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#Contournement de la politique de sécurité
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Kerch
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Kerch est une nation insulaire, englobant une grande île principale, trois îlots plus petits, ainsi que de nombreuses autres îles dispersées. Bien qu'elle soit techniquement relié à Shu Han par un pont terrestre, les Tidemakers de la Koopsmangilde maintiennent ce pont submergé, empêchant ainsi tout voyage terrestre entre les deux pays et renforçant la sécurité de Kerch.
Le paysage du sud de Kerch se dessine par des campagnes vallonnées où prospèrent de multiples exploitations agricoles. Des réseaux fluviaux relient ces zones rurales au cœur de Ketterdam. On trouve plusieurs petites îles au large de la capitale, parmi lesquelles Imperjum, hébergeant les chantiers navals de renom de la cité et Terrenjel où se situe la prison de Hellgate. Plus éloignée du continent, Vellgeluk, une petite île, demeure l'un des repaires privilégiés des voleurs et des contrebandiers.
Le climat de Kerch se caractérise par sa tempérance et son abondance de précipitations. La partie méridionale se compose principalement de terres agricoles, tandis que le nord est davantage propice aux brumes et aux averses.
Considérée comme la province financière du monde, Kerch abrite une oligarchie gouvernée collectivement par le Conseil des Marchands. Cette assemblée représente le pouvoir central de Kerch, constituée des treize familles les plus influentes et prestigieuses du pays. Elles se réunissent pour délibérer des affaires commerciales, étatiques et religieuses.
Elle est protégée par une marine puissante et de vastes fortunes, qu'elle distribue souvent sous forme de prêts. Kerch exerce un pouvoir politique important sur d’autres pays, en particulier sur ceux qui sont endettés, comme Ravka. Réputée imprenable, Kerch a pourtant connu une sombre période avec la peste noire qui a failli ravager sa capitale il y a douze ans.
Bien que Kerch soit célèbre pour son dynamisme commercial, elle est également un repaire de la criminalité. Sa capitale, Ketterdam, grouille de divers gangs. Bien que l'esclavagisme soit officiellement illégal à Kerch, les marchands parviennent aisément à contourner cette interdiction en utilisant des subterfuges. Il existe des arrangements contractuels qui, dans la pratique, ressemblent à de l'esclavage déguisé. Ces accords peuvent souvent être extrêmement contraignants et déséquilibrés, créant des conditions de vie proches de l'esclavage malgré leur forme légale. Une facette sombre de la société de Kerch, où les lois sont souvent contournées ou exploitées pour des gains personnels au détriment des plus vulnérables.
La culture de Kerch est entièrement axée sur le matérialisme et les finances, où le commerce domine toutes les discussions. La monnaie officielle de Kerch est le kruge.
La religion de Kerch gravite autour de Ghezen, le dieu de l'industrie et du commerce. On dit que pour les Kerch, rien n'égale la sacralité du commerce. Ghezen est communément représenté par une main à cinq doigts, symbolisant la force et la volonté du marché.
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pdj-international · 6 months
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Dernière mise à jour : 15 novembre 2023, 03h00 ISTLisez toutes les dernières nouvelles du monde sur News18.comLes démocrates du Sénat ont avancé mardi avec une résolution qui permettrait la confirmation rapide de centaines de candidats soldats, une tentative de contourner le embargo imposé par le sénateur de l'Alabama, Tommy Tuberville, par rapport à la politique d'avortement du Pentagone. WASHINGTON : Les démocrates du Sénat ont adopté mardi une résolution qui permettrait la confirmation rapide de centaines de candidats soldats, une tentative de contourner le embargo imposé par le sénateur de l'Alabama, Tommy Tuberville, par rapport à la politique d'avortement du Pentagone.La commission du Règlement du Sénat a voté par 9 voix contre 7 pour approuver une résolution qui permettrait au Sénat de confirmer tout de suite des groupes de candidats soldats pour le reste du mandat du Congrès. Le Sénat a traditionnellement confirmé la réunion de grands groupes d’officiers soldats, mais ce processus peut être bouleversé par un seul sénateur qui s’y oppose.La résolution va désormais être soumise au Sénat pour un vote, où les démocrates auront besoin d'au moins neuf voix républicaines pour être adoptée. Tandis que les républicains du comité des règles se sont opposés à la mesure, arguant que cette décision pourrait éroder les pouvoirs de la minorité au Sénat, certains ont signalé qu'ils pourraient changer d'avis si Tuberville n'abandonnait pas les prises avant cette date.Le leader républicain au Sénat, Mitch McConnell, qui a critiqué les décisions de Tuberville avant le vote en commission, a annoncé qu'il s'opposerait à la résolution démocrate « à ce moment spécifique ».À propos de Tuberville, McConnell a annoncé que « malheureusement, notre collègue a plutôt choisi d'exercer son influence sur des officiers soldats de carrière, sans aucune influence sur les priorités politiques de cette administration. »Tuberville s'est dit prêt à négocier la fin de ses emprises sur près de 400 candidats soldats, ce qu'il avait annoncé pour la première fois en février. Mais il n’a pas encore indiqué qu’il les abandonnerait.Frustrés, les Républicains du Sénat ont mis Tuberville au défi d'abandonner les prises et l'ont confronté au sol lors de plus de quatre heures, réclamant 61 des nominations soldats seulement pour que Tuberville se lève et s'oppose à chaque fois.Tuberville bloque les nominations en opposition aux nouvelles règles du Pentagone qui autorisent le remboursement des frais de voyage lorsqu'un militaire doit quitter l'État pour se faire avorter ou obtenir d'autres soins reproductifs. L'administration du dirigeant Joe Biden a institué de nouvelles règles après que la Cour suprême a annulé le droit national à l'avortement, et certains États ont limité ou interdit cette procédure.De hauts responsables soldats ont prévenu à multiples reprises que le embargo de Tuberville menaçait l'état de préparation et la sécurité nationale. Le secrétaire à la Défense, Lloyd Austin, a annoncé que les retards nuisent à la préparation et ont « alourdi inutilement nos familles soldats, qui abandonnent déjà tant pour soutenir ceux qui servent ».Avis de non-responsabilité : ce post a été publié automatiquement à partir d'un flux d'agence sans aucune modification du texte et n'a pas été révisé par un éditeur.(Cette histoire n'a pas été éditée par le personnel de News18 et est publiée à partir d'un fil d'agence de presse syndiqué - Associated Press)
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chinemagazine · 1 year
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Face à la Chine, l'Union européenne cherche une union
La relation de l'Union européenne avec la Chine est compliquée mais nécessaire. Lors d'une réunion le 12 mai à Stockholm tenue entre les ministres des Affaires étrangères des 27, qui ont tenté de trouver une approche commune face au géant asiatique. La Chine a peu apprécié la nouvelle série de sanctions soumise par la Commission européenne contre la Russie. Devant le Parlement européen, le chancelier allemand Olaf Scholz a souligné le 9 mai combien la relation avec la Chine s'était durcie, avec "plus de rivalité et plus de concurrence de la part de la Chine". Cette réunion visant à "mettre un terme à la cacophonie" et exprimer la position de l'UE vis-à-vis de Pékin à la manière d'un "choeur", a indiqué le chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell. "Il y a une volonté d'éviter la confrontation avec la Chine" Cependant, les Européens ne peuvent pas rompre leur relation avec la Chine, car "ils ne sont pas sur cette voie", a expliqué Elvire Fabry, spécialiste de la Chine pour l'Institut Jacques Delors. "Il y a une volonté d'éviter la confrontation avec la Chine, même si les contentieux se multiplient", a expliqué cette dernière à l'Agence France Presse. Le sujet le plus tendu ces derniers mois est celui lié à l'ambiguïté de la position chinoise sur l'invasion de l'Ukraine par la Russie. La Chine n'a pas condamné la Russie, et certaines de ses entreprises aideraient la Russie en contournant les sanctions européennes. La Commissions européenne a proposé aux 27 de restreindre les possibilités d'exportations pour huit sociétés chinoises accusées de réexporter vers la Russie des biens avec des composants électroniques et des technologies sensibles comme des semi-conducteurs et des circuits intégrés. La Chine a annoncé qu'elle "répliquera" si ces mesures sont adoptées, a averti à Berlin le ministre chinois des Affaires étrangères Qin Gang, en visite en Europe. Les entretiens ont été difficiles avec son homologue allemande Annalena Baerbock, qui a critiqué la neutralité revendiquée de la Chine. "Elle revient à se mettre du côté de l'agresseur", a-t-elle soutenu. La France a elle cherché a apaiser la tension. La ministre Catherine Colonna a insisté sur "l'importance du rôle que la Chine peut jouer pour la paix et la stabilité mondiales". "Il faut maintenir le statu quo entre la Chine et Taïwan" Il y a "urgence", a souligné Elvire Fabry, chercheuse senior à l'Institut Jacques Delors, responsable de la politique commerciale européenne. "La publication de la stratégie de sécurité économique annoncée par la Commission européenne pour le 21 juin, juste avant le sommet européen, permettra de passer au volet économique du débat sur la Chine", a expliqué cette dernière. "Elle doit permettre de regarder les dépendances excessives des Etats membres vis-à-vis de la Chine, de mettre en oeuvre les instruments de défense commerciale, notamment le contrôle des investissements étrangers", précise-t-elle. Le marché chinois se restreint pour les automobiles allemandes et les fabricants chinois ont pris une longueur d'avance sur les véhicules électriques à l'export, souligne-t-elle. La relation avec les pays de la zone Asie-Pacifique et les nouveaux partenariats en négociation s'inscrivent dans cette logique. La réunion du 6 mai entre les ministres de l'UE et leurs homologues de la région portera sur le volet sécuritaire, avec les tensions dans le détroit de Taïwan, "mais elle va surtout permettre de discuter de la manière de construire des partenariats", a expliqué un haut responsable européen. "Il n'est pas question de chercher un alignement entre les participants face à la Russie au cours de cette réunion et il faut maintenir le statu quo entre la Chine et Taïwan pour éviter une escalade", a-t-il précisé. "Il n'y aura pas de négociations, pas de conclusions, pas de déclaration commune", a-t-il ajouté. Read the full article
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shalomelohim · 1 year
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- Boker Tov Lekoulam / Bonne Journée tout le monde -
Un texte sous forme de 1er bilan concernant notre comportement, les choix que nous avons faits, les actions que nous avons posées ces 3 dernières années alors que le chemin se resserre. 
Notre quotidien, notre Ministère a forcément changé, des séparations ou des changements notables ont été effectués afin de nous préparer à la prochaine étape.
En effet, il ne s’agit pas seulement d’annoncer ce qui va arriver, mais aussi de réfléchir sérieusement à ce que nous allons faire.
Il y a celles et ceux qui feront de grandes enjambées et d’autres qui auront un parcours plus lent. Le principal étant d’avancer selon la volonté de Dieu avec son Ruah Ha Kodesh.
Avons-nous choisi Dieu ou la solution que le monde nous proposait ? Ou avons-nous cherché à contourner les difficultés (par exemple par ruse ou mensonge ou par des moyens occultes) pour ne pas les vivre ?
Que ferons-nous demain puisque cela va recommencer différemment mais en nous repoussant toujours plus loin dans nos retranchements et dans notre foi ?
Les membres d’une même famille peuvent être séparés : bien poser les différents cas de figure.
Tout le monde est concerné.
Que Dieu nous aide et nous fortifie au travers de son Fils Yahshua.
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Le monde a reculé pour mieux sauter
Nous n'avons pas à souffrir d'avance, mais nous aurions tort d'attendre le prochain problème mondial pour prendre nos dispositions. 
Parce que les Gouvernements eux, travaillent à étudier le bilan de ce qui a fonctionné, ce qui n'a pas fonctionné, quelles sont les personnes qui ont accepté ou refusé, pourquoi ? Comment ? Qui sont ceux qui y ont échappé ? Qu'est-ce qui leur a permis d'échapper ? Le but ? Parvenir à casser toutes les combines et les contournements, par de nouvelles lois. C'est une stratégie simple et facile à comprendre. Lorsque l'obligation vaccinale a frappé dans certains corps de métiers, plusieurs infirmiers, policiers et pompiers par exemple, se sont faits faussement vacciner. Je ne parle pas d'achat de faux pass-vaccinal, ni d'achat de certificat de vaccination. Comprenons le cas des infirmiers libéraux par exemple. Ils avaient le droit de vacciner ceux qui les sollicitaient. Un infirmier ou une infirmière, pouvait donc venir chez moi par exemple, sans témoin, il/elle ne me vaccine pas, mais remplit les documents comme s'il l'a fait, personne ne peut vérifier que la dose a terminé dans les toilettes et non dans mon corps. Le Gouvernement le sait. Il étudie donc comment casser cela la prochaine fois, des lois arrivent dans ce sens. Nous pouvons prévoir que les procédures d'applications et la façon de contrôler ceux qui auront réellement le vaccin dans le corps, changeront totalement. Une procédure de vérification par des autorités compétentes sera mise en place. Peut-être aussi, ceux qui pouvaient effectuer des vaccins à domicile, ou dans des lieux privés, n'auront plus le droit de le faire.
Ailleurs dans le monde, on pouvait faire valoir l'exemption religieuse. C'était le cas des Etats-Unis, durant la pandémie de Covid. Dans certaines circonstances, la loi fédérale peut autoriser un employé fédéral ayant une objection religieuse, à une exemption de cette exigence, auquel cas l'employé sera tenu de se conformer à d'autres protocoles de santé et de sécurité. Pour pouvoir bénéficier d'une éventuelle exemption, vous devez d'abord établir que votre refus de vous faire vacciner est fondé sur une conviction sincère à caractère religieux. Un refus de se faire vacciner ne peut faire l'objet d'une exemption, s'il est fondé sur une préférence personnelle, des préoccupations concernant les effets possibles du vaccin, ou les opinions politiques. Certains ont pu faire un exposé de leur foi, pour refuser le vaccin. Comme le fait que quelques uns, contenaient du porc. Cela sautera aussi la prochaine fois, des nouvelles lois seront mises en place pour empêcher toute échappatoire, avec l'aval des autorités religieuses comme on a pu le voir durant la pandémie. (Lien ici : Le Vatican approuve le vaccin Anti-Covid utilisant des cellules de bébés avortés, les musulmans s'interrogent sur la gélatine de porc contenue dans ces vaccins)
En partant de ce que la Bible nous dévoile comme ce qui sera de toute façon une réalité dans le monde, aujourd'hui nous ne pouvons que constater que chaque crise a pour but de parvenir à cette réalité. Les crises accouchent de nouvelles lois, la privation de liberté est progressive.
C'est la raison pour laquelle, pendant que les faiseurs de lois mettent en place des lois et des procédures pour les futures crises et pandémies, nous aurions tort de ne pas faire notre propre bilan, afin qu'il en ressorte des positionnements solides.
Quels ont été mes points forts ? Mes points faibles ? Ai-je cédé ? Pour quelles raisons ? Quels sont les aspects qui m'ont fait peur au début, pendant et maintenant ?
- La peur d'une maladie inconnue ? - Le deuil ? - La peur de mourir ? - Le confinement ? - L'isolement ? - L'ambiance négative, morose ? - La crainte de perdre son travail ? - La crainte de ne plus pouvoir payer ses factures ? - La crainte de rompre le lien social ? - La crainte de ne plus pratiquer ses loisirs, ses sorties ? - La crainte de perdre sa place, son statut dans la société ? - La confusion de ne plus savoir qui dit la vérité ? - La crainte de ne pas comprendre dans quel cadre biblique cela s'inscrit ? - La crainte de ne pas connaître suffisamment la Bible pour prendre une décision personnelle ? - Etc...
Reconnaissez tout ce qui a pu être une faiblesse, et commencez vous aussi à travailler pour faire bloc, car vous aurez exactement les mêmes faiblesses la prochaine fois, et jusqu'à la marque de la bête.
Vous aurez toujours les mêmes raisons de ne pas vouloir perdre votre travail, par crainte de ne plus pouvoir vous nourrir vous et votre famille. Devant la marque de la bête, ce sera la même chose. La Bible dénonce que certaines personnes adoreront la bête et accepteront sa marque, puis d'autres accepteront la marque tout court.
Il est écrit :  
" celui qui adore la bête et son image ".
" et qui quiconque reçoit sa marque ". 
Cela sous-entend qu'une catégorie acceptera la marque sans toutefois adorer la bête dans leur coeur. Dieu les rejettera de toute manière, indépendamment des motivations (Apocalypse 14:9-11). 
C'est la raison pour laquelle, ce qui se passe dans le monde actuel, doit nous permettre de nous former, dans le but d'apprendre à résister.
Jésus donne ce conseil : Veiller et Prier.
" Veillez et priez, afin que vous ne tombiez pas dans la tentation ; l'esprit est bien disposé, mais la chair est faible. “ (Matthieu 26:41)
Veiller : faire attention, s'assurer, avoir soin de, contrôler, prendre garde, prendre soin, songer, se soucier, surveiller, vérifier.
Prier : faire intervenir Dieu.
Pour échapper : pour vivre la situation par le Saint-Esprit en ne trahissant jamais notre foi.
La chair ne peut que veiller, la force vient de Dieu !
“ Veillez donc et priez en tout temps, afin que vous ayez la force d'échapper à toutes ces choses qui arriveront, et de paraître debout devant le Fils de l'homme. “ (Luc 21:36)
Il est dit dans la Bible que les membres d'une famille livreront les leurs. Cela signifie non seulement qu'il y aura probablement des lois visant à dénoncer les insoumis, mais aussi qu'il y aura beaucoup de pression familiale, professionnelle et sociale. 
Certainement même des moqueurs qui sont des membres de vos familles et qui s'en prendront à vous, vous accusant de toutes sortes de choses, comme "complotiste".
“ Le frère livrera son frère à la mort, et le père son enfant; les enfants se soulèveront contre leurs parents, et les feront mourir. Vous serez haïs de tous, à cause de mon nom; mais celui qui persévérera jusqu'à la fin sera sauvé.” (Matthieu 10:21-22)
Si la Bible soulève ces points, c'est parce que beaucoup céderont à cause de la pression. Personne ne veut avoir toute sa famille à dos, perdre son travail, etc. Mais il faut d'avance soumettre cela à Dieu. La Bible annonce qu'il y aura une haine généralisée contre les chrétiens, ceux qui refuseront à cause de Christ. Ces personnes auront déjà vécu toutes sortes de pertes avant.
Pourtant, elles seront debout devant le Christ.   Quelle est cette force ? Quelle est cette motivation ? D'où vient-elle ?
L'exemple de Jésus illustre parfaitement comment cela fonctionne, afin de nous servir de chemin.
Jésus priait beaucoup. Pourtant cela ne l'a pas empêché d'être en agonie à l'approche de l'épreuve suprême. Alors il prie encore, il demande plusieurs fois à Dieu, s'il n'est pas possible de faire autrement, que la volonté de Dieu soit faite.
“ Étant en agonie, il priait plus instamment, et sa sueur devint comme des grumeaux de sang, qui tombaient à terre. “ (Luc 22:44). 
“ Il disait : Abba, Père, toutes choses te sont possibles, éloigne de moi cette coupe ! Toutefois, non pas ce que je veux, mais ce que tu veux.” (Marc 14:36)
“ Puis, ayant fait quelques pas en avant, il se jeta sur sa face, et pria ainsi : Mon Père, s'il est possible, que cette coupe s'éloigne de moi ! Toutefois, non pas ce que je veux, mais ce que tu veux.” (Matthieu 26:39) 
“ Il s'éloigna une seconde fois, et pria ainsi : Mon Père, s'il n'est pas possible que cette coupe s'éloigne sans que je la boive, que ta volonté soit faite ! ” (Matthieu 26:42)
Le projet de Dieu était que son Fils traverse cette épreuve. Jésus le comprend lorsqu'il reçoit pour réponse, la force par un ange que Dieu lui envoie.
“ Alors un ange lui apparut du ciel, pour le fortifier.” (Luc 22:43)
On ne sort jamais d'une prière sincère les mains vides. Si Dieu décide que nous devons vivre une situation, il nous fortifie, parce qu'on a prié. Celui qui parle à Dieu n'est pas comme celui qui ne prie pas.
Si Jésus, un être sans péché, Fils de Dieu, avait besoin de prier, combien de fois nous ? A l'image de Jésus qui s'est répandu devant Dieu, la Bible enseigne que Dieu apprécie qu'on lui avoue nos faiblesses et nos peurs. Nous devons le faire, car certaines choses ne se produisent que parce que nous avons parlé à Dieu. C'est la raison pour laquelle toute la Bible nous appelle à ne pas négliger la prière : en tout le lieu et en tout temps, sous toutes les formes, même en pensées.
Jésus n'a pas demandé la force, d'ailleurs il n'a pas dit à Dieu comment il devait être aidé. Il a exprimé ses besoins, Dieu a décidé de ce qui convenait pour lui dans la situation présente.  
Nous ne savons pas comment Dieu nous aidera, nous lui faisons confiance. Non seulement nous avons l'appui de l'Esprit-Saint, mais aussi celui de Jésus qui est passé par là.
“ C'est moi, c'est moi qui vous console. Qui es-tu, pour avoir peur de l'homme mortel, Et du fils de l'homme, pareil à l'herbe ? Et tu oublierais l'Eternel, qui t'a fait, Qui a étendu les cieux et fondé la terre !” (Ésaïe 51:12)
“ Les sacrifices qui sont agréables à Dieu, c'est un esprit brisé :  O Dieu ! Tu ne dédaignes pas un coeur brisé et contrit.” (Psaumes 51:17)
“Dans les derniers jours dit Dieu, je répandrai de mon Esprit…” (Actes 2:17)
“ et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu'à la fin du monde.” (Matthieu 28:20)
Source : Chrétiens2000
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41 - méthodes des labos pour créer un « blockbuster » à 1 milliard.
A la fin 7 techniques naturelles qui peuvent faire baisser la tension.
Par Florent Cavaler
Attention, cet article s’attaque aux « petites » manigances des gros labos.
C’est une enquête choc qui vous présente la face cachée de l’industrie pharmaceutique…
Ou comment créer un médicament best-seller en 7 étapes.
Vous allez découvrir les différentes méthodes que les gros labos utilisent en cachette pour gagner plusieurs milliards de dollars sur un nouveau médicament.
Comme fil conducteur, j’ai choisi la thématique de l’hypertension et de ses traitements (à la fin, je partagerai d’ailleurs des solutions naturelles validées par la science).
Pourquoi l’hypertension ?
Car cette maladie est l’une des plus rentables pour l’industrie pharmaceutique.
En 2020, le chiffre d’affaires sur les traitements contre l’hypertension s’élevait à près de 40 milliards de dollars !
Cette somme est tellement immense qu’il est impossible de se la représenter concrètement.
Pour vous dire, c’est autant que le PIB d’un pays tels que la Tunisie ou la Bolivie.
C’est comme si vous touchiez un SMIC tous les mois pendant… 2 millions d’années !
Mais il y a un « hic ».
Derrière cet immense succès commercial se cachent des stratégies discutables, qui se font parfois au détriment des patients.
Dans cette enquête, je m’attarde donc principalement sur l’hypertension… Mais les 7 stratagèmes que je dénonce ci-dessous s’appliquent aussi à de nombreux autres traitements.
Ce sont malheureusement des pratiques (trop) courantes dans le milieu du médicament…
Marcia Angell, ancienne directrice de la rédaction du très sérieux New England Journal of Medicine reconnaît d’ailleurs les dérives de la pharma :
« Cette industrie est aujourd’hui essentiellement une machine de marketing. Elle vise à vendre des médicaments d’intérêt incertain en utilisant sa richesse et sa puissance pour influencer, contraindre ou contourner toutes les institutions qui pourraient se mettre en travers de son chemin. Et surtout les médecins, car ce sont eux qui prescrivent. »
Méthode 1 : faire « ami-ami » avec les autorités de santé
Quand on veut commercialiser un nouveau médicament, la première étape consiste à avoir l’aval des agences sanitaires.
Et ce n’est un secret pour personne : les conflits d’intérêts sont légion dans les hautes instances de santé.
En 2011, à une époque où les médias mainstream osaient encore s’en prendre aux labos, le Nouvel Observateur dénonçait les liens troubles entre l’industrie pharmaceutique et les autorités responsables de la surveillance des médicaments.
Ainsi, parmi la commission AMM, responsable des autorisations de mise sur le marché des médicaments en France, 28 des 30 membres, président compris, entretenaient en 2009 des conflits d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique.
Certains affichaient plus de 70 prestations avec des laboratoires !
Pareil pour la commission de pharmacovigilance : 25 des 33 membres étaient liés aux firmes.
À l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (anciennement Afssaps), 78 % des experts reconnaissaient avoir des liens.
Et les avantages perçus sont souvent faramineux !
Un rapport de l’inspection générale des Affaires sociales (Igas) de 2009 a révélé que les experts percevaient en moyenne :
1 200 euros pour une action de formation
6 900 euros pour une contribution scientifique
8 200 euros pour une expertise
Et même jusqu’à 600 000 euros pour un travail de consultant
On pourrait espérer que les règles se soient durcies en 2012, après le scandale du Mediator et quand l’Affsaps est devenue ANSM…
Malheureusement pas.
En 2017, Le Monde révélait même qu’un conseiller d’Emmanuel Macron pour la politique de santé avait été rémunéré par le groupe Servier pour une soixantaine de prestations (plus de 80 000 euros quand même).
Coïncidence ou pas, lors de son discours de Nevers le 6 janvier 2017, le président français avait proposé de mieux rembourser les médicaments contre l’hypertension, un marché important pour Servier.
Méthode 2 : quand les labos « écrivent » les recommandations officielles
En 2013, le collectif indépendant Formindep critique les recommandations officielles sur la prise en charge de l’hypertension, publiées par Société française de l’hypertension artérielle (SFHA).
Dans un rapport détaillé, le collectif met en lumière les nombreux conflits d’intérêts de curieux « oublis » dans les données :
Les experts s’appuient uniquement sur une recommandation HAS datant de 2005, invalidée en 2011 pour mauvaise gestion des liens d’intérêts et non réactualisée.
Il n’y a aucune mention des études de référence sur le sujet (dont une vaste méta-analyse) qui remettent en cause l’utilisation de certains médicaments et la pertinence des seuils à partir desquels un traitement est utile
Les chercheurs ont « oublié » de mentionner des travaux scientifiques suggérant des effets secondaires potentiels graves des sartans
Plusieurs experts ont été rémunérés par des laboratoires qui commercialisent les médicaments contre l’hypertension
On notera aussi que les recommandations sur l’hypertension n’évoquent pratiquement jamais la possibilité de « déprescrire », alors que la bibliographie scientifique comporte 735 références sur ce sujet.
Plusieurs études ont même démontré que la tension pouvait rester stable après l’arrêt des médicaments, notamment grâce à des conseils nutritionnels.
Mais bien sûr, de telles précisions n’arrangeraient pas les vendeurs de médicaments.
Et rebelote quatre ans plus tard !
En 2017, Formindep revient à la charge et dénonce encore une fois le nouveau rapport de recommandations de la SFHA pour cause de conflits d’intérêts et de mauvaise qualité scientifique du rapport.
Comme quoi la situation ne s’arrange pas avec le temps…
Et c’est grave, car ces recommandations de bonne pratique ont une importance cruciale pour les médecins : ce sont les références sur lesquelles s’appuient les professionnels pour leurs prescriptions.
Or une enquête a évalué 130 recommandations officielles : plus de la moitié ne serait pas conforme, notamment à cause des nombreux conflits d’intérêts (plus des deux tiers des présidents de comités en ont), qui sont d’ailleurs rarement déclarés.
Méthode 3 : financer des études « publicitaires »
Une fois que le nouveau médicament est mis sur le marché et qu’il bénéficie de recommandations officielles, il est temps de passer à l’étape suivante : la publicité !
Celle-ci peut prendre différentes formes, mais elle commence souvent par la publication de ce qu’on appelle communément des « études promotionnelles ».
En clair, il s’agit de financer des études positives sur le médicament.
L’exemple le plus connu est celui du Vioxx : l’essai avait été conçu et mené par le département marketing de la firme pharmaceutique. L’article avait ensuite été rédigé par des employés de la firme, mais signé par un chercheur académique (qui a d’ailleurs reconnu par la suite ne pas l’avoir écrit lui-même) .
Et alors que cette étude promotionnelle avait montré l’apparition d’effets secondaires cardiovasculaires, aucune investigation supplémentaire n’a été engagée.
En 2012, une vaste enquête menée par deux chercheurs du CNRS, a examiné de près l’influence de l’industrie pharmaceutique sur la recherche scientifique .
Ils ont ainsi montré, études à l’appui, que les scientifiques financés par la pharma obtenaient des résultats favorables 4 fois plus souvent que ceux qui sont indépendants.
À l’inverse, les dangers des médicaments ont tendance à être minimisés : par exemple, les études financées par les compagnies pharmaceutiques concluent plus facilement à une absence de risques des médicaments antagonistes du calcium (utilisés contre l’hypertension) que les recherches indépendantes.
Les chercheurs ont ainsi découvert plusieurs stratagèmes qui peuvent expliquer ce phénomène :
- Le financement sélectif des industriels : quand ils le peuvent, les labos tenteraient de financer des études dont ils auraient la quasi-certitude que le résultat sera positif
- Le protocole qui avantage le médicament testé : par exemple, une étude portant sur le fluconazole comparait délibérément ce produit à un autre produit dont on savait qu’il était très mal absorbé par l’homme.
- L’interprétation biaisée des résultats : en se basant sur 22 études menées sur les médicaments non stéroïdiens contre l’arthrite ayant un lien avec l’industrie pharmaceutique, des chercheurs ont trouvé que la moitié de ces études, qui présentaient pour la plupart des résultats positifs, ne s’appuyait en réalité sur aucun test statistique.
- La pression pour empêcher la publication d’études défavorables : il y a une vingtaine d’années, l’entreprise Immune Response Corporation a financé un essai pour étudier l’efficacité d’un vaccin contre le Sida. L’essai avait conclu à une inefficacité du produit. La firme a alors tout fait pour empêcher les auteurs de publier leurs travaux. Et lorsque ceux-ci l’ont fait malgré tout, le labo a demandé un dédommagement de plus de 7 millions de dollars pour les pertes financières qu’elle aurait subies.
- Des études écrites par des employés du labo, et signées par des experts rémunérés : on l’a vu avec l’exemple du Vioxx, il arrive que des industriels écrivent eux-mêmes des études scientifiques qu’ils font ensuite signer par des chercheurs académiques contre rémunération
- La pression sur les revues scientifiques : Richard Smith, directeur du BMJ Publishing, a reconnu que les labos finançaient les revues médicales qui publiaient leurs études favorables en achetant de grosses quantités de leur numéro lors de sa sortie. Pour Richard Smith, ce ne sont rien d’autre que des pots-de-vin. Il raconte même qu’une représentante d’entreprise l’a un jour invité au restaurant… voire plus si affinités !
- L’achat d’espaces publicitaires dans les revues scientifiques : la majorité des encarts publicitaires sont achetés par les laboratoires, qui peuvent alors menacer de se retirer en cas d’article défavorable. Certaines revues auraient même fait faillite après avoir refusé de céder à la pression des industriels…
- Le dénigrement des études défavorables : les chercheurs ont montré que quand un épidémiologiste indépendant présente les dangers d’un médicament, il n’est pas rare que d’autres épidémiologistes payés par l’industrie s’attaquent à ces travaux et tentent de les décrédibiliser en les qualifiant de pseudo-science.
Méthode 4 : se mettre les médias dans la poche
Après avoir publié des études scientifiques positives, les industriels vont s’arranger pour que celles-ci soient relayées dans les milieux scientifiques et auprès du grand public par les grands médias.
« Il faut que des universitaires aillent de congrès en séminaires répandre la vérité sur la dernière merveille du monde qui vient d’arriver », raconte Philippe Even, médecin français connu pour ses critiques acerbes envers Big Pharma .
Ces « leaders d’opinions », payés par l’industrie, ont ensuite pour mission de promouvoir le médicament dans leur pays, que ce soit dans les journaux locaux ou sur les plateaux TV .
Ce n’est donc pas étonnant qu’on voie toujours les mêmes médecins dans les débats télévisés !
Comme pour les revues scientifiques, les labos n’hésitent pas non plus à mettre la main sur la presse en la finançant généreusement.
Ainsi, le Quotidien du Médecin, l’un des plus lus par les thérapeutes français, est financé à 60 % par la publicité, dont majoritairement celle des laboratoires .
Méthode 5 : organiser des « visites de courtoisie » chez les médecins
Après avoir financé plusieurs études positives, il reste ensuite à convaincre les médecins de prescrire le médicament.
Et pour cela, la technique est assez simple : elle consiste à envoyer un « visiteur médical », qui est en réalité un représentant de la marque venu promouvoir le traitement auprès des thérapeutes.
Et cela peut aller loin pour tenter de persuader le médecin.
Le Nouvel Observateur précise même, non sans ironie, que : « Les filles de chez Servier sont canon. C'est sans doute plus amusant d'écouter leurs topos que de lire "Prescrire" » .
Le métier de visiteur médical est d’ailleurs pleinement assumé et officiellement reconnu.
Il figure même sur le site de l’orientation professionnelle française (Onisep), qui le présente comme quelqu’un qui « fait du « porte-à-porte » auprès des prescripteurs (…). Attaché commercial, le visiteur représente un ou plusieurs laboratoires pharmaceutiques. Son rôle est de promouvoir leurs produits et de les faire prescrire aux malades . » Le site ajoute qu’il « faut savoir convaincre son interlocuteur sur tel médicament, plus ou moins "nocif" qu'un autre ».
Le porte-à-porte pour nous vendre des brosses, ça passe encore. Mais quand notre santé est en jeu, c’est un peu limite…
Et c’est sans compter les restaurants et autres cadeaux « en nature » que les industriels offrent aux médecins pour se les mettre dans la poche.
D’après Mikkel Borch-Jacobsen, qui a étudié la campagne marketing de l'antidépresseur Lexapro, le fabricant aurait dépensé 115 millions de dollars pour la promotion du médicament… dont 36 millions rien que pour les repas « éducatifs » offerts aux médecins .
Méthode 6 : augmenter artificiellement le nombre de clients malades
Le meilleur moyen d’augmenter les ventes d’un médicament, c’est d’avoir davantage de patients à qui le prescrire.
Une technique classique consiste donc à abaisser les seuils à partir desquels quelqu’un est considéré comme malade.
Ainsi en 50 ans, les taux « normaux » pour le cholestérol ou l’hypertension n’ont pas cessé de descendre .
Selon Philippe Even, « l’industrie, puis les agences de santé et les médecins ont redéfini l’hypertension à 14, contre 16 auparavant. Alors que la tension moyenne de la population se situe aux alentours de 13. Ça n’a l’air de rien comme ça, je n’arrive pas à réveiller les gens à ce sujet, mais qu’est-ce que cela signifie ? Cela veut dire quadrupler le marché des antihypertenseurs, parce qu’il y a quatre fois plus de gens qui ont une tension entre 14 et 16 ! »
Faut-il faire baisser la pression coûte que coûte ?
Pas forcément.
Des publications scientifiques ont par exemple montré qu’entre 14-15.9, le taux de mortalité globale, de maladies coronariennes et d’AVC était le même avec ou sans traitement .
Depuis 30 ans, on suspecte même qu’une baisse de tension chez les personnes diabétiques ou souffrant de maladies coronaires sous les 13, le chiffre habituellement recommandé, pourrait augmenter le risque d’infarctus .
Le plus bas ne serait donc pas toujours le meilleur.
Méthode 7 : gérer les scandales
Avec toutes ces pratiques commerciales, on imagine bien que, tôt ou tard, des scandales éclatent…
Stalinon, thalidomide, Vioxx, Dépakine, Distilbène, Médiator, Levothyrox, opioïdes… les exemples ne manquent pas.
Mais à chaque fois, les laboratoires pharmaceutiques incriminés s’en sortent plutôt bien.
Prenons l’exemple de l’affaire du Mediator, qui aurait entraîné la mort de plus de 1 500 personnes et plus de 3 000 hospitalisations .
En mars 2021, le laboratoire Servier a été condamné à 2,7 millions d'euros d'amende pour « tromperie aggravée » et « homicides et blessures involontaires » .
Cela peut paraître beaucoup.
Mais en réalité, ce ne sont que des cacahuètes quand on sait que le groupe aurait fait 500 millions d’euros de chiffre d’affaires grâce à ce médicament .
Autant dire que la balance bénéfices/risques est plutôt intéressante pour l’industrie… et que cela ne va pas inciter les laboratoires à respecter les règles.
En 2013, un scandale éclate autour du valsartan, le traitement vedette contre l’hypertension du laboratoire Novartis (plus de 6 milliards de bénéfices !) .
Son succès est dû notamment aux publications enthousiastes d’un éminent cardiologue japonais, le Pr Hiroaki Matsubara, qui ont servi à promouvoir le médicament.
Problème, on constate des anomalies dans ces études : données falsifiées pour faire ressortir un bénéfice, complications cardiaques minorées, conflits d’intérêts (une des personnes impliquée dans l’étude était employée chez Novartis)…
Si bien que les études sont retirées en 2013 et que le professeur doit quitter son poste universitaire.
Qu’importe, cela n’a pas empêché le laboratoire de continuer à vendre son produit star.
Quand arrêteront-ils de s’en prendre aux approches naturelles ?
En plus de ces 7 stratagèmes, on notera aussi la tendance toujours plus forte des médias à s’en prendre aux solutions naturelles.
Il n’y a qu’à voir les récentes attaques en règles menées à l’encontre des naturopathes.
Ce 1er décembre, L’Obs vient d’ailleurs de publier en une de son édition du 30 novembre 2022, un important dossier incriminant la naturopathie .
Pour revenir à l’hypertension, ce n’est pas toujours facile de faire connaître certaines solutions non médicamenteuses pourtant efficaces, comme l’activité physique et l’alimentation.
Ainsi, le cardiologue François Carré, du CHU de Rennes, raconte qu’un jour, il avait fait un exposé à des médecins pour expliquer l’intérêt de l’activité physique contre l’hypertension : « Au bout de 10 minutes, une dizaine de médecins et internes avaient pris la porte, au bout de 20, une dizaine d’autres étaient partis. À la fin de mon exposé, il ne restait plus que le chef de service et son assistant. Ça leur semblait à tous complètement obscur .
Pourtant, même la Société européenne de cardiologie reconnaît le rôle capital du mode de vie pour faire face à l’hypertension.
Elle écrit ainsi que « des changements appropriés du mode de vie sont la pierre angulaire de la prévention de l’hypertension. Ils sont également importants pour son traitement (...) Les études cliniques montrent que les effets sur la tension des modifications du style de vie peuvent être équivalents à ceux d’un traitement par un seul médicament (...) Parallèlement aux effets sur la tension artérielle, ces changements ont des effets positifs sur d’autres facteurs de risque et d’autres pathologies. »
En plus d’une activité régulière et d’une alimentation saine (moins de sel, moins d’alcool, moins de produits transformés, plus de fruits et légumes…), on peut également mentionner l’importance de la respiration.
7 techniques naturelles qui peuvent faire baisser la tension
Une récente étude publiée dans le Journal of the American Heart Association, a notamment démontré que 5 minutes par jour d’exercices de respiration (qu’on appelle « entraînement de la force musculaire inspiratoire ») pouvaient réduire la tension artérielle .
Par ailleurs, différentes plantes ont des effets démontrés sur la tension artérielle et peuvent être utilisées en première intention :
- Hibiscus :
de nombreuses études ont mis en avant les effets hypotenseurs des fleurs d’hibiscus, souvent utilisées en infusion (notamment pour le fameux bissap). La fleur aurait également des bienfaits de façon plus globale sur le système cardiovasculaire .
- Ail noir :
une équipe australienne a prouvé que quatre gélules d’extrait d’ail noir par jour pendant 12 semaines réduisaient la tension de personnes hypertendues : à la fin de l’étude les personnes qui avaient pris l’ail noir avaient une pression plus basse que ceux qui avaient eu le placebo.
- Betterave rouge :
d’après des travaux menés sur 64 personnes, un verre de jus de betterave par jour réduirait significativement la pression sanguine des patients atteints d'hypertension artérielle, grâce à sa forte teneur en nitrate inorganique, qui agit sur la dilatation des vaisseaux sanguins.
- Thé vert :
récemment, un essai publié dans Cellular Physiology and Biochermistry a trouvé que le thé, qu’il soit vert ou noir, contiendrait des antioxydants qui réduiraient la pression artérielle en activant une protéine appelée KCNQ5.
- Cacao :
manger du chocolat pour réduire la tension ? Ça peut sembler absurde, et pourtant… Il y a quelques semaines, des scientifiques ont donné pendant plusieurs jours 860 milligrammes de flavanols de cacao par jour à des volontaires. La pression systolique a alors été réduite d'environ 1,4 mmHg sur 12 heures.
- Pomme de terre :
en mai 2021, les travaux de trois chercheurs américains ont montré qu’une consommation régulière de pommes de terre permettrait de réduire la rétention de sodium, ce qui pourrait abaisser la tension artérielle.
- Feuilles d’olivier :
c’est le traitement de choix en cas d’hypertension légère. Elles sont aussi excellentes pour réguler le rythme cardiaque et augmenter le débit coronarien. Posologie : 2 gélules le matin ou en infusion (30 g dans 1 l d’eau par jour), 5 jours par semaine.
Nous sommes arrivés à la fin de cette longue lettre (en deux parties) sur les dessous de l’industrie pharmaceutique, avec l’hypertension comme fil conducteur.
Cette enquête est le fruit d’un long travail de recherche. J’espère qu’elle vous aura éclairé sur les manigances malheureusement peu connues de certains laboratoires.
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christophe76460 · 2 years
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Créée en 1998, dans le cadre de l’ONU, la Cour Pénale Internationale (CPI) est intervenue dans quelques cas de génocides, ou autres délits inhumains d’hommes politiques, mais n’a pas empêché la multiplication d’injustices majeures en divers endroits sur notre planète, comme cela se produit sous nos yeux.
On peut se réjouir qu’il y ait le désir de soutenir la justice sociale, de promouvoir les droits des victimes et de travailler à prévenir les crimes menaçant la paix dans le monde. Qu’une juridiction cherchant la sécurité de tous, et le bien-être global, existe, c’est une bonne chose, cependant nous sommes conscients des limites de ces instances.
La CPI est impuissante pour intervenir dans des États souverains comme le rappelle cet article sur la situation en Guinée Conakry.
Comment réagir face à l’injustice ?
J’ai bien aimé cet interview du pasteur Jérémy Sourdril.
Mais rien ne nous empêche de prier pour que le règne de la justice vienne sur notre terre. Au contraire, Jésus nous invite à le faire, en disant : Notre Père… Que ton règne vienne !
« Seigneur, dans un monde où il y tant de violences faites aux plus faibles, tant d’injustices sociales et internationales, dans ce monde où la terreur et la violence, les milices, les cartels, les mafias contournent les lois, dans ce monde « où la loi du plus fort est celle qui gagne », nous te prions pour que ton règne de justice vienne. Que les instances internationales, comme la CPI, soient guéries de leurs lacunes et faiblesses, en attendant que tu fasses toi-même justice aux opprimés, au nom de Jésus, amen ! »
Avec amour,
Paul Calzada
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inforweb · 3 years
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Nombreuses nouvelles vulnérabilités dans les produits Apple
Nombreuses nouvelles vulnérabilités dans les produits Apple
Risque(s) Exécution de code arbitraire Déni de service à distance Contournement de la politique de sécurité Atteinte à la confidentialité des données Systèmes affectés iTunes pour Windows versions antérieures à 12.12 Safari versions antérieures à 15.0 Xcode versions antérieures à 13.0 tvOS versions antérieures à 15.0 watchOS versions antérieures à 8.0 iOS versions antérieures à 15.0 iPadOS…
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J’ai l’impression qu’il nous faut dire, même si ça ne sert à rien, et même précisément parce que ça ne sert à rien, je l’ai déjà dit dans un petit texte, mais ce qui a été dit doit être dit, encore et encore, ne serait-ce que pour apprendre à dire, à écrire, à parler...
La lutte de nos jours, c’est d'abord refuser la langue du spectacle, ce qui réclame au préalable de reconnaître que le diktat de l’opinion, le psittacisme qu’il induit, les énoncés médiatiques, le laxisme lexical, les approximations syntaxiques... sont les ennemis de l’esprit critique, ils contaminent les actions en surdéterminant l'horizon de leur sens.Il s’agit donc de ne pas renoncer à vouloir nommer la complexité, renouer avec la dialectique que le spectacle voudrait éclipser.
C'est seulement en cherchant le mot juste par rapport à sa propre position d'énonciation, en prononçant "la parole vraie", que le sujet introduit une rupture dans la chaîne signifiante où s'inscrivent ses actions, il ne peut donc plus dès lors continuer à agir de la même façon car il ne peut plus dès lors "penser" (être pensé) de la même façon.
Le véritable combat politique aujourd’hui c'est de faire passer des textes de main en main, pour raviver le style, affûter le goût, développer la sensibilité, affiner le jugement, (se) donner les moyens de nommer avec précision les assauts, les contournements, les frappes, les retraites, les conquêtes, les victoires, les défaites...
Nous ne savons plus parler, nos lèvres sont sèches et les mots sont déjà morts avant de passer la barrière de nos dents.
Apprendre à parler c'est apprendre à lire, apprendre à écrire, à dessiner, composer comme on aiguise une lame, comme on répète des enchaînements pieds-poings, apprendre à parler c'est apprendre à se battre.
NB: Ce qui est très intéressant, c'est la "lettre" que les auteurs ont rajouté 5 jours plus tard, dans laquelle ils essaient de rectifier leurs dires. Elle se trouve en bas de page. Édifiant.
The New England Journal of Medecine
"Un masque ne protégera pas les prestataires de soins d’un patient atteint de Covid-19 actif s’il n’est pas accompagné d’une hygiène des mains méticuleuse, d’une protection oculaire, de gants et d’une blouse. Un masque à lui seul n'empêchera pas les travailleurs de la santé atteints du Covid-19 précoce de contaminer leurs mains et de transmettre le virus aux patients et collègues. Se concentrer uniquement sur le masquage universel peut, paradoxalement, conduire à une plus grande transmission de Covid-19 si cela détourne l'attention de la mise en œuvre de mesures de contrôle des infections plus fondamentales.
Il est également clair que les masques remplissent des rôles symboliques. Les masques ne sont pas seulement des outils, ce sont aussi des talismans qui peuvent aider à accroître le sentiment de sécurité, de bien-être et de confiance des travailleurs de la santé dans leurs hôpitaux. Bien que de telles réactions ne soient pas strictement logiques, nous sommes tous sujets à la peur et à l'anxiété, en particulier en période de crise. On pourrait soutenir que la peur et l'anxiété sont mieux contrées par des données et une éducation qu'avec un masque marginalement bénéfique, en particulier à la lumière de la pénurie mondiale de masques, mais il est difficile d'amener les cliniciens à entendre ce message dans le feu de la crise actuelle. La plus grande contribution des protocoles de masquage étendus pourrait être de réduire la transmission de l’anxiété, au-delà du rôle qu’ils peuvent jouer dans la réduction de la transmission du Covid-19. La valeur potentielle du masquage universel en donnant aux agents de santé la confiance nécessaire pour absorber et mettre en œuvre les pratiques de prévention des infections plus fondamentales décrites ci-dessus peut être sa plus grande contribution." https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMp2006372?fbclid=IwAR0LbkKi5WNLlcOO4umhNIXO43h3sQqcNd2mpoGQtRaFEy9lCqQgns9VIwk
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claudehenrion · 4 years
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Hygiénisme, Précautionnisme : les nouveaux envahisseurs.
  En attendant la vogue que va bientôt connaître le mot ''sanitarisme'', deux mots nouveaux viennent d’entrer dans notre vocabulaire de base : l'Hygiénisme et le Précautionnisme. Ce sont deux pandémies qui vont nous empoisonner la vie bien plus longtemps que feu le Coronavirus qui, une fois bien instrumentalisé, va sans doute s'effacer, comme tous ses prédécesseurs, laissant la place à ‘’une autre’’..
  Personne n'a jamais pu expliquer pourquoi il y a, chaque année, une épidémie de grippe saisonnière et une seule, soit de type ''SRAS-covid'' soit de type ''Hx Ny''. Jamais deux, la même année. Or cette année, il n'y a eu aucune alerte autre que ce covid 19. CQFD : que ça plaise ou non, c'était donc bien ''LA'' grippe annuelle. Ce n’était pas une ''grippette'', pour reprendre le diagnostic de l'inénarrable Michel Cymes, le médecin mondain du service public et d'Adriana Carambeu réunis, mais pas non plus un ''millésime'' particulièrement grave, même si, en prévision des dizaines de procès à venir, le Pouvoir ‘‘contre-attaque avant l’attaque’’ en faisant inventer que ‘’sa stratégie du pire aurait évité... 600 000 morts en France seule’’. Décidément, rien ne les arrête : c’est vraiment ‘’du très grand n’importe quoi‘’ !.
  L'homme moderne a une tendance inexplicable à refuser la mort. Ce mal angoissant (contrairement à ce qu'on pourrait penser) frappe particulièrement les peuples d'Occident, plutôt riches, le plus souvent en bonne santé, comblés de facilités, de confort, d'aménités multiples et variées... à en être menacés par l'obésité, ce qui est un comble ! Ayant perdu le sens de la vie, ces pauvres de cœur et d'esprit ne savent plus ce qu'ils sont, ni qui ils sont. La mort, qui faisait partie intégrante de la vie dont elle est l’aboutissement, est devenue une maladie honteuse : la cacher, ne pas en parler, faire croire qu'elle n'existe pas, et surtout : ne jamais y penser ! Le vieil ‘’instinct de survie’’ s'est peu à peu dégonflé en un petit ''machin'' mortifère, une espèce de vague instinct de ''trouille de ne pas survivre''.
  De cette folie, plus anxiogène qu'on ne peut l'imaginer, est née la première des maladies dont nous parlerons aujourd'hui : le ''précautionnisme'', que son ''inventeur'', le philosophe américain Matthew B. Crawford, (pour qui ''la modernité cherche à expulser la réalité matérielle au profit d'une réalité de substitution, qui est faite d'informations présentées comme réelles'') définit comme une ''détermination à éliminer tout risque inhérent à la vie''. Chirac avait (allez savoir pourquoi ?) fait graver cette bêtise dans notre Constitution, avec le stupide ''principe de précaution'', comme si elle était le lieu où fourrer un principe moral (surtout si ce n'est pas un ''principe'' qui n'est pas du tout ''moral'' !). Les adversaires de cette irrattrapable imbécillité n’avaient pas imaginé qu’une idée idiote pourrait faire autant de ravages.
  Les français ont, sans s'en rendre compte, fait passer cette trouille au premier plan de leurs préoccupations, plus que les autres européens -pourtant déjà bien atteints. C’est une trouille moche, vulgaire, exagérée puisque systémique, une petite trouille puérile et incoercible à la fois. Mais un peuple qui a peur même de son ombre ne peut plus espérer affronter victorieusement les grands vents qui se lèvent en ces temps où, la raison et le bon sens égarés pour de bon, il ne reste que la descente aux abris pour espérer la survie. Cette démarche dite ''de l'autruche'' (à ceci près que aucune autruche n’est assez stupide pour croire au principe de précaution, et donc se mettre la tête dans le sable !), je l'appelle une démarche ''pro-inactive''. Elle contient en elle la certitude de notre effacement définitif de la liste des pays qui auront un rôle dans le monde de demain. Sauf réveil brutal.
  Considérez la docilité presque obséquieuse avec laquelle les descendants des gaulois qui, avec ou sans potion magique, résistaient aux légions romaines … ou à la barbarie des Waffen SS plus récemment, ont accepté de se faire littéralement ''congeler'', et de la manière la plus indigne et la plus vexatoire qui soit... ce dont ces ''fiers sicambres'' ne se sont même pas rendu compte ! Devant une menace d'absence de vrai danger, nous nous sommes tous assoupis dans nos maisons, acceptant sans broncher l'infantilisation humiliante des ''auto-mots d'excuse''. Ces ''Oh ! oui, Monsieur l'Agent ! Je respecte strictement ce que vous m'ordonnez de faire...'' m'inquiètent au plus haut point, car il y a entre le précautionnisme et le politiquement correct un lien existentiel. C’est un pas de plus vers la disparition de ce qu'il reste d'humain en nous, et un progrès (?) vers notre ‘’insectification’’.
  Le cas de ''l'hygiénisme'' est très proche et néanmoins très différent. Dans l'ambiance morbide par système qui a été créée avec succès par nos politiques et nos médias (communiant dans la recherche des solutions les plus mauvaises pour ''l'homme-individu''), on a fait semblant de ''remettre en selle'' les vieux, ces ''nos anciens'', ''les retraités'', ''les improductifs'', ou ''les plus vulnérables d'entre nous'', (selon le but poursuivi). Ce dernier qualificatif peut s'expliquer, à défaut d’être pardonné, par le lien évident entre la déculottée aux élections (qui s'amplifiera au second tour) et le racket des retraités via le mensonge sur la CSG. Mais ne soyons pas dupes : ce rétro-pédalage n'est en réalité qu'une autre manière de nous témoigner leur mépris et leur fausse pitié, qui sont insupportables, une fois qu’on a percé à jour toutes leurs mimiques et leurs faux ‘’mamours’’ !
  Il faut regarder les choses en face : dans l'Histoire, jamais aucun motif n'a pu faire enfermer plus de la moitié de la population dans une solitude qui, in fine, risque de faire plus de victimes que la ''pandémie'' : les conséquences immenses de la crise économique qui arrive mesurées, le résultat surprendra nos ‘’experts’’ès- stratégies du pire... Au début, ils ont effrayé si fort les gens qu'ils ont accepté cet emprisonnement sans jugement. Mais le temps passant, il a fallu maintenir et augmenter cette peur pour qu'ils continuent à accepter... jusqu’aux absurdes précautions, toutes inutiles et toutes superflues, de la mise en scène finale du carnavalesque ''déconfinement''. C'est à se demander si notre personnel politique n'a pas découvert là une sorte de jouissance dans l'exercice de cette puissance physique, morale, économique et intellectuelle sur tout un peuple, car le menaçant ''stop-covid'' est un pas de plus vers ce mélange de fausse sécurité et de vrai danger : rien ne pourra arrêter ce machin inutile mais mensongèrement présenté comme ''bon pour la santé'' : c’est un pas de plus vers un futur asservissement.
  Car subrepticement, sans que les gens, en majorité gentils, ne s'en rendent compte, se mettent en place des mécanismes tendant à faciliter (pas tout de suite, pas de manière visible !) l'installation progressive d'une forme complexe de dictature, la dictature hygiéniste. Pire, peut-être, que les autres, elle ronge les gens de l'intérieur : ils deviennent les agents de propagation du mal qui va les tuer ! Il faudra du temps pour déterminer qui, des mesures de ''confinement incitatif'' ou de nos mesures de ''confinement ubuesque'', avec la dégradante obligation de devoir se justifier d'aller acheter du pain, aura fait le plus de mal aux hommes...
  Pour les mois à venir, on peut trembler d'avance ! Le choc en retour de toutes ces décisions excessives va être terrible (rappel : les économistes disent que c'est ''dans les six mois qui suivent que ça se passe''. Pour nous, ce serait octobre). Au mieux, l'été pourrait être une petite bouffée d'air offerte à nos ''élites'' qui n'en méritent pas tant. De toute manière, le mur se dressera, impitoyable, sans chemin de contournement. Et la vérité finira par éclater, comme elle le fait toujours !          
 La seule chose qu’il faut espérer, c'est qu'un nouveau virus ne pointe pas son nez affreux, d'ici-là : nos responsables irresponsables savent bien qu’il n’est pas question de rejouer cette partie ‘’à qui perd, perd’’. On ne fait pas deux fois des erreurs de cette taille ! Terrifiés, nos chefs sont déjà paralysés. ''Le Roi est nu'' !
H-Cl.
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sthcollin · 3 years
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Tor et l’anonymat
 Connaissez-vous Tor ?
Le réseau d'anonymat Tor reçoit une attention non négligeable de la presse grand public - notamment pour son association présumée avec la cybercriminalité et les transactions de drogue sur le darknet.
Mais qu'est-ce que Tor? Et dans quelle mesure est-il sécurisé? Le Daily Swig a demandé à plusieurs experts en sécurité et en confidentialité de répondre à toutes vos questions, et bien d'autres.
Qu'est-ce que Tor? Tor est une méthode de communication Internet permettant d'activer l'anonymat en ligne. Le même terme est couramment utilisé pour désigner à la fois le réseau d'anonymat et le logiciel open source qui le prend en charge.
Le nom Tor dérive de The Onion Router - le nom d'un projet pionnier de confidentialité géré par le US Naval Research Lab.
Comment fonctionne Tor? Tor dirige le trafic Internet via un réseau de milliers de relais, dont beaucoup sont installés et entretenus par des bénévoles.
Les messages sont encapsulés dans des couches de cryptage, seo comparables aux couches d'un oignon. À l'intérieur du réseau Tor se trouvent des sites .onion, ou «services cachés».
Tor facilite la navigation anonyme en autorisant le trafic pour passer sur ou à travers le réseau via des nœuds qui ne connaissent que le nœud immédiatement précédent et suivant dans un relais.
La source et la destination des messages sont masquées par le cryptage.
Tor dirige le trafic Internet via un réseau de milliers de relais
Comment puis-je accéder à Tor? Le moyen le plus simple d'accéder au réseau Tor est d'utiliser le navigateur Tor. Le navigateur Tor est automatiquement connecté au réseau Tor et y placera toutes vos demandes, tout en garantissant l'anonymat.
De plus, le navigateur est livré avec une fonctionnalité supplémentaire qui améliore votre sécurité et votre confidentialité en désactivant JavaScript, l'image automatique, le chargement vidéo et plus encore.
Le bundle Tor Browser est développé par le Tor Project, une organisation à but non lucratif qui effectue des recherches et assure la maintenance du logiciel utilisé par le réseau d'anonymat Tor.
Le navigateur Tor est actuellement disponible pour Windows, Linux et macOS. Il existe également une version de Tor Browser pour Android, mais pas encore de version officielle pour iOS.
Dans quel cas Tor est-il utilisé? Le navigateur Tor n’est qu’un navigateur Web, et vous pouvez toujours afficher la «surface» Internet - ou «nettoyer le Web» - à l’aide du logiciel.
Cependant, le navigateur Tor offre un niveau supplémentaire de confidentialité pour une utilisation Web normale ou comme moyen de contourner la surveillance et la censure du gouvernement.
Certains sites sur le soi-disant dark web ne sont accessibles qu'en utilisant Tor.
Vince Warrington, directeur général de Protective Intelligence, a expliqué: «Le dark web - principalement les sites auxquels on ne peut accéder que via Tor - est toujours généralement l'hôte de l'illégal et de l'illicite.
«Bien qu'il existe certains sites légitimes (par exemple, la BBC a maintenant une version .onion du site Web de BBC News), nos recherches indiquent que plus de 95% des sites .onion contiennent du matériel illégal ou illicite», a-t-il ajouté.
Qui utilise Tor et pourquoi? Alors que la plupart des gens ne connaissent l’utilisation de Tor que pour des activités illégales - comme l’accès aux marchés en ligne qui vendent de la drogue - de nombreux autres utilisateurs accèdent au réseau Tor.
Celles-ci inclure:
Journalistes Militants politiques L'armée américaine Forces de l'ordre Ceux qui vivent dans des régimes répressifs Toute personne qui ne souhaite pas qu'un tiers observe ses activités en ligne Les utilisations de Tor vont du contournement de la censure et de l'évitement de l'espionnage et du profilage en ligne, au déguisement de l'origine du trafic et au masquage des communications sensibles.
Quelle attente en matière d'anonymat les gens peuvent-ils avoir lorsqu'ils utilisent Tor? Tor offre l'anonymat, mais jusqu'à un certain point seulement.
Ceux qui utilisent la technologie et cherchent à garder leur identité secrète doivent également appliquer les meilleures pratiques en matière de sécurité opérationnelle (OpSec).
Charity Wright, un conseiller en cyber-renseignement sur les menaces chez IntSights et ancien expert de l'espionnage chinois de la NSA, a expliqué: «Tor est un navigateur qui peut anonymiser votre connexion réseau et votre adresse IP à partir de laquelle vous vous connectez.
"Cependant, une fois que vous vous aventurez dans des espaces illicites, il est important d'utiliser des pseudonymes et de cacher votre vrai nom et de ne jamais révéler votre véritable emplacement, nationalité ou pièces d'identification. d'information.
«Tout petit indice peut être utilisé pour que les gens découvrent qui vous êtes. De plus, les agences fédérales et les forces de l'ordre utiliseront chaque détail d'une personne en ligne pour trouver un suspect recherché », a-t-elle ajouté.
Tor est facilement accessible via le navigateur Tor
À quel point Tor est-il anonyme? Tor vise à fournir une communication anonyme, mais il y a eu de nombreux exemples de personnes dont l'identité a été démasquée malgré l'utilisation de Tor.
Par exemple, le FBI a récemment clôturé une affaire pénale contre le propriétaire de Freedom Hosting, un service Web sombre qui fonctionnait sur le réseau Tor.
En outre, plusieurs projets de recherche ont montré différents niveaux d'attaques réussies qui tentaient d'écouter le trafic crypté par Tor ou d'identifier les utilisateurs.
En savoir plus sur les dernières nouvelles sur la confidentialité de The Daily Swig
Warrington de Protective Intelligence a commenté: «C'est un mythe de penser que l'utilisation de Tor (même avec un VPN) vous donne un anonymat total. Avec les outils que nous utilisons de nos jours, nous pouvons lentement nous déshabiller les couches d'anonymat pour savoir qui se cache derrière l'ordinateur.
«En utilisant des logiciels spécialisés combinés à des renseignements open source - essentiellement en recherchant de petits extraits d'informations sur le Web en surface, profond et sombre, nous pouvons créer une image d'un utilisateur de Tor impliqué dans une activité illégale.»
L'époque où Tor était une épine dans le flanc des forces de l'ordre semble toucher à sa fin.
Warrington a expliqué: «Au Royaume-Uni, la police et les agences de renseignement ont accès à ces outils, et la seule limite à l'identification des utilisateurs du dark web réside dans les ressources. Il n'y a tout simplement pas assez de policiers dédiés à ce type d'enquêtes. "
Quelles sont les limites de Tor et comment les surmonter? Tor a ses limites. Le maintien de l'anonymat en ligne est un exercice beaucoup plus ambitieux que la simple utilisation de Tor.
Israel Barak, responsable de la sécurité de l'information chez Cybereason, a déclaré au Daily Swig: «Tor, à la base, ne vous donne que l'anonymat au niveau du réseau. Cela ne vous aidera pas applications sur votre ordinateur qui conservent votre identité et fournissent votre identité aux fournisseurs de services Internet.
"Par exemple, lorsqu'une personne se connecte à Gmail, l'ordinateur ou l'appareil que vous utilisez enregistre votre identité, vous n'avez donc pas à vous connecter à l'avenir.
«Tor ne protégera pas votre anonymat contre cela», a-t-il prévenu.
APERÇU Comment devenir RSSI - Votre guide pour grimper au sommet de l'échelle de sécurité d'entreprise
Alors que le réseau Tor est conçu pour éloigner les habitudes de navigation des fournisseurs de services ou des traqueurs de pages Web, les utilisateurs les plus soucieux de leur vie privée peuvent aller encore plus loin.
Boris Cipot, ingénieur sécurité senior chez Synopsys, a ajouté: «Pour atteindre le plus haut niveau d'anonymat, il faudrait se débarrasser de toute installation d'OS ou de logiciel avec suivi, permettant ainsi à l'utilisateur d'entrer dans le réseau Tor avec une ardoise vierge.
«Ceci peut être réalisé avec l'utilisation de Tails ou Qubes OS, qui fonctionnent à partir d'une clé USB. Ils s'exécutent entièrement en mémoire, il est donc sûr de les utiliser sur des matériel, mais une fois activé, il n'y a aucune trace de vous. "
Le système d'exploitation Tails peut être combiné avec Tor pour aider à améliorer l'anonymat des utilisateurs en ligne
Pourquoi Tor met-il si longtemps à charger les sites? Utiliser Tor pour naviguer sur le Web implique d'accepter des compromis.
Le navigateur Tor offre à un utilisateur des avantages d'anonymat considérables par rapport aux autres navigateurs Web, tels que Edge, Firefox et Chrome.
Alors que les navigateurs standard peuvent divulguer des données qui permettent d'identifier l'utilisateur - même en mode «privé» - Tor a été conçu avec l'anonymat à l'esprit.
CONNEXION Firefox et Chrome n'ont pas encore résolu le problème de confidentialité qui divulgue les recherches des utilisateurs aux FAI
Tor, cependant, impose à l'utilisateur certaines limitations importantes lors de la navigation sur Internet.
Pour commencer, la navigation avec Tor peut être très lente et il est peu probable que de nombreuses personnes souhaitent échanger leur navigateur actuel.
Les vitesses de trafic lentes surviennent parce que les paquets de données empruntent un itinéraire détourné à travers Tor, rebondissant entre les ordinateurs de divers volontaires pour atteindre leur destinations.
La latence du réseau sera toujours un problème dans ce scénario, même si vous avez la chance d'éviter les goulots d'étranglement.
Tor donne également l'impression que les sites Web ont été construits il y a 20 ans, car une grande partie du contenu de présentation et de personnalisation des sites Web est supprimée par Tor, car ces technologies peuvent être utilisées pour identifier l'ordinateur utilisé.
Qu'ont appris les développeurs de logiciels de Tor? Les opinions des experts sont partagées sur la question de savoir si Tor a fait beaucoup pour affecter directement le développement du navigateur, mais au minimum, la technologie a beaucoup fait pour sensibiliser à la confidentialité.
Chad Anderson, chercheur principal en sécurité chez DomainTools, a commenté: «Je ne sais pas à quel point nous pouvons attribuer les améliorations modernes du navigateur grâce à Tor, mais je pense que les problèmes de confidentialité sont certainement devenus plus ciblés.
«Le passage du navigateur à DNS-over-HTTPS, communément appelé DoH, renforce la confidentialité des utilisateurs et là où le DNS ne fonctionnait pas sur Tor auparavant, il s'agissait en fait d'une attaque. vecteur de désanonymisation des utilisateurs, DoH corrige cela », a-t-il ajouté.
RECOMMANDÉ Un guide sur DNS-over-HTTPS - comment un nouveau protocole Web vise à protéger votre vie privée en ligne
Anderson a poursuivi: «Auparavant, vous pouviez écouter le trafic sur un nœud de sortie Tor… mais maintenant que SSL est presque omniprésent grâce aux certificats gratuits [de Let’s Encrypt], c'est moins un problème.»
Arthur Edelstein, chef de produit senior pour Firefox Privacy and Security, a donné au Daily Swig une liste de projets impliquant des collaborations entre Mozilla et Tor:
Isolation de première partie - Cette fonctionnalité a été développée conjointement par Tor et Mozilla et est maintenant entièrement intégrée à Firefox, bien qu'elle soit actuellement désactivée par défaut. Il empêche totalement les utilisateurs d'être suivis sur les sites Web via des cookies. Résistance aux empreintes digitales - Également développé conjointement par Tor et Mozilla, lorsque la résistance aux empreintes digitales est activée dans Firefox, elle modifie le comportement d'une grande collection de fonctionnalités du navigateur afin qu'elles ne puissent pas être utilisées pour les utilisateurs d'empreintes digitales et les suivre sur les sites Web. Protection contre le contournement du proxy - Tor a fourni un certain nombre de correctifs à Firefox pour renforcer l'utilisation du proxy, afin que le navigateur ne divulgue pas l'adresse IP de l'utilisateur lorsqu'un proxy est en cours d'utilisation.
Comment la technologie de Tor elle-même est-elle encore développée? Les exemples actuels de projets de développement de Tor incluent un travail de validation de principe sur des noms humains mémorables, une collaboration avec SecureDrop, le système d'alerte open source basé sur Tor, entre autres exemples.
Le représentant de Tor Project, Al Smith, a déclaré au Daily Swig: «Actuellement, nous ne nous sommes associés qu'à la Freedom of the Press Foundation (FPF), mais nous voulons continuer à étendre la preuve de concept avec d'autres médias et organisations de santé publique à l'avenir.»
Comment le projet Tor fait-il face à la pandémie de coronavirus? Le projet Tor a récemment été obligé de licencier un tiers de son personnel de base en réponse à la pandémie de coronavirus. Le Daily Swig a demandé comment l'organisation à but non lucratif a cherché à minimiser effet de cela sur les pipelines de développement.
Un représentant du projet Tor a répondu: «Parce que nous sommes maintenant une organisation plus petite, nous créons plus de projets où différentes équipes (par exemple, navigateur, réseau, UX, communauté, anti-censure) se réunissent et travaillent sur le même problème, à la place de travailler en groupes isolés sur des travaux disparates.
«C'est l'approche que nous avons adoptée pour améliorer les services d'oignon pour la version Tor Browser 9.5», ont-ils ajouté.
Tor est-il sûr? Malgré les mises en garde nombreuses et variées à propos de Tor, les experts en sécurité à qui nous nous sommes entretenus n’ont fait aucune suggestion selon laquelle la technologie était «dangereuse».
Dans une réponse typique, Charles Ragland, ingénieur en sécurité à l'agence Digital Shadows, a expliqué: «De manière générale, tant que des mises à jour de sécurité sont en place et que les utilisateurs suivent les meilleures pratiques en matière de confidentialité et d'anonymat, oui, Tor est sûr à utiliser. . »
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seneweb · 4 years
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Ces malaises qui rompent le contrat social (Rapport AFRICAJOM Center)
C’est une synergie, un laboratoire d’idées ou même un jardin d’essai qui tente de construire une démocratie active, libératrice, inovatrice et apaisée avec l’ensemble des acteurs comme la société civile, le secteur privé et des partis politiques. AFRICAJOM Center a sorti son rapport annuel qui n’a pas été sans étude majeure de ce qui se passe présentement dans la sous-région avec notamment plusieurs pays de l’Afrique de l’Ouest. Ce rapport intitulé : “Les nouvelles pathologies de la démocratie en Afrique : Crise de l’Etat de droit, de la démocratie représentative et de la gouvernance”, relate en réalité cette lancinante question sur les tensions, malaises et violences politiques qui, pour la plupart ont découlé des réformes constitutionnelles et du suffrage universel avec des élections de plus en en plus contestées.
C’est pourquoi, s’inspirant de ces réalités socio-politiques, ce rapport de Alioune Tine et ses collaborateurs appelle les États à promouvoir la démocratie d’implication, délibérative, participative et apaisée. Toutefois, avec une bonne culture de la tolérance tout en s’inspirant de ces traditions issues de la palabre et qui nous sont propres. Rappelons le, ce rapport, publié dans un contexte où l’Afrique de l’Ouest traverse une grave crise liée au syndrome du troisième mandat devra alors constituer un socle pour ces générations qui sont témoins de ces réalités et seraient également appelées à opter pour de nouvelles démarches pour sortir leur pays de ce qui constitue un frein à une démocratie de référence.
Une rupture d’avec ces pratiques qui relèvent de la “démocratie d’imposture” avec des mensonges, le déni et le manque de fiabilité est déjà proposé dans ce rapport aux États de la sous-région. Par ailleurs, il est appelé à une organisation d’un sommet de la CEDEAO et qui sera réservé à la limitation des mandats présidentiels à deux pour tous les États  membres. Une option qui serait favorable à un climat apaisé et où la société nouera des liens de confiance avec ses dirigeants. Des réformes indispensables au regard de la faiblesse des mécanismes de régulation qui affectent négativement l’image et la légitimité des actions de la CEDEAO et du leadership politique. En définitive, le document explore également les menaces de fragilisation, de décomposition et de défaillance des États post coloniaux. Mais également, s’interroge sur l’impuissance des institutions et mécanismes régionaux et internationaux de régulation qui seraient en quelque sorte inadaptés au contexte Africain. 
Une crise également documentée dans le rapport et qui constitue une menace pour la paix et la stabilité ainsi qu’à la sécurité concerne les coups d’État électoraux et constitutionnels. En effet, dans le document, il est clairement relaté qu’aujourd’hui, ces coups d’État sont beaucoup plus sophistiqués, plus propres et cosmétiques avec des formes tout à fait nouvelles, entérinées et validées sans problèmes majeurs par la communauté internationale des observateurs électoraux. Il est clair, dans certains cas, que ces coups d’État électoraux sont habillés par des révisions constitutionnelles intervenant en cours de mandat et susceptibles d’interprétation permettant de contourner ou de déverrouiller les dispositions relatives à la limitation de mandats.
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yes-bernie-stuff · 4 years
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Justice internationale.
Bonjour, Cette journée est la journée consacrée à la justice internationale. La justice internationale concerne les relations entre les États ou les personnes de droit privé dans un cadre international. Créée en 1998, dans le cadre de l’ONU, la Cour Pénale Internationale (CPI) est intervenue dans quelques cas de génocides, ou autres délits inhumains d’hommes politiques, mais n’a pas empêché la multiplication d’injustices majeures en divers endroits sur notre planète. On peut se réjouir qu’il y ait le désir de soutenir la justice sociale, de promouvoir les droits des victimes et de travailler à prévenir les crimes menaçant la paix dans le monde. Qu’une juridiction cherchant la sécurité de tous, et le bien-être global, existe, c’est une bonne chose, cependant nous sommes conscients des limites de ces instances. Mais rien ne nous empêche de prier pour que le règne de la justice vienne sur notre terre. Au contraire, Jésus nous invite à le faire, en disant : Notre Père… Que ton règne vienne ! Comment réagir face à l’injustice ? J’ai bien aimé cet interview du pasteur Jérémy Sourdril. « Seigneur, dans un monde où il y tant de violences faites aux plus faibles, tant d’injustices sociales et internationales, dans ce monde où la terreur et la violence, les milices, les cartels, les mafias contournent les lois, dans ce monde « où la loi du plus fort est celle qui gagne », nous te prions pour que ton règne de justice vienne, amen ! » Avec amour, Paul Calzada
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cnt-so-auvergne · 4 years
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Election TPE & TPA 2021 : profession de foi de la CNT-SO
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Les travailleurs.euses des très petites entreprises et associations (TPE & TPA de moins de 11 salarié.e.s) et les salarié.e.s des particuliers sont appelé.e.s à voter du 25 janvier 2021 au 07 février 2021, dans un scrutin sur sigle syndical, déterminant la représentativité de chaque organisation. La Confédération Nationale des Travailleurs - Solidarité Ouvrière se présente au niveau national et interprofessionnel pour promouvoir une véritable alternative syndicale et un syndicalisme de lutte de classe ! Retrouvez notre profession de foi.
Profession de foi cnt_so TPE_2021 (http://www.cnt-so.org/IMG/pdf/cnt_so_tpe_2021_4_p_definitif.pdf)
Pour la troisième fois, nous, travailleurs et travailleuses des Très Petites entreprises et Très Petites Associations, sommes appelé·e·s à voter pour élire nos représentant·e·s. Nous sommes environ 4,5 millions à être concerné·e·s par ces élections qui se dérouleront du 25 janvier 2021 au 07 février 2021 (en raison de l’épidémie du Covid-19). La plupart d’entre nous, travaillent dans des entreprises de 2 à 3 salarié·e·s. Généralement pas syndiqué·e·s, isolé·e·s, précarisé·e·s, exclu·e·s des droits syndicaux, le plus souvent mal protégé·e·s par le droit du travail, nous sommes en première ligne de l’arbitraire patronal.
Depuis 2016, date des dernières élections, les gouvernements successifs ont continué de s’attaquer à nos droits : massacre du code du travail, généralisation des contrats précaires, réforme de l’Assurance chômage, réformes des retraites...
Licenciements, faillites... la crise économique issue de la crise sanitaire du COVID 19 vient encore plus fragiliser notre situation.
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Ces élections sont donc l’occasion de réclamer haut et fort une réelle égalité des droits et de marquer une volonté de rupture en faveur des travailleur·euse·s !
Dans les entreprises de plus de 11 salarié·e·s, il y a obligation d’organiser des élections de délégué·e·s du personnel. Dans les TPE dans lesquelles nous travaillons, cette obligation n’existe pas, et pourtant, nous aussi nous avons des droits à défendre !
Nos droits, particulièrement dans les TPE, sont régulièrement bafoués : heures non payées, dépassements des durées maximales de travail, conditions d’hygiène et de sécurité non respectées, contrats frauduleux, travail non déclaré... La liste est longue !
Et les TPE sont aussi largement utilisées pour contourner les droits du travail et syndicaux dans le cadre de la sous-traitance.
Trop souvent, derrière une pseudo proximité avec l’employeur se cache en réalité celui du chantage et du harcèlement : « tais-toi, fais ce que je te dis ou t’es viré.e ! ». Mais ce n’est pas une fatalité !
Il faut s’organiser, se regrouper et lutter contre ces injustices qui détériorent nos vies. Se syndiquer, c’est rompre l’isolement, c’est dire NON à l’exploitation et au mépris, c’est résister et lutter ensemble pour défendre ses droits et en gagner de nouveaux !
C’est ce que font au quotidien les femmes et les hommes qui ont choisi de s’organiser à la CNT-Solidarité Ouvrière. Nettoyage, bâtiment, restauration, hôtellerie, service à la personne, commerce... La CNT-Solidarité Ouvrière est un outil syndical au service des travailleur·euse·s.
Dans toutes les TPE, la CNT-Solidarité Ouvrière revendique :
- L’égalité de traitement entre tous·tes les salarié·e·s (petites et grandes entreprise)
- Le droit à la formation professionnelle
- La mise en place d’un véritable droit syndical.
La CNT - Solidarité Ouvrière a construit des revendications spécifiques, suivant les différentes branches professionnelles.
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La CNT-Solidarité Ouvrière : Un syndicat combatif, indépendant et autogestionnaire !
La CNT-Solidarité Ouvrière développe un « syndicalisme d’industrie ». Les travailleuses et les travailleurs d’un même secteur professionnel, quelques soit leurs statuts ou employeurs, adhèrent au même syndicat à un échelon géographique donné.
La CNT-Solidarité ouvrière se donne les moyens de la défense de nos droits en combinant une pratique juridique offensive par la saisine des conseils de prud’hommes et une solidarité active sur le terrain, dans les entreprises par l’action collective.
La CNT-Solidarité Ouvrière fonctionne exclusivement avec les cotisations de ses adhérent·e·s, sans subventions de l’État ou du patronat. C’est la garantie de son indépendance.
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Le syndicat : s’organiser, se former et lutter ensemble !
La CNT-Solidarité Ouvrière pratique et se revendique de l’autogestion : c’est nous qui travaillons alors c’est nous qui décidons ! Au syndicat, les adhérent·e·s trouvent conseils juridiques et autres aides concernant leurs conditions de travail. Réuni·e·s en assemblée générale, les syndiqué·e·s se retrouvent, se soutiennent, échangent et décident ensemble des luttes à mener.
A la CNT-Solidarité Ouvrière, l’accent est mis sur la formation. Des formations sont organisées, notamment sur le temps de travail, pour les représentants du personnel et pour tous·tes les adhérent·e·s du syndicat.
Réfléchir ensemble à un autre projet de société
Même si elle agit pour la défense des intérêts immédiats des travailleuses et des travailleurs (salaires, temps de travail, conditions de travail...), la CNT-Solidarité Ouvrière se fixe un but de transformation sociale. Au syndicat, nous réfléchissons ensemble à une société future plus juste, plus égalitaire.
Témoignages de salarié·e·s ayant rejoint la CNT-Solidarité Ouvrière pour se défendre.
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Durant toute la crise sanitaire du printemps 2020, la CNT-Solidarité Ouvrière a organisé la défense des salarié·e·s face aux pratiques antisociales des patrons (refus de remise des outils de protection (masques, gants …), non-paiement des salaires, non déclaration des arrêts maladie pour gardes d’enfant, etc., et contre le Medef qui une fois de plus, a voulu réduire nos droits (augmentation de la durée du travail, congés payés, droit syndical...).
De manière plus générale, la CNT-Solidarité Ouvrière a informé les salarié·e·s sur leurs droits en publiant des fiches pratique sur les différents sujets d’actualité (chômage partiel, garde d’enfant, droit de retrait, congés payés droit d’alerte…
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Refus du corporatisme
La CNT-Solidarité Ouvrière refuse les divisions corporatistes et développe un syndicalisme d’industrie. Les travailleuses et les travailleurs d’un même secteur, quels que soient leurs métiers, leurs statuts ou leurs employeurs, adhèrent au même syndicat à un échelon géographique donné.
Indépendance et autogestion
La CNT-Solidarité Ouvrière fonctionne exclusivement grâce aux cotisations de ses adhérent·e·s, sans subventions de l’État ou du patronat. Elle est indépendante de tout groupement politique ou religieux. C’est la base du syndicat - ses adhérent·e·s - qui décide en échangeant dans les Assemblées générales.
Refus du clientélisme et de la corruption patronale
A la CNT Solidarité Ouvrière, c’est toujours l’intérêt collectif des travailleuses et des travailleurs qui prime et le syndicalisme se pratique avec droiture. Nous refusons les petits arrangements « entre amis » et la complicité douteuse avec les employeurs.
Un outil au service des travailleuses et des travailleurs
Le syndicat apporte des conseils juridiques et d’autres aides concernant les conditions de travail. C’est aussi un espace important de formation pour s’émanciper, se donner des outils de lutte et de défense dans l’entreprise.
Un outil de coordination au service des luttes
Nous défendons un syndicalisme de lutte de classes. Tout est question de rapports de force : c’est par les luttes syndicales, sous toutes leurs formes, que nous faisons avancer nos intérêts contre ceux des patrons.
Un syndicalisme révolutionnaire
Défendre nos conditions de travail, gagner de nouveaux droits, c’est le rôle du syndicalisme. Mais nous revendiquons aussi un autre projet de société, à l’opposé des inégalités actuelles et loin de tout rapport de domination. Nous militons pour un projet de transformation sociale révolutionnaire.
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phayakhrut · 4 years
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LA FRANCE CONFINÉE ET L'INCOMPÉTENCE DÉMASQUÉE
Ce nouveau coronavirus SARS-CoV-2 (COVID-19 pour les intimes), aurait été découvert en Chine en décembre 2019, selon les informations émanant du ministère français des Solidarités et de la Santé. Il aura donc fallu de longues semaines de réflexion pour que le gouvernement réagisse et prenne au sérieux le danger que représentait cette épidémie qui s'est transformée rapidement en pandémie. Et surtout, que l'on cesse de nous prendre pour des benêts avec des excuses du style « nous ne savions pas vraiment ce qu'il en était » ou bien « les autorités chinoises ne nous ont pas tout dit ». Elles ne sont guère crédibles alors que la communauté scientifique et l'OMS (Organisation mondiale de la santé, agence spécialisée des Nations unies) étaient bien informées au moins depuis le mois de janvier des mesures de restrictions imposées dans la province chinoise de Hubei, déclarée comme épicentre de l'épidémie. Les autorités de ce pays n'auraient certainement pas confiné une ville de quinze millions d'habitants comme Wuhan si la situation n'avait pas été gravissime, considérant l'impact économique d'une telle décision prise certainement à contrecœur. Lorsque l'on sait par ailleurs que nos ambassades à l'étranger inondent le Quai d'Orsay de dizaines de notes d'informations par jour à propos de tout et de rien (il faut bien justifier les juteuses indemnités de leurs personnels), il ne fait aucun doute que notre représentation diplomatique en République populaire de Chine était parfaitement au fait de la situation et que le gouvernement français n'en a rien ignoré.
Il y a surtout lieu de croire que les atermoiements et les dénégations n'avaient d'autre but que d'occulter la seule préoccupation de la classe politique française du début de l'année : organiser coûte que coûte les élections municipales ! Et cela pour un scrutin partiel puisque seul le premier tour du 15 mars 2020 a pu être maintenu. Le fourvoiement de l'exécutif étant acté, il n'y avait plus d'autre alternative que de le justifier. Du moins, jusqu'à ce que la négation de l'évidence ne soit plus une position tenable au regard des enjeux sanitaires.
Guerre des moutons et sérénade au balcon !
Le Président de la République l'a martelé à plusieurs reprises dans son discours du 16 mars 2020 : « Nous sommes en guerre » ! Et la riposte se devait d'être à la mesure de l'agression. La nouvelle ligne Maginot érigée par l'État français pour protéger nos frontières (grandement fictives grâce à la mondialisation) et la santé de la population s'est hérissée d'armes défensives d'une redoutable efficacité :
Confinement à partir du 17 mars ; attestation de déplacement dérogatoire (« permission de sortie » déclinée en différentes versions) ; vitrification du secteur commercial ; fermeture des écoles et lieux de loisirs ; plongée des administrations et des transports publics en semi-coma artificiel ; bannissement des embrassades et des poignées de main, gestes barrière, gel hydroalcoolique (avant épuisement rapide du stock) ou savon de Marseille...
Aux armes, citoyens, formez vos bataillons ! Voilà tout l'arsenal qui devait suffire au commun des mortels pour survivre aux assauts de ce nouveau virus et remporter la victoire. Mais il n'est pas nécessaire d'être un historien émérite pour savoir que les lignes Maginot sont aisément contournables. L'ennemi COVID-19 en ricane encore et l'on sait désormais ce qu'il en advint : un bilan sanitaire déplorable, plus de 138 000 cas confirmés d'infection à ce jour en France, plus de 26 000 décès dans les hôpitaux et les EHPAD et le macabre décompte est loin d'être définitif.
En réalité, la véritable guerre à laquelle nous sommes confrontés est celle qui n'a jamais fait l'objet d'une déclaration officielle mais bel et bien menée depuis plusieurs décennies contre les intérêts du peuple français par ses propres gouvernants. Il s'agit d'une guerre économique et sociale qui a consisté à délocaliser, démembrer, laminer et parfois même anéantir, non seulement nos services de santé et la production nationale de médicaments vitaux, mais aussi notre savoir-faire industriel dans bien des domaines.
En matière de santé, il ne fait plus de doute que l'idée rampante des gouvernements qui se sont succédé depuis au moins vingt ans était de mettre en œuvre une politique de privatisation de l’hôpital public. Leur meilleure option pour réduire les dépenses de santé fut de confier la gestion des hôpitaux, des EHPAD et de tous les services liés au mieux-être des patients, à des technocrates sans état d'âme dont la première des missions fut de réduire les coûts de fonctionnement avec des budgets de plus en plus contraints.
Les conséquences sont connues : regroupement régional d'hôpitaux (Groupements Hospitaliers de Territoire) rendant l'accès aux soins ardu dans bien des départements, fermeture d'unités considérées comme peu rentables, suppression de lits, non renouvellement de postes, etc. Il n'est pas inutile de rappeler qu'entre 2013 et 2017, 95 sites hospitaliers ont été fermés. Il resterait actuellement moins de 1400 hôpitaux publics. De plus, une maternité sur trois a disparu entre 1996 et 2016. Triste bilan !
Cette logique de gestion essentiellement comptable de la santé ne pouvait conduire qu'à la situation catastrophique que nous vivons depuis plus de deux mois : services des urgences débordés, hôpitaux saturés, personnel soignant épuisé. Qu'importe, nous ferons appel au service de santé des Armées pour dresser des hôpitaux de campagne et mettre fin à la chienlit ! Les pompes funèbres sont dépassées et les funérariums pleins à craquer ? Et bien que l'on transforme des chambres froides au MIN de Rungis en morgue géante pour recueillir les dépouilles des défunts dans l'attente de leur inhumation, qu'il conviendra d'escamoter aux yeux de leurs proches. À la guerre comme à la guerre, scrongneugneu !
Il est à peine 20 heures et, comme chaque soir, le bon peuple confiné s'exhibe aux fenêtres et applaudit à tout rompre pour, paraît-il, témoigner sa profonde reconnaissance envers les services de secours et de santé. À moins que ce soit pour conjurer sa peur d'être contaminé ?
Au risque de décevoir les partisans de ce mouvement moutonnier (largement encouragé par les médias de masse et les réseaux sociaux), qui donnent à penser que nous assistons au nec plus ultra de la solidarité et de la compassion, personnellement je n'y adhère pas. Les pulsions mimétiques des hominoïdes m'indisposent. J'ai toujours été allergique aux grand-messes d'adoration collective, qui ne sont que le reflet d'un comportement grégaire, un syndrome identitaire bien connu qui donne aux individus le sentiment d'appartenance à un groupe, pour ne pas dire une meute. Quel spectacle dérisoire et grotesque que ces sérénades quotidiennes d'applaudissements aux balcons ! Dans mon quartier, le crétin de service de l'immeuble voisin fait même de la surenchère à bord de son véhicule à grands coups de klaxon, comme s'il était dans un cortège de mariage. Heureux sont les simples d'esprit, le royaume des gueux leur appartient...
Ce type de comportement est récurrent en période de tension collective. Il ne vous rappelle rien ? Mais si, faites un petit effort de mémoire... Et bien, je vais vous aider à reconnecter vos neurones : ceux qui font la claque aujourd'hui comme des otaries de cirque avec leurs nageoires pour exprimer leur gratitude à toutes les lucarnes, ressemblent comme deux gouttes d'eau aux braves gens qui naguère brandissaient fièrement des pancartes avec le slogan « Je suis Charlie » ou « Je suis l'Hyper Cacher » ; ceux qui s'époumonnaient dans les cortèges en criant « Je suis le Bataclan ! », etc.
Ce sont d'ailleurs peut-être les mêmes qui, confinement oblige, s'exhibent désormais à leur fenêtre. Parmi eux, on compte probablement aussi des âmes charitables qui ont encensé les forces de l'ordre au lendemain des attentats terroristes et qui, quelques semaines seulement après le retour à une apparente sécurité, les ont conspuées avec la même énergie au détour d'une manifestation ou à la suite d'une verbalisation. Versatilité de la populace : dégoulinante de reconnaissance en cas de danger imminent avant de retourner à son état naturel de molle indifférence lorsque l'orage est passé. Mais ce sont de braves citoyens qui, pour une grande majorité d'entre eux, n'ont jamais pris d'initiative utile pour prévenir ou atténuer les événements funestes. Pour moi, la reconnaissance que l'on doit aux personnes méritantes ne se mesure pas à l'applaudimètre, mais à l'aune des actions concrètes que l'on mène pour leur donner les moyens d'accomplir leur mission dans les conditions les plus dignes. Et la première des actions essentielles dans une démocratie, consiste à élire des représentants de la nation qui conduiront sans faillir une telle politique et, surtout, sans renier leurs promesses de campagne dès qu'ils sont élus. C'est aussi, à mon sens, la meilleure façon de rendre justice à tous ceux que l'on reconnaît aujourd'hui comme étant des « héros du quotidien », alors qu'ils étaient si peu considérés hier, et au sujet desquels on découvre dans l'épreuve à quel point ils sont indispensables à la société.
Ce sont les raisons qui me font préférer de loin l'introspection et l'autocritique à toute gesticulation ostentatoire. C'est-à-dire celles qui nourrissent la réflexion pour identifier les causes et les conséquences de nos erreurs et de notre manque d'anticipation. Et ce, le chaos n'ayant pu être empêché, pour faire en sorte au moins d'en prévenir la récidive. Mais il semble bien que dans notre pays, rares sont ceux qui sachent tirer profit des expériences malheureuses, faute de s'intéresser aux événements historiques.
Cette pandémie n'est qu'un nouvel avatar de toutes celles qui ont jalonné l'histoire de l'humanité
Les nombreuses pandémies qui ont ébranlé l'humanité au cours des siècles auraient dû pourtant être une source d'inspiration pour ceux qui ont la charge de gouverner les peuples, afin d'endiguer cette nouvelle catastrophe sanitaire. Sans remonter à la peste antonine qui s'abattit sur l'Empire romain, il suffira de citer la peste bubonique qui décima 200 millions d'européens au milieu du XIVe siècle ; les pandémies de choléra entre 1817 et 1923 qui entraînèrent le trépas d'environ un million d'individus ; la grippe russe en 1889-1890 (encore un million de morts) ; la grippe espagnole qui fit 40 à 50 millions de victimes en 1918-1919 comme si la Première guerre mondiale n'avait pas été suffisamment meurtrière ; la grippe asiatique en 1957-1958 (plus d'un million de morts) ; la grippe de Hong-Kong dix ans plus tard (un million de victimes), le Sida-VIH qui, depuis 1981, a entraîné la disparition d'au moins 30 millions de personnes. Et contrairement aux allégations soutenues au début de cette invasion coronavirale, les précédents fléaux n'avaient certainement pas pour origine un ragoût de pangolin préalablement mordu par une chauve-souris !
Les épidémies sont indissociables de l'histoire de l'humanité. Quiconque préside à la destinée d'une nation à l'obligation d'en avoir conscience et de tout mettre en œuvre pour les prévenir ou les juguler pour autant que les connaissances scientifiques le permettent. Régulièrement, les chercheurs, les caciques de la santé exposent les progrès de la médecine et de la chirurgie, ce qui est avéré dans quelques domaines de pointe. Mais c'est aussi l'arbre qui cache la forêt. Ainsi, personne n'a encore découvert le remède permettant de mater un simple rhume. Sous prétexte qu'il disparaît tout seul au bout de quelques jours, aucun laboratoire n'a jamais investi la moindre piastre pour la recherche d'un médicament efficace (en revanche, l'industrie pharmaceutique commercialise des tonnes de substances, parfois nocives, pour seulement en atténuer les symptômes). C'est un exemple qui en dit long sur le pouvoir réel des scientifiques. Espérons néanmoins qu'ils porteront un intérêt plus vif à la mise au point d'un vaccin probant contre le COVID-19 et ses clones éventuels. À condition, toutefois, que ces messieurs les mandarins de la Faculté cessent leurs querelles de chapelles, comme celle de l'affaire de l'élixir à l'hydroxychloroquine prescrit par le Professeur Didier Raoult...
La mascarade française : ordre, contre-ordre, désordre !
La comédie des masques se joue à guichet fermé mais la représentation est tout de même un triomphe public. Pénurie oblige, tout le monde s'ingénie à produire ses propres trouvailles avec les moyens du bord. Parmi ceux qui contribuent à « l'effort de guerre », citons l'exemple de ces couturières professionnelles au chômage technique et de nombreux bénévoles ayant quelques connaissances en couture qui ont spontanément confectionné des masques artisanaux en tissu pour leur entourage familial, des voisins et des personnels soignants. Certaines enseignes ayant pignon sur rue, comme Décathlon qui a bricolé des masques de plongée pour les transformer en masque médicaux, ont aussi bousculé leur routine commerciale. Cautère sur une jambe de bois, PSA Peugeot, Schneider Electric, Valeo ont lancé à la hâte de nouvelles unités de production de respirateurs artificiels sous la houlette du groupe français Air Liquide, géant du CAC 40 qui, en période normale en produit fort peu en France mais importe de l'étranger l'essentiel de ses appareils et accessoires médicaux (comme ceux utilisés par ses filiales dédiées à la santé, VitalAire et Orkyn). L'initiative était sans doute pétrie de bons sentiments mais le résultat serait calamiteux : sur les 10 000 respirateurs commandés par l'État, 8 500 seraient inutilisables en réanimation hospitalière. Il s'agit de modèles de type Osiris, techniquement assez rudimentaires et généralement utilisés par le Samu et les ambulanciers. Décidément, la poisse persiste au royaume du Père Ubu !
Dans notre pays, on ne fabrique presque plus rien mais lorsque tout fait défaut, on a au moins des idées. C'est ce qu'on appelle le « système D». Et ça au moins, c'est bien français, Cocorico !
Après avoir soutenu mordicus que le port d'un masque était inutile pour le simple quidam (allégation destinée à occulter la pénurie généralisée), les autorités gouvernementales veulent désormais le rendre obligatoire dans certains lieux publics alors qu’il est toujours aussi difficile de s'en procurer. Comment est-on parvenu à une telle volte-face ? Rembobinons un peu les épisodes du feuilleton guignolesque joué au cours de ce dernier trimestre, à partir du vilain mensonge initial jusqu'à la palinodie finale :
• 26 janvier 2020 : Agnès Buzyn, ministre des Solidarités et de la Santé en attente d'un imminent parachutage-suicide sur la capitale pour les élections municipales, en remplacement de Benjamin Griveaux (ex-candidat de LREM démissionnaire pour cause de gaudriole filmée), déclarait à la presse : « Il ne faut pas acheter de masque en pharmacie. » À l'entendre, il n’y avait pas de risque de pénurie de masques en cas d’épidémie du virus COVID-19 sur le sol français.
• 4 mars : Jérôme Salomon, directeur général de la Santé, affirmait sur BFMTV : « Les masques n’ont aucun intérêt pour le grand public... »
• 13 mars : « Le port de masque, en population générale dans la rue, ça ne sert à rien », disait le Premier ministre Edouard Philippe, sur un plateau de TF1.
• 16 mars : Olivier Véran, nouveau ministre de la Santé depuis le 17 février, se confiait à la presse en ces termes : « Je suis surpris de voir par la fenêtre de mon ministère le nombre de personnes qui sont dans la rue avec des masques (…) alors que cela ne correspond pas à des recommandations ». (La suite prouvera que le bon sens populaire est plus crédible que la parole des élites)...
• 17 mars : Olivier Véran estime au micro de France-Inter, qu’il reste 110 millions de masques dans les stocks de l’État. (Alors qu’il y en avait plus d’un milliard en réserve il y a une dizaine d'années).
Le même jour, Sibeth Ndiaye, porte-parole (ou porte-mensonge ?) du gouvernement s'exprimait sur BFMTV en ces termes : « (...) Non, les Français ne pourront pas acheter de masques dans les pharmacies, car ce n’est pas nécessaire si on n’est pas malade (...) ».
• 20 mars : le même mainate rajoutait une louche de démagogie : « Moi, je ne sais pas utiliser un masque. Je pourrais dire : "Je suis ministre, je mets un masque", mais en fait je ne sais pas l’utiliser ! Parce que l’utilisation d’un masque, ce sont des gestes techniques précis ». (En effet, placer correctement un masque sur son visage requiert au minimum sept années d'études supérieures et trois de plus pour savoir l'enlever !)
• 1er avril : le poisson du Premier ministre devant la mission d’information parlementaire : « Il n’y a pas de preuve que le port du masque dans la population apportera un bénéfice. Ce serait plutôt le contraire, à cause d’une mauvaise utilisation ».
• 16 avril : le Président Emmanuel Macron au magazine Le Point : « Je refuse de recommander le port du masque pour tous et jamais le gouvernement ne l’a fait ».
• 28 avril : attention virage en épingle à cheveux d'Edouard Philippe dans son discours à l’Assemblée nationale : « Il sera préférable dans de nombreuses circonstances de porter un masque »...
Il est vrai qu'entretemps, l'Académie nationale de Médecine (revenant sur ses premières déclarations) avait sifflé la fin de la cacophonie en soutenant publiquement que le port d'un masque « grand public » se justifiait bel et bien et qu'il devrait être rendu « obligatoire pour les sorties nécessaires en période de confinement » mais aussi « dans le cadre de cette levée du confinement ».
Nouvelle démonstration que l'Union européenne n'a d'union que le nom, dans la plupart des pays d'Europe du Nord, aucune pénurie de matériels de protection et de tests de dépistage du virus n'était à déplorer. En Allemagne, on avait la capacité de mettre en œuvre 350 000 à 500 000 tests par semaine (suivant en cela la stratégie prônée par les épidémiologistes de l'OMS), lorsque dans le même temps, en France, on en pratiquait péniblement 60 000 à la fin du mois de mars. À Vienne, les masques pour le public étaient disponibles depuis plusieurs mois dans les distributeurs automatiques de boissons et confiseries du métro de la capitale autrichienne. En France, on ne savait toujours pas où se trouvaient ceux qui auraient été commandés massivement en Chine (faute de pouvoir en faire produire en nombre suffisant par notre souffreteuse industrie).
Le regretté Coluche avait dit un jour à peu près en ces termes : « Dites à un technocrate ce dont vous avez besoin et il vous expliquera comment vous en passer ! » Cette phrase résume à elle-seule la doctrine du pouvoir exécutif depuis le début de la crise sanitaire. Imaginons un instant qu'il y ait un jour une rupture totale d'approvisionnement en préservatifs. Dira-t-on qu'ils ne servent à rien et que pour éviter les maladies sexuellement transmissibles, il suffit de respecter la « distanciation sociale » et les « mesures barrière » ? Oui, je sais, cela existe déjà, cela s'appelle l'abstinence. Mais celle-ci, tout comme le confinement, n'est supportable que très temporairement !
Ceux qui ont encore un peu de mémoire ne manqueront pas de faire le rapprochement entre la situation lamentable actuelle et l'affaire du sang contaminé sous le règne de François Mitterrand. Par certains aspects, la similitude est troublante. Va-t-on une nouvelle fois nous ressortir la rangaine « responsable mais non coupable » immortalisée par Georgina Dufoix, ministre des Affaires sociales et de la Solidarité nationale de l'époque ? Aujourd'hui comme hier, les politiciens s'affranchissent de toute responsabilité en pointant du doigt les scientifiques qui leur servent de caution et qui font des boucs émissaires tout désignés lorsqu'ils se montrent impuissants.
Le COVID-19 altère aussi la santé de la francophonie
La langue française, de plus en plus contaminée depuis au moins un demi-siècle (sans espoir de vaccin qui lui permettrait de retrouver sa vigueur d'antan), doit subir de nouveaux outrages au quotidien depuis l'apparition de cette épidémie. Parmi les injonctions et termes erronés qui sont véhiculés par les services officiels et les journalistes, voici quelques exemples :
- « Toussez ou éternuez dans votre coude » : les esprits féconds et surdiplômés qui hantent les bureaux du ministère de la Santé, ignorent manifestement à la fois les limites de l'anatomie humaine et l'expression qu'il aurait été judicieux d'employer, à savoir « pli (ou creux) du coude ». Tous ceux qui auraient été aveuglément disciplinés au point de se contorsionner pour envoyer leurs postillons à l'extrémité de leurs coudes feront le bonheur des kinésithérapeutes lorsqu'ils rouvriront leurs cabinets. Quant aux manchots, ils seraient parfaitement en droit de porter plainte contre l'État au motif d'incitation à la discrimination !
- « Respecter la distanciation sociale » alors qu'il ne s'agit en l'espèce que de distanciation physique à observer entre les personnes. On peut parfaitement continuer à entretenir des liens sociaux avec son entourage tout en respectant les distances de sécurité.
- « Placement en quatorzaine » : ce n'est pas parce que, selon le corps médical, la période d'incubation du virus serait de quatorze jours au maximum que le délai d'isolement devient une quatorzaine. Il convient toujours d'employer le vocable « quarantaine » dont l'acception s'est généralisée à tout isolement sanitaire, quelle que soit sa durée. Relevons au passage que le mot « quatorzaine » correspond par ailleurs à une définition juridique ayant trait à la période de recouvrement d'objets saisis. Mais certains journalistes adorent se gargariser avec ce qu'ils croient être des néologismes de bon aloi alors qu'ils ne reflètent que l'étendue de leur ignorance. À leur décharge, Il faut dire que Jean-Michel Blanquer, ministre de l'Éducation nationale (circonstance aggravante), a lui-même employé ce terme inapproprié le 28 février 2020.
- « Cluster » : bien entendu, on n'échappe pas aux sempiternels anglicismes corrupteurs de notre langue et qu'il est de bon ton de seriner à longueur de bulletins d'informations pour paraître branché. C'est ainsi que les prétendus sapiteurs adorent employer le terme cluster lorsqu'il y a lieu de parler d'un foyer d'infection...
Il y a encore pire que l'épidémie de coronavirus : « l'infodémie ! »
Le coronavirus a la faculté de se répandre partout mais la contagion atteint son paroxysme au sein des chaînes d'information de la radio et de la télévision. Avec leur matraquage de nouvelles anxiogènes en continu, venant s'ajouter aux consignes répétitives de sécurité des pouvoirs publics, tout est fait pour anéantir les dernières particules d'optimisme des Français. Avis à tous les confinés de France et de Navarre : si vous voulez préserver votre hygiène mentale, débranchez tout au moins 23 heures sur 24 !
Les réseaux dits sociaux sont aussi des propagateurs de « l'infodémie ». Grâce à Twitter, Facebook, Youtube, etc. (autrement dit le Café du Commerce médiatique), nombreux sont ceux qui se découvrent, plus particulièrement depuis le début de l'épidémie, une vocation de spécialiste dans toutes les disciplines de la santé. D'aucuns pourraient s'en réjouir car au train où se répandent les panacées les plus farfelues, il n'y aura donc plus de déserts médicaux en France : le numerus clausus volera en éclats plus tôt que prévu (sa fin était déjà programmée au profit du « numerus apertus ») et le trou de la Sécurité Sociale se comblera illico. À ce rythme, il y aura bientôt des millions de « docteurs Maboul » consultables gratuitement sur les réseaux (de cas) sociaux ! Il n'y a que les experts patentés des journaux télévisés et radiophoniques qui commencent à s'indigner de cette concurrence déloyale. Si même le vulgum pecus vient taper dans la gamelle de tous les praticiens diplômés qui monnayent leur serment d'Hippocrate sur les plateaux du PAF (ils sont désormais aussi nombreux que les grands chefs étoilés qui ont déserté leurs fourneaux pour parader sur le petit écran), c'est le début de la fin de leur lucrative sinécure !
Le monde d'avant était en crise, le monde d'après doublera la mise
Dans le monde d'avant l'épidémie, les écologistes vouaient aux gémonies tous les produits en matière plastique. Subitement, on prête au synthétique toutes les vertus du fait que l'on ne peut s'en passer pour fabriquer les accessoires indispensables aux services de santé, dans les administrations ouvertes au public et les commerces : masques, pièces d'assemblage pour les respirateurs artificiels, surblouses médicales de protection (certaines sont même bricolées, faute de mieux, à partir de sacs pour ordures ménagères !), plaques d'acrylique pour isoler les guichets, rayons et comptoirs, etc. Quelle guigne, Nicolas Hulot va devoir encore manger son chapeau !
Après le déconfinement, il faudra affronter une récession économique sans doute plus longue et plus virulente encore que la crise sanitaire elle-même. Après avoir lâché des flots d'argent public en empruntant des centaines de milliards d'euros pour soutenir l'économie et les entreprises paralysées par l'ordre d'immobilisation, le gouvernement ne tardera pas à présenter la facture aux contribuables sous une forme ou une autre puisque l'État ne connaît pas d'autre recette que l'impôt et les coupes budgétaires depuis des lustres. L'hypothèse de croissance n'augure rien de bon : des centaines de milliers de chômeurs supplémentaires sont à prévoir tandis que l'on exigera de ceux qui auront gardé leur emploi, de travailler (ou télétravailler ?) encore davantage sans augmentation de salaire.
En attendant, petite consolation pour un pouvoir exécutif dans la tourmente, plus personne ne parle de la réforme des retraites, sujet qui monopolisait le monde politico-syndical et les médias dans le « monde d'avant ». Il est vrai qu'après une hécatombe de dizaines de milliers de trépassés, en particulier dans les EHPAD, les cyniques pourraient en conclure que la cessation du paiement de toutes ces pensions se révèle une manne inespérée pour renflouer les caisses de retraite. Bien entendu, aucun politicien ne serait assez vil pour se réjouir de cette situation, ce n'est pas le genre de la maison, n'est-ce pas ?
Dans le monde post-coronavirus, qu'est-ce qui pourrait bien changer pour améliorer le sort des Français ? En tout premier lieu, il sera indispensable de réformer de fond en comble notre système de santé publique en cessant de le vouloir rentable. Les timides déclarations d'intention balbutiées ici et là, surtout sous l'effet de la panique et de la crainte d'une contamination générale, iront-elles jusqu'à la concrétisation d'une relocalisation de nos industries stratégiques, notamment celle du secteur pharmaceutique, sur le territoire national ? Ce serait un bon début et d'excellent augure en faveur de l'emploi au sein de l'Hexagone. Mais gardons-nous de tout optimisme béat car nous sommes encore loin d'une prise de conscience collective qui nous permettrait de recouvrer notre souveraineté industrielle, bradée depuis si longtemps par les adeptes de l'économie de marché mondialisée et du capitalisme dérégulé.
Tiens, bercé par une fugace brise d'espoir, je me surprends à imaginer « un monde nouveau » dans lequel les otaries cesseront d'applaudir dans l'encadrement de leur hublot et feront une nageoire d'honneur à leur dresseur afin de prendre leur destin en main. Le jour où les Français déconfinés en auront ras-le-masque d'être déconfits au lendemain de chaque élection, cela pourrait bien être le début de la déconfiture de ceux qui n'ont jamais régné autrement que grâce à des promesses jamais tenues...
---oooOooo---
Si vous avez apprécié ce billet, n'oubliez pas de lire (ou de relire) : LA CANICULE RECULE, LES P'TITS VIEUX SE REMPLUMENT ET BUZYN SE CONGRATULE !
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supazena · 4 years
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Vie privée : Les meilleurs VPN pour 2020
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Il existe plus d'un millier de services VPN (gratuits et payants) qui vont et viennent. Tous se ressemblent, se ressemblent, offrent les mêmes fonctionnalités et promettent de garder votre connexion complètement sécurisée et anonyme.
Mais comment trouver le meilleur VPN ?
Avec autant de critiques biaisées sur les VPN qui remplissent le web, il peut être difficile de discerner la réalité de la fiction axée sur le profit. Nous avons testé et examiné plus de 70 services VPN populaires à ce jour. Chaque critique contient des informations générales sur le VPN, un examen approfondi, un test de vitesse et des contre-propositions. Voici les facteurs les plus importants d'un VPN que nous avons comparés : Vitesse de téléchargement Protection de la vie privée et dispositifs/lois de sécurité Compétence et politique d'exploitation forestière Torrent et disponibilité de Netflix Utilisabilité et soutien Coût
Les meilleurs VPN pour la protection de la vie privée et la sécurité en ligne
Les meilleurs VPN ne gardent aucune trace des sites web que vous visitez ou des fichiers que vous téléchargez. Ils masquent votre adresse IP à un prix abordable. Et ils offrent des tonnes de serveurs sans restriction dans le monde entier pour que vous puissiez diffuser du contenu Netflix en continu ou utiliser le torrent librement.
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Sans plus attendre, voici les 10 meilleurs VPN en 2020 : 1. VPN Nord - Le meilleur VPN "tous azimuts" (3,10 $/mois) NordVPN est basé au Panama, et c'est l'un des systèmes VPN les plus sûrs que vous puissiez espérer rencontrer. C'est pourquoi il a toujours été notre service le mieux coté. Le nombre de serveurs du NordVPN est énorme, avec plus de 5 600 serveurs répartis dans 60 pays différents. C'est la liste de serveurs la plus complète que nous ayons jamais vue parmi nos fournisseurs de VPN. Le NordVPN prend la sécurité au sérieux. Ils ont un service qu'ils appellent "Double VPN". Cette fonction prend deux serveurs différents et les combine en un seul pour un cryptage double et une connexion ultra-sécurisée. Leurs applications VPN conviviales sont entièrement équipées d'un bouton d'arrêt d'urgence pour empêcher que vos données ne tombent entre de mauvaises mains. L'entreprise est située à Panama City. Croyez-le ou non, l'emplacement est important lorsqu'il s'agit de choisir un VPN. La législation sur la protection de la vie privée varie d'une région à l'autre, et il se trouve que la ville de Panama se trouve dans un territoire favorable à la protection de la vie privée. Certains fournisseurs de VPN sont connus pour conserver des journaux de vos activités (comme les adresses IP ou les horodatages). Ce n'est pas le cas du NordVPN. Les agences gouvernementales peuvent utiliser ces informations pour suivre votre activité, et c'est donc une bonne chose que notre service VPN numéro un soit anonyme. Ils ont également excellé dans notre série de tests pratiques. On peut affirmer sans risque que la connexion est solide comme le roc, car aucune fuite (pas d'IP/DNS/WebRTC) n'a été trouvée. Le service fonctionne également bien avec le torrenting et le contournement des géo-restrictions de certains sites comme Netflix. Cinq des six serveurs que nous avons testés ont réussi à débloquer Netflix. Vous pouvez connecter jusqu'à six appareils simultanément sur presque toutes les plateformes imaginables, y compris Android, ChromeOS, iOS, Windows, Mac, Linux, ou même votre routeur. Un engagement de 3 ans permettra également de réduire le coût de 11,95 $/mois à seulement 3,10 $. Seul inconvénient ? Les réductions ne fonctionnent qu'avec des abonnements plus longs. Heureusement, ils bénéficient de la garantie de remboursement de 30 jours "sans questions". 2. Surfshark - Le meilleur VPN "bon marché" (1,99 $/mois) Surfshark compte plus de 1000 serveurs dans 60 pays différents. De plus, Surfshark propose certaines des options de cryptage et de protocole les plus performantes du moment. Il utilise le protocole AES-256-GCM sur OpenVPN et IKEv2/IPSec. Surfshark est l'un des VPNS les plus performants pour débloquer Netflix. Nous avons testé six serveurs différents pour voir comment ils fonctionnaient avec le premier service de streaming au monde et chacun d'entre eux a fonctionné parfaitement. Ses applications sont équipées d'avantages respectueux de la vie privée, comme un interrupteur pour protéger votre véritable IP contre les fuites, ainsi que Multihop. Ils proposent également un service appelé Whitelister. Celui-ci vous permet de sélectionner un certain nombre de sites web qui pourront contourner le tunnel VPN et fonctionner à partir de votre adresse IP normale. Si vous essayez d'accéder à vos informations bancaires alors que vous êtes connecté à un serveur situé à l'autre bout du monde, votre institution financière signalera probablement l'activité et vous verrouillera votre compte. Avec Whitelister, vous pouvez éviter ces problèmes et accéder à vos données sensibles sans avoir à vous déconnecter du service VPN. Surfshark est également l'un des rares fournisseurs que nous avons vus à offrir des connexions illimitées aux appareils. Cela signifie qu'il n'y a pas de plafond artificiel qui vous obligerait à acheter plus d'un compte. Le torrenting et le P2P sont entièrement autorisés. L'application est très légère et simple à utiliser. Le service est disponible pour presque tous les appareils utilisés aujourd'hui. Vous pouvez l'utiliser sur Windows, Mac, Linux, iOS et Android. Nous avons soumis Surfshark à six tests de fuite différents et nous n'avons trouvé aucune fuite. La fonction "Mode camouflage" de Surfshark les rend également uniques par rapport aux autres VPN. Lorsqu'il est activé, le mode "Camouflage" rend votre utilisation d'un VPN si furtive que même votre FAI ne pourra pas dire que vous utilisez un VPN. Enfin, le prix que vous payez pour un plan de deux ans est le moins cher que nous ayons trouvé. Avec un engagement de 24 mois, vous ne payez que 1,99 $ par mois. C'est le prix le plus abordable qui soit. Si vous n'aimez pas le service, il existe une option de garantie de remboursement de 30 jours. Cependant, aucun service VPN n'est parfait à 100 %. Les vitesses n'ont pas été constantes lors de nos tests, et leur réseau de service est nettement plus petit que celui de nombreux concurrents. 3. ExpressVPN - Meilleure performance de streaming (6,67 $/mois) Créé en 2009 et situé dans les îles Vierges britanniques, ExpressVPN est un service VPN très populaire, et pour cause. Il défie constamment le NordVPN pour obtenir le premier créneau VPN. Un abonnement ExpressVPN vous donne accès à plus de 3 000 serveurs rapides situés dans 160 villes différentes dans 94 pays. Ce VPN offre une pléthore de protocoles (OpenVPN, IPSec & IKEv2, entre autres) tous équipés des dernières et des plus grandes normes de cryptage (AES-256). ExpressVPN est donc parfait pour presque tous les appareils. Chaque ville disposant d'un serveur ExpressVPN vous offre diverses options en matière de normes de sécurité. Il existe six normes différentes, mais elles ne sont pas toutes disponibles dans toutes les villes. Nous n'avons pas trouvé de fuites d'IP, de DNS ou de WebRTC, et leurs fichiers d'installation étaient exempts de logiciels malveillants ou de virus. L'application ExpressVPN est non seulement facile à utiliser, mais elle est également dotée d'un interrupteur intégré qui met automatiquement fin à votre session en cas de violation de la sécurité. Leur politique d'absence de connexion signifie vraiment qu'aucune connexion n'est nécessaire. De plus, leur localisation dans les îles Vierges britanniques les place en dehors de tout accord de partage de renseignements. Le torrent et Netflix fonctionnent tous deux sans problème, sans sacrifier les performances ou la vitesse. En fait, c'est l'un des VPN les plus rapides que nous ayons examinés à ce jour. Le seul inconvénient ? Il est un peu coûteux. Les plans mensuels proposés par ExpressVPN commencent entre 6,67 et 12,95 dollars par mois. Le prix de 6,67 $ nécessite un abonnement de 15 mois, et s'accompagne de trois mois gratuits. C'est un petit prix à payer pour d'excellentes performances dans presque toutes les catégories. ExpressVPN est confiant dans la qualité du service, offrant une garantie de remboursement de 30 jours aux utilisateurs qui ne sont pas satisfaits du service fourni. 4. PerfectPrivacy - Connexions illimitées (8,95 $/mois) Vous savez exactement ce que vous obtenez d'un produit appelé "Perfect-Privacy". Leur politique d'exploitation forestière est légitime : Aucune de vos données personnelles n'est surveillée ou stockée. Perfect-Privacy offre également une connexion sans fuite grâce au meilleur cryptage AES-256 et aux options de protocole qui incluent OpenVPN, IPSec et SSH. Mais le meilleur ? Des connexions illimitées. La plupart des autres concurrents n'autorisent qu'une petite poignée de connexions, comme trois à cinq appareils à la fois. Cela signifie que vous pouvez connecter tout ce qui fonctionne sous Windows, Linux, Mac, iOS, Android, IPTV, ou même des routeurs. Cela pourrait aussi être parfait pour les équipes ou les organisations. Le torrenting est autorisé sur la plupart des serveurs. Il existe un certain nombre de serveurs qui bloquent l'accès P2P. L'utilisation de Tor est également permise lorsque l'on utilise Perfect-Privacy. Netflix a fonctionné sur un des cinq serveurs que nous avons essayés (un au Royaume-Uni). Il y avait cependant quelques inconvénients. Les vitesses étaient moyennes, pas aussi rapides que certaines de nos autres options. Ils sont sous la juridiction de la Suisse, ce qui est généralement bon pour la vie privée (et les logs). Cependant, ils sont connus pour coopérer avec les pays sous la juridiction des cinq yeux. Enfin, la liste de leurs serveurs n'est pas très impressionnante. Perfect-Privacy ne compte que 58 serveurs dans 26 pays seulement. C'est très peu par rapport à la plupart de nos meilleurs VPN. Un autre inconvénient de ce service est son prix. Alors que la plupart de ses principaux concurrents maintiennent leurs prix relativement bas, le coût mensuel de 8,95 à 12,99 dollars pour Perfect-Privacy se situe dans la partie supérieure du spectre. (Bien qu'il semble bien meilleur lorsque vous pouvez connecter des dizaines d'appareils.) Il y a eu un certain mouvement positif à cet égard. Les abonnements mensuels coûtaient 14,75 $ à une époque et ont récemment été ramenés à 12,99 $. Vous pouvez toujours les essayer, car ils vous rembourseront dans les 7 jours suivant votre abonnement si vous n'êtes pas satisfait du service. 5. IPVanish - Sécurisé et rapide, basé aux États-Unis, pas de support en direct (6,49 $/mois) Avec IPVanish, les clients ont accès à plus de 1 300 serveurs situés dans 75 endroits différents dans le monde. Tous les principaux protocoles de sécurité sont pris en charge par ce VPN. Ils utilisent un cryptage AES-256 de qualité bancaire qui garantit que personne ne pourra vous suivre. IPVanish peut être utilisé sur un maximum de cinq appareils Windows, Mac, iOS ou Android à la fois. Ils offrent également jusqu'à 10 connexions simultanées. Aucune limite n'est imposée aux connexions de serveur ou à la bande passante. Netflix a fonctionné sur l'un des quatre serveurs que nous avons testés. Alors qu'ils se vantent d'être le VPN le plus rapide au monde sur leur site web, nous les avons classés en 26e position sur notre liste de vitesse. C'est le résultat de plus de 78 évaluations jusqu'à présent. C'est toujours une excellente vitesse, dépassant celle de plus de 50 autres services. Voici quelques-unes des plus grosses arnaques que nous avons constatées. La tarification d'IPVanish est légèrement plus élevée pour certains de ses plans à long terme que pour d'autres services de même taille. Ils se situent entre 6,49 $ et 10 $ par mois. Leurs prix étaient auparavant supérieurs à 10 $ par mois sans période d'engagement, nous sommes donc heureux de constater qu'ils vont dans la bonne direction. Sur une note plus réjouissante, ils offrent une garantie de remboursement de 7 jours, ce qui vous permet de les tester et, si vous n'aimez pas le service, de demander un remboursement. Ils ne soutiennent pas Tor et découragent le torrent, alors ne comptez pas sur eux non plus. Leur service client n'était pas fiable pendant nos tests. Ils sont également situés dans une juridiction favorable à Five Eyes, ce qui signifie que les autorités peuvent demander vos informations personnelles et les partager entre les États-Unis, le Royaume-Uni, le Canada, la Nouvelle-Zélande et l'Australie. Read the full article
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christophe76460 · 2 years
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3-LA FIDÉLITÉ PAIE
QUAND UN LION DEVIENT VOTRE OREILLER
LA FORCE DE LA FIDÉLITÉ OUVRIRA MÊME LA PORTE À DIEU POUR VOUS PROTÉGER.
Le Psaume 31:23 dit : "Le Seigneur garde les fidèles". La fidélité vous aidera à fermer la porte au diable dont le but est de voler, tuer et détruire. Elle vous gardera en sécurité, même au milieu d'un monde dangereux.
Vous pouvez voir un bon exemple des récompenses de la fidélité en examinant la vie d'un autre saint de l'Ancien Testament, Daniel. Il était l'un des hommes les plus fidèles de la Bible. À l'adolescence, comme Joseph, il a été arraché à sa patrie et emmené en captivité à Babylone. À son arrivée, il a d'abord travaillé comme serviteur dans le palais du roi. Il a été si fidèle à ce poste qu'il n'a cessé d'être promu, jusqu'à ce qu'il devienne l'un des trois présidents qui régnaient directement sous le roi de Babylone !
Après avoir occupé ce poste pendant un certain temps, Daniel a été promu à un poste encore plus élevé. - Parce qu'il était animé d'un excellent esprit - ( Daniel 6:3), le roi décida de le placer à la tête de tout le royaume. Les deux autres présidents ont été jaloux lorsque Daniel a obtenu cette promotion. Ils n'aimaient pas le fait qu'il soit plus haut placé qu'eux, alors ils ont entrepris de le miner et de le détruire.
— Voir Daniel 6:4-5.
Imaginez un homme politique si intègre que personne ne peut déterrer la moindre saleté à son sujet ! Imaginez une personne de pouvoir exerçant une fonction publique qui soit si honnête, si droite et si fidèle à ses responsabilités que personne ne peut lui reprocher quoi que ce soit. C'est le genre de personne qu'était Daniel. Même ses pires ennemis, malgré tous leurs efforts, n'ont pas pu trouver la moindre saleté à utiliser contre lui.
Alors, qu'ont-ils fait ? Sachant que Daniel priait fidèlement Dieu trois fois par jour, ils ont élaboré un décret qui rendait ces prières illégales. Puis ils sont allés voir le roi et le lui ont présenté.
—VOIR DANIEL 6:6-10
N'est-ce pas incroyable ? Même sous la menace de la mort, Daniel a continué à être aussi fidèle que jamais. Il n'a pas décidé de ne pas prier pendant les 30 jours suivants. Il n'a même pas essayé de garder ses prières secrètes en fermant ses fenêtres et en priant silencieusement là où personne ne pouvait entendre. Non, Daniel allait honorer Dieu quoi qu'il arrive. Fosse aux lions ou pas, il allait continuer à faire exactement ce qu'il avait toujours fait, car c'est ce que Dieu lui avait dit de faire.
Les ennemis de Daniel, bien sûr, ont rapporté son comportement au roi et ont exigé que Daniel soit donné en pâture aux lions. Le roi était très mécontent de lui-même, car il aimait vraiment Daniel, mais il ne pouvait trouver aucun moyen légal de contourner la situation. Il avait signé une loi, la rendant irrévocable, et maintenant il fallait l'appliquer.
— VOIR DANIEL 6:16-23.
Avez-vous déjà vu une peinture représentant ce à quoi aurait pu ressembler Daniel dormant dans la fosse aux lions ? J'en ai vu une il y a quelques années qui m'a impressionné. Elle montrait les lions rassemblés paisiblement autour de Daniel, et il posait sa tête sur l'un d'eux, comme s'il s'agissait d'un oreiller. J'aime cette image ! Elle montre ce que je crois être la vérité : Daniel a mieux dormi dans la fosse aux lions cette nuit-là que le roi dans son palais !
Pourquoi Daniel pouvait-il dormir si profondément ? Il était en paix ! Il savait qu'il avait été fidèle à Dieu, et il avait confiance qu'en cas de danger, Dieu lui serait fidèle.
En effet, non seulement Dieu a fait sortir Daniel indemne de la fosse aux lions, mais il a fait en sorte que les tables soient retournées contre les ennemis de Daniel, afin qu'ils ne puissent plus jamais essayer de lui faire du mal :
— Voir Daniel 6:24-28
GLORIA COPELAND
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