Tumgik
#Rien n'est réel
lazoneestlibre · 8 months
Text
youtube
Comment alléger la lourdeur des conditionnements et lâcher prise de manière joyeuse et gracieuse
0 notes
nemosisworld · 2 months
Text
Tumblr media
On a tant abusé du regard dans les romans d'amour qu'on a fini par le déconsidérer. C'est à peine si l'on ose dire maintenant que deux êtres se sont aimés parce qu'ils se sont regardés.
C'est pourtant comme cela qu'on s'aime et uniquement comme cela. Le reste n'est que le reste, et vient après.
Rien n'est plus réel que ces grandes secousses que deux âmes se donnent en échangeant cette étincelle.
Victor Hugo, Les Misérables
Ph. Photoport
40 notes · View notes
nijaded · 4 months
Text
Il n'est rien de réel que le rêve et l'amour. {Nothing is real but dreams and love.}
~~Anna de Noailles, 1876-1933
53 notes · View notes
orageusealizarine · 2 months
Text
Je voudrais, parfois, que personne d'autre que toi ne lise ce que je t'écris. Paroles perdues, paroles proférées à la nuit : tu es mon grand arbre, tu es mon grand vent, tu es le feu qui brûle et disperse mes paroles tues. Mais tous ces mots ne font-ils pas plus que te dire ? Et n'est-ce pas mon devoir de désigner au monde ta beauté ? (Comme je désigne le ciel et les végétations, amie prise par la main sur le parvis familier pour lui montrer cerisier et tulipes invisibles).
Survivrais-je un monde où ta beauté n'a pas été dite ? Plus que ta beauté - ta ferveur, ta soumission consentie à mes mots et mes mains, ta nudité claire et neutre à louer comme un présage salutaire. Oui, comment vivre dans un monde où s'ignore la générosité de tes paumes ouvertes et offertes ?
Je renonce à l'ignorance coutumière, à l'aveuglement : il faut, par mes paroles, dessiller l’œil solaire - répandre sur toi nos rayons d'or ; t'avoir en pleine lumière - en plein cri de joie : percer yeux et tympans et louer jusqu'aux parties les plus blanches de ton être (les plus fades, les plus inutiles - celles que mes baisers chérissent deux fois plus pour les rendre combles).
Doré par mes mots, par mes prières - par mes avidités et mes songes liquides ; oint de mon désir nouveau-né, tu resplendis. Fleurs de sueur humectées par leur germination, tu fais, pour qui sait sentir, le printemps plus réel. On marche, et la nature brille de tes mémoires : la terre exhalée et humide, crevée tout à coup de mille germes, rappelle ta chair ravinée de caresses. Fléau moite que ce printemps qui gorge les ruisseaux (mois détesté des bergers idéaux, des bucoliques oisivetés), qui te dégorge à son passage - divinité océane que tu contrefais ou concrétises.
Salive solaire ablution, nos doigts, nos ventres, nos cuisses - regards délavés éternels - gaieté, la terre grasse la chair ébranlées à plaisir - tes paupières, rivières sur-emplies, coulures épaisses bordées d'astres : fonte printanière que rien n'entrave. Mais comment dire ton corps ? confondu aux floraisons dans mon langage chimique.
27 notes · View notes
rougejaunebleu · 2 months
Text
Tumblr media
Nicolaas Warb Rien n'est réel 1950 Oil on plywood 29 x 26 cm
20 notes · View notes
e642 · 4 days
Text
J'ai jamais compris le but des anniversaires. Autant le mien que celui des autres. J'ai souvent pensé que ce serait plus symbolique et sensé de célébrer les anniversaires tous les 5 ans. Parce que toutes les demies décennies, nous sommes à un moment clef. J'ai donc jamais réellement fait l'effort de me souvenir des dates de mes proches. Je sais que ça compte pour la plupart des gens donc je fais le minimum mais j'ai du mal à saisir l'euphorie d'avoir une année de plus. Pourquoi ça en fait un jour si exceptionnel. Je trouve l'événement exceptionnel, celui de la naissance, rétrospectivement, on banalise la grossesse et le fait de donner naissance mais ça reste fascinant. En revanche, le reste n'est pas si important à mes yeux. Ça me donne plus envie d'en faire un jour dédier à ma maman par exemple. Plus que pour moi. Donc j'ai jamais ressenti de réel besoin de le fêter, ni de réel hâte/joie concernant cet événement. C'est une journée banale. A la rigueur, j'apprécie que le 16 mai soit la journée mondiale du vivre ensemble même si ça paraît bien dérisoire et hypocrite le temps passant. Première fois de ma vie que j'ai passé ce jour seule physiquement parlant. D'habitude j'étais avec mes parents, en partiels, en colocation. Là, j'étais seule. J'avais pris rendez-vous pour donner mon sang, c'était la première fois. Alors je m'y suis rendue. Et tout s'est très bien passé. Et aujourd'hui, c'est également la première fois que j'ai eu la présence d'esprit de rendre ce jour utile et sensé. Je suis ensuite rentrée et j'ai dormi puis regardé une série. Moi je ne souffre pas de cette solitude à propos des dates importantes comme certains, à entendable titre évidemment. J'ai beaucoup aimé voir personne. J'ai reçu des messages et le prends en considération c'est gentil. Mais au fond, je me demande souvent pour quoi faire. Et ce que je trouve le plus ridicule c'est les gens qui s'excusent d'avoir oublié de te le fêter ou en retard, comme si c'était grave et que mon estime de eux en dépendait alors que je n'y avais même pas fait attention. Ça me laisse d'une indifférence visiblement anormale. Comme les jours de l'an. C'est des jours qu'on declare exceptionnel alors que ce sont juste des mardis ou des jeudis. Rien de plus banal en soi.
16 notes · View notes
Text
Tumblr media
"Pauvres gens et misérables, peuples insensés, nations opiniâtres en votre mal et aveugles en votre bien, vous vous laissez enlever, sous vos propres yeux, le plus beau et le plus clair de votre revenu, piller vos champs, dévaster vos maisons et les dépouiller des vieux meubles de vos ancêtres.
Vous vivez de telle sorte que rien n'est plus à vous.
Il semble que vous regarderiez comme un grand bonheur qu'on vous laissât seulement la moitié de vos biens, de vos familles, de vos vies.
Et tout ce dégât, ces malheurs, cette ruine enfin, vous viennent, non pas des ennemis, mais bien certes de l'ennemi et de celui-la même que vous avez fait ce qu'il est, pour qui vous allez si courageusement à la guerre et pour la vanité duquel les personnes y bravent à chaque instant la mort.
Ce maître n'a pourtant que deux yeux, deux mains, un corps et rien de plus que n'a le dernier des habitants du nombre infini de nos villes.
Ce qu'il a de plus que vous, ce sont les moyens que vous lui fournissez pour vous détruire.
D'où tire-t-il ses innombrables argus qui vous épient, si ce n'est de vos rangs ?
Comment a-t-il tant de mains pour vous frapper, s'il ne les emprunte de vous ?
Les pieds dont il foule vos cités, ne sont-ils pas aussi les vôtres ?
A-t-il pouvoir sur vous, que par vous-mêmes ?
Comment oserait-il vous courir sus, s'il n’était d'intelligence avec vous ?
Quel mal pourrait-il vous faire si vous n’étiez receleur du larron qu'il vous pille, complice du meurtrier qui vous tue, et traîtres de vous-mêmes ?
Vous semez vos champs, pour qu'il les dévaste; vous meublez et remplissiez vos maisons afin qu'il puisse assouvir sa luxure; vous nourrissez vos enfants, pour qu'il en fasse des soldats (trop heureux sont-ils encore), pour qu'il les mène à la boucherie, qu'il les rende ministres de ses convoitises, les exécuteurs de ses vengeances.
Vous vous usez à la peine, afin qu'il puisse se mignarder en ses délices et se vautrer dans ses sales plaisirs.
Vous vous affaiblissez afin qu'il soit plus fort, plus dur et qu'il vous tienne la bride plus courte : et de tant d’indignités, que les bêtes elles-mêmes ne sentiraient point ou n'endureraient pas, vous pourriez vous en délivrer, sans même tenter de le faire, mais seulement en essayant de le vouloir.
Soyez donc résolus à ne plus le servir et vous serez libres.
Je ne veux pas que vous le heurtiez, ni que vous l’ébranliez, mais seulement ne le soutenez plus, et vous le verrez, comme un grand colosse dont on dérobe la base, tomber de son propre poids et se briser."
Étienne de La Boétie - Discours de la servitude volontaire (1576)
La psychanalyse nous permet de relire La Boétie en termes de discours, avec ce discours du Maître qu’est devenu le Discours Capitaliste, et la place du sujet en tant qu’il est impliqué dans la structure... Si le Discours Capitaliste ne fait pas lien social c’est qu’il se caractérise du déni de l’impossible ("Yes we can!", "Aujourd’hui tout est possible!"...) car se fondant sur cette particularité unique que le langage y apparaît comme instrument à disposition du sujet (alors que dans les autres discours le sujet est toujours un effet du signifiant)...
Le discours capitaliste nous fait croire que le sujet se sert lui-même à travers ce qu’il lui promet tandis qu’il ne fait que concourir à la perpétuation du discours... Nous nous sentons libres au sein du strict paradigme qu'il nous offre, c'est-à-dire dans la mesure où nous servons le Marché. Nous nous sentons libres précisément à l'endroit où nous sommes le plus serfs. Rien de plus ingénieux n'avait jamais été inventé...
La plus grande des servitudes est celle qui consiste à nous imaginer totalement désaliénés.
À l'inverse, c'est lorsque que nous abandonnons ce que nous imaginons comme étant notre liberté pour nous mettre au service d'une cause, c'est-à-dire d'un discours structuré autour d'un impossible réel, que nous sommes paradoxalement libres.
En nous mettant au service de ce type de discours, nous sommes forcés d'être libres, et en énonçant: "je sers ce discours" je préfigure du même coup un certain type de lien social déterminé. C'est donc en assumant ma servitude, mon aliénation que paradoxalement je peux exercer ma liberté.
Le Maître devient superflu au moment où l'Esclave consent à le servir. Comme lorsque nous sommes amoureux. L'amour est cette force qui nous contraint et qui nous tient. Servir l'Autre ne se fait alors jamais aux dépens de notre liberté, c’en est la manifestation même...
12 notes · View notes
homomenhommes · 2 months
Text
saga: SOUMISSION / DOMINATION 126
J'émerge seul dans mon lit, il est 13h passée. Remise en mémoire de la touze de la veille, je jette un coup d'oeil à la piscine, pas de trio en vu. Je croise Manu qui me demande où j'étais la veille. En deux mots je lui dresse le tableau. Il me dit que j'aurais pu le brancher sur ce coup. Je lui dis que la prochaine touze je ne l'oublierais pas. Nonchalamment, j'étire mes muscles dans un crawl paresseux. A cette heure de la journée les beaufs déjeunent et j'ai la paix. Une heure plus tard je sors et tombe sur Bo-gosse et sa moitié en terrasse à me mater. Je m'assois à leur table et d'un regard interroge le plus vieux. Réponse aussi brève : le trio. OK ! Manu se ramène avec un croc et une bière fraîche. Sans un mot, je déjeune. Bo-gosse parle. Il me dit que nous pourrions aller à notre rendez vous sur la plage. J'aime cet humour !
Je monte chercher clef de voiture, huile et drap de bain. Ils sont dans le hall à m'attendre. Bo-gosse me montre sa caisse, une Audi A5 RS flambant neuve. Je montre la mienne, BM Z8 ! Il me fait un signe qu'il a compris et il démarre. Je le suis. Volontairement, il me laisse voir sa moitié se pencher sur lui et je n'ai pas besoin de beaucoup d'imagination pour savoir qu'il lui fait une pipe. ;Bo-gosse se gare, je place le Z8 à coté et kpote. Pas la peine de faciliter le travail des voleurs. Malgré ses efforts, Bo-gosse bande encore à moitié quand il me rejoint. Promenade jusqu'à la plage et direct à l'océan. Retour aux serviettes. Moitié se met nu et attaque la protection de Bo-gosse. Ce dernier me propose ses services. OK et le voilà qui me huile le corps. Ce n'est pas un étalement de crème, c'est un réel massage délassant.
Nous passons l'après midi avec au maximum 20 mots de chacun de nous. Quel calme ! Et nous prenons un ton de plus coté bronzage. Moitié nous quitte quelques instants pour aller voir qui traine dans les sous bois. A son retour, nous avons droit à un résumé : une bonne partie de vieux même pas beaux, quelques jeunes en manque de bites, il s'est fait sucer par trois mecs mais sans aller jusqu'au bout, et il est tombé deux fois sur de l'action mais rien de transcendant. Comme nous partions, Bo-gosse me propose de passer chez eux. OK. Je les suis jusqu'à une villa assez proche de celle de la veille. Portail automatique et nous rentrons les voitures. Grosse villa avec piscine. Plongeon direct dans cette dernière histoire de se dessaler. A notre sortie, Moitié nous sert un apéro et s'attaque à nos shortys de bain. Je laisse faire et bientôt ma bite disparait entre ses lèvres. Il me fait durcir avant de passer à son mec. Quand ce dernier est bien dur, il alterne entre nos deux queues. Il suce bien ce petit ! Penché sur nous, il arrive à avaler correctement mes 20 cm (normal puisqu'il arrive à bouffer les 24 de son mec !). C'est très bon et fait baisser la tension psychologique qui régnait entre nous.
Je confie à Bo-gosse qu'il a un expert dans Moitié. Il me répond qu'encore là ce n'est qu'un avant goût. Je n'ai pas encore finit mon verre que ce dernier m'enkpote et s'assoit sur ma bite. Avec juste le gel de la kpote, il arrive à s'assoir sur mes cuisses. Arrivé au plus bas, ma queue au plus profond de lui, il me fait un ballet avec son anus, succession de serrages et relâchements, un véritable massage de bite. Il se relève et part s'assoir sur son mec. Je regarde et les 24cm disparaissent avec la même facilité. Moitié va entretenir nos raideurs comme ça pendant un bon moment jusqu'à ce que Bo-gosse me demande de le rejoindre. Oui, j'ai bien compris, il veut que nous double sodomisions Moitié. Docile Moitié se couche sur son mec et j'enjambe la méridienne sur laquelle ils sont installés. Je pose mon gland à l'entrée de Moitié et attend que sn mec ressorte.
Il le fait ne laissant que le bout de son gland dedans. Je colle le mien enkpoté sous sa couronne et dans un même mouvement, nous pénétrons Moitié. Léger soubresaut de sa part, mais nous l'investissons relativement facilement. La présence de nos deux queues lui tire quelques gémissements incontrôlés. Mais vu le coeur qu'il met à se limer dessus, c'est du plaisir qu'il en tire. Ma bite reste bien collée contre celle de Bo-gosse. Comme je me souviens de ma propre saillie, la veille, je me couche sur Moitié et mord un de ses trapèzes. Son gémissement se transforme en cri de plaisir. Bo-gosse me fait un clin d'oeil. Je prends les choses en main si on peut dire et fixe Moitié sur le torse de son mec, ne prenant pas ses protestation de couilles écrasées en compte. Dans cette position, je peux limer activement le trou massant de mon gland la hampe qui l'occupe avec moi. Ça a l'air de bien leur plaire. Je glisse sur tous mes 20cm et monte en pression sous l'action massant de son sphincter. Bo-gosse me souffle qu'il ne va pas tarder. J'accélère et m'enfonce une dernière fois à fond et dans une dernière morsure, je me vide. Bo-gosse remplit le cul de Moitié en direct et ce dernier tapisse les abdos de son mec. Je me retire avant de débander. C'est amusant de sortir d'un cul Kpoté avec plein de sperme dessus, comme si la kpote avant craquée. Je vérifie quand même mais c'est bien le sperme de Bo-gosse qui est dessus et le mien dedans. Moitié se dégage et lèche son sperme. J'admire la maitrise de son anneau, quand il a déculé son mec, pas une goutte de sperme n'est sorti, beau travail.
Nous avons finit l'apéritif plus calmement. Comme la villa ne dispose que de quoi faire les petits déjeuners et les apéros, Bo-Gosse me propose un restau à Royan. OK. Je pars à l'appart m'habiller et ils passent me prendre. Quand j'arrive à la résidence le trio me saute dessus pour me demander où j'étais. Je n'ai pas de compte à leur rendre ! Ils m'énervent et je les éjecte un peu durement. Short long kaki, chemisette blanche et baskets de marque, je suis prêt. Je m'engouffre à l'avant de l'A5, et nous partons. Pas mal comme caisse, silencieuse, confortable... Moitié se détache pour venir m'enlacer avec le dossier et me faire des bisous dans le cou. Engueulade de Bo-gosse, non pour les bisous mais pour la ceinture de sécurité. Il était temps nous passons devant une paire de Motards. Le diner est parfait même si notre trio attire les regards. Parmi une majorité de quinquagénaires bedonnants avec mémère et parfois petit dernier aux basques, il est vrai que sortons du lot ! Les serveurs ne s'y sont pas trompés et nous sommes servis avec un zèle à rendre jalouses les autres tables. J'en apprends un peu plus sur le couple qui m'invite. Bo-gosse a une galerie d'art à Paris et Moitié est un de ses artistes. Ironiquement je demande s'il peint avec son sperme, ce dernier sans se démonter me dit que cela lui arrive d'en mélanger avec ses couleurs. Nous en rions tous les trois.
A la fin du dîner comme Bo-gosse tient à m'inviter, je laisse le pourboire. Comme ils étaient deux à nous servir, j'abandonne 2 x 50€, pas question de paraitre pingre, et puis c'est moins que le montant du dîner. Le jeune serveur me rattrape avant la porte pour me dire que la note avait déjà été payée. En souriant je lui dit que c'est leur pourboire. Il me remercie. J'offre à mes nouveaux amis un dernier verre à l'appart. Je commande les cocktails au restau du rez-de-chaussée. Bo-gosse trouve cela très pratique. Manu nous les apporte et comme il a terminé son service il a ajouté un quatrième verre et me demande s'il peut rester. Je n'ai pas le temps de répondre que Bo-gosse dit oui. Je fais les présentations et dis de se mettre à l'aise. Bo-gosse jaillit de ses vêtements pour nous apparaître en slip ES, Moitié de même et Manu en shorty Hom. Beau joueur je quitte mes habits pour rester en Aussiebum.
Comme nous sirotions nos cocktails, Manu et Moitié ont trouvé que cela manquait d'action et je me suis retrouvé avec Moitié entre les jambes qui s'attaquait à mon slip quand Manu faisait de même sur Bo-gosse. L'élastique sous les couilles, cote à cote, nous nous sommes fait bouffer la bite. Manu ne m'a pas fait honte et sans problème à pris les 24cm dans sa gorge. Moitié qui pensait surement être un des seuls à pouvoir le faire en a été un peu jaloux. En me penchant, j'ai mis ma main dans le slip de Moitié pour aller lui tâter la rondelle. Comme quelques heures auparavant, elle était souple et prête à s'ouvrir.
Manu étant dans le même état et comme je désirais de nouveau prendre les 24cm dans mon trou, je propose une brochette où Manu enculerai Moitié, tout en se faisant prendre par moi-même qui subirait la loi de Bo-gosse. Aussitôt proposé aussitôt mis en application. Sur le tapis, nous nous enfilons à la suite. C'est quand même très bon d'être en sandwich. Quelques instants pour trouver le rythme successif qui fait que nous en avons tous pour notre plaisir. J'apprécie fortement les 24cm de Bo-gosse qui me défoncent le cul. Les mouvements s'amplifient et nous nous séparons en deux couples. Je prends mon pied à me faire démonter l'anus et Manu lui apprécie d'être actif (position qu'il a rarement). Décollés, alors que je me fais prendre par derrière, je me rapproche de Manu qui baise Moitié de face. Ma bite prend place au dessus du visage de Moitié qui me bouffe les couilles pendant que Manu penché en avant me suce la queue. Là ça devient très très bon ! C'est dans cette position que nous jutons tous les uns après les autres. Je jute sur les épaules de Manu, je contracte mes muscles anaux et essore la bite de Bo-gosse. Manu se retire juste à temps pour gicler sur le ventre de Moitié qui y ajoute son propre sperme.
Remerciements réciproques pour la soirée et seul Manu reste avec moi. Je ne veux pas rester seul en ce moment.
Nous nous sommes revus plusieurs fois avant que la semaine ne se finisse et que je rentre à la maison. Nous serons amenés à nous revoir, j'ai pris l'adresse de la galerie de Bo-gosse. Le trio de copains m'ont fait la gueule de m'être réservé mes nouveaux amis. C'est leur problème, après tout, ce ne sont que des rencontres de vacances !!
Retour à la maison. Marc est en déplacement, je me pose et réfléchis un peu à mon avenir.
JARDINIER
Tumblr media
~~
Tumblr media
11 notes · View notes
uneessencesensible · 27 days
Text
« Ce n'est pas évident, mais je vais tenir, sans problème, car il le faut. Je l'aime plus que tout et ma vie sans lui n'est pas envisageable dans le sens où je l'aime. Il est mon tout. Je ne pourrais pas le perdre aussi facilement, ce n'est pas possible. Puis, étant donné que rien n'est réel, que tout n'est que peur de quelque chose, je vais me soigner. Guérir de cette blessure et puis, je pourrais profiter de ma sérénité pour un bon moment.  »
10.03.24
10 notes · View notes
tournevole · 1 month
Text
Circé est une sorcière et herboriste désignée pour la première fois comme une déesse dans l'Odyssée d'Homère . Bien qu'exilée sur la mystérieuse île d'Aeaea, Circé a réussi à rencontrer des aventuriers célèbres et à graver son nom dans des légendes encore racontées.
Circé est une autre entité féminine de la mythologie grecque qui a été diabolisée pour avoir utilisé sa voix pour se défendre et pour révéler la vraie nature des hommes. En vedette dans les contes utilisés pour démontrer les maux de la sorcellerie, la dualité de la nature de Circé n'est pas perdue pour les anciens philosophes. Alors que certains voyaient Circé comme rien de plus qu'une dangereuse sorcière et tentatrice, d'autres considéraient sa capacité à transformer les hommes en animaux comme un acte de miséricorde.
Quel que soit le tempérament réel de Circé, nous ne pouvons pas nier qu'elle est une incroyable sorcière. Connue pour ses talents de transmutation, d'illusion et de nécromancie, Circé est différente car elle a appris ces compétences de sorcellerie  en tant qu'humaine , du moins selon certains mythes.
8 notes · View notes
nemosisworld · 8 months
Text
Tumblr media
Prenez-vous, quittez-vous, cherchez-vous tour à tour Il n'est rien de réel que le rêve et l'amour Sur la terre indigente ou tant d'ombre s'éploie Ayez souci d'un peu de justice et de joie Retenez du savoir, ce qu'il faut au bonheur On est assez profond pour le jour où l'on meurt. Vivez ayez l'amour, la colère et l'envie Pauvres êtres vivants, il n'est rien que la vie !
Anna de Noailles
Ph. Eli Lotar, Une partie de campagne [Jean Renoir, 1936]
24 notes · View notes
pompadourpink · 1 year
Text
The month of January
The month of January, if it were a person, would be a human icebox. We are lulled into thinking of winter as this grievous, almost grim event, when only the hardiest souls brave the elements to walk their dogs. We cozy up in our houses, and hope for the thaw to come. The snow starts to fall and we turn our noses up at our bowls of hot soup.
Le mois de janvier, s'il était une personne, serait une glacière humaine. On nous fait croire que l'hiver est un évènement cruel, presque sinistre, où seules les âmes les plus courageuses bravent les éléments pour promener leur chien. Nous nous installons confortablement dans nos maisons, en espérant que l'arrivée du dégel. La neige commence à tomber et nous nous détournons de nos bols de soupe chaude.
On January 17, though, we watch the clock, knowing we have nothing to do, and no one to see. The days are as long and dark as ever. We curl up under blankets, and wait for the first sign that the sun is getting ready to burn through the clouds.
Le 17 janvier, cependant, nous regardons l'horloge, sachant que nous n'avons rien à faire et personne à voir. Les jours sont plus longs et sombres que jamais. Nous nous blottissons sous les couvertures et attendons le premier signe que le soleil est prêt à traverser les nuages en les consumant.
But it is pointless.
Mais cela ne sert à rien.
There is no marking in the sky, no telling time. This is the time that the world stops. A fish can remain motionless, its body weighed down by the water, and it still can freeze to death. A bird cannot pull up into its nest when it finds itself snowed in. It knows, deep down, that it is too small to withstand the plummeting temperatures and it will be unable to fly to safety. A car can be buried beneath drifts of snow, the windows encased in ice, yet no one can drive.
Il n'y a pas de repère dans le ciel, pas de façon de savoir l'heure. C'est le moment où le monde s'arrête. Un poisson peut rester figé, son corps alourdi par l'eau, et il peut quand même mourir de froid. Un oiseau ne peut pas se hisser dans son nid lorsqu'il se retrouve bloqué par la neige. Il sait, au plus profond de lui, qu'il est trop petit pour résister à la chute des températures et qu'il ne sera pas possible de voler en sécurité. Une voiture peut être ensevelie sous des bancs de neige, les vitres recouvertes de glace, et pourtant personne ne peut conduire.
It's as though the world is being held motionless by an invisible force, unable to move forward or backward.
C'est comme si le monde était maintenu immobile par une force invisible, incapable d'avancer ou de reculer.
We are trapped.
Nous sommes pris au piège.
We are trapped in the immovable.
Nous sommes pris au piège de l'immuable.
Time stands still, and we are frozen in place.
Le temps s'arrête, et nous sommes figés sur place.
Time is not real, not in the way that we understand it, but it is a force in nature that acts the same way that the sun acts. It keeps the earth warm, and because of that, we can survive. Every year, in the month of January, we are forced to realize that. The sun is too powerful to be shut out, but we can be.
Le temps n'est pas réel, pas de la manière dont nous le comprenons, mais c'est une force de la nature qui agit de la même manière que le soleil. Il garde la terre chaude, et grâce à cela, nous pouvons survivre. Chaque année, au mois de janvier, nous sommes obligés de nous en rendre compte. Le soleil est trop puissant pour être éteint, mais nous, nous pouvons l'être.
As a species, we are capable of so much, yet so little. We are brilliant and idiotic, our intellects capable of greatness but incapable of many things.
En tant qu'espèce, nous sommes capables de tellement, et pourtant si peu. Nous sommes brillants et sots, nos intellects sont capables de grandeur mais incapables de beaucoup de choses.
In January, we realize that, while the sun is shining brightly on one side of the world, it is cold and unwelcoming, and we can never leave our homes. We are held captive by our hearts and minds, stuck in our own feelings and lack of self-realization. It is a very human feeling, and I feel for everyone who has ever experienced it.
En janvier, nous nous rendons compte que, pendant que le soleil brille d'un côté du monde, il fait froid et nous ne sommes pas les bienvenus, et que nous ne pouvons jamais sortir de chez nous. Nous sommes prisonniers de notre cœur et de notre esprit, coincés dans nos propres sentiments et notre manque de réalisation de soi. C'est un sentiment très humain, et je compatis avec tous ceux qui l'ont vécu.
I feel for the dogs trapped in backyards. They've never seen their humans come home and they have no idea what to do when the sun sets for the day. They don't know how long they've been waiting for their masters, and they cannot understand why they aren't there.
J'ai de la peine pour les chiens piégés dans les arrière-cours. Ils n'ont jamais vu leurs humains rentrer à la maison et ils n'ont aucune idée de ce qu'ils doivent faire lorsque le soleil se couche pour la journée. Ils ne savent pas depuis combien de temps ils attendent leurs maîtres, et ils ne comprennent pourquoi ils ne sont pas là.
I feel for the birds, trapped in a cage barely bigger than they are. Every year they sleep all day, making a nest for the future, wondering if the warmth and sunshine of the next day will be enough to sustain them. They build a tiny home, and hope to wake up when the cold of the night has passed. They wonder if their family will come back, and if they will.
J'ai de la peine pour les oiseaux, piégés dans une cage à peine plus grande qu'eux. Année après année, ils dorment toute la journée, préparant un nid pour l'avenir, se demandant si la chaleur et le soleil du lendemain suffiront à les maintenir en vie. Ils construisent une maison minuscule, et espèrent se réveiller lorsque le froid de la nuit sera passé. Ils se demandent si leur famille reviendra, et si elle reviendra.
I feel for the people trapped in a world where they feel powerless and unable to save the things they care about. I feel for those who suffer, who don't understand why they can't hold the weight of the world in their arms. I feel for those who are lost, confused about who they are and where they are supposed to be. I feel for the people who have lost the people who matter, and those who cannot even tell you what they want.
J'ai de la peine pour les personnes prises au piège dans un monde où elles se sentent impuissantes et incapables de sauver les choses auxquelles elles tiennent. J'ai de la peine pour ceux qui souffrent, qui ne comprennent pas pourquoi ils ne peuvent pas porter le poids du monde dans leurs bras. J'ai de la peine pour ceux qui sont perdus, qui ne savent pas qui ils sont et où ils sont censés être. J'ai de la peine pour ceux qui ont perdu les personnes qui comptaient pour eux, et ceux qui ne peuvent même pas vous dire ce qu'ils veulent.
I feel for those who are grieving, and for those who cannot go on with their lives. And I feel for those who can't stop crying, who ache for the people who have died. I know that I am just one person, trapped in this world of my own making.
J'ai de la peine pour avec ceux qui sont en deuil, et avec ceux qui ne peuvent pas continuer à vivre leur vie. Et j'ai de la peine pour ceux qui ne peuvent s'arrêter de pleurer, qui ont mal pour les personnes qui sont mortes. Je sais que je ne suis qu'une personne, piégée dans ce monde que j'ai créé.
I am powerless.
Je suis impuissante.
I can't save anyone, and I can't save myself. But I have to try, I have to try. I have to remind myself that saving everyone is not my duty. I have to try to understand where people come from, and why people do the things they do. I have to try to love people unconditionally, regardless of what they do to me. But I can't save anyone. I can't do anything. I'm just a little thing. A helpless little creature whose tiny life in this cruel, cruel world is precious to only a few. But, I have to try. It is the only thing I can do.
Je ne peux sauver personne, et je ne peux me sauver moi-même. Mais il faut que j'essaie, il faut que j'essaie. Je dois me rappeler que sauver tout le monde n'est pas mon devoir. Je dois essayer de comprendre d'où viennent les gens et pourquoi ils font ce qu'ils font. Je dois essayer d'aimer les gens inconditionnellement, peu importe ce qu'ils me font. Mais je ne peux sauver personne. Je ne peux rien faire. Je ne suis qu'une petite chose. Une petite créature sans défense dont la petite vie dans ce monde cruel n'est précieuse que pour quelques-uns. Mais il faut que j'essaie. C'est la seule chose que je puisse faire.
And maybe, if I'm very lucky, your burden and your life will be lighter because I existed, and I will die at peace with the knowledge that I made a difference.
Et peut-être, si j'ai beaucoup de chance, votre fardeau et votre vie seront-ils plus légers parce que j'ai existé, et je mourrai apaisée, avec la connaissance que j'ai changé les choses.
Tumblr media
Movie: Portrait d'une jeune fille en feu - Céline Sciamma, 2019
51 notes · View notes
e642 · 6 months
Note
Pourquoi rester avec quelqu’un qui te trompe et qui ne te respecte pas ?
C'est une excellente question sur laquelle je pourrais écrire beaucoup de ligne. Bien que je n'ai pas l'entièreté de la réponse je peux y fournir des pistes. Déjà, à première vue, on dirait que je suis conne or, je pense pas l'être, ou pas totalement l'être plutôt. Bien que cette relation soit jalonnée d'épreuves particulièrement désagréables pour certaines, j'ai décidé de prendre ça comme une leçon. Parce que ça m'apprend beaucoup. Je serais mauvaise langue de dire que ce garçon ne m'a rien apporté de positif. Il m'a apporté de la légèreté dans certaines périodes dures, il m'a aussi appris à gérer ma colère et réguler mes émotions. Et d'autres trucs mais c'est pas la question. Je reste car:
C'est une année difficile pour moi 2023, pas vraiment à cause de lui et je dois dire que pour le moment je ne suis pas assez stable et claire dans mes idées pour rester seule. On pourrait y voir de la dépendance affective, ce qui, en réalité, serait plus de l'opportunisme de ma part, je prends ce qu'il y a à prendre.
La tromperie, j'ai un avis bien tranché sur ça, bien qu'il ait fluctué pendant quelques années, il est stable depuis longtemps. Je ne cautionne ni encourage ça, ce qui fait que ce n'est pas un problème réel vient du fait que je ne fournis pas assez de sentiments pour être réellement affectée. Ce qui m'a blessée dans son acte c'est pas aller voir quelqu'un d'autre, c'est qu'il ne se soit pas protégé. Je l'ai pris comme un risque pour ma santé, pas comme une défaillance de ma valeur. Je sais que je mérite mieux, j'en ai jamais douté.
Il fait de la merde mais parce qu'il est bête, pas parce qu'il est volontairement malveillant et j'y vois une nuance. Faire exprès de blesser quelqu'un et ne pas faire exprès ne sont pas les mêmes choses pour moi. Je ne le protège pas pour autant, seulement, je vois bien que son réel pb c'est l'immaturité émotionnelle.
Sans me mettre au dessus de lui, je pense que cette relation, quand elle prendra fin, sera aussi une leçon pour lui. Je n'ai pas de problème à le remettre à sa place et lui dire ce qui est problématique chez lui.
La conclusion c'est que j'ai beau lui accorder de l'importance, je ne lui en accorde pas assez pour que ses actes me blessent profondément au point d'être au bout. Au point de perdre ma lucidité et vivre pour l'autre. Juste je prends ce qu'il y a, et le jour où il n'y aura plus rien, je partirai. Il me permet d'occuper mes week end et avoir un lieu où je peux aller quand je veux plus être à Nice, c'est déjà pas mal.
Je partirai quand la période sera propice, je suis loin d'être enfermée, j'apprends sur moi, cette année me nourrit de leçons et une fois que je les aurai digérées, je pourrai m'en aller m'appliquer à faire des choses utiles avec des personnes qui en valent la peine. C'est transitoire.
Puis j'ai ce truc malsain de voir jusqu'à où une personne peut aller par simple perdition, égoïsme, inattention de l'autre. Je trouve ça très intéressant de voir tous les mécanismes des gens surtout rationnellement parlant.
Puis après cette relation, je saurai exactement ce que je ne veux plus, c'est instructif en un sens.
8 notes · View notes
Text
Tumblr media
L’enfumage idéologique à l’épreuve des enseignements de la psychanalyse
L’invention par Freud de la psychanalyse nous amène à découvrir que nous ne vivons pas, mais que nous sommes vécus, à savoir que la plus grande partie de notre expérience n'est pas consciente, mais construite en nous (et par nous) à notre insu, au moyen de forces inconnues de nous-mêmes.
Ces forces ne sont rien d’autre que celles du langage lui-même, son inertie fantasmatique, et c’est ce en quoi consiste l’inconscient.
L'Unbewusste freudien, l'inconscient de la psychanalyse, n’est cependant pas à entendre comme ce mécanisme objectif qui règle à mon insu mon expérience phénoménale, mais bien ce qui reste à jamais inaccessible, ne se faisant jour qu'à travers le langage, c’est un savoir, un savoir insu de lui-même.
Ce en quoi l'inconscient est réel, le Réel dont chacun est, qu’il le veuille ou non, affligé.
L'expérimentation subjective la plus intime de qui je suis, j'en suis forcément privé, mon fantasme fondamental (le cadre à travers lequel les choses m'apparaissent) constituant et garantissant le noyau de mon être, je ne peux jamais en faire l'expérience directement, il est primordialement refoulé.
C'est presque devenu un lieu commun dans l’idéologie d’aujourd'hui de (se) dire, pour présenter l'expérience vécue de sa propre subjectivité : "peu importe le mécanisme objectif inconnu qui gouverne mes perceptions, mes pensées et mes actes, ce que personne ne peut m'enlever c'est mon ressenti profond, ce que je vois et sens maintenant, mes émotions..."
C'est pourtant ce que fait Lacan, détruisant cette ultime illusion: pour lui, le sujet du signifiant n'émerge qu'à partir du moment où l'expérience subjective phénoménale de soi-même (son fantasme fondamental) devient inaccessible au sujet, il ne peut plus s'y fier, il n'y croit plus, et c'est cette inaccessibilité qui vide le sujet et en fait un sujet barré $, le sujet du signifiant, sujet de la psychanalyse, sujet de l'inconscient.
Ce qu’il y a de plus inconscient chez un sujet, c’est l’attitude consciente par laquelle il prétend se rapporter à lui-même.
L’apport décisif de Lacan fut donc de considérer le langage comme l’archétype du cheval de Troie, le cadeau empoisonné par excellence, il se présente comme un choix qui ne peut pas être refusé, puis, quelle que soit la manière dont tu l'auras considéré et quoi que tu en penses - puisque tu ne peux penser qu'à travers lui - il t'aura déjà colonisé et pris le contrôle de ta vie.
C'est l'aliénation au signifiant, qui fait que le sujet est toujours représenté par un signifiant pour un autre signifiant qui ne le représente pas.
La seule sortie possible de l'aliénation passe par une réconciliation avec l'aliénation elle-même.
Le sujet parlera alors plus de libération que de liberté, la liberté comme le désir se conjuguent seulement au futur antérieur, j’aurai été libre, j’aurai désiré.
12 notes · View notes
Text
Writing |
(This text is in french but the english translation follows. Obviously, the translation isn’t here to be beautiful but for you to understand what my words means. this text is wlw, as i know it's less clear in english than in french)
Ma peine, mon démon, ma sirène,
J'ai tant rêvé de toi qu'il est indécent de le dire. J'ai tant rêvé de toi que la nuit connaît à présent tes yeux mieux que je ne le fais, tant rêvé de toi que souvent, je l'admets, mes rêves continuaient au soleil, illusions douloureuses dansant sous l'astre du jour.
J'ai tant rêvé de toi que j'en ai oublié de te haïr, perdue dans l'éclat de ces brumes où ton démon n'est plus. Tant rêvé de toi que sûrement, peut-être, ta vision serait étrangère à mes pupilles exposées ; ou peut-être, sans doute, brûlerait mes joues jusqu'à la naissance du flot de mes larmes.
J'ai tant rêvé de toi que ta présence en devenait tangible, comme une ombre qui ne me quittait jamais, tant rêvé de toi qu'en m'éveillant, je te croyais presque étendue à mes côtés, plus douce que tu ne l'as jamais été et n'es probablement capable de l'être ; tant rêvé de toi qu'il me semblait étrange que d'autres ne te voient pas, ni dans leurs jours ni dans leurs nuit, et soient libres de toute trace de ton image.
J'ai tant rêvé de toi, je crois, que je m'accrochais à ces rêves, moi et ma mémoire si courte, comme par peur de te laisser partir, de t'oublier ; tant rêvé de toi que je brûlais de tout te dire, au lieu de te laisser filer. J'ai tant rêvé de toi que je craignais de fermer les yeux autant que de les ouvrir, que je souhaitais rêver à chaque minute comme ne plus rêver du tout.
J'ai tant rêvé de toi, c'est vrai, qu'il m'arrive d'oublier que tu n'es pas qu'un rêve; que quelque part, foulant la même Terre, respirant le même air - infime proximité ! tu existes bel et bien, être de chair et d'os, riant et vivant, plus réel à présent pour d'inconnus que pour moi.
J'ai tant rêvé de toi, il me semble, que tu t'effaçais peu à peu de tout autre aspect de ma vie, de toute autre partie de moi. Tant rêvé de toi que je finissais par me demander si je ne t'avais pas inventée, reine cruelle qui m'infligea tant de maux, pour me sentir plus désirée que je ne l'étais, car il faut aimer quelqu'un si fort pour l'avoir à ce point meurtrie. J'ai tant rêvé de toi que je te confondais avec mes nombreuses fantaisies, tant rêvé de toi que tu perdais ta réalité.
J'ai tant rêvé de toi que c'est ce que tu es à présent, rien d'autre qu'un rêve, moins consistant qu'un souvenir, à peine plus lourd qu'une pensée, sorcière dont la trace quitte peu à peu mon cœur pour ne devenir, en fin de compte, que l'amère et si fine cicatrine d'une blessure passée.
Ma peine, ma sirène, mon démon,
J'ai tant rêvé de toi, à présent, que j'en oublie presque ton nom, et ne me souviens plus que de la haine qu'il m'inspire.
[My pain, my demon, my mermaid,
I dreamed of you so much that it is indecent to say so. I dreamed of you so much that the night now knows your eyes better than I do, dreamed of you so much that often, I admit, my dreams continued in the sun, painful illusions dancing under the star of the day.
I dreamed of you so much that I forgot to hate you, lost in the brilliance of these mists where your demon is no longer. Dreamed of you so much that surely, perhaps, your vision would be foreign to my exposed pupils; or maybe, no doubt, would burn my cheeks until the flood of my tears started.
I dreamed of you so much that your presence became tangible, like a shadow that never left me, dreamed of you so much that when I woke up, I thought you were lying by my side, softer than you never was and probably never can be; I dreamed of you so much that it seemed strange to me that others did not see you, neither in their days nor in their nights, and were free from any trace of your image.
I dreamed of you so much, I believe, that I clung to these dreams, with my memory so short, as if out of fear of letting you go, of forgetting you; dreamed of you so much that I was burning to tell you everything, instead of letting you slip away. I dreamed of you so much that I was afraid to close my eyes as much as to open them, that I wanted to dream every minute like to not dream at all.
I dreamed of you so much, it's true, that I sometimes forget that you're not just a dream; that somewhere, treading the same Earth, breathing the same air - tiny proximity! you do exist, a being of flesh and bones, laughing and alive, more real now for strangers than for me.
I dreamed of you so much, it seems to me, that you gradually faded away from every other aspect of my life, from every other part of me. Dreamed of you so much that I ended up wondering if I hadn't invented you, cruel queen who inflicted so much pain on me, to feel more wanted than I was, because you have to love someone so much to have hurt her so badly. I dreamed of you so much that I confused you with my many fantasies, dreamed of you so much that you lost your reality.
I dreamed of you so much that it's what you are now, nothing but a dream, less solid than a memory, barely heavier than a thought, witch whose trace gradually leaves my heart to become, in the end, only the bitter and so fine scar of a past wound.
My pain, my mermaid, my demon,
I dreamed of you so much now that I almost forget your name, and only remember the hatred it inspires in me.
138 notes · View notes
skip-chiantos · 2 days
Note
Suis-je trop timide pour ça ? 🙈✨
Je ne comprend pas qu'on puisse être timide online, rien de tout ça n'est réel, ou n'a plus de valeur que ce que nous pretendons être irl, bichette.
J'ai besoin d'un drink, désolé.
3 notes · View notes