univers. Il y régnait un idéal clair, simple, net et joyeux. Nous vivions des rêves d'aventure. J'avais été enthousiasmé par les romans « Signes de Piste », ceux de Jean-Louis Foncine et de Serge Dalens qui, à leur façon, sont de grands écrivains, des créateurs de mondes. Ils ont joué leur rôle dans mon imaginaire. Mes camarades et moi, nous sommes donc partis pour le Canada avec presque rien. Le scoutisme nous avait bien préparés. Nous avons embarqué en cargo depuis la France. C'était en 1949. Nous avions vingt-trois ans et un rêve, franchir en canot les 4 600 kilomètre de voies d'eau séparant le Canada de la Nouvelle-Orléans, via le Saint-Laurent, les grands lacs et le Mississippi. Tout cela sur les traces des premiers explorateurs français, le Père Marquette, Le Moyne d'Iberville, Cavelier de La Salle. Ce rêve a été réalisé avec trois compagnons, chefs scouts comme moi, sept mois durant. Ce fut le plus beau de tous mes voyages. En tout cas, celui qui a eu le plus d'allure. Partis pour une belle aventure, nous en avons découvert peu à peu la signification profonde. Bien plus qu'une vie séduisante, nous avions trouvé un idéal de risque et de dépassement dans ce premier voyage, quelque part entre les villes de Saint-Louis et de Memphis, sur les chemins d'eau périlleux qui relient Québec au Mississippi. Nous vivions dans une communion profonde avec la nature. C'était un voyage complètement désintéressé. Nous ne savions pas ce que nous allions retirer de cette expérience.
NRH : Pourquoi avoir voulu suivre l'itinéraire de ces découvreurs de la Nouvelle-France ? Qu'est-ce qui vous attirait chez ces hommes ?
JR : Ils étaient habités par l'esprit de découverte, une caractéristique bien française. Et cet esprit était vraiment désintéressé, si l'on met de côté, bien sûr, le commerce de fourrure et la conversion des « sauvages », pour les missionnaires, comme le père Marquette. Pour le reste, les colons français étaient animés par le désir d'aller toujours plus loin, au-delà… Et quand ils arrivaient en pays inconnu, ils voulaient aller plus loin encore.
Extrait de l'entrevue de Jean Raspail avec La Nouvelle Revue d'Histoire, propos recueillis par Pauline Lecomte, No. 60, mai-juin 2012.
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sophietdbquebec · 1 year
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17 février - Parc Jean-Drapeau
Aujourd'hui a été une journée plutôt tranquille. Il neigeait ce matin donc nous avons pris notre temps pour nous lever et pour déjeuner, et nous sommes partis vers 11h avec Alix et Romain pour prendre le métro direction le Parc Jean-Drapeau. Le parc est constitué de deux îles, l'île Sainte-Hélène, naturelle, et l'île Notre-Dame, créée avec la terre excavée pour construire le métro de Montréal. Il y a pleins d'activités possibles, des sentiers de raquettes, de ski de fond, de patin, mais aussi des infrastructures sportives (bassin d'aviron, piscine), un circuit de Formule 1, un musée et un parc d'attraction (ouvert uniquement l'été). Nous avons fait un petit tour des deux îles et nous avons repris le métro vers le centre-ville.
Nous sommes arrivés dans l'un des quartier les plus vivants de la ville, dans la partie commerçante de la rue Saint-Catherine. Nous avons mangé des bagels dans l'un des nombreux food-court de la ville souterraine. On peut se promener entre les centre commerciaux du centre-ville grâce à un réseau de sous-terrains, comme ça, pas besoin de ressortir dans le froid pour changer de magasin ! Romain nous a quitté et nous avons fait un peu de magasinage avec Alix, mais nous n'avons pas trouvé grand chose, soit c'était pour des ados, soit pour des personnes plus âgées. Nous avons quand même crapahuté à travers le centre-ville, nous sommes passées sur la Place des Arts, où se déroulent les nombreux festivals, spectacles et animations de la ville.
Nous avons fini notre virée dans une friperie qui ne payait pas de mine, la devanture donnait plus l'impression d'un squat. Une fois à l'intérieur, nous avons compris pourquoi elle était si réputée, la décoration est incroyablement kitsch! Il y en a partout, et pour tous les goûts, je vous laisse observer les détails sur les photos (il y a même Michael Jackson qui montre son bébé à la fenêtre dehors). Nous avons pris un thé et une limonade dans le café de la friperie et nous sommes rentrées.
Alix, Romain et Adrien sont allés faire des courses pour notre week-end en chalet, Blandine et moi avons joué à Hanabi. Demain matin, samedi, nous partons passer le week-end dans un châlet au bord d'un lac, je ne promets donc pas la publication quotidienne...
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scholasaintececile · 2 years
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christophe76460 · 12 days
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DÉVOTION QUOTIDIENNE D'MFM. LA VIE AU SOMMET DE LA MONTAGNE
mercredi 22 mai 2024
THÈME : TON NOM EST-IL DANS LE LIVRE DE VIE ?
BIBLE EN UN AN : Esther 1, Esther 2, Esther 3, Jean 7, Jean 8
ÉCRITURE DE FEU : Apocalypse 20 : 11-15
VERSET DE MÉMOIRE :
Apocalypse 20 : 15 - "‭Et si quelqu’un n’a pas son nom écrit dans le livre de vie, il est jeté dans le lac de feu. PDV2017"
CITATIONS INSPIRANTES :
Quoi qu'il vous en coûte, assurez-vous que votre nom ne soit pas supprimé du Livre de Vie.
LOUANGE ET ADORATION :
Prenez des chants de louange et d’adoration dirigés par le Saint-Esprit.
PAROLE PROPHÉTIQUE DU JOUR :
Je vous prophétise qu'aucune activité de l'esprit de l'enfer ne prospérera contre vous, au Nom de Jésus.
LE MESSAGE :
Votre nom est-il dans le livre de vie ? C’est une question d’une valeur inestimable qui devrait continuellement résonner aux oreilles de tout croyant sérieux et soucieux du ciel. Il est épouvantable qu’en cette fin des temps, de nombreux chrétiens vivent comme s’il n’y avait pas de fin du tout. De toute évidence, cela fait partie des pitreries du diable, obligeant les chrétiens à vivre dans la négligence, sans se soucier de la fin des temps, lorsque tout le monde se tiendra devant le tribunal de Dieu.
Il y a sûrement une fin à l’existence de chaque âme vivante, quels que soient sa source, son origine, son statut, sa race, sa couleur, son sexe, ses acquis et ses croyances. En réalité, personne n’a le privilège de vivre éternellement. Si vous connaissez ce fait et le croyez, alors vous devez être extrêmement prudent sur la façon dont vous vivez votre vie empruntée.
Le jour du jugement devant le trône blanc du Dieu Tout-Puissant sera un jour de peur terrible. La Bible dit que la terre et le ciel ne pourraient pas se tenir devant Sa face. Les morts, grands et petits, se tiendront devant Lui pour vérifier dans les livres les enregistrements de leurs activités sur terre. Chaque action, attitude, déclaration, imagination, pensée, relation, comportement, poursuite, passion, engagement, carrière, entreprise, service chrétien, mariage, chaque aspect de l'existence humaine doit être jugé à partir des entrées dans les livres. C'est l'évaluation de votre vie à partir des livres, qui déterminera si votre nom sera jugé digne d'entrer dans le livre de Vie ou autrement. Le verdict effrayant est que ceux dont les noms ne sont pas trouvés écrits dans le livre de vie seront jetés dans l’étang de feu.
Bien-aimés, le feu de l’enfer est un endroit terrible comme fin. Êtes-vous sûr que votre nom est écrit dans le livre de vie ? Quiconque vit une vie de péché ; quiconque n'a pas la crainte de Dieu et vit pour la chair, le monde et satan ; et quiconque rejette Jésus-Christ ici sur terre ne pourra jamais avoir son nom dans le livre de vie. Je te le demande encore : ton nom est-il écrit dans le dans le livre de vie ?
POINTS DE PRIÈRE :
MATIN
1. Tout point d'iniquité dans ma vie, meurs par le feu, au nom de Jésus.
2. Iniquité de la maison de mon père ou de la maison de ma mère, libère-moi, au nom de Jésus.
3. Sang de Jésus, délivre-moi de la puissance du péché, au nom de Jésus.
SOIR
4. Étrange feu brûlant dans mon âme, je t'éteins avec le sang de Jésus, au nom de Jésus.
5. Toute graine de luxure cachée dans n’importe quel domaine de ma vie, meurs, au nom de Jésus.
6. Feu du Saint-Esprit, enveloppe complètement ma vie, au nom de Jésus.
7. O Seigneur, si mon nom a été retiré du livre de vie, par Ta miséricorde, remets-le, au nom de Jésus.
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jeanetjeannepatin · 26 days
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Mercredi 8 mai 2024 à 19H, la Petite Boutique Fantasque accueille Monique Calinon pour sa chronique Fière de lettres. Aujourd'hui, elle nous dresse le portrait d'une vraie révolutionnaire, Olympe de Gouges. Nous l'avons intitulé : Fière d'être Olympe de Gouges. Cette chronique est précédemment parue dans la version numérique de Libération. Cette émission de RadioRadioToulouse est diffusée en hertzien, Toulouse : 106.8 Mhz ou en streaming https://www.radioradiotoulouse.net/ et pour tout le reste du temps et du monde sur les podcasts de mixcloud.
Programmation musicale : 1) Qui est homo extrait du Stabat mater (Antonio Vivaldi) Caroline Champy-Tursun / Ensemble baroque de Toulouse / Michel Brun 2) L'escalier (Imago) 3) L'innocence (Arthur H.)  4) les petites filles (Michèle Bernard) 5) Le lac Saint-Sébastien (Anne Sylvestre) 6) Boys and girls (Bryan Ferry) Brian Ferry jazz orchestra 7) Elevation pour la paix (Marc-Antoine Charpentier) Les Passions / Jean-Marc Andrieu 8) Hotel California (The Eagles) Jake Shimabukuro / Jake Shimabukuro / Earl Klugh
+ Chronique Fières de lettres de Monique Calinon : Olympe de Gouges, le courage tout azimut
Pour ceux qui auraient piscine indienne, ou toute autre obligation, il y a une possibilité de rattrapage avec les podcasts de la PBF : https://www.mixcloud.com/RadioRadioToulouse/fière-dêtre-olympe-de-gouges-la-petite-boutique-fantasque
Sus aux Philistins !
Photographie de Mrs Stewart sur une moto Rudge (Gallica) 
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latribune · 1 month
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yes-bernie-stuff · 1 month
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https://editions.caef.net/2024/04/21/lautorite-de-jesus/L’autorité De Jésus.
21/04/2024 Jésus entra dans la synagogue et se mit à enseigner. Ses auditeurs étaient profondément impressionnés par son enseignement, car il parlait avec une autorité que n’avaient pas les spécialistes de la Loi. Marc 1.21-22
Comment un modeste charpentier de Nazareth, bourgade juive bien insignifiante, a-t-il pu marquer à ce point ses contemporains pour qu’en si peu de temps le témoignage de sa vie et de son enseignement se répande dans tout l’empire romain ?
Sur une simple parole de Jésus, des patrons de pêche du lac de Galilée ont lâché leurs filets, quitté femmes et enfants pour le suivre. Des foules entières se déplaçaient pour venir l’écouter. Tous s’étonnaient de l’autorité avec laquelle, par sa parole, il guérissait les malades et les infirmes, commandait à la tempête, chassait les démons : Quelle est cette parole ? Il donne des ordres aux esprits mauvais, avec autorité et puissance, et ils sortent ! ¹
Devant les juifs si respectueux à l’égard de Dieu, il n’hésite pas à l’appeler « Abba », « Papa » en araméen ! Il se présente à eux comme l’unique médiateur entre Dieu et les hommes : Personne ne va au Père sans passer par moi².
Et comment expliquer que ses disciples, apeurés et dispersés après sa mort infâme sur une croix, ont ensuite été ces témoins courageux jusqu’au martyre, portant sa parole dans le monde entier ? Une seule réponse, il était bien ce qu’il affirmait : Je suis la résurrection et la vie ³.
¹ Luc 4.36 ² Jean 14.6 ³ Jean 11.25
Bernard Grebille
__________________ Lecture proposée : Évangile selon Luc, chapitre 4, versets 31 à 37.
31 Il descendit à Capernaüm, ville de la Galilée; et il enseignait, le jour du sabbat.
32 On était frappé de sa doctrine; car il parlait avec autorité.
33 Il se trouva dans la synagogue un homme qui avait un esprit de démon impur, et qui s'écria d'une voix forte:
34 Ah! qu'y a-t-il entre nous et toi, Jésus de Nazareth? Tu es venu pour nous perdre. Je sais qui tu es: le Saint de Dieu.
35 Jésus le menaça, disant: Tais-toi, et sors de cet homme. Et le démon le jeta au milieu de l'assemblée, et sortit de lui, sans lui faire aucun mal.
36 Tous furent saisis de stupeur, et ils se disaient les uns aux autres: Quelle est cette parole? il commande avec autorité et puissance aux esprits impurs, et ils sortent!
37 Et sa renommée se répandit dans tous les lieux d'alentour.
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ruemorinpointcom · 4 months
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Partout au Saguenay—Lac-St-Jean
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estelle-02 · 6 months
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Le déclin des abeilles sauvages au Québec
Estelle Heymans
Une étude établit une relation négative entre le nombre d’abeilles domestiques et le nombre d’abeilles sauvages. En d’autres mots, plus il y a d’abeilles domestiques, moins il y a d’abeilles sauvages, ce qui mène à une perte de biodiversité.
En 2020, l’île de Montréal comptait 2 900 ruches alors qu’elle ne comptait que 240 ruches en 2013. Cette année, dans les champs de bleuets, environ 40 000 ruches ont été installées.
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Ruchers dans les champs de bleuets au Lac Saint-Jean. Sur la photo, il y a environ 25 îlots, chaque îlot regroupe 4 ruches. Chaque ruche comprend en moyenne 20 000 à 30 000 individus, ce qui fait un minimum de 2 millions d’abeilles. Face à cette population nombreuse, les abeilles sauvages ne font pas le poids. Photo prise par Estelle Heymans.
Les répercussions
Une étude, menée en 2020, démontre que cette arrivée massive d’abeilles domestiques entraîne une augmentation de la compétition pour l’accès au nectar et au pollen. En moyenne, les ruches d’Apis mellifera atteignent 50 000 abeilles alors que les ruches sauvages comptent beaucoup moins d’individus.
C’est comme si vous habitiez dans un petit village puis que, du jour au lendemain, une grande métropole venait s’installer à côté de vous et commençait à utiliser vos ressources… Même si le nombre de fleurs reste le même, leurs accès deviennent plus difficiles et limitent la quantité de nourriture disponible pour les abeilles sauvages.
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Une étude, réalisée en 2013, avait établi que les abeilles domestiques n’avaient pas d’impact sur les abeilles sauvages. Sept ans plus tard, la conclusion est différente. Source : MacInnis et al., McCune et al., Métro
Également, selon Pierre Giovenazzo, chercheur en science apicole et professeur au département de biologie à l’Université Laval, l’importation d’abeilles domestiques entraîne des problèmes sanitaires. En effet, étant donné que ces abeilles proviennent des quatre coins de la planète, elles amènent avec elle de nouveaux pathogènes: « L’importation d’abeilles domestiques au Québec a amené principalement le varroa, un acarien, et la loque américaine, une bactérie », affirme le chercheur. Les abeilles sauvages ne peuvent pas recevoir le traitement adéquat contre ses pathogènes et cela peut mener à une détérioration rapide de leur colonie.
Un futur sombre
En revanche, il est important de mentionner que ce ne sont pas les abeilles domestiques qui causent la perte de la biodiversité. Comme illustré sur le graphique ci-dessous, c’est l’arrivée massive de ces dernières par les humains qui prend de court les abeilles sauvages.
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Le nombre d’abeilles sauvages reste supérieur à celui des abeilles domestiques. Néanmoins, il y a eu une augmentation fulgurante entre 2013 et 2020 du nombre d’abeilles domestiques.
Si rien n’est changé, le futur des abeilles sauvages est assez sombre. Selon M. Giovenazzo, nous pouvons nous attendre à une augmentation de l’importation des abeilles domestiques et une diminution des abeilles sauvages. « Il y aura une augmentation des services de pollinisation ce qui mène toujours à plus d’abeilles domestiques et, malheureusement, une détérioration des abeilles sauvages », affirme-t-il.
Empêcher le déclin
« Un des problèmes dans les villes pour les pollinisateurs sauvages est la nidification », constate M. Giovenazzo. La mise en place de nouveaux espaces verts dans les villes favoriserait l’implantation des abeilles sauvages en augmentant le nombre d’endroits où elles peuvent s’établir. « Ajouter des jardins communautaires, augmente les espaces verts et donc les endroits de nidification », explique-t-il.
Selon l’étude, la plantation de plusieurs variétés de fleurs pourrait diminuer le déclin des abeilles sauvages. En effet, cela contribuerait à réduire la compétition en augmentant et en diversifiant les ressources de nectar et de pollen disponibles pour les abeilles.
Également, l’arrivée de ruches domestiques à Montréal est incontrôlée. N’importe qui peut acheter des ruches n’importe comment. Pour un meilleur contrôle, le chercheur apicole propose que « l’achat d’une ruche devrait toujours venir avec une formation ». Cela permettrait d’avoir des apiculteurs urbains mieux renseignés.
La solution pour lutter contre la perte de biodiversité des abeilles sauvages dans les champs agricoles est à la fois simple et complexe. L’idéal serait de freiner la destruction de l’habitat en diminuant les monocultures. Cela impliquerait de changer le fonctionnement du système agricole.
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grandeoiedesneiges · 6 months
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La Grande Oie des neiges, d’où vient-elle ? Où va-t-elle ?
Par Marjolaine Naud.
Chaque année, 800 000 Grandes Oies des neiges traversent le Québec, reliant les États-Unis et le Haut-Arctique. Mais que sait-on vraiment de cette migration ? L’une des migrantes, MC61, nous emmène.
On est début mars et les jours s’allongent. Il est temps pour MC61 et ses congénères de quitter la Caroline du Nord où ils ont passé l’hiver dans les marais côtiers. Direction : l’Arctique. Leur avancée est rythmée par le dégel. Il leur faut atteindre leur destination au moment où la neige fond et où les plantes commencent juste à pousser. Ces plantes naissantes sont primordiales pour les oisons (les bébés oies), car elles sont de grande qualité nutritive. Elles leur permettront de grandir vite, car il va leur falloir beaucoup d’énergie pour revenir.
Le moment d’arrivée de MC61 et de ses congénères sur place est une question de survie. « Il peut y avoir un coût à arriver trop tôt : s’il n’y a rien à manger, leur survie est compromise. À l’inverse, si elles arrivent quand l’été est déjà commencé, les jeunes pourront moins profiter. » , explique Thierry Grandmont, doctorant en biologie dans le laboratoire du professeur Legagneux à l’Université Laval.
Le voyage
Première escale : le Québec, où le groupe arrive à la mi-mars pour s’y reposer et faire des réserves. Certains groupes s’arrêtent à la Baie-du-Febvre, d’autres au Cap-Tourmente ou au Lac Saint-Jean.  
Puis, à la mi-mai, MC61 et les autres reprennent leur vol pour le dernier grand segment du périple : 3000 kilomètres jusqu’au Haut-Arctique en survolant la forêt boréale. Parfois, les conditions sont difficiles. Elles essuient des tempêtes, ou bien il y a trop de neige. D’autres fois, les vents sont avec elles, et elles arrivent à destination rapidement.
« La portion du trajet entre le Québec et le Haut-Arctique, c’est environ 3000 km au-dessus de la forêt boréale, précise Thierry Grandmont. Ça peut prendre 3-4 semaines si les conditions ne sont pas bonnes. »
Et si les conditions sont bonnes ? « Grâce à un collier GPS, on a par exemple enregistré une oie qui a fait le trajet en 2 jours ! » ajoute-t-il. Surprise : il s’agit de MC61 !
L’île Bylot et le Grand Nord
MC61 fait partie de la colonie principale qui s’établit à l’île Bylot, au nord de l’île de Baffin. Mais d’autres membres de l’espèce s’éparpillent en petits groupes, plus au nord.
Une fois arrivée, notre oie doit trouver un emplacement pour son nid, pondre et couver 24 jours exactement. L’Arctique compte peu de prédateurs pour la Grande Oie des neiges ; c’est d’ailleurs ce qui explique cette migration. Ses oisons sont en revanche plus vulnérables ; renards arctiques, corbeaux ou encore goélands bourgmestres les menacent.
Une fois les œufs éclos, les adultes muent. Ils perdent toutes leurs plumes de vol et sont cloués au sol comme des milliers d’avions sans ailes. Il faut pourtant continuer à veiller sur les jeunes et les protéger. C’est une période à risque pour tout le monde. « Quand les adultes commencent à muer, ils forment des groupes pour se protéger », indique Thierry Grandmont. Il ajoute qu’ils « se tiennent aussi près des points d’eau, qui sont des refuges ». 
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Photo du réservoir Baudet à Victoriaville, prise en septembre 2022 lors de la migration d'automne. Plusieurs dizaines de milliers d’individus se retrouvent sur les mêmes points d’eau, parfois pendant plusieurs semaines. Photo généreusement confiée par Thierry Grandmont.
Début septembre, une fois la mue terminée et les petits suffisamment grands, la colonie repart pour le Québec. Et dès les premières gelées, elle finira le trajet pour la Caroline du Nord, avant de recommencer ce ballet l’année suivante, puis l’autre d’après.
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mokhtarhassan · 8 months
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Monumentaux, illuminés for free
ABOUT THE BOOK Monumentaux, illuminés
Cinq architectes utopistes et marginaux se relaient des visions révolutionnaires pour occuper radicalement le territoire québécois.
Déployé sur le fil du 20e siècle, ils saupoudrent sur le paysage de la modernité des projets de société démesurés mais fascinants : mise en scène de la vie de bucheron, exploitation porcine sous-terraine, villages nomades autochauffants, papetières verticales, et quoi encore!
Uchronie mêlant habilement fiction et données historiques, Monumentaux, illuminés est aussi
 l’occasion de savourer la plume rusée et l’érudition bienveillante de Laurent Lussier.
TEXT EXCERPT FROM THE 1 CHAPTER OF THE BOOK Monumentaux, illuminés
La nation canadienne-française reçut son texte fondateur en 1862 avec la publication du Jean Rivard, le défricheur d’Antoine Gérin-Lajoie. Joyeuse, pittoresque, didactique, sa prose est une ode à la destruction des forêts. 
Le personnage éponyme, jeune homme brillant que tout destine à la carrière d’avocat, entreprend, sur les conseils de son curé, de se faire coupeur d’arbres, arracheur de troncs, pulvérisateur d’arbrisseaux, quelque part dans un comté imaginaire au sud du lac Saint-Pierre. 
L’auteur l’affuble d’un compagnon, Pierre Gagnon. Celui-ci appartient à la catégorie des gaillards infatigables et rieurs. On le découvre capable de dompter l’ours et l’écureuil, il fabrique spontanément des meubles, convertit l’eau d’érable en tire et, de sa poitrine forte, fait jaillir mille chansons. 
Pierre Gagnon et Jean Rivard manient « cet utile instrument qu’on pourrait à bon droit regarder parmi nous comme l’emblème et l’outil de la civilisation », la hache, dont « l’acier meurtrier » taille les grands arbres jusqu’au cœur ; ensuite, ils mutilent et dépècent leurs ennemis terrassés et les soumettent « au supplice du feu ». Avant l’hiver, ils sarclent le terrain gagné, pour que rien n’y repousse.
Chaque jour, leur force augmente tandis que la forêt ennemie se couche à leurs pieds. Leur appétit grandit ; heureusement, avant que la faim ne les accable, le ciel se noircit toujours de tourtes dont Jean Rivard abat deux douzaines ; ou alors Pierre Gagnon tend sa seine qui s’emplit de truites et d’anguilles. Ils s’attablent devant une montagne de crêpes, de gibier grillé et d’omelettes au lard puis s’endorment sous une peau de buffle.
Plus leurs travaux de défrichage avancent, plus le sol se jonche des corps morts d’arbres ; ils entassent donc ceux-ci en immenses monticules, y mettent le feu et, devant le brasier aveuglant, croient voir l’incendie d’une ville. Ils recueillent les cendres et les mènent à la rivière, les lessivent, les évaporent, font un salin qu’ils transforment en potasse. La potasse vendue les rend riches.
Au fil du livre, Gustave Charmenil, un avocat raté, vaguement poète, écrit de Montréal à son ami Jean. Gustave est resté puceau, pauvre et dépourvu de gloire. Il se plaint de ses problèmes digestifs, son estomac s’atrophie. Il s’abandonne au désespoir : « Tu ne saurais croire combien je suis dégouté du monde. »
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toutmontbeliard-com · 9 months
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Sécheresse 2023 : le département du Doubs en situation de crise
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Vague de chaleur tardive et absence de pluie accentuent la sécheresse estivale : après la Haute Chaîne le 31 août 2023, l’ensemble du département du Doubs passe en crise ce mardi 19 septembre 2023. Des précipitations insuffisantes et irrégulières L’hiver, déficitaire (-30%), s’insère entre un automne 2022 et un printemps 2023 tous les deux autour de la normale. L’été 2023 accuse un déficit de l’ordre de 20%. Sur les 12 derniers mois, seuls 3 mois (septembre 2022, mars et avril 2023) présentent des excédents pluviométriques. L’été a débuté avec un déficit de 25% en juin, déficit se réduisant à 10% en juillet. Après une première semaine bien arrosée, Août affiche finalement un déficit de 20% par rapport à la normale. Quant à septembre, il n’a connu aucune précipitation avant le 13ème jour du mois. Les faibles pluies tombées depuis le 13 août restent anecdotiques, et rien n’est attendu avant une possible nouvelle dégradation orageuse et un temps qui pourrait devenir humide avec des averses. Une situation encore plus tendue Avec la vague de chaleur et l’absence de pluies, l’aggravation de la sécheresse constatée fin août s’est confirmée et généralisée : les sols sont très secs, les cours d’eau sont au plus bas et largement colmatés, les nappes baissent continuellement. Le lac de Saint Point a baissé de plusieurs centimètres, essentiellement par évapotranspiration. Cette situation sérieuse nécessitera des précipitations importantes et générales pour prendre fin, ou au moins s’atténuer sensiblement. Les prévisions météo annoncent une période plus fraîche et entrecoupée d’averses, ce qui ne permettra pas de retrouver une situation normale. Jusqu’en octobre, un scénario plus chaud que la normale est privilégié et aucune tendance ne se dégage pour les précipitations. La situation de crise qui était plus marquée sur le Haut Doubs (Haute Chaine en crise dès le 31 août) s’est étendue à tout le département et chez nos voisins. Jean-François Colombet, Préfet du Doubs, a donc pris par arrêté des mesures portant les restrictions des usages de l’eau, qui étaient de niveau 2 (alerte renforcée) au niveau 3 (crise) sur l’ensemble du département du Doubs. infos > "principales restrictions réglementaires applicables en situation de sécheresse" Read the full article
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