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#Ciel (module)
strangedark · 1 year
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Icons over the years, 2014~2018.
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hxneylavendxr · 2 years
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i always have the module set to ciel len in romeo & cinderella in project diva and i ended up with len in the center for romeo & cinderella in sekai just now cuz challenge show and it made me smile i looove to see my little guy
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les-portes-du-sud · 1 year
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A la Femme aimée
Renée Vivien
Lorsque tu vins, à pas réfléchis, dans la brume,
Le ciel mêlait aux ors le cristal et l’airain.
Ton corps se devinait, ondoiement incertain,
Plus souple que la vague et plus frais que l’écume.
Le soir d’été semblait un rêve oriental
De rose et de santal.
Je tremblais. De longs lys religieux et blêmes
Se mouraient dans tes mains, comme des cierges froids.
Leurs parfums expirants s’échappaient de tes doigts
En le souffle pâmé des angoisses suprêmes.
De tes clairs vêtements s’exhalaient tour à tour
L’agonie et l’amour.
Je sentis frissonner sur mes lèvres muettes
La douceur et l’effroi de ton premier baiser.
Sous tes pas, j’entendis les lyres se briser
En criant vers le ciel l’ennui fier des poètes
Parmi des flots de sons languissamment décrus,
Blonde, tu m’apparus.
Et l’esprit assoiffé d’éternel, d’impossible,
D’infini, je voulus moduler largement
Un hymne de magie et d’émerveillement.
Mais la strophe monta bégayante et pénible,
Reflet naïf, écho puéril, vol heurté,
Vers ta Divinité.
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elcoco005 · 2 years
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Did someone say light Pendranièvre smut 👀 ?
Pour le contexte : CD où Guenièvre a accompagné Arthur jusqu'au phare
Enjoy 💗
Un fol instant
Le phare trembla.
L’histoire de quelques secondes pas plus, ses pierres chancelèrent, la porte vibra et le bois grinça sous les lourdes secousses.
Les yeux maintenant ouverts, le regard d’Arthur se porta en haut du phare où le feu brûlait toujours ardemment dans le ciel oscillant entre une teinte émeraude et turquoise. Dehors il y avait des bourdonnements de voix et Arthur se demanda même si père et fils pêcheurs s’étaient enfin retrouvés.
Il tira sur le fin tissu qui lui servait de couverture pour la nuit et en recouvrit ses épaules, passa ses jambes hors du hamac, puis s’engagea prudemment vers la sortie
Par les fentes de la porte l’air glacial se faufilait à l’intérieur et celle-ci vibrait sous les bourrasques du vent marin. Arthur y posa sa main ornée d’une bague du passé. On ne pouvait plus s’y méprendre, les voix dehors étaient des rires d’enfants. Arthur laissa sa main glisser contre le bois sombre et pendant un terrifiant instant, ses doigts tremblèrent contre le loquet.
Il l’ouvrit.
Sur le ponton, l’air brûlait sa peau et engourdissait ses doigts cramponnés autour de sa couverture. Chaque respiration le frigorifiait de l’intérieur, le vent furieux balayait ses mèches de son visage et les vagues remuaient et s’écrasaient contre la pierre en de violents éclats.
Mais le ponton était vide, la mer se déchaînait sans aucun marin pour en subir ses foudres, pourtant les rires persistaient, fusaient et se mélangeaient. Les enfants riaient et criaient avec la mer.
Ils l’appelaient. Sa voix tremblante se perdait dans la bourrasque.
Arthur s’avança, appelant à son tour. Soudainement protecteur, soudainement père. La voix de Merlin s’éleva, puis celle d’Anton, rassurante et réconfortante, puis un rire familier s’éleva soudainement à son tour et Arthur frissonna en le reconnaissant. Il aurait pu la reconnaître entre mille cette voix chaude, pénétrante et rocailleuse qui l’avait inspiré, guidé et tant appris. César.
Ses pères. C’était tous les pères de sa vie qu’il entendait. Ceux qu’il avait eus, ceux qu’il avait perdu et celui qu’il avait été – en quelque sorte - pour son royaume pendant des années. Il frissonna, sa fine couverture ne servant plus contre les coups de fouets glacials des bourrasques.
Les vagues se déchaînaient et s’entrechoquaient à présent, elles prenaient des hauteurs monstrueuses. Arthur les regardait, effaré. Elles pourraient engloutir le phare. Le vent et l’eau s’y abattaient et à son sommet le feu continuait de brûler. Les rires se faisaient plus lointains. Arthur appela à nouveau, se détourna puis se retourna abruptement vers le phare quand une pensée effroyable l’envahit.
Guenièvre était encore à l’intérieur.
Il regarda alors les vagues qui se dressaient en riant, prises d’incontrôlables soubresauts comme si elles avaient entendu la meilleure blague de l’Empire celte. Leurs voix empruntaient mille et une modulations, tantôts rauques, tantôt cristallines, tantôt enfantines se masquant en des rires d’enfants pour mieux l’attirer, pour mieux l’attraper.
Elles prenaient une allure démonique.
Arthur se précipita vers la porte, mais avant qu’il ne puisse l’atteindre la mer les engloutit, le ponton, le phare et Guenièvre avec.
_______
Arthur manqua de les faire basculer du hamac en se redressant aussi violemment qu’il le fit et Guenièvre poussa un petit cri de surprise et s’accrocha à lui par réflexe.
Il prit lentement conscience d’où il se trouvait, des petites mains de Guenièvre agrippées à ses manches, du contraste entre sa peau blanche et le noir de sa tenue. Il frissonna alors que son corps essayait de se débarrasser des derniers vestiges de son rêve.
« Bon dieu, mais à quoi rêviez-vous ? » Guenièvre lui demanda une fois qu’ils furent tous les deux stables, « Ça fait dix minutes que je vous secoue comme une salade pour vous réveiller »
« …À rien. Dormez. » Il répondit lentement pour chasser la peur étreignant ses entrailles.
Il repoussait Guenièvre comme toujours. L’habitude était encrée chez lui comme un réflexe auquel on n’accorde aucune attention.
Guenièvre le scruta de ses yeux emplis de bienveillance et d’inquiétude et une colère sourde et inexplicable monta en lui. Il serra les dents, sachant que si il se laissait aller il allait commencer à lui crier dessus. Il ne supportait plus sa gentillesse ni son amour.
L’amour que Guenièvre lui portait était devenu une torture pour lui, il aurait préféré qu’elle réponde à ces années d’abus, d’insultes et d’humiliation avec de la haine, il savait gérer la haine. Celle de sa mère, celle de Mevanwi, celle de Lancelot. L’amour, en revanche, pas tellement.
De toute façon l’amour n’avait jamais été suffisant ni au bonheur ni à la paix d’esprit ni à quoi que ce soit. C’était une leçon qu’il avait apprise tôt et qu’il avait réapprise encore et encore tout au long de sa vie.
Il l’avait appris recroquevillé en boule dans un coin du dortoir dans un pays étranger, seul, perdu, souffrant, le pied rougi et le cœur meurtri, appelant, nuits après nuits, Anton, Merlin et Vivianne sans jamais que qui que ce soit ne lui réponde à part le silence.
Il l’avait réappris lorsqu’il s’éloignait des côtes mauritaniennes par la mer, l’odeur de Shedda chatouillant encore ses narines et le regard de Furadja gravé dans son esprit.
Il l’avait appris quand Aconia avait jeté sa robe à ses pieds.
Il l’avait appris quand le soleil se couchait dans le ciel ensanglanté de Rome et que le souvenir des poignets en sang de César et des derniers mots de Mani étaient encore frais.
Il l’avait appris quand Lancelot lui avait tourné le dos et quand il avait dû renoncer à Mevanwi.
L’amour, ce n’était jamais assez.
Mais sa femme à lui, elle ne se déterrait pas ni face à ses peurs ni face à ses secrets. Elle continuait de prendre soin de lui, de lui sourire, de le soutenir, de prendre ses mains dans les siennes, les porter à sa bouche et exhaler dessus pour les réchauffer du froid printanier des routes, le soir. Elle avait toujours été prête à lui donner cet amour dont il avait cruellement eu besoin, mais fidèle à son passé ça n’avait pas été assez pour Arthur
Elle n’avait même pas 20 ans quand elle s’était retrouvée avec le poids de cette alliance politique sur le dos. Elle avait des rêves plein les yeux et de la romance plein le cœur et oh comme il lui en avait voulu.
Il était rentré de Rome magané, abattu et furieux contre la Bretagne et tous ceux qui s’y trouvaient. Il en voulait au ciel et à la terre, aux dieux comme à lui-même.
Il en avait voulu à tous et à elle particulièrement. Comme si elle avait été responsable de ce mariage et de son malheur.
Il lui en avait injustement voulu et il lui avait fait payé.
Des larmes se mirent à dévaler ses joues avant qu’Arthur ne puisse les arrêter ou même s’en rendre compte.
« Venez-ici, » Guenièvre susurra et la tête d’Arthur tomba lourdement sur son épaule. Il ne méritait pas cette étreinte, il ne méritait pas cet amour et cette femme. Il ferma violemment les yeux alors que les flammes de sa culpabilité lui léchaient les entrailles. Un sanglot déchirant s’arracha de sa gorge et l’étreinte de Guenièvre se resserra.
Plus elle l’aimait et plus il avait mal.
« Vous n’êtes pas seul. » Guenièvre chuchota contre son oreille. « Je ne vous laisserai jamais seul. »
Une tristesse abominable déformait sa voix, comme si elle savait déjà que ce ne serait pas assez pour lui. Après tout c’est bien ce qu’il lui avait fait comprendre toutes ces années, qu’elle n’était pas assez, qu’elle n’était rien, qu’il ne l’aimait pas.
Alors pourquoi était-elle encore à ses côtés, pourquoi continuait-elle d’apporter le peu de lumière qui lui restait dans sa vie ?
Pourquoi elle lui restait aussi loyale alors que lui avait choisi de rester loyale à une autre avant même que leur union ne soit prononcée ?
Cette loyauté qu’il avait exigée de ses chevaliers, des chefs de clans, des seigneurs bretons, des paysans autant que des nobles, c’est elle qui la lui offrait véritablement.
Car Guenièvre n’était ni loyale au roi ni à l’élu des dieux mais bien à lui, Arthur.
C’était elle sa seule constante, la seule à ne jamais avoir voulu l’abandonner jusqu’à ce qu’il ne lui laisse plus le choix. Elle avait toujours été plus qu’assez, c’est lui qui avait tout foiré parce qu’il avait toujours eu besoin d’elle et qu’il n’avait jamais autant eu besoin d’elle, mais il avait trop longtemps laissé pourrir tout ce qui aurait pu éclore entre eux.
Il avait ruiné à lui seul tout ce qui aurait pu être beau, lumineux et coloré dans sa vie, dans leur vie à tous les deux.
« Pardon, pardon, pardon, pardon » il répétait comme un mantra contre son épaule entrecoupé par ses sanglots et c’était peut-être le rêve ou peut-être l’épuisement de ces derniers jours mais il n’arrivait à plus à se contenir.
Avec du recul, ce qui sortait de sa bouche ne devait pas être hyper sensé pour Guenièvre mais elle restait abominablement tendre avec lui, comme si elle était consciente de l’importance du moment.
Elle continuait de lui déverser cette tendresse et cet amour inconditionnel qu’il n’avait jamais appris à gérer.
« Ça n’a plus d’importance, pitié ne pleurez pas comme ça » elle disait, puis « ça me tord le ventre de vous voir comme ça, je vous en prie calmez-vous… » et « qu’est-ce que je peux faire, dites-moi ce que je peux faire » elle demandait ; mais Arthur avait juste envie d’hurler sa souffrance qui l’écorchait à vif.
Et complètement désemparée et paniquée, Guenièvre continuait :
« Je peux vous rendre heureux, si vous me donnez une chance. Je vous le jure, laissez-moi essayer, » elle murmurait, suppliait presque. « Je pourrais vous les faire, moi, ces enfants. »
Ces mots eurent l’effet escompté et tout s’arrêta.
Arthur releva lentement son visage rouge et essuya ses yeux boursouflés d’un revers de manche pour la dévisager.
« Ne…Ne dites pas des choses comme ça. »
« Quoi, vous croyez que je vous dis ça en l’air après avoir vu tout ce que ça représentait pour vous ? » Guenièvre s’agitait et il pouvait voir les premiers signes de colère dans son regard.
« Non, je sais que vous êtes sérieuse mais je vous répète : ne dites pas des choses comme ça » Arthur articula les derniers mots sans jamais la lâcher du regard. Il respirait fort et pouvait à nouveau sentir cette colère enfouie au fond de lui monter à la surface.
« Et pourquoi, parce qu’il n’y a que vous qui peut se sacrifier, c’est ça ? C’est vous le martyr et personne d’autre ? »
Ils se défiaient du regard dans ce petit hamac, plus proches qu’ils ne l’avaient jamais été et il avait presque oublié ces derniers jours cette capacité unique de Guenièvre à le faire sortir de ses gonds en moins de deux.
« Ça suffit. »
« Non ! » Elle gronda « je suis celle qui vous voit dépérir à petit feu depuis des années et en plus maintenant je dois regarder ça sans rien dire et sans rien faire ? Je vous emmerde. »
Et Arthur ne voulait pas entendre, n’était pas capable d’entendre cette vérité alors il ne trouva pas d’autre moyen pour la faire taire que de l’embrasser. Il fondit sur ses lèvres et les dévora, la dévora. Il était glouton maintenant qu’il se laissait aller à Guenièvre.
C’était son premier baiser et Arthur n’était pas tendre, pourtant les lèvres de Guenièvre se mouvaient contre les siennes magnifiquement et elle le tenait dans ses bras comme elle l’avait toujours fait, elle le protégeait et l’enlaçait. Elle lui tenait chaud. Guenièvre trembla un peu d’abord puis fut prise de frissons incontrôlés, ses respirations se coupaient et s’entrechoquaient, rappelant un peu à Arthur celles d’une personne qui suffoquerait. Une des mains d’Arthur s’agrippa à sa nuque blanche tandis que l’autre descendit lentement dans le creux de sa hanche. Guenièvre s’allongea, le tirant avec elle.
Le hamac tangua, ses filets les collant et les enserrant.
Leurs corps se découvraient enfin et dansaient parfaitement l’un contre l’autre. Les mains de Guenièvre s’enfouirent dans les boucles noires d’Arthur tandis que ses longues jambes remontèrent doucement le long des côtes d’Arthur, laissant sur leur chemin une étrange et agréable sensation de brûlure.
Une de ses mains toujours accrochée à la nuque de Guenièvre, il caressa de ses longs doigts la joue glacée de Guenièvre en un mouvement circulaire et cruellement tendre. Elle blottit sa joue contre sa peau et déposa une myriade de petits baisers humides contre sa paume. Elle releva son regard fiévreux pour se perdre dans la noirceur de ses yeux.
Les lèvres d’Arthur délaissèrent la bouche de Guenièvre pour se poser à la commissure de ses lèvres gonflées puis suivirent le contour de sa mâchoire et, dans le silence presque révérencieux entrecoupé par leurs soupirs et leurs respirations, Guenièvre n’émettait que des petits râles de bonheur.
Collé contre elle dans ce phare glacé, le corps d’Arthur le brûlait et le sexe d’Arthur, jusqu’à là oublié, remua paresseusement entre ses cuisses. Ses lèvres continuaient de descendre encore et encore jusqu’à ce qu’il embrasse le tissu humide recouvrant le creux entre ses deux seins. Là, il releva ses yeux vers elle et malmena ses lèvres, tiraillé, hésitant.
« Est-ce que…? » Il commença incertain comme il l’avait rarement été auparavant avec une femme. « Qu’est-ce que…Qu’est-ce que je peux avoir ? »
Il n’avait pas anticipé que sa voix sonnerait aussi fragile et tremblante en posant cette question et tenta de se racler la gorge, mais en dessous de lui Guenièvre lâcha ses boucles noires pour encadrer son visage de ses mains et plongea son regard noisette dans le sien plus sombre que le ciel des nuits d’hiver.
« Tout ce que vous voulez, vous le savez bien… » Elle soupira, inconsciente de la puissance de ses mots.
Arthur frissonna. Si elle était sa reine, il n’était plus qu’un autre de ses sujets obligé par serment de la servir comme elle l’exigeait et Arthur n’avait jamais voulu se soumettre à qui que ce soit autant qu’il voulait l’être à elle à cet instant précis.
Il s’arracha donc à sa tâche et scella à nouveau leurs bouches, impatient. Il n’entendait plus rien sauf ses gémissements, ne goûtait plus rien sauf ses lèvres, ne sentait plus rien sauf son odeur fruité. Tous ses sens ne criaient que Guenièvre, Guenièvre, Guenièvre et son sexe se réveilla abruptement, engorgé et douloureux, prêt pour elle, uniquement pour elle.
Et Arthur aurait aimé prendre le temps d’aller doucement avec elle, de lui faire découvrir les choses de l’amour correctement, adéquatement comme elle le mériterait mais leurs sexes se rencontrèrent brusquement dans un crépitement électrique qui se faufila dans chaque parcelle de leur corps. Il poussa un grondement rauque contre la bouche de Guenièvre au même moment où elle cria son nom.
Et le peu de contrôle qu’il avait réussi à maintenir jusqu’à présent s’évapora en quelques secondes seulement. Ils s’agitèrent l’un contre l’autre, recherchant plus de sensations, plus de frictions et les couches de vêtements qui les séparaient de la peau de l’autre devenaient simplement une torture. Tantôt leurs langues dansaient l’une contre elle, tantôt leurs dents se cognaient, il n’y avait plus rien de tendre, plus rien de doux il ne restait qu’une animalité incontrôlée.
Mais Guenièvre ne savait pas, elle ne pouvait pas savoir l’importance de ce qu’il était en train de faire, de ce qu’il était en train de laisser aller, de ce qu’il était en train de lui dire sans mots à cet instant et c’était tout bonnement inacceptable. Alors Arthur, les mains violemment agrippées aux cuisses de Guenièvre la redressa et l’assit sur lui tandis qu’elle entoura son cou de ses bras.
Il posa son front contre le sien et ferma les yeux, les mots qu’il voulait désespérément lui dire coincés dans sa gorge. Ils tournoyaient, s’épaississaient, l’étranglaient.
Mais Guenièvre saisit son menton, le forçant à ouvrir les yeux, le forçant à la regarder. Elle sifflait à travers ses dents et ses paupières papillonnaient mais son regard embrumé par le désir ne le quittait pas.
Ils se regardèrent alors silencieusement, continuant de remuer paresseusement leurs deux bassins ensembles. Leurs souffles se mélangeaient, leurs pensées se mêlaient.
« Dites-le moi. » Guenièvre murmura et les mots mourraient dans son souffle court et l’air était étouffant. « Dites-moi ce que vous voulez me dire. »
Arthur secoua lentement tête, ses yeux s’embuant de larmes. Il n’était plus capable d’aimer, il en avait perdu la capacité quelque part entre les côtes d’Afrique et celles d’Italie. Il ne pouvait pas, il ne pouvait pas, il ne pouvait plus…
…Mais il avait privé Guenièvre de tellement de choses au fil des années, s’il y avait une chose qu’il ne pouvait réellement plus faire c’était de laisser leur relation pourrir une nouvelle fois à cause de ses peurs et de ses secrets.
Il l’aimait, il était enfin prêt à l’aimer et elle méritait de savoir.
« Guenièvre… »
Des coups tambourinèrent à la porte et une voix résonna dans le phare.
« C’est vous qui avez demandé un guide ? »
Les deux amants se regardèrent, elle le souffle haché et la peau humide, lui les yeux larmoyants et les lèvres entrouvertes.
« C’est vous qui avez demandé un guide ? »
Est-ce qu'on peut faire tout ça dans un hamac ? Pas sûr.
Est-ce que ça m'arrête ? Clairement pas 😂
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photos-car · 3 months
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the-goth-catte · 8 months
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•|• Goth Night @ Anti-Social Club •|• 10.13.2023
Oriana - Spooky Scary Skeletons Kokushoku Elegy - taiyoume Siouxsie and the Banshees - Spellbound Killing Joke - Eighties Christian Death - Deathwish Siouxsie and the Banshees - Cities in Dust :neoncross: Leather Strip - I Sit On Acid Anders Manga - When The Lights Go Down Minuit Machine - Sisters Switchblade Symphony - Gutter Glitter SITD - Suffering in Solitude VNV Nation - Retaliate Herzschlag - Fest der Liebe Das Ich - Destillat (VNV Nation Mix) Cruxshadows - Marilyn, My Bitterness Dismantled - Breed To Death (Psyclon Nine Remix) Faderhead - Tzdv God Module - Cross My Heart And One - Get You Closer Apoptygma Berzerk - Burnin’ Heretics Combichrist - Enjoy the Abuse Psyclon Nine - Divine Infekt Suicide Commando - Bind, Torture, Kill Freaky Mind - Downs and Downs (Iskin Mix) :neoncross: Assemblage 23 - Human Schaft - Thirsty Fly Ministry - Just One Fix Virgin Prunes - Baby Turns Blue My Life With the Thrill Kill Kult - After the Flesh :neoncross: Alien Sex Fiend - Ignore the Machine Scary Bitches - Lesbian Vampires from Outer Space 45 Grave - Riboflavin Inkubus Sukkubus - Belladonna & Aconite D’espairsRay - Devil’s Parade L’arc-en-ciel - Lost Heaven Dir En Grey - Obscure Hyde - On My Own Buck-Tick - Iconoclasm Skeletal Family - She Cries Alone
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pdj-france · 10 months
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Au petit matin du 27 juillet, le traqueur de rumeurs de Rockstar, Tez2, a rapporté que Rockstar avait soudainement mis à jour sa liste pour "Red Dead Redemption" sur son site. Cela inclut un nouveau logo époustouflant qui se lit comme suit : "Rockstar Games présente Red Dead Redemption". Les fans pensent déjà que cela signifie que Rockstar sort enfin un remasterisateur tant attendu du premier jeu, avec la désignation "Présents" signifiant peut-être que la société a de nouveau autorisé un développeur extérieur à gérer les tâches de remasterisation. Cela aurait du sens, car Rockstar est toujours en plein développement sur "Grand Theft Auto 6". La nouvelle mise à jour du site de Rockstar, en direct il y a une heure, a ajouté une nouvelle référence dans la liste des jeux. "Red Dead Redemption (Rockstar présente la version)" Nom de code : - RDR1RSP (RDR1 Remaster SP ?) Nouveau logo ci-dessous#reddeadredemption pic.twitter.com/MbzmnieMlo – Tez2 (@TezFunz2) 27 juillet 2023 Tez2 a également souligné que la mise à jour du site de Rockstar pourrait également laisser entendre que "Red Dead Redemption" pourrait arriver sur plus de plates-formes que jamais auparavant, bien qu'ils ne puissent pas le dire avec certitude. "C'est un drôle de moment pour le mettre à jour maintenant... Si ce n'est pas pour quelque chose de nouveau ?" écrit Tez2. De plus, Rockstar a inclus RDR1 dans la liste des évaluations des modules de site modernes. Le site RDR1 Original n'utilise pas ces modules. Suggérer une mise à jour du site. PS3, Xbox 360 et Switch ont été récemment ajoutés en tant que boutons de plate-forme (CTA) Vous trouverez ci-dessous un aperçu (non indicatif de la disponibilité de la plate-forme) https://t.co/iVYtJmEmxG pic.twitter.com/Vj2UVVEdo1 – Tez2 (@TezFunz2) 27 juillet 2023 Dans les réponses, l'esprit des fans tourbillonne déjà de possibilités. S'agira-t-il simplement d'un nouveau port ? Un remaster complet ? Peut-être un remake qui combine le gameplay de "Red Dead 1" avec la carte étendue et les graphismes réalistes de "Red Dead 2?" Il semble vraiment que le ciel soit la limite, étant donné à quel point chaque épisode de la série a été impressionnant jusqu'à présent. Si vous n'avez pas suivi de près la lenteur des mises à jour de "Red Dead", cela peut sembler que tout se passe si soudainement. Cependant, les fans attendent des nouvelles concernant un remake ou un remaster de "Red Dead Redemption" depuis quelques années, à ce stade.
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efrost · 1 year
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Floating Photovoltaics (FPV) Market Will Hit Big Revenues In Future | Biggest Opportunity Of 2022
Latest business intelligence report released on Global Floating Photovoltaics (FPV) Market, covers different industry elements and growth inclinations that helps in predicting market forecast. The report allows complete assessment of current and future scenario scaling top to bottom investigation about the market size, % share of key and emerging segment, major development, and technological advancements. Also, the statistical survey elaborates detailed commentary on changing market dynamics that includes market growth drivers, roadblocks and challenges, future opportunities, and influencing trends to better understand Floating Photovoltaics (FPV) market outlook. List of Key Players Profiled in the study includes market overview, business strategies, financials, Development activities, Market Share and SWOT analysis are Ocean Sun AS (Norway)
Yellow Tropus Pvt.Ltd (India)
HelioRec. (France)
Ciel & Terre International (France)
LS ELECTRIC Co., Ltd. (South Korea)
BayWa r.e. AG (Germany)
Waaree Energies Ltd. (India)
Adtech Systems (India)
SolOcean GmbH (Austria) Floating photovoltaics refers to an emerging technology in which a solar photovoltaic (PV) system is placed directly on top of a body of water, as opposed to on land or on building rooftops. It is mounted on a structure floating on a water body, typically a reservoir or a lake. This type of FPV floats on water and an embedded solar tracker follows the sun’s movement and places the solar panel to increase the time of exposure to sunlight and enhance the complete efficiency of the floating photovoltaic system. Key Market Trends: Increasing Adoption Of Clean And Green Energy Sources Such As Floating Photovoltaics Opportunities: Rise in Demand for Solar Energy Consumption and Installation Creating Numerous Opportunities for the Floating Photovoltaics Market Market Growth Drivers: Growing Need for Alternative to Traditional PV
Lack of Land Space Challenges: High cost of installation hindering Floating Photovoltaics Market The Global Floating Photovoltaics (FPV) Market segments and Market Data Break Down by Application (Commercial, Residential, Industrial), Components (Power Converters, Anchoring System, PV Modules, PV Inverter, Others), Photovoltaics Cell (Monocrystalline Silicon, Polycrystalline Silicon, Thin Film)
Presented By
AMA Research & Media LLP
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lakelandg · 1 year
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Duke Energy set to start floating solar array buildout in Florida
Duke Energy Florida has announced that its first floating solar array pilot will begin construction later this month in Polk County, central Florida. A floating solar array on an irrigation pond in Hyogo prefecture, Japan. Credit: Ciel & Terre International The almost 1MW floating solar array will feature more than 1,800 floating solar modules and occupy approximately 2 acres of water surface…
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strangedark · 1 year
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Witch Ciel, 11.13.17 — Witch Strange Dark and Ciel concept, 9.26.17
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Dans le monde du dev’perso, on parle beaucoup de s’écouter, d’être doux.ce avec soi-même, d’honorer ses rythmes… et c’est indéniablement fondamental en effet ! Ceci étant, si cela aboutit à passer plus de temps à regarder le bleu du ciel en rêvant à ta vie qu’à construire cette vie dont tu rêves, il est probable que tu finisses par conclure qu’il y a truc qui cloche chez toi parce que tu ne parviens pas à « manifester tes rêves », « attirer l’abondance » ou « rayonner l’amour ». (Oui celleux qui me suivent depuis un petit moment savent que je kiffe tous ces concepts mais que je le trouve aussi très toxiques selon comment ils sont transmis) Voilà le secret : Rien ne change si rien ne change ! Tu es prêt.e à bouger les choses dans ta vie, enclencher un nouveau rapport aux autres, évoluer professionnellement, faire ce travail sur toi pour y voir plus clair ? Après l’introspection il est impératif de passer à l’action. C’est ce qu’on va faire dans le module 8 de Flow Évolution cette semaine, le programme en ligne que j’ai créé pour sortir du flou et de l’anxiété et développer une vision claire et créative de sa vie. 8 modules sur 2 mois qui changent vraiment ta vie et te permettent de bâtir un socle solide sur lequel élever ta big vision 💫 Tu es prêt.e à passer à l’action ? Mets un 🔥en commentaire. Et si tu as des questions sur comment on fait concrètement je te réponds en MP - - - - - - - - - - Je suis Alexandra, Coach et Thérapeute spécialiste de l’anxiété, créatrice de méditations hypnotiques et Breathwork guide. Je t’accompagne pour te libérer de ce qui te pèse et créer la vie de tes rêves avec sérénité et fluidité. Prends rdv directement dans le lien en bio #choixdevie #doute #développementpersonnel #croyanceslimitantes #travailsursoi #mindsetpositif #croireensoi #croireensesrêves #solopreneure #reussirsavie #positivité #epanouissement #bienetreauquotidien #hypersensible #hypersensibilité #amourdesoi #respirer #meditation #breathwork #therapieholistique #traumas #peurs #anxiété #anxiete #angoisses #gestiondustress #gestiondesemotions #hypnose #hypnocoaching #secomprendre (à Marseille, France) https://www.instagram.com/p/CfGINZxKzbQ/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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kagaminemodules · 4 years
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“Ciel” by E-ri Comatsu
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aisunana · 3 years
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5/28/16
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amia25ji · 2 years
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hi! if its okay, could you do some Len icons with an emphasis on the lime-chartreuse spectrum of color? If you need me to specify, I can send you a color scale of the range i want.
you dont have to make it a gradient, you can just pick one! i happen to love all the colors in that little range equally, so im not too picky.
I'm also not very picky about any modules or appearances, but if i had to choose id prefer ciel and/or stylish energy l.
everything else is completely yours to choose! sorry for the length and strange specificity! i want to be specific because i hear that helps folks really know exactly what theyre gonna make. (spaced out for ease of reading, just in case you may need it^^)
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i'm sorry for the lateness of these!! work really took over my life last month and i'm currently unable to get ps4 screenshots so i hope these are ok! :'3
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northernmariette · 3 years
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Countess Potocka Visits the Davouts
The moment is drawing near when I will say goodbye to Countess Potocka. In my next post she will share the scene with another memoir-writer, both of them describing the same person in quite contrasting ways. For now, the Countess is still starring on her own, compelled by good manners to accept an invitation to a meal she would have given her left arm to be able to refuse. Marie-Louise being absent, the Countess finds another handy target for her barbs.  
The Countess, having ascertained whether her visit will be more convenient in the daytime or in the evening (daytime), gets dressed in new, fashionable and expensive attire, though she is much bothered by her shoes (too small?). I can't help but think that this outfit was meant to impress the Davouts with her superior status and unimpeachable pedigree - something simpler would have been preferable, as we shall see. Since it's already three in the afternoon when she appears at her hosts' door, maybe they were not expecting her anymore, even if we assume she had advised them this was the day of her visit. At least the Countess is honest enough to state Madame Davout had treated her well in the past.
C'est ainsi que j'allai chez la maréchale Davout, qui m'avait comblée de prévenances pendant son séjour à Varsovie, du temps où son mari commandait en Pologne. Comme elle passait les étés à Savigny (1), c'est là qu'il fallut aller la chercher. J'envoyai à son hôtel en ville quelle serait l'heure la plus convenable pour faire ma visite, - on me répondit que ce serait dans la matinée. Je me rendis donc à Savigny par un soleil brûlant, mal garantie par un très petit chapeau orné de violettes, et très gênée dans mes brodequins lilas parfaitement assortis à une robe montante en gros de Naples de même couleur ; - madame Germont, oracle de la mode, avait elle-même combiné toute ma toilette.
[...]
[J]e me promettais une visite agréable. L'hôtel de la maréchale, à Paris, m'avait donné une grande idée de son goût et de son opulence, et je pensais la trouver luxueusement établie à Savigny. J'arrivai vers trois heures. Le château, entouré d'un fossé et d'un mur, avait pour entrée une porte hermétiquement fermée. L'herbe croissait dans les fossés ; - on eût dit une habitation abandonnée depuis maintes années. Mon laquais, ayant enfin trouvé le cordon de la sonnette, une petite fille assez mal vêtue vint, au bout de quelques minutes, demander ce qu'on désirait.
- Madame la maréchale est-elle à la maison?
- Oh ! pardonnez-moi, qu'ils y sont, et M. le maréchal aussi, répondit la fillette.
Et vite elle accourut appeler un des hommes du château, qui se mit à la suivre sans se presser et tout en ajustant sa livrée.
Je me fis annoncer, et blottie dans la voiture, j'attendis encore assez longtemps, ne sachant trop si je devais insister ou simplement laisser une carte.  
Au bout d'un petit quart d'heure un valet de chambre se présenta enfin à la portière du carrosse et me fit entrer dans une vaste cour ; il s'excusa des lenteurs du service, m'avouant sans façons qu'à l'instant où j'étais arrivée, les gens travaillaient au jardin, et que lui-même était occupé à nettoyer le verger.
On me fit traverser plusieurs salons complètement démeublés ; la pièce où l'on m'introduisit n'était guère plus ornée que les précédentes, mais au moins il y avait un canapé et des chaises ! La maréchale ne tarda pas à apparaître. Je m'aperçus aisément qu'elle avait fait toilette pour moi, car elle attachait encore quelques épingles à son corsage. Après quelques minutes d'une conversation languissante, elle sonna pour faire prévenir son mari. Puis nous reprîmes notre entretien pénible. Ce n'est pas que madame Davout manquât d'usage ou fût dépourvue de cette sorte d'esprit qui facilite les rapports entre deux personnes du même monde, mais il y avait en elle une certaine roideur qui pouvait être prise pour de la morgue. Elle ne perdait jamais de vue le maréchalat ; jamais un sourire gracieux ne venait animer les traits de sa beauté sévère. [...]
Le maréchal arriva enfin dans un état de transpiration qui attestait son empressement ; il s'assit tout essoufflé, et, tenant son mouchoir de poche pour s'essuyer le front, il eut soin de le mouiller de salive afin d'enlever plus sûrement la poussière dont sa figure était couverte. Cet abandon un peu soldatesque cadrait mal avec les manières empesées de son épouse ; elle en fut visiblement contrariée. Me trouvant de trop dans cette scène muette, je me levai et voulus prendre congé, mais on me pria de rester à déjeuner. En attendant que le repas fût servi, nous fîmes une promenade dans le parc... Il n'y avait aucun chemin tracé, les gazons étaient de hautes herbes toutes prêtes à devenir des meules de foin, les arbres coupés pendant la Révolution repoussaient en manière de broussaille ; je laissais à chaque buisson des fragments de mes volants, et mes brodequins lilas avaient pris une teinte verdâtre. Le maréchal nous encourageait de la voix et du geste, nous promettant une surprise charmante !... Quel ne fut pas mon désappointement lorsque, au détour d'un massif de chênes adolescents, nous nous trouvâmes en face de trois petites huttes en osier ! Le duc mit un genou en terre et s'écria :
- Ah! les voilà... les voilà !...
Puis, modulant sa voix :
- Pi... pi... pi...
Aussitôt une nuée de perdreaux se mit à voltiger autour de la tête du maréchal.
- Ne laissez sortir les autres qu'au moment où les plus jeunes seront rentrés, et donnez du pain à ces dames... Elles vont s'amuser comme des reines, dit-il à un rustre qui remplissait les fonctions de garde-chasse.
Et nous voilà, par un soleil brûlant, donnant la becquée aux perdreaux !
La duchesse vida, avec un calme et une dignité imperturbable, le panier qu'on lui avait présenté. Quant à moi, je faillis me trouver mal, et, n'y tenant plus, je fis observer que le ciel se couvrait et que nous étions menacés d'un orage.
[...]
Le déjeuner fini, je m'esquivai en toute hâte, jurant, mais un peu tard, qu'on ne m'y prendrait plus.
Thus I went to the home of Maréchale Davout, who had showered me with courtesies during her stay in Warsaw, when her husband was in command in Poland. As she spent the summers in Savigny (1), it is there that I had to go and find her. I wrote to her Paris house to find out the most convenient time to visit her, and was told that it would be in the daytime. So I went to Savigny on a broiling hot day, little protected from the sun by a very small hat adorned with violets, and very uncomfortable in my lilac booties perfectly matched with a high dress in taffeta in the same color; - Madame Germont, the oracle of fashion, had herself arranged my costume.
[...]
I had promised myself this would be a pleasant visit. The Maréchale's Paris residence had much impressed me with her taste and love of fashion, and I thought I would find her luxuriously settled in Savigny. I arrived at about three o'clock. The door of the chateau, which was encircled by a moat and an enclosure, was hermetically sealed. Tall grasses were growing in the moat; the chateau had the appearance of having been deserted for many years. My footman having finally found the doorbell, a little girl, rather ill-dressed, appeared, after a few minutes, to ask what was wanted.
- "Is Madame la Maréchale at home?"
- "Oh, but yes, they are there, and so is the Marshal," answered the little girl.
And she hurried to summon one of the servants of the chateau, who proceeded to follow her at a leisurely pace, adjusting his livery as he went.
I had myself announced, and huddling in the carriage, I waited for quite a while, wondering whether I should insist or whether I ought to simply leave a visiting card.
After a mere quarter of an hour, a manservant finally appeared at the door of my carriage and led me into a vast courtyard; he apologized for the slowness of the service, informing me without particular deference that at the moment I arrived, the household staff was working in the garden, and that he himself had been engaged in tidying the orchard.
I was led through several completely unfurnished salons; the room into which I was ushered was hardly more ornate than the previous ones, but at least it had a sofa and chairs! The Maréchale presently appeared. I could easily perceive that she had just dressed up for me, because she was still busy fastening some pins to her bodice. After a few minutes of languishing conversation, she pulled the bellcord so her husband could be apprised of my presence. She and I then resumed our awkward conversation. It is not that Madame Davout's manners were lacking, or that she was deprived of that sort of wit which facilitates exchages between people of similar backgrounds, but there was in her manner a kind of stiffness which might be mistaken for arrogance. She never forgot about the marshalate; never did a gracious smile enliven the features of her austerely beautiful face. [...]
The Marshal finally arrived, his haste reflected in his heavy perspiration; out of breath, he sat down and, using his pocket handkerchief to wipe his forehead, he moistened it with saliva in order to more efficiently remove the dust from his face. This casualness, a bit too soldierly, contrasted sharply with the starchy demeanor of his wife; she was noticeably annoyed about it. Finding myself de trop in this silent scene, I rose and tried to take my leave, but I was enjoined to stay for a mid-day meal. While waiting for this to be served, we went a walk in the grounds... There were no paths, the lawn was covered with high grass ready to be turned into haystacks, the trees, cut down during the Revolution, were growing back as scrub; I left shreds of my dress's ruffles on each bush, and my lilac booties had taken on a greenish tinge. The Marshal encouraged us by voice and by gesture with the promise of a charming surprise!... What disappointment when, at the bend of a clump of stripling oaks, we finally stood in front of three small wicker huts! The Duke went down on one knee and exclaimed:
- "Ah! here they are... here they are!..."
Then, modulating his voice:
- "Pi... pi... pi..."
And at once a swarm of partridges began to flutter around the Marshal’s head.
- "Don't let the others go out until the youngest have returned, and give the ladies some bread... They are going to enjoy themselves like queens", he said to a roughneck who was the gamekeeper.
And there we were, under scorching sunshine, feeding partridges!
With unruffled and imperturbable dignity, the Duchess emptied the basket of bread she had been given. I, on the other hand, came close to fainting, and this being beyond my endurance, I pointed out that clouds were moving in and that a storm threatened.
[...]
Once we had finished eating, I left in greatest haste, swearing to myself that this visit would not be repeated.
(1) Savigny-sur-Orge [this note appears in the original text]
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5463019n/f278.item  pp. 229-234.
So there went the Countess’s pleasant visit, just not quite as pleasant as foreseen. I confess that I share her feelings about the spit-moistened handkerchief. And I too have been in the excruciating position of trying to make conversation when there is nothing to converse about. But she did not expect  to have her fancy dress shredded by unkempt scrub. All this while traipsing in uncomfortable booties ruined by grass stains, the reward for this being to witness Davout calling his partridges in a falsetto voice, and a final indignity, bringing her close to fainting (or was it the foot-pinching booties?): having to feed breadcrumbs to partridges, while being expected to have fun doing it. Pass the smelling salts.
The food must have been good, because she does not have a word of criticism about it. No word whatsoever about it, in fact. I suppose no artichokes were served.
My little finger tells me the Davouts were not sorry to see the back of her, unless her manners were so exquisite that she was able to feign delight through her visit. But then again there was this laboured conversation, so... no. They were glad she left.
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kuro-morale-events · 3 years
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Oct 6: Creator Interview
Meet @sempiternalailurophile!
@sempiternalailurophile is a writer and she specializes in romance and creature AUs!
She got into Kuro in 2008, when the anime came out, and stopped following the manga around 2011. In 2020, she decided to catch back up and decided she had to become part of the fandom this time!
Some other things we asked!
Q: What work are you proudest of?
A: It’s definitely One Way Home. It’s the only longer fic I’ve ever written for any fandom, and the amount of time and effort I’ve spent on it is much greater than for any of the others. Although the plot is not extremely complex, it’s still significantly more so than what is typical for me, and I’m really glad I have been able to write as much for it so far as I have. I have been able to explore a lot of concepts and ideas I find fascinating and interesting in this fic and I hope to continue to do so until it is complete.
I am also very happy that other people have been enjoying it as well. I never thought I would get anywhere close to the amount of people leaving kudos, subscribing, and leaving nice comments on my little vampire time travel AU as I have, and I appreciate everyone’s support so very much. It has really given me encouragement to continue to write.
Q: What ships do you have, if any?
A: Sebaciel is by far my favorite Kuroshitsuji ship. There’s just been so much build-up of their relationship in the manga that I can’t help but feel that they belong together no matter what, even though I know their story is likely to end in tragedy. I can’t stand the thought of them being separated from each other, and I don’t think either of them would be able to go back to living normally if they lost the other.
I do enjoy some other ships as well too, though. Cielcest is excellent and it’s probably my second favorite ship in the series. R!Ciel’s history of obsessive behavior towards his twin brother is so enjoyable for me, and I tend to enjoy twincest ships in general, so it was always likely that I was going to enjoy this one.
There’s a number of Vinciel fanfics and fan artworks I’ve enjoyed quite a lot, and really most permutations of Vincent, Sebastian, r!Ciel, and o!Ciel together appeal to me.
I also think Wolfram/Sieglinde and Agni/Soma are cute ships.
Q: What are your favorite tropes?
A: Ahhhh this is such a hard question! I’m just going to list whatever comes to mind. I think I’m going to focus on tropes for fics and not so much for stories in general, since it’s helpful to narrow it down a bit. I mostly like to read romantic and/or sexual-themed fics, so the tropes I’m listing will largely be in that vein.
I enjoy stuff like: possessive behavior, human/non-human ships, generally unhealthy ships, codependency, size differences, age gap ships, marking, biting, blood drinking, scratching, rough sex, characters being extremely devoted to each other, romantic behavior, lots of jealousy...hmmm...
Q: Do you have a routine for your creative process?
A: I don’t really! I probably should, but I usually just write when I am in the mood to do so, and I mostly write on my phone in bed. About 70% of OWH and the entirety of Deep in the Woods and A Different Sort of Game were written like this.
I usually don’t listen to music when I write as I find that it tends to distract me, but there are sometimes exceptions.
Q: What gives you inspiration?
A: I think the most inspiring thing for me is to read other people’s fanfics. Even when I’m planning to write something extremely different from them, seeing stuff that other people wrote seems to turn on some module of my brain that goes “hey, if other people can write nice fics like these, maybe I can write something too, and mine could be like XYZ...”
Discussing concepts and ideas with others is also very helpful! Sometimes it’ll cause things to occur to me that never otherwise would have.
Additionally, writing prompts and lists of concepts/ideas.
Q: Is there anything you're currently working on?
A: Yes! Many. sob
Chapter 12 of OWH
A Sebastian-raises-Ciel AU (this is still Sebaciel wink)
A teacher/student Sebaciel AU
A very problematic Cielcest fic set during their time with the cult
A short Sebaciel fic set during Ciel’s PTSD episode in the Circus arc
Q: What inspired OWH?
A: I can’t find the exact prompt now, but it was a Reddit writing prompt that was very similar to this one:
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[WP] When a time-traveller becomes stranded hundreds of years in the past they strike a bargain with an immortal vampire to give them a change to see their loved ones again someday.]
When I came across the version of this that I saw before I started writing OWH, I had already decided I wanted to write some sort of vampire-related Sebaciel AU (because I wanted to write a bunch of blood-drinking scenes and I thought a vampire AU would suit this very well), but I hadn’t decided what kind of story yet. And then I saw a post like this randomly while scrolling and it was just perfect, something that was different from anything I had ever seen anyone else do as a Sebaciel fic and something that would allow me to structure the narrative so I could add in all sorts of details I love.
Q: Is there anything coming up in it that you're excited about?
Yes! There’s a few. A specific important discussion that Sebastian and Ciel will have, an incident where Sebastian will protect Ciel, Ciel’s 14th birthday celebration…though not necessarily in this order.
There’s also a scene coming up in the very next chapter that I haven’t finished yet, but which I’m looking forward to writing and posting very much! I hope it will turn out as good when it’s written as it is in my imagination.
Q: What's your favorite detail you put in one of your works?
A: Hm...probably Sebastian and Ciel having a relationship that is sexual and romantic, but where Sebastian also provides a lot of practical care for Ciel. There’s something about the mixture of these facets of their relationship together that I find absolutely captivating, and I like to put it in all of my Sebaciel fics.
Where can you find her online?
@sempiternalailurophile on tumblr, here on twitter, and here on ao3!
Keep in mind her tumblr and Twitter are 18+, and her ao3 content is for mature audiences. Go give her some love!
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