Tumgik
#Cette poupée *-*
comprami-dei-fiori · 1 year
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helshades · 1 year
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Quand on vous dit que la NUPES fait rien qu'à bordéliser les débats, hein !
Il n'est peut-être pas inutile de rappeler que Mme Yaël Braun-Pivet ne doit en rien son poste de ~première femme présidente de l'Assemblée nationale~ à ses compétences mais bien à un service rendu au Présiroi d'avoir enterré l'affaire Benalla en 2018.
Pour qui n'a pas pour habitude de suivre les débats au Parlement, je vous assure que c'est édifiant, et donne la pleine mesure du degré réel de la démocratie représentative en France.
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La chaise Inception est un meuble unique conçu par Vivian Chiu, diplômée de la Rhode Island School of Design. Il a été créé dans le cadre d’un court projet expérimental et construit en seulement quatre semaines. La chaise se compose de dix cadres de chaise individuels en bois de frêne, allant de la taille adulte standard à une taille humoristiquement petite. Chaque cadre comporte des rainures découpées à la main sur les bords intérieurs du cadre du siège et des chevilles à l'arrière, leur permettant de s'insérer dans la rainure du cadre d'une taille plus grande. Cette conception permet aux cadres de chaise d'être démontés et réassemblés, fonctionnant comme une seule chaise une fois assemblés. Outre son aspect fonctionnel, une fois démonté, il peut également être considéré comme une œuvre de sculpture. Le nom « Inception Chair » a été choisi plutôt que « Matryoshka Chair » pour refléter le concept d'une chaise dans une chaise, rappelant les poupées russes imbriquées. Le nom fait également un parallèle avec le film « Inception », où les choses ne sont pas toujours ce qu’elles paraissent à première vue.
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esmerald-stuff · 2 months
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bonjour bonjour ♡ je poste ce petit message pour quelque chose que je ne fais que trop rarement, la publicité d'un pré-lien sur live by the sun, mais extrêmement attendue par la superbe @manderleystuff et moi-même. ♡
tw : prostitution, abandon forcé d'un enfant, famille dysfonctionnelle. (pl sombre, complexe mais beaucoup d'amour à la clef)
en quelques mots ;;
à mon plus beau marasme.
(f) dahlia - ce rouge sur mon corps
belle, belle, comme l'éternelle tristesse au regard de braise, l'envoutante fleur noire, dahlia (prénom au choix) attire les plus fous des marins. ils s'échouent près d'elle autant que sa vie à elle est un échec. le sang bafoué qui coule dans ses veines, dont seuls les abîmes se souviennent. les années défilent et se moquent, cruelles, de son imperfection désillusion. silhouette chancelante teinte la mélancolie, résilience faites de toutes les épreuves traversées. l'existence sous les coups de lucifer, bercée près des ombres et loin de la lumière. dahlia danseuse funeste, remonte sur la scène encore et encore pour jouer de ce tragique ballet. dix-huit années qui claquent, et un petit être vient déjà au monde. un bébé, saul, son premier garçon, mais elle manque de tout, dahlia. alors, lui aussi, manquera de tout. le corps beauté qu'elle échange contre les billets, juste assez pour se payer un loyer, se nourrir et nourrir son bébé. elle n'avait rien, dahlia, alors les années défilent et elle continue, la seule chose qu'elle sait faire, au fond. gamin grandit et encaisse difficilement, les passages de ces hommes aux regards lubriques. puis en vient un autre, un homme amour, un différent, relation de quelques temps, elle est la maitresse. et alors elle tombe enceinte, une seconde fois. petite poupée, cette fois, petite princesse, elsie. elle ne grandira pas dans ce foyer crasse, sous le joug des hommes de passage. bébé lui est arraché des bras à peine née, le père l'emmènera loin de dahlia, l'élèvera avec sa femme, bébé volé....
( son enfance et son passé sont libres d'interprétation, quant à son état d'esprit aujourd'hui et son futur, il en est de même ♡)
pour en savoir plus c'est par ici !
et pour toutes questions, nous sommes là aussi ♡ merci merci merci d'avoir pris le temps de le lire. ♡
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Tes cheveux bien rangés en une tresse nouée descendent sur ta nuque sans presque la gêner. Ton chemisier classique noué jusqu'au cou la cache presque entièrement. De toi, rien ne dépasse. Ton visage si lisse aux traits imperturbables semble s'être figé à ton adolescence. Tes mains sur le menton comme s'il fallait encore cacher un peu plus la moindre des émotions. Dans cette posture figée comme une poupée de cire tu me sembles si sage. Je ne te reconnais pas, toi qui hier soir m'a ouvert ton âme en même temps que le reste. Où est donc passée la jeune fille audacieuse qui dans la nuit sans fard me criait son désir ? L'aube semble avoir jeté un voile blanc pudique sur ta sensualité. Je vais rester je crois jusqu'à la nuit noire pour voir si revient la troublante jeune-fille.
Paul...X
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nereidestuff · 5 months
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☽ la isla blanca;; version cinq.
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hello, hello 💕 cinq mois désormais que notre doux cocon, LA ISLA BLANCA, à ouvert ses portes. mes petits coeurs de co-admins, nox, @jeudisgris, @erinye-stuff & moi-même venons vous présenter sa sixième version. dites adieu au duel entre ombre et lumière, et laissez-vous envelopper dans la douceur des fêtes de fin d'année. au programme; décorations scintillantes, odeur de cannelle, chocolat chaud aux épices, et cadeaux sous le sapin.
l'intrigue du mois; doux manteau d'hiver enveloppe ibiza. jours s'écourtent, et lampions festifs éclairent désormais l'île blanche, féérie s'éveille au cœur des rues étroites. lumières scintillantes s'accrochent aux branches dénudées des arbres, illuminent les chemins de leur lueur magique. étoiles, complices de cette symphonie céleste, dansent dans le ciel nocturne, éclairant les visages émerveillés des enfants. façades des maisons se parent de guirlandes chatoyantes, tissant une toile or et rubis alors que les vitrines des boutiques s'animent de jouets colorés, de poupées qui sourient et de trains miniatures qui s'échappent d'un monde imaginaire. air empli de senteurs sucrées épicées, se laisse porter par les effluves de pain d'épices, de cannelle et de chocolat chaud. papilles se délectent des douceurs de saison, tandis que les mains se réchauffent autour d'une tasse fumante, créant une symphonie chaude et gourmande. rires se mêlent aux chants de noël, s'élevant dans les ruelles pavées, voix se font douces et puissante, laissant de côté le clivage qui de plus en plus, ne cesse de se creuser. comme si, le bien et le mal s'adonnaient à une guerre éternelle. cependant, trêve de noël vient amener douceur et légèreté, panser les coeurs blessés et renouer familles déchirées. mais attention, savourez cette période, parce que si un certain hadès estafador semble, lui aussi passer du bon temps en famille, cela risque de ne pas durer.
– la isla blanca se veut un forum où règnera la bienveillance, et où l'on privilégie l'intégration de chacun. un doux cocon où les personnages de tout les horizons, nous l’espérons, pourront trouver une maison. du plus sombre, au plus doux, l'île ne cesse d'accueillir de nouveaux habitants aux nuances illimitées. ✨
aucun minimum de ligne exigé sur le forum – un rp par mois. n’hésitez pas à nous rejoindre. 🌸🐚
lien du forum :: https://laislablanca.forumactif.com/ lien du forum :: https://laislablanca.forumactif.com/
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yaggy031910 · 11 months
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Aimée Davout in her delivery bed
While I love reading and translating Davout‘s letters, I am always glad to find one written by la Maréchale Davout herself. The following letter was written in early 1813. As background information, it’s important to know that he kind of begged Aimée to organise miniature paintings:
Le 17 janvier, tandis que le maréchal remercie tendrement sa femme « des excellentes bottes fourrées » qu'on lui a envoyées et s'écrie : « Que d'obligations n'ai-je pas à ta sollicitude pour ton Louis !», la maréchale, peut-être à la même heure, lui adressait, de son lit d'accouchée, les gracieuses lignes que voici : J‘ai éparpillé ce matin les matériaux du plus charmant tableau, du plus propre a te plaire pour m‘entretenir avec toi, excellent ami. J’avais tes quatre enfants sur mon lit: J‘ai rendu Jules à as nourrice, quoiqu‘il eùt ses grands yeux bleus tout grands ouverts; j‘ai fait dinner un petit morceau de pain d‘épice à Louis pour le consoler de son renvoi; Joséphine a pris sa poupée, Léonie son Berquin et ton Aimée sa plume. Aussitôt la date mise, on m‘a rapporté ta letter du 10; je reçois maintenant exactement de tes nouvelles. Suivent mille tendres détails sur le nécessaire composé par ses ordres de tous les objets habituels de la toilette du maréchal, et la maréchale termine ainsi cette causerie. Toute à toi, mon Louis, mon unique bien, car toi et nos enfants, ce n'est qu'un, jusqu'à mon dernier soupir. Aimée.
English translation On January 17, while the marshal thanked his wife tenderly for "the excellent furry boots" which had been sent to him and exclaimed: "What obligations do I not have to your solicitude for your Louis!" The Maréchale [Aimée], perhaps at the same time, addressed the following graceful lines to him from her delivery bed: This morning I scattered the materials for the most charming picture, the one most likely to please you, in order to talk to you, my excellent friend. I had your four children on my bed: I gave Jules [the newborn baby boy] back to his nurse, even though he had his big blue eyes wide open; I had Louis [the still living eldest son] eat a little piece of gingerbread to console him for his dismissal; Joséphine [eldest living child & daughter] took her doll, Léonie [second daughter] her Berquin [I think it’s a book] & your Aimée her feather. As soon as the date was set, they brought me your letter of the 10th; I receive your news right now. This was followed by a thousand tender details about the kit she had put together with all the usual items for the Marshal's grooming, and the Maréchale ended her chat with these words. All yours, my Louis, my unique possession, because you and our children are one, until my last breath. Aimée.
Gaaaaahwd, mhmm, yes, I look up to her. 🥰🌺🌷🕊️
It‘s so saddening to know that there aren‘t that many letters of her. Nevertheless, it‘s already a privilege to be able to read any letter at all. It‘s so nice to have her voice in history as well. One can feel how protective she was over her family.
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pompadourpink · 10 months
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Sophie's Misfortunes - #1
Les malheurs de Sophie - la Comtesse de Ségur, 1858
Chapitre 1 - la Poupée de cire
« Ma bonne, ma bonne, dit un jour Sophie en accourant dans sa chambre, venez vite ouvrir une caisse que papa m’a envoyée de Paris ; je crois que c’est une poupée de cire, car il m’en a promis une.
La bonne: Où est la caisse ?
Sophie: Dans l’antichambre : venez vite, ma bonne, je vous en supplie. »
La bonne posa son ouvrage et suivit Sophie à l’antichambre. Une caisse de bois blanc était posée sur une chaise ; la bonne l’ouvrit. Sophie aperçut la tête blonde et frisée d’une jolie poupée de cire ; elle poussa un cri de joie et voulut saisir la poupée, qui était encore couverte d’un papier d’emballage.
La bonne: Prenez garde ! ne tirez pas encore ; vous allez tout casser. La poupée tient par des cordons.
Sophie: Cassez-les, arrachez-les ; vite, ma bonne, que j’aie ma poupée.
"My maid, my maid!" Sophie said one day running into her maid's room. "Hurry up! Open this crate that daddy sent me from Paris. I think it's a wax doll, because he promised me one!" The maid: "Where is the crate?" Sophie: "In the antechamber. Come quick, please!" The maid set her work down and followed Sophie to the antechamber. A white wood crate was on a chair. The maid opened it. Sophie spotted the blonde and curly head of a beautiful wax doll. She let out a cry of joy and tried to grab the doll, which was still covered in wrapping paper. The maid: "Careful! Don't pull it yet. You'll break everything. The doll is kept in place by some cords," the maid said.
Sophie: "Break them, rip them. Hurry, my maid, so that I have my doll!"
La bonne, au lieu de tirer et d’arracher, prit ses ciseaux, coupa les cordons, enleva les papiers, et Sophie put prendre la plus jolie poupée qu’elle eût jamais vue. Les joues étaient roses avec de petites fossettes ; les yeux bleus et brillants ; le cou, la poitrine, les bras en cire, charmants et potelés. La toilette était très simple : une robe de percale festonnée, une ceinture bleue, des bas de coton et des brodequins noirs en peau vernie.
Sophie l’embrassa plus de vingt fois, et, la tenant dans ses bras, elle se mit à sauter et à danser. Son cousin Paul, qui avait cinq ans, et qui était en visite chez Sophie, accourut aux cris de joie qu’elle poussait.
« Paul, regarde quelle jolie poupée m’a envoyée papa ! s’écria Sophie.
Paul: Donne-la-moi, que je la voie mieux.
Sophie: Non, tu la casserais.
Paul: Je t’assure que j’y prendrai bien garde ; je te la rendrai tout de suite. »
Sophie donna la poupée à son cousin, en lui recommandant encore de prendre bien garde de la faire tomber. Paul la retourna, la regarda de tous les côtés, puis la remit à Sophie en secouant la tête.
The maid, instead of pulling and ripping, took some scissors, cut the cords, removed the papers, and Sophie was able to grab the most beautiful doll she had ever seen. The cheeks were pink with little dimples. The eyes were blue and bright. The neck, the chest, the wax arms, charming and chubby. The outfit was simple: a scalloped, percale dress, a blue belt, cotton stockings and black, patent leather boots. Sophie kissed her more than twenty times and, holding her by the arms, she started to jump and dance. Her cousin Paul, who was five years old, and who was visiting Sophie, ran to her cries of joy. "Paul, look at the lovely doll daddy sent me!" Sophie cried out. "Give her to me, I want a better look at her." "No, you would break her." "I promise you I'll be careful. I'll give her back right away." Sophie gave the doll to her cousin, telling him once again to be very careful not to drop her. Paul turned her around, looked at her from every side and then gave her back to Sophie, shaking his head.
*
Sophie: Pourquoi secoues-tu la tête ?
Paul: Parce que cette poupée n’est pas solide ; je crains que tu ne la casses.
Sophie: Oh ! sois tranquille, je vais la soigner tant, tant que je ne la casserai jamais. Je vais demander à maman d’inviter Camille et Madeleine à déjeuner avec nous, pour leur faire voir ma jolie poupée.
Paul: Elles te la casseront.
Sophie: Non, elles sont trop bonnes pour me faire de la peine en cassant ma pauvre poupée.
Le lendemain, Sophie peigna et habilla sa poupée, parce que ses amies devaient venir. En l’habillant, elle la trouva pâle. « Peut-être, dit-elle, a-t-elle froid, ses pieds sont glacés. Je vais la mettre un peu au soleil pour que mes amies voient que j’en ai bien soin et que je la tiens bien chaudement. » Sophie alla porter la poupée au soleil sur la fenêtre du salon.
« Que fais-tu à la fenêtre, Sophie ? lui demanda sa maman.
Sophie: Je veux réchauffer ma poupée, maman ; elle a très froid.
"Why are you shaking your head?" "Because that doll isn't solid. I'm afraid you're going to break her." "Oh, don't worry. I'll take such good care of her, so much so that I'll never break her. I'm going to ask mother to invite Camille and Madeleine to have lunch with us, so I can show them my beautiful doll." "They'll break her." "No, they're too nice to hurt me by breaking my poor doll." The next day, Sophie combed and dressed her doll, because her friends were supposed to come. While dressing her, she thought she was pale. "Maybe," she said, "she's cold. Her feet are freezing. I'm going to put her in the sun for a little bit so my friends can see that I'm taking care of her and keeping her nice and warm." Sophie went to put the doll in the sun in the sitting room's window. "What are you doing at the window, Sophie?" her mother asked. "I want to warm my doll up, mother. She's very cold."
*
La maman: Prends garde, tu vas la faire fondre.
Sophie: Oh non ! maman, il n’y a pas de danger : elle est dure comme du bois.
La maman: Mais la chaleur la rendra molle ; il lui arrivera quelque malheur, je t’en préviens. »
Sophie ne voulut pas croire sa maman, elle mit la poupée étendue tout de son long au soleil, qui était brûlant.
Au même instant elle entendit le bruit d’une voiture : c’étaient ses amies qui arrivaient. Elle courut au-devant d’elles ; Paul les avait attendues sur le perron ; elles entrèrent au salon en courant et parlant toutes à la fois. Malgré leur impatience de voir la poupée, elles commencèrent par dire bonjour à Mme de Réan, maman de Sophie ; elles allèrent ensuite à Sophie, qui tenait sa poupée et la regardait d’un air consterné.
Madeleine, regardant la poupée: La poupée est aveugle, elle n’a pas d’yeux.
Camille: Quel dommage ! comme elle est jolie !
Madeleine: Mais comment est-elle devenue aveugle ! Elle devait avoir des yeux.
Sophie ne disait rien ; elle regardait la poupée et pleurait.
Mother: "Be careful, she'll melt." Sophie: "No, mother, there's no danger. She's as hard as wood." Mother: "But the heat will make her soft. Something bad will happen to her, I'm warning you." Sophie didn't want to believe her mother. She laid the doll out in the sun, which was scorching hot. At that moment, she heard the sound of a carriage. It was her friends showing up. She ran to go meet them. Paul had been waiting for them on the front steps. They ran into the sitting room, talking all at once. Despite their impatience to see the doll, they first said hello to Mrs. de Réan, Sophie's mother. They then went to Sophie, who was holding the doll and looking at her with dismay. "The doll is blind. She doesn't have any eyes!" Madeleine said. "What a shame! How beautiful she is!" Camille said. "But how did she get blind? She was supposed to have eyes." Sophie didn't say anything. She was looking at the doll and crying.
*
Madame de Réan: Je t’avais dit, Sophie, qu’il arriverait un malheur à ta poupée si tu t’obstinais à la mettre au soleil. Heureusement que la figure et les bras n’ont pas eu le temps de fondre. Voyons, ne pleure pas ; je suis très habile médecin, je pourrai peut-être lui rendre ses yeux.
Sophie, pleurant: C’est impossible, maman, ils n’y sont plus.
Mme de Réan prit la poupée en souriant et la secoua un peu ; on entendit comme quelque chose qui roulait dans la tête. « Ce sont les yeux qui font le bruit que tu entends, dit Mme de Réan ; la cire a fondu autour des yeux, et ils sont tombés. Mais je tâcherai de les ravoir. Déshabillez la poupée, mes enfants, pendant que je préparerai mes instruments. »
Aussitôt Paul et les trois petites filles se précipitèrent sur la poupée pour la déshabiller. Sophie ne pleurait plus ; elle attendait avec impatience ce qui allait arriver.
La maman revint, prit ses ciseaux, détacha le corps cousu à la poitrine ; les yeux, qui étaient dans la tête, tombèrent sur ses genoux ; elle les prit avec des pinces, les replaça où ils devaient être, et, pour les empêcher de tomber encore, elle coula dans la tête, et sur la place où étaient les yeux, de la cire fondue qu’elle avait apportée dans une petite casserole ; elle attendit quelques instants que la cire fût refroidie, et puis elle recousit le corps à la tête.
Les petites n’avaient pas bougé. Sophie regardait avec crainte toutes ces opérations, elle avait peur que ce ne fût pas bien ; mais, quand elle vit sa poupée raccommodée et aussi jolie qu’auparavant, elle sauta au cou de sa maman et l’embrassa dix fois.
Sophie's mother said, "I told you so, Sophie. Something bad would happen to your doll if you insisted on putting her in the sun. Fortunately, the face and the arms didn't have enough time to melt. Come on, don't cry. I'm a very skilled doctor, I might be able to give her back her eyes." "It's impossible, mother. They're gone," Sophie cried. Mrs. de Réan took the doll with a smile and shook her a bit. They could hear something rolling around in the head. "Those are the eyes making the noise you hear," Mrs. de Réan said. "The wax melted around the eyes and they fell. But I'll try to get them back. Undress the doll, children, while I get my tools ready." Right away, Paul and the three little girls came upon the doll to undress her. Sophie wasn't crying anymore. She waited restlessly for what was going to happen. The mother came back. She took her scissors and detached the body sewn at the chest. The eyes, which were inside the head, fell onto her knees. She took them with some pliers and put them back where they were supposed to be. To prevent them from falling again, she poured some melted wax that she brought in a little pan on the place where the eyes were. She waited a little bit to let the wax cool down, then she resewed the body to the head. The little ones didn't move. Sophie watched this whole operation with fear. She was afraid it wouldn't work out. But when she saw her doll fixed up and as beautiful as before, she jumped to her mother's neck and kissed it ten times.
*
« Merci, ma chère maman, disait-elle, merci : une autre fois je vous écouterai, bien sûr. »
On rhabilla bien vite la poupée, on l’assit sur un petit fauteuil et on l’emmena promener en triomphe en chantant :
Vive maman ! De baisers je la mange. Vive maman ! Elle est notre bon ange.
La poupée vécut très longtemps bien soignée, bien aimée ; mais petit à petit elle perdit ses charmes, voici comment. Un jour, Sophie pensa qu’il était bon de laver les poupées, puisqu’on lavait les enfants ; elle prit de l’eau, une éponge, du savon, et se mit à débarbouiller sa poupée ; elle la débarbouilla si bien, qu’elle lui enleva toutes ses couleurs : les joues et les lèvres devinrent pâles comme si elle était malade, et restèrent toujours sans couleur. Sophie pleura, mais la poupée resta pâle.
Un autre jour, Sophie pensa qu’il fallait lui friser les cheveux ; elle lui mit donc des papillotes : elle les passa au fer chaud, pour que les cheveux fussent mieux frisés. Quand elle lui ôta ses papillotes, les cheveux restèrent dedans ; le fer était trop chaud, Sophie avait brûlé les cheveux de sa poupée, qui était chauve. Sophie pleura, mais la poupée resta chauve.
"Thank you, my dear mother," she said. "Thank you. Next time, I'll listen to you, for sure." They quickly redressed the doll, set her on a little chair and went for a triumphant walk while chanting: Hooray for mother! I cover her in kisses! Hooray for mother! She is our angel! The doll lived for a long time, well cared-for, well loved. But, bit by bit, she lost her charms. Here's how. One day, Sophie thought it was a good idea to wash dolls, since people wash children. She took some water, a sponge, some soap and started to clean her doll. She cleaned her so well, that she removed all her color. The cheeks and lips became pale as if she were sick and were forever colorless. Sophie cried, but the doll was still pale. Another day, Sophie thought she had to curl her hair. She put some foil in her hair. She ironed it so that it would curl better. When she removed the foil, the hair stayed within. The iron was too hot. Sophie had burned her doll's hair, she was now bald. Sophie cried, but the doll was still bald.
*
Un autre jour encore, Sophie, qui s’occupait beaucoup de l’éducation de sa poupée, voulut lui apprendre à faire des tours de force. Elle la suspendit par les bras à une ficelle ; la poupée, qui ne tenait pas bien, tomba et se cassa un bras. La maman essaya de la raccommoder ; mais, comme il manquait des morceaux, il fallut chauffer beaucoup la cire, et le bras resta plus court que l’autre. Sophie pleura, mais le bras resta plus court.
Une autre fois, Sophie songea qu’un bain de pieds serait très utile à sa poupée, puisque les grandes personnes en prenaient. Elle versa de l’eau bouillante dans un petit seau, y plongea les pieds de la poupée, et, quand elle la retira, les pieds s’étaient fondus, et étaient dans le seau. Sophie pleura, mais la poupée resta sans jambes.
Depuis tous ces malheurs, Sophie n’aimait plus sa poupée, qui était devenue affreuse, et dont ses amies se moquaient ; enfin, un dernier jour, Sophie voulut lui apprendre à grimper aux arbres ; elle la fit monter sur une branche, la fit asseoir ; mais la poupée, qui ne tenait pas bien, tomba : sa tête frappa contre des pierres et se cassa en cent morceaux. Sophie ne pleura pas, mais elle invita ses amies à venir enterrer sa poupée.
Another day, Sophie, who was busy with her doll's upbringing, wanted to teach her to do some amazing feats. She hanged her by the arms from a string. The doll, which wasn't holding on well, fell and broke an arm. The mother tried to fix her up. But, since some pieces were missing, she had to heat up the wax quite a bit. The arm ended up shorter than the other. Sophie cried, but the arm was still shorter. Another time, Sophie thought that a foot bath would be useful to her doll, since all great people had them. She poured some boiling water into a little bucket and plunged the doll's feet into it. When she pulled her out, the feet had melted and were in the bucket. Sophie cried, but the doll still didn't have legs. After all these misfortunes, Sophie didn't love her doll anymore. The doll had become hideous and Sophie's friends were mocking her. At last, one day, Sophie wanted to teach her to climb trees. She put her on a branch and sat her there. But the doll, who wasn't holding on well, fell. Her head struck some rocks and broke into a hundred pieces. Sophie didn't cry. Instead, she invited her friends to come bury her doll.
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barbiemonamie · 9 months
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Petit résumé !
Les poupées Barbie Fashionistas ont été introduites en 2016 par la marque Mattel. Cette gamme de poupées Barbie a été créée dans le but de promouvoir la diversité et l'inclusion en matière de beauté et de style. Elle s'adressait à un public plus large en proposant une variété de corps, de tons de peau, de types de cheveux et de styles vestimentaires.
Little Summary ! Barbie Fashionistas dolls were introduced in 2016 by the Mattel brand. This line of Barbie dolls was created to promote diversity and inclusion in beauty and style. She catered to a wider audience by offering a variety of bodies, skin tones, hair types, and clothing styles.
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cloud-hoper · 10 months
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(jour 4)
[...]
le plus dur est de remettre chaque action à sa place
laquelle était malveillante, ignorante, stupide, intentionnée ?
quelles actions sont excusées parce qu'on était trop jeunes, lesquelles aggravées par la différence d'âge et de maturité ?
quelles ont été mes actions ?
quel rôle ai-je joué, petite poupée indocile qui se faufilait entre les silences ?
être a la fois ma propre alliée et ma propre traître
pourquoi ai-je parlé de cette manière
agi de cette manière
séduit de cette manière
quelle peur, quelle envie me poussaient ?
aujourd'hui je tutoie le seuil de mes réponses
demain, je toucherai peut-être du bout des doigts la fin du puzzle
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kilfeur · 7 months
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J'ai pu tomber sur le special en vf bon malheureusement pas le début mais le moment où Toxinelle lit le journal de notre Marinette. Et j'ai pas mal apprécié la performance d'Anouck Hautbois en tant que Toxinelle. Elle avait un ton plus ferme et froid par rapport à la va. Quand à Benjamin Bollen, il montre une fois de plus qu'il a le bon équilibre pour doubler des cinnamons rolls et des petits bâtards. La scène où Griffe Noire parle de la perte de sa mère, tu sens la colère et la rancoeur de ce dernier. D'ailleurs même dans celle d'Antoine Tomé, y a quelques subtilités au niveau de la voix que j'ai apprécié. Sinon j'en avait pas parlé dans mon avis sur le special paris. Mais est ce qu'on peut parler de la gestion de la lumière pendant cette épisode ? Je crois que j'ai jamais vu Paris aussi beau la nuit, la scène avec Griffe Noire qui joue avec les poupées ou bien les scènes où Marinette et Adrien parlent à leur alter ego laissant place au lever du soleil à la fin.
I was able to catch the vf special, although unfortunately not the beginning, but the part where Toxinelle reads our Marinette's diary. And I really appreciated Anouck Hautbois' performance as Toxinelle. Her tone was firmer and colder than the va. As for Benjamin Bollen, he shows once again that he's got the right balance for voicing cinnamon rolls and little bastards. In the scene where Griffe Noire talks about losing his mother, you can feel his anger and resentment. In fact, even in Antoine Tome's scene, there are a few subtle touches to the voice that I appreciated. I didn't mention this in my review of the Paris special. But can we talk about the light handling during this episode? I don't think I've ever seen Paris so beautiful at night, the scene with Griffe Noire playing with the dolls or the scenes where Marinette and Adrien are talking to their alter egos giving way to the sunrise at the end.
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De Emma à Bruce
Bruce,
Je suis certaine que tu t’inquiètes pour Mina, comme nous tous. Eh bien, voilà la mauvaise nouvelle : elle n’est pas rentrée.
Il n’y a pas de bonne nouvelle.
Reprenons depuis le début. Tout le monde est passé à l’action dès que nous avons trouvé la poupée effrayante et la note. Nous avons fouillé la maison et le jardin, mais bien sûr personne ne croyait vraiment qu’elle était encore ici. Peut-être qu’il y aurait une trace de la fée (ou des fées) qui l’ont emmenée, avons-nous pensé, mais évidemment il n’y avait rien que nous autres Chasseurs d’Ombres aurions pu remarquer. Julian a envoyé un message de feu à Ty pour lui demander si le Détecteur pouvait être à nouveau modifié pour rechercher les elfes au lieu des fantômes. Ty a eu quelques idées, mais le seul résultat a été que le Détecteur sonnait continuellement. Ce qui est logique vu que cette maison regorge d’artisanat elfique maintenant. Puisqu’il est peu probable que les linteaux gravés des fenêtres aient enlevé Mina… ça ne nous aide pas.
Tessa a contacté l’Institut de Londres, qui a placé l’Enclave en alerte maximale et a envoyé quelques Chasseurs d’Ombres à la maison pour aider, ce qui a consisté principalement à faire du thé et des Bruits d’Anglais Inquiets (« oh ma pauvre, oh ma pauvre amie », « comment donc… » et ainsi de suite). Jem est allé poser des questions au Marché Obscur (je crois qu’il a utilisé le mot « interroger »), mais il est revenu bredouille quelques heures plus tard. Il a remarqué que ce n’était même pas comme si les elfes avaient refusé de parler : ils avaient honnêtement l’air tout aussi stupéfait que Round Tom ou que nous. Je suppose que la plupart des fées du Marché Obscur se tiennent aussi loin que possible des affaires des Cours, et tout le monde était d’avis que l’enlèvement d’une Chasseuse d’Ombres devait être un coup d’une des Cours parce que les fées lambdas ne feraient pas une chose aussi stupide que de violer les Accords avec une telle impudence.
Oh, il y a ça aussi. Tessa a contacté l’Enclave de Londres en tout dernier recours parce que maintenant ils sont au courant de cette énorme violation des Accords et personne ne souhaite une guerre avec le Royaume des Fées. (à moins peut-être le kidnapper ?) D’un autre côté, j’ai du mal à croire qu’Alec Lightwood soit capable de déclarer la guerre avant que nous n’en sachions davantage. Mais ça ravive quand même toutes les tensions, ce qui n’est pas une bonne chose.
Si jamais je rencontre Raziel, je vais lui demander… bon, d’accord, je crois que si jamais je rencontre Raziel, le feu sacré anéantira ma personne jusqu’au dernier atome, mais si je peux poser une question avant, ce sera pourquoi ne peut-on pas Tracer les enfants. Je sais que c’est parce qu’ils n’ont pas encore de runes, mais ne sont-ils pas ceux que l’on a certainement le plus besoin de Tracer ? ça ne semble être un défaut de conception dans tout ce système. Je devrais en parler à Clary, peut-être qu’elle pourra créer une sorte de rune Trouve-Bébé plus tard. Non pas que ça nous aide là tout de suite.
La question la plus importante, en dehors d’où est Mina et qui l’a enlevée, est : pourquoi quelqu’un voudrait faire ça ? ça n’a aucun sens. Julian s’est demandé si quelqu’un voulait se venger de Jem ou Tessa, mais il n’y avait personne selon eux. Round Tom a suggéré que quelqu’un essayait peut-être de faire accuser les elfes de l’enlèvement, mais encore une fois, pourquoi ? Dans tous les cas, nous n’avons pas encore contacté ni Kieran ni Adaon puisqu’on nous a averti de ne pas le faire.
Bruce, je me sens horrible. Tessa et Jem ne sont venus que pour nous aider avec la malédiction, et maintenant ça. J’en suis malade… peut-être qu’il y a quelque chose de profondément mauvais à Blackthorn Hall dont nous ne pouvons pas nous débarrasser même en rompant une malédiction. Ou peut-être que je m’inquiète et que j’ai des idées morbides. C’est probablement ça.
Julian m’appelle, je reviens.
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Je suis de retour, et j’ai des nouvelles. La ravisseuse a envoyé une note ! Enfin… une autre note. Et elle a donné son nom !
Votre enfant vous sera rendue si, et seulement si, l’on m’accorde une audience en privé avec celui que vous nommez Christopher Herondale.
Alors d’abord, « celui que vous nommez » … non mais vraiment ? Comment elle appelle Kit, L’Incroyable Génie ? Ensuite, c’était signé « Mère Hawthorn », ce qui ne nous disait rien ni à moi ni à Julian, mais Jem et Tessa ont échangé un regard entendu, et Kit avait l’air abattu. En fait, elle était la nourrice de la Première Héritière. Je veux dire la première Première Héritière, il y a bien longtemps. (Elle n’a officiellement prêté allégeance ni à la Cour des Lumières ni à la Cour des Ténèbres, d’après ce que nous avons appris, mais ça ne veut pas dire qu’elle ne va pas se servir de tout ça comme d’un moyen de pression contre les Cours.)
Donc ça a à voir avec Kit, et la politique féérique, et c’est le chaos. Je me sens très mal pour Kit, qui était plus pâle et tendu que je ne l’aie jamais vu. (Et je n’ai pas besoin de te rappeler, Bruce, que j’ai vu Kit hyper pâle et tendu.)
Kit, évidemment, a tout de suite accepté, il la rencontrerait, il ferait n’importe quoi pour récupérer Mina. Julian a fait remarquer que c’était peut-être un piège, et Kit a explosé :
- Évidemment que c’est un piège ! Mais je ne peux pas supporter qu’on fasse du mal à Mina à cause de moi.
Je ne crois pas l’avoir jamais vu comme ça, Bruce. Si énervé, si déterminé. Il grandit. Il a grandi, en quelque sorte, un peu comme Julian a dû grandir si vite ; ça me brise le cœur. Kit a l’air de savoir à quoi il a affaire (pas seulement aujourd’hui, mais de manière générale) et il sait aussi qu’il ne peut pas s’enfuir. Il doit y faire face.
Round Tom a souligné que Mère Hawthron était imprévisible mais même elle hésiterait avant de violer les Accords au point de faire du mal à Mina. Kit a rétorqué qu’elle avait déjà violé les Accords en commençant par la kidnapper.
En comprenant que Kit allait accepter le rendez-vous peu importe ce que nous lui dirions, Jem a suggéré qu’au moins nous ferions ça selon nos propres termes, dans un lieu que nous choisirions, et en prenant énormément de précautions.
- Comme tu veux, a répondu Kit. Mais je vais rencontrer cette Mère Hawthorn et récupérer Mina.
Et je sais qu’ils sont cousins au sixième degré ou quelque chose comme ça, mais il me faisait vraiment penser à Jace. Je crois que l’entêtement des Hérondale est ancré profondément dans les gênes.
Julian était étonnement silencieux depuis que Kit s’était emporté, et j’ai cru qu’il était blessé, mais ensuite je me suis rendu compte qu’il avait cette expression qui signifie qu’il avait une idée mais qu’il n’était pas encore prêt à la partager. Tout le monde parlait de charmes anti-fée et des runes que Kit allait porter, alors que Julian restait à l’écart de tout ça et réfléchissait… de cette manière qu’il a de réfléchir qui ne ressemble en rien à celle des autres. Complètement absorbé par les réflexions sur son plan.
Je me demande ce qu’il prépare. Je pourrais essayer de lui tirer les vers du nez, mais j’ai appris qu’il vaut mieux le laisser m’en parler quand il est prêt. Mais voir son expression m’a donné plus d’espoir que tout le reste de la conversation.
Emma.
Texte original de Cassandra Clare ©
Traduction d’Eurydice Bluenight ©
Le texte original est à lire ici : https://secretsofblackthornhall.tumblr.com/post/695837806397898752/emma-to-bruce
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Une blonde s'adapte inconsciemment à ses cheveux. Surtout si cette blonde est une brune qui se fait teindre en jaune. Elle veut être fidèle à sa couleur et se comporte comme un être fragile, une poupée frivole, une créature exclusivement préoccupée de son apparence, et cette créature exige de la tendresse et des services, de la galanterie et une pension alimentaire, elle est incapable de rien faire par elle-même, elle est toute délicatesse au-dehors et au-dedans toute grossièreté. Si les cheveux noirs devenaient une mode universelle, on vivrait nettement mieux en ce monde. Ce serait la réforme sociale la plus utile que l'on ait jamais accomplie.
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La valse aux adieux de Milan Kundera.
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maneki-art · 7 months
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Cyberpunk / retro-futurist pin up
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Sept ans après ma blague sur le minitel-punk, voici la nouvelle version de ma poupée cyberpunk à la menthe qui fleure bon les années 80 !
J’ai visiblement évolué un peu plus que je le pensais, surtout coté… heu… courbes.
Trouverez vous les références de cette image?
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Seven years after my joke pic about minitel-punk, (look, sorry, it's French and unexplainable, just think... formica punk or something), here is the new version of my mint flavored cyberpunk doll, with a whiff of the 80's
My style has evolved a bit more than I thought, especially... er... curves wise.
Can you find the reference in this picture?
The old pic / L'ancienne image
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The Time-Lapse
youtube
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we-can-be-heroes · 4 months
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Ptdrrrr je viens de voir une vieille interview avec George Michael et Morrissey et évidemment Morrissey est INSUPPORTABLE (tandis que George est une potite poupée adorable), je me dis mon dieu que je déteste cette pétasse et si j’allais vérifier son signe astrologique pour confirmer la théorie dans ma tête qui est sûre qu’il est gémeaux ? Je vais vérifier… et J’AI RAISON 😭 (je suis gémeaux btw)
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juke-box67 · 3 months
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Discographique 45 tours France Gall de 1965
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Le 20 mars 1965, France Gall remporte l’Eurovision de la chanson à Naples avec « Poupée de cire, poupée de son » (PMD : 5,00€) . Sa collaboration est à son apogée avec Serge Gainsbourg qui lui écrit ses textes et ses musiques . La même année, elle sort également « Attends où va-t-en » du même Serge Gainsbourg (PMD: 8,50€) ainsi que « L’Amérique », écrite par Guy Magenta et Eddy Marnay (PMD: 4,45€). Le 45t « Dis à ton capitaine » aura un succès modeste . ( PMD: 29,99€)
« Poupée de cire, poupée de son » révèle France Gall au monde entier . C’est un morceau écrit par Serge Gainsbourg à partir du 4eme mouvement prestissimo de la 1ere sonate pour piano de Beethoven. Elle représentait le Luxembourg qui gagnait ce concours pour la seconde fois . Ce 45 tours sera numéro 2 au hit parade français, numéro 3 en Belgique mais numéro 1 en Espagne et en Norvège . Il sera vendu à 250000 exemplaires en France mais a 2000000 d’exemplaires dans le monde . France Gall entretient alors une relation secrète avec un certain Claude François qui lui jalouse son succès grandissant , allant jusqu’à rompre leur relation lors de l’annonce de sa victoire à l’Eurovision, expliquant les larmes de France Gall sur le podium de la remise de son sacre. La séparation entre France Gall et Claude François va inspirer à celui-ci, la composition de la chanson « Comme d’habitude » qui sera ensuite reprise par Frank Sinatra sous le titre « My way ».
Serge Gainsbourg démontre une nouvelle fois qu'il est le roi de la métaphore et, en quelques paroles insérées dans cette chanson, il traduit le mal-être ressenti par France Gall à cette époque-là , mais décrit également le merveilleux avenir de chanteuse qu'elle finira par connaître.
Autour de moi j’entends rire Les poupées de chiffon Celles qui dansent sur mes chansons […] Elles se laissent séduire Pour un oui pour un nom(...)
Mais un jour je vivrai mes chansons Sans craindre la chaleur des garçons...
« Poupée de cire, poupée de son » devient un succès international, notamment au Japon . Une version allemande est également écrite et ce morceau devient « Das war eine schöne party » . En Italie, il devient « Lo si, tu no ». Serge Gainsbourg devient riche et décide de se consacrer uniquement à la composition. La chanson sera reprise de très nombreuses fois , y compris par des groupes punk rock ou plus récemment par Calogero ou encore Jennifer dans son album «  Ma déclaration » .
En 1965 , France Gal devient « L’égérie » d’une marque de coloration de cheveux , la marque Polycolor , en sortant un 45 tours commercial ou est repris le titre « L’Amérique » en face A et «  On se ressemble toi et moi » en face B . Ce vinyle, devenu rare et recherché par les collectionneurs, reprend des photos de France Gall avec une évolution de sa coloration capillaire. ( PMD: 15 € )
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