Tumgik
#j'en ai oublié un
maluron · 4 months
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ah merdouille !! il y a plusieurs mois, peut-être même un an ou deux (le temps file je ne sais plus) j'avais répondu à un sondage tâtant le terrain d'audience pour un possible film/série sur la genèse de Milady de Winter - je n'étais pas censé en parler à l'époque, blablabla clause de confidentialité et depuis j'ai oublié pas mal de détails mais ça faisait envie quand même
là j'avais des places de cinéma à utiliser avant qu'elles se périment et du temps à tuer et j'ai été voir Les Trois Mousquetaires : Milady en aveugle, en pensant que c'était ça
ben non c'est la suite d'un autre film que je n'ai pas vu et qui ne me faisait pas envie en soi
d'après wikipedia malgré le stinger/sequel hook ça n'était pas la moitié d'une trilogie mais la fin d'un diptyque (enfin pour l'instant ?) et le truc que j'attendais sera une série qui s'appellerait Milady Origins (quel nom à con, mais bon) et n'a pas encore de date officielle
meh je ne vais pas dire que j'ai gaspillé un ticket et perdu deux heures de temps mais j'aurais dû mieux me renseigner d'abord quand même
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En ajout au texte important de @crococookie juste ici
Je voulais reblog et poster à la suite mais mon texte est vraiment trop long.
Poster ça, ça m'angoisse énormément. J'ai toujours peur qu'on m'interprète de travers. J'ai donc hésité longuement mais j'ai envie de rebloguer parce que même si j'ai pas été diag de troubles dys liés à la lecture et l'écriture (ce qui ne veut pas dire que je n'en ai pas, l'errance médicale, tout ça) je suis terriblement étourdie. Et si je me décide à l'écrire, c'est parce que l'an dernier, une personne a osé me demander de me relire et de corriger mes fautes, sur un paragraphe que j'ai écris rapidement en étant au téléphone un jour où j'étais sollicitée toutes les deux minutes. Avec les troubles qui me sont propres, mon vécu et j'en passe, j'ai mis du temps à me réconcilier avec l'orthographe et la grammaire. Le scolaire ne m'a pas aidé (du tout).
C'est le RP qui l'a fait.
Attention, il n'y a aucune agressivité dans ce poste (je pense que maintenant vous avez assez pigé mon mood de meuf pacifiste qui lève le drapeau blanc et veut qu'une chose : LA PAIX BORDEL.) , je partage juste mon expérience et mes conseils sur le sujet des fautes et du rapport à L'orthographe dans la commu RP. C'est aussi un petit appel à la bienveillance et à une direction vers un comportement plus chill envers vos partenaires qui font des fautes.
L'autre raison qui me pousse à poster, c'est parce qu'à la minute où j'écris je n'arrête pas de me relire. Et ça montre bien que je suis encore marquée par mes débuts dans la sphère du RP.
J'aimerais beaucoup vous dire que c'est exclusivement grâce à la bienveillance d’autrui, mais ce serait mentir. En quinze ans et surtout au début, j'ai eu le droit à des commentaires assez (trop) désagréables. C'est la capacité des autres à ne rien laisser passer qui a heurté ma confiance en moi et qui m'a donné l'impulsion de ne plus leur donner aucuns prétextes pour me reprendre. Et vous savez, je ne leur en veux même pas, à ces personnes. Je leur pardonne même assez facilement et je suis persuadée qu'iels ne sont pas tous-tes malveillant-e-s. L'humain est plus complexe que ça.
Ce qui m'a poussé à ne plus vouloir faire de fautes, c'est mon foutu caractère et ma tendance à vouloir contredire les personnes qui ne laissent rien passer. (Parfois ça peut être un problème, d'autre, un vrai coup de pied aux fesses pour faire face aux détracteurs. Et là, notez toujours qu'on parle de mon expérience personnelle avec mon profil à moi. Je ne parle pas pour tout le monde. Pitié, ne demandez pas à une personne dys de 'faire un effort', c'est validiste et grossier. Et si vous avez du mal, on a beaucoup de personnes concernées qui sont là pour donner des sources et aider à comprendre.)
Je fais encore des fautes d'étourderie aujourd'hui. Je vous raconte pas le nombre de fois où j'édite des postes parce que j'ai vu une boulette d'étourderie. (Rien que ce matin j'ai dû éditer un petit poste d'intrigue parce que j'ai réalisé que j'avais oublié un fuc$$ng mot pour que ma phrase fasse sens.) Y a un truc que je peux conseiller pour les gens maniaques de l'orthographe (dont je fais partie, faut pas croire) : S'il-vous-plaît (vraiment, je demande gentiment) attendez qu'on vous demande ? (En supposant que ça puisse arriver.) C'est frustrant et même blessant. Et si on vous demande : Ne pas jouer les profs avec des formules telles que : 'Ceci ne s'écrit pas comme ça, mais comme ci'. Vous partez ainsi du principe qu'on ne sait pas. Et même si c'est le cas, n'oubliez pas que les troubles dys existent et que vous ne connaissez ni la personne ni son vécu. Derrière l'écran, c'est toujours un être humain.
J'rp par exemple avec une personne Dys qui me pond les textes les plus élaborés et qui passe un temps fou à se relire. Chaque profil est différent. N'oubliez pas qu'on est aussi souvent crevé-e-s de nos semaines et que même s'il y a des gens qui pondent des textes sans fautes hyper facilement, c'est pas le cas de tout le monde et derrière, on peut se retrouver à être nombreux-ses à complexer, à vouloir poster des trucs parfaits parce qu'on a encore le souvenirs de ces remarques qu'on ne veut plus affronter. Même si derrière, on a les partenaires les plus adorables et les moins regardants de la sphère. Ça peut gâcher le plaisir d'écrire, alors que le RP est un loisir. Pas un job. On ne va pas publier nos écrits, on le fait pour se changer les idées et s'amuser. Un rappel constant de nos étourderie ne va rien arranger, ça ne va rien changer. Même si vous pensez sincèrement bien faire, et quand c'est le cas - parce qu'on ne peut pas espérer que ça le sera toujours malheureusement - merci de vouloir aider, même si c'est maladroitement. (Mais écoutez les conseils svp)
Bref, restons indulgent-e-s et humain-e-s, on a une passion commune vraiment géniale. <3
Si vous avez tout lu, merci d'avoir pris le temps pour ce pavé qui complète un poste à lire absolument !
Des bises,
Swan (qui va lutter contre l'envie de relire et éditer ce texte pour la cinquantième fois.)
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hetalianfrog · 1 month
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A little post in French bc I'm too lazy to write in English ~☁️
J'ai toujours remarqué quelque chose d'intéressant avec Francis. D'après les fans, il est un deredere, ou un hiyakasudere (je n'ai jamais été d'accord avec ce dere là ptdrrr) 😔
Mais vous voyez les chapitres d'Hws quand Arthur a quitté l'EU ? (j'ai oublié les numéros) 💀
Dedans on peut clairement voir Francis avoir un (très) léger côté yandere dedans... 😨 Surtout dans le chapitre où il a fait une tête flippante en gueulant qu'Arthur irait pleurer et le supplier de le faire réintégrer l'UE bahahahahahaha 💀
Non en vrai, j'ai peut-être l'air en train de me moquer, mais j'adore ce côté un peu ''sombre'' de Francis (je suis littéralement accro à ses têtes flippantes, j'en ai plein dans ma galerie photo) :
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Ptn j'aime trop quand il fait ça, il est trop chou 😔🤌❤️
(j'aime les choses flippantes, ok ? Et non, je ne suis pas une tarée dérangée)
Mais sachez que Francis est vraiment quelqu'un de bien et pas un pervers ou un violeur comme certains hetaliens peuvent penser... La preuve, c'est que dans certains épisodes et dans ses chara song, il parle à plusieurs reprises de l'amour en le décrivant déjà comme ''beau'', ''précieux'', ''unique'' et ''temporaire'' mais il dit aussi qu'il ne doit pas être forcé ou imposé, qu'il doit rester naturel et avec un consentement
C'est pour ça que c'est mon personnage préféré (car non, ce n'est pas mon perso préféré juste parce qu'il représente mon pays mais parce que je l'adore vraiment) 🤸‍♀️✨
Bref, désolée de vous avoir faîte perdre du temps avec ce post inutile 🐤
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smokedandelions · 29 days
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J'avais complètement oublié de poster ça mais enjoy mdrr
On est toujours en train de bingewatcher les bonus du vdf. Là j'en suis à la saison deux, donc je fais ✨une nouvelle petite liste✨ des trucs pépites :
Ludovic qui fait semblant d'avoir la giga chiasse pendant que Raphaël est en train de mourir de rire derrière la caméra
François qui sait pas faire un nœud de cravate 👔
Florent : "J'ai so much envie de faire caca"
Raphaël qui crie en tournant sur lui-même
Matthieu Poggi : "En tout cas c'est cool d'avoir des nouvelles têtes sur le tournage parceque j'en peux plus d'écouter la vie de Slimane. J'en ai marre, ça fait vingt ans que je l'entends."
Slimane-Baptiste qui fait moulte blagues homo-hérotiques 👀
La team qui joue au Jungle Speed
Florent : "Raph avale 👀👀"
Saison trois :
Bertrand qui s'assoit sur les genoux de Slimane-Baptiste et qui peuvent pas tourner la scène sans mourir de rire
Bertrand qui est juste venu pour cette scène du coup, genre en vingt minutes c'était bouclé et on l'a juste appelé pour ça
Les gamelles du Docteur Castafolte (best blague ever)
J'avais pas capté que Benzaie jouait un des persos révolutionnaires,,
Baptiste-Slimane qui décrit Henry comme "gay-friendly"
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e642 · 1 month
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Ce silence dans mes mots est perturbant. Je parle mais rien d'important ne sort. Tout est stocké à l'intérieur, rien ne passe la frontière de mes lèvres brûlantes d'angoisse. Je sais que je fais comme si j'avais le contrôle mais, de tout évidence, je m'en écarte. Je procrastine émotionnellement. J'accueille la peine de ma mère. J'alimente cette relation. Je continue à aller à la fac. Je fais tout comme il faut et pourtant, dans ma tête, c'est si confus. J'ai des ramifications de pensées, tout se bouscule. J'ai passé tellement de temps à inspirer tout ce qu'on rejette que je mets un point d'honneur à donner l'impression que tout est carré pour moi. J'ai toujours la réponse à tout, le pragmatisme fait maintenant partie intégrante de moi, mais en vérité, j'ai réponse à rien. Je suis une façade bien amochée. À force de ne plus vouloir rendre de compte à personne j'en ai oublié que c'était l'un des principes des interactions. Je pense pouvoir m'éviter le sale boulot en espérant que l'univers s'arrangera pour que ça aille dans mon sens. Lâcheté et égoïsme ne m'auront jamais aussi bien décrite. À un moment, je ne pourrai plus repousser cette rupture, ou encore cette angoisse profonde de perdre ma mère. Malheureusement, faire comme si ça n'existait pas rend les choses tellement plus visibles et pénibles. Je ne deviens pas meilleure, seulement un résumé bien amer de toutes ces périodes qui m'ont causé tant de peine. Je sais que ne rien dire ou laisser paraître rend la bombe d'autant plus dévastatrice mais je ne veux pas amorcer non plus de vagues. Je lance des pavés dans les limbes de mon esprit en attendant de les jeter dans les vies des autres.
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perduedansmatete · 1 month
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ce que j'ai oublié de dire de ce week-end c'est que j'ai encore pleuré à cause des mêmes trucs bourrée dans la salle de bain avec elyas, après avoir vomi je lui ai dit que je buvais trop mais que j'essayais d'arrêter (pas de boire mais de boire trop régulièrement pour supporter la journée) et de là je lui ai raconté plein de trucs je lui ai dit pourquoi je me mettais dans cet état lamentable selon moi, que je pouvais plus me voir aussi, que j'avais du mal à trouver ma place dans cette famille en repensant notamment aux dernières réflexions de mon grand-père qui ont accentué le fait que je ne peux plus me voir, il m'a dit que je cachais bien mes émotions mais qu'il avait vu que ça n'allait pas toute cette journée, je lui ai parlé des évènements récents et plus anciens qui me gâchent la vie, lui aussi m'a parlé du même sujet, de ce qu'il a vécu qui rejoint beaucoup de mes expériences bien qu'il m'ait dit qu'il ne ressentait pas les choses de la même manière et que ça ne l'avait pas marqué comme ça a pu me le faire, puis de là on a encore parlé de ma sœur car je crois que j'avais fait le lien entre ma réaction à certaines choses et la manière dont ma sœur m'a toujours traité, j'en avais déjà parlé avec Y la semaine dernière pour je ne sais plus quelle raison, je lui avais dit des trucs que je ne dis jamais et il m'avait répondu quelque chose genre « désolé mais ta sœur c'est une vieille meuf » puis qu'il comprenait mieux beaucoup de mes réactions et de mes ressentis enfin qu'il me comprenait beaucoup mieux tout court à la lumière de ces quelques trucs, là elyas m'a dit genre « elle n'est pas toxique mais elle est carrément égocentrique » puis qu'il avait vécu des relations tellement toxiques que ses comportements c'était en quelque sorte du pipi de chat pour lui même si ça l'affecte quand même et ça m'a fait tellement de bien de parler de tout ça avec lui, tout comme à lui qui m'a envoyé un message dans lequel il a écrit que ça lui avait fait du bien de parler de certains choses et qu'on partage des ressentis en commun sur la vie ou à propos de ma sœur, qu'il se sentait plus compris et tout mais malgré tout le bien que ces deux discussions ont pu me faire ça recommence à trop tourner en boucle dans ma tête je fais de nouveaux liens et je suis fatiguée d'avoir grandi avec une sœur qui prend toute la place qui n'écoute pas les autres, qui ne pense qu'à elle, qui m'a fait vivre beaucoup de choses méchantes qu'elle aime bien raconter comme si c'était des anecdotes drôles qui ne m'avaient pas profondément traumatisé et je suis fatiguée de me dire que beaucoup de ma personnalité découle du fait que j'ai toujours du arrondir les angles avec elle depuis toute petite, que si tout le monde a toujours dit à nos parents c'est fabuleux vos filles ne se disputent jamais et s'entendent tellement bien c'est parce que je faisais tout (et je le fais encore?) pour ne pas qu'il y ait de disputes, que j'ai appris trop petite que ce que je voulais et que mes émotions ne comptaient pas tant que ça par rapport aux siennes (et à celles des autres par la même occasion) que si je voulais qu'on m'aime et que j'ai de l'attention il fallait que je fasse abstraction de ce que je voulais moi, puis qu'il y avait toujours plus intéressant que moi d'ailleurs et tout plein d'autres choses qui me font penser que oui si j'ai des parents à peu près convenables j'ai quand même douillé sévère avec ma sœur et que ça continuera puisque comme m'a dit ma mamie cet été « c'est trop tard tu as mal éduqué ta sœur » (oui c'est ma faute du coup apparemment d'avoir voulu que ma grand sœur m'aime autant que je l'aime et qu'elle en ai profité pour prendre le dessus sur moi)
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zombiemink · 5 months
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Je ne suis vraiment pas le genre de personne qui s’attache à des artistes au-delà d'une admiration générale. Mais je peux dire qu’aujourd’hui, en apprenant le décès de Karl Tremblay des Cowboys Fringants… il a rejoint la liste ultra sélecte de ceux pour qui j’ai versé de vraies grosses larmes de peine.
Je suis fan de ce groupe depuis que j’ai quatorze ans. J'en ai trente-cinq maintenant. “Motel Capri” était le premier album que j’ai acheté avec mon argent quand j’étais ado; les Cowboys, le premier groupe que j’ai vu en spectacle de ma vie (au Spectrum de Montréal en 2002, ce qui ne me rajeunit pas pantoute). Après ça, j'ai dû les voir en show au moins 15-20 fois à travers les années? Karl Tremblay lui-même mais tout le groupe aussi, c'était juste imbattable sur scène… j’ai trop de bons souvenirs. Mais quand même, mention honorable à la fois aux alentours de 2010 où mon ami et moi, on avait acheté des billets de dernière minute pour leur show du 31 décembre pis qu’on avait réussi à rentrer des bouteilles d’alcool au Centre Bell en les cachant dans nos bobettes. Ce spectacle-là va toujours garder une place spéciale dans mon cœur, même si j'ai oublié l'année exacte.
Et vraiment, c‘est impossible pour moi de ne pas mentionner à quel point le groupe a contribué à mon éveil social et politique, par rapport au Québec évidemment mais en général également. “Break Syndical" a été mon initiation à la Musique Contestataire™ (avec Renaud aussi), mais “La Grand-Messe” en 2004 est vraiment l’album qui a tout fait cliquer dans ma tête. La chanson que je poste ici en particulier. Quelques mois après la sortie de l'album, d'ailleurs, c’était la première vague de manifestations étudiantes qui allait mener huit ans plus tard au Printemps Érable... j'avais juste seize ans, mais j’étais déjà là! Peut-être que je ne l’aurais pas été ou, du moins, pas avec autant de conviction si ce n’était pas des Cowboys. Et je n'étais probablement pas la seule comme ça, si on se fit à la façon dont leur chanson “La Manifestation” résonnait durant les manifs à l’époque (oui oui, c’est très ironique considérant les paroles).
Juste au début de 2023, je suis allée les voir (les retrouver!) pour la première fois depuis la pandémie. Cette fois avec ma mère et des membres de ma famille proche, qui sont des fans de toujours eux aussi. Je me retiens de dire quelque chose ici parce que c'est trop cliché comme phrase (mais je peux dire que ça contient les mots "comme" et "famille").
Bref, ce que j’essaye de dire avec trop de mots, c’est que les Cowboys Fringants sont l’ultime définition de "musique qui m’a accompagnée toute ma vie". Je suis attachée à ce groupe de tout mon cœur. Donc évidemment, je suis super triste à cause de la nouvelle aujourd’hui mais aussi... merci ❤️
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romain8959-blog · 6 months
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mon premier pipi au lit par plaisir
½ début : Mon premier pipi au lit exprès, la découverte du plaisir J'aime bien me mouiller pour jouer et ça depuis que je suis enfant ou dans la cour de l'immeuble y avait le meilleur copain avec qui on jouait à ça ne se regardant... bon pas tous les jours, on se serait fait tabasser ! 
Plus tard, j'avais eu la chance de partir avec un copain dont la famille m'avait invité à partager leurs vacances à la neige... merveilleux ! on avait alors 12 ans. Les vacances se passaient super bien, sauf qu'un matin, contrairement à fougue habituelle, il ne se levait pas, et pour cause je n’ai pas mis longtemps à comprendre quand il m'a dit tout con… "j'ai pissé..." moi je n’y croyais pas, je ne pensais même pas qu'on puisse pisser au lit à 12 ans. Mais si c'était vrai, je l'ai vu quand il a descendu la couette. Il avait sous les fesses un beau rond mouillé et le bas du pantalon de pyjama ainsi que le bas de la veste étaient encore tout mouillé aussi... j'étais médusé et terriblement attiré...
Il avait fait quelque chose, bien malgré lui surement, que je rêvais de faire sans jamais avoir osé, à cause de mon Age... je n’y croyais pas... Par contre il était terriblement vexé que je le voie dans ce type d'intimité ! pour rester copain avec lui et qu'il s'en remette, je lui ai dit que ça m'arrivait aussi des fois de pas s'inquiéter ! Et pour le rassurer, je me suis même inventer un pipi au lit quelques semaines avant, lié à un rêve à con que je lui avais raconté, et dont la finalité était aussi un pipi au lit... j'ai dû être convainquant !
Je lui ai même dit que le matin, en me réveillant, j'avais toujours l'angoisse d'avoir fait pipi !!! j'avais eu raison d'agir comme ça, on est resté les meilleurs copains du monde, il avait oublié son accident au lit, et il n'y en eu plus d'autre. 
N'empêche, j'avais vu qu'à 12 ans on peut des fois encore faire pipi au lit, et dans mon fort intérieur j'aurais rêve d'être à sa place, surtout qu'au niveau de ses parents, ça n'avait même pas été un scandale ! le soir là on avait juste été au lavomatique plutôt que de s’amuser dans la neige comme les autres soirs. Quelques semaines après, j'allais passer quelques jours chez une vieille grand-mère, comme ça arrivait des fois pendant les petites vacances scolaires.
 Je dormais au 2éme étage, là ou mamie allait rarement.... et, j'en mourais d'envie depuis que j'avais vu mon copain, mouiller son lit je voulais le faire aussi pour voir... à la maison j'osais pas trop ! là peut  être ? 
J'y pensais sans oser depuis déjà un petit paquet de temps, et puis j’ai décidé de  "ne plus prendre mes précautions». avant de me coucher.
 2/2  suite
y a fort longtemps que j'étais propre la nuit donc une nuit ça m'a réveillé, un mal connu, envie de pipi .... mais j'ai décidé de pas me lever et d'attendre... surtout que les wc étaient 2 étages plus bas... et cette maison, qui, je l'avoue maintenant, me foutait la trouille, surtout la nuit, d'autant plus que j'étais pas du style aventurier....
 d'un coté je voulais le faire, faire pipi au lit…, de l'autre côté tout me pousser à ne pas le faire ! En fait ce n’est pas moi qui ai décidé, à un moment j'en pouvais plus et au lieu de courir au wc, j'ai attendu encore un peu pour voir...je me suis même un peu rendormi. Mais je me suis vite reréveillé…  je savais que le point de non-retour allait être franchi et que j'allais finir par faire pipi dans les draps si je me levais pas et......l'instant d'après c'était parti.j’en pouvais plus de me retenir ça me faisait mal...et.. j’ai senti mon pyjama qui commençait à se mouiller... ça y est putain...je faisais pipi au lit !!!!! j’étais en train de faire pipi au lit…. Vous me croirez si vous voulez, contrairement à l'horreur que ça aurait dû m'inspirer, j'adorais ça!!!! d’un coup je me suis senti léger, léger et bien comme on a pas idée, la douleur que j’avais ressentie de me retenir si longtemps s était immédiatement transformé  en une énorme onde de plaisir,  après m'être retenu si longtemps. et de sentir le pipi qui coulait dans la culotte et dans le pyjama hmmmm je réaliser mon fantasme. J’arrétais pas de me répéter « je fais pipi … je fais pipi au lit…. » je sentais que ça coulait entre mes jambes et je sentais un petit filet glisser entre mes cuisses... et là je savais que je mouillais tout, y compris le matelas qui n'étais meme pas protéger ! mais à ce moment précis je m'en foutais j'étais simplement heureux d’un bien être tellement fort. et puis trop vite ça s'est arrêté. sur le coup j'y croyais à peine, c'était un peu comme dans un rêve, une chose est sûre ,ça me faisait tout chaud... doucement j'ai mis nez sous la couverture... ça sentais le pipi tout chaud... c'en était limite enivrant j'ai du me résoudre à la vérité, je l'avais fait ! j'avais osé pisser au lit comme ça exprès.. avec mes mains j'ai touché le mouillé pour vérifier ! c'était bien trempé et ça m'a terriblement excité tellement que d'un coup j'ai bandé comme jamais. je n'avais pas encore découvert la jouissance à cette époque... je me suis retourné et je me suis frotté dans le mouillé pour me calmer... je me frottais dans mon pipi… j’ai senti un plaisir nouveau monter dans mon corps… et j’ai senti quelque chose monter …. Quelque chose de fort…. d'un coup j'ai senti la plus formidable onde de bonheur et de plaisir de ma vie… comme un feu d’artifice dans mon corps.. tous mes sens venaient de se vriller d’un coup,  je venais de jouir pour la première fois de ma vie. 
dans mon pipi , j'avais même pas honte.... après ça je me suis endormi comme une masse, ce n'est que le lendemain que j'ai eu la surprise de me réveiller mouillé, surprise de courte durée ! bon le lendemain tout ça à séché discrètement...... de cette expérience j'ai gardé le plaisir de faire de temps en temps pipi au lit, même encore maintenant, jamais de plan crade !, toujours pipi au lit dans des draps propres ! Pour les couches, j'ai découvert ça plus tard, c'était plus pratique et ça permettait de jouer plus souvent ! mais bof c est pas pareil
voila ça c est passé comme ça la première fois je sais c est contre nature on m’a dit mais c est comme ça
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marie-swriting · 6 months
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Rien De Sérieux - Natasha "Phoenix" Trace
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Masterlist
Résumé : Trois fois où tu flirtes avec Natasha et une fois où tu confesses tes sentiments.
Warnings : Angst, fin heureuse, consommation d'alcool (consommez l'alcool avec modération), vomissements, confession sous les effets de l'alcool, sous-entendus de sex mais rien d'explicite, dites-moi si j'en ai oublié d'autres.
Nombre de mots : 5k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Flirting With Her par Sir Babygirl
-Au célibat ! cries-tu avant de boire un shot cul sec avec tes deux amies Sarah et Alison. 
Un bruit résonne au moment où tu poses le verre avec force sur la table. L’alcool te brûle la gorge, mais tu pousses un léger cri de victoire. Ce soir, tu célèbres ton célibat comme tu l’as annoncé haut et fort. 
Tu as été en couple pendant près de trois ans avant que ton ex se sépare car elle a trouvé quelqu’un de mieux que toi, apparemment. Tu ne vas pas mentir, il y a une semaine, tu étais une épave. Tu étais inconsolable, tu ne sortais que pour le travail et tu restais devant ta télé à ne rien faire. Finalement, grâce aux nombreux discours encourageants de tes deux meilleures amies, tu as réalisé que c’était sa perte et non la tienne. C’est pourquoi ce soir tu veux célébrer le fait d’être célibataire et sans attache.
-Je vais enfin pouvoir faire ce que j’ai toujours voulu faire et je vais le faire sans prise de tête, annonces-tu avec joie. Je vais pouvoir m’éclater, sortir autant que je le veux, être tranquille. Tu as raison, Sarah, c’est la meilleure chose qui pouvait m’arriver. Et moi, je vous le dis, je vais m’éclater…, continues-tu alors que tes yeux se posent sur une femme aux cheveux noirs, avec elle, par exemple. Elle est magnifique.
-La phase célibataire aura duré longtemps, rigole Alison alors que tu continues à fixer la femme.
-Qui a dit que je voulais me mettre en couple ?
-Tu viens de flasher sur elle. 
-Et alors ? Rien ne dit que ça va être sérieux.
-Mais tu fais que dans le sérieux, contredit Sarah. 
-Plus maintenant, déclares-tu alors que tu recommandes un shot. 
-T’es sûre de ce que tu veux faire ? 
-Totalement ! Elle est dans la Navy, expliques-tu en pointant son uniforme, elle ne doit pas être là pour longtemps autrement dit, si ça se passe bien, tant mieux et si ça se passe mal, je n’aurai pas à m’inquiéter de la recroiser. C’est tout bénéf’. 
-Eh bien, vas-y ! t’encourage Alison.
-Et comment ! t’exclames-tu avant de boire ton nouveau shot.
Tu t’assures que tes vêtements soient en place avant d’aller au bar sous les encouragements de tes amies. Tu t’adresses d’abord à Penny et payes un verre. Tu attends patiemment que Penny donne le verre à la femme et explique que ça vient de ta part. Quand Penny part s’occuper des autres clients, la brune te regarde avec un sourire avant de boire une gorgée. Tu prends cela comme un bon signe donc tu te lèves et tu vas t'asseoir à ses côtés.
-Merci pour le verre. Bon choix, commente-t-elle en buvant un peu plus. 
-Ravie que ça te plaise. Je m’appelle Y/N et toi ?
-Natasha.
-C’est quoi ton callsign ?
Natasha te regarde surprise suite à ta question, ne s’attendant pas à ce que tu t’intéresses à ce détail.
-Phoenix, informe Natasha avec un sourire confiant. 
-Je parie que tu portes bien ton callsign.
-A toi de me le dire. Qu’est-ce qui t’amène ici ce soir ? questionne-t-elle, intriguée.
-Je profite de ma nouvelle liberté et toi ? 
-Rien de spécial, juste la détente après le travail. 
-Tu es ici pour un déploiement ?
-Oui, je reste que deux semaines. Je veux en profiter un maximum.
-Je veux également en profiter un maximum, déclares-tu avec un sourire dragueur. Tu devrais nous rejoindre, mes amies et moi. On va jouer aux fléchettes, tu es la bienvenue.
-Je viendrai.
Tu souris à Natasha puis retournes vers tes amis, la bouche grande ouverte simulant un cri de joie. Tes amies t’assoment de questions dès que tu les rejoins à la table et tu leur réponds sans perdre de temps.
-Je vous le dis, à la fin de cette soirée, j’ai au moins son numéro !
Et tu as même eu plus. 
Le lendemain, tu te réveilles dans une chambre inconnue, les bras de Natasha enroulés autour de ta taille. Comprenant que tu n’es pas rentrée après votre moment à deux, tu t’insultes mentalement. Tu ne sais pas si tu devrais attendre qu’elle se réveille ou partir tout de suite. Tu débats pendant quelques secondes avant de venir à la conclusion qu’il est préférable de fuir maintenant, surtout car tu as du travail qui t’attend. 
Doucement, tu t’extirpes des bras de Natasha et récupères tes habits au sol. Tu t’habilles en quatrième vitesse avant de marcher vers la sortie. Quand tu es sur le point d’ouvrir la porte, tu soupires de soulagement quand la voix de Natasha résonne derrière toi. Tu sursautes et te retournes vers elle, une main sur le cœur.
-Je ne pensais pas que tu étais le genre à partir comme une voleuse, rigole-t-elle. 
-Oh, eh bien, je me disais que tu ne voudrais pas que je reste plus longtemps. En fait, je…, tentes-tu d’expliquer avant de t’avouer vaincue, j’admets que je connais pas trop les conventions des plans d’un soir. C’est la première fois que je fais ça.
-Ravie d’avoir été la première. Et pour info, selon les personnes, ça peut différer, mais personnellement, ça ne me dérange pas si tu veux rester un peu plus longtemps. 
-Compris. Mais, je vais devoir y aller. J’ai du travail à faire, informes-tu, triste de devoir la quitter si vite.
-Pas de soucis. Tu vas sortir comme ça ?
Suite à sa question, tu baisses le regard sur ta tenue, ne comprenant pas sa critique. Certes, on devine que tu n’as pas une tenue habituelle pour un dimanche matin, mais elle ne paraît pas si moche. Tu ne vois pas le problème. Phoenix quitte le lit avant d’ouvrir son armoire.
-Il fait froid le matin. Tiens, tu peux prendre ma veste, dit-elle en te tendant le vêtement.
-Je suis pas sûre que je pourrais te la rendre avant que tu partes.
-Ce n’est pas grave. Au moins, ça me fera une excuse pour te renvoyer un message quand je serai dans le coin à nouveau.
-Merci pour la veste, alors. 
Natasha te sourit avec tendresse pendant que tu enfiles la veste. Tu n’oses pas bouger pendant quelques secondes, admirant une dernière fois le visage de Natasha avant de partir. Tu veux mémoriser son visage car, même si elle t’as dit qu’elle t’enverra un message quand elle reviendra, tu en doutes. Vous avez flirté, vous avez accroché, vous avez passé un moment intime agréable, mais vous n’êtes qu’une histoire d’un soir. Et puis, tu ne penses pas être prête pour commencer quoi que ce soit. 
Quand tu détaches enfin tes yeux de Natasha, tu fermes le vêtement avant d’ouvrir la porte. Natasha te demande de lui envoyer un message quand tu seras rentrée chez toi. Tu lui promets de le faire avant de la saluer.
Et, la seconde où tu arrives chez toi, tu te saisis de ton téléphone pour la prévenir : 
Message de toi à Natasha, 7h36 : 
Je suis bien arrivée. Merci encore pour la veste, je te promets de te la rendre quand tu reviendras…
Ou pas ;) 
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Six mois se sont écoulés depuis ta rencontre avec Natasha. Après ton message quand tu étais arrivée chez toi, elle t’avais répondu par un simple “contente que tu sois bien arrivée. À bientôt :)” puis, plus rien. Tu ne pouvais pas t’attendre à autre chose. Après tout, vous n’aviez partagé qu’une nuit ensemble. Il n’empêche que tu avais ressenti un léger pincement au cœur en réalisant son manque de message. 
Par conséquent, tu as tout fait pour laisser cette histoire derrière toi. Même si tu la recroisais par hasard, rien ne se passerait, c’est une certitude. Tu dois continuer ta vie tranquillement où, ces derniers temps, tu as pris de nouvelles habitudes. L’une d’entre elles étant d’aller au Hard Deck une fois par semaine avec tes amies. Contrairement à quand tu étais plus jeune, tu apprécies maintenant mieux une soirée où tu t’amuses avec tes proches, une boisson alcoolisée en mains. Tu as fait quelques nouvelles rencontres, mais rien qui ne puisse arriver à la cheville de ce que tu avais ressenti en voyant Natasha. 
Ce week-end là n’étant pas différent des autres, tu te retrouves au Hard Deck. Tu rigoles avec tes amies quand une serveuse vient te servir un cocktail que tu n’as pas commandé. Quand elle te dit qu’on te l’a offert et que tu découvres Natasha au loin, tu n’en crois pas tes yeux. Tu ne pensais plus la revoir. Elle te fait un signe avec son propre verre avant de boire une gorgée. Tu lui rends le geste et bois ton verre. À côté de Natasha, Bradley la regarde faire avant de soupirer, désespéré par la situation.
-Tu devrais aller lui parler au lieu de tenir une stupide distance de sécurité.
-On ne s���est pas vu pendant six mois, je voulais m’assurer qu’elle était encore intéressée avant de faire quoique ce soit.
-Maintenant que tu sais que c’est le cas, va la voir, ordonne-t-il en tentant de pousser Phoenix dans ta direction.
-Elle est avec ses amies.
-Et ça ne l’a pas dérangée la dernière fois pour venir te parler. Je comprends pas Natasha, t’as jamais été comme ça auparavant. 
-Je sais ! s’exclame-t-elle, énervée contre elle-même. Et je déteste savoir que je réfléchis autant. J’ai l’impression d’être toi.
-C’était gratuit. Ce n’était même pas sérieux ce que vous aviez, tu n’as pas à te faire des nœuds au cerveau. Allez, va lui parler.
-Et lui dire quoi ? 
-J’en sais rien, moi ! J’ai pas eu une aventure avec elle. Si tu veux pas lui parler, invite la à danser alors, propose Bradley, agacé.
-Personne est en train de danser. 
-Dans moins d’une minute, ça ne sera plus le cas. Va la rejoindre, je m’occupe du reste. 
Natasha boit d’une traite son verre avant de marcher vers toi avec un faux air confiant. De son côté, Bradley se dirige vers le piano, attendant le moment parfait pour commencer à jouer. 
Tu parles avec Sarah qui est en face de toi quand Alison attire ton attention en te donnant un léger coup dans les côtes. Tu regardes ton amie, les sourcils froncés alors qu’elle te fait un signe de regarder de l’autre côté. Au même moment où tu tournes la tête, Natasha arrive en face de toi et Bradley commence à jouer les premières notes de Great Balls Of Fire. Les personnes du bar se mettent à danser instantanément alors que Natasha te tend sa main avec un sourire.
-On danse ?
Pour simple réponse, tu lui prends la main. Tu te lèves de ta chaise et suis Natasha qui t’amène vers le piano, tes amies sur tes talons. Vous accompagnez Bradley au chant alors que Natasha et toi dansez sans vous souciez du monde qui vous entoure. Vous rigolez, vous vous faites tournez chacun votre tour jusqu’à la dernière note de la chanson.
Quand Bradley termine de chanter, Natasha garde ta main dans la sienne. Vous vous regardez avec un grand sourire.
-Je ne savais pas que tu étais de retour. Tu ne m’as pas envoyé de message, déclares-tu, encore surprise.
-J’allais le faire, je viens juste d’arriver. 
-Tu restes là pendant combien de temps ?
-Trois semaines.
-Donc on a un peu plus de temps que la dernière fois. Il faut en profiter pour rattraper le temps perdu. J’espère que j’aurai le temps pour te rendre ta veste, même si je dois t’avouer que j’aimerais bien la garder, mais tu peux toujours venir chez moi pour essayer de la récupérer, proposes-tu avec un regard dragueur.
-Je le ferai. Au moins, cette fois, je serai sûre que tu ne partiras pas comme une voleuse, rigole Natasha et tu lèves les yeux au ciel, faussement énervée.
-Tu ne vas pas me lâcher avec ça, hein ?
-Non. 
Malgré toi, ton cœur fond en regardant le sourire malicieux de Natasha. Tu ne veux pas l’avouer, mais elle t’a manqué. Toi qui pensais l’avoir oubliée, tu réalises que tu étais loin de la réalité. Mais il faut croire que tu n’étais pas la seule. Tu es rassurée de constater que tu l’as marquée autant qu’elle t’a marqué, mais tu ne voulais pas t’attacher à quelqu’un de nouveau de sitôt. 
Cependant, tu laisses derrière toi ces sentiments conflictuels le restant de la soirée, profitant de ce moment avec Natasha et apprenant à mieux la connaître. 
Comme il y a six mois auparavant, après quelques commentaires dragueurs, Natasha se retrouve dans ton lit, tes bras autour de son corps. 
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Message de Natasha à toi, 21h05 : 
Hey, je suis de retour en ville. Tu es libre ce soir ?
Tu regardes le message de Natasha pendant plusieurs minutes, ignorant quoi répondre. Tu es, effectivement, libre ce soir-là, mais tu ne sais pas si c’est une bonne idée. Depuis vos retrouvailles au Hard Deck il y a trois mois, vous vous êtes revues à de nombreuses reprises et tu dois avouer que tes sentiments pour elle sont de plus en plus forts. 
Au début, tu as pensé que ça serait un simple béguin passager, mais elle hante ton esprit et tu n’attends que le moment où tu la reverras. Certes, votre relation est plus physique qu’émotionnelle, mais tu prends tout ce qu’elle veut bien te donner. Malgré toi, elle a réussi à laisser son nom sur tes lèvres et tu te languis de l’avoir dans tes bras. Tu aimerais plus, cependant ce n’est pas son cas, tu en es à peu près certaine. Tu devrais garder tes distances avec Natasha, ça serait préférable. Ainsi, tu pourras éviter ton cœur de se briser à nouveau, surtout pour une relation inexistante. 
Tu dois lui mentir et dire que tu ne peux pas la voir. C’est ce qui est mieux pour toi. C’est ce que tu vas faire. Tu vas rester loin d’elle.
Tu n’es pas restée loin d’elle.
Sans vraiment savoir comment, tu t’es retrouvée dans la chambre d’hôtel de Natasha, vos vêtements se sont retrouvés au sol et vous vous êtes retrouvées dans le lit. Une partie de toi t’insulte de tous les noms pour ne pas avoir écouté ton côté rationnel, mais actuellement, c’est le cadet de tes soucis. 
Dans les bras de Natasha, vous discutez sur divers sujets et tu réalises que si vous aviez une réelle chance, vous pourriez avoir une belle histoire d’amour. Vous avez de nombreux points communs et votre vision sur le monde et le futur sont similaires. Tu aurais pu avoir un beau futur avec Natasha. Cependant, après chaque moment intime passé ensemble, Natasha te rappelle bien que vous n’irez jamais plus loin que des nuits partagées ensemble.
-Je suis contente de t’avoir rencontré, tu sais, commence Natasha en te serrant un peu plus contre elle. À cause de mon boulot, ça a toujours été compliqué de former des relations, mais avec toi c’est simple, sans prise de tête. On ne cherche pas du sérieux donc ce qu’on a nous suffit.
-Ouais, c’est vrai que c’est bien. Je profite à fond de ma vie de célibataire pour la première fois de ma vie, affirmes-tu en cachant ta déception. 
-Tu sais le jour où tu auras rencontré quelqu’un qui en vaut la peine, tu pourras me le dire. Je comprendrai si tu voulais qu’on coupe tout contact.
-De même pour toi .
-Tu n’as pas à t’inquiéter de mon côté.
-Tu ne veux pas de relation sérieuse ? Jamais ? questionnes-tu en la regardant dans les yeux.
-C’est pas que je n’en veux pas, c’est que c’est plus simple comme ça. Je ne pourrais jamais réellement donner à une autre personne la relation qu’elle mérite alors autant gagner du temps. Et puis, les relations à distance, ce n’est pas vraiment mon truc et je ne veux pas demander à la personne de tout plaquer pour moi, déclare-t-elle comme si c’était une évidence.
-Mais certaines personnes arrivent à trouver un équilibre entre le boulot et leur couple.
-Tu as raison. Je ne sais juste pas si je trouverai cette personne un jour.
En entendant sa phrase, ton cœur se serre. Natasha vient de te faire une bonne piqûre de rappel. Tu dois t’éloigner d’elle. Elle ne veut pas de relation sérieuse et même si elle en voulait une, clairement tu n’es pas la personne qu’elle aime. Elle t’a dit les yeux dans les yeux qu’elle n’avait pas trouvé une personne qui valait la peine d’avoir une relation. 
Tu retiens les larmes du mieux que tu peux en la regardant. Quand tu réalises que tu ne vas pas y arriver, tu éclaircis ta gorge avant de te relever et récupérer tes affaires au sol.
-Je… Je dois y aller. Je travaille tôt demain, annonces-tu en enfilant ton haut. 
-On peut aller se coucher maintenant si tu veux.
-Non, je dois rentrer chez moi. Je n’ai pas mes affaires.
-On pourra se revoir dans les jours à venir ?
-Je ne pense pas, je suis plutôt occupée en ce moment, mens-tu en remontant la braguette de ton pantalon. Je… Salut, bégayes-tu.
Tu ne laisses pas le temps à Natasha de te dire au revoir et tu fuis sa chambre d’hôtel. Tu cherches tes clés de voiture dans ton sac à main alors que tes larmes s’agglutinent dans tes yeux. Tes larmes finissent par couler quand tu quittes le parking. 
Tu le savais. Tu savais que tu allais finir avec un cœur brisé si tu continuais et ça ne t’a pas arrêté. Pourquoi faut-il que tu aies un cœur si fragile ? Pourquoi faut-il que tu t’attaches aux personnes aussi facilement ? Pourquoi ne peux-tu garder une distance émotionnelle ? Natasha y arrive très bien, alors pourquoi pas toi ? 
En arrivant chez toi, tes pleurs se sont calmés, même si tes joues sont encore mouillées. Tu te prépares pour aller te coucher et avant de t’installer dans ton lit, tu prends ton téléphone. Tu es sur le point d’ouvrir tes contacts quand tu reçois un message de Natasha.
Message de Natasha à toi, 00h30 : 
J’espère que la prochaine fois on aura un peu plus de temps :) 
Tu n’as pas la force de répondre. À contrecœur, tu supprimes la conversation puis tu supprimes son numéro - non sans hésiter pendant quelques secondes. Tu reposes ton téléphone et tentes de trouver le sommeil malgré ton cœur en mille morceaux. 
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Quatre mois sont passés depuis ta dernière fois avec Natasha et tu t’en es plus ou moins remise. 
Enfin, si on prend en compte ton état actuel, on dirait que tu en souffres encore. Dire que tu es saoule serait un euphémisme. Tu ignores combien de verres tu as bu au total mais tu sais que si tu essayes de marcher, tu vas tomber. Et tout ça, à cause d’un maudit message. Techniquement, tu aurais pu passer outre ce message. N’ayant plus le numéro de Natasha, il était indiqué comme venant d’un numéro inconnu et elle ne disait rien de spécial. Son message était un simple et innocent "hey 😘", mais ça a suffi pour comprendre qui était l’expéditrice et te faire souffrir au passage. Tu pensais que tu avançais enfin et ta réaction te prouve que ce n'était qu'une impression. 
Tu es seule à ta table même si tu es venue avec ton amie Sarah. Elle est actuellement en train de danser avec un homme qu'elle vient de rencontrer. Au départ, elle ne voulait pas te laisser seule, sachant que tu noies ton chagrin. Toutefois, tu lui as assuré qu'elle pouvait s'amuser sans culpabiliser alors que tu commandais un sixième verre. 
Tes yeux fixent tes mains tenant le verre alors que tu te perds dans tes pensées. Tu n'aurais pas dû commencer cette relation avec Natasha. C'est la phrase qui tourne en boucle dans ta tête depuis que tu as quitté sa chambre d'hôtel. 
Le lendemain de votre dernière fois, tu étais allée voir tes amies et avait déversé toute ta tristesse dans leurs bras. Toutes les deux, elles t'ont affirmé que tu devais passer à autre chose, comme tu le craignais. Une partie de toi espérait qu'elles t'encourageraient à te battre pour ta potentielle relation avec Natasha. Malheureusement, tes amies sont réalistes. 
Tu continues de boire ton verre lentement quand tu sens la présence de quelqu'un à tes côtés. En tournant la tête, tu vois Natasha et tu te dis que tu ne devrais pas finir ta boisson. Ton état d'ébriété est si fort que tu commences à avoir des hallucinations. Tu ne pensais pas ça possible. 
-Hey, comment ça va ?
Ce n'est peut-être pas une hallucination finalement. La voix de Natasha te semble bien réelle.
-Oh, salut ! t'exclames-tu en tentant d'être naturelle. 
-J'imagine que c'est pas ton premier verre. 
-Eh bien, c'est possible. Probable. 
-Tu crois pas que tu devrais rentrer ? Tu es venue seule ? questionne-t-elle en cherchant une de tes amies du regard.
-Avec Sarah. 
-Tu veux que je te ramène chez toi ? 
-Non, je vais attendre Sarah, te dépêches-tu de répondre, te rappelant que tu dois garder tes distances. 
-Elle m'a l'air occupée, constate Natasha en voyant ton amie. Attends ici. 
Sans que tu puisses l'arrêter, Natasha s'éloigne de toi et va retrouver Sarah. Tu la vois lui parler et ton amie te regarde avant de hocher la tête, réticente. Rapidement, Natasha revient vers toi et enlève ton verre de tes mains. Tu t'apprêtes à protester quand elle t'aide à te relever. 
-Allez, on rentre. 
-Mais je dois rentrer avec Sarah, t’opposes-tu. 
-Je l'ai prévenue que je te ramène, t’informe-t-elle, te surprenant. 
-Elle a accepté ? 
Tu n'aurais pas pensé que Sarah aurait accepté, sachant qu'elle ne cesse de te répéter que tu dois absolument oublier Natasha. Ton état doit être encore plus pathétique que tu ne le croyais.
-Vu à quel point tu es bourrée, on s'est dit que c'était préférable de te ramener chez toi maintenant. Allez, viens. 
N'ayant pas la force de te battre, tu cèdes et suis Natasha dans sa voiture. Une fois attachées, Natasha démarre. Ta tête collée contre la vitre de la voiture, tu contemples la nuit, tes pensées tout embrouillées. 
Après quelques minutes, tu détaches tes yeux du ciel et regardes Natasha. Tu admires chaque centimètre de sa peau alors qu'elle est concentrée sur la route. 
-Tu es vraiment magnifique, déclares-tu sans préambule. 
-Oh, euh, merci, répond Natasha, gênée. 
-Comment tu peux être si magnifique ? Et ce n'est pas tout ! Tu es aussi intelligente, drôle et encore pleins d'autres qualités. 
-Pourquoi est-ce que j'ai l'impression que c'est des accusations ? demande-t-elle en entendant ton ton rempli de reproches.
-Parce que si tu étais moins parfaite ça serait plus simple. 
-Je suis loin d'être parfaite. Et qu'est-ce que tu veux dire par "ça serait plus simple"? 
-Arrête la voiture, rétorques-tu en sentant une envie de vomir monter. 
-Quoi ?
-Arrête la voiture ! Gare toi !
La voiture est à peine à l'arrêt que tu es déjà sortie. Tu peux tout juste faire deux pas avant de vider le contenu de ton estomac. Natasha vient rapidement derrière toi et tient tes cheveux. Quand tu as fini de vomir, tu respires pendant quelques secondes avant de te redresser, une expression honteuse sur ton visage.
-Désolée, c’était pas sexy.
-Ce n’est pas grave. Tu te sens mieux ? s’inquiète-t-elle en examinant ton visage.
-Ça m’a fait du bien de vomir. 
-Tiens, te dit Natasha en te donnant un mouchoir. Je crois que j’ai une bouteille d’eau dans ma voiture et des pastilles à la menthe, tu en veux ?
-Je veux bien, s’il te plait. 
Pendant que tu t'essuies la bouche, Natasha va chercher de l’eau et une pastille. Quand elle te tend la bouteille, tu te rinces rapidement la bouche avant de mettre la pastille dans ta bouche. Vous restez debout encore quelques minutes, voulant s’assurer que ton ventre ne va pas continuer à se vider.
-Tu te sens prête à repartir ? questionne-t-elle en caressant ta joue.
-Je crois, oui, mais conduis doucement, c’est plus sûr. 
-Dis-moi si tu as besoin qu’on s’arrête à nouveau. 
Délicatement, Natasha te prend la main et t’accompagne vers la voiture. Cette fois, tu restes silencieuse tout le long du trajet. Tu es concentrée sur le paysage et Natasha n’ose pas perturber tes pensées. Au fur et à mesure de la route, tes paupières deviennent lourdes et tu finis par t’endormir.
Quand Natasha arrive chez toi, elle te réveille doucement. Tu grognes légèrement avant d’ouvrir les yeux. Natasha te soutient jusqu’à ta porte alors que tu dors debout. Elle t’amène dans la salle de bain où elle t’aide à te préparer pour aller te coucher - et où tu peux enfin aller te laver les dents. Quand tu es prête, vous allez dans ta chambre et tu t’allonges sans attendre une seconde. Tu t’installes confortablement pendant que Natasha positionne la couverture comme il faut sur toi. Elle s’apprête à partir quand tu serres sa main.
-Reste, murmures-tu avec des yeux endormis. Je ne veux pas être seule.
-Je reste là, je vais juste dormir sur le canapé.
-S’il te plaît, reste avec moi, insistes-tu en tentant de la tirer vers toi. 
-Tu en es sûre ?
Pour simple réponse, tu hoches la tête. Natasha enlève ses chaussures et son pantalon, restant seulement avec ses sous-vêtements et son tee-shirt avant de te rejoindre dans le lit. Allongée sur le côté, tu cherches la main de Natasha. Elle comprend ce que tu veux et place sa main autour de ta taille, plaquant ton dos contre son torse. À son touché, tu lâches un soupir d’apaisement. 
-Au fait, il faut vraiment que je te rende ta veste, dis-tu avec une voix endormie. Je ne peux plus la garder tout comme je ne devrais pas t’avoir aussi proche de moi, continues-tu, faisant froncer les sourcils de Natasha. Je tiens à toi, tu sais. Plus que je ne le devrais. Je t’aime bien, Nat’.
Et sur ces mots, tu t’endors. Derrière toi, Natasha se demande si elle a bien entendu ce que tu murmurais et surtout si tu le pensais. Après tout, ce n’est peut-être que les effets de l’alcool ? Cependant, elle ne peut empêcher un sourire de prendre place sur ses lèvres avant de resserrer son étreinte autour de ton corps.
Le lendemain matin, tu te réveilles avec une des plus grosses gueules de bois de ta vie. Tu as définitivement passé l’âge pour boire autant sans en affronter les effets. Tu ouvres doucement les yeux, craignant que la lumière du jour ne te les brûle. Heureusement, il y a assez de lumière pour te permettre de voir sans te faire mal. En jetant un coup d'œil à ta table de nuit, tu trouves un verre d’eau et un médicament que tu prends sans te faire prier après t’être assise.
Quand tu reposes le verre, la porte de ta salle de bain s’ouvre sur Natasha, te faisant froncer les sourcils instantanément. Tu ne te rappelles pas d'être rentrée avec elle. En voyant la panique dans tes yeux, Natasha se rapproche de toi avec un sourire rassurant.
-Il ne s’est rien passé. Je t’ai aidé à rentrer chez toi cette nuit.
-Oh, d’accord. Et Sarah, elle sait que…
-Elle sait, oui. Je l’avais prévenue avant qu’on parte. Comment tu te sens aujourd’hui ? demande Natasha en s’installant en face de toi sur le lit.
-Comme si j’avais trop bu hier soir, rigoles-tu et elle fait de même.
-Je peux imaginer. Tu te rappelles de quelque chose, par rapport à hier soir ? questionne-t-elle, une pointe de peur dans sa voix
-Euh, quelques passages, mais… 
Tu t’arrêtes dans ta phrase alors que tu essayes de te rappeler de la soirée d’hier. Certains passages sont plus flous que d’autres, mais un est très net. Ta confession avant que tu ne t’endormes. Tes joues chauffent et tes mains deviennent moites. Tu espères de tout coeur que Natasha n’ait rien entendu. Toutefois, son regard appuyé te fait comprendre que tes espoirs sont vains.
-Dis-moi que je n’ai pas dit ça. Est-ce qu’on peut faire comme si je n’avais rien dit ?
-Pourquoi ? demande-t-elle sans comprendre.
-Parce que c’est gênant et parce que ça ne pourrait pas fonctionner entre nous.
-Qui te dit que ça ne pourrait pas ?
-Toi, déclares-tu comme une évidence. Tu as dit que tu ne voulais pas d’une relation sérieuse ou d’une relation à distance.
-C’est pour ça que tu ne réponds pas à mes messages ?
-A quoi ça aurait servi ? A part à me faire mal au coeur, dis-tu en évitant son regard. Je sais que j’ai dit que je ne voulais rien de sérieux quand on a commencé à se voir et c’était vrai au début, mais j’aime passer du temps avec toi, être à tes côtés, t’écouter parler même si je sais que je ne devrais pas. J’aurais dû mettre un terme à notre relation quand mes sentiments ont changé. Je comprendrais si tu ne voulais plus me parler, chuchotes-tu, les larmes te montant aux yeux. 
-Y/N…, commence-t-elle en te prenant la main. Je suis désolée de t’avoir donné l’impression que je ne voulais pas de toi. J’ai paniqué quand j’ai réalisé mes sentiments. Je pensais que tu ne voulais rien de sérieux alors j’ai essayé de garder mes distances tout en restant proche de toi et je t’ai blessé. Je suis désolée. Mais je veux une relation sérieuse avec toi. Et peu importe, s’il y a la distance, je veux essayer avec toi, car tu en vaut la peine. Je tiens à toi, confesse Natasha, te faisant relever les yeux vers elle. 
-Ne dis pas ça pour me faire sentir bien, j’étais ivre quand je l’ai dit et…
Les lèvres de Natasha sont sur les tiennes avant que tu puisses ajouter un autre mot. Surprise, il te faut un temps avant de répondre à son baiser. Les mains de Natasha trouvent leur chemin jusqu’à tes hanches alors que les tiennent se perdent dans ses cheveux. Vous vous embrassez quelques secondes avant de vous séparer. Tu gardes les yeux fermés un peu plus longtemps, appréciant ce sentiment. Ce n’est peut-être pas la première fois que tu embrasses Natasha, mais ce baiser est différent de ceux que vous avez pu partager.
-Tu me crois maintenant quand je te dis que je tiens à toi aussi ou il te faut plus de preuves ?
-Je crois qu’il m’en faut encore d’autres, oui, souris-tu avec un regard amoureux.
-Dans ce cas-là, alors…, reprend Natasha avant de poser ses lèvres sur les tiennes à nouveau.
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ditesdonc · 16 days
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Emma, son Django, son vélo… et que ça roule!
Texte d’Emma Montillet
Emma est une voyageuse invétérée, il faut que ça bouge, à droite, à gauche, en haut, en bas, en diagonale aussi surtout, mais pas sans son vélo ni, surtout, son adorable Django. Lors de ses aventures, elle prend le temps d’écrire un petit journal, en ligne. En voici un extrait!
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Llanes, Espagne, 23 Mars 2022, 17°C
Etape 1: 62 km et des patates, 1086 m de dénivelé.
Je suis partagée entre vous faire transpirer ou mettre les formes.
Plantons le décor. Un voyage à vélo peut avoir des moments fabuleux et d'autres complètement galère ! C'est pas vraiment des vacances, mais plutôt un dépassement de soi et un challenge.
Oui, j’aurais pu passer des vacances pépère tranquillou mais j'ai choisi d'aller à la rencontre de moi- même. Désolée pour cette philosophie “femme actuelle” mais je suis complètement KO! A l’heure où je vous écris, je m'apaise un peu. Une demi-heure plus tôt, je voyais mes affaires se faire emporter par l’océan, le chien en train d’essayer de nager et moi pousser le vélo en pleurant.
Petit aperçu de la journée : je l’ai passée avec l'impression d'être un saucisson oublié dans une voiture en plein mois de juillet ! Trempée !!!!!! C'est hyper vallonné… Ma difficulté vient de mon patapouf Django qui boîte et a de grandes difficultés à marcher. Ça me fait de la peine pour lui. Demain je vais chercher un véto. Et me reposer un peu car j'ai tellement transpiré que… j’ai un fessier de babouin!!!! Demain, c’est danseuse je crois bien!!! J’essaye de tourner avec humour ce qui s'est passé ce soir, prendre du recul, mais je vous avoue que j'en ai plus que bavé. Ben oui… je suis tombée car je n’arrivais pas à soutenir le poids du vélo, plus la remorque, plus le chien. J'étais en train de me dire “ c'est une belle plage pour mourir mais ça fait chier, j'ai pas rangé ma maison avant de partir!”
Et là.... miracle… je croise deux randonneurs! Mes sauveurs!!!!! Tous les trois, on a poussé le vélo pendant plus de 30 minutes. Grâce à eux, j'ai pu rejoindre le haut de la colline. J'étais tellement reconnaissante, j’en avais les larmes aux yeux.
Je suis dans ma tente, complètement tordue, car le sol n'est pas droit; mais avec mon cerveau tordu ça va compenser… Comme un oiseau qui apprend à voler. Là, j'aurais eu une riche expérience! Parfait pour du “REX”!!!! Traduction: du Retour d’expérience. Comme quoi ce qu'on apprend au boulot peut nous servir dans la vie perso ! Demain je tirerai les enseignements de ma journée, pourquoi je vais grandir grâce à ça etc… Et je vous parlerai des magnifiques paysages que j'ai découverts. Mais là... place à la méditation, à la guitare… Un câlin au chien et dodo.
PS: dans quelque temps ça deviendra mon anecdote préférée. Je vais m'en sortir et faire appel à mon moral d'acier. Même si j'ai pleuré, je sais que je vais rebondir !
PS2 : tout va déjà mieux, je passe la soirée avec mes anges!!!!!! Je vous raconte demain. Je suis trop chanceuse!!!
Ribadesella 23 Mars 2022 18°C
Étape 2 : 35.6km 455 m dénivelé et… mes anges gardiens!
J'ai fait toutes les erreurs de primo-intervenants. Pourtant, c'est loin d'être mon premier voyage à vélo. Bref. Alors, en “REX”: - nourriture: prendre plus à bouffer. Je ne sais pas ce qu'il m’arrive mais je mange comme
4!!!!! Du coup hier j'ai tout englouti en mode boulimique. Résultat, comme les bars où je suis passée étaient fermés j'ai failli manger las croquetas del perro…
Oulalala pinaise (façon Simpsons), j'ai encore plein de choses à raconter sur hier. Déjà il faut que je m'engueule. Si j’avais été patron, je me serais virée !
- préparation : je crois que quand une personne me recommande en espagnol un endroit pour dormir, je n’écouterai plus car je ne comprends rien aux consignes!!!! Hier c'était juste impossible comme endroit!
-hydratation: quand c'est trop pentu, tu ne peux pas boire en roulant car tu vas tellement doucement que tu tombes. Et si tu t’arrêtes et ben, tu ne repars plus! Dilemme cornélien !!!! Pousser ou se déshydrater????
Ni l'un ni l’autre, banane! Si tu prépares ton parcours un peu plus, tu peux anticiper. En tous cas, là, je ne pouvais pas boire. C'est comme si vous essayiez de prendre un verre en faisant du trampoline....
- minute d'arrêt ! Quand tu vois un obstacle qui te semble quasi insurmontable ben… peut-être qu'il l'est vraiment ! Arrête-toi, boudu. Réfléchis deux minutes et fais demi-tour si besoin!!!! Ne fais pas ta tête brûlée : ça passe large !
Revenons à la soirée. Hier j'ai vraiment eu le "cul bordé de nouilles"!!!! (C'est au sens figuré car au sens propre, c'est plutôt des ampoules… pas de dessin.) Mes anges gardiens sont revenus pour m’amener des bonnes pâtes chaudes et une bière. J'ai hésité, j’avais peur de faire un coma éthylique vu mon état ! Or la soirée a été incroyable !!!! Tellement inattendue. José et Christina, les petits anges, donc, ont joué de la guitare et chanté. J'ai eu tellement de chance de les rencontrer… J’en ai eu les larmes aux yeux. Il faut croire que j’avais une belle étoile.
Ce matin je me suis réveillée en haut des plages, c'était trop beau. Puis véto pour Django. Et, vous savez quoi: José est mécanicien vélo !!! Si si, je vous jure!!! Incroyable non? Il m’a tout réparé le vélo !
Là, je surplombe la mer. Je vais me laisser bercer par le chant des vagues. "Oulalala tu fais ta poète pouet pouet pouet;-)"
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undecisivestars · 26 days
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petit partage & avis sur BTTF ♥
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Je pense que vous le connaissez, @bttf-rpg ♥ j'y suis depuis peu mais assez maintenant pour donner un avis constructif sur le forum. Je le dis d'avance, je n'ai aucun point négatif à donner car j'en ai pas trouvé selon mes goûts et exigences, donc il se peut que de votre côté vous en avez mais ça, ça ne regarde que vous. Je vais uniquement parler de l'expérience que je vis et qui depuis quelques temps, dans un mois très difficile, me redonne le sourire quand j'y vais. Voici pourquoi ;
bttf est très accueillant, très ouvert. J'ai facilement réussi à me faire une place et pourtant j'ai été longue à faire ma fiche au point d'avoir dépassé le délais. Au début j'avais peur de m'inscrire car j'étais sur un (très) gros forum bien plus "actif" (j'aime pas ce terme car bttf est actif aussi), mais disons que le nombre de joueurs/comptes sur le plus gros montrait la différence avec bttf et quand on est habitué, ça perturbe au début. Finalement, j'aime ça que ce soit plus calme et beaucoup plus posé. Je trouve que ça me correspond mieux et je n'ai pas cette impression de "rater des choses" ou d'avoir l'obligation d'être présente par la peur d'être oubliée. Bttf n'oublie personne, il est actif mais avec des gens comme moi, et c'est reposant. Donc pour ceux qui ont peur des gros forum avec beaucoup de personnages, je pense qu'un forum tel que Bttf vous conviendra bien.
L'originalité du forum et son design nous plonge dans une nostalgie total et dans un voyage rpgique totalement incroyable. Quand je suis dessus, j'ai totalement l'impression d'être à Mariposa, dans les années 80. Je suis dans une bulle qui m'apaise et m'éloigne complètement de la réalité, comme quand je lis un de mes livres préférés ou carrément quand je lance Back to the future (le film du coup) et plus récemment l'histoire sans fin (omg) ♥ de plus, moi qui ai l'habitude des codages très très simplifiés et loin d'aimer les codages avec beaucoup d'informations comme ça, je dois juste dire que Bttf à su me faire changer d'avis parce-que wow la claque. Tout est bien rangé, on s'y retrouve énormément bien sur la page principale du forum. Il suffit juste de regarder et hop, l'information est là (par exemple je met toujours 15 ans à trouver les codes/balises du forums, bah là, c'est clair). Puis il y a aussi le TV Guide, qui omg, est une bénédiction pour moi car je l'utilise sans arrêt. Il ne quitte jamais mes onglets !
Originalité bis : j'a-dore Mariposa, son côté assez huit-clos et surtout le retour en arrière de cette ville un peu bloquée dans le temps. J'aime écrire dessus et même si j'ai mis du temps à écrire ma fiche pour inventer mon personnage, a la fin c'était juste génial. Je dois aussi forcément parler des lieux imaginés et choisi ! Je suis encore ultra fan et c'est justement en parcourant les lieux que j'ai pu construire mon personnage. Jewel est une totale création pour Bttf, j'ai tout construit autour de ce forum parce qu'il est réellement inspirant et donne tellement de possibilités. Le concept du forum est une bouffée d'air frais car on reste dans un "city" mais pas le city classique où il suffit juste de poser un personnage et voilà. (nb ; je ne critique pas les city plus classiques, au contraire, j'aime tout autant mais il va être plus difficile de caser un vieux perso de city classique sur bttf sans le remanier que de passer de city à city).
L'ambiance et la recherche de liens est véritablement bonne et d'une facilité agréable. J'avais peur au début, j'ai toujours des personnages un peu décalés ou qui sortent des normes. Beaucoup aiment faire du sombre et du drama, j'ai toujours eu du mal à m'y retrouver dedans et généralement de ce fait je m'y retrouve pas trop dans les liens, dans les rps, etc. Cette fois-ci j'ai vraiment cette impression d'être à ma place (bien que les autres forums ne m'ont jamais fait sentir le contraire ! c'est juste mon ressenti à moi car je ne joue pas la même chose que la majorité ?) Mon personnage à facilement été accepté et je prend énormément de plaisir à rp, élaborer des liens parce que l'univers mais aussi l'ambiance est totalement ce que j'ai toujours cherché. Je m'y sens bien et je sais que je suis faite pour ce genre de communauté. Je remercie l'administration pour l'investissement qu'elles (qu'iels ?) se donnent dans le forum mais aussi auprès des membres. Il y a aussi les membres qui se donnent à fond pour ce forum. Se proposer pour des liens, c'est vraiment une bénédiction et franchement ça fait plaisir car grâce à vous on se sent vraiment à notre place et comme de la "famille". Vous avez aussi une joie qui se remarque, une gentillesse incroyable et je suis heureuse d'avoir franchie le pas pour Btff. ♥ Je pense que je vais m'arrêter là, mais pour résumer : Bttf est le forum qui m'a fait comprendre l'importance de bien choisir son forum (cf : un de mes post), qu'on peut trouver sa place car il y en a toujours une quelque part. Je ne vais pas encourager tout le monde à s'inscrire sur Bttf, car oui ça ne va pas convenir à tout le monde et peut-être que des gens ne seront pas d'accord avec ce que j'ai dit au dessus. Je parle que pour moi, car je suis quelqu'un qui en effet pond des rps rapidement et souvent, mais qui se perd vite et se sent très vite mal sur un gros forum (ou surtout sur un forum sombre). Puis je suis une personne très créative avec beaucoup d'imagination, et Bttf est justement pile le forum qui me fallait pour utiliser cette part de moi. De plus le fait que ce soit un "petit" forum, me rassure beaucoup plus car je me sens moins "noyée" du fait qu'il y ait moins de joueurs/comptes. C'est un forum très cosy où s'installer est plutôt facile et très agréable. Je dirais à ceux qui aimeraient le rejoindre de ne pas hésiter à passer dans les pl/scénarios mais aussi dans les recherches de liens rapides ! D'aller dans les fiches de liens se proposer etc. Aussi à ceux qui n'ont jamais essayé ce type de forum mais qui hésitent, personne ne vous jettera la pierre si finalement vous trouvez que ça ne vous correspond pas. Comme on dit, il faut de tout (avec modération sur certains sujets)* pour faire un monde, je pense qu'il en faut de "tout*" pour les forums/joueurs. Bttf va cibler qu'une partie de la communauté, moi il m'a totalement séduite et je dis ça après quelques temps passés dessus donc chaque mots à été le temps de réflexion. Oui je n'ai pas de points négatifs à donner car il répond à tous mes critères que je recherche pour être bien sur un forum. Ok je m'arrête vraiment là maintenant ! mais tout ça pour dire ; Merci Alice et Sophie ♥ ______________________________________________________ (j'en profite quand même pour faire de la pub sur mes petits pré-liens/scénarios et recherche de liens ♥) - famille Ashford (nicola peltz, halston sage, casimere jolette, chase stokes). - breakfast club (propositions sur le pl, groupe d'amis). - l'ami ignorant (fc au choix, amitié, lien rapide).
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Writing |
(This text is in french but the english translation follows. Obviously, the translation isn’t here to be beautiful but for you to understand what my words means. this text is wlw, as i know it's less clear in english than in french)
Ma peine, mon démon, ma sirène,
J'ai tant rêvé de toi qu'il est indécent de le dire. J'ai tant rêvé de toi que la nuit connaît à présent tes yeux mieux que je ne le fais, tant rêvé de toi que souvent, je l'admets, mes rêves continuaient au soleil, illusions douloureuses dansant sous l'astre du jour.
J'ai tant rêvé de toi que j'en ai oublié de te haïr, perdue dans l'éclat de ces brumes où ton démon n'est plus. Tant rêvé de toi que sûrement, peut-être, ta vision serait étrangère à mes pupilles exposées ; ou peut-être, sans doute, brûlerait mes joues jusqu'à la naissance du flot de mes larmes.
J'ai tant rêvé de toi que ta présence en devenait tangible, comme une ombre qui ne me quittait jamais, tant rêvé de toi qu'en m'éveillant, je te croyais presque étendue à mes côtés, plus douce que tu ne l'as jamais été et n'es probablement capable de l'être ; tant rêvé de toi qu'il me semblait étrange que d'autres ne te voient pas, ni dans leurs jours ni dans leurs nuit, et soient libres de toute trace de ton image.
J'ai tant rêvé de toi, je crois, que je m'accrochais à ces rêves, moi et ma mémoire si courte, comme par peur de te laisser partir, de t'oublier ; tant rêvé de toi que je brûlais de tout te dire, au lieu de te laisser filer. J'ai tant rêvé de toi que je craignais de fermer les yeux autant que de les ouvrir, que je souhaitais rêver à chaque minute comme ne plus rêver du tout.
J'ai tant rêvé de toi, c'est vrai, qu'il m'arrive d'oublier que tu n'es pas qu'un rêve; que quelque part, foulant la même Terre, respirant le même air - infime proximité ! tu existes bel et bien, être de chair et d'os, riant et vivant, plus réel à présent pour d'inconnus que pour moi.
J'ai tant rêvé de toi, il me semble, que tu t'effaçais peu à peu de tout autre aspect de ma vie, de toute autre partie de moi. Tant rêvé de toi que je finissais par me demander si je ne t'avais pas inventée, reine cruelle qui m'infligea tant de maux, pour me sentir plus désirée que je ne l'étais, car il faut aimer quelqu'un si fort pour l'avoir à ce point meurtrie. J'ai tant rêvé de toi que je te confondais avec mes nombreuses fantaisies, tant rêvé de toi que tu perdais ta réalité.
J'ai tant rêvé de toi que c'est ce que tu es à présent, rien d'autre qu'un rêve, moins consistant qu'un souvenir, à peine plus lourd qu'une pensée, sorcière dont la trace quitte peu à peu mon cœur pour ne devenir, en fin de compte, que l'amère et si fine cicatrine d'une blessure passée.
Ma peine, ma sirène, mon démon,
J'ai tant rêvé de toi, à présent, que j'en oublie presque ton nom, et ne me souviens plus que de la haine qu'il m'inspire.
[My pain, my demon, my mermaid,
I dreamed of you so much that it is indecent to say so. I dreamed of you so much that the night now knows your eyes better than I do, dreamed of you so much that often, I admit, my dreams continued in the sun, painful illusions dancing under the star of the day.
I dreamed of you so much that I forgot to hate you, lost in the brilliance of these mists where your demon is no longer. Dreamed of you so much that surely, perhaps, your vision would be foreign to my exposed pupils; or maybe, no doubt, would burn my cheeks until the flood of my tears started.
I dreamed of you so much that your presence became tangible, like a shadow that never left me, dreamed of you so much that when I woke up, I thought you were lying by my side, softer than you never was and probably never can be; I dreamed of you so much that it seemed strange to me that others did not see you, neither in their days nor in their nights, and were free from any trace of your image.
I dreamed of you so much, I believe, that I clung to these dreams, with my memory so short, as if out of fear of letting you go, of forgetting you; dreamed of you so much that I was burning to tell you everything, instead of letting you slip away. I dreamed of you so much that I was afraid to close my eyes as much as to open them, that I wanted to dream every minute like to not dream at all.
I dreamed of you so much, it's true, that I sometimes forget that you're not just a dream; that somewhere, treading the same Earth, breathing the same air - tiny proximity! you do exist, a being of flesh and bones, laughing and alive, more real now for strangers than for me.
I dreamed of you so much, it seems to me, that you gradually faded away from every other aspect of my life, from every other part of me. Dreamed of you so much that I ended up wondering if I hadn't invented you, cruel queen who inflicted so much pain on me, to feel more wanted than I was, because you have to love someone so much to have hurt her so badly. I dreamed of you so much that I confused you with my many fantasies, dreamed of you so much that you lost your reality.
I dreamed of you so much that it's what you are now, nothing but a dream, less solid than a memory, barely heavier than a thought, witch whose trace gradually leaves my heart to become, in the end, only the bitter and so fine scar of a past wound.
My pain, my mermaid, my demon,
I dreamed of you so much now that I almost forget your name, and only remember the hatred it inspires in me.
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homomenhommes · 3 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 74
Petit Week End calme.
Samedi matin
Levé tôt comme d'habitude. Douche rapide, petit déjeuner léger, je dois être à la boite du père de Jean pour 9h.
Le trajet en moto ne me réchauffe pas. Je passe le gardiennage, c'est mon pote qui est de garde. Il m'ouvre la barrière et on parle 5mn. Il m demande si j'ai le temps de m'arrêter en partant ? je lui répond que cela dépend de ses envies et je continue la route. C'est encore un peu transit que je me présente à sa secrétaire. Elle m'adore, depuis que je coache son boss, il est devenu 10 fois plus agréable, du coup un café brûlant m'attend. Je lui fais la bise (elle pourrait être ma mère !). Elle me dit que j'ai le temps de me préparer car elle vient de lui passer un appel important. Je rejoins la salle de gym et me change. Je suis seul dans les grands vestiaires. Me rappelant ce que j'y ai déjà fait, je bande. En direction de la camera de surveillance et pour le gardien, je me masturbe deux trois fois et fait un 360°, ça devrait lui mettre l'eau à la bouche et le faire bander dans son pantalon de treillis !
Je finis de m'habiller que le patron arrive en survet. Nous commençons par un footing d'une demi heure puis nous passons en salle pour la partie levage de poids. Depuis un an, il a bien progressé et même s'il ne s'entraîne pas pour une prise de volume musculaire, il a quand même bien amélioré sa silhouette. A la fin de la séance, dans le vestiaire, je lui fait un bilan et en slip, passe en revue son anatomie. Bras, épaules, pecs, abdos, cuisses et mollets tout est observé. A la fin je lui prend le paquet au creux de ma main et précise qu'il n'y a que là que ça qui n'a pas grossit. Ça le fait bander. Je lui dis que j'ai oublié les fessiers. Je baisse son slip sur ses chevilles et d'autorité, le plie en deux puis lui écarte les deux globes. J'ajoute que par contre son anus lui s'est assouplit et pour le prouver je glisse mes deux pouces dedans, profitant de la sueur consécutive aux exercices précédents. Il a juste un petit sursaut, ça fait longtemps que l'on se contente d'un coup vite tiré dans sa salle d'eau privée. Je les enfonce à fond et pistonne avec un mouvement alternatif son anneau. Je le sent bien se détendre. Il prend appui sur un banc et de lui même écarte les jambes. Je baisse mon short sous mes couilles et enfilant une kpote (j'en ai toujours une dan la poche) je remplace mes pouces par mon 20x5. Nous sommes en sueur, mon tshirt est trempé. J'aime pas trop ça, mais dans le mouvement... Mes mains bien accrochées à sa taille, je le pilonne bien profond. Avec l'excitation, mes coups de reins deviennent plus brusques et à chaque fois que je suis au fond, je lui décolle les pieds du sol et ça le fait couiner. Je pense à vérifier que je suis bien visible et de profil par rapport à la camera. A l'autre bout, je suis sûr que le gardien se paluche. Ses mains toujours accrochées au banc, il jute au bout d'1/4 d'heure de sodomie. Bien serré par son anneau je remplis ma kpote et décule direct. Ça lui provoque une dernière giclée. Il se rhabille vite fait et me dit de passer voir sa secrétaire après avoir nettoyé les dégâts. Je passe vite fait un coup de lavette et me douche. Revêtu de mon cuir je me présente à son bureau. Sa secrétaire me glisse mon enveloppe et je pars après lui avoir fait la bise.
Au poste de gardiennage, je descend de moto voir mon copain. Je sors une clé USB et lui demande de transférer l'enregistrement vidéo dessus avant de l'effacer. Il me dit n'avoir pas arrêté de bander. Je vérifie et effectivement trouve un barreau bien raide en haut de ses cuisses. Je dézippe et sort la bête de sa prison. Je commence à le masturber avec mes gants de moto c'est rugueux mais ça le fait pas débander pour autant. Il ne reste pas inactif et ouvre ma combi pour sortir mon 3 pièces en rut. Nous nous paluchons 5 mn avant qu'il ne prenne l'initiative de me sucer. Penché en avant, il fait bailler son pantalon au dessus de ses reins. Je me dégante et enfile ma main entre ses fesses jusqu'à son trou. Il est humide et j'y enfile sans problème un puis deux doigts. Je le traite de salope et lui fait remarquer que vu la souplesse, il n'y a pas que moi qu'y m'y enfile ! ;Il se redresse et me dit qu'effectivement en plus de sa meuf, il se fait régulièrement un de ses potes de sport. La seule chose qu'il me dise sur lui c'est qu'il à la même taille de bite que moi. Je profite qu'il se soit relevé pour le tourner et lui plaquer le torse sur la petite table. Je baisse son pantalon aux genoux et kpoté entreprend de lui défoncer le cul, histoire qu'il fasse la différence d'avec l'autre queue. Une main sur chaque fesse, je les écarte découvrant un trou sans aucun poil. Je lui en fais la remarque, il me dit que depuis quelques temps sa meuf lui épile les bords en même temps que les couilles. Je m'enfonce d'un seul mouvement rude. Il accuse le coup mais ma bite entre sans trop de résistance ! arrivé au fond j'écarte encore plus ses fesses pour entrer encore 1/2 cm de plus, il souffle ! Je reste quelques instants sans bouger puis lance le limage en règle. ;De grandes glissades sur la totalité de ma longueur, sortant le gland pour aussitôt le lui remettre alternent avec des pilonnages courts en fond de boyaux. Il gueule que c'est trop bon ! je lui demande si il trouve ça meilleur qu'avec sa meuf ? Il me gueule un oui alors qu'il décharge sur le carrelage. C'est tellement fort qu'il arrive à se décoller de la table malgré mon poids et la poussée que j'y mets ! la bite serrée par son anus, je remplis ma kpote. nous restons quelques secondes couchées sur la table. Je décule avant d'avoir débander et jette la kpote bien pleine dans la poubelle.
Nous nous réajustons, je bois un coup au robinet puis lui souhaite un bon WE.
Il est 13h30 quand je rejoint la maison. Marc n'est pas encore rentré, je prépare le déjeuner. Quand il arrive, nous mangeons puis nous passons un moment câlin sur le canapé. Dans ses bras je somnole moitié devant la chaîne d'info en continu qu'il regarde.
Vers 16h, bien réveillés, je lui propose quelques heures de muscu. Si moi je continu à en faire presque tous les jours, lui à plus de mal rapport à son taf qui lui prend plus de temps que le mien.
Un bon 1/4 heure de vélo pour s'échauffer les muscles puis 2 bonnes heures à soulever les poids. Nous en sortons épuisés mais content (faut il être un peu maso ?!?). Sous les douches, nous nous savonnons mutuellement, sensuellement mais pas plus.
Avant d'aller se coucher, je lui montre la vidéo de mes " exploits " du matin. je le sens bander devant ma prestation. Nous nous câlinons et je m'endors le cul plein de son jus.
JARDINIER
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logogreffe · 1 year
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What does "au temps pour moi " mean in French ?
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(You might see it written as " autant pour moi ", but according to the little guys of L' Académie Française this is absolument incorrect)
" On dit "au temps pour moi !" pour admettre son erreur et concéder que l'on va reprendre ou reconsidérer les choses depuis le début." [Source : Projet-Voltaire]
Translation :
We say "au temps pour moi !" to admit one's mistake and concede that we are going to start again or reconsider things from the beginning.
"Au temps pour moi" is basically a formal way of saying "My bad"
[The following examples were invented by @none-ofthisnonsense ]
- Au temps pour moi, l'appart est au troisième et pas au deuxième // My bad, the apartment is on the third floor and not the second".
Note 1 : "appart " is the shortened version of "appartement " (used orally or in text messages)
Note 2 : In this context, you don't have to say "étage" (floor).
I live on the second floor // J'habite au deuxième.
My neighbor on the third floor has a dog that barks all night. // La voisine du troisième a un chien qui aboie toute la nuit.
But : This house has three floors. // Cette maison a trois étages.
- Oups , au temps pour moi, j'ai oublié mon porte-monnaie chez moi. Je peux revenir plus tard ? // Oops, my bad, I forgot my wallet at home. Can I come back later ?
- Au temps pour moi, c'est du passé simple et non pas de l'imparfait. // My bad, it's in passé simple and not imparfait.
Note : "Autant pour moi " = "as much for me"
J'en ai achété autant pour moi // I bought as much (the same amount) for myself.
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capychov · 2 months
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J'en ai tellement marre, je ne sais plus quoi faire. C'est comme si tout le monde me mettait la pression constamment, j'ai l'impression de me noyer. Je veux juste que tout s'arrête, j'aimerais disparaître, partir loin de tout, vivre une vie isolée loin de toutes ces obligations et ces attentes.
Je ne peux plus supporter cette situation, je ne suis plus qui j'étais avant, je suis devenu une coquille de moi-même, juste un fantôme, un vaisseau vide que personne ne peut voir. C'est comme si j'étais prisonnier de ce monde, je ne sais pas comment m'en sortir. Je veux juste pouvoir respirer librement.
C'est tellement compliqué. Personne ne pourra jamais me comprendre, moi-même, je ne me comprends pas totalement. Je me sens perdu, comme si j'avais perdu le contrôle de ma vie et j'essaye désespérément de la reprendre en main mais je ne sais pas comment faire. J'ai l'impression de vivre dans un monde qui n'a aucun sens.
Je pensais que la perfection était la seule chose qui me rendrait heureuse. Je faisais tout pour être la meilleure, pour être quelqu'un de remarquable. Mais maintenant, je me sens tellement déçue. Je vois tous mes efforts, mes réalisations, mais je ne me sens pas heureuse. Je me sens vide et c'est juste déprimant. Je n'aime pas qui je suis, j'ai l'impression d'être quelqu'un d'incompérehensible qui n'est jamais jamais satisfaite.
J'ai l'impression d'avoir perdu toute motivation, aucune envie de faire quoi que ce soit. Je me sens vidée de toute énergie positive, je n'ai plus envie de bouger, de parler, de penser, j'ai juste envie de rester dans mon lit toute la journée. Je ne vois pas l'intérêt d'essayer, j'ai l'impression que cela ne mènerait nulle part, rien ne me donnerait envie de me lever avec impatience le matin.
Je ne sais pas comment continuer sur ce chemin, j'aimerais juste disparaître, être oublié. J'ai l'impression de me noyer, d'avoir l'impression d'être constamment dans des situations que je ne peux pas contrôler et qui sont trop compliquées pour moi. Je ne veux pas mourir, mais j'aimerais qu'on ne se souvienne plus de moi, j'aimerais juste disparaître.
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lecameleontv · 2 months
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Captures de l’Ep. 3.09 : Meurtre parfait / Murder 101 (1999) de la série Le Caméléon (V.O. : The Pretender).
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Jarod (à Mlle Parker) : "Ton père et toi vous êtes très proches, mais jusqu'à quel point ? ... Est-ce qu'il partage absolument tout avec toi ? T'a-t-il mis au courant des nouveaux évènements survenus dans sa vie ?"
Mlle Parker : "Je suis toujours d'un optimisme forcené. Je croyais que tu téléphonais pour prendre de mes nouvelles."
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Sydney : "Qu'est-ce qu'il avait à vous dire ?"
Mlle Parker : "Bien plus qu'il n'en sait je crois."
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Jarod (à sa classe de faculté) : "Alors vous voilà, ... le fameux programme Vanguard, ... les esprits les plus éclairés de l'Université ? ... Je ferai de mon mieux pour vous rattraper."
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Claire Denning, étudiante à haut Q.I. : " Quant à moi je suis assez cuiseuse de connaitre .. vos qualifications ?
Jarod : " Oheuh vous faites encadrer un bon paquet de diplômes, vous apposez votre nom sur une thèse ou deux et voilà (tape dans ses mains en souriant) on vous prend pour un génie".
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Mlle Parker : "OhMmmmm si seulement le meurtre était légal." Broots : "Pardon ?"
Mlle Parker : "Votre piste sur Jarod... tuyau crevé, les nettoyeurs sont revenus les mains vides !"
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Jarod : " Les enfants sont des être si fragiles, si innocents... et cependant avec un seul regard ils peuvent ... vous aider à lutter."
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Jarod :" Je vous demande de bien vouloir me suivre et jouer avec moi."
Claire, étudiant au Q.I. élevé (d'une voix suave) : "Je suis prête à vous suivre et à jouer autant qu'il vous plaira Jarod." (rires dans l'assistance)
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Jarod : "Il y a bien des façons de supprimer quelqu'un."
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DSA
Sydney jeune (à la caméra) : " Ces derniers temps Jarod s'ennuie. Il nous faut trouver des moyens de réveiller son intérêt. Qu'un esprit si brillant ne se laisse pas aller."
Jarod enfant/adolescent : "Sydney, j'en ai assez de faire ça, toujours le même problème, c'est tellement monotone !"
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M. Parker : "C'est étonnant ce qu'on s'adapte aux changements que la vie nous œuvre. Même les gros changements !"
Mlle Parker : "Les changements ?"
M. Parker : "Oui, j'ai toujours pensé que j'aurai peur de me retourner un jour et de regarder le passé. Aujourd'hui, aujourd'hui j'ai fait la paix avec beaucoup de choses."
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Jarod enfant/adolescent : "C'est si pénible parfois Sydney."
Sydney jeune : "Un brillant esprit laissé oisif peut devenir le plus dangereux des esprits."
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Jarod : "La motivation : pourquoi un individu voudrait-il en tuer un autre ? [...] Les mobiles se fondent sur le puits insondable qu'on appelle le psychisme. Et que même si vous creuser très profondément, vous n'en verrez jamais la fin. [...] Essayons de découvrir pourquoi... il a été tué. [...]
Richard, élève : "Selon les statistiques, le fric et la jalousie sont les premiers sur la liste [des mobiles], mais ça peut être aussi le vol [...]"
Matthew, élève : "Peut-être que je ne l'aime pas ?"
Jarod : "Si vous n'aimez pas quelqu'un, vous l'évitez n'est-ce pas ? Si vous le voyez marcher dans la rue, vous prenez l'autre trottoir, vous ne l'envoyez pas s'écraser dans un ravin !
Claire, étudiante au Q.I. élevé : "couuucouuuuu ! Il y a des millions de raisons de tuer. La vengeance, la révolte, l'évasion, la superstition, la paranoïa, de vieilles dettes, ... une enfance malheureuse, une mauvaise journée (souriante - rires de l'assemblée)
Jarod : "J'ai peur que vous aillez oublié la plus importante de toutes... La Vanité."
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Claire, étudiante au Q.I. élevé : "Une intelligence supérieure saura s'en tirer quoi qu'il en soit. Il y aura toujours une porte de sortie."
Jarod : "Alors c'est peut-être le moment de s'y précipiter."
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Mlle Parker : "On dirait que vous êtes de son côté."
Sydney : "Mais il n'est pas question d'être d'un côté ou de l'autre, il faut le laisser vivre sa vie... Je regrette que ce soit pénible pour vous. C'est souvent très difficile pour les enfants.
Mlle Parker : "Je ne suis plus une enfant !"
Sydney : "Alors vous savez ce que vous devez faire."
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Jarod :" [...] Il ne saura jamais qui était son père. Il n'aura pas la chance de le connaître, non jamais. Quant à sa mère, elle s'est rongé les sangs pendant des mois en se demandant si son mari allait enfin rentrer à la maison, jusqu'à ce qu'on découvre qu'il était mort. [...]
Matthew, élève, en larmes : " [...] Elle a dit, pourquoi construire le plus perfectionné des jouets ... si ce n'est pas pour s'en servir ? " [...]
Jarod : "Et vous, vous saviez tout ça et vous êtes restez là sans rien dire. "
Matthew, élève, en larmes : "Mais j'étais affolé ! J'avais peur ! Qu'est-ce que je pouvais faire ?! [...] Je ne voulais pas qu'elle soit en colère contre moi."
Jarod : " [...] Il est grand temps de réparer les dégâts."
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Jarod (trinquant) : "Aux brillants esprits !"
Claire, étudiante au Q.I. élevé : "Aux rats dans leur labyrinthe ! "
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Jarod (taquin) : " Bien sûûr, la porte de sortie est ouverte... Mais où conduit-elle ?"
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Jarod : "Vous savez, un enseignant a beaucoup de chance lorsqu'il en apprend autant de ses élèves que ce qu'il peut leur apprendre lui-même... Dans votre cas, j'ai touché le jackpot !!"
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Claire, étudiante au Q.I. élevé, dépitée : "Allez au diable !"
Jarod : "Vous d'abord."
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M. Parker (bougon, à sa fille) : "Oh je t'en prie mon ange, mieux vaut te réjouir pour moi !"
Brigitte (se retournant vers M. Parker) : "Mon gros lapin...."
M. Parker (attendri) : "Mhmmm ?
Brigitte (d'une voix suave) : "C'est moi ton nouvel ange maintenant...." (rires du couple)
Saison 3 : Episodes 01 - 02 - 03 - 04 - 05 - 06 - 07 - 08 - 09 - 10  - 12 - 13 - 14 - 17 - 20 - 22.
Q.I. : Quotient Intellectuel Q.E. : Quotient Emotionnel
source : imdb
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