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#la richesse sans conséquences
babatogboeafrique · 1 year
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LA VALISE DE RICHESSE DES GRANDS HOMME D'AFFAIRES +229 67043783
VALISE MAGIQUE +229 67043783 Cette valise magique c’est pour devenir riche, destinés aux hommes d’affaires. Chacun à ses secrets j’en révèle un par ce canal, la majorité des chefs d’entreprises ont une seconde source de revenue comme la valise magique ainsi quoi qu’en soit les pertes faites l’argent de ladite valise multiplicateur va les aider à sauver leurs entreprises. C’est sans…
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toffavoyance · 1 year
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Retour affectif rapide et définitif : faire revenir rapidement son ex et avoir son amour pour toujours grâce à la haute magie blanche d'amour, la haute magie naturelle
Retour affectif rapide et définitif : faire revenir rapidement son ex et avoir son amour pour toujours grâce à la haute magie blanche d’amour, la haute magie naturelle
La personne que vous aimez de tout votre cœur vous a quitté laissant un vide dans votre vie et vous souhaitez a tout prix la faire revenir et ne plus la laisser partir à nouveau ? Ne restez pas dans la peine et dans la souffrance sans rien faire ! Sachez que de nombreuses personnes comme vous ont réussi à retrouver l’amour, elles ont aussi retrouvé la joie de partager des moments de bonheur dans…
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Le secret de la grande richesse du roi DJAFA, la valise magique, le vrai portefeuille magique ou le bedou magique
Le secret de la grande richesse du roi DJAFA, la valise magique, le vrai portefeuille magique ou le bedou magique
Le vrai portefeuille magique-le bedou magique-la valise magique d’argent-la calebasse magique d’argent-le vrai secret de la richesse du roi DJAFA. Depuis des années de l’antiquité, la richesse du roi DJAFA étonne le monde et plusieurs personne se posent la question de savoir d’où est-ce que ce grand Roi des temps anciens tire vraiment sa richesse. Et pourtant la source de la grande richesse du…
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vodoungnon · 2 years
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COMMENT ACTIVER UN PORTEFEUILLE MAGIQUE A DISTANCE
COMMENT ACTIVER UN PORTEFEUILLE MAGIQUE A DISTANCE
comment activer un vrai portefeuille ou bedou magique a distance COMMENT ACTIVER UN PORTEFEUILLE OU BEDOU MAGIQUE vous avez commander un portefeuille magique, bedou magique ou la valise magique multiplicateur d’argent par un marabout dont les rituels de l’activation n’a pas réussir, sachez très bien que beaucoup de marabout ont souvent échoué a cette étape car c’est la grande partir du vrai…
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albad · 10 months
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NOUVEAUX MINISTRES : TOUR D'HORIZON CAUCHEMARDESQUE
En plein été, Macron joue aux chaises musicales avec son gouvernement. Lundi soir, il invitait tous ses ministres à dîner en leur annonçant que certains seraient virés dans la semaine sans leur dire qui. Juste pour rigoler, pour les humilier, à la façon d'un manager pervers. Ce jeudi, les annonces sont tombées.
⚫Commençons par les têtes coupées. Pap Ndiaye, utilisé, puis humilié et viré, juste après avoir retrouvé un petit morceau de courage en critiquant timidement la chaine d'extrême droite Cnews. Il y a encore quelques années, Pap Ndiaye était un chercheur reconnu, spécialiste du racisme, qui dénonçait régulièrement les violences policières. Aujourd’hui, il est carbonisé : c'est un clown pitoyable qui a été le Ministre éphémère d’un gouvernement d’extrême droite. Il a continué à massacrer l'enseignement public, il a couvert les pires reculs et défendu une police criminelle. Il n'a pas fait preuve d'une once de dignité : il a montré à tout le pays qu'il n'avait aucun honneur, et a piétiné sa propre carrière de chercheur. Bon débarras.
⚫Autre victime du remaniement, Marlène Schiappa. Malgré toute sa bonne volonté et sa soumission sans faille au monarque, elle subit les conséquences de l'affaire du Fonds Marianne. Elle avait profité de l'assassinat atroce de Samuel Paty en 2020 pour détourner des millions d'euros et les donner à ses copains réacs. Tout le monde était au courant et trouvait ça marrant au sein du gouvernement. Mais maintenant que l'affaire a éclaté, c'est elle qui paie l'addition.
⚫Le nouveau ministre de l'éducation : Gabriel Attal. Le Ministre chargé de l'école publique n'a jamais mis un pied à l'école publique ! Comme son prédécesseurs Blanquer d'ailleurs. Attal, c'est le macronisme incarné. Fils d'un producteur de cinéma, élève dans une l'école privée parisienne, l'école Alsacienne – où Pap Ndiaye a aussi placé ses enfants –, il fait un tour à Science Po avant d'entrer en politique. Millionnaire depuis l'âge de 25 ans, il n'a jamais travaillé de sa vie. C'est l'incarnation de de la richesse et de la domination sans aucun mérite. Au printemps 2023, il dit à propos des manifestants contre la réforme des retraites : «ce ne sont pas les Français qui travaillent».
Quel est son projet pour l'école ? Ça tient en deux mots : privatisation et militarisation. Il déclare régulièrement que l'école doit apprendre l'obéissance et «l'autorité» aux enfants. Il se dit «favorable» à une expérimentation du port de l'uniforme à l'école. Il est le promoteur du Service national Universel, qui vise à envoyer des adolescent dans des stages militaires où l'on pratique le bourrage de crane, les défilés au pas cadencé et le lever de drapeau.
En aout 2022, un collaborateur gouvernemental déclare dans la presse : «à l'école du vice, Gabriel devait être major de promo.» Il est en couple avec Stéphane Séjourné, macroniste hardcore, qui était déjà conseiller de Macron au ministère de l'Économie et qui est aujourd'hui secrétaire général de Renaissance.
⚫Du côté de la santé, Aurélien Rousseau, 47 ans devient ministre. Énarque passé par le PCF puis proche de Valls avant de finir conseiller d'Elisabeth Borne, il est à l'image des macronistes : sans scrupules, sans valeur, sans loyauté.
Il est directeur général de l'Agence régionale de santé Île-de-France pendant le COVID, puis membre du Conseil d’État. Ses liens familiaux sont intéressants pour un homme chargé des hôpitaux publics. Il est marié à Marguerite Cazeneuve, une ancienne de chez McKinsey qui a «piloté» la réforme des retraites, et qui a été directrice de l'assurance maladie. Le beau papa du ministre est député LREM, et belle maman est carrément l'ancienne directrice commerciale d'un laboratoire pharmaceutique privé. L'entreprise Lilly, cotée en Bourse à plus de 400 milliards de dollars, qui a passé un juteux contrat durant le COVID sur les «anticorps monoclonaux» qui ne fonctionnaient pas. Le beau frère du ministre est, quant à lui, conseiller de l'Elysée. Le macronisme est une mafia familiale en même temps qu'un cercle de lobbyistes.
⚫Aurore Bergé : «Elle a tellement fait chier qu'ils vont lui filer un truc, genre les solidarités» avait lâché un ministre avant le remaniement. Elle reçoit ce portefeuille plutôt secondaire des Solidarités. Et elle s'y connait dans le domaine. Elle réclamait par exemple le «démantèlement» de l'ONG Amnesty International qui lutte pour les droits humains, en 2022, parce que l'organisation avait dénoncé l’État israélien. En 2020, elle répond sur twitter à propos de la création de lits de réanimation : «plus de lits de réa, ce sont plus de personnes intubées, plus de décès». Pas bête, supprimons tous les lits d’hôpitaux, il n'y aura plus de malades ! Elle a été mariée à un chroniqueur chez Hanouna, accusé de harcèlement, de gestes inappropriés lorsqu’il était député LREM.
⚫Enfin, Macron a propulsé une Ministre de la ville : Sabrina Agresti-Roubache. Il y a quelques semaines, cette élue marseillaise soutenait les idées de Jean-Marie Le Pen sur le plateau de CNews. D'ailleurs une députée RN vient de saluer «la liberté de ton» de la nouvelle ministre qui fait «les mêmes constats que Marine Le Pen sur la politique migratoire». Pendant la campagne, elle a été enregistrée en train de traiter son adversaire de «fils de pute». Alors que les banlieues souffrent comme jamais de la misère et des violences policières, ce poste lui va comme un gant...
Il reste 4 ans de mandat.
Contre Attaque
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claudehenrion · 2 months
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La “transition climatique” – suite “n + x” (pour le moment…).
C'était inévitable : ce sujet si grave avait été si mal abordé et si mal traité par nos Nuls-au-pouvoir’’ qu'il fallait qu'il refasse surface ! C'est assez souvent qu'il m'arrive de pester (les mots sont faibles !) devant l'incapacité chronique de nos dirigeants à “piger” le monde, les évolutions en cours, les grandes tendances porteuses d'avenir : il leur paraît plus facile de s'agenouiller devant ce qui n'est porteur que de rien, de mauvais, ou de pire. Par système, ils visent à côté de la cible et sont ensuite incapables de se remettre en cause, revoir leur copie, corriger leur tir…
Dans une levée de boucliers comme on n'en a jamais vu dans l'Histoire, tous les peuples de tous les pays dits “occidentaux” descendent dans les rues, par paysans interposés mais soutenus par des 80 et 90 % de chaque population. “Les petits, les obscurs, les sans grade” (cf. l'Aiglon) en ont vraiment marre que quelques pervers, sans culture et sans cœur mais beaucoup trop payés, élus par personne mais puissants à faire peur, les méprisent sans même se cacher et décident, contre la volonté de tous ou peu s'en faut, la suppression de notre Histoire, de nos Patries, de nos terroirs, de nos richesses… et de nos métiers, le tout au “profit” sans intérêt d'une soi-disant “mondialisation” dont personne ne veut… Finalement, leur projet-fou se réalise : trois ou quatre millions de paysans courageux l'ont faite, cette Europe dont ces malhonnêtes voulaient. Manque de bol pour eux, ils sont si odieux, si antipathiques, si stupides et si néfastes… que c'est contre eux, qu'elle s'est réalisée ! C'est une bonne nouvelle, et peut-être un premier pas vers notre salut !
Leur idéologie –c'est un cauchemar pour toute personne normale– vise une “refonte” du monde autour de quelques idées idiotes, assassines, mal ficelées et sans aucune raison d'être, tellement folles qu'il est permis de se demander si eux-mêmes croient vraiment à ce qu'ils éructent. Ils partent de la manipulation de données (parfois vraies, à l'origine, mais tordues à force d'être triturées) et font exclusivement dépendre un changement climatique indéniable en cours de la faute de l'homme blanc et de la civilisation occidentale (Et ils croient que ça leur donne l'air intelligent !). A partir de ce point de départ absurde, des génies de la falsification des données sont capables à démontrer n'importe quoi, (ils auraient pu choisir de démontrer exactement le contraire, ce qui aurait été bien plus proche de la vérité.... Manque de pot (pour eux), ils sont partis dans la mauvaise direction).
Et là… second facteur inexplicable : une majorité de chefs d'Etat, voyant sans doute dans cette lamentable prostitution une moisson potentielle de voix “à Gauche”, ont suivi cette pente de la facilité, et –comme ils l'avaient fait pour le covid– ils sont partis, bille en tête, sur les chemins de la folie abstraite, de la mise en esclavage de leurs semblables (en réalité si différents !) de la perte de leur honneur (et de nos libertés), vers une fausse écologie punitive qui ne peut déboucher sur rien… qu'à prétendre poursuivre des chimères terriblement coûteuses et destructrices de toute harmonie, qui apportent le chaos jusque dans les familles et condamnent la jeune génération à être malheureuse toute sa vie. Bravo, les mecs ! Et pour “cornaquer” cette fureur de passions stériles, il y a… la grande ombre du Berlaymont et les effrayants spectres cannibales de la grosse Commission soi-disant “européenne”, en réalité “tout, sauf européenne… ”.
Cette grossière erreur d'évaluation des conséquences (soi-disant terrifiantes) d'une affirmation indémontrable, ne peut que faire très mal : à partir du moment où l'Occident, maître-à-penser pluri-séculaire du monde, se met à “déconner” dans les grandes largeurs, l'envie de le suivre et de profiter de son sillage fond à vue d'oeil. Et d'autre part, les sommes “monstrueuses” ponctionnées sur la richesse des états pour l'Ukraine (perdues d'avance) et contre le CO² (faux problème), qui ne seront pas investis dans des projets sérieux, utiles et nécessaires, achèvent la perte de leadership de l'Occident… ce qui peut se lire comme pouvant, pour bientôt, ouvrir la porte à un effondrement prévisible de toute “civilisation” sur la Terre…
Année après année, les résultats tombent, dramatiquement (ou ridiculement) semblables à eux-mêmes, quels que soient les discours intermédiaires et les larmes de crocodile de Fabius : la production de CO² se fout de toutes nos mesures (sans aucun rapport intelligent avec la réalité) et de nos efforts pour mettre un ordre rationnel dans un processus où la rationalité n'est pas une mesure significative. Les pays qui font acte de présence aux “Cop” (ces grand messes sans raison autre que d'envoyer se goinfrer des dizaines de milliers de copains-profiteurs et de co-prébendiers –90 000 à Dubaï, récemment !) reconduisent les mêmes chiffres, ou peu s'en faut,, d'une année sur l'autre.
Quant à la France, son “plus jeune président jamais élu à ce poste” (NB : il paraît que ce serait bien, nonobstant l'expérience des 7 dernières années… et les prédictions, jamais contredites, de l'Ecclésiaste !), elle déverse “H 24” des “sommes dingues” –le mot est de lui !– qu'elle n'a pas, pour faire baisser encore plus un taux qui ne représente que “epsilon pour cent’’, de ce faux problème fort mal posé.
Les chiffres sont cruels : la participation française à la production de CO² atteint péniblement 0,9% de ce (faux) problème (Oui, oui… Vous avez bien lu : ’‘zéro virgule neuf pour cent”, autrement dit : l'équivalent à la barre en bas de l'addition du “problème” total). Et nos “Experts du 20 heures”, mélangeant tout, racontent que “80% des émissions mondiales de gaz à effet de serre associées à l'énergie proviendraient du CO² dégagé par la combustion d'énergies fossiles’’. Sur ce total, le ’'transport routier et urbain” (càd : “la bagnole”, au sens le plus large possible) contribue pour un tiers à notre pollution “nationale”. En supposant que toutes les mesures absurdes lancées marchent, on va donc, au mieux, diminuer le chiffre total de… un autre épsilon %, ou à peine plus. C'est payer très cher… pour rien.
“On emmerde donc les français” (dixit Macron), “H 24” et 365 jours par an, pour l'équivalent de quelques minutes de la consommation quotidienne chinoise. [NB : Et si on abandonne tout le secteur “automobile” au “profit” (?) d'une énergie électrique qui ne sera jamais (il faut lire :  JAMAIS) produite en quantités suffisantes, on fabrique une méga-panne mondiale. Ça, c'est une autre “arnaque du siècle” !). De toute manière, le sul fait que nous partions de de “0,9 %”, tous nos efforts ne seront jamais perceptibles, quoi qu'il se passe et que nous fassions. Certains (dont je fais partie…) qualifient cette attitude de masochiste. D'autres (dont je suis, aussi !) de complètement idiote.
Une autre interprétation de ces chiffres est : si la France tout entière était brusquement rayée de la carte (je ne sais pas, moi… un séisme géant qui l'engloutirait toute entière… ou une méga-bombe jetée par un Poutine excédé par les rodomontades et les “provocs” du petit coq gaulois), cette perte, certainement énorme pour nous, ne serait même pas ressentie, à l'échelle du CO² ! Et pendant ce temps là, d'autres pays –qui savent optimiser leurs temps et leurs ressources– utilisent les sommes “dingues” que nous jetons par les fenêtres… pour investir, pour rester au contact des mouvements du monde et pour préparer des lendemains non pollués par des théories périmées… “Ils ont tout faux”, disent parfois nos jeunes ! Et comme ils ont… juste !
H-Cl.
PS : Au moment où cet éditorial va être publié, une nouvelle éclate : l'EUROPE, ridiculisée, renonce peu à peu (pour ne pas perdre la face) à la mise en œuvre de toutes ses effroyables idées ! Dans une panique XXL, les “ZFE” interdites aux voitures, les assolements-jachères, les taxes pétrolières, le cadeau au Mercosur, l'urgence du “tout électrique” (Comble : le PDG de Hertz vient de se faire virer… pour avoir cru à cette “arnaque-du-siècle”)… et tant d'autres, sont supprimées, l'une après l'autre… On oublie tout… et c'est la preuve –s'il en fallait– que tout ce fatras n'avait rien à voir avec le climat… mais qu'on nous “emmerdait” par soumission aux idées fixes injustifiées du “Lobby écolo-punitif”. Entre ça et le covid… qu'est-ce qu'on a avalé, comme mensonges éhontés ! Un juste retour à la vérité devait bien arriver, un jour… On dirait qu'on s'en approche... et c'est une bonne nouvelle !
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anacampsis · 1 year
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Critique film TCA: The Whale
Bonjour ! Le festival de Cannes approche, j’ai donc eu envie de parler d’un film, qui a fait beaucoup parler de lui lors du festival de l’année dernière, et lors de la dernière cérémonie des Oscars: The whale, de Darren Aronofsky. Je ne suis pas critique de cinéma, loin de là, mais puisque ce film a, parmi ses thèmes centraux, un TCA, j’ai voulu donner mon avis dessus. En avant !
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Les bons côtés
Selon moi, le point le plus positif du film est la grande humanité des personnages, dans leurs bons comme leurs mauvais côtés. Je pense en effet que l’humanité n’est pas synonyme de bonté, mais d’une palette émotionnelle complexe, y compris dans ses mécanismes toxiques. Pour vendre le film, j’ai vu que l’affiche avait comme mention, écrit au centre et au sommet « Bouleversant »: je n’ai pas été atteinte à ce point, mais il faut bien l’avouer, chaque acteurice fait que chaque personnage porte une grande richesse émotionnelle, qui, à défaut de nous faire les aimer, nous donne envie d’écouter tout ce qu’iels ont à nous dire.
Cette humanité va de pair avec des confrontations de narratifs intéressantes. Face à un même évènement, chaque personnage avait tendance à s’enfermer dans son narratif des faits, et il était intéressant de les confronter au point de vue des autres. Cela donne à la fois lieu à des discussions riches, et à la reconstitution de souvenirs paçon puzzle, dont tous les personnages ayant pris part au souvenir détiendrait une pièce.
Bien sûr, je conçois que ce genre de film n’intéresse pas tout le monde. Mais étant une grande adepte des séances d’introspection, et aimant étudier les points de vue des autres, j’ai été réceptive.
Concernant le TCA lui-même, il se trouve que le personnage principal, Charlie (interprété par Brendan Fraser), souffre d’hyperphagie. Il a sombré dans ce TCA suite à la mort de son compagnon. Suite à ce deuil, il a perdu tout intérêt pour la vie, et a décidé de se détruire, en se tournant vers la nourriture, qui est à la fois son refuge et sa prison. L’hyperphagie l’a rendu obèse, de façon morbide, à tel point que le film s’ouvre sur le fait que Charlie est sur le point de mourir, s’il ne se rend pas en urgence à l’hôpital, ce qu’il refuse catégoriquement. Je trouve qu’il est important de montrer que le TCA n’est pas une sorte de déviance chevillée au corps, qu’il s’agit souvent d’un trouble qui s’infiltre dans nos failles psychologiques, émotionnelles.
De même, je pense qu’il est important d’avoir conscience de toutes les conséquences sur la santé que l’obésité peut avoir. Dans le film, Charlie ne peut plus se déplacer sans déambulateur, et finit même par avoir un fauteuil roulant. Il est également contraint d’utiliser un respirateur, car il n’est plus capable de se pencher, de rire, de prendre du plaisir, sans commencer à suffoquer. Il explique également que certaines zones de sa peau ont moisi. Il a de terribles douleurs dès qu’il fait le moindre geste. Son cœur n’arrive plus à tenir la cadence. S’il ne faut pas en déduire que ce sont des raisons pour rabaisser, humilier les personnes en surpoids (je développerai plus loin), il est important de ne pas se voiler la face sur la gravité de l’obésité morbide, qui, selon l’organsation mondiale de la santé, fait partie des 3 causes principales de décès dans le monde.
En résumé, je pense que ce film a bénéficié d’une écriture comme d’une interprétation riche en émotions. L’hyperphagie a bénéficié d’une écriture correcte, elle est présentée comme l’échappatoire ultime pour Charlie, à la fois refuge réconfortant et arme d’auto-destruction hors de contrôle: la scène de l’épisode d’hyperphagie majeur du film est si démesuré qu’il se rend malade.
Pour autant, est-ce un bon film sur les TCA ? Il faut nuancer ce tableau jusqu’ici positif…
Les points mitigés, négatifs
Ce film est loin d’être dénué de défauts. Pour commencer, ce n’est qu’un avis personnel, mais je trouve qu’il y avait parfois quelques longueurs, en terme de rythme. Le film n’est certes pas la montagne de l’action, et n’a pas la prétention de l’être… mais parfois, certaines scènes s’éternisaient un peu trop à mon goût. Ce n’est qu’une question de perception personnelle, ceci dit.
Le film a choisi de se concentrer sur certains aspects, quitte à en délaisser d’autres, ce qui est à mon sens regrettable. Ainsi, il est question d’alcoolisme, d’anorexie, mais de façon totalement périphérique, alors que le contexte (que je ne vais pas dévoiler ici, au cas où vous voudriez voir le film) aurait mérité que ces questions soient davantage développées.
Un autre défaut du film est, à mon sens, l’émotion dominante du film. Je sais, j’ai dit du bien de l’aspect émotionnel du film précédemment; et je le redis, la plupart des émotions exprimées dans le film sont d’une grande justesse, et donnent une grande humanité. L’émotion que je reproche ici n’est pas celle d’un personnage, mais plutôt celle que le réalisateur cherche à susciter: la pitié.
Le personnage de Charlie est pathétique. En théorie, cela devrait susciter la compassion. Dans la pratique, cela suscite la pitié. La nuance peut paraître mince mais, à mes yeux, elle fait toute la différence. Je m’explique: la compassion nous pousse à partager la souffrance d’autrui. La pitié, elle, nous pousse à la regarder de haut, avec dédain. Peut-être que l’étymologie ne le cherchait pas, mais aujourd’hui, la pitié porte ce relent de l’expression péjorative « tu fais pitié ». Elle nous amène à faire preuve de condescendance, un peu à la manière du public des expositions universelles du début du 20ème siècle, qui venait observer des personnes africaines pour se conforter dans son sentiment de supériorité culturelle et morale de personne blanche.
D’où vient cet aspect de supériorité morale dans le film ? Maintenant que j’ai évoqué les défauts du film, il est temps d’aborder LE défaut du film: le regard sur l’obésité du film. Avant de commencer, ce n’est qu’une perception personnelle, là encore, mais quand un film parlant d’obésité fait, dans les 5 premières minutes, une analyse d’un extrait de Moby Dick, le surnom numéro 1 des personnes obèses (en particulier dans les pays anglo-saxons, où ce roman est un grand classique), c’est un drapeau rouge, le signe numéro 1 qu’un amalgame qu’entre personne obèse et baleine sera fait, mais ce n’est qu’un détail purement subjectif.
Tout le film est une métaphore filée de naufrage d’une baleine, qui s’échoue, à travers la vie qui part à la dérive de Charlie. Le parallèle avec Moby Dick est constant dans le film, Charlie étant professeur de littérature et citant souvent une rédaction qu’il a lue au cours de l’histoire. En théorie, la métaphore filée est un procédé de style très intéressant; dans le cas présent, le parallèle est surtout fait avec un monstre marin, aussi gigantesque que flasque. La façon de filmer le personnage, quand il dévore la nourriture, quand il marche, tente (et échoue souvent) d’attraper un objet, souligne à quel point il est gros, colossal, monstrueux. Le son, la musique, créent également cet effet. Mais à trop pousser la métaphore avec une créature marine, le réalisateur ne fait-il pas le choix de délaisser l’humanité de son personnage principal ? Ne s’est-il pas perdu dans sa propre imagerie ? Ou, au contraire, a-t-il fait consciemment ce choix, car il perçoit l’obésité comme une monstruosité ?
Une scène en particulier m’a frappée: un personnage demande à Charlie de se lever, et de faire quelques pas. Quand il tente de s’exécuter, il s’écroule sous son propre poids, s’écrasant sur une table basse, cassant une lampe dans sa chute. Cette scène est accompagnée d’une musique puissante, ainsi que d’un effet sonore fracassant: j’y ai vu la version «film de cinéma» d’un meme que j’ai souvent vu sur internet, où une personne obèse pose un pied au sol, ce qui déclenche, par la magie du montage vidéo de mauvais goût, une explosion nucléaire et/ou l’écroulement d’un immeuble. Si, dans le film, l’effet recherché n’est pas comique, contrairement à ce meme, le regard porté est, en fin de compte, le même…
Alors, The whale, bon ou mauvais film ?
À l’issue de cette analyse, il est temps pour moi de conclure: selon moi, The whale porte certains messages importants. Le principal est que malgré toute la volonté du monde, on ne peut pas sauver une personne qui ne désire pas l’être, et qu’il n’y a pas à s’en vouloir. Il rappelle également que l’obésité est loin d’être quelque chose de rigolo, d’anecdotique, mais bien une question majeure de santé, physique comme mentale, qui peut se finir de façon tragique. L’hyperphagie est une question traitée avec une certaine justesse.
Pour autant, je ne suis pas sûre qu’il s’agisse d’un bon film. Le regard porté sur l’obésité est dérangeant. Je vois ce que le réalisateur a cherché à faire, via sa métaphore filée, mais je ne parviens pas à savoir si les problèmes grossophobes du film sont dus à de la maladresse ou à un choix conscient de la réalisation (mais j’ai bien mon idée sur la question).
Néanmoins, je me dois d’être honnête: en allant voir ce film, je m’attendais à bien pire. Je pensais que les épisodes d’hyperphagie auraient quelque chose de bien plus bestial, inhumain. Que tout le rapport à la nourriture du personnage serait centré sur une pulsion monstrueuse de tout engloutir, tout le temps. En ce sens, c’est une bonne surprise pour moi.
En conclusion, je ne sais pas si je recommande ce film, mais je pense qu’il vaut la peine d’être vu pour se faire son propre avis. Il comporte de bonnes idées, mais il faut garder du recul: qu’ils soient volontaires ou non, des biais grossophobes servent de fondations au film. Et le regard censé être compatissant sur le personnage principal a quelque chose de dérangeant, relevant de la pitié. Je ne veux pas accuser l’équipe du film de l’avoir fait exprès, car je n’en sais rien, mais c’est le genre de choses dont il est important d’avoir conscience au moment de regarder un film, celui-ci ou un autre: nous avons tous et toutes nos biais, surtout quand nous parlons d’un sujet qui traite d’un groupe discriminé dont nous ne faisons pas partie.
Merci de m’avoir lue jusqu’au bout ! Prenez soin de vous et à bientôt !
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bienvenuechezmoi · 1 year
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L'argument économique est annihilé. Head shot.
Pour tout.e.s ceux/celles qui pensent que au moins Lepen ce n'est pas le capitalisme / le néo libéralisme à la Macron. Sachez que le système politique le plus adéquate au capitalisme sont les régimes autoritaires (Cad d'extrême droite).
Aka les dictatures d'Amérique Latine (Chili et Argentine) qui ont été au passage un terrain de test des américains de leur propre système. Aka la Russie et la Chine (oui le parti communiste n'a que le nom de communiste et sont des bons vieux pays capitalistes, je ferais peut être un post un jour sur pourquoi je pense que le communiste n'a jamais vraiment existé dans notre temps moderne). Aka nombre de dictatures africaines directement héritière des habitus politiques colonial de l'occident.
Si l'Occident et son modèle capitaliste le plus dégueulasse a longtemps permis un certain progressisme (progressisme toléré, il ne faudrait pas tout donner) à sa population en opprimant d'autres populations. Ce modèle s'effondre petit à petit, principalement à cause de la crise climatique qui sera avant tout vu comme une crise financière (et donc une crise du système capitaliste). Le capitalisme se recroquevillera pour sauver ses meubles quitte à reprendre ce qu'il a donné aux populations occidentales.
L 'acroissement des inégalités en est une conséquence direct. Si l'ascenseur sociale des français.e.s est en panne c'est que l'argent ne peux plus autant se disperser. Les classes supérieurs s'approprieront les richesses capitalistes restantes même si pour cela elles doivent les prendre à leur semblables pauvres de leur propre pays au lieu de le prendre à d'autres pays. Cette politique de dénigrement est deja en marge sur la population "qui nous coûte un pognon de dingue" mais qui n'oublions pas font tourner les hobby des riches.
Alors chaque minorités en voie d'émancipation aujourd'hui se fera refermer la porte des droits car le capitalisme a besoin d'exploiter pour enrichir. Il faut des sacrifié.e.s pour faire tourner la planche à billet. Le racisme a été la meilleure arme du capitalisme pour le faire, les femmes et les minorités religieuses aussi entre autres. Le capitalisme a besoin d'une explication "viable" afin que les êtres humains tolèrent ces violences atroces au prix de leur confort.
C'est pour cela que l'économie et la justice sociale sont intriquement liées. Pas d'économie florissante sans exploitation humaine. Dans le cas de Lepen, dans un supposé mandat, pas de politique économique à court terme réussie sans une politique de dénigrement sociale.
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papaalafia · 8 days
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Portefeuille magique
Bonjour bonsoirChère citoyens la réalité ne se cache par. Whatsapp ou appel direct : +229 95274109Moi grand maître adankanlin du bénin roi d’esprit intervint dans les problème de vie et de la richesse sans conséquence . j’intervient dans la domaine du retour d’affection rapide de son bien aimée et le portefeuille magique qui produit de l’argent. J’interviens dans d’autres problème tels que les…
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christophe76460 · 17 days
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✝️ Dieu me fait rêver plus grand ✝️
Tant de gens ont en eux un grand rêve qu’ils ne poursuivent jamais par crainte de l’échec. Ils n’imaginent pas qu’il puisse se réaliser. Alors, ils y renoncent. Voici leur défi : ne pas s’inquiéter du résultat. Ils n’en sont pas responsables. Paul dit : «Je suis persuadé que celui qui a commencé en vous une œuvre bonne, en poursuivra l’achèvement jusqu’au jour du Christ-Jésus.»
Il leur suffit simplement d’agir en conséquence. Pas la peine que ce soit quelque chose de grand. En fait, ce sera sans doute quelque chose de petit. Tout ce qui est grand commence petit. Mais s’ils accomplissent de petites choses comme s’il s’agissait de grandes, Dieu les bénira et les utilisera. A. W. Tozer a dit : «Une mauvaise opinion de Dieu est la cause de cent moindres maux. Une haute vision de Dieu est la solution à dix mille problèmes du présent.»
Notez comment Paul prie pour les croyants d’Éphèse : «[Que Jésus] illumine les yeux de votre cœur, afin que vous sachiez quelle est l’espérance qui s’attache à son appel, quelle est la glorieuse richesse de son héritage au milieu des saints, et quelle est la grandeur surabondante de sa puissance envers nous qui croyons selon l’action souveraine de sa force.» (Éphésiens 1, 18–19).
Personne ne peut imaginer ce que Dieu est capable de faire. Ça veut dire que nul n’imagine ce qu’il peut faire s’il laisse Dieu contrôler sa vie. Sa puissance provoque une réaction en chaîne. Et cette énergie permet d’accomplir les desseins qu’il réserve à chacun(e).
Prière du jour :
Merci mon Dieu car tu fais de grandes choses.
Parole du jour de Bob Gass,
4 mai 2024
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maraboutguezovignon · 2 years
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La valise magique gratuit La vrai valise magique La valise magique qui produire des billets de banque oui c’est bien possible la preuve c’est que moi je le fais oui je vais vous faire une valise qui vas produire des billets de banque. Il vous suffit de mettre un billet dedans et de suivre les rituels que je vais vous donner et le lendemain la valise seras remplir de billets de banque. CONTACT…
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yes-bernie-stuff · 18 days
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SAMEDI 4 MAI.
DIEU ME FAIT RÊVER PLUS GRAND « CELUI QUI A COMMENCÉ EN VOUS UNE ŒUVRE BONNE, EN POURSUIVRA L'ACHÈVEMENT » PHILIPPIENS 1.6
Tant de gens ont en eux un grand rêve qu’ils ne poursuivent jamais par crainte de l’échec. Ils n’imaginent pas qu’il puisse se réaliser. Alors, ils y renoncent. Voici leur défi : ne pas s’inquiéter du résultat. Ils n’en sont pas responsables. Paul dit : « Je suis persuadé que celui qui a commencé en vous une œuvre bonne, en poursuivra l'achèvement jusqu'au jour du Christ-Jésus ». Il leur suffit simplement d'agir en conséquence. Pas la peine que ce soit quelque chose de grand. En fait, ce sera sans doute quelque chose de petit. Tout ce qui est grand commence petit. Mais s’ils accomplissent de petites choses comme s’il s’agissait de grandes, Dieu les bénira et les utilisera. A. W. Tozer a dit : « Une mauvaise opinion de Dieu est la cause de cent moindres maux. Une haute vision de Dieu est la solution à dix mille problèmes du présent. » Notez comment Paul prie pour les croyants d’Éphèse : « [Que Jésus] illumine les yeux de votre cœur, afin que vous sachiez quelle est l'espérance qui s'attache à son appel, quelle est la glorieuse richesse de son héritage au milieu des saints, et quelle est la grandeur surabondante de sa puissance envers nous qui croyons selon l'action souveraine de sa force » (Ep 1.18-19). Personne ne peut imaginer ce que Dieu est capable de faire. Ça veut dire que nul n’imagine ce qu’il peut faire s’il laisse Dieu contrôler sa vie. Sa puissance provoque une réaction en chaîne. Et cette énergie permet d’accomplir les desseins qu’il réserve à chacun(e).
"B365 — Plan de lecture Deutéronome 15-16
Prière du jour Merci mon Dieu car tu fais de grandes choses.
The Word for Today écrit par Bob et Debby Gass © UCB UK 2024 Publication Parole du jour © PHARE MEDIA 2024 PHARE MEDIA, 39-41 avenue de Colmar, 68200, Mulhouse, France
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claudehenrion · 2 months
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La ''transition climatique'' -- suite ''n + x'' (pour le moment...).
C'est assez souvent qu'il m'arrive de pester (les mots sont faibles !) devant l'incapacité chronique de nos dirigeants à ''piger'' le monde, les évolutions en cours, les grandes tendances porteuses d'avenir : il leur paraît plus facile de s'agenouiller devant tout ce qui n'est porteur que de rien, de mauvais, ou de pire. Ils (se) racontent qu'ils sont progressistes, or ils n'aiment que le changement pour le changement : par système, ils visent à côté de la cible et sont incapables de se remettre en cause, de revoir leur copie, de corriger leur tir...
Dans une levée de boucliers comme on n'en a jamais vu dans l'Histoire, tous les peuples de tous les pays européens descendent dans les rues, par paysans interposés mais très majoritairement soutenus par des 80 et 90 % de chaque population. ''Les petits, les obscurs, les sans grade'' (cf. l'Aiglon) ont vraiment marre que quelques pervers, sans culture et sans cœur mais beaucoup trop payés, élus par personne mais puissants à faire peur, les méprisent sans même se cacher et décident, contre la volonté de tous ou peu s'en faut, la suppression de notre Histoire, de notre Patrie, de nos terroirs, de nos richesses... et de nos métiers, le tout au ''profit'' sans intérêt d'une soi-disant ''mondialisation'' dont personne ne veut... Finalement, leur projet-fou se réalise : trois ou quatre millions de paysans courageux l'ont faite, cette Europe dont ces malhonnêtes voulaient. Manque de bol pour eux, ils sont si odieux, si antipathiques, si stupides et si néfastes... que c'est contre eux, qu'elle s'est réalisée ! Et c'est peut-être un premier pas vers notre salut !
Leur idéologie –qui ne peut être qu'un cauchemar pour toute personne normale-- relative à une ''refonte'' du monde autour de quelques idées idiotes, assassines, mal ficelées et sans aucune raison d'être, paraît tellement fou qu'il est permis de se demander si eux-mêmes parviennent à y croire. Ils partent de la manipulation de données (vraies à l'origine mais tordues à force d'être triturées) et font exclusivement dépendre un changement climatique indéniable en cours de la faute de l'homme blanc et de la civilisation occidentale (Et ils croient que ça leur donne l'air intelligent !). A partir de ce point de départ absurde, des génies de la falsification des données arrivent à démontrer n'importe quoi, (ils auraient pu choisir de démontrer exactement le contraire, ce qui aurait été bien plus proche de la vérité. Ils sont partis dans la mauvaise direction).
Et là... second facteur inexplicable : une majorité de chefs d'Etat, voyant sans doute dans cette prostitution une moisson potentielle de voix ''à Gauche, toute'', ils ont suivi cette pente de la facilité, et –comme ils l'avaient fait pour le covid-- ils sont partis, bille en tête, sur les chemins de la perte de leur honneur, vers une fausse écologie punitive qui ne peut déboucher sur rien... qu'à prétendre poursuivre des chimères terriblement coûteuses et destructrices de toute harmonie, qui apportent le chaos jusque dans les familles. Et pour ''cornaquer'' tout cette fureur déchaînée de passions stériles, il y a... la grande ombre du Berlaymont et les effrayants spectres cannibales de la grosse Commission soi-disant ''européenne'', en réalité ''tout, sauf... ''.
Cette grossière erreur d'évaluation des conséquences (soi-disant terrifiantes) d'une affirmation indémontrable –contrairement à sa critique qui, elle, se démontre comme un ''allant de soi'' , ne peut que faire très mal : à partir du moment où l'Occident, maître-à-penser pluri-séculaire, se met à ''déconner'' dans les grandes largeurs, l'envie de le suivre et de profiter de son sillage diminue très vite. Et d'autre part, les coûts, exactement ''monstrueux'' qui sont ponctionnés sur la richesse des états et ne peuvent donc pas être investis dans des projets plus sérieux, plus utiles et plus nécessaires, jouent un rôle important dans la perte de leadership de l'Occident... ce qui peut se lire, hors de tous les cris d'orfraies qui tiennent lieu de ''pensée'' à nombre de nos contemporains, comme annonçant un effondrement prévisible de toute ''civilisation'' sur la Terre...
Année après année, les résultats tombent, dramatiquement semblables à eux-mêmes, quels que soient les discours intermédiaires et les larmes de crocodile de Fabius : la production de CO² se fout complètement de toutes nos mesures (purement intellectuelles et sans aucun rapport intelligent avec la réalité) et de nos efforts pour mettre un ordre rationnel dans un processus où la rationalité n'est pas une mesure significative. L'immense majorité des pays qui font acte de présence aux ''Cop'' (ces grand messes sans raison autre que d'envoyer des dizaines de milliers de copains-profiteurs et de co-prébendiers --pas loin de 90 000 à Dubaï, récemment !-- se goinfrer aux dépens de plus naïfs qu'eux) reconduit les mêmes chiffres à peu de choses près, d'un an sur l'autre.
Quant à la France, son ''plus jeune président jamais élu à ce poste'' (NB : il paraît que ce serait bien, nonobstant l'expérience permanente des 7 dernières années... et les prédictions, jamais contredites, de l'Ecclésiaste !) déverse ''H 24'' des ''sommes dingues'' –le mot est de lui !-- pour faire baisser encore plus un taux qui, compte tenu de la taille du pays et de sa désindustrialisation pour l'instant irréversible, ne représente qu'une infime fraction, dans le genre ''epsilon pour cent'', du faux problème mal posé. Si j'osais un très mauvais jeu de mot, j'écrirais que les taux après lesquels on nous force à courir bêtement, sans arrêt mais évidemment sans le moindre résultat, sont... ''u-taux-piques''!). Je ne vais pas le faire. Quoi que...
Les chiffres sont cruels : notre ''participation'' à ce phénomène (la production de CO²) atteint péniblement 0,9% de ce qui se passe sur Terre (Oui, oui... Vous avez bien lu : ''zéro virgule neuf pour cent'', autrement dit : l'équivalent à la barre en bas de l'addition du ''problème'' total. C'est fou, non ?). Et nos ''Experts du 20 heures'', mélangeant tout, racontent que ''80% des émissions mondiales de gaz à effet de serre associées à l'énergie proviendraient du CO² dégagé par la combustion d'énergies fossiles''. Sur ce total, le ''transport routier et urbain'' (càd : ''la bagnole'', au sens le plus large possible) contribue pour un tiers à notre pollution ''nationale''. En supposant que toutes les mesures absurdes lancées marchent, on va donc, au mieux, diminuer le chiffre total de... peut-être 10 % … ou à peine plus. C'est payer très cher... pour rien.
Un calcul simple donne tout de suite le résultat : ''On emmerde les français'' (dixit Macron) ''H 24'' et 365 jours par an pour l'équivalent de quelques minutes de la consommation quotidienne chinoise. [NB : Et si on abandonne tout le secteur ''automobile'', au ''profit'' (?) d'une énergie électrique qui ne sera jamais (c'est-à-dire : JAMAIS) produite en quantités suffisantes, fabriquant une méga-panne mondiale.Ça, c'est l'autre arnaque du siècle !]. De toute manière, partant de ''0,9 %'', tous nos efforts ne seront jamais perceptibles, quoi qu'il se passe. Certains (dont moi...) qualifient cette attitude de masochiste. D'autres (dont moi, aussi !) de complètement idiote.
Une autre interprétation de ces chiffres est : si la France tout entière était brusquement rayée de la carte (je ne sais pas, moi... un séisme géant qui l'engloutirait toute entière... ou une méga-bombe jetée par un Poutine excédé par les rodomontades et les ''provocs'' du petit coq gaulois), cette perte, énorme pour nous, ne serait même pas ressentie, à l'échelle du CO² ! Et pendant ce temps là, d'autres pays –qui savent optimiser leurs temps et leurs ressources-- utilisent les sommes ''dingues'' que nous jetons par les fenêtres... pour investir, pour rester au contact des mouvements du monde et pour préparer des lendemains non pollués par des théories périmées... Comme disent nos jeunes : ''Tout faux'' !
H-Cl.
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areyouelectric · 24 days
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Lire tu voilà la preuve !
"Pages vénéneuses, quand les livres du 19e siècle dissimulent la mort."
Je l'ai toujours dit les écrits toxiques existent, mais cette fois-ci je détiens la preuve et je vous la soumet, peut-être est-ce déjà trop tard pour vous, vous vous sentez mal vous avez la gorge sèche, la tête qui tourne, vos yeux se ferment et vous avez du mal à respirer, pas trop vite lisez ce qui suit :
"Dans les profondeurs silencieuses des bibliothèques, un tueur silencieux a été découvert, caché parmi les pages jaunies de l’histoire. La Bibliothèque nationale de France (BNF) a récemment révélé une vérité troublante : quatre livres du XIXe siècle, dont les couvertures séduisent par leur vert émeraude, sont en réalité imprégnés d’un poison mortel.
Ce pigment, baptisé vert de Schweinfurt, autrefois symbole de richesse et de prestige, est aujourd’hui synonyme de mort. Utilisé pour son éclat sans pareil, il cachait en son sein un mélange mortel de cuivre et d’arsenic. Les ouvrages en question, des anthologies poétiques et des recueils horticoles, étaient des bombes à retardement entre les mains des lecteurs.
Le Projet Livres Empoisonnés, une collaboration internationale, a été initié pour chasser ces assassins reliés. La BNF, armée de la science et de la prudence, a isolé ces volumes, évitant ainsi une potentielle tragédie.
Les conséquences d’une telle négligence auraient pu être désastreuses. Bien que les risques soient jugés modérés, le simple contact avec ces pages aurait pu entraîner des symptômes alarmants. Heureusement, aucun cas d’empoisonnement n’a été signalé, mais le danger reste omniprésent, tapissant les étagères de nos institutions culturelles.
Cet épisode sombre nous rappelle que le passé peut parfois se révéler toxique et que la vigilance est notre meilleure défense dans la préservation de notre héritage littéraire.
©Al St Gery 2024
Sources :
CNEWS, “Empoisonnement : Quatre livres décorés à l’arsenic mis en quarantaine par la BNF”.
Science et Vie, “Des livres empoissonnés à la bibliothèque : la BNF met en quarantaine quatre livres historiques”.
Actu Orange, “Des livres empoisonnés à l’arsenic et au cuivre dans les bibliothèques françaises”.
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antoinegragnier · 3 months
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Gaming et Narration : L'Art de Raconter des Histoires dans les Jeux
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Lorsqu'on parle de jeux vidéo, on a souvent tendance à penser directement aux hautes performances graphiques et à la compétition. Pourtant, le gaming a bien plus à offrir. C'est un art qui nous transporte dans des univers incroyables, où l'on peut vivre des histoires captivantes d'une richesse que seul le medium du jeu vidéo peut proposer. Oui, mes amis, je parle bien de l'art de raconter des histoires dans les jeux, c'est le sujet passionnant que nous allons explorer aujourd'hui.
L'immersion narrative dans les jeux
Contrairement aux livres ou aux films où la participation du spectateur est passive, les jeux vidéo offrent une interaction incomparable. Ici, chaque joueur est acteur, chaque décision prise influence le déroulement de l'histoire. Les pnj (personnages non jouables) que vous croisez, les choix que vous faites, même les dialogues que vous choisissez, tout cela ajoute une profonde touche personnelle à votre histoire. Un excellent exemple de cela est le jeu narratif « Life is Strange », où chaque choix peut avoir des conséquences désastreuses et irréversibles.
Le rôle des personnages
Dans le domaine des jeux vidéo, les personnages jouent un rôle majeur dans la narration. Leurs personnalités, leurs dialogues et leurs actions contribuent à nous captiver et à nous attacher à eux. Par exemple, dans la célèbre série de jeux « The Witcher », le personnage principal Geralt de Riv est connu pour son humour pince-sans-rire et ses rencontres fascinantes avec diverses créatures de la mythologie slave.
Le pouvoir de la musique
Qui peut oublier la musique épique de "Final Fantasy" ou l'air nostalgique du thème de "Zelda"? Ces mélodies restent gravées dans nos mémoires, évoquant de forts souvenirs émotionnels. Elles jouent un rôle important pour renforcer la narration, créer des ambiances spécifiques et même signaler des événements importants.
Conclusion
Finalement, il est essentiel de souligner que l'art de raconter des histoires dans les jeux ne s'arrête pas à la narration linéaire. Les jeux offrent également des formes narratives émergentes, où l'histoire est créée par les joueurs eux-mêmes à travers leurs actions. Des jeux tels que "Minecraft" ou "Skyrim" vous permettent de construire votre propre aventure et de raconter votre propre histoire. C'est ce qui fait des jeux vidéo une forme d'art unique en son genre. Ainsi, le gaming et la narration vont de pair, enrichissant notre expérience de jeu tout en élargissant les horizons de l'art de la narration.
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societascriticus · 3 months
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Mes Rendez-vous Québec Cinéma 2024
D.I., Delinkan Intellectuel, revue d'actualité et de culture, in Societas Criticus Vol. 26-02 : www.societascriticus.com
- La série documentaire Maisonneuve
- La cordonnière
- Au boute du rien pantoute
- Simple comme Sylvain
La série documentaire Maisonneuve de Jean-Martin Gagnon sur onf.ca dès le 23 février (RVQC)
D.I., Delinkan Intellectuel, revue d'actualité et de culture, in Societas Criticus Vol. 26-02 : www.societascriticus.com
Le 12 février 2024 – Montréal – Office national du film du Canada (ONF)
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Dès le lendemain de sa projection en primeur sur grand écran dans son intégralité aux Rendez-vous Québec Cinéma (RVQC) à Montréal, la série documentaire primée Maisonneuve, de Jean-Martin Gagnon, sera lancée gratuitement en ligne sur onf.ca le vendredi 23 février. En se penchant sur les répercussions d’un évènement bouleversant survenu en 2015 au Collège de Maisonneuve – l’arrestation d’étudiantes et étudiants qui s’apprêtaient à partir en Syrie pour rejoindre le groupe État islamique – la série met en lumière l’importance, mais aussi la fragilité du vivre-ensemble au Québec. Sans évacuer ni les difficultés ni la richesse des échanges, Maisonneuve donne la parole à une nouvelle génération de Québécois et Québécoises. La série sera également présentée pendant tout le mois de mars aux Rendez-vous de la Francophonie (RVF) partout au Canada.
À propos de la série documentaire
Maisonneuve de Jean-Martin Gagnon (6 x 25 min)
Une coproduction ONF/Coop Vidéo de Montréal (Canada)/Akka Films (Suisse)/Temps Noir (France), en collaboration avec TV5 MONDE
Filmée sur plusieurs années, Maisonneuve nous plonge dans la réalité pluriculturelle du Collège de Maisonneuve de Montréal, qui se relève du traumatisme de 2015, alors que 11 étudiantes et étudiants ont été arrêtés avant de rejoindre les rangs du groupe État islamique.
En six épisodes, la série examine les conséquences de ce bouleversement en partant à la rencontre de cinq jeunes adultes arrivés au Collège à la suite de ces évènements et qui s’ouvrent au dialogue malgré des points de vue divergents. En effet, les protagonistes nuancent intelligemment leurs propos de la fin de l’adolescence, dévoilant une maturité qui témoigne du chemin parcouru. On assiste ainsi à l’évolution de la pensée de chacun et chacune, et à des réflexions empreintes d’une réelle ouverture à l’autre. À travers leur regard, Maisonneuve offre un véritable baromètre de la société actuelle, montrant le choc des idées et des générations.
Comme le souligne Mohamed Mimoun, dit Momo, intervenant de corridor et protagoniste du film : « Permettre à des jeunes de dire ce qu’ils pensent, de dire qu’ils ne sont pas d’accord, c’est une bonne chose pour une société moderne qui veut évoluer et qui se dit démocratique et ouverte. » En donnant à ses étudiants et étudiantes la permission de s’exprimer, en créant des lieux d’échange sécuritaires, le Collège favorise les débats en vue de déconstruire des mythes tenaces et d’apaiser les tensions. La série en témoigne par son regard humain.
Maisonneuve a reçu le Prix séries Coup de cœur Fonds Bell à l’automne 2023.
Commentaires de Michel Handfield, M.Sc. sociologie (2024-03-02)
D’abord, une mise en contexte
Je me rappelais avoir vu le documentaire de Nicolas Wadimoff et d’Emmanuelle Walter« Maisonneuve, à l’école du vivre-ensemble » à Doc humanité à Radio-Canada-Ici télé. C’était l’épisode du 11 décembre 2021 dont voici le descriptif :
« Le Cégep Maisonneuve en 2015-2016 : dix départ ou tentatives de départ pour le djihad en Syrie et en Irak, plusieurs polémiques autour de la présence de l’imam Adil Charkaoui au collège, des incivilités attribuées hâtivement à la présence de jeunes radicalisés. Le Cégep Maisonneuve en 2017-2018 : une école qui reprend le dessus après un orage médiatique et qui travaille avec acharnement au vivre-ensemble et au décloisonnement des communautés.
Dans un Québec à la croisée des chemins, déchiré entre deux modèles d’intégration – multiculturalisme canadien ou laïcité « à la française » –, le Cégep Maisonneuve cherche sa voie.
Le documentaire permettra au public de plonger dans la vie d’une dizaine de personnes hautes en couleur qui incarnent, chacune à leur manière, les défis de ce Québec en pleine mutation. » (1)
On peut voir la bande-annonce sur Vimeo (2).
Maintenant, on est dans la Série documentaire Maisonneuve
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C’est un nouveau documentaire de Jean-Martin Gagnon (Réalisation et scénarisation) qui porte un regard actuel sur ces évènements passés au Collège de Maisonneuve et leurs conséquences sur les jeunes qui ont suivi : ce qu’ils ont vécu, ce qu’ils ont appris et où ils en sont maintenant. Mais, il part du documentaire précédent pour ses assises. Alors, vous verrez aussi le nom de Nicolas Wadimoff à la réalisation pour le « Tournage collège de Maisonneuve 2017-2018 ». Je tenais à le préciser. Ce nouveau documentaire est en ligne sur onf.ca et je vous incite à consulter le lien pour le regarder (3).
Le Cégep de Maisonneuve, c’est la multiculturalité
La radicalisation n’a pas de profil type. L’un peut se radicaliser et 100 autres, 1000 autres, non. C’est ce que nous dit Mohamed Mimoun, dit Momo, qui est un travailleur de corridors au cégep ! C’est l’équivalent d’un travailleur de rue, un intervenant social, sauf qu’il n’y a pas de rues dans un cégep, mais des corridors !
Je regarde ça et ce n’est pas chez moi, dans le sens que ça semble très cloisonné et que ça se parle parfois peu entre groupes ethnoculturels différents. Je suis de Saint-Michel et je parle à mes voisins qui sont haïtiens, magrébins, italiens et autres. Naturellement, comme avec n’importe qui, on apprend à se connaitre et disons que si on peut parler de sujets plus sensibles avec certains, avec d’autres on perçoit qu’on doit faire attention sur certains sujets. C’est le cas de la religion par exemple, car elle rythme parfois la vie quotidienne, les décisions et les opinions de certaines personnes plus fondamentalistes, mais pas nécessairement des musulmans contrairement à la croyance populaire. C’est aussi le cas de certains chrétiens par exemple. Suffit de regarder certains groupes qui sont derrière le trumpisme pour le comprendre.
Ces fractures sociales, si elles existent dans la société, entre quartiers ou entre les banlieues et la ville, elles se retrouvent nécessairement dans un cégep comme Maisonneuve et probablement plusieurs autres à Montréal puisque leurs étudiants et le personnel ne sont pas désincarnés de leurs groupes d’appartenances, de leurs valeurs et des milieux où ils vivent. Ils arrivent au cégep avec ce qu’ils ont et qui ils sont. C’est donc normal qu’il y ait des fractures entre les communautés culturelles et entre les ethnies, la direction, les profs et le personnel parfois. Mais, l’important ce sont les adaptations, les apprentissages et les accommodements qu’ils font pour le bien commun (le vivre ensemble) et desquels ils grandissent certainement durant leur passage au cégep. D’ailleurs, les étudiants sortent différents de leur cégep par rapport à ce qu’ils étaient quand ils y sont entrés. Et c’est tant mieux. C’est aussi à ça que sert le cégep : voir l’autre et se voir dans l’œil de l’autre.
Comme nous dit Momo, un jeune qui fait du bruit et conteste, tu peux travailler avec lui, car il te donne de la matière à discuter. C’est une forme d’ouverture. C’est le cas d’Idir Mazouzi qui a changé entre son cégep et l’Université comme on le voit dans sa façon de parler maintenant qu’il est à l’Université Laval. Mais, un silencieux, tu ne sais pas. Il peut être dangereux et il n’y pas moyen de le savoir; de percer sa carapace pour l’atteindre.
Dans les archives (car le tout remonte aux évènements de 2015 et au film précédent de Nicolas Wadimoff et d’Emmanuelle Walter) on voit Pauline Marois, première ministre du Québec, et Bernard Drainville qui nous parlent de la Charte des valeurs. Le message compris est qu’ici on a l’Islam à l’œil et qu’on veut le sortir de la sphère publique. Le gouvernement souffle alors sur les braises de la peur pour des raisons politiques au lieu de tenter de calmer le jeu.
On a fait venir des francophones qui sont religieux et après on leur reproche de l’être parce que nous, nous avons un problème avec la religion, voir les religions. Il faut d’abord être ouvert et leur expliquer notre histoire. Pourquoi avons-nous ce problème ? Au moins ils comprendraient notre rapport au spirituel, qui est davantage personnel que collectif et privé que public.
Mais, de l’autre côté, on doit bien comprendre que dans certaines cultures la religion fait partie du mode de vie; qu’elle rythme la vie et ce qu’on pense. C’est sûr que ça fait un conflit et qu’ils ne laisseront pas leurs valeurs dans le garde-robe à leur arrivée. Avec le temps, certains nous ressembleront davantage et d’autres conserveront leurs traditions. Mais, même si c’est une question de temps et de générations, il y aura toujours des gens qui qui resteront ancrés dans leurs traditions comme d’autres deviendront plus québécois que les de souches ! C’est le propre de la liberté.
L’histoire de la mosquée de Québec en 2017 a par contre amené une certaine sympathie envers la communauté musulmane. Cependant, on a parlé d’un fou plutôt que d’un terroriste. Pourtant, ce fut un geste terroriste. Ce sont là des choses que les jeunes de la communauté musulmane remarquent. Des coupures que nous devrons surmonter pour en arriver au dialogue inclusif.
Parlant de coupure, le film nous en a montré une autre : celle entre les étudiants de technique policière avec les autres, comme si on les percevait déjà comme des policiers qui exercent la répression. Pourtant, ce sont encore des étudiants.
D’ailleurs, on suit aussi un groupe de Techniques policières qui est allé sur une réserve (Kitcisakik d’Abitibi) avec leur professeure de sociologie, Nancy Moreau.(4) Ils ont prouvé qu’ils sont encore des étudiants comme les autres, car ils n’ont pas écouté les consignes de leur professeure et ont apporté de la boisson sur la réserve. Cela à créer un froid, nous explique-t-elle et cela leur a donné une bonne leçon de vie.
Cette prof donne aussi une bonne explication du racisme systémique, mais je n’en dis pas plus. Il vous faudra écouter cette série sur onf.ca (3) pour le savoir.
Notes
1. https://ici.radio-canada.ca/tele/doc-humanite/site/episodes/589865/maisonneuve-ecole-cegep-djihad-syrie-irak
2. https://vimeo.com/394650069
3. https://www.onf.ca/serie/maisonneuve/
4. https://www.cmaisonneuve.qc.ca/international-interculturel/stages-et-sejours-detudes/stage-dobservation-a-kitcisakik/
Mes RVQC 2024
La cordonnière (RVQC)
D.I., Delinkan Intellectuel, revue d'actualité et de culture, in Societas Criticus Vol. 26-02 : www.societascriticus.com
2023 / Fiction /104 min / Québec / français
SCÉNARIO : SYLVAIN GUY
RÉALISATION : FRANÇOIS BOUVIER
SYNOPSIS
À seize ans, Victoire tombe follement amoureuse de son voisin, Georges, de vingt ans son ainé. Cet amour étant impossible, Victoire jette son dévolu sur le fils de son amant, Thomas, qu’elle mariera et avec qui elle aura plusieurs enfants. Cette union n’arrive toutefois pas à éteindre la flamme qui brule entre Victoire et son beau-père. Et à trop retenir leurs ardeurs, Victoire et Georges-Noël ne font qu’alimenter la passion qui les consume un peu plus chaque jour et miner la vie de ceux qui les entourent.
François Bouvier possède plus de 30 ans d’expérience à titre de réalisateur, producteur, metteur en scène, scénariste et caméraman. On lui doit la réalisation de nombreux classiques québécois tels que les longs-métrages Maman Last Call, l'œuvre cinématographique Les pots cassés, qui a remporté le Bayard d’or du meilleur film au huitième Festival international du film francophone de Namur et Les matins infidèles, Grand prix spécial du jury à ce même évènement en 1989. En 2015, c’est le Prix du jury junior qu’il remporte, toujours au Festival de Namur, pour Paul à Québec, inspiré de la BD québécoise du même nom. C’est également lui qui est à la barre de La Bolduc, mettant en vedette Debbie Lynch White et de La cordonnière, produit par Caramel Films en 2022.
Il a assuré la production et a agi à titre de conseiller à la scénarisation pour le film Marie s'en va-t-en ville en plus d'être coproducteur, coscénariste, coréalisateur et metteur en scène du long-métrage Jacques et Novembre. On lui doit aussi la réalisation des séries télévisées Tribu.com, Gypsies et Urgence, qui ont marqué leurs époques.
François Bouvier s’est vu confier la réalisation de téléromans à succès comme 30 vies (de 2011 à 2014), Prozac et Casino II, pour lequel il a d’ailleurs reçu une nomination au concours des prix Gémeaux en 2008 pour la meilleure réalisation d’une série dramatique. Il est aussi très présent à la télévision, réalisant la série jeunesse Jérémie à VRAK, la série dramatique Ruptures à Radio-Canada, et plus récemment Ma mère, série dramatique mettant en vedette Chantal Fontaine et diffusée sur Club illico.
Au concours des Gémeaux, ce réalisateur de renom a remporté en 2010 le prix Gémeaux de la meilleure réalisation d’une comédie avec Les hauts et les bas de Sophie Paquin. Il avait déjà remporté en 1999 le prix de la meilleure réalisation d’une émission dramatique (Pour sauver Pablo). D’autres nominations pour la meilleure réalisation en comédie avec Cover-Girl (2006), et en série dramatique pour Ruptures (2017) s’ajoutent également à cette liste.
INTERPRÉTATION
ÉLISE GUILBAULT
ROSE-MARIE PERREAULT
PIERRE-YVES CARDINAL
NICOLAS FONTAINE
Production : PRODUCTION CARAMEL FILMS
Distribution : LES FILMS OPALE
Commentaires de Michel Handfield, M.Sc. sociologie (2024-03-02)
Il y a des films, comme ça, qu’on va d’abord voir pour le plaisir. Je n’avais donc rien apporté pour prendre des notes. En un sens, c’est tant mieux, car s’il s’agit d’une reconstitution historique autour de l’histoire de la famille Dufresne qui a mis sur pied une entreprise de chaussures, la Dufresne & Locke. S’y mêle beaucoup de fiction, certains des faits n’étant pas tout à fait clairs et étant contestés par certains descendants de la famille. Alors, autant parler d’une œuvre de fiction autour de personnages historiques.
D’ailleurs, si, dans ce film, Victoire Dussault (1845-1908) et Thomas Dufresne (1855-1923) vivent dans le Château Dufresne, construit au coin de la rue Sherbrooke et du boulevard Pie IX (1), dans les faits il fut construit en 1919, après le décès de Victoire, par deux de ses fils : Oscar et Marius (2). Par contre, il est incontestable que « Victoire Dussault, [est] l'une des premières cordonnières du Québec » (3). Mais, le film porte beaucoup plus sur l’amour qu’elle partage entre son mari et son beau-père, de qui elle fut aussi amoureuse dans sa jeunesse. Mais, en fait, ont-ils vraiment cessé d’être épris l’un de l’autre? Voilà autour de quoi tourne ce film historique, mais surtout romantique !
Notes
1.
2.
3.
Mes RVQC 2024
AU BOUTE DU RIEN PANTOUTE (RVQC)
D.I., Delinkan Intellectuel, revue d'actualité et de culture, in Societas Criticus Vol. 26-02 : www.societascriticus.com
2024 / Documentaire / 90 min / Canada / français
SCÉNARIO : ANGÉLIQUE RICHER, SARAH LÉVESQUE, JÉRÔME SABOURIN
RÉALISATION : JÉRÔME SABOURIN
SYNOPSIS
Tous les matins, depuis les années 60, Marcel se confie à son magnétophone à cassettes. C’est à partir de ses confessions sur la vie, l'infiniment petit comme l'immensément grand, que ce film documentaire se déploie à travers les époques. Au boute du rien pantoute nous raconte la vie incroyable d’un homme aux personnalités multiples : un acteur polyvalent, un improvisateur hors pair, un scénariste et un parolier à ses heures. Filmé par son fils Jérôme Sabourin, ce portrait-essai ludique est un hymne à la vie, un regard à la fois intime et social d'un homme libre qui a sauté dans « tous les autobus» qui se sont présentés à lui. À 89 ans, Marcel Sabourin raconte notre histoire, et la sienne, avec toute la fantaisie qui l’habite.
Jérôme Sabourin est un artiste multidisciplinaire. Il a étudié les beaux-arts à l'Université Concordia.
Il figure parmi les directeurs photo d’importance dans l’industrie du cinéma et de la télévision. Un métier qu’il exerce depuis plus de vingt-cinq ans. Sa signature visuelle, on peut l’apercevoir dans des œuvres significatives. On n’a qu’à penser à Minuit le soir, Les Lavigueur, Les pays d’en haut, King Dave, Sam, C’est le cœur qui meurt en dernier, etc.
Inévitablement, cette profession lui a permis de comprendre et de composer avec la verticalité des corps, des formes dans l’espace ainsi que le mouvement.
Son parcours atypique et sa vision singulière se transposent dans les personnages qu’il dessine. Ils habitent un lieu imaginaire et vivent dans l’immédiat et le geste spontané de l’encre de Chine, qui ne permet ni retouche ni reprise.
Cette exposition suggère en quelques dessins les œuvres d’une production à la fois figurative et intime. Ils mettent en évidence des traits francs !
Production : PRODUCTIONS MUSTANG INC.
Distribution : LES FILMS DU 3 MARS
Commentaires de Michel Handfield, M.Sc. sociologie (date)
Marcel Sabourin : tout un personnage, tout un parcours. Je le dirais POSTMODERNE. Un personnage calme et en avance sur son temps qui défonce les traditions. À la fois philosophe et contestataire; calme et énervé, car quand il faut changer les choses il faut foncer… en plein dedans ! Un clin d’œil à « Chu d’dans », « un autre beau délire signé Marcel Sabourin » pour Robert Charlebois. (1) À quand un disque Charlebois-Sabouriin comme il y en a eu un de Charlebois à Ducharme?
Un film fort intéressant qui regarde son sérieux et sa folie créatrice; ses études et ses créations; ses nombreuses collaborations et participations que ce soit comme le Professeur Mandibule dans La Ribouldingue (2); comme parolier avec Robert Charlebois (3); ou avec Jean-Pierre Lefebvre (4) au cinéma pour ne nommer que celles-là.
En conclusion, je tiens à dire que c’est dans le film Ils ne faut pas mourir pour ça de Jean-Pierre Lefebvre que le personnage d’Abel (Marcel Sabourin) donne la meilleure définition de Dieu :
« Abel – Tu vois Dieu, s’il existe, il doit être comme un homme qui écrase les insectes. Tu marches comme ça, dans la rue, ou dans l’herbe, et puis tu assassines des êtres vivants sans même t’en rendre compte. Parce que tu es grand. Parce que tu es plus grand et plus puissant qu’eux. C’est de la tragédie. Ça t’est déjà arrivé de mettre par mégarde le pied dans un nid de fourmis? Tu es tellement fasciné par les fourmis que tu deviens méchant sans le vouloir, tu t’amuses à mettre des embuches sur leur passage, tu déterres leurs œufs. Je me dis que Dieu c’est peut être un peu la même chose, que de temps en temps, par hasard, il lui arrive de mettre le pied dans un nid d’hommes et qu’il joue avec nous pour uniquement savoir comment nous allons réagir… pour savoir si au moins on va réagir… Moi j’essaie de respecter les insectes, parce que j’aimerais bien que Dieu apprenne à respecter les hommes. » Un passage, d’Il ne faut pas mourir pour ça, film de Jean-Pierre Lefebvre (1966), dit par Abel (Marcel Sabourin) (5)
Notes
2. https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Ribouldingue
3. https://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Charlebois
4. https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Pierre_Lefebvre_(acteur_québécois)
5. J’avais eu ce texte dans un de mes cours de Cinéma au Colège Marie-Victorin. C’était entre 1976 et 1979, un cours donné par Gilles Blain (6). Je l’ai toujours conservé. Malheureusement, ce passage n’est pas dans ce documentaire, mais on y voit l’allusion, par d’autres passages, plus courts, dans ce film.
6. https://bib.umontreal.ca/collections/speciales/litterature-francaise/collection-gilles-blain
Mes RVQC 2024
SIMPLE COMME SYLVAIN (RVQC)
D.I., Delinkan Intellectuel, revue d'actualité et de culture, in Societas Criticus Vol. 26-02 : www.societascriticus.com
2023 / Fiction / 111 min / Canada, France / français
RÉALISATION et SCÉNARIO : MONIA CHOKRI
SYNOPSIS
Sophia, 40 ans, qui souffre en permanence de migraines, professeure de philosophie à l’université du troisième âge, vit en couple depuis dix ans avec Xavier, professeur de science politique. Ils ont une vie confortable et leur couple est plutôt stable malgré une vie sexuelle en veilleuse. Ils ne s’en plaignent pas, mais visiblement, quelque chose est bien éteint de ce côté-là. L’existence de Sophia bascule le jour où elle fait la rencontre de Sylvain, un entrepreneur des Laurentides aux antipodes de son mode de vie.
Monia Chokri fut formée au Conservatoire d’art dramatique de Montréal. Elle est aussi actrice,scénariste et réalisatrice et a travaillé entre le Canada et la France comme comédienne au théâtre et au cinéma. Elle se tourne en 2013 vers la réalisation.
Son premier court-métrage, Quelqu’un d’extraordinaire, monté par Xavier Dolan, et dans lequel elle filme Anne-Élisabeth Bossé, Evelyne Brochu et Magalie Lépine-
Blondeau, lui a valu de nombreux prix dont notamment le Jutra (2014) du meilleur court-métrage et le Grand Prix du Festival South By Southwest (2014).
La Femme de mon frère, son premier long métrage, qu’elle a également scénarisé, est sorti en 2019. Il a été acclamé au Festival de Cannes, où elle a remporté le Prix Coup de Coeur du Jury dans la section Un Certain Regard.
Comme actrice, elle a joué pour différents cinéastes, dont Denys Arcand, Robin Aubert, Claire Simon et Katell Quillévéré. C’est grâce à Xavier Dolan et son rôle de Marie dans Les amours imaginaires qu’elle se fait connaitre du grand public, réalisateur qu’elle retrouvera ensuite pour Laurence Anyways.
Son deuxième long métrage, Babysitter, interprété notamment par Nadia Tereszkiewicz, Patrick Hivon et Steve Laplante est présenté au Festival de Sundance en janvier 2022. Simple comme Sylvain, son nouveau long métrage, est invité au Festival de Cannes 2023, dans la section Un Certain Regard.
Commentaires de Michel Handfield, M.Sc. sociologie (2024-03-02)
Bande-annonce : https://www.youtube.com/watch?v=LJEGwAIcKIY
Avant tout, je dois souligner que le 23 février 2024, donc pendant que les Rendez-vous avaient lieu, Simple comme Sylvain a remporté le César du meilleur film étranger lors de la 49e cérémonie des César à l'Olympia de Paris. (1)
D’abord avant la projection du film, on nous a avisés que le film était aussi sous-titré en français, car étaient présents des étudiants en francisation dans la salle. Il y en avait du Centre Saint-Louis (pour adulte) du CSSDM (2), car j’ai parlé avec une technicienne en travail social qui accompagnait le groupe. C’est un type de coopération qui existe entre les Rendez-vous et le milieu éducatif. Une initiative que je félicite, car la maitrise de la langue passe aussi par le cœur. Il faut l’aimer pour la prendre et la faire sienne ! (3)
Je dirais de ce film que lorsque la philosophe rencontre l’homme manuel dans les grands espaces des Laurentides, son gout de l’esthétisme change pour une notion beaucoup plus terre à terre et biologique du désir primal : baiser ! En d’autres termes le sexe l’emporte sur la réflexion et les mots ! (4)
Mais, cette attirance de la différence a une contrepartie : le choc des cultures, car ils ne sont pas du même milieu. Ce ne sera pas évident pour la suite des choses. Si son couple était coincé après 10 ans de vie commune avec Xavier, professeur de science politique, Sophia, 40 ans, va se rendre compte que nos mondes, nos milieux sociaux, nous coincent aussi. Malgré l’attirance physique, il en faut plus pour être équilibré !
Bref, c’est une histoire de vie intéressante et qui montre que si dans la vie il y a des besoins primaires (physiologiques) comme la sexualité, il faut peut être plus que cela pour atteindre l’équilibre. Il faut aussi répondre des besoins de sécurité, d’appartenance et d’amour, d’estime et d’accomplissement de soi (5), comme d’atteindre une satisfaction intellectuelle.
Si on peut en partie s’autosatisfaire intellectuellement, chaque personne n’ayant pas les mêmes gouts de ce côté, comme en lisant ou visitant des expositions, il est aussi plaisant d’avoir certaines de ces expériences en couple (comme au cinéma ou au théâtre) ou en groupe, comme dans certains voyages culturels ou certaines activités sportives. Mieux vaut alors avoir quelqu’un avec qui on est à l’aise.
Mais, à partir du moment où l’autre nous rend mal à l’aise de par ses agissements et ses réflexions et qu’on oserait de moins en moins le présenter dans notre groupe d’amis ou notre famille, il y a un problème apparent et sérieux. Une divergence qui fera que ce sera peut-être un ami ou un jouet sexuel, mais ça n’ira pas plus loin. Ça ne deviendra pas nécessairement un couple au plein sens du terme.
D’ailleurs, et c’est là une marque de notre époque, combien de personnes seules peuvent avoir des ami(e)s différencié(e)s pour le sport, les sorties culturelles, le sexe, etc.? On voit même des annonces demandant un compagnon de marche, de vélo, ou pour aller au cinéma ou au théâtre, car la vie et les gouts sont de plus en plus segmentés et plusieurs vivent seuls maintenant. (6) C’est ce qui attend probablement Sophia, 40 ans. Un film qui en dit long sur notre époque et que j’ai trouvé intéressant d’un point de vue sociologique.
Notes
1. https://www.academie-cinema.org/evenements/ceremonie-des-cesar-2024/
2. https://centre-st-louis.cssdm.gouv.qc.ca/
3. J’ai choisi d’écrire la prendre, car ça donne aussi la sonorité de l’apprendre, qui est le premier pas à faire pour la prendre et la faire sienne !
4. Ce passage plus philosophique m’a été inspiré par le titre d’un livre vu dans le film : Épistémologie et esthétique… qui, je crois, après quelques recherches, est en son entièreté : Épistémologie et esthétique de l'espace chez Gaston Bachelard d’Aurosa Alison avec une préface de Jean-Jacques Wunenburger, 2019, publié chez MIMESIS.
5. Ce sont là les 5 niveaux de la pyramide de Maslow :
6. Je vois parfois passer ce genre d’annonces sur mon fil Facebook.
Mes RVQC 2024
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