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#ban brasier
zhaozi · 3 months
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allthecanadianpolitics · 10 months
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Pendant que tous les yeux étaient tournés vers les orages et les inondations dands le sud de la province, le plus grand brasier de l’histoire du Québec brûlait cette semaine au nord du 49e parallèle.
Avec ses 1 041 760 hectares – à peine plus petit que le Liban –, cet incendie est trois fois plus grand que celui qui avait fait les manchettes en 2013.
Il s’agit du plus vaste incendie jamais recensé par la Société de protection des forêts contre le feu (SOPFEU), a confirmé à La Presse la porte-parole Mélanie Morin.
« Ampleur sans pareille », « feu historique », « le plus gros incendie jamais vu » : les superlatifs ne manquaient pourtant pas en 2013 pour décrire le brasier de 350 000 hectares qui brûlait alors à quelques kilomètres de la collectivité crie d’Eastmain.
Dix ans plus tard, l’ampleur de ce nouvel incendie – le 218 – est passée presque inaperçue. À noter que c’est dans cet incendie qu’ont été blessés deux combattants auxiliaires de la SOPFEU lundi dernier, une première en 30 ans, comme le rapportait La Presse samedi. [...]
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Note from poster @el-shab-hussein: this article was posted 3 days after the SOPFEU partially lifted some bans on open-air fires.
Tagging: @politicsofcanada
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eclairscapiteux · 6 months
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Mais tu vois, avec toi, je n’ai pas peur du réel. Je n’ai pas peur des verres cassés ni des coups de langue, des assiettes lancées selon mon caprice et de tes lèvres entre mes cuisses. Je n’ai pas peur du grand jour et de crier mon désir par-dessus la tête des passants dans la rue, je n’ai pas peur des déserts sans histoire, puisque je sais que nos étreintes se font au hasard. Et sur la route nue, je t’attends, à moitié dévêtue. Les voitures ne passeront pas, mais nous, nous passerons, l’un sur l’autre, l’un dans l’autre et ton corps oublié dans mes bras. Et sous moi le macadam tour à tour chaud et froid, et les vrombissements lointains vis-à-vis de nos tremblements épidermiques… Je crois savoir comment faire nos corps hystériques ��� conducteurs des éclairs des tressaillements superficiels aux langueurs interstitielles. Je veux – je fais – je prends tes mains et les fais glisser de mes lèvres humides à la pointe de mes seins – je veux me savoir blanche et nue sur l’asphalte affolé, toute ma peau échauffée entre tes doigts fertiles. Et puis, encore, refaire l’amour subtil, une fois de plus, encore, baiser et rendre nos corps indociles. Et continuer, toujours, nous mener je ne sais où, tout connaître, tout vivre, tout savoir, de la douce chasteté jusqu’à la pire obscénité. Te rencontrer ta chair, te découvrir ma nudité sincère. Brûler de tant de feux et t’embraser toi, de mes propres folies, avec ma propre chaleur – faire un brasier de nos envies (et c’est toujours la même cérémonie, toujours unique).
Non je n’ai pas peur de t’ouvrir mes lèvres, ma porte et mes cuisses. Je n’ai pas peur de consumer mon être et mes envies, de m’a(ban)donner au plaisir charnel. Je n’ai pas peur de ressentir, ressentir, ressentir – purement, n’être plus qu’un corps vociférant de plaisir. Continûment, nous nous extasierons. Réciproquement nous nous délecterons l’un de l’autre. Dans l’or de la nuit, dans la clarté chaire, dans la peau cousue de mots éperlés de sueur. Ce mot à mot à corps à corps à corps infini qui saurait se dire (que je saurais dire) de mille façons différentes, encore. Puisqu’il faudrait toucher ta chair pour la dire mieux, et moi, j’ai beau me toucher, poser mes doigts rosis sur ma propre peau haletante – me sais-je ? En moi, je nous saurais mieux ! Que notre désir soit impossible à achever, inépuisable, insatiable – puisque je prendrais ta coupe pour l’avaler d’un trait, les yeux fixés sur ton corps nu dans la pénombre de nos joies physiques – puisque j’étalerais sur mes bras le mélange de nos salives, sur mon ventre la chair de n’importe quel fruit mâché par tes lèvres, sur mes seins ma propre jouissance – puisqu’il faudra bien faire, refaire, défaire l’amour, les chairs, les draps – puisque j’ai mille idées, désirs, fantasmes, folies – puisqu’il faudra que je sente tes dents ouvrir ma peau et tes mains se frayer un chemin parmi mes dentelles – puisqu’il faudra goûter les regards obliques des inconnus dans les cafés où nous serions indécents – puisque, puisque…
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