Tumgik
#is it short for Dominic and Subir?
sambucky-stupidity · 2 years
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who’s dom and who’s sub and why is everyone shipping them?
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homomenhommes · 6 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 22
Après une bonne bière siroté au fond du canapé, nous gagnons notre lit, faisant une place à Ric entre nous deux (on ne sait jamais, une envie brutale en pleine nuit ? il vaut mieux l'avoir sous la main ? sous la bite plutôt !). ;
Durant la nuit, j'ai fait un rêve érotique. Je rêvais que je me faisait sucer, j'ai repris conscience quand je me suis mis à éjaculer. Ouvrant les yeux, je vis Ric me ventouser la bite jusqu'aux couilles avec une telle force qu'il a réussi à tout avaler avant que je n'émerge du coaltar. Alors que je l'engueulais tout bas pour ne pas réveiller Marc, il m'avoua lui avoir fait la même chose 1/2 heure au paravent. Je le traitais d'inconscient car il ne connaissait pas notre statu sérologique. Il me répondit assez justement que comme nous baisions Pierre sans Kpote c'est que nous étions clean et que son père avait fait faire des analyses et qu'ils étaient tous les deux ok aussi (son père ne baisant plus ailleurs depuis qu'il avait ce qu'il fallait à la maison). Nous nous sommes rendormis et je me réveillais vers 10h, cette fois seul dans le lit avec Ric. Une douche rapide en commun pour gagner du temps et juste une serviette sur le cul, nous rejoignons Marc à la cuisine. Le café nous attend chaud.
Comme je ;lui raconte notre nuit avec notre pompeur de rêve, il se rapproche de Ric et lui tire l'oreille lui interdisant ce genre de pratique pour sa propre sauvegarde ! Comme la piscine est hivernée, nous allons pousser de la fonte au sous sol. Les serviettes dépliées sur le skaï des bancs, c'est à poil que Ric et moi faisons nos exercices. Marc lui ne porte qu'un short vague qui laisse passer bite et couilles par les jambes. Après 1h2/2 de bon travail, nous filons nous détendre sous les douches. Nous y restons tellement longtemps que Marc se demande si il ne ferait pas installer un petit hammam et / ou sauna dans une partie du reste du sous sol. La présence de Ric nous fait bander tous les deux (même sans lui les douches à deux nous excitent). Marc nous dit de nous calmer car Eric doit nous rejoindre pour le café. Comme il est déjà 13h ça devrait le faire.
Nous remontons nous " habiller " pour le déjeuner. Marc passe un cycliste et un tshirt, moi j'enfile un de mes " short " en jeans à même la peau et un marcel et Ric reste avec un jock pour seul vêtement.
Eric nous rejoint 1heure plus tard, Marc lui dit de retirer son cuir pour être plus à l'aise. Il nous apparaît alors avec un shorty Aussibum qui lui fait un paquet encore plus gros que d'habitude et retirant son sweet, laisse voir un marcel débordant de muscle. Je m'approche et examine de plus près pour m'apercevoir que ce modèle fait partie de la collection qui soutient les boules et les empêche de glisser entre les cuisses. Ça le fait bien et je pense que je ne tarderais pas à faire l'achats de quelques exemplaires. Nous prenons le café et Eric demande le programme des réjouissances. Marc lui dit que nous ne serions que tous les quatre mais qu'entre moi et Ric, il y aura déjà quelques trous à boucher ! Nous allons au donjon, pour traverser la cour en hiver, Marc a acheté une demi douzaine de grand manteaux en peau retournée qui nous arrivent aux chevilles et qui nous permettent d'être quasiment nus dessous sans avoir froid dehors. ;Ric et moi sommes menottés au mur, bras et jambes en croix. Rapidement, nous nous prenons un, deux puis trois doigts graisseux dans le cul avant de subir les assauts de leurs bites. Marc m'encule nokpote quand Ric se fait saillir par les 26cm couverts d'Eric. Secoués par les coups de reins, nous contractons dorsaux et abdos pour éviter l'écrasement sur le mur. Un bon 1/4 heure de ce régime met nos muscles à rude épreuve. Le soulagement d'être détachés ne dure que l'intervalle de temps qu'il faut pour nous placer sur les slings et d'être de nouveau entravés.
A tour de rôle, Marc et Eric s'occupe de nous. Pendant que j'avale la bite d'Eric dans ma gorge et celle de Marc dans mon cul, Ric peut nous mater et inversement quand c'est au tour de Ric de passer à la casserole. Nous en redemandons dès que l'un de nos deux enculeurs cesse un instant. Un peu de poppers et c'est à mon tour de subir la teub d'Eric dans mon trou du cul pendant que je pompe Marc comme un affamé depuis 8jours au moins !
Comme j'ai déplacé et modifié le système de suspension au plafond que j'avais installé dans la salle de muscu, (cf. soumission 14), nous allons le tester. Le nouveau système prend les poignets et les cuisses. Les chevilles sont tirées vers le haut de façon réglable (le but est de faire passer les jambes au dessus du plan de l'anus), le tout suspendu à une grosse chaîne dont nous pouvons maîtriser la montée et la descente d'une grosse poulie accrochée à une poutre par l'intermédiaire d'un gros ressort. Nous y installons Ric et le suspendons à environ 1m du sol. Mar et Eric se couche l'un en face de l'autre pour accoler leurs deux bites ensemble. Je les équipe de Kpotes et fait couler dessus une grosse dose de lubrifiant. Doucement je fais descendre Ric jusqu'à ce que son anneau soit posé sur les deux glands. Marc tient l'ensemble serré et d'un signe m'ordonne de relâcher d'un coup.
Dans un cri, Ric se fait empaler par les deux grosses bites. Je le laisse, les fesses posées sur les 4 cuisses le temps qu'il se fasse à la nouvelle dilatation de son anus puis doucement remonte la chaîne jusqu'à ce que seuls les deux glands soient prisonniers de son trou et la bloque.
Maintenant, il suffit à Marc ou à Eric d'appuyer sur ses hanches pour l'enfoncer sur leurs bites. Dès qu'ils le relâchent, le ressort fait son effet et le remonte à sa position initiale. J'enjambe Marc et présente ma bite aux lèvres de Ric. Pour leur éviter le " travail ",c'est moi qui impulse le mouvement en appuyant sur les épaules de Ric ce qui permet aux deux enculeurs de restés couchés sur le dos à ne s'occuper que des sensations de plaisir que leur transmettent leurs queues.
Aux désir de nos deux " maîtres ", je ralentis ou j'accélère le rythme, alternant de courts massages des glands avec des limages sur toute leur longueur de bite. De temps en temps je fixe Ric au plus bas, maintenant la pression pour qu'il reste emmanché à fond sans bouger. C'est très excitant d'autant plus qu'il ne cesse de me bouffer la bite. J'accélère le mouvement, je me recule brusquement et jute su les pecs de Ric une quantité de sperme dont je ne me croyais pas capable ! Ric que je maintiens enculé au maxi pendant que je me vide sur lui se met à gicler sur Marc et lui en met jusque dans les cheveux. Du niveau du sol nous parviennent deux feulements. Je relâche brusquement Ric et le ressort le remonte cette fois jusqu'à le déculer, laissant apparaître les deux glands baignant dans le sperme prisonniers des Kpotes. Doucement, je détache les chevilles et les cuisses du harnais pour que Ric se tienne debout et lui défait les poignets. Je le soutiens le temps qu'il se fasse à la position verticale. Puis nous allons nous asseoir sous les douches ouvertes en grand nous laver, reposer, notre énergie vidée par la dernière baise. Nous sommes vite rejoint par nos deux aînés. Un bon bouchonnage mutuel et nous voilà bien secs. Nous regagnons la maison nus, emmitouflés dans nos grands manteaux. Nous restons un bon moment devant la cheminée à somnoler pour récupérer nos forces.
Encore un peu fatigué, je ne me sens pas de piloter une moto et je reconduis Ric chez son père en voiture. Comme à chaque fois, dès que nous avons passé la porte, son père lui ordonne de le sucer pendant que je lui fait mon rapport. Se soir, il semble avoir envie de parler et m'invite à entrer au salon. Nous nous installons dans de vastes fauteuils et Ric trouve sa place à genoux entre les jambes de son père à continuer sa fellation.
Au bout de 5 mn, le père, bien chaud, me dit qu'il aimerait bien voir son fils se faire enculer par plusieurs mecs. Je lui dis que ce qu'il souhaite s'appelle un gang bang où un seul mec se fait utiliser par plein d'autre. Il me dit que par contre il ne sait pas comment faire. Je lui dis qu'il faut que j'y réfléchisse mais que cela ne m'a pas l'air impossible à organiser. (dans ma tête je pense à mes " clients " de Jean qui ne seraient sûrement pas contre un tel trip, avec Marc et Eric nous pourrions être 9 !). Je le quitte en promettant de le rappeler dans la semaine pour en discuter.
JARDINIER
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moaclaire · 2 years
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Eu escrevi uma short fic, na vdd foi só algo q passou pela minha cabeça quando eu estava voltando de viagem, daí saiu isso aí e eu nem terminei
Depois de tudo pronto, pegamos nossas bagagens e as colocamos na mala do carro. Eu estava bem empolgada que iriamos visitar meus pais finalmente. Depois de 2 anos longe, já estava morrendo de saudades, mas Jett não parecia tão contente com essa escolha já que ele teria que ficar dirigindo por 5 horas direto. Não entendi muito esse descontentamento, não diz amar carros? Não fica horas enfurnado dentro de um mecânico para consertar a porra do carro do Vinnie? Pois agora vai ficar 5 horas dirigindo até chegarmos em *****.
Saímos de casa umas 17:40. Enquanto Jett dirigia, eu procurava por alguma estação boa de rádio, até achar uma na qual tocava “3 nights” do Dominic Fike. Fiquei o tempo todo olhando para janela e observando o sol se pôr, sem nem ter me ligado, estava tocando alguma música aleatório do Bruno Mars e o sol já havia ido embora. Estava completamente escuro, só o farol do carro do Jett, iluminava a estrada, nem se quer tinha outros carros.
Eu simplesmente amo essa energia de viajem, me deixa diferente, meu corpo age diferente. Eu gosto mesmo de viajar, principalmente viajar com o Jett. Mesmo ele não querendo ir nessa viajem, ele me deixa super confortável dentro do carro, fazendo piadas sobre a minha pessoa e me elogiando, dizendo em como eu fiquei linda no top novo que comprei.
Eu observo seu cabelo ficando completamente bagunçado com o vento que entra pela janela do carro, no qual vai ficando mais forte com a velocidade que ele está indo. Ele me olha, muda a marcha e acelera mais, volta o olhar pra estrada e acelera mais um pouco. Fico nervosa com o quão rápido ele está indo, meu corpo começa a estremecer e estranhamente fico excitada com cena que estou presenciando. Jett com uma mão no volante e a outra na marcha, seu cabelo se mexendo conforme o vento entra, as veias do seu braço direito ficando saltadas pela forma que ele pega na marcha, poem um sorrisinho no canto da boca que puta que pariu…
Começo a subir minhas pernas no banco e ele repara que estou com medo. Ele desacelera, poem a mão na minha coxa, da um sorriso para mim e diz:
-Calma, foi só para descontrair, não vou fazer de novo. Ficou assustada?- ficou acariciando minha coxa que já estava arrepiada.
Fiquei respirando ofegante e ele começou a ficar preocupado, me olhando com uma cara confusa.
-Para no acostamento- falei umedecendo meus lábios inferiores e o mordendo em seguida.
Ele assentiu com a cabeça e foi desacelerando até estarmos parados.
-Aconteceu alguma coisa, baby?- ele tirou o cinto e se virou pra mim.
-Não! Você simplesmente me deixou excitada- tirei o cinto, subi no colo dele.
Jett ainda sem entender, só me beijou.
Senti a vontade de dar pra ele ali mesmo. O medo de alguém passar por ali naquela hora, só aumentava o meu tesão.
Devagar, comecei a rebolar no colo dele. Ele pos a cabeça pra trás, fechou os olhos e segurou minha cintura, acompanhando a velocidade no qual eu rebolava.
-Alguém pode ver a gente.- ele disse ainda com os olhos fechados, quase que sussurrando.
-Ninguém vai parar a gente- falei baixinho próximo de seu ouvido, em seguida comecei a beijar seu pescoço.
Jett pegou firme na minha bunda, me jogou de volta para o banco do carona e disse:
-Foda-se.- em seguida ficou por cima de mim.
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(Isso dai é uma foto q eu tirei da estrada, um pouco antes de escrever a fic)
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contosts · 3 years
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A menina que sonhei ...III
Desta vez, demorei pra executar a decisão que tinha tomado algo bobo, simples. Não via erro ou acerto era apenas um gostar de alguém e fazer sentir-se bem, sem medir consequências ou penalizar-se mais pelo ato. Para mim o erro foi não retribuir, era dado o momento.
No quarto:
Embora fosse a segunda vez, o que me perturbava era ter passado a noite em um sentimento de tristeza, dor o que decidi fazer comecei, como disse diferente, havia em minha mão um conjunto branco, ainda com etiqueta olhei com carinho o tecido era suave lindo, pleno em sensualidade que pela minha idade refletia em charme e delicadeza, ainda não tinha a relação entre delicado e sensual.
Tirei minha roupa, com tesoura cortei o fecho plástico da etiqueta, e separei.
Peguei suavemente calcinha, fui subindo ao corpo, ainda sem sentir a textura algo automático, quando chegou ao meio da coxa, um click na pele, na mente, nas mãos fez eu parar, derrubei ao chão, mas estático não saí correndo, não corri apenas fiquei perplexo com o que senti. A angustia até então que sentia, parece que ao tocar do tecido, ao pressionar minhas pernas deu lugar as antigas sensações dos sonhos que custo a lembrar.
Passou-se um minuto, dois ou 30 não sei, mas como em câmera lenta agachei-me peguei novamente a peça que cobria uma pequena parte de meus pés e voltei a subir, como é diferente quando se faz algo automático e quando se faz algo com os sentimentos aflorados, meu coração estava acelerado, pele arrepiada embora achasse que fosse frio.
Já havia passado o joelho, o click veio, e demorei mais ainda pra subir ate a cintura, nada ali encaixava, mas cumpri esta fase. Por curiosidade peguei a peça de cima e coloquei apenas sobre o peito, novo click, novo choque, mas ao invés de jogar, trouxe ao rosto, acariciei a pele com ele, apertei, estiquei o braço e vi, girei, estiquei, balancei. Um brinquedo diferente acho que era isso que meu consciente dizia, enquanto o inconsciente somava cada segundo a milhões de sensações.
Nas revistas que li, já veio um artigo sobre o primeiro soutien, ri, pois era exatamente essa cena que eu estava vivenciando, era como ler um livro e depois assistir ao filme, mas eu era simplesmente o protagonista.
Novos minutos entre prender ao contrario, girar e passar os braços. A gente não analisa nosso corpo quando somos crianças/meninos. Mas ali naquele momento, refleti minha imagem atual e ao lado a de um amigo próximo (meus amigos de brincadeiras) não entendia o que estava diferente, o consciente viu apenas a vestimenta o inconsciente, os mesmos milhões de sensações em cada segundo.
Fiquei no automático, coloquei a camiseta e o short, já de inicio eu mesmo percebi que ele não estava folgado ou torto sem ajuste em cima e que em baixo na frente desconfortável, mas atrás estava exatamente como o short pedia, agora entendia a primeira diferença entre roupas de meninas e meninos isso me deixou em transe.
No atelier um grito:
Não vem me ajudar hoje!!!
Sentia na voz dela uma tristeza, um comodismo de fazer algo sem sentido, sabe quando você faz no automático para ocupar a mente e o tempo.
Estava na porta, ouvindo o bufar de alguém exausta e triste, quando fiquei a sua vista pela terceira vez senti algo diferente em mim, nela e no ambiente.
Minha irmã levantou a sobrancelha, virou um pouco a cabeça para o lado e falou, senta aqui um pouco, já volto e vi-a saindo apressada, preocupada.
Eu achei que tinha piorado as coisas, a sensação exata de como acordei me dominou, mas junto veio um medo, jamais associando a como estava vestido, a imagem dela saindo apressada, cheguei a ver os olhos mareados, essa era a cena dominante em minha cabeça.
Querendo, não constranger, peguei uma roupa que estava à frente e fui desmanchar bainha, era o que meus olhos viam como o que fazer a mente não sabia consciente e inconsciente que até então eram antagônicos embora ainda não soubesse da existência deles estavam em estado de coma.
Se foi segundos, minutos ou mais que isso, parece que eu estava vivendo o D'javu do tempo, o mesmo que vivi em meu quarto.
Minha irmã voltou, pediu desculpas voltou com um copo d'água, vi ela engolir seus remédios e como se nada tivesse mudado nosso dia, mas mudando, falou.
Bom vamos ajustar, agora percebo que ele precisa de pequenos ajustes, marcou com alfinete, fez umas medidas e quando eu ia sair falou não se preocupe, só estamos nós duas, para não perdermos tempo, vamos mexer com estas peças, ai percebi que tinha uma minissaia nas mãos ela um top que combinava, fomos fazendo nosso trabalho, volte e meia ou era eu que me olhava ou era ela, o espelho que minha mãe tinha no atelier agora era de alguma forma o centro das atenções de nós duas, volte e meia um fugia do olhar da outra após alguns segundos reparando no espelho.
De alguma forma, minha irmã recuperou a áurea, tratou-me com carinho e antes do tempo, assim que terminamos o ajusto na minissaia e top ela falou que eu podia subir e me aprontar para a aula, que o dia hoje tinha sido produtivo, terminando dizendo. Só não podemos deixar estas roupas pra doação, você usou, vamos precisar lavar. Jogue no cesto do meu quarto, por favor.
Sem argumentar fui para o banho, demorei pra tirar a roupa no banheiro, algo me fez olhar e olhar, puxar soltar, quando me vi estava no automático ajustando o soutien, não estava mais solto, e aquilo mexeu comigo, no banho mesmo sem nada ainda sentia cada pressionar daquelas roupas em meu corpo.
Sai, fui ao quarto e coloquei tudo no cesto, era momento de ir para a aula.
No dia seguinte, acordei recuperado, como era boas a sensação e dormir sem angustia. No atelier a vida florescia, foi um dia focado na roupa que escolhi pra arrumar, curiosamente era a primeira vez, em todas às vezes, que eu havia escolhido algo pra ajustar.
No outro dia, cheguei ao atelier, próximo da minissaia estava o conjunto já lavado e passado, dobrado que havia usado. Estava camisa, short, soutien e calcinha. Olhei e pensei quem teria posto ali, mas achei que era minha Irma. Ela pegou tudo e guardou no em um armário que havia atrás dela, achei estranho afinal iam sempre para o saco especial, mas percebi que já tinha outras coisas naquele armário, mas não dei bola.
Já era quase fim do dia, minha mãe chegou, parou na porta e falou:
Lavei e deixei ai algumas coisas que estavam no seu cesto filha, vejo que já organizou, já deu o destino certo.
Minha irmã olhou pra mim, quando mamãe deu as costas e piscou, mandando um beijinho.
Pegou na mão a peça que havíamos terminado e falou, pena que não da tempo de ajustar melhor, já ta tarde, amanha se puder me ajudar!
Fui pra aula aquele dia com esta frase na cabeça, à noite a mesma coisa. Implorei pra não ter pesadelos.
Foi estranho acordar, só senti minha irmã preocupada, mas não liguei as coisas, eu me sentia perdido em tudo que estava fazendo pela manha antes do café, quando dei por mim, meus irmãos tinham acabado de bater a porta da casa indo para aula.
Só ouvi algo como, Você irá me ajudar no ajuste final?”...
Balancei a cabeça, disse sim e sem perceber fui ao atelier.
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thedeacanedous · 3 years
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Uma mulher russa mora no Vietnã há 5 anos e compartilha suas impressões sobre este país.
Meu nome é Maria, e vivemos no Vietnã por 5 anos como nossa pequena família (eu, marido e filho). Mudando para cá, não sabíamos quase nada sobre o estado, que será nosso lar pelos próximos 5 anos. Nossas ideias sobre o Vietnã como um pequeno país tropical acabaram se afastando da realidade. Na verdade, o estado ocupa cerca de 330 mil metros quadrados. km, e cada região tem suas próprias características culturais e naturais. Durante esse tempo, aprendemos muito sobre esta terra, mas muitas coisas permaneceram além da nossa compreensão. Terei o maior prazer em falar sobre as nuances da vida em um idílio tropical e, ao mesmo tempo, contarei a história de porque agora sempre sacudo a toalha no chuveiro antes de me secar. 
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Terei o maior prazer em falar sobre as nuances da vida em um idílio tropical e, ao mesmo tempo, contarei a história de porque agora sempre sacudo a toalha no chuveiro antes de me secar. Certa vez, em um outono úmido em Petersburgo, decidimos passar vários meses no Vietnã - tomar sol e aproveitar o mar quente. E imperceptivelmente para nós, este inverno durou 5 anos. Ao longo dos anos, consegui trabalhar como gerente em 2 hotéis, meu marido dominou a profissão de fotógrafo e nosso querido filho, um calcanhar duro, passou por vários jardins de infância locais. O Vietnã era charmoso, engraçado, lindo, impressionante e assustador. Em geral, tanto faz, mas não é chato.
Como habitat, escolhemos a pequena vila turística de Mui Ne, perto da grande cidade de Phan Thiet. Uma grande empresa de expatriados já morava aqui: russos, ucranianos, franceses, americanos e alemães. Uma verdadeira equipe confusa. A vida em uma cidade turística é, sem dúvida, diferente de viver em uma cidade grande, mas tivemos a sorte de conhecer algumas das peculiaridades da vida vietnamita aqui.
1. Trabalho.
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A vida no sul do Vietnã começa ao amanhecer - às 5 ou 6 horas. Às 7 horas da manhã as aulas começam na escola e funcionam em quase todas as instituições. E por volta das 4 o dia de trabalho acabou e você pode ir para casa. Há apenas um dia de folga por semana. Foi muito cansativo no começo. Minha chefe era uma garota vietnamita charmosa da minha idade. Várias vezes ela me convidou para compartilhar ideias sobre o que especificamente não gosto no estado atual das coisas. A princípio, fiz exatamente isso, mas, percebendo o ressentimento amargo e a frustração sincera em meus olhos, comecei a transmitir minhas críticas e sugestões com muito mais tato. Existe um estereótipo de que quase todas as reuniões de negócios no Vietnã estão atrasadas e os prazos são constantemente adiados. Isso não é inteiramente verdade. No nosso hotel, em geral, no local mais conspícuo ficava um canal monstruoso, onde todos deviam assinar a sua entrada e saída. E por um atraso de 5 minutos, havia uma multa. E não é costume comparecer a uma reunião meia hora depois da hora marcada. 
2. Alfândega.
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Os vietnamitas são supersticiosos, mas à sua maneira. Portanto, muita atenção é dada aos números. Uma placa de carro com a combinação correta de números pode ser proibitiva. Isso também se manifesta em relação aos nomes. Então, meu amigo recebeu um nome ao nascer. Mas ela era uma criança muito doente e, portanto, sua mãe decidiu dar-lhe outro, a fim de se livrar de todas as doenças possíveis. Nos ônibus, não é costume tirar espelhos ou usar um pente. Isso pode atrair fantasmas e causar um acidente. 
No Vietnã, as pessoas se dirigem umas às outras pelo primeiro nome ou fornecendo o nome completo e o sobrenome de uma pessoa. A variante "Sr. Smith" é considerada incorreta aqui. A lista de nomes é curta, mas ninguém aqui inventará nada novo e incomum. Em uma família conhecida, os irmãos adultos eram chamados por ordem de nascimento. Tio Tu (ou o quarto) era especialmente amado por todos.    
3. O Negócio.  
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Muitos projetos de negócios podem levar anos, enquanto outros estão sendo concluídos em velocidade recorde. A lógica desses processos permaneceu um mistério para mim. Então, um hotel gigante não muito longe de nossa casa cresceu em apenas alguns meses. Além disso, quando chegamos, havia um plano de desenvolvimento do aterro da cidade. Era para haver um amplo calçadão com gramados e bancos. E havia muitos cafés de rua servindo frutos do mar. Todos os anos, uma comissão estadual vinha para ver o andamento das obras de melhoria. Naqueles dias, todos os estabelecimentos de alimentação se dissolviam no ar e um aterro perfeitamente limpo e vazio apareceu aos olhos dos distintos convidados. A comissão foi embora, e no dia seguinte os cafés, como cogumelos, cresceram novamente. O passeio não aparecia há 5 anos. 
A interação entre empresas e autoridades regulatórias também está entrelaçada com uma rede de rituais imperceptíveis. Eu trabalhava em um hotel e várias encomendas vinham até nós todo ano para verificar. Era familiar e compreensível. Ao mesmo tempo, compramos ingressos algumas vezes por ano para um show beneficente organizado pela polícia local. Exatamente 50 peças. Infelizmente, não pude avaliar os talentos musicais dos defensores da ordem pública. 
4. Crianças.  
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Criar uma criança nos trópicos é um prazer. Sol, mar quente, areia, frutas e tudo isso - o ano todo. É verdade que quando se trata de coisas que são completamente familiares para nós, povo do norte, as dificuldades começam. Por exemplo, meias e qualquer roupa que não seja shorts são ruins !!! A criança se recusa a usá-lo categoricamente.
Nunca terminamos a escola no Vietnã, mas tentamos muitos jardins de infância. A maior parte do tempo em que nosso filho frequentou um jardim de infância vietnamita pago em Phan Thiet. As crianças ficaram lá das 7 às 16 horas, dormiram duas vezes, comeram várias vezes, foram à piscina e estudaram várias disciplinas. Esperávamos muito que nossa descendência falasse vietnamita em alguns meses, mas como resultado, todo o grupo (30 pessoas) falava russo.   
 Eles trouxeram e levaram as crianças para o jardim de infância em um micro ônibus. Saio para pegar a criança de alguma forma, ela pula para fora do veículo, acena para os outros rapazes e grita: Tchau !!! Em resposta, um delgado e confiante "tchau!" Sem o menor sotaque. As crianças do jardim de infância vietnamita eram alimentadas 4 a 5 vezes por dia - apenas para o abate. Mas eu ainda precisava mandar iogurtes e pãezinhos com a criança. Porque eles tinham cozido sopa de macarrão com frango no café da manhã. A coisa é muito útil, mas a pobre criança não conseguia enfiá-la dentro de si às 7 da manhã. 
5. Educação.
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Não é costume punir crianças menores de 5 anos. Em vez disso, eles podem punir, mas de forma alguma por coisas que entendemos. Assim, as criaturas jovens desfrutam de total liberdade, correm e brincam. E, se divertindo, podem subir no capô do carro de outra pessoa ou quebrar o escorregador de uma criança - ninguém vai dizer uma palavra a elas. Ao mesmo tempo, no jardim de infância, o professor pode muito bem jogar seu tesouro no padre ou colocá-lo em um canto. Castigos corporais não são proibidos aqui. Portanto, se você não tolera esses métodos de educação, deve avisar a gerência sobre isso com antecedência. O canhoto será treinado novamente à força (como nos bons e velhos tempos soviéticos). A noção de fila no Vietnã é um tanto vaga. Para adultos e crianças. Portanto, qualquer jogo infantil, em que cada participante age após o outro, se transforma em uma batalha de titãs.
6. Nós.
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Nosso filho, por conta própria, conseguiu nascer loiro, e até com cachos magníficos. Os vietnamitas ficaram maravilhados com essa combinação. Qualquer transeunte na rua poderia parar para tocar na namorada, beliscar a bochecha, abraçar ou entregar algum tipo de doçura. O charme fofo apenas rosnou com raiva com tanta atenção.
Aqui, ninguém hesitará em tirar uma foto de um bebê de quem gosta ou pedir aos pais que tirem uma selfie com o bebê. A princípio ficamos maravilhados com tanta atenção, mas depois nos acostumamos. Normalmente eles não concordam.
Movendo-nos para o mar, pensamos que iríamos mergulhar nas ondas todos os dias. Ingênuo, só conseguíamos nadar algumas vezes por mês. E tudo porque Mui Ne é famosa pelos ventos fortes, e as ondas às vezes são altas demais para entrar no mar. Portanto, se você está planejando suas férias neste resort, esqueça os salpicos diários no mar.
Povo do norte, imediatamente começamos a desfrutar dos raios quentes do sol vietnamita e, depois de alguns meses, toda a família estava coberta por um luxuoso bronzeado de bronze. Fiquei muito orgulhoso desta cor nobre: ​​pela primeira vez na minha vida fiquei tão bronzeado. Uma vez minha namorada vietnamita, constrangida, perguntou se eu já tinha comprado um guarda-chuva. "O quê, a estação das chuvas está chegando???" - Eu estava surpreso. “Não, claro, você ficou tão bronzeado. Aldeão heterossexual. E você tinha uma pele tão branca e linda. Mas não se preocupe, basta passar por baixo de um guarda-chuva e você também pode comprar um ótimo creme clareador na loja."
7. Fauna. 
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Por todos os 5 anos com quem simplesmente não dividíamos nossa casa. Os convidados mais tradicionais eram gatos e lagartixas vadios. Mas quando um bando de sapos veio a nossa casa em uma noite quente de verão, foi uma surpresa. Os anfíbios se estabeleceram em toda parte, um indivíduo particularmente persistente adorava se esconder em uma toalha de banho. Depois de apertar suavemente o sapo molhado várias vezes, envolvendo-me em um pano, nada poderia me assustar.
As formigas vivem em todo lugar, mas ao mesmo tempo, como super-heróis, são impetuosas e evasivas. Parece que não há uma única criatura na casa, mas assim que a migalha cai, um rebanho inteiro imediatamente aparece. Meu pobre filho ainda não consegue se livrar do hábito de colocar todos os doces, e até as coisas saborosas em geral, na geladeira.
8. Dias úteis.
Os vietnamitas vivem, trabalham e se divertem juntos. Ou seja, você não pode confiar nenhum negócio a apenas uma pessoa. Ele imediatamente ficará triste, com saudades e murchará.
Lembro que uma vez tentei separar as empregadas para que o processo de limpeza fosse mais rápido. Eles olharam para mim com olhos tão tristes que me senti como um verdadeiro assassino.
9. Relaxamento.
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Os funcionários também gostam de relaxar com toda a equipe. E de preferência no karaokê ou em um piquenique. Uma vez por ano, no final da celebração do Theta (Ano Novo Lunar), uma festa corporativa com comida e música tradicionais com certeza será organizada. Certa vez, estive em um evento como esse, realizado por uma grande construtora. Um dos diretores subiu ao palco. Eu já estava me preparando para um discurso motivacional apaixonado quando de repente ele começou a cantar. Algo muito comovente e lírico. E metade da parte solene consistia em tais apresentações musicais. 
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Os vietnamitas adoram cantar. Além disso, por qualquer motivo e a qualquer momento: pelo menos às 5h, pelo menos à 1h. Devido à performance peculiar, todas as melodias tornam-se um pouco semelhantes. Uma vez eu realmente ofendi meus amigos por não reconhecer "Ontem". Tive que contar uma história triste que terríveis ursos polares pisotearam todas as minhas orelhas na minha infância.
Uma vez, meu marido e eu visitamos uma boate vietnamita. Foi uma experiência inesquecível! Provavelmente nunca ouvi uma música mais alta. É claro que ninguém aqui conversava, até as ordens eram feitas por sinais, mas, surpreendentemente, ninguém dançava. As pessoas ficavam em volta das mesas, olhavam para o DJ e, na minha opinião, vibravam levemente nas ondas sonoras, curtindo a massagem acústica.
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Os vietnamitas são muito sensíveis à manutenção da limpeza na casa e no local. Tudo é varrido cuidadosamente com uma vassoura várias vezes ao dia. Até a areia é varrida - uma visão muito estranha. Mas, infelizmente, ninguém se preocupa especialmente com a limpeza das ruas e outras áreas públicas. É costume deixar chinelos na soleira da porta, não importa aonde vá: em casa, loja, salão, hotel ou sapatinho. Meu filho então confundiu os visitantes das lojas russas por muito tempo, famosa por tirar os sapatos na entrada de uma livraria ou loja de vegetais. Na maioria das vezes usam chinelos, portanto, ao sair da instituição, você pode perder o calçado e encontrar um novo. 
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As dimensões nas lojas são uma dor à parte. No calor tropical, perdi peso rapidamente e recuperei o cobiçado 36º tamanho europeu. E pelo menos uma vez, nas lojas vietnamitas, roupas tamanho M serviram. Não, eu congelei tragicamente no tamanho L, que impiedosamente estragou todo o prazer de fazer compras. Além disso, nossa família tem barbatanas impressionantes. Eu tenho um tamanho 39, meu marido - 46, e meu filho em seus 5 anos de idade era 33. Na primeira vez que chegamos a uma sapataria, toda a equipe de vendas se reuniu para nos olhar. Depois de longas discussões, a criança foi enviada para o departamento feminino, eu, para o masculino, e o marido dela, depois de chorar com entusiasmo ... para a cidade de Ho Chi Minh. 
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É claro que nas grandes cidades existem lojas para todos os gostos e bolsos. Mas na nossa aldeia, o sector do comércio era representado por lojas como armazéns gerais e supermercados turísticos. O primeiro vendia de tudo, desde brinquedos e produtos químicos domésticos até alimentos.
Além disso, nas mesmas lojas, os donos comiam, assistiam TV, recebiam hóspedes, dormiam e viviam. Frequentemente, eu chegava à garrafa de molho que estava procurando pisando cuidadosamente sobre bebês dormindo ou contornando meus amigos cantando karaokê.
10. Comida.
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Uma amiga vietnamita que eu conhecia sempre me estragava com suas próprias iguarias. Normalmente era fantástico. Mas um dia, para o jantar, peguei uma tigela de caldo, em que um grande pedaço de carne suculenta estava flutuando sobre o osso. E dos talheres havia apenas os hashis. Depois de observar as outras senhoras, comecei, fazendo barulho com pedaços de madeira, a arrancar pedaços de carne do osso. Depois de 40 minutos, se não estava cheio, estava definitivamente cansado até a exaustão. A refeição mais estranha da minha vida !!! Você não pode recusar um tratamento no Vietnã. Eles não apenas não insistirão, mas também ficarão mortalmente ofendidos. Contra todos os meus desejos, tive que experimentar ovos com germes, pepinos amargos cozidos, bebida de capim-limão e outras delícias. Mas a experiência mais impressionante foi. Eles me convidaram para jantar. Com óbvio orgulho, eles me entregam uma tigela de camarão. Graças a Deus, acho que não há surpresas hoje. Eu pego um, e - oh horror !!! - a pobre criatura perdeu seu corpo inteiro. Eu tenho uma cabeça em minhas mãos, que brilha em reprovação com olhos negros redondos. Em geral, eu derrotei 3 coisas com um martírio, e agora não como camarão de nenhuma forma.
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O jantar é principalmente em casa, mas também é comum ir aos cafés uma vez por semana. Os estabelecimentos de alimentação vietnamita tradicionais têm várias características. Em primeiro lugar, a comitiva: costuma-se jantar aqui em mesinhas de plástico. A segunda coisinha chata é que todo o lixo da mesa vai direto para o chão: depois que os visitantes vão embora, eles vão varrer.
Muitos pratos são fritos ou cozidos sozinhos em pequenos braseiros de cerâmica. No primeiro momento, o processo parece complicado, mas depois você aprende os pequenos truques e as dificuldades não surgem mais. Todas as bebidas são servidas em canecas de plástico com uma quantidade incrível de gelo.
Acredita-se que em todas as lojas vietnamitas os turistas pobres são constantemente enganados. Eu não sei, nunca o encontrei. Além disso, de alguma forma fui ao nosso mercado para fazer compras. Escolhi uma montanha inteira de vegetais, 5 quilos, e já estava indo embora. De repente, sinto alguém puxando minha mão. A vendedora sem fôlego, balançando a cabeça em reprovação, me entrega o troco esquecido. Havia $ 20.
11. Vida cotidiana.
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É difícil conseguir licença médica para cuidar de crianças aqui. Portanto, se os pais não puderem deixar o bebê com a avó ou tia, ele será mandado para o jardim. Com todo um pacote de vários medicamentos, instruções sobre como dispensá-los e, claro, um monte de vários micróbios. Em qualquer cidade turística, além dos jardins de infância vietnamitas, certamente haverá inglês, francês e às vezes russo particulares. Esse prazer não é barato. Mas você pode encontrar uma instituição ao seu gosto. Vegan, clássico, experimentalmente grátis.
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Os chinelos expressam sua simpatia por outras moças penteando seus cabelos. Normalmente, parentes mais jovens, namoradas e até mesmo funcionários gentilmente separam os fios de um amigo mais velho, trançando-os em tranças ou puxando impiedosamente os cabelos grisalhos. Parece, para dizer o mínimo, estranho. E como é a sensação. Mas você não pode recusar tal manifestação de cuidado - é extremamente ofensivo.
Uma vez eu estava na recepção, conversando com um convidado da Alemanha. De repente, sinto que alguém está puxando suavemente meu cabelo. O queixo do pobre alemão cai. Eu me viro com leve horror, e minhas duas recepcionistas, sorrindo docemente, estão mexendo no meu cabelo. Pesadelo. Tive de lhe contar educadamente sobre os costumes locais.
12. Casamentos.
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Uma vez, fomos convidados para um casamento vietnamita de verdade. Vestida, cheguei e vi essa foto. Há uma pequena fila à entrada do salão festivo e, na própria sala, os convidados levantam-se lentamente das mesas e vão-se embora. Acho que existe alguma confusão com a organização??? Acontece que geralmente há tantos convidados nas cerimônias matrimoniais vietnamitas que eles são divididos em turnos. Cada porção de parabéns chega às 2 horas - para comer, cantar e beber, e ao mesmo tempo parabenizar os jovens. Em seguida, esses convidados vão embora e outros novos aparecem. Os jovens não se sentam à mesa, mas circundam todos os convidados e ouvem os votos de boa sorte. Os pobres coitados, em minha opinião, não se sentavam nem uma vez durante o dia. E a noiva também tem que trocar de vestido toda vez.  
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Os casamentos são geralmente planejados com muitos meses de antecedência. É muito importante escolher a data certa e preparar todas as comemorações. A sessão de fotos acontece alguns dias antes da cerimônia em si - o salão festivo será decorado com essas fotos. As férias em si duram vários dias, às vezes uma semana. Depois do casamento, os jovens geralmente vivem com a família do cônjuge. Não acho que nas grandes cidades todos esses costumes ainda sejam rigorosamente observados, mas na nossa aldeia tudo acontecia exatamente assim.
13. Transporte.
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Durante o horário de pico, as ruas ficam inundadas com todos os tipos de motocicletas, ciclomotores e bicicletas. E embora visto de fora o movimento se assemelhe a um entrelaçamento caótico de linhas, há uma certa lógica nele. Se você é iniciante, é melhor começar a explorar as ruas vietnamitas à tarde, em uma ou duas horas, quando há menos pessoas nas estradas. Atravessar a grande rua da cidade de Ho Chi Minh é um verdadeiro desafio.   Na primeira vez, fiquei em pé cerca de 15 minutos com horror, contemplando o fluxo infinito do tráfego. De repente, sinto que alguém está pegando minha mão. Eu me viro, uma querida vovó está de pé, sorrindo com simpatia e inexoravelmente me puxando para a estrada. Em algum estado de estupor, eu a sigo. Um vietnamita carinhoso sem excessos me transferiu para o outro lado da rua. Ter um carro familiar ainda é um luxo no Vietnã. A razão para isso são os altos impostos sobre carros importados, que foram parcialmente cancelados há apenas alguns anos. O veículo mais popular é um ciclomotor. A família inteira pode se locomover (cabem até 5 pessoas), transporte de mercadorias, mantimentos e até animais bastante volumosos. Por exemplo, porcos. Qualquer aplicativo de táxi como o Uber oferecerá não apenas um carro, mas uma bicicleta como opção. Lembro que estávamos procurando uma opção aceitável para uma viagem de Mui Ne a Ho Chi Minh City, e a opção mais barata era uma motocicleta. Ficamos pasmos com essa perspectiva. Um ciclomotor é um verdadeiro amigo de ferro. Muitos proprietários dirigem suas bicicletas para dentro de suas casas à noite e se acomodam nas bicicletas laterais ao lado deles. Nossa viagem de bicicleta mais longa durou cerca de 5 horas (embora parecesse uma eternidade então). Depois disso, sempre vestimos suéteres de manga comprida e jeans na estrada. Você se queima ao dirigir instantaneamente, sem nem mesmo sentir. 
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Os ônibus de dois andares circulam entre as principais cidades - baixos-cama. Tecnicamente, são de um andar, apenas os assentos da cabine são dispostos em 2 filas, uma acima da outra. E embora nenhum problema tenha acontecido conosco, eu odiava viajar à noite nesses veículos. Os motoristas muitas vezes se distraem com o telefone ou tiram uma soneca. Em viagens de um dia, eles tendem a ser mais coletados.
O Vietnã tem apenas uma grande linha ferroviária operacional - da cidade de Ho Chi Minh a Hanói. Os carros são divididos em 3 classes, sendo que a mais confortável é a primeira. Este é um compartimento de 4 camas. Os trens têm apenas 2 recursos desanimadores. O ar condicionado no compartimento funciona sem problemas, por isso um chapéu e meias quentes podem ser úteis à noite. E a roupa de cama é trocada apenas na última estação de chegada, ou seja, na cidade de Ho Chi Minh ou em Hanói.
14. Casa.
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Encontrar uma casa de estilo europeu em nossa aldeia não foi fácil. Uma habitação tradicional vietnamita é uma estrutura alongada, onde o chão e parte das paredes são ladrilhados. As instalações estão localizadas de forma que o vento as sopre. As superfícies são geralmente pintadas com tinta verde ou azul claro - assim como na escola soviética. Eles tentam não economizar em equipamentos, mas os móveis são comprados com uma quantidade mínima. Normalmente é uma cama e uma mesa baixa com cadeiras. E eles tomam café à mesa, mas é costume comer no chão. Eu fiquei especialmente emocionado com a cozinha, onde tudo era feito de concreto e ladrilhos, inclusive bancada, prateleiras e prateleiras. Parecia estranho, mas era conveniente para lavar.
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historiassintinta · 6 years
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La gran mierda.
La primera vez que un hombre me acosó tenía (más o menos) siete años y jugaba en el cuarto con un niño al que le habían enseñado que podía hacer un trueque con sus juguetes y mi cuerpo. Era tan chiquita que no me acuerdo lo que pasó, solo se que baje corriendo a contarle a mi mamá y que todavía cuando lo veo la panza se me revuelve un poco y no puedo evitar un asco profundo cuando dice mi nombre. La segunda vez fue en una Suburban con destino a la playa, no tenía mas de doce años, estaba con mi hermano y su novia y para estar juntos los tres nos fuimos a la parte de atrás de la camioneta donde no hay asientos separados pero uno largo donde caben alrededor de cinco  personas. La carretera a la costa oaxaqueña es una de mis favoritas, la caracteriza un paisaje mágico pero también unas curvas insufribles. Era de noche y todos nos quedamos rápidamente dormidos, me despertó una mano recorriéndome la espalda, no me pude mover del  miedo durante más de diez minutos, cuando la mano cambio de territorio y comenzó a subir por mi panza me gire por instinto. Los ojos más negros que he visto en mi vida se cruzaron con los míos. - Shhh no vayas a despertar a tu papá, es que te quería despertar porque te quedaste dormida en mi hombro y no quería que si el señor se despertaba y veía pensará mal de mi.- No volví a cerrar los ojos durante las siguientes cuatro horas y media que quedaban de camino, llegamos a Puerto Escondido cuando ya había salido el sol y en el primer momento en el que estuve sola, llore. Me bañe tres veces ese día pero la sensación de asco y repulsión no abandonaba mi cuerpo, tenía doce años y una culpa inmensa. Nunca le conté a nadie, nunca me volví a ir en Suburban. Después crecí, tener quince años y vivir en un barrió que se llenó de construcciones es una terrible combinación. Para ir a la tiendita tenía que recorrer mas o menos cinco cuadras, dos construcciones y una cantidad insólita  de gritos y vulgaridades. Hace dos años me vine a vivir a la Ciudad de México donde atravesar la puerta de mi casa todos lo días es un acto de infinita valentía. El día comienza eligiendo la ropa que voy a usar, procurando que no sean faldas, vestidos o shorts, que no sea nada muy ajustado ni escotado y esperando que todavía no sea hora pico en el metro para no encontrarme a ningún imbécil al que se le ocurra presionar su pene en mis nalgas. Están en todos lados, hace unos meses, en el bar, donde camino al baño jaló mi mano y me pegó a él, me agarró de las nalgas y me intentó besar, le pegue en los huevos y me fui corriendo a encontrarme con mis amigas. Llorando, fui con el gerente del lugar pero sólo me dijo que esas cosas pasaban porque las mujeres se ponen borrachas. No volví a ese lugar, no volví a salir a ningún lugar del estilo. Tres semanas atrás, regresando de mi escuela a las nueve de la noche escuche a un grupo de hombres silbándome y gritándome para que me encontrara con ellos. Traía audífonos, le subí a la música y caminé lo más rápido que pude, entonces los sentí detrás de mi, riéndose, gritándome, siguiéndome. No me acuerdo de haber sentido tanto miedo en mi vida, mis piernas se movían por pura inercia y en mi cabeza no dejaban de apareces todos los posibles escenarios. Me van a violar, me van a  matar, no me van a encontrar mañana. Entonces vi un Oxxo; entré y no salí por veinte minutos, veinte minutos de todo mi cuerpo sudando frío, veinte minutos de llanto contenido, veinte minutos de un temblor incesable recorriendo cada rincón de mi cuerpo. Salir de la tienda ha sido probablemente el acto  de osadía más grande que he cometido en mi vida. No pude dormir esa noche porque cada vez que cerraba los ojos escucha sus risas.
Y estoy cansada. Tengo veinte años y estoy cansada. Cansada de salir de mi casa todos los días con miedo y de regresar con lagrimas, estoy cansada de despertar y no tener la certeza de que regresaré a mi casa ese día, de cruzarme de banqueta cuando veo a un grupo de hombres, estoy cansada de intentar que el miedo no domine mi vida. Porque entonces ellos ganan y no lo voy a permitir. Tengo veinte años, estoy cansada y todavía no entiendo porque. ¿Por qué mierda hay que pasar por esto todos los días? Sigo sin entender y sin saber, bien a bien, como salvarme. Y a pesar de todo,  me se enormemente privilegiada: soy parte del selecto grupo de las que no hemos sido asesinadas. ¿Qué es esto, carajo?
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