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#RL2014
davidmeulemans · 10 years
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Hey, samedi 11 octobre, à 16h30, chez PROSE, c'est la rentrée des Forges! Avec Michèle Astrud, Alexis David-Marie et François Szabowski!
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samuelvide · 10 years
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#Rl2014 #Conferência #RadicaisLivres #JesusUmaVidaUmaChance foi tipo isso! #Topissima! #Rl2015 falta 365dias! (em Estádio Serra Dourada)
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ecoamerica · 2 months
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Watch the American Climate Leadership Awards 2024 now: https://youtu.be/bWiW4Rp8vF0?feature=shared
The American Climate Leadership Awards 2024 broadcast recording is now available on ecoAmerica's YouTube channel for viewers to be inspired by active climate leaders. Watch to find out which finalist received the $50,000 grand prize! Hosted by Vanessa Hauc and featuring Bill McKibben and Katharine Hayhoe!
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forgesdevulcain · 10 years
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Les Forges, c’est…
… quand les trois membres de l'équipe vont, dans le plus grand anonymat, ni vu ni connu, en librairie, pour voir si leurs livres sont bien placés...
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forgesdevulcain · 10 years
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Les Forges, c’est…
… quand tu regardes sur le Net le prix des chatons pour voir si cela ne vaut pas le coup d'en acheter un et de l'emmener avec toi en librairie, pour amadouer les libraires qui, attendris, prendront des palettes de tes livres... ;)
Silly you!
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davidmeulemans · 10 years
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Il faut brûler la rentrée littéraire (S01e01) #RL2014
Saison 1, épisode 1.
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(lancement de la rentrée littéraire 2014)
Je ne pense pas qu'il faille brûler la rentrée littéraire.
Mais, comme tout éditeur et comme tout lecteur, je m'interroge sur la rentrée littéraire. C'est un événement qui a des aspects positifs et des aspects négatifs. Le tout est de voir si les aspects positifs ne sont pas effacés par les aspects négatifs. Cette interrogation n'est pas une simple spéculation, mais un effort pour trancher des questions très pratiques: faut-il prendre part à la rentrée littéraire (en tant qu'éditeur, en tant que lecteur)? comment y prendre part? et, si la rentrée littéraire, c'est si horrible que cela, que proposer à la place, qui conserve certains aspects positifs: on parle de livres, on lit des livres.
Parler des textes qu'on a lus
En 2012, j'ai commencé cette réflexion par une tribune dans Rue89: "Rentrée littéraire, je refuse de participer à ce suicide collectif" (ici). Pour la petite histoire, le titre n'est pas de moi: la journaliste l'a proposé. Cela étant, je ne le regrette pas. Son ton est assurément plus violent que ce que j'aurais choisi, mais, sur le fond, il résume mon hypothèse: la rentrée littéraire est à l'image de l'impôt sur les grandes fortunes aux Etats-Unis: la majorité des Américains est contre cet impôt, car ils veulent croire qu'ils feront un jour fortune et pourraient, en ce cas, être amenés à s'en acquitter. En bref: il n'est pas sûr que la rentrée littéraire soit une opération bénéfique, économiquement et intellectuellement, pour l'industrie du roman. 
Le titre de cette tribune avait un autre avantage: il a attiré des lecteurs. D'ailleurs, la tribune que j'ai publiée en 2013 (ici), afin de poursuivre cette réflexion, a eu bien moins de lecteurs. Moins bien écrite, moins percutante, elle montrait cependant un approfondissement des idées de la première tribune. Tout d'abord, il n'y a pas trop de livres - il y a trop peu de lecteurs. Ensuite, de nombreuses personnes se détournent de la lecture car elles ont l'impression, juste ou erronée, de ne pas trouver les livres qu'elles désirent. Enfin, il est possible, mais c'est à vérifier, que, si plus de gens écrivaient, plus de gens liraient car la partie de la population qui ne lit pas verrait enfin apparaître les livres qu'elle désire.
Comment amener à la lecture de nouveaux lecteurs?
Concrètement, j'ai poursuivi cette réflexion entamée dans ces deux tribunes dans deux réflexions distinctes: une réflexion sur les ateliers d'écriture à l'ère numérique (C'est le projet DraftQuest) et l'auto-édition (dans un bref essai auto-édité). 
Mais revenons à la rentrée littéraire, puisque c'est l'actualité du moment. J'ai mentionné que le titre de la première tribune n'était pas de moi, et j'ai donné à la présente tribune un titre que je récuse dès la première ligne de la tribune. Même si je suis d'un naturel taquin, ce jeu n'est pas innocent. En effet, il reproduit, à une très petite échelle, un des problèmes de la rentrée littéraire, un événement où la logique médiatique prend le pas sur les livres.
Ainsi, de ma tribune initiale, il n'est resté que le titre, comme une position facile à résumer et aisée à vendre. Et nombre de messages que j'ai reçus, qu'ils marquent un accord ou un désaccord avec cette tribune, répondaient seulement au titre, en faisant l'économie de la lecture des lignes qui suivaient le titre.
Certes, ma prose n'est pas passionnante, mais, à tout prendre, ces correspondants auraient pu se dispenser de répondre à une tribune dont ils n'avaient lu que le titre. Heureusement que ces correspondants, quand ils parlent de livres, les ont lus en entier, et pas seulement leurs titres. Vous imaginez, un monde où les gens parleraient à longueur de journée de livres qu'ils n'ont pas lus?
Cette modeste tribune s'est donc vue associée à une série de positions que je ne partage pas. Je me console en me disant que j'ai permis à l'imagination de mes correspondants de s'exercer. Ce qui est toujours une bonne chose: il est bon que chacun ait un moment créatif dans sa journée. Mais, étant assuré que personne ne lira jusqu'à son terme la présente tribune, j'en profite pour préciser quelques positions.
S'en prendre à la structure, pas aux personnes
Je ne pense pas que les "gros éditeurs" soient "vils, corrompus et incompétents" (pour reprendre les mots d'un message qui m'a été adressé, en réponse à ma première tribune...).
Les gros éditeurs sortent beaucoup de livres. Parfois ils sont très bons. Parfois, ils ne sont pas bons. Je ne crois pas que les petits éditeurs soient nécessairement vertueux: après tout, comme le disait Desproges, "les aspirations des pauvres ne sont pas très éloignées des réalités des riches" - et, si on leur en donnait la possibilité, beaucoup de petits éditeurs se comporteraient comme des mastodontes.
Sur ce point: il existe deux positions mêmement ineptes: croire qu'un petit éditeur est incapable de faire de grands livres, et croire qu'un petit éditeur ne fait que des grands livres. Ma tribune n'était donc pas une dénonciation des gros éditeurs.
La faute aux médias! Ou pas.
Je ne pense pas que les médias soient "bouffés par la connivence" (là encore, commentaire reçu après publication de ma tribune). Certes, la connivence existe, mais elle n'est pas le problème principal du livre. Ce qui est problématique, dans tout secteur d'activité, ce ne sont jamais les manques de vertu individuelle, mais les effets de structure.
Un effet de structure très simple des médias, et qui explique la très grande difficulté pour les journalistes, de répartir de manière équitable leur attention, c'est que les journaux sont des sociétés commerciales qui doivent vendre du papier. Il leur est donc nécessaire d'avoir des lecteurs. Or, il est plus fécond, dans cette perspective, de parler des mêmes livres que les autres, quitte à se différencier sur la manière dont on en parle. Parler d'un livre confidentiel, c'est prendre le risque, finalement, de pondre un papier que personne ne lira. La presse est inscrite dans une conversation collective.
Ce point ne changera pas. Les journalistes peuvent essayer, dans les marges, d'y résister, mais je ne crois pas que cela puisse changer. Un autre travers de cette importance de la conversation collective, c'est que les images des titres, ce qu'ils évoquent, deviennent plus importantes que les textes mêmes. C'est ainsi. Il y a des textes superbes, qui ne peuvent s'insérer dans le spectaculaire. En un sens, la présente tribune n'a rien de spectaculaire... à l'inverse de la première 
Play it again, Sam!
Et donc, pour poursuivre sur ce point, je n'ai aucune envie de devenir un épouvantail qu'on ressort chaque année, pour occuper dans une farce récurrente, le rôle de l'esprit chagrin, qui dénonce les gros, les puissants, par opposition aux petits, qui seraient nécessairement vertueux.
Finalement, ces trois positions reviennent à dire trois fois une seule et même chose: il faut raisonner en termes de structure et d'organisation, et non de personnes.
Mon désir, en tant qu'éditeur, est de voir comment faire lire mes auteurs, car je pense que leurs textes sont très bons. Et, en tant que lecteur, je désire que les romans que j'aime, et que je n'ai pas publiés, soient plus lus et discutés car je pense qu'ils sont supérieurs à beaucoup de romans qui prennent une place médiatique importante, pour de mauvaises raisons, et contribuent au manque d'appétit pour la lecture de nombre de personnes.
La suite, demain!
Scène coupée : nous verrons bien s'il y a un journaliste qui aura la maladresse de me tendre un micro pour me dire: "David Meulemans, vous désirez donc brûler la rentrée littéraire, pourquoi?", avouant ainsi qu'il se sera dispensé de lire la première ligne de ce post... Loin de moi l'idée de faire le "procès des médias". D'ailleurs, cette expression de "procès des médias" n'est utilisée que par des journalistes, et elle oriente de manière erronée la conversation. En effet, qui dit "procès" dit "coupable" et donc "faute": or, on peut critiquer une tendance, une habitude, sans considérer que c'est une faute. Ensuite, un des principes du droit est que la responsabilité est quelque chose d'individuel - parler de "procès des médias" est une manière de dire que l'on s'attaque à un ensemble d'individus, ce qui est une impossibilité juridique. Employer l'expression de "procès des médias" est une manière de faire l'économie d'une réflexion sur les contraintes structurelles qui s'exercent sur ce métier. Tous les métiers ont des contraintes structurelles; faire son métier, c'est comprendre quelles sont ces contraintes, et voir comment jouer avec elles pour réussir à remplir une mission. Je n'en dis pas plus: c'est aux journalistes de réfléchir sur leur métier  - je m'en vais réfléchir sur le mien. Je ne me suis permis ces remarques que parce que ces travers de la médiatisation du livre ne sont pas sans effet sur mon propre métier. Et que je récuse cette idée, que plusieurs journalistes m'ont soutenue, qu'il y aurait trop de livres. Le problème n'est pas qu'il y ait trop de livres: le problème est que l'on parle de dix livres. Certes, il serait difficile de parler de 600 livres, mais on peut espérer un peu plus de diversité.
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ecoamerica · 2 months
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Watch the 2024 American Climate Leadership Awards for High School Students now: https://youtu.be/5C-bb9PoRLc
The recording is now available on ecoAmerica's YouTube channel for viewers to be inspired by student climate leaders! Join Aishah-Nyeta Brown & Jerome Foster II and be inspired by student climate leaders as we recognize the High School Student finalists. Watch now to find out which student received the $25,000 grand prize and top recognition!
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