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#Vent Vert
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atelierevia · 10 months
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Huile de Café Vert en Vente | Atelierevia.com
Mettez la main sur une des meilleures huiles de café vert en vente au Canada sur Atelierevia.com! Cette huile naturelle est parfaite pour un usage cosmétique puisqu'elle aide à améliorer l’élasticité de la peau et à lutter contre les radicaux libres. Magasinez dès maintenant!
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restonscalmes · 1 year
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Y'a du vent !!
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brok3n-gl4ss · 2 years
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AAAAAAAAAAAAAAA
HE LIKES MY WAIST???? HE LIKES MY WAIST‼️‼️
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martassimsbookcc · 2 years
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【 ℂ𝕣𝕖𝕕𝕚𝕥𝕤 】 Original Sims 4 post by @cowbuild​ - ⚪
• Polycount, buy category, price § and more useful information ↓ •
* 3-in-1 Electric Breakfast Station: 9934 verts | 15022 faces >> Found under Miscellaneous decor | 1060§ >>> Recolorable - 2 channels
* Anti Splatter Shield: 5934 verts | 5910 faces >> Found under Miscellaneous decor | 30§ >>> Recolorable - 3 channels
* Bear Coffee Machine: 8101 verts | 12389 faces >> Found under Miscellaneous decor | 750§ >>> Recolorable - 2 channels >>>> Decorative only
* Bear Mini Oven: 5745 verts | 8178 faces >> Found under Small appliances | 790§ >>> Recolorable - 2 channels >>>> Functional but not animated
* Breakfast in a Pan: 4226 verts | 6491 faces >> Found under Miscellaneous decor | 100§ >>> Not recolorable - 1 preset
* Bristol Kitchen Cabinet: 436 verts | 490 faces >> Found under Cabinets | 355§ >>> Recolorable - 2 channels
* Bristol Kitchen Cabinet Corner: 411 verts | 529 faces >> Found under Cabinets | 355§ >>> Recolorable - 2 channels
* Bristol Kitchen Cabinet Tall: 1630 verts | 1684 faces >> Found under Cabinets | 580§ >>> Recolorable - 2 channels
* Bristol Kitchen Cabinet Small: 436 verts | 490 faces >> Found under Cabinets | 200§ >>> Recolorable - 2 channels
* Bristol Kitchen Cabinet End A/B: 514 verts | 546 faces >> Found under Cabinets | 190§ >>> Recolorable - 3 channels >>>> 3 slots for Small/Medium/Large objects
* Bristol Kitchen Counter A: 844 verts | 974 faces >> Found under Counters| 750§ >>> Recolorable - 3 channels
* Bristol Kitchen Counter B: 1846 verts | 2790 faces >> Found under Counters| 750§ >>> Recolorable - 3 channels
* Bristol Kitchen Counter Corner: 440 verts | 553 faces >> Found under Counters| 750§ >>> Recolorable - 3 channels
* Bristol Kitchen Counter End A/B: 1875 verts | 2816 faces >> Found under Counters| 600§ >>> Recolorable - 3 channels
* Bristol Open Kitchen Cabinet: 1428 verts | 1736 faces >> Found under Cabinets | 355§ >>> Recolorable - 1 channel >>>> 30 slots for Small/Medium/Large objects
* Kiara 16’ Saucepan: 2603 verts | 4258 faces >> Found under Miscellaneous decor | 100§ >>> Recolorable - 3 channels
* Portable Induction Cooktop: 833 verts | 910 faces >> Found under Miscellaneous decor | 2030§ >>> Not recolorable - 2 presets
* Retro Fridge with Magnets: 5778 verts | 6287 faces >> Found under Large appliances | 1289§ >>> Recolorable - 2 channel
* Retro Gas Stove: 19640 verts | 27622 faces >> Found under Large appliances | 1095§ >>> Recolorable - 4 channels
* Retro Vent Hood: 1710 verts | 1964 faces >> Found under Miscellaneous appliances | 350§ >>> Recolorable - 2 channels
* Paint with Wainscot Paneling: >> Found under Build mode - Siding | 29§ >>> Recolorable - 2 channels
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ekman · 2 months
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À peine a-t-on célébré la figure héroïque d’un Badinter raidi, champion incontesté du progressisme, pourfendeur de la peine de mort au nom du vaste humanisme républicain, que l’on s’empresse d’inscrire le droit à l’avortement dans la Constitution. Entre esprits éclairés, frangins militants, satrapes opportunistes, féministes auto-décrétées, le congrès réuni à Versailles a rapidement pris des airs de kermesse à l’instant des résultats de la consultation. Vu l’accélération des revers présidentiels depuis deux gros mois, rendre “immuable” le droit à avorter devenait une affaire urgente. Créer en permanence des faux problèmes et relayer des causes Potemkine est devenu l’occupation principale du staff des conseillers sensés éclairer les pas d’un petit président perdu dans ses nuages blancs et sa dévorante ambition européenne. Échec face aux agriculteurs – échec de communication, s’entend, car pour le reste, ils pourront toujours monter sur leurs tracteurs pour se pendre : rien n’a changé ni ne changera. Visiblement, les Français élevés en batterie et stockés hors sol, bourrés de boosters et d’anti-tout, semblent maintenant résolus à mâchouiller des haricots verts kenyans pour accompagner leur cochon hormonal guatémaltèque. Échec aussi à la réunion des boute-feus européistes où il fut question d’imaginer la possibilité de déployer dix-sept poilus du côté de Kramatorsk au nom de la défense de l’UE et de ses valeurs formidables. Vents et contre-vents s’ensuivirent afin de signifier au pyromane élyséen que cette déclaration était à tout le moins inopportune. Même en cas de canicule carbonée, l’hiver nucléaire n’est pas souhaité. Avec l’Otan et ses affidés comme amis, plus besoin d’avoir Vladimir comme ennemi. 
L’urgence abortive s’explique mieux ainsi.
Le narratif peu inspiré des spin doctors de McKinsey a planté le décor : une droite ultra-réac comptant dans ses rangs des calotins acharnés, des phallocrates maladifs et des misogynes sadiques étant dès à présent aux portes d’un pouvoir trop bienveillant, il était absolument vital de mettre sous cloche un “droit” établi il y a cinquante ans pour faire cesser une autre boucherie, celle des “faiseuses d’anges” en l’espèce. Dès 1974, les préambules et autres prolégomènes de la loi appelaient à la prise de conscience des femmes et des hommes concernés, suggérant mille prudences autour d’un acte terrible autant qu’irréversible. Pour autant, l’histoire récente montre qu’il était déjà trop tard pour barrer la route au “jouissez sans entraves” des gorets de 1968 : au prétexte de libérer les femmes du fardeau de l’enfantement, on les assignait au rôle d’objets sexuels défécondables, conçus pour le seul plaisir de gauchistes pornocentrés et de bourgeois honteux. Belle avancée sur la voie de “l’émancipation”, lisait-on alors dans la presse progressiste. Cependant, comme ça enfantait toujours plus dans les chaumières, les canules se mirent à aspirer à un rythme soutenu les excès de plaisirs fugaces – c’est que la pilule n’était pas encore complètement entrée dans les mœurs, comprenez-vous. En outre, les capotes manquaient de romantisme, le coïtus interruptus ressemblait trop souvent à une loterie et la méthode Ogino n’intéressait que les paroissiens. Décennie après décennie, le nombre d’avortements n’allait que croître, malgré la contraception libre et quasi gratuite, le sida et les MST. La France, avec ses assoces frénétiquement pro-IVG, est devenue un phare dans le domaine. Toutes ces bonnes âmes sont parvenues à tourner un drame féminin en épopée féministe. Et pourtant. L’avortement, c’est d’abord un cœur humain qui cesse de battre. Au-delà des parfaites abruties qui se contre-foutent de la valeur d’une vie (mais adorent le bouddhisme qui est cool et hyper-respectueux), l’avortement c’est d’abord un échec, souvent un drame, toujours une défaite. C’est une borne sombre dressée sur le chemin de celle qui ne sera pas mère. Pour son compagnon, son jules ou son mari ça ne le sera pas moins, si tant est qu’il assume sa responsabilité et soit doué d’un minimum de conscience vitale. En France, la constitution autorise l’interruption de grossesse jusqu’à 14 semaines de gestation, ce qui veut dire que le foetus a déjà son visage, un cerveau et une moelle épinière fonctionnels. Cela, on ne va pas trop vous le dire et surtout on ne va pas vous le montrer, parce que l’on sait jusqu’à quel point les images de chiots dénutris sur Instagram vous émeuvent. Surtout, ne pas prendre conscience de la réalité des choses ni de l’existence des êtres. Votre sexualité, c’est votre liberté. Votre corps vous appartient. Jouissez sans entraves. Ni Dieu ni maître. Et d’ailleurs, comme vous le rappelait un bénévole du Planning Familial, on peut aussi bien assurer le renouvellement des générations avec Momo de Marrakech et Babacar de Dakar. C’est même souhaitable.
J.-M. M.
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drackarys · 8 months
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L'auto stoppeur
Lors d'un week end ou nous avions 3 heures de route, nous avons croisé un auto stoppeur sur le bord de la route.
Le pouce bien en l'air, 25 ans, le gros sac a dos, les cheveux aux vent, le short multi poches, la chemise ouverte, le débardeur blanc.
Nous le faisons monter a l'arrière, et commençons à discuter de tout, de rien.
Il nous dit partir rejoindre des amis et que nous sommes fort sympathiques de l'emmener.
Pour l'occasion de notre weekend, j'avais mis une jupe assez volante et un débardeur près du corps. Il faisait chaud.
Mon mari a fait dévier la conversation, en demandant à notre invité, s'il avait une petite amie, si cela faisait longtemps qu'il était parti, s'il avait été pris en auto stop par denombreuses personnes, si parfois cela avait dévié....
Nous avons vite compris que notre nouvel ami n'était pas contre un peu d'action.
Mon mari lui a donc demandé de glisser sur le siège derrière lui afin de pouvoir me regarder a sa guise.
Il m'a fait ouvrir mes cuisses et enlever mon string.
Tout en conduisant (vive les voitures automatiques), mon mari a commencé à me caresser la peau de mes cuisses.
Il faisait chaud, très chaud...
Il a alors demandé à notre invité de se mettre sur le siège derrière moi et lui a donné feu vert pour me peloter autant qu'il le souhaitait sans restriction....
J'ai vite senti ses mains se promener le long de mes seins, glissant sous mon débardeur afin de les soupeser, de les pincer, faisant rouler mes tétons entre ses doigts.
Elles ont continué leur chemin vers ma jupe, et il n'a pas fallut longtemps a ce jeune homme pour trouver l'entrée.
Il a senti mon excitation, l'humidité de mon antre et y a très vite glissé ses doigts.
Il se les aient léchés puis en a fait de même avec ma bouche.
Une main sur un sein, l'autre sur mon clitoris, il a commencé sa stimulation, tout cela sous le regard de mon mari qui faisait courir sa main sur ma cuisse.
Il n'a pas fallut longtemps pour que mes cris remplissent l'habitacle de la voiture.
Mon mari a arrêté la voiture sur le bas côté, m'a embrassé goulûment puis m'a dit de passer a l'arrière pour remercier notre auto stoppeur le temps de finir la route. Il ne restait que 15 minutes pour le faire venir avec ma bouche.
Au vue du niveau d'excitation, vous pouvez imaginer qu'il n'a pas fallut 15 minutes a notre ami pour venir entre ma bouche sur son sexe et mes mains sur ses boules...
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dostoyevsky-official · 3 months
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Il faut être toujours ivre. Tout est là : c’est l’unique question. Pour ne pas sentir l’horrible fardeau du Temps qui brise vos épaules et vous penche vers la terre, il faut vous enivrer sans trêve.
Mais de quoi ? De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. Mais enivrez-vous.
Et si quelquefois, sur les marches d’un palais, sur l’herbe verte d’un fossé, dans la solitude morne de votre chambre, vous vous réveillez, l’ivresse déjà diminuée ou disparue, demandez au vent, à la vague, à l’étoile, à l’oiseau, à l’horloge, à tout ce qui fuit, à tout ce qui gémit, à tout ce qui roule, à tout ce qui chante, à tout ce qui parle, demandez quelle heure il est ; et le vent, la vague, l’étoile, l’oiseau, l’horloge, vous répondront : « Il est l’heure de s’enivrer ! Pour n’être pas les esclaves martyrisés du Temps, enivrez-vous ; enivrez-vous sans cesse ! De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. »
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tournevole · 3 days
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Arbres de la forêt, vous connaissez mon âme ! Au gré des envieux, la foule loue et blâme ; Vous me connaissez, vous ! – vous m’avez vu souvent, Seul dans vos profondeurs, regardant et rêvant. Vous le savez, la pierre où court un scarabée, Une humble goutte d’eau de fleur en fleur tombée, Un nuage, un oiseau, m’occupent tout un jour. La contemplation m’emplit le cœur d’amour. Vous m’avez vu cent fois, dans la vallée obscure, Avec ces mots que dit l’esprit à la nature, Questionner tout bas vos rameaux palpitants, Et du même regard poursuivre en même temps, Pensif, le front baissé, l’œil dans l’herbe profonde, L’étude d’un atome et l’étude du monde. Attentif à vos bruits qui parlent tous un peu, Arbres, vous m’avez vu fuir l’homme et chercher Dieu ! Feuilles qui tressaillez à la pointe des branches, Nids dont le vent au loin sème les plumes blanches, Clairières, vallons verts, déserts sombres et doux, Vous savez que je suis calme et pur comme vous. Comme au ciel vos parfums, mon culte à Dieu s’élance, Et je suis plein d’oubli comme vous de silence ! La haine sur mon nom répand en vain son fiel ; Toujours, – je vous atteste, ô bois aimés du ciel ! – J’ai chassé loin de moi toute pensée amère, Et mon cœur est encor tel que le fit ma mère !
Arbres de ces grands bois qui frissonnez toujours, Je vous aime, et vous, lierre au seuil des autres sourds, Ravins où l’on entend filtrer les sources vives, Buissons que les oiseaux pillent, joyeux convives ! Quand je suis parmi vous, arbres de ces grands bois, Dans tout ce qui m’entoure et me cache à la fois, Dans votre solitude où je rentre en moi-même, Je sens quelqu’un de grand qui m’écoute et qui m’aime ! Aussi, taillis sacrés où Dieu même apparaît, Arbres religieux, chênes, mousses, forêt, Forêt! c’est dans votre ombre et dans votre mystère, C’est sous votre branchage auguste et solitaire, Que je veux abriter mon sépulcre ignoré, Et que je veux dormir quand je m’endormirai.
AUX ARBRES – VICTOR HUGO
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harlowcomehome · 1 year
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How we met:
A/N: This is the start of my series between Jack and Y/N (AKA Hazel & Jades mom.) This is based in Atlanta, GA. TWTAS was released December 11th 2020. They are meeting weeks after it’s release.
Series link
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You were walking around your shared apartment, struggling to find something to wear. Layla, your best friend was a singer who mainly covered songs at weddings and events. She had a gig tonight, and as much as you wanted to be there, you had other plans.
You had a date, which was a rare occurrence. If anyone was unlucky in love, it was definitely you. You were nervous for your date tonight, it had been a while since you dated anyone and you were ready to put yourself back out there. You had just finished your hair and make up when your phone dinged. You assumed it was Layla and sprung up, excited for her to finally give you some outfit suggestions but you were quickly disappointed when you realized it was Joseph, your date, canceling for the second time. You were frustrated with yourself, you had just assumed the first time was bad timing and decided to give him a second chance, now you felt silly knowing that if he was canceling plans, he definitely made them with someone else.
You wanted to cry, and be upset but you just couldn’t bring yourself to it. You always expected the worst, so no part of you was surprised. Just as you had sat on the couch to sulk, the front door began to open and there was Layla. “What’s the matter?” She asked instantly, hardly needing to look at you to know that something was off. “Joseph flaked again” you shrugged and she clicked her tongue at you. “ Come with me tonight! It’ll be fun” Layla begged in a sing-songy tone. “Where is it at?” You asked curiously, as you followed Layla into her room as she got ready.
“The Ventanas! I’ve sang there a few times remember?”
Your eyes widen, “is this the event for Atlantic records?”
Layla nodded excitedly as she peeked at you from the bathroom, “yeah! It’s super bougie but luckily I’m not the only one covering tonight. We can eat, drink and leave before midnight if it’s boring.”
“Am I allowed to come?” You asked nervously and Layla giggled “Yes! They told me and everyone in the band that we could bring a plus one!”
“What should I wear?” You asked as you sat with your legs crossed on Laylas bed.
“Emerald green dress! The long sleeve one with the mini black fur coat!”
Your eyes widened “how do you do that?” You jumped off her high bed, leaving the room to go change.
“It’s a gift” she giggled as she rushed to get ready.
You were nervous on the way to the venue, you weren’t sure why because you wouldn’t be the one singing but you just felt incredibly anxious. You moved the vent in the car to hit you directly, turning on the air conditioning. It was winter time in Atlanta but you were still sweating.
“You’re really sweating right now?” Layla giggled as she pulled into the parking area.
“You’re not? Aren’t you nervous?” You asked in shock, assuming that Layla knew just how many important people from the record label were going to be here.
“Nah, they won’t be paying any attention. This is their New Year’s holiday party, end-of-the-year rendezvous. They definitely aren’t going to be looking for any talent tonight” she shrugged as the two of you made your way out of the car and into the building.
The party was on the roof of the building, meaning you had a great view of the city. The venue was also prepared for winter events, meaning they had giant patio heaters spread throughout the rooftop.
You got a drink and sat down at your designated table, you spoke with some familiar faces. Layla had band mates and a few of them were married or had significant others that they had also brought. You nursed the drink in your hand, worried that if you actually drank it you’d have to search all over this great big building for a bathroom.
A few famous faces that you recognized trickled inside of the building, Lil Uzi Vert being one of many. You tried to hide your excitement, it was easy to as they were on one side of the rooftop and you were on the other. Even if they were near you’d be too shy to say anything, anyway.
Layla sang a handful of songs and when she was done the two of you and the rest of the band were served plated dinners.
“You’re not going to eat any of this are you?” Layla teased as you pushed around the food on your plate.
“Mmm, no” you giggled and she did too. You scanned the room while everyone else spoke. That was the good thing about being such a reserved person, you noticed things others didn’t.
You noticed him walk in, Jack that is. He was incredibly late, his curls were a mess and it was clear he and whoever he came with were in a rush to be there. Both Jack and his friend (who you later realized was Urban) looked like they were notified of this event less than five minutes ago. You found it somewhat adorable, and you couldn’t take your eyes off of him as he went around greeting everyone.
“Jack Harlow” Laylas band mate interrupted your daydream, taking you back a little. “That man you’re eye fucking from across the room love, his name is Jack Harlow” he chuckled and you felt your face immediately get hot with embarrassment.
“It’s okay babes, I don’t blame you” he teased and you managed to force an awkward giggle.
“Is that the what’s poppin guy? Brand new whip just hopped in?” Layla giggles as she nudges your shoulder.
Layla knew you had been playing TWTAS around the apartment ever since it came out but she wasn’t about to embarrass you in front of the table.
“We should go say hi” she whispered and you looked at her mortified. “Absolutely not, I’d rather jump off this roof” you joked and she snorted.
“Do you wanna leave?” Layla asked after a few minutes and you shrugged “I’m fine, do you want to?”
“No, I’m fine” she smiled and patted your leg with her hand for reassurance. “We have to find a bathroom though” she whispered and you nodded, the two of you standing to go find one.
Eventually you found the very long bathroom line and let Layla know you’d be waiting for her off to the side. You wanted to take some photos of the view for Instagram and finally had the opportunity to do it.
You were standing alone when you noticed Jack from the side of your eye, he wasn’t close enough to touch but he was close enough for you to notice him. You took a look at the outfit he was wearing, a cream colored cable knit turtleneck. He felt your gaze and smiled at you, you had been caught and all you could do was awkwardly smile back before pretending to be distracted on your phone again.
He eyed you up and down, and you could swear you felt it but ignored it assuming you had just been being hopeful. You took a few more photos of the view and before you could turn to leave, you heard him speak.
“Hi?” He walked directly over to you now. “Have we met? I’m Jack” he shook your hand and you smiled.
“I don’t think we have. I’m Y/N” you let out a soft nervous giggle and Jack could immediately tell you were the shy type.
“Y/N huh? I like that” he smiled and you did too, not saying a word.
“What made you decide to come here tonight Y/N?” He leaned against the wall, as he spoke to you.
“My best friend Layla, she actually covered some songs tonight” you hummed, trying to break the awkward eye contact you were unintentionally making. He smiled, he found your awkward energy endearing.
“Did you know that Atlanta is the only place where it’s legal to have rooftop parties in the winter?”
He smirked and you giggled “did you just make that up?”
“Perhaps” he grinned, making you laugh nervously again.
“You have a cute laugh, I like it” he hummed and you could feel your face getting warm again.
Before you could respond he was being ushered away by someone you assumed was management or someone on his team. He looked over their shoulder and held up a finger to you mouthing the words “be right back.”
Layla showed up almost immediately after, she noticed the look on your face.
“What did I miss?” She smiled and you did too.
“I just talked to Jack” you gushed.
She was shocked “as in Harlow?”
“Yeah, as in Harlow” you giggled.
Unfortunately, it was a while before you saw Jack again that night. Layla insisted on staying until past midnight to watch the fireworks from the rooftop and you didn’t mind it, you thought it would be a perfect excuse to wait around in hopes that Jack would have time to talk to you again.
It was almost perfect timing, 11:50 when Jack approached you. Layla immediately made herself scarce, flashing the both of you a big smile.
“Sorry, things got kind of crazy for a second there. Where were we?” he laughed awkwardly and you mirrored it.
“Oh yeah, your cute laugh” he teased and you shook your head.
“I didn’t think you’d come back” you changed the subject quickly off of yourself.
“Why wouldn’t I?” He questioned, eyeing you up and down once more.
You smiled and shrugged, “I thought you had already forgot about me” you teased.
“You’re the most beautiful woman at this party, how could I forget about you that quick?” He smiled and you finally looked over at him.
You really took him in, his features as a whole. His smile was infectious, his eyes were sparkling like something out of a movie. He was so tall that he basically towered over you, even in the heels that you had regretted wearing.
You made small talk for the next ten minutes. You had noticed a lot about him in these ten minutes. He was easy to talk to, he was actually really funny and oddly enough he never mentioned his work to you once. You were kind of surprised, knowing that he was in a position to be somewhat braggadocious and he wasn’t.
The clock was moments away from striking midnight. The room roared in unison counting down.
10
9
8
7
6
Your heart started to beat faster, Jack scooted closer to you and the two of you smiled as you leaned against the rooftop railing slightly to get a better view of the city.
5
4
3
You turned to Jack and the two of you mouthed “two, one” to each other. You wanted to go in for a kiss, that’s what people usually do at midnight right?
Jack bent down however, kissing your cheek, which surprised you.
You pulled back with a confused look on your face, “maybe we should save the first kiss for our first date?” He smiled before he handed you a napkin from his pocket with scribbled digits on it, you assumed he was holding on to it since you had spoke earlier.
You nodded, still in shock about how tonight had went as a whole. He asked if you were going to be okay, and you let him know you’d find Layla and then you’d be on your way. He gave you a quick hug before waving goodbye and leaving with a group of people.
Layla saw you standing there, staring at the napkin in your hands and walked over. “Did you get your new years kiss?”
“Not exactly” you smiled, shoving the napkin into your purse. “But I think I got something better” you hummed as the two of you made your way out to the parking lot.
“A date?!” Layla nudged your shoulder with hers.
You giggled in response and before you could say anything Layla turned to you “I need full details on this drive home, don’t skip anything!”
“Don’t worry, I won’t” you smiled.
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coolvieilledentelle · 8 months
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"Plus rien ne bouge dans le désarroi du temps. Même l’océan sommeille à l’ombre du phare. Sur le chemin qui mène aux marais salants La pluie s’agite pour embrumer le regard. J’entends dans le loin grimacer la chrysalide De la lune ronde qui semble fuir l’obscurité. Le ciel voudrait allumer ses bougies timides Mais les tisons sont froids dans sa cheminée. Te dire mon silence intérieur qui bâillonne Le mot écrasé sur le sable vert de l’intime Ne chassera pas tous ces requiem aphones Il pleut des ténèbres jusque dans la rime. Entre les dunes, serpente un vent orphelin Il me parle de toi et je flirte encore souvent Avec ton ombre posée sur la nuit sans tain Je t’ai suivi jusqu’à l’épilogue de ce roman. Seuls mes pas crissent entre les fougères Césures incertaines au bout de cette plage Pensées inaudibles, il vaut mieux se taire Pourtant, de notre livre, se tourne la page. Longtemps immobile, ma coque intérieure Vogue vers la parenthèse de ton grimoire. Dans l’écho de l’âme, ressuscite ton cœur Comme le font les étoiles tous les soirs." ✍ Sedna ✍
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chic-a-gigot · 5 months
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Le Petit écho de la mode, no. 49, vol. 23, 8 décembre 1901, Paris. 4. Chapeau, vêtement et toilettes de ville. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
I. Col ds forme ronde en guipure d’Irlande.
II. Chapeau MERCÉDÉS en velours noir, orné d’une palme fantaisie; le côté gauche, légèrement relevé, est retenu par un nœud en velours toutes nuances En vente au prix de 9 fr. 45 franco.
III. Robe en drap zibeline noisette. La jupe en forme est garnie de baguettes piquées formant la pointe sur le devant. Le boléro se compose d’un dos d’une seule pièce et d’un devant s’ouvrant sur un gilet de taffetas recouvert d’un coquillé de mousseline de soie surmonté d’un col drapé. Manches demi-longues se retournant en revers bordé d’un biais d’où s’échappe un bouffant de mousseline de soie serré dans un petit poignet. Mat.: 6 mèt. de drap. 0 m. 50 de taffetas, 0 m. 50 de mousseline de soie en 1 m. 20 de large.
IV. Robe pour fillette de cinq à sept ans en lainage gris acier. La jupe, plissée à petits plis lingerie, est garnie au bas d’une haute broderie de soie faite à môme. Le corsage-blouse s’ouvre devant sur un petit plastron de guipure posée sur transparent de satin. Grand col marin en lainage brodé se terminant devant en revers. Manches d’une seule pièce serrées dans un poignet. Haute ceinture de ruban se douant derrière. Mat.: 4 mèt. de lainage.
V. Robe en taffetas et velours. La jupe-corselet, rayée de biais de velours, est recouverte d’un boléro de velours s’ouvrant légèrement devant sur un plastron de guipure encadré de revers de taffetas et velours retenus par des petits boulons de cristal. Manches demi-longues garnies d’un revers découpé en dents et agrémenté de petits boutons. Haut poignet de mousseline de soie froncée formant trois bouffants. Mat.: 10 mèt. de taffetas, 2 mèt. de velours.
VI. Robe en drap vert amande et velours même ton. La jupe, doublée de taffetas, est garnie de biais de velours gracieusement disposés. La veste se compose d’un dos à couture, d’uh petit côté de dos et de devant et d’un devant ajusté par une pince. Col montant. Cette veste, doublée de taffetas, a la même garniture que la jupe. Manches demi-longues retombant sur un bouffant de mousseline de soie. Chapeau en feutre orné autour de la calotte d’une plume amazone et d’une draperie de velours. Mat.: 6 mèt. de drap, 1 mèt. de velours, 0 m. 25 de mousseline de soie.
VII. Vêtement en loutre, se composant d’un dos droit et d’un devant croisé se retournant en revers et fermé par des gros boutons fantaisie. Col Marceau. Manches à coude. Chapeau drapé en drap noir orné de chenille noire et d’un oiseau étendant ses ailes.
I. Round collar in Irish guipure.
II. MERCÉDÉS hat in black velvet, decorated with a fancy palm leaf; the left side, slightly raised, is held in place by a velvet bow in all shades On sale at the price of 9.45 francs.
III. Dress in hazelnut sable cloth. The shaped skirt is trimmed with stitched baguettes forming the point on the front. The bolero consists of a one-piece back and a front opening onto a taffeta vest covered with a shell of silk chiffon topped with a draped collar. Half-long sleeves turning into cuffs edged with a bias from which escapes a silk chiffon bouffant tightened in a small wrist. Mat.: 6 meters cloth, 0.5 m. taffeta, 0.5 m. chiffon 1.2 m. wide.
IV. Dress for girls aged five to seven in steel gray wool. The skirt, pleated with small lingerie pleats, is trimmed at the bottom with high silk embroidery made by me. The bodice-blouse opens in front with a small guipure bib placed on transparent satin. Large embroidered wool sailor collar ending in reverse at the front. One-piece sleeves cinched into one cuff. High ribbon belt tied behind. Mat.: 4 meters wool.
V. Taffeta and velvet dress. The corselet skirt, striped with velvet bias, is covered with a velvet bolero opening slightly in front on a guipure bib framed with taffeta and velvet cuffs held in place by small crystal bolts. Half-long sleeves trimmed with a lapel cut into teeth and decorated with small buttons. High cuff of gathered silk chiffon forming three bouffants. Mat.: 10 m. taffeta, 2 meters velvet.
VI. Dress in almond green cloth and velvet in the same tone. The skirt, lined with taffeta, is trimmed with gracefully arranged velvet bias. The jacket consists of a back seam, a small back and front side and a front adjusted with a dart. Collar. This jacket, lined with taffeta, has the same trim as the skirt. Half-long sleeves falling over a silk chiffon bouffant. Felt hat decorated around the crown with an Amazon feather and velvet drapery. Mat.: 6 meters. of sheet, 1 meter. velvet, 0.25 m. chiffon.
VII. Otter garment, consisting of a straight back and a crossed front turning into a lapel and closed with large fancy buttons. Col Marceau. Elbow sleeves. Draped hat in black cloth decorated with black chenille and a bird spreading its wings.
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atelierevia · 10 months
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Huile de Café Vert en Vente | Atelierevia.com
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marie-chatelaine · 25 days
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" Le vert venait de l’autre monde, ivre de vent, comme rafraîchi par une légèreté nouvelle."
- Rumi -
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ag-th · 7 months
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vent vagues mer bleu vert et gris parlent à ma place
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la-isla-blanca · 2 months
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-- suggestion de faceclaim pour le pré-lien joséphine de cézac
l'argent pour seul maître, dans cette famille toutes les occasions sont bonnes pour sortir l'une des multiples cartes bancaires. les de cézac portent un nom connu depuis plusieurs générations dans le domaine des vins et spiritueux, et possèdent aujourd'hui l'une des plus grandes fortunes de france. des galas de charité aux ventes aux enchères, des parties de golf aux soirées huppées, on les voit partout. famille dysfonctionnelle, où les billets verts font leur loi plus que les effusions sentimentales. le paraître avant l'être.
à l'aise dans ses escarpins, josephine marche comme si le monde lui appartenait. après avoir subi la pression familiale des années durant, elle est parfaitement entrée dans le moule construit pour elle. ambitieuse jusqu'au bout des ongles, elle ne rêve que d'une chose : prendre la tête de l'empire. madalen et ses velléités de liberté, madalen qui vers l'espagne s'est échappée... c'est une épine dans son pied. elle est là pour la ramener à la maison, et pour la première fois depuis des années, les trois enfants de cézac se trouvent réunis.
léandre & madalen de cézac attendent leur soeur avec impatience sur la isla blanca ! ♥
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