PODCAST : CHAT GPT ET ARCHITECTURE

Utiliser ChatGPT et les IA génératives d'images pour enseigner l'architecture? retour d'expérience de nos étudiants à la faculté d’architecture et d'urbanisme de Mons. #podcast

Temps de lecture : 1 heure d’écoutemots-clés : IA, AI, generative, Sources and methods, education, architecture, UMONS, data, données, enseignement, faculté d’architecture, faculty Chers lecteurs, Vous savez que je participe assez régulièrement à des podcasts. Celui-ci est un peu particulier, car il va retracer l’expérience de nos étudiants par l’usage de Chat GPT, midJourney, blue Willow, etc.…

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Eugénie FLORET

Architecte HMONP / Doctorante / Enseignante

Architecte HMONP, diplômée de l'Université Catholique de Louvain (Belgique) en 2012. Eugénie Floret a pratiqué plusieurs années le métier d'architecte avant d'amorcer un travail de thèse en architecture pour lequel elle a obtenu une bourse du ministère de la Culture en 2023. Elle effectue aujourd'hui ses recherches au sein de l’École Nationale Supérieure d'Architecture Paris la Villette et de l’Université Libre de Bruxelles, sous la direction de Xavier Bonnaud (HDR, Gerphau – ENSA Paris La Villette) et de Pauline Lefebvre (Sasha – Faculté d’Architecture de l’ULB).

À travers ses recherches, elle s'intéresse aux modes d'existence de l'air en architecture et s'emploie à comprendre l’agentivité de cette matière, en traquant ses traces, ses modes d'apparition en architecture, les objets qui entourent son traitement, les manipulations qui en sont faites. Puisant dans ses expériences de chantiers et de terrains en tant qu'architecte, elle raconte et questionne le traitement de l'air, considéré non plus comme solution mais comme construction sociotechnique qui mérite d'être questionnée par les objets, les gestes, manipulations et bricolages qui en sont faits quotidiennement en architecture.

Thèse en cours

Le trouble de l'air, sur la piste de manifestations aériennes quotidiennes et ordinaires en architecture

L'air est un matériau éminemment social qui constitue les espaces que nous habitons. En raison de son omniprésence, nous le tenons pour acquis. Et pourtant, l'air s'est troublé, des études le racontent. Le changement climatique a mis en évidence ses fragilités, à différentes échelles, depuis les minuscules aérosols qui transportent des particules de carbone ou des virus jusqu'à l'atmosphère. Sous l'action de l'air, les matériaux de construction deviennent des biotopes accueillant bactéries et champignons. Ici la thèse de doctorat fera intervenir un corpus historique, scientifique, voire chimique, microbiologique. Mais aussi, des récits habitants qui raconteront l'anatomie de l'air à travers une respiration devenue difficile, à travers des traces fabriquées par l'air autour des matériaux de construction, à travers des machines qu'on ne voit plus. L'air est aujourd’hui régulé, transformé, maîtrisé par un ensemble de techniques qui a envahi le bâti. Aux côtés des machines, des moteurs, s'accumulent des gaines, des tubes, des buses, des filtres, des grilles, dont l'assemblage et l'étanchéité sont désormais assurés par membranes, bâches, scotch, joints, mastics, mousses expansives... Le traitement de l'air est en place. Il est décrit, prescrit, normalisé. Et sur le chantier, les mises en œuvre induites font vaciller les contours du métier d'architecte. Si un premier travail a consisté à puiser dans le terreau des expériences d'une architecte praticienne pour révéler ces mises en œuvre, ce sont plus largement nos environnements intérieurs qui seront racontés, questionnés, à travers les gestes, les manipulations et bricolages qui s'opèrent et se renouvellent quotidiennement autour de l'air, sur le chantier ou dans les lieux désormais habités.

Bibliographie :

Floret E., « L’Oubli de l’air, promenade philosophique en architecture, sur les pas de Luce Irigaray », in Céline Bodart, David Marcillon, Chris Younès (dir), À quoi pense l'architecture ? Exercices de philosophie architecturale, Clermont-Ferrand, Le Philotope n°15, 2022, p. 59-76.

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Appel à candidatures - Bourses de master Idex pour l'année académique 2022-2023

Appel à candidatures – Bourses de master Idex pour l’année académique 2022-2023

Les candidatures à ce programme sont ouvertes aux étudiants étrangers (c’est-à-dire les étudiants actuellement inscrits dans une Université hors de France) qui postulent dans l’une des écoles de master ou d’ingénieur proposées par les divisions académiques suivantes de l’Université Grenoble Alpes (UGA) : École nationale supérieure d’architecture de Grenoble (ENSAG). Faculté des sciences. Faculté…

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Un trio d’étudiants de la Faculté des Sciences de l'UEH champion d'un concours international d'architecture

Un trio d’étudiants de la Faculté des Sciences de l'UEH champion d'un concours international d'architecture.-#Juno7 #J7juin2022

Un trio d’étudiants de la Faculté des Sciences de l’université d’Etat d’Haïti champion d’un concours international d’architecture organisé par le Rectorat de Guyane. Wolph Gans DUNOSIA, Joe-vani DONAT et Stanley Kervens ARISMA sont les trois étudiants qui ont représenté valablement la Faculté des Sciences de l’UEH au concours international d’architecture organisé par le Rectorat de Guyane en…

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Soyez partie prenante de l’#inventaire du patrimoine #architectural de Bruxelles construit entre 1939 et 1999 !

Soyez partie prenante de l’#inventaire du patrimoine #architectural de Bruxelles construit entre 1939 et 1999 !

Soyez partie prenante de l’#inventaire du patrimoine #architectural de Bruxelles construit entre 1939 et 1999 ! L’inventaire du patrimoine architectural 1939-1999 est en cours d’élaboration et vous pouvez y contribuer. Depuis le début de l’année, Urban a chargé un consortium formé par la faculté d’Architecture et l’institut de gestion de l’environnement et d’aménagement du territoire (IGEAT) de…

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Le Bauhaus, école et mouvement

Le Bauhaus est une école d'architecture et d'arts appliqués, fondée en 1919 à Weimar en Allemagne par Walter Gropius, architecte, designer et urbaniste allemand. Ce terme désigne par extension un courant artistique comportant architecture, design, modernité, photographie, peinture, danse et costume. Ce mouvement posera des bases autour de la réflexion de l’architecture moderne sur un style international. C’est durant la période troublée par l’après-guerre que ce mouvement artistique avant-gardiste s’inscrit dans l’histoire au début du XXème siècle.

En 1933, le Bauhaus à l’époque installée à Berlin est fermé par les nazis, considérant l’école comme enseignante d’un “art dégénéré”. L’objectif du mouvement ne consistait pas en effet en la réalisation d’un style concret, d’un canon ou d’un système. Il n’était pas question d’une quelconque préscription. Cet art est connu pour ses réalisation en matière d’architecture qui a exercé une forte influence dans le domaine des arts appliqués à travers des objets usuels. Ce mouvement est largement précurseur du design contemporain et de l’art de la performance. C’est un art contemporain avant garde.

Le Bauhaus appuie sur la pluridisciplinarité et la faculté de tous les artistes à êtres de bons artisans. L’école se compose de différents cycles. Il y a une partie de connaissance théorique portant sur la couleur, la forme et les matériaux (verre /bois/sculpture/peinture/etc.). Elle a pour but de confronter les courants avant-gardistes d’alors comme l’abstraction, l’expressionnisme ou le constructivisme. Des cours de dessin de perspective et d’architecture intérieur. L’école proposait une formation artisanale sur trois ans qui mène à un examen et un diplôme de compagnon. 

La communauté artistique ne demeure pas figée et encore moins unanime dans le raisonnement. Les idées sont contradictoires selon les artistes ce qui a un impact considérable sur son évolution.

Les artistes les plus connus qui participent à ce mouvement sont:

Paul Klee, Kandinsky, Walter Gropius, Marianne Brandt, Max Bill et tant d’autres !

U-MONS FA+U

Objet : Faculté d’architecture et d’Urbanisme de l’U-MONS Localisation : Mons Date : 2018 Statut : Concours

Programme : Faculté d’Architecture et d’Urbanisme Surface : 3517 m² Budget HTVA : 6.569.440 € Maître d'ouvrage : Université de Mons Equipe : A229 / Stabili.D / ZEUGMA

Site urbain traversant

L’U-MONS se présente comme un réseau neuronal à travers la ville.

Le bâtiment s’ouvre sur la ville grâce à ces différents points :

Via la création d’une nouvelle « porte » emblématique rue d’Havre, un signal urbain,

Via des fonctions ouvertes au public en proximité de l’entrée « historique » (auditoire et salle d’expositions ou de conférences),

Via l’appel du pavement brique, qui créer une continuité avec la ville.

La FA+U comme point de départ et non comme une finalité. La FA+U comme halle plutôt que monument. Même si la démarche est radicale, l’architecture qui en découle se met au service de la FA+U : une halle multifonctionnelle et diaphane, berceau d’énergies collectives entre habitants, étudiants, doctorants et professeurs.

Le site est traversé par des « failles urbaines » qui dynamisent la ville en la connectant et en y activant différentes « poches » de convivialité. Les circulations sont donc tangentes au bâtiment créant ainsi de véritables espaces publics / semi-publics. La FA+U devient le trait d’union entre quartiers et non une frontière.

Le haut du site se caractérise par un espace minéral et urbain alors que le bas du site comme un maillage vert.

Le jour le bâtiment disparait en jouant sur la transparence et sur les reflets de son environnement. La nuit, la FA+U laisse dévoiler les étudiants imaginant les solutions de demain. On insère la FA+U dans l’espace nocturne urbain. Tel un lampion, elle en devient un symbole.

Mixité des usages - flexibilité

Le projet est caractérisé par sa flexibilité : des espaces diaphanes, facilement mutualisables, avec une multiplicité de connexions entre eux. Pour cela la trame structurelle du plan est conçue de manière à offrir la possibilité d’une adaptabilité d’aménagement au fil du temps si les besoins de la FA+U venaient à changer. Le bâtiment est souple, dispose d’espaces généreux et polyvalents, et de circulations permettant différentes configurations programmatiques. Des cloisons amovibles donnent une grande flexibilité aux espaces (notamment au niveau des ateliers).

Les fonctions sont reliées, physiquement ou visuellement dans un seul volume. En jouant avec les différences de niveau existantes on développe le programme en coupe avec un niveau « 0 » principal à partir duquel on organise les différentes fonctions.

Dynamique enseignement - recherche

Toutes les circulations du bâtiment ont été conçues comme des espaces de vie, qui favoriseront la rencontre et le partage entre étudiants et enseignants. Source d’énergie collective, le foyer crée des liens (physiques et visuels) permanents entre les différentes fonctions et utilisateurs. Un puits de lumière permet d’éclairer le cœur du foyer tout en créant un lien visuel entre l’étage des bureaux (+2) et les niveaux des ateliers (+0 et +1).

L’espace de la bibliothèque (accessible depuis le +2 et le +1) a un fort caractère de lien entre l’enseignement et la recherche. Il s’agit au même temps d’un lien physique (escalier qui relie les deux niveaux), d’un lien visuel (via la double hauteur) et d’un lien programmatique (la bibliothèque est utilisée autant par les enseignants que les étudiants). Il est silencieux et studieux, offrant le calme et la tranquillité en plein cœur du bâtiment.

L’aménagement est pensé avec des espaces de bureaux de type NWOW où la mobilité, la collaboration, les échanges et la proximité en sont les moteurs. Tout un chacun à la possibilité d’utiliser l’équipement et l’espace le plus adapté à son activité du moment.

F (-AU) comme foyer

On rentre au cœur du foyer directement soit via le nouveau parvis soit dans la prolongation de la cour d’honneur historique. Le foyer créé des liens verticalement et horizontalement avec les ateliers, la bibliothèque, les bureaux et la salle polyvalente.

Le foyer tire parti d’échappées visuelles intéressantes sur le bâtiment historique existant, le centre-ville historique de Mons (beffroi) et  le jardin côté sud du bâtiment. Les vis-à-vis avec les voisins proches (notamment le grand immeuble de logements côté sud du bâtiment) sont évités par la mise en place d’une façade translucide, permettant d’amener de la lumière naturelle dans les espaces sans avoir des vues directes vers l’extérieur.

Le foyer comme « third teacher » enrichit l’expérience pédagogique, collaborative et de communication pour stimuler débat, création et partage.

La conception du foyer en double hauteur permet d’intégrer des installations verticales. Le grand escalier sous forme de gradin encourage les circulations « lentes » et la convivialité – il peut fonctionner en tant que « théâtre »/auditoire informel (grand événement).

On retrouve également de larges coursives qui permettent l’implantation de mobilier en lien avec les espaces d’atelier (exposition des travaux, zones de travail informel/en groupe).

“Agri & Culture” en marche!

La réhabilitation de Bab El Djabia - Complexité de conception et imprévus du terrain

La réhabilitation de Bab El Djabia – Complexité de conception et imprévus du terrain

  Dr. AZAZZA Hafiza Faculté d’Architecture et d’Urbanisme. Université Salah Boubenider. Constantine3. Nouvelle ville Ali Menjli Constantine. Algérie <img data-attachment-id="73569" data-permalink="https://democraticac.de/?attachment_id=73569"…

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RE-Blog : What Life Is Like For Architects VS Normal People

Le regard de l'architecte sur le monde ne vaut aucun autre... à tord (surement), à raison (parfois). #joke

détail du hall principal de la faculté d’architecture de Hambourg… une photo typique que seul un architecte est intéressé à prendre ! Temps de lecture : the time you want !mots-clés : drawings , satirique, humour, architects, life of an architect Chers lecteurs, Ce re-blog sera bref, car il fat le regarder et en prime, c’est une private joke , juste pour les architectes… enfin presque : Dans…

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[Research] Participation in the DS2BE 2018, Doctoral Seminar on Sustainability Research in the Built Environment, Faculté d’Architecture La Cambre Horta, Brussels, Belgium | AM.

FACULTÉ D’ARCHITECTURE DE L’UNIVERSITÉ DE PORTO

Porto

ALVARO SIZA VIEIRA

1996

Promenade architecturale, Faculté d’architecture LaCambreHorta, BA3, Bruxelles, 2011

Jour 29 – Mercredi 25 septembre

Avant dernier jour de stage, je rejoins Benjamin à la faculté d’architecture où je rencontre une ancienne prof de Benjamin. Le projet est de réaliser une édition pour valoriser les projets des élèves et garder une trace des étapes de construction. Avant de rentrer au studio, nous nous arrêtons chez « Livres aux trésor » pour demander quelques informations sur le classement des livres. Dans l’après-midi je réfléchis à l’identité visuelle du « kikk festival » pour l’événement « Glimps ».

PIERRE BOUILHOL

Doctorant

Architecte praticien depuis 2013, Pierre Bouilhol a collaboré avec plusieurs bureaux d’architecture en France et en Belgique. En 2019, il entame une recherche doctorale, intitulée « Formes du politique et moments architecturaux » en co-tutelle entre Paris 8 et l’Université Libre de Bruxelles sous la direction de Xavier Bonnaud, architecte et Ludivine Damay, politologue.

Son thème de recherche porte sur la présence du politique, des tensions et des controverses qui traversent les processus de mise en forme architecturaux. Il étudie comment transformations du politique et de l’architecture s’articulent et se répondent depuis des observations ethnographiques au sein de bureaux d’architecture et d’urbanisme. En 2020, il sera résident à la Cité Internationale des Arts de Paris pour poursuivre ses recherches.

thèse (inscription 2019) :

«Formes du politique et moments architecturaux. Enquête sur des processus de projets architecturaux : autonomie, dépendance, résistance.»

Thèse en cours, sous la co-direction de Xavier Bonnaud (Gerphau – ENSA Paris La Villette, attaché à l'ED « Pratiques et théories du sens », Université de Paris 8) et Ludivine Damay (Sasha – Faculté d’Architecture la Cambre-Horta, attaché à l’Université Libre de Bruxelles).

L’architecture, en tant qu’exercice de partition (des espaces, des rôles et du sensible) et le politique, en tant qu’exercice de la négociation (reconnaissance du principe de dissensus comme base propre au politique et mise à l’épreuve du principe d’égalité), connaissent actuellement des transformations. Ces champs sont à la fois frappés d’incertitude mais aussi d’attentes sociétales considérables. Certains qualifient cette période de « post-politique » marquée par la fin de la politique ou sa réduction à une ingénierie bureaucratique (Lahiji, 2014 ; Zwyngedouw, 2009 ; Mouffe, 2016). La thèse de doctorat interroge la position de l’architecte au sein des acteurs de la fabrique urbaine dans un contexte de crises multiples : crise climatique, raréfaction des matières, crise économique, crise sociale et politique. Cette recherche vise à la définition d’un outil de décryptage du caractère politique de l’architecture et du caractère architectural du politique. La recherche se concentre sur l’analyse et l’observation de processus de projets architecturaux en cours au sein d’un bureau d’architecture pour évaluer comment s’entremêle, s’incarne, s’engage et s’exprime le politique à travers l’architecture et inversement. La méthode d’enquête est double : à travers, d’une part, une étude des formes architecturales et urbaines conçues, débattues et construites, et d’autre part, des observations ethnographiques lors de moments de négociations entre les différents acteurs du projet. Comment l’architecture est-elle influencée par ce contexte post-politique présumé ? Si l’on considère l’exercice de mise en forme architectural comme un processus continu de moments d’arbitrage : à partir de quand peut-on qualifier ces arbitrages de politiques ? Il s’agira de comprendre ce que la politique « post-politique » fait à l’architecture et au territoire, ce qu’elle engendre comme agencements, comme négociations, comme résultats pour le développement urbain. Mais aussi, ce que l’architecture, en tensions entre des impératifs antagonistes, des dynamiques de changement, fait au politique : parvient-elle à faire en sorte que les défis contemporains de l’urbain soient relevés ?

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