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#Marie-Anne Révérend
gogmstuff · 1 year
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1770s dresses (from top to bottom) -
ca. 1770 Young Woman in an Elegant Interior attributed to Strickland Lowry (Huntington Library, Art Museum, and Botanical Gardens - San Marino, California, USA), From tumblr.com/nellielcvetts/702005685477670912/history-of-fashion-ab-1770-attributed-to. Enlarged by half 796X1200 @72 249kj.
1774 Marie-Louise de Robien by Élisabeth-Louise Vigée-Lebrun (Musée Cognacq-Jay - Paris, France). From tumblr.com/sims4rococo76; fixed obvious spots w Pshop 983X1236 A72 412kj.
1777 Jeune musicienne by Élisabeth-Louise Vigée-Lebrun (location ?). From tumblr.com/sims4rococo76 1080X1196 @72 165kj.
Marie-Anne Révérend by Antoine Vestier (location ?). From tumblr.com/sims4rococo76 766X1000 @72 384kj.
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My next dress by the talented Madame Jejette (a.k.a. Anna Nurzynska) of Atelier Saint Honoré will be a reproduction of this delightful robe a la polonaise in the portrait of Marie Anne Révérend, Mme Antoine Vestier, by her husband, the artist.
The dress will be made with silk and cotton ivory batiste, pale pink tafetta and of copious amounts of delicate lace.
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challengevictorien · 1 year
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Le Révérend Dunham, l’oncle de Mary-Ann accepte de célébrer son futur mariage.
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bibliotheek · 7 years
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Les fous de Bassan Anne Hébert 1998, Points, 256 pages
ISBN 13: 9782020336482    ISBN 10: 2020336480
Le 31 août 1936, à Griffin Creek, Olivia et Nora, deux adolescentes, deux cousines si belles qu’elles attisent même les désirs du prêtre, disparaissent le long de la grève qui longe le fleuve Saint-Laurent. Cette tragédie bouleverse toute la communauté. Le drame relaté dans Les Fous de Bassan sera narré par cinq personnages tous plus ou moins liés aux victimes, tous plus ou moins parents, membres de familles survivant dans ce coin de terre isolé depuis qu’elles ont fui les États-Unis après la guerre d’Indépendance. Il y a le révérend Nicolas Jones, qui se remémore, dans son journal, l’été 1936. “Dans toute cette histoire, écrit-il, il faudrait tenir compte du vent, de la présence du vent, de sa voix lancinante dans nos oreilles, de son haleine salée sur nos lèvres.” Il y a Stevens Brown, le déserteur, “le pire de nous tous, le dépositaire de toute la malfaisance secrète de Griffin Greek, amassée au cœur des hommes et des femmes depuis deux siècles.” Il y a aussi Perceval, le simplet, le fou du village qui en sait beaucoup plus que les gens ne le croient, et les petites victimes, à qui Anne Hébert prête voix. “Il y a certainement quelqu’un qui m’a tuée, dit Olivia. Puis s’en est allé. Sur la pointe des pieds.” Ces paroles qui ressemblent à une prière murmurée, elles étaient déjà dans Le Tombeau des rois, le premier recueil de poésie qu’Anne Hébert faisait paraître en 1953. Et elles allaient revenir près de 30 ans plus tard, dans ce roman pour lequel l’auteure a remporté le prix Femina 1982. C’est dire à quel point la poésie imprègne l’œuvre romanesque d’Anne Hébert, porte à bout de bras ses histoires, des Chambres de bois à L’Enfant chargé de songes. --Marie Claude Fortin
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