Tumgik
#Motorisé
reflexsecurity · 1 year
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Une alarme anti-intrusion est un système conçu pour détecter toute entrée non autorisée dans un bâtiment ou une zone. C’est nécessaire et complémentaire avec les caméras de surveillance 👍🏻 N’hésitez pas à nous contacter 24.050.011 - 24.050.561 #alarm#intrusion#elkron#incendie#surveillance#cctv#domotique#videophone#portail#motorisé https://www.instagram.com/p/Cl_nkB5Il6m/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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carbone14 · 1 year
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Soldats polonais de la 10e Brigade de cavalerie motorisée (10th Motorized Cavalry Brigade) sur un side-car Sokól 1000 – 1938
©Polish National Digital Archive
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lepoxohanoga · 2 years
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de course manuel
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the-bibrarian · 1 year
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Hi! This is a very important petition against a uniquely brutal anti-riot squad. Only french citizens can sign it, but if it reaches 100,000 signatures our assembly has to examine it, and it already has more than 87,000!
Even if you can’t sign it, can you reblog this so it reaches as many french people as possible on tumblr dot com the website and app?? 
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raisongardee · 4 months
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"Vous ne rêvez que d'être lui, à sa place, rien d'autre, être lui, le Bourgeois ! encore plus que lui ! toujours plus bourgeois ! C'est tout ! L'idéal ouvrier c'est deux fois plus de jouissances bourgeoises pour soi tout seul. Deux fois plus de boyaux, deux fois plus gros, deux fois plus longs pour soi tout seul (22 mètres au lieu de 11). Deux, trois autos plutôt qu'une, quatre forts repas par jour, huit apéritifs, et pas d'enfants du tout, donc trois fois plus d'économies. Une super bourgeoisie encore bien plus tripailleuse, plus motorisée, beaucoup plus avantageuse, plus dédaigneuse, plus conservatrice, plus idiote, plus hypocrite, plus stérile, que l'espèce actuelle : qui ne pensera plus à rien, qui ne rêvera plus à rien, sauf au menu du prochain gueuleton, aux bouteilles qu'on pourrait boire, avec trois ou quatre gosiers, bedaines en plus. Et puis alors "vivent les gendarmes !" Un coup ! vivent tous les gendarmes ! et les gardes-mobiles ! et les Propriétés Foncières ! Boyaux avides prolétaires contre boyaux contractés bourgeois. C'est toute la mystique démocratique. C'est consistant, mais ça rampe, c'est lourd, ça fatigue, ça pue."
Louis-Ferdinand Céline, L’école des cadavres, 1938.
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battements-d-elle · 11 months
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AVERTISSEMENT : visuels lourds ! Ne regardez pas trop longtemps les projecteurs motorisés. Ne les regardez pas en conduisant ou en effectuant des tâches qui nécessitent votre attention ! Passez à 1:00:00 pour avoir un écran noir !. 
 © Droits d'auteur : Musique composée/arrangée par Traumscape. 
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frenchcurious · 1 year
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Bianco SS. Ce petit coupé brésilien était motorisé par un quatre à plat de Coccinelle et monté sur un châssis de Brasilia (VW Brésilienne). - source News D'Anciennes.
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ekman · 7 months
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Ah, le joli mois d’octobre ! La déplorable situation au Proche-Orient – disons en Palestine pour préciser les choses –, révèle, en Occident essentiellement, les peurs, les lâchetés, voire les renoncements de bien des populations et de leur gouvernement. Ce que j’observe, avec amusement autant qu’avec inquiétude, c’est l’immaturité des réactions de la plupart des nations de “l’Occident global” face aux derniers développements de problèmes pourtant vieux comme Mathusalem. Le fond, comme la forme, sont désespérants. L’Europe, et la France en particulier, attestent l’effacement définitif de leur rôle historique dans le bassin Levantin. Les médias, comme c’est leur habitude, hystérisent les événements et prennent aveuglément le parti de leurs actionnaires. “Israël ! Israël ! Israël !” entends-je partout, à tout bout de champ, tout le temps. Il faut défendre Israël avec les Israéliens, parce qu’Israël, c’est le rempart de notre civilisation contre les sauvages musulmans. Quand Israël sera tombé, c’est tout le continent qui sera attaqué, la nuit, à l’aube, au couteau, à l’AK. Nous serons tous pogromisés, kippa ou pas, pour le seul crime d’être des kafirs.
Je résume là ce qui me semble être, plus ou moins explicitement, plus ou moins bruyamment, le mot d’ordre – ou plutôt la “parole de panique” – qui s’installe sous nos latitudes. Et je joins quelques capsules mnésiques liées à ces événements :
• Il est navrant le spectacle de cette aube automnale si belle qui dévoile le défilé des assassins à moto, bouchers amateurs partis massacrer des familles endormies. Éternel recommencement de l’insupportable injustice frappant les populations prises à parti, flinguées, étripées, égorgées – cadavres et scènes de crimes arrangés à des fins de terrorisme par l’image. “Allah u-akbar”, comme toujours, ici ou là-bas. Tout  a été filmé, par les caméras d’inutile surveillance des victimes et les go-pros des instigateurs. Tout a été montré. • Scènes à peine croyables – je dis bien “à peine croyables” – des commandos palestiniens faisant détonner des explosifs contre des murs en béton et des rideaux de barbelés pour pénétrer des périmètres de sécurité placés sous surveillance automatique 24/7. Les drones qui ont largué leurs charges explosives au-dessus des relais de communication et autre appareil de détection, volent sans ambage d’un pylône à l’autre. Pouvait-on être plus prévisible ? Des ailes volantes motorisées sillonent le ciel, ouvrant le feu sur tout ce qui court en dessous. Pouvait-on être moins discret ? Et pourtant, la petite base armée prise d’assaut regorge de cadavres en slip, tirés du lit dans la panique, la plupart n’ayant même pas eu le loisir de défendre leur peau face aux assaillants brailleurs.
• Grand rassemblement décadent, scènes et chapiteaux. Les fumeurs de oinjes, les raveurs, les filles et fils de bobos, les zoneurs à dreadlocks et leurs meufs à cheveux bleus fuient dans le désert pour échapper au flinguage venu du ciel. Grand Bataclan à ciel ouvert. On a tous rêvé de débarquer dans une rave en Hummer pour remettre un peu d’ordre. Mais là, je vois courir tous ces hébétés et je pense aux parents qui, dans quelques heures, recevront qui un coup de téléphone, qui la visite d’amis ou d’officiels venus leur annoncer ce qu’aucun parent, jamais, ne devrait être contraint d’entendre.
• Un prof a été égorgé dans un lycée français, le deuxième et certainement pas le second. Héros, hommage, hugs. Les trois “H” du cancre élyséen. À la lumière des “massacres du Hamas”, de nombreux chroniqueurs ne peuvent s’en empêcher : mais combien sont-ils chez nous, nous les braves et pacifiques Français, à attendre le grand soir et son fameux croissant de lune ?
• Prendre parti. Ceux qui déplorent les Palestiniens écrasés sous leurs immeubles à coups de bombes sont d’infects islamo-collabos. Les chroniqueurs, chefs de plateau et autres inutiles s’agitent bruyamment, distribuent des bons points et offrent à qui en veut une tournée de moraline. Ça va de “j’ai d’excellents amis Juifs” à “et la Shoah alors, vous en faites quoi ?”. Pathétiques agitations, pitoyables guignolades.
• Je n’entends quasiment personne rappeler ce qu’était encore la diplomatie française d’après guerre. Ce que nous avions perdu en puissance militaire, nous pouvions encore le compenser en influence. Le refus d’être inféodé, comme l’obsession de la souveraineté, allait favoriser l’émergence d’une autre voie – le non-alignement –, unique chemin vers la préservation d’une forme d’indépendance géopolitique dans un monde violemment bi-polaire. L’exceptionnel domaine ultra-marin de la France lui conférait alors une dimension internationale quasi naturelle, préservée des affres d’une décolonisation dramatique. Que reste-t-il de tout cela ? Rien. Absolument rien. La France a perdu partout, elle qui est maintenant devenue une colonie du tiers-monde, le champ d’expérimentation européen du globalisme assassin.
• Pathos, pathos, pathos ! J’ai du pathos à pas cher, en voulez-vous ? L’heure est donc à l’effroi et à l’indignation. Idéal pour nous rappeler que le peuple juif est un peuple héroïque. Légèrement dominateur – comme nous le rappelait le grand Charles – mais courageux, combattif, résolu. Idéal aussi pour déshumaniser le Palestinien de base et fermer les yeux sur les tonnes de bombes balancées sur des gens qui rêvaient sans doute d’égorger des Juifs mais qui, étant donné leur condition physique nouvelle, n’auront pas le temps de passer à l’acte. Je sais, je fais du mauvais esprit. Précisément. Ce qui est triste, là-dessous, c’est le cautionnement inconditionnel de la scénarisation tous azimuts. Ces gens-là, Monsieur, n’ont honte de rien. Ceux qui montrent avec le regard fixe, la mâchoire d’acier, le geste calme, et ceux qui regardent, le teint livide, la bouche ouverte, l’œil mouillé et la gorge nouée. Images de salle à manger transformée en abattoir, de jardinet jonché de tripaille, de trainées de sang chaud dans les couloirs. Ça change des parents gris qui beuglent comme des bougres avec le cadavre tout cendré de leur môme de quatre ans et demi dans les bras. “Oui, mais en même temps, il y a les agresseurs et les agressés, hein, non ?”. Et dire qu’ils sont payés pour oser proférer de telles ignominies.
• François Cevert est mort le 6 octobre 1973 sur le circuit de Watkins Glen. C’était le jour du commencement de la guerre du Kippour. Un demi-siècle plus tard, alors que je raconte à qui veut bien m’écouter la carrière fulgurante et la mort tragique de celui qui fut mon idole, le Hamas fourbit ses armes pour son attaque du 7 octobre. Coïncidence ? Je crois bien, oui.
J.-M. M.
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affiches-cinema · 3 months
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Les motorisées (Le motorizzate) de Marino Girolami, 1963. Dessin d'Hurel.
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La séquence dure plus de vingt minutes, enregistrée discrètement par un membre d’un groupe de sept personnes interpellées, lundi 20 mars, à l’angle des rues des Minimes et du Béarn, dans le 3e arrondissement de Paris. Entre commentaires à caractère sexuel, gifles, menaces et vantardises, ce document sonore, que Le Monde a pu authentifier, jette une lumière crue sur le comportement de fonctionnaires en contradiction totale avec les règles déontologiques autant qu’avec la loi.
Ce soir-là, plusieurs dégradations ont été commises dans les environs au cours d’une nouvelle nuit de protestation contre le recours, jeudi 16 mars, à l’article 49.3 par le gouvernement pour faire adopter sans vote la réforme des retraites. Appelée pour procéder à des interpellations d’émeutiers, qui ont pris l’habitude, depuis plusieurs jours, de se disperser par petits groupes et d’incendier des poubelles – les affrontements directs avec les forces de l’ordre sont plutôt rares –, une unité des brigades de répression de l’action violente motorisées (BRAV-M) parvient à appréhender une demi-douzaine de jeunes gens, sans qu’il soit permis d’établir, pour le moment, leur participation aux incidents.
Une photo, prise sur l’instant, montre une quinzaine de fonctionnaires, reconnaissables notamment à leurs casques de moto blancs, dans leur tenue habituelle qui emprunte autant à l’uniforme de « Robocop » des CRS qu’à l’équipement de n’importe quel motard. Cernant plusieurs jeunes assis sur le trottoir, le dos à la devanture d’un commerce désaffecté, plusieurs de ces fonctionnaires se laissent aller à des propos et des attitudes susceptibles de poursuites pénales, en particulier contre un jeune homme, « le seul Noir du groupe », précise l’un des jeunes gens interpellés. Plusieurs d’entre eux ne se connaissaient pas avant cet épisode.
« Tu sais que tu as une vraie tête à claques ? », lui dit un policier, tandis qu’à l’arrière-plan sonore des voix réclament des précisions sur le nombre de personnes interpellées. « Si tu veux, je te prends tout seul », continue le policier, avant d’intimer le silence au jeune homme, qui tente de répondre : « Ferme ta gueule. »
« Efface ton sourire »
Les propos de plusieurs fonctionnaires, très nettement audibles, sans que le moindre doute soit possible quant à la qualité de ceux qui les profèrent, sont prononcés sur le même ton, alternant menaces, intimidations, menus propos sur les aptitudes des interpellés à la boxe et fanfaronnades guerrières. Ainsi, cinq minutes et quarante secondes après le début de l’enregistrement, l’un des policiers se laisse aller : « T’as tellement de chance d’être assis là, maintenant qu’on t’a interpellé, je te jure, je te pétais les jambes, au sens propre… Je peux te dire qu’on en a cassé, des coudes et des gueules (…), mais toi, je t’aurais bien pété tes jambes. »
Plus grave, à deux reprises en l’espace de quinze secondes, à six minutes et quarante-deux secondes du début de l’enregistrement puis à six minutes et cinquante-cinq secondes, deux bruits de claques retentissent, d’autant plus identifiables qu’ils sont précédés et suivis de propos qui ne laissent aucun doute : un « Efface ton sourire », répété deux fois avant la première gifle puis une nouvelle fois après, et « Tu la fermes ou tu veux la deuxième ? », avant un nouveau claquement.
« Je ne… ferme pas », bafouille le jeune homme.
Une nouvelle voix, manifestement différente de celle du fonctionnaire qui a asséné les deux gifles, demande alors : « Tu commences à bégayer ! T’en re-veux peut-être une, que je te remette la mâchoire droite ? »
Le jeune homme : « Surtout, hésite pas à dire ça là-bas…
– Dire ça où ?, interroge un policier.
– Là-bas.
– Là-bas où ?, insiste le policier.
– Là-bas ! Vous allez me ramener où ?
– Au commissariat ? Mais y a que toi qui parlera, moi j’y vais pas, hein.
– Voilà, c’est pour ça que tu fais ça », conclut le jeune homme.
Puis le policier enchaîne par de surprenantes considérations, ponctuées des rires de ses collègues :
« Tu sais, moi je peux venir dormir avec toi si tu veux…
– Eh ben on y va,l’interrompt le jeune homme.
– … et c’est le premier qui bande qui encule l’autre », reprend le policier.
Une autre voix s’en mêle, toujours à l’adresse du jeune homme : « On va t’apprendre à respecter. En fait, je crois que t’as pas bien compris (…). Regarde tes copains, là : ils respectent, ils ne l’ouvrent pas bêtement, pour rien. » « Je m’en fous », répond le jeune homme. « T’es trop insolent, je te jure c’est un truc de fou », poursuit le policier, avant qu’un autre fonctionnaire n’intervienne à son tour : « Eh, t’inquiète, ta petite tête, ta petite tête, on l’a déjà en photo, t’as juste à te repointer dans la rue aux prochaines manifs (…). La prochaine fois qu’on vient, tu monteras pas dans le car pour aller au commissariat, tu vas monter dans un autre truc qu’on appelle ambulance pour aller à l’hôpital. »
A cet instant, l’ordre est donné de faire mouvement vers le secteur de Château-d’Eau (10e), où de nouveaux heurts sont signalés par radio. « T’as de la chance, dit un policier, on va se venger sur d’autres personnes. » 
Interrogé sur ces faits vendredi soir dans l’émission « C à vous », sur France 5, le préfet de police de Paris, Laurent Nunez, a annoncé qu’il allait saisir l’inspection générale de la police nationale (IGPN). « Evidemment que ces propos sont totalement inacceptables, a-t-il déclaré. Nous sommes extrêmement rigoureux sur l’application des règles déontologiques (...). Quand j’entends cette vidéo, je suis très choqué. »
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jloisse · 10 months
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Un Bradley américain a été pris comme trophée, plusieurs autres ont été détruits aujourd'hui par des soldats du 71e régiment de fusiliers motorisés des Forces armées RF qui remercie Zelya du cadeau 😁.
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sabaneevaldml · 1 year
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La sculpture monumentale en Union soviétique a connu une évolution fascinante de 1959 à 1979. Pendant cette période, les artistes ont été influencés par diverses tendances artistiques et politiques. C'est ce qui a façonné l'art de la sculpture monumentale. Nous allons explorer les influences et les tendances qui ont marqué l'évolution de la sculpture monumentale en URSS de 1959 à 1979. L'évolution des influences artistiques Dans les années 1950, l'art soviétique était dominé par le réalisme socialiste. C'est une forme d'art qui glorifiait le travail et la vie en Union soviétique. Cependant, dans les années 1960, les artistes ont commencé à explorer de nouvelles tendances artistiques. Telles que l'abstraction et le pop art, qui ont influencé la sculpture monumentale. L'abstraction a été introduite en Union soviétique dans les années 1960. Principalement par des artistes tels que Vladimir Nemukhin et Oskar Rabin. Leur influence s'est étendue à la sculpture monumentale, qui a commencé à être caractérisée par des formes géométriques et des motifs abstraits. Les sculptures abstraites étaient souvent réalisées en métal, pierre ou béton, et intégrées à l'architecture des bâtiments publics. Le pop art a également eu un impact sur la sculpture monumentale en URSS de 1959 à 1979. Le mouvement était influencé par la culture populaire et la publicité, et ses artistes ont utilisé des matériaux tels que le plastique, le verre et le néon. Les sculptures pop étaient souvent colorées et avaient des formes audacieuses qui ont inspiré les sculpteurs soviétiques à créer des œuvres plus expressives et dynamiques. L'évolution des influences politiques La sculpture monumentale en URSS de 1959 à 1979 a également été influencée par la politique soviétique de l'époque. Les sculptures ont souvent été utilisées pour promouvoir l'idéologie communiste et glorifier les héros soviétiques. La sculpture monumentale a été utilisée pour commémorer les événements clés de l'histoire soviétique, tels que la Grande Guerre patriotique (la guerre contre l'Allemagne nazie de 1941 à 1945), les réalisations de l'industrie soviétique et l'exploration spatiale. Les sculpteurs ont créé des œuvres qui ont évoqué un sentiment de fierté nationale et ont célébré les réalisations collectives de la société soviétique. L'évolution des tendances de la sculpture monumentale Au cours de cette période, la sculpture monumentale a connu des tendances marquantes. Les sculptures abstraites sont devenues de plus en plus populaires. Notamment dans les espaces publics tels que les parcs et les places. Les sculptures abstraites étaient souvent de grande taille. Cela permettait aux artistes de créer des formes et des motifs audacieux qui attiraient l'attention. L'évolution de la sculpture figurative se montre aussi par le fait qu'elle est également devenue plus expressive pendant cette période. Les sculptures de héros soviétiques, auparavant statiques et conformes au réalisme socialiste, ont commencé à être plus dynamiques et expressives. Et les sculptures de personnages tels que Lénine, Staline et autres héros de l'Union soviétique ont commencé à être représentées dans des positions plus dramatiques et dans des scènes qui représentaient leur rôle dans l'histoire soviétique. Les sculptures cinétiques ont également connu une popularité croissante. Ces sculptures étaient souvent motorisées et pouvaient se déplacer ou changer de forme. Cette tendance a été influencée par l'art cinétique en Europe et en Amérique. Mais aussi, elle a été adaptée pour refléter l'idéologie communiste en URSS. Enfin, les sculpteurs ont commencé à utiliser des matériaux plus modernes. Tels que le plastique, le métal et le béton armé pour créer des sculptures monumentales. Ces matériaux étaient moins coûteux que le bronze ou le marbre. Et ils permettaient aux artistes de créer des œuvres de plus grande taille et plus audacieuses. Conclusion L'évolution de la sculpture monumentale en URSS de 1959 à 1979 a été marquée par des influences artistiques et politiques complexes.
Les sculpteurs ont exploré de nouvelles tendances artistiques.  Telles que l'abstraction et le pop art. Le tout en utilisant la sculpture monumentale pour promouvoir l'idéologie communiste et glorifier les héros soviétiques. Les sculptures abstraites, figuratives, cinétiques et les nouveaux matériaux ont tous contribué à créer une sculpture monumentale dynamique et expressive qui reflétait l'esprit de l'Union soviétique à cette époque.
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lalignedujour · 1 year
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Avant le téléphone portable, et a fortiori avant le fixe, je me demande comment faisaient les gens pour être en permanence en mesure d'accueillir qui que ce soit qui viendrait à l'improviste. On ne pouvait pas prévenir, et personne ne s'attendait à ce qu'on prévienne.
Et si plusieurs personnes venaient à l'improviste, ça devait être très chiant. Elles n'ont peut-être rien à voir entre elles. On a peut-être envie d'être juste avec un groupe, et pas avec l'autre. Et on doit leur servir des boissons chaudes, quelle angoisse.
Et avant les transports motorisés, on ne pouvait pas congédier quelqu'un après une certaine heure. Ç'aurait été condamner la personne à marcher (ou pédaler, ou monter son cheval) de nuit, parfois dans le froid.
Et avant les chaussures, ça devait aussi être le malaise. Car si une personne arrive à l'improviste, a marché tant et si bien qu'elle a la plante des pieds crottée, tu peux pas lui demander de retirer ses chaussures vu que ses chaussures c'est ses pieds et qu'elle peut pas les retirer à moins de gestes d'une telle violence que ça projetterait du sang partout et créerait davantage de problèmes que si la personne entrait dans le salon avec ses pieds crottés. Là, elle prendrait le café avec les autres gens arrivés à l'improviste avec leurs pieds bof propres. Et on devrait faire les présentations et leur trouver maladroitement des points communs, et attendre un délai correct pour prétexter un truc à faire qui requerrait leur absence, genre laver par terre.
Ça c'est un truc à garder, quand même : la compartimentation de la convivialité.
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eonubes · 1 year
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« anéantir » le dernier roman de Michel Houellebecq prend pour cadre la France en 2027.  Une série d’attentat frappent plusieurs pays dans le monde, avec une extraordinaire précision et des modes opératoires très variés. Afin de maîtriser l’information, les auteurs de ces attentats procèdent à un hackage des médias afin de contrôler le contenu des informations sur leurs propres actions. Un homme, retraité des services de renseignement, semble avoir établi un faisceau de corrélations avant qu’un accident vasculaire ne le cloue au silence. Peu à peu, les liens se tissent autour d’une mouvance ésotérique qui convoque le Baphomet : Anagramme du Prophète Mahomet qui était obscure hérésie médiévale. Elle avait notamment servi à Philippe le Bel comme chefs d’accusation pour éradiquer la puissance montante des Templiers.
Il est à chaque fois très confortable d’enfermer un auteur et son œuvre, en un tour de clef, en inférant qu’il ferait « symptôme » dans un paysage par définition asymptomatique... Le symptôme est la voie la plus courte et la plus usuelle de l’absence de réflexion critique ; de celle qui scelle sous le régime d’une métaphore toute réflexion critique. Cette facilité épuise à restituer l’épaisseur d’un auteur ; notamment un auteur de l’envergure de Michel Houellebecq. Un auteur qui, le moins que l’on puisse dire, est clivant : entre ceux qui y voient un prophète et ceux qui le réduisent à un « symptôme ». Dans cet article, nous allons restituer les tensions, les forces et les faiblesses qui apparaissent à la lecture de ce roman.
Publié au tout début de l’année, au édition Flammarion, « anéantir » le dernier roman de Michel Houellebecq n’est pas l’énième roman d’un auteur prolifique. Quand bien même on y retrouve des motifs, ses obsessions, les mêmes personnages ou des paysages qui lui sont propres et le rendent reconnaissables pour ses lecteurs. On aurait tôt fait, dès lors, de réduire roman à une déclinaison des items houellecquiens en rangeant poliment en bonne place dans sa bibliothèque parmi ses autres.
Dans ce roman, Michel Houellebecq, nous introduit dans les arcanes du pouvoir en suivant la vie de Paul Raison, haut fonctionnaire du Ministère de l’Économie et des Finances. C’est assez habile de prendre un personnage établi au cœur de la machine de l’État, dans un pays comme la France ou la sophistication administrative est très prononcée, pour décortiquer nos existences corpusculaires.  
Du haut de son bureau, situé au sommet de la gigantesque barre de béton qui surplombe l’autoroute urbaine qui jusqu’au cœur de Paris, en  balafrant profondément le tissu urbain du 12e arrondissement Paul Raison a une vue surplombante sur les flux : mécaniques, motorisés ou fluviaux qui nourrissent ses pensées les plus secrètes. Tout autant que la circulation, il observe les méandres du fleuve qui cycliquement absorbe les rives pour en reconfigurer le paysage bien ordonné à l’intérieur des quais. C’est clairement l’une des clefs de l’écriture de Houellebecq. Dans le roman elle nous est donnée dès les premières pages. Houellebecq donne souvent à ses personnages quelque chose comme une seconde chance. Celle d’être appréhender par une forme de grâce poétique qui les délivre temporairement de le plus abjecte trivialité.
Le roman anéantir, l’auteur se joue des frontières entre une description très terre à terre et une teneur poétique ; comme dans ce passage où le père de Paul : handicapé et mutique, est laissé seul dans un fauteuil à roulette dans un parc où il se fait soigné. Son regard reste fixement rivé à un bouquet d’arbre qui lui fait face ; sans qu’on puisse décidé s’il observe la grâce que donne le mouvement des branches traversées par le vent ou si ce n’est pas juste son état végétatif qui le cloue dans cette attitude proche d’un détachement extatique et d’abandon intérieur. L’aspect contemplatif de ses principaux personnages des romans de Houellebecq est rémanent.  Ce roman n’y fait pas exception. Peut-être même plus encore que les précédents les descriptions poétiques parcourent tout le roman jusqu’à son dénouement. Ce qui est notable, c’est que ces descriptions ne sont pas forcément appréhendées à partir du regard de personne en pleine santé mais paradoxalement et à deux reprises dans le roman de personnes à la limite de décrépitude physique et mentale. C’est un aspect qui mériterai que l’on s’y arrête tant il semble que, pour l’auteur, l’homme moderne n’arrive à une sorte d’ascèse contemplative qu’en étant préalablement déchu de ses habitus contemporains du fait de sa déchéance.
Comme nous l’indiquions, l’alternance de ces passages poétiques sont contrebalancés par d’autres descriptions plus terre-à-terre. Nous entrons effectivement dans le corps du roman quand Paul Raison descend de sa citadelle de Bercy pour s’intégrer physiquement dans ce paysage qu’il observait en surplomb. C’est un des tours de force d’un roman qui n’en manque pas que d’avoir su restituer très précisément l’un des quartiers les plus méconnu de Paris. Un quartier excentré, en grande partie artificiel, bien que chargé d’histoire. Un ersatz de quartier coincé à l’intérieur du quadrilatère presque parfait que forment la gigantesque « architecture totalitaire », comme l’écrit l’auteur, du Ministère de l’Économie et des Finances, du périphérique, des rails de la SNCF et des rives solitaires de la Seine. Un quartier de prédilection donc pour un amateur d’anecdote comme l’est l’auteur. Il s’est attaché très particulièrement à celle qui concerne l’église Notre-Dame de la Nativité de Bercy sur laquelle l’auteur s’attarde à de nombreuses fois. Détruite et reconstruite à de nombreuses reprises, tout le long de son histoire, cette petite église du 12ième ardt, enchâssé dans la trame urbaine recomposée du quartier de Bercy fait dire au narrateur qu’à elle seule elle résume l’histoire de la chrétienté occidentale. On peut s’étonner que cette réflexion de l’auteur ne se soit pas étendue à tout ce quartier de Bercy. Quartier hybride : ancien et artificiel ; recomposé d’éléments épars de ses structurations successives, non seulement forme un succédané, mais préfigure la France contemporaine : entre mythe, recomposition et amnésie. C’est très frappant quand on traverse le parc de Bercy, la cour Saint-émilion, et jusqu’aux Maréchaux.
Historiques ou philosophiques ; voir triviales, les références tout autant que les analyses ne manquent pas dans ce roman. C’est peu dire qu’il en est « truffé ». On y voit là une forme de saturation toute contemporaine : celle de la nos sociétés overdosées d’informations de toutes sortes. Houellebecq nous alimente jusqu’à la lie de renseignent sur tout type de sujet. Il prend parfois un malin plaisir à n’omettre aucun détail, rendant souvent la lecture empêtrée de gloses, de digressions, d’analyses dont certaines sont à l’emporte-pièce.  Le plus souvent on les trouvera succinctes, comme celles qui concernent les pensées des philosophes, mais la plupart du temps elles tout simplement caricaturales comme des lectures de secondes mains.
Houellebecq use de ces digressions comme un anthropologue collecterait des mythes ; nous entrainant toujours plus loin dans une très longue et minutieuse description de nos habitus modernes. On aura tôt fait de conclure qu’il s’agit d’une description au scalpel du crépuscule du couple hétéronormé dont l’auteur ne prends aucune pincette pour le déconstruire méthodiquement. Très vite il nous conduit dans les recoins de l’intime où vont se nicher les plus triviales descriptions du roman. La ligne de démarcation de la « guerre des sexes » se déplaçant à l’intérieur du frigo du couple que forme Paul Raison et sa femme Prudence. « Un couple hétérosexuel est un couple en instance de divorce » déclare le narrateur dont il décrit l’évolution, en reprenant à Dante sa géographie infernale, l’image des cercles concentriques que forment l’Enfer comme autant de cycle vers l’inéluctable. Il faut attendre la page 350 pour avoir un semblant d’esquisse d’une rédemption sous deux modalités différentes.
Le narrateur, en effet, indique comme solution de prendre exemple sur les animaux et en particulier sur les oies. En laissant, par exemple, son odeur sur sa ou son partenaire et en prenant soin de surtout de ne pas appuyer les premiers attouchements d’un retour en flammes. Tout cela à grand renfort de magie et de cierges déposé dans la modeste église Notre –Dame de la Nativité de Bercy. L’autre type de rédemption prends la forme d’une femme africaine que l’auteur décrit bien sous tous rapport : catholique, bien éduquée, et portant un prénom bien français : Maryse. Ce personnage dont on laissera le lecteur découvrir plus abondamment tout seul, est introduit dans le chapitre en même temps qu’une digression sur un autre type d’immigré comme si leurs figures en formaient l’antithèse. C’est-à-dire l’arabe, « la racaille », comme il est écrit ; précédemment assimilés aux orcs du roman « Le Seigneur des anneaux ». La dites racaille des quartiers populaires reste une racaille même quand elle vote massivement en faveur du candidat au pouvoir pour les présidentielles (Sans doute une des fictions les plus risibles du livre). Celle des classes populaires dont l’horizon se borne aux barres d’HLM en béton dont le narrateur nous dit que Maryse « se méfie instinctivement ». Cette bonne immigrée est donc l’autre solution de rédemption au couple hétéronormé. Elle, elle sait « prends les choses en mains » : sexuellement s’entend, pour leurs faire retrouver leurs naturalités premières. Finalement ces deux formes de rédemptions possibles au couple hétéronormé semblent se faire écho sur le plan d’un retour aux sources naturelles et animale de l’humanité…. La brave Maryse sera finalement expédiée deux dix cents pages plus tard en retournant dans son Bénin natal après avoir prêté de sa personne comme prix à payer de sa parfaite intégration à la famille Raison. On retrouvera encore les immigrés au détour d’une discussion dont se remémore Raison. Dans laquelle, le Ministre de l’Économie et des Finances, lui aurait expliquer qu’ils ne sont ni économiques, ni même réellement humanitaires, et que c’est en conscience qu’ils risqueraient leurs vies. « Ils ont parfaitement compris notre fonctionnement dit Bruno, « La culpabilité, le « christianisme résiduel, ect » ; « Ils savent qu’ils vont être recueilli par un bateau humanitaire ». « La violence est efficace » finit par conclure Monsieur Raison en écoutant le Ministère. Ce passage est anthologique : A grand renfort de citation on y retrouve ce gout houellebecquien pour la glose savante.  Il conclut le récit d’un attentat filmé contre un bateau de migrants. Ceux-ci auraient finalement renoncer depuis à faire la traversée en mer. L’immigration peut bien avoir « quelques succès » comme celle de ce dentiste qui vient sauver la bouche fétide et gangrenée du personnage principal mais il faut bien convenir « qu’ils étaient de plus en plus rares » conclut-il.
Si l’on a dit que le roman « anéantir » dispensait de quelques réflexions sur la société hétéronormé et patriarcal, ce qui est immanquable ce sont les prophéties de Houellebecq.  L’une d’elle s’est réalisée en cours de publication (nous vous laissons le soin de découvrit laquelle), mais les plus intéressantes quant à l’avenir de la France sont celles qui conditionnent son personnel politique. Au moins une personne figure au premier plan : le « Président » sans qu’une seule foi tout le long des 730 pages que compte le roman son nom soit donné. On l’aura très vite deviné, il s’agit de l’actuel Président de la République. S’il n’est jamais nommé, il fait exception. Certaine on droit  à voir figurer sous leurs prénoms comme c’est le cas d’une des figure de l’Extrême-droite actuelle.  Le narrateur nous avertit prophétiquement que le « Président » compte rempiler à toutes les élections à venir ; quitte à mettre un factotum comme marchepied entre deux suffrages, suivant scrupuleusement les modifications apportées à la Constitution en 2000. Le pire n’est pas là. On pouvait sans Houellebecq se douter des ambitions du personnage. Ce que l’on apprend c’est que le « Président » serait même capable de contribuer à une élection de l’Extrême-droite si celle-ci pouvait, à son tour, rendre inéluctable son retour aux pouvoirs après que les freins de la Constitution seraient levés.
Le roman est constitué d’une sorte d’épilogue. On bascule dans une autre géographie urbaine, un autre quartier qui semble se déplier du précédent comme s’il en formait depuis le début son horizon. Il en est en tout cas le prolongement naturel. C’est dans cette partie du roman que le titre « anéantir » prend tout son sens. Il est écrit sans lettre capitale comme pour en conserver sa puissance évocatoire sans autre résonance capitale. C’est au cœur de cette anéantissement que la rédemption du couple que forment Paul et sa femme prudence le plus de force. Il n’est guère étonnant que les plus beaux passages du livre se trouvent dans cette épilogue. La maladie y est décrite comme un processus d’anéantissement intime exactement dans les mêmes termes que l’a décrit le savant Claude Bernard. En sorte que le vivant lui-même est corrélé à la mort dès son apparition. Ce sont sans doute les pages les plus justes de tous le roman qui n’en manquent pourtant pas. Si bien des passages peuvent laisser dubitatifs jusqu’à en perdre son lecteur quant aux qualité que l’on prête à Houellebecq. L’épilogue à lui seul concentre toute la force et la beauté d’un très grand écrivain. On y suit jusqu’au plus près de l’intimité, délesté des dernières pudeurs, la maladie et l’amour faisant résonner ce vers biblique qui imprime son timbre au Cantine des cantiques « Mets-moi comme un sceau sur ton cœur, Comme un sceau sur ton bras; Car l'amour est fort comme la mort ».
Description du quartier : Immeuble totalitaire à partir duquel se décline le quartier et son histoire comme un microcosme emportant avec lui la France en succédanée...
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gfxced · 1 year
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est-ce que tu peux un peu nous parler de ton parcours pro en tant que photographe genre comment tu t'es lancé, comment ça t'es venu, tes potentiels doutes ou autre ?
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C'est marrant, avec @leonce-rature vous me posez tous deux grosso modo la même question. Bon j'espère que vous avez du temps parce que je suis en hyperfocus et donc je vais y aller dans les détails.
Alors je vais pas vous faire le coup de "j'ai toujours fait de la photographie" (ce gros cliché) mais par contre, j'ai toujours été entouré de photographie.
Ma maman en particulier, avait toujours un appareil sur elle (un Nikon EM dans les années 80 et début des 90 et un Minolta motorisé par la suite qu'elle n'a arrêté d'utiliser qu'avec l'arrivée de son premier smart phone - pour personnes âgées).
Prendre des photos pour elle ça à toujours été un truc d'angoissée existentielle. Documenter, avoir des souvenirs, apprivoiser l'horreur du temps qui passe et des moments qui ne durent qu'un court instant et qui ne surviennent qu'une seule fois. C'est pour ça qu'elle le faisait. J'ai les négatifs chez moi car je les scanne quand j'ai un peu de temps et je trouve ses images poétiques, certaines vachement bien, mais elle ne s'en est jamais rendu compte je pense.
J'ai donc grandi avec ça en background mais n'y ai jamais prêté attention à l'époque.
Après l'école secondaire, vers 2003, nous avons eu notre premier appareil photo numérique, ces petits compacts sony de 2 ou 4 mégapixels. Du coup c'est moi qui m'en suis chargé car transférer sur le pc, imprimer, tout ça, pour ma maman, ce n'était pas évident.
3 ans passent ainsi. Ce sont en fait quelques années d'errance en études supérieures que je ne finis pas (chaque année un nouveau truc) et durant ces années j'ai remarqué que j'utilisais l'appareil tout le temps.
J'ai eu un déclic après avoir fais quelques images le temps de voyages répartis sur un été et un automne et je me suis mis à chercher à faire des images en y réfléchissant un peu plus.
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2004, Pays-Bas, images originales qualité VGA (lol)
Après quelques mois d'obsession constante (merci TDAH non diagnostiqué) je suis même allé rechercher le Nikon EM de ma maman et me suis mis à l'utiliser aussi, j'ai acheté des livres (de reporters) et le papa d'un de mes potes avait fait des études de journalisme et avait fait de la photo argentique dans ce cadre là. Il m'a filé son agrandisseur, ses cuves et au bout d'une année je me suis rendu compte qu'il fallait que je me lance sérieusement.
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J'ai passé quelques temps à faire des photographies des SDF et mandiants de ma ville. C'était surtout pour apprendre à approcher les gens. Je suis super introverti et en y repensant je me demande comment j'ai bien pu faire.
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A côté de ce genre de challenge, à l'époque j'avais toujours un appareil sur moi et je photographiais tout, tout le temps. (Ca n'a pas trop changé, sauf pour le tout et le tout le temps). Tout était très nouveau et excitant et j'avais l'impression de tenir un moyen d'expression satisfaisant. J'aurais aimé pouvoir dessiner et peindre cela offre plus de libertés, notamment pouvoir vraiment donner forme à des univers intérieurs, mais je suis une clinche. J'arrivais à écrire mais ça prennait trop de temps et je ne pouvais pas le faire sur commande, je me décourageais vite. (Comme ce diagnostique TDAHP aurait pu être utile!)
J'ai été piqué par le truc suffisamment fort que je me suis dit qu'en faire mon métier pourrait être un bon plan. A l'époque en Belgique le métier de photographe était toujours soumis à l'accès à la profession, c'est à dire qu'il n'était pas question de travailler en tant que photographe sans avoir suivi les études ad hoc.
Vu qu'entre temps j'avais déjà trouvé un boulot dans un office de tourisme, j'ai suivi la formation en cours du soir. En 2006 l'accès à la profession a été levé, mais je me suis dit que j'allais tout de même continuer à suivre les modules, mais plus à mon aise. J'ai reçu mon diplôme de technicien en photographie en 2009 mais j'ai effectué mes premiers contrats dès 2007 (des concerts et des portraits surtout) pendant que j'étais encore en formation.
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2007, concerts de Jazz
Ensuite je suis retourné en cours du soir pour chopper ce qu'on appelle le Certificat d'Aptitude Pédagogique (CAP) qui permet d'enseigner toute connaissance technique / spécialisation que l'on peut avoir. (En gros c’est comme sciences de l’éducation, mais en version light et pratico-pratique).
En même temps je bossais toujours à l'OT et utilisais mes vacances pour faire des voyages photographiques. Je réalisais aussi les photos pour l'office, qui ont fini dans les brochures touristiques. Mon contrat est arrivé à terme en 2011 et entre ce moment et 2013 j'ai fait pas mal de freelancing très irrégulier en alternance avec le chômage.
Je suis parti en Islande plusieurs fois, je suis parti pas mal au Japon.
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Au total j'ai vécu 7 mois à Tokyo si on met les séjours bout-à-bout. Démarches de reportage et vivre ma vie, mais jamais pleinement assez. En tout cas, c'est le souvenir que j'en garde.
Je me dis que j’ai tout de même bien fait d'avoir pu vivre ces quelques années dans une boite à chaussures et m'être autorisé de voir un peu le monde, mais en prenant de la bouteille, je ne peux que regretter de ne pas avoir été au bout des choses. C'est sans doute juste ce côté perfectionniste qui parle... (encore une fois, un diagnostique aurait été précieux, bordel!).
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Je vivais tranquillou, sans me préoccuper de rien quand tout à coup, en 2013, boulversement dans ma vie, je tombe amoureux de celle qui deviendra mon épouse et je bazarde tout dans ma vie. (Ca n'a pas été forcément sans dégats). Je me remets à une formation que je suis de 2014 (année de notre mariage) jusqu'à 2015 pour devenir caméraman-monteur en télévision. A la fin de ma formation nous sommes partis en lune de miel, au Japon, évidemment.
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Lors de ce voyage (la dernière fois que j’y ai mis les pieds malheureusement) j’en ai profité pour realiser un court docu sur le japon, la photo, les découvertes, les rencontres, les amitiés...
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A notre retour, on a vécu encore un peu dans ma boîte à chaussures pendant que je faisais des piges en tant que caméraman en télélocale et pour des boîtes de prod, jusqu'à ce que je trouve un poste dans le secteur jeunesse décroché grâce à toutes les cordes à mon arc.
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En 2016 je suis donc devenu éducateur aux médias et animateur socio-culturel. Mes missions : projets photographiques, audio-visuels avec des jeunes de 12 à 26 ans, éducation aux médias (des trucs ezpz comme les réséaux sociaux mais des trucs plus particuliers genre déontologie et démarche journalistique) mais aussi de l'éducation dans des domaines d'informations plus généraux (de l'EVRAS aux changements climatiques par exemple).
Je suis toujours à ce poste et c'est très chouette car très varié (fonctionnement par projet donc c'est bien pour mon cerveau qui ne supporte pas la routine) et il me permet d'utiliser toutes les formations que j'ai suivies... et plus encore car je continue à apprendre!
Je continue à faire des contrats photos et audiovisuels ainsi que donner des formations en plus de mon boulot actuel, mais c'est très disaparate, avec maintenant deux enfants et en étant neurodivergent j'ai pas trop d'énergie en réserve, sauf lorsque j'ai vraiment besoin/envie d'argent :P
Ah oui, le diagnostique tant attendu est tombé fin 2019 après avoir été suspecté pendant quelques années. Gérer le boulot, la famille, c'était devenu trop compliqué et je commençais à lâcher prise.
Si vous êtes nozy, y a aussi le tag me qui révèle des trucs en filigrane je crois...
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inblogstadt · 1 year
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A TOUTE B-ERZINGUE M-OTOREN W-ERKE !
Mon cher M-in-M m'a invité dans son humble demeure qui n'est autre qu'une chambre chez l'habitant. J'ai eu alors la chance de pouvoir rencontrer la propriétaire des lieux. Elle était très sympathique, et malgré les conditions hivernales, elle n'a pas voulu faillir et est restée une grande citoyenne, elle n'a donc pas allumé le chauffage. La sobriété énergétique avant tout !
Durant ce petit séjour à Munich, nous avons pu, comme de bons élèves, faire un tour au musée BMW. Ce fut un moment tout à fait charmant. Nous avons vu des modèles historiques et iconiques de la marque, ce qui était assez impressionnant à voir de nos propres yeux. J'ai notamment vu de près une petite M1 ma foi à l'allure fort sympathique. Après s'être baladés dans cet immense puit à trésors ( tel que Martin le premier homme moteur cf photo ), nous avons organisé une soirée, avec nos amis et collègues de Martin, a un bowling non loin d'ici. Mes compétences acquises dans le bowling d'Ingolstadt lors de ces parties endiablées m'ont permis de m'imposer lors de la première partie.
Juste après nous sommes partis manger dans un restaurant avec la ferme intention de nous détruire ce qui nous sert de panse et sommes rentrés respectivement chacun chez soi, sauf pour moi qui suivais de près mon a(l)cco(o)lyte.
Cette deuxième nuit fut on ne peut plus réparatrice car mon lit était terriblement confortable et proche du sol à deux doigts de me rappeler une séance de judo avec David Douillet.
Ce jour-là, nous nous sommes repartis pour aller voir toujours plus de véhicules motorisé en tout genre mais nous avons fait un bond dans le temps pour cette visite. En effet, nous sommes donc allés au BMW Welt où nous avons pu apprécier (ou non. Aucun commentaire. ) les derniers véhicules proposés par l'entreprise et ses partenaires.
Fin du week end à vous les studios :)
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