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#Académicien
francepittoresque · 1 month
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18 mars 1907 : mort du chimiste et académicien Marcellin Berthelot ➽ http://bit.ly/Marcellin-Berthelot Le grand savant, l’illustre penseur, avait pris place, de son vivant déjà, auprès des plus hautes figures du XIXe siècle. Sa fécondité était admirable ; sa pensée embrassait toutes les connaissances ; son oeuvre apparaît comme une des plus vastes qui aient été accomplies
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Senghor s'éteignait il y a 21 ans et fait la couverture d'un Bescherelle consacré à l'histoire de la langue française
Senghor s’éteignait il y a 21 ans et fait la couverture d’un Bescherelle consacré à l’histoire de la langue française
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homomenhommes · 3 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 99
Samedi :
Après avoir donné mon cours de " sport " au père de Jean et l'avoir enculé comme chaque samedi matin, je suis rentré à la maison.
Avec Marc, nous avons pas mal discuté. Je lui ai fait part que certains de mes clients m'avait demandé quand je remplacerai Jean. Il a beau être très performant, ils commencent à s'en ennuyer. Comme j'ai un débouché pour Jean avec un des clients de son premier Gang bang qui le voudrait en exclusivité, ce ne serait pas de la perte sèche. Par contre il va falloir que je trouve un jeune mec, tout juste 18 ans mais en paraissant 2 à 3 de moins. Marc me demande comment je vais m'y prendre. Je lui dis que je vais demander à Jean de me trouver un jeune bourge bien coincé, qui lui ressemble (blond, fin, imberbe) avec des parents plutôt absents et de lui faire baiser sa mère, puis je viendrais l'enculer alors qu'il la sodomise. Avec fotos + film, j'aurais le moyen de pression.
Samir qui m'avait entendu (leur service complet à commencé aussitôt) s'approche de nous et me dit qu'il avait peu être un petit beur qui ferait mon affaire. Je lui demande de s'expliquer. Dans sa cité, il connait un jeune comme je cherche qui passe ses journées à glander et dont le père est soul dès 9h le matin. Il me le décrit : 1m65, fin, basané mais pas trop foncé, cheveux noir, visage mignon. Ça me va bien. Il me dit que son père ne s'apercevra même pas que son fils découche. Quand je lui demande ce qu'il entend par là, je ne tiens pas à kidnapper un ado ! Il me répond qu'il a 18 ans, que ce sera pour son salut car sinon, il n'allait pas tarder à être récupéré par une des bandes de trafiquants de drogue du quartier et à finir bien pire. Ça élargirait mon " écurie " et je pense que par un ou en duo avec un blondinet, ça pourrait rendre pas mal auprès de mes clients.
Marc me fait remarquer que ça va me prendre du temps. Je me demande comment tout concilier, mon Marc que j'adore, les plans " putes ", Emma, les cours du samedi matin et nos potes !! Mais bon ! Si nous voulons garder Samir et Ammed à notre service, c'est pas avec mon salaire de dessinateur de Jardin que je vais y arriver. De plus c'est un trip que j'aime bien, ça m'excite d'organiser les rencontres.
Je demande à Samir quand est ce qu'on pourrait le rencontrer son ptit beur. Il me dit que si on veut, il peut organiser ça pour la semaine prochaine. Je lui dis que pour une première fois ce serait mieux de le voir dans un hôtel, si ça collait pas, ce n'était pas la peine qu'il connaisse notre adresse et autres détails intimes.
Le vendredi soir suivant :
Je pars avec Samir dans sa voiture. Quand nous arrivons dans sa citée, à la troisième rue, nous tombons sur le jeune en train de trainer sur les trottoirs. Samir lui dit de grimper à bord. Il obtempère tout content de faire un tour. Samir me le présente et lui dit que nous allons " jouer " un peu ensemble comme il lui en a parlé deux jours avant. Il a l'air tout content. On discute un peu sur ce qu'il fait autrement, rien ! c'est étonnant qu'il ne soit pas déjà embarqué dans une bande. Mais en discutant un peu plus je vois que sans être idiot, c'est pas non plus un académicien ! Nous arrivons à un hôtel à carte. Je prends une chambre et nous y allons tous les trois. La porte fermée je dis " tous à la douche et commence à me dévêtir. Samir fait pareil et Jimmy nous suit. Quand nous sommes tous à poil, je peux le détailler. Il est uniformément basané, pas de marque de maillot, musculature fine, imberbe sauf au niveau du sexe et des aisselles, sexe par ailleurs plutôt petit, visage d'ange, cheveux noir bouclés. Je vais avec lui sous la douche, pas de mouvement de recul de sa part.je le savonne de la tête aux pieds et il se met à bander, à tout casser 14cm sur 3 de diamètre.
Je lui demande de me laver. Il le fait consciencieusement n'oubliant aucun des endroits cachés. Comme je bande, il admire l'engin et le flatte d'un mouvement de va et vient qui l'hypnotise. Doucement il fait glisser le prépuce pour cacher le gland puis le découvrir. C'est vrai que lui est circoncis. Samir nous rejoint. La douche est trop petite et il se savonne en se frottant sur nos corps déjà enduits de savon. Rinçage et séchage. Sur le lit, Jimmy se place entre nous deux. Sur le dos, il prend une bite dans chaque mains. Je suis dans sa droite plus agile que sa gauche. Il nous branle efficacement. Je me penche vers lui et lui demande si il a déjà baisé. Réponse négative, les meufs le trouve trop jeune. Quand je lui demande si des mecs l'avaient touché, il me répond non. Samir me confirme qu'il ne l'a jamais vu accompagné. Je vais me faire un puceau, miammmm. Je me mets sur le dos et demande à Jimmy de se placer à 4 pattes entre mes jambes et de me sucer. A Samir je demande de lui préparer la rondelle. Je prends la tête de Jimmy entre mes mains pour bien le guider dans sa pipe un peu brouillonne (sa première faut excuser !). Quand Samir lui écarte les fesse et commence à lui bouffer l'oignon, il a l'air d'apprécier. Il tortille du cul et laisse passer des gémissements le long de ma queue qui le bâillonne. Je lui dis de se concentrer sur sa pipe. Je lui reprend la tête entre mes mains et accentue la profondeur. Bientôt je viens buter régulièrement sur sa glotte. Pas de crispation notable, pas de haut le coeur. Je me redresse et lui demande de se mettre sur le dos. Je tire sa tête hors du lit pour la pousser en arrière et y remet ma bite. Elle coulisse plus facilement. Je compte bien lui investir la gorge rapidement ! En attendant, je tire ses chevilles vers moi pour lui soulever le cul et les tiens écartées pour que Samir reprenne l'assouplissement de sa rondelle. Quand il relève la tête je vois la progression. L'anus couvert de salive, qui s'entrebâille gentiment. Samir pointe sa langue et force le sphincter. Le ptit Jimmy à l'air d'apprécier. Je continue toujours en parallèle mes coups de rein. Je me décide à enfoncer ma queue plus loin. Je dis à Jimmy de respirer un grand coup et aussitôt après je lui défonce la gorge. Je ressorts rapidement. Il tousse un peu je lui dit de se caller avec mes sorties pour respirer et reprend le travail. Il tousse encore deux trois fois avant de prendre le coup. Sa gorge est divine. Elle m'enserre le gland, le pressant fortement. Comme il ne peut s'empêcher d'avaler, c'est encore meilleur. Je demande à Samir s'il a fini de le préparer. Il me répond qu'il ne lui à jusque là introduit que son pouce. Je lui dis que ça me va. Me faire un vierge étroit, ça me rappellera Pierre et Ric. Je sors de sa bouche et lui fait faire un 180° et tiens ses jambes en l'air pour mettre son cul devant ma bite. Samir approche sa tête de la sienne pour lui prodiguer des conseils pendant que je l'enculerai. Je couvre ma bite de gel et enfonce mon majeur et l'indexe couvert de ce même gel dan son trou. Il sursaute un peu mais Samir lui tient les épaules. Je tourne les doigts plusieurs fois pour bien étaler le gel dans son cul. ;Puis je pose mon gland luisant sur sa rondelle. J'entend Samir lui conseiller de pousser (comme pour chier) quand je commencerai à entrer. Je laisse mon gland sur la rondelle un moment. Je veux qu'il me demande de le mettre, ce qu'il fait, énervé d'attendre. Je pousse alors doucement mais fermement et sans m'arrêter. Mon gland écarte son trou, je pousse il entre entier. Jimmy souffle fort mais encaisse comme un pro. Je continue ma glissade vers ses profondeurs. C'est trop trop bon. Ma bite est serrée, compressée par son boyau. Va y avoir du travail avant de pouvoir le faire saillir par les taureaux de ma clientèle. J'arrive à tout entrer, concentré sur ma bite, je n'avais pas remarqué que Samir l'avait aidé en lui faisant respirer du poppers. Je comprends mieux l'aisance avec laquelle je me suis enfoncé en lui (aisance mais pas facilité !).
Le ptit Jimmy est un peu " parti ", je recule lentement avant de m'enfoncer de nouveau en lui (une couche de lubrifiant en plus). C'est vraiment très bon un puceau. J'augmente progressivement mes va et vient. Ses chevilles dans mes mains, j'écarte ses jambes pour mieux me laisser l'accès à ton trou. Il a l'air souple, je continu et arrive presque à les tenir façon grand écart. C'est un plus non annoncé ! Je me couche sur lui et commence à l'embrasser. Je lui fourre ma langue dans sa bouche et il comprend assez vite qu'il doit la " batailler " avec la sienne. Qu'elle fraîcheur, j'aime l'innocence avec laquelle il aborde cette partie de sexe. Je sens sa petite bite toute raide contre mes abdos. Se contracter et expulser quelques millilitres de foutre. Ça m'excite suffisamment pour qu'à mon tour je me lâche et lui remplisse le cul de mon jus. Quand je sors, je lui demande de bien serrer les fesses pour tout retenir en lui. Il m'obéi et je vois son anus se fermer juste après la sortie de mon gland. Samir le prend dans ses bras et le félicite, du coup Jimmy à l'air très content de lui avoir fait plaisir. (Je saurais plus tard par Jimmy qu'en fait il est un lointain cousin à lui).
Je demande à Jimmy si il était libre ce WE, il me répond -libre comme l'air, son père étant parti en virée avec un pote de boisson.
Après une bonne douche, je décide de l'embarquer et de l'offrir à Marc en avant première. Et puis je dois commencer son éducation/élargissement, il va y en avoir pour quelques semaines avant que je puisse lui présenter ma brochette de TTBM.
Avant de partir, je lui demande ses papiers. Je veux vérifier son age. Il me sort une carte d'identité française prouvant ses 18ans.
JARDINIER
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Dans une ruelle où même les pigeons semblent porter des expressions résignées, se trouvent des boîtes aux lettres qui, si elles pouvaient causer, lâcheraient sans doute de belles vacheries sur la condition postale. Chacune crache le portrait d'une existence aussi vide que le ballon d'un abstème. Il y a là, par exemple, la boîte du numéro 2, aussi déserte que le crâne d'un député en pleine séance. Et puis celle du numéro 3, bâillant aux corneilles, qui n'a pas reçu de billet doux depuis que le gars Graham Bell a joué avec ses fils. Quant à celle du numéro 4, elle affiche un tract électoral, preuve que la démocratie s'exprime plus volontiers sur papier glacé que dans les urnes. Et n'oublions pas la boîte du numéro 5, avec son clapet fermé tel un sarcophage scellé. Sa porte est aussi close que l'esprit d'un académicien à l'écoute des théories d'un punk anarchiste. Mais la palme revient sans conteste à celle du numéro 6, qui dégueule ses pubs comme un bateleur expulse ses boniments. C'est le monde, ça, un fatras de mots jetés sur du papier et pas une paire de mirettes pour se poser dessus.
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codexurbanus · 1 year
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Et allez hop! Un petit film où je blablabla de bon matin, ça vous fera du bien!
Le réalisateur Alain Amiel a demandé à quelques street artists de s’exprimer autour de l’œuvre de Ernest Pignon-Ernest, et je me suis prêté au jeu (il nous demande de nous exprimer sur notre propre pratique aussi, mais bon si vius suivez mon profil a priori vous savez ce que je fais…😜)
Vous pouvez donc m’entendre dire tout le bien que je pense de ce pionnier du street art, aujourd’hui académicien, et comment la découverte de son travail m’a permis de comprendre mieux ce qu’il se passait sur les murs et d’écrire un traité (ou un pamphlet) à ce sujet (« Pourquoi l’art est dans la rue? », Critères Éditions)….
Et en plus vous pouvez visionner tous les entretiens des autres artistes et c’est bien pendant le festival de Cannes 😜
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Let's eat Electress Sophia! Let's eat, Electress Sophia! ...When Grammar Saves (Historical) Lives
Reading baroque letters, you have witnessed me raising my eyebrows at the future William III's dubious French orthography (which académiciens then and now probably would love to send William to The Hague for... Joke's on them) and being greatly amused by Liselotte von der Pfalz's crass vocabulary- now get ready for Sophie von Hannover's lack of commata confusing her future editors:
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The sentence reads as following in translation: My son Maximilian the Raugraf[2] and five others had found themselves surrounded by a group of Tartars, from whence they luckily escaped.
The footnote reads: [2] That Sophia's son, who was in Austrian services, is called Raugraf is connected to her Palatine ancestry.
[Reference]
Now this is absolute nonsense. Raugraf (m) or Raugräfin (f) was the title conferred onto the illegitimate children of Sophia's brother Karl Ludwig, Elector Palatine. Sophie held lifelong contact with many of her nieces and nephews born on the wrong side of the blanket and was eager to help them find their place in life after the Elector's death whose successor and legitimate son had, contrary to his full sister Liselotte, little love for their half-siblings.
So clearly what's going on here is that Sophie wants to say: My son Maximilian [and] the Raugraf and five others had found themselves surrounded by a group of Tartars, from whence they luckily escaped.
Now Karl Ludwig, Elector Palatine was a busy man in the bedchamber and had 13 children with his partner Louise von Degenfeld, but of their sons, only one was still alive when Sophie wrote her letter in October 1698 (five had died young, and two other brothers, Karl Ludwig and Karl Kasimir died on campaign and drunkely fighting a duel in Wolfenbüttel respectively). Karl Moritz (1670–1702) did indeed fight in the Great Turkish War, so it all adds up.
Grammar saves lives-- and sometimes, history.
Because while little inaccuracies like this are amusing to discover, the very real problem with misinformation of this kind, especially in a respected publication, is that it might be reproduced. Instances like this also serve as an example to examine our literature closely, and to read our sources carefully, particularly where changes in language, vocabulary or grammar may obscure the intended meaning to a modern reader.
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minus-61 · 1 year
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LES ANDROIDES - PARTIE II
/ CARACTERISTIQUES /
création & technologies
Tous les androïdes Cyberlife sont créés et assemblés à Détroit, dans des usines totalement automatisées. Leurs membres sont imprimés en 3D puis montés sur une chaine de production. Enfin, la peau synthétique est activée selon l'apparence voulue pour le modèle. Chaque androïde est ensuite initialisé par un opérateur humain et ses capacités cognitives sont testées. Si un androïde montre un quelconque défaut de fabrication ou ne rentre pas dans les normes établies par les protocoles de Cyberlife, il sera alors désactivé et étudié pour trouver d'où vient la faille. 
L'anatomie des androïdes est un système complexe. Un régulateur assure le fonctionnement d'une pompe à thirium, qui fait circuler le sang bleu dans tous les autres biocomposants grâce à des tubes. Les biocomposants ont leurs propres encodages, qui peuvent différer entre modèles d'androïdes (l'intércompatibilité des biocomposants entre androïdes n'est donc pas garantie). Ils peuvent également être modifiés sur demande des propriétaires, afin de répondre à des besoins spécifiques. 
Le thirium est indispensable pour le fonctionnement des androïdes, tout comme l'est le sang humain, ce qui provoque d'ailleurs des tensions dans le monde pour le forage de cette ressource précieuse. Toute perte de thirium peut entraîner des dommages plus ou moins sérieux pour l'androïde, jusqu'à même l'arrêt complet de son fonctionnement. Dans la plupart des cas, si un androïde est endommagé ou hors service, le simple remplacement des pièces abîmées suffira à le remettre en marche. Cependant, si les dégâts sont trop importants ou non traités, l'androïde peut se détériorer de façon irrémédiable. Comme pour d'autres machines, des chocs violents peuvent aussi entraîner des désactivations complètes sans mesure de réparation. 
Le thirium laisse une emprunte bien distincte qui peut, après analyse, révéler le modèle ainsi que le numéro de série des androïdes. Après quelques heures à l'air libre, il s'évapore et devient invisible à l'œil nu. Il laisse cependant des résidus que certains modèles d'androïdes sont capables de détecter. 
Le cerveau des androïdes est extrêmement avancé, leur donnant la puissance de traitement nécessaire pour travailler et interagir avec les humains à un niveau égal ou supérieur. Plus un modèle sera récent, plus ses capacités mentales seront développées. Chaque modèle d'androïde a des capacités différentes, mais la majorité d'entre eux sont capables de reconnaître des individus et des objets avec une vitesse presque égale au temps de réaction humain. L'androïde est reconnu comme un être social non autonome par de nombreux académiciens, pour l'impressionnante mutabilité de son langage en particulier. 
Les androïdes sont aussi capables de communiquer avec d'autres machines, que ce soit par contact direct ou à distance, d'interagir avec tout autre appareil électronique, mais aussi d'autres androïdes. Lorsqu'ils sont en contact direct, leur peau synthétique se désactive localement et laisse apparaître leur structure lisse et blanche. Les contacts indirects fascinent les chercheurs, qui l'apparentent à une forme de télépathie, puisque l'information peut voyager sans réseau et que les "données" n'ont pas de taille et donc de stockage nécessaire. Cyberlife assure qu'aucun serveur extérieur ne collecte les informations emmagasinées par les androïdes. 
On ne peut pas vraiment dire que les androïdes dorment. Malgré tout, tous les modèles, même les plus avancés, ont besoin de moments de recharge. Les variations d'entrée-de-gamme plus souvent que les autres. L'androïde ferme les yeux et entre en stase, plus ou moins longtemps selon l'ancienneté. Cet état de veille leur permet de traiter les informations de la journée et de faire le tour de leur mécanique, pour s'assurer que tout fonctionne comme il faut et signaler, voire éradiquer les potentielles défaillances. Beaucoup de curieux se demandent si les androïdes peuvent rêver, et de quoi ils rêveraient. En attendant d'élucider ce mystère, tous les androïdes sont équipés d'une commande de veille et peuvent donc être "éteints" par leurs propriétaires. 
Les androïdes sont étanches. Néanmoins, toute surexposition reste dangereuse. Les températures extrêmes sont notamment la raison des dommages les plus critiques. Certains modèles qui évoluent dans des environnements à risque sont construits pour être plus résistants afin de palier à ce problème, comme les androïdes envoyés dans l'espace ou les modèles militaires. 
Ils ne ressentent aucune douleur, mais peuvent imiter les réactions humaines afin de mieux s'intégrer. Les modèles enfants peuvent pleurer quand ils tombent de vélo, par exemple. Ces YK400 ou YK500, afin d'avoir l'air toujours plus humain, sont aussi capables d'ingérer de la nourriture, en temps normal totalement inutile pour les androïdes.  
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claudehenrion · 2 years
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La querelle sans fin des “Lieux Saints”, ou la paix interdite…
  En avance sur les conneries des députés de la Nupes sur l'aparthied (sic !) en Israël, nous évoquions récemment la captation de l'héritage des anciens égyptiens des envahisseurs arabes, dans un des plus énormes mensonges de l'Histoire : dans l'indifférence générale, une branche “pistonnée” des peuples sémites peut revendiquer ce qui ne lui appartient pas ! Le grand bêtisier de 2022 vient donc de s'enrichir d'une perle dont on se serait bien passé ! (NDLR : Ce “billet” est un peu long et un peu technique… mais on ne peut pas en faire l’économie, si on veut comprendre le mensonge sur lequel nous vivons depuis un demi-siècle)
Car une fois de plus, les Palestiniens ont été pris la main dans le sac, en train de raconter des “carabistouilles” à la planète entière, comme toujours pétrifiée et dans l'impossibilité de rétablir la vérité ! Mais le scandaleux Mahmoud Abbas verse de l'huile sur ce feu, en pérennisant un discours où il ose prétendre que “La mosquée Al-Aqsa et l'Eglise du Saint-Sépulcre sont à nous, et ils [les Juifs] n'ont pas le droit de les souiller de leurs pieds immondes (…) Chaque martyr ira au paradis, et tous les blessés seront récompensés par Allah”…. avant d'accuser la semaine dernière, en plein ONU, tous les juifs de pratiquer l'aparthied. Mais chaque fois qu'un dirigeant du Hamas a besoin de renforcer son autorité chancelante, il se rue dans le mensonge et encourage ainsi la multiplication des actes terroristes.  
Ceci pose, une fois de plus, la question à laquelle personne n'ose répondre, par crainte d’une vague de grande violence qui, comme toutes les précédentes, n'apportera rien… puisqu'il n'y a aucune réponse à apporter à une question posée à l'envers de ce qu'il aurait fallu… et en tout cas telle qu'on la pose depuis 1925, autour de Jérusalem, “Al-Qods” en arabe (mais c'est en réalité un mot araméen, = le temple, donc volé, comme le reste). Le mot était inutilisé,   absent des des textes classiques : le Coran ne mentionne pas explicitement le nom ‘’Jérusalem/al Qods’’.
Cet abcès de fixation d'une querelle parmi les plus terribles de l'Histoire, tient à ce que Jérusalem serait le point de départ de la montée au ciel de Mahomet (al Mi'raj : l'ascension) : le verset 1 de la sourate al-Isra (ou “Le voyage nocturne” –Cor XVII) dit : “Gloire à celui qui a fait voyager de nuit son serviteur de la Mosquée sacrée de la Mecque (Al-Masjid al-Ḥarâm) à la Mosquée très éloignée (Masjid al-Aqsâ) [... ] pour lui montrer certains de nos Signes. Dieu est celui qui entend et qui voit parfaitement”. Les exégètes musulmans reconnaissent le Mont du Temple (leur “Jabal al maebad”) dans l'expression “la mosquée la plus éloignée”, mais le nom est absent du Coran, et on ne trouve une mention de al-Qods comme lieu du voyage nocturne que dans le récit d'Ibn Ishaq, rédigé environ 150 ans après l'Hégire. Pour les exégètes actuels, (notamment l'historien François Déroche, Académicien, titulaire de la chaire Histoire du Coran au Collège de France), ’’d'après des traditions anciennes, ce voyage nocturne (Leïla al-Miraj) aurait été en direction du ciel, et que c'est plus tard que l’exégèse aurait proposé de faire du mont du Temple, Al-masjid al-aqsâ, le point de départ de l'ascension de Mahomet“.
La localisation du Rocher sur lequel est construit le Dôme comme point de départ du voyage de Mahomet (le ’‘miraj”) n'apparaît qu'au Xe siècle et se renforce après les Croisades (1099-1187). Les premiers musulmans considéraient que cette mosquée éloignée était comme un temple céleste, associé avec la “Jérusalem Céleste” de la tradition hébraïque et l'Apocalypse selon Saint Jean des chrétiens, se rattachant à la ville de Jérusalem bien plus tard, comme semble le montrer l'évolution de la direction de la prière (“qibla” en arabe. En français, on dit ‘’orthodromie’’ ou, plus simplement, direction). Mais comme rien n’est jamais simple, la tradition dit que les musulmans de la première heure priaient vers Jérusalem, la direction de la Mecque ayant été fixée après, par Mahomet lui-même.
Si le Coran mentionne un changement de “qibla’’, il ne cite pas al-Qods, qui n'apparaît qu'à la fin du Ier siècle de l'Hégire. Le Coran évoque la ‘’Qibla’’ pour évoquer un changement subit de la direction de la prière, mais sans préciser quelle était la direction originelle, ni ce qu'est al-masjid al-haram, cette mosquée lointaine. C'est l’exégèse traditionnelle qui associera la première qibla à Jérusalem ou à la Syrie et la seconde, actuelle et universelle, à la Kaaba. En fait, les textes et les exégètes ne sont pas clairs : le verset 1 de la sourate XVII n'est sans doute pas contemporain de ceux qui le suivent, et aucune tradition antérieure à Abd al-Malik (qui a construit le Dôme du Rocher, le grandiose “bayt al-maqdis”, et qui avait donc tout intérêt à la promotion du site !) n'associe Jérusalem au voyage nocturne.
Pour clore cette démonstration, le hadith ‘’Déplacement vers les 3 mosquées’’ spécifie que “les selles des chameaux ne doivent pas être attachées, excepté dans trois mosquées : celle  de la Mecque, celle de Médine, et la mosquée al-Aqsa”, soit deux noms précis et un concept onirique qui n’est pas Al Qods.    Contre toute raison, des traditions vont décréter Jérusalem “La Troisième ville sainte”, à ceci près que sa ‘’sainteté’’ est non pas ‘’Hurma’’ comme le sont La Mecque et Médine, mais ‘’Qudusiyya’’, mot plus général qui qualifie chaque mosquée,  le titre al-Haram ayant été donné à l'ensemble du Mont du Temple en raison de son histoire. La “querelle du siècle” reposerait sur... rien ? Rien que d'y penser…
C'est bien plus tard que, “pour répondre à l'interdiction d'accès aux lieux de pèlerinages chrétiens en Terre sainte par les Turcs Seldjoukides en 1071, les croisades entre 1095 et 1291 ont influencé le rapport de l'islam avec Jérusalem”. Mais la prise de Jérusalem par les croisés en 1099 ’’ne produisit aucun choc, aucun sentiment de nature religieuse’’. Les récits du temps montrent que “la prise de Jérusalem a été perçue comme un changement de maître provisoire, sans caractère religieux. Et même lorsque, au début du XIIe siècle, l'installation chrétienne prend un air permanent, cette opinion indifférente persiste, malgré une christianisation forcée de la ville” : les appels au jihad contre les croisés ne parlent pas de la ville de Jérusalem, ce qui montre ’'le faible empire qu'avait l'idée de la sainteté de Jérusalem sur l'opinion musulmane’’. [NB : les citations entre guillemets sont tirées de “Le caractère sacré de Jérusalem dans l'Islam aux XIIe – XIIIe siècles”, Emmanuel Sivan, Studia Islamica, n° 27]
Le conflit entre arabes et israélien serait donc non pas un conflit entre deux religions, comme on tente de nous le faire croire, mais un “affrontement entre deux mouvements nationaux”. Comprenant le potentiel d'une mobilisation “sacrée” dans le conflit, c'est le grand mufti Amin El-Husseini, un des grands acteurs de l'entrée du fait religieux dans le conflit qui, à partir de 1921, dit : ’'du côté palestinien, s'emploie méthodiquement à utiliser l’islam comme ressource politique’’. Pour Taguieff, à partir des années 1920, un discours récurrent, exploité en particulier par le grand mufti de Jérusalem, est que ‘’al-Aqsa est en danger’’.  ’'L’islamisation de la cause palestinienne a atteint un point de non-retour’’. Ce discours religieux permet aux palestiniens d'unir le monde musulman. En 1931, un Congrès islamique mondial réunissant une vingtaine de pays avait déclaré la Palestine “cause non plus seulement arabe, mais islamique”, ce qui change tout.
A partir de ce moment, tout bascule : l'islamisme s'accompagne de références religieuses et d'une rhétorique antisémite, et le Hamas se définit explicitement comme un “mouvement palestinien spécifique qui fait allégeance à Dieu, fait de l’islam sa règle de vie et œuvre à planter l’étendard de Dieu sur toute parcelle de la Palestine (article 6)”. La libération de la Palestine et le djihad deviennent une obligation religieuse. La polarisation sur Jérusalem dans le conflit israélo-palestinien, à l'origine politique et non religieuse, devient, dès lors, source de propagande et de jeux absurdes et mortifères. Ainsi, pour le grand mufti Muhammad Ahmad Hussein, “le site de la mosquée al-Aqsa a plus de 30 000 ans, depuis la création du monde”... (NB : c’est du grand ‘’n’importe quoi’’  !). Donc, explique-t-il comme si ça avait un sens, “il n"y a jamais eu de temple juif sur le mont du Temple”. Devant un tel culot, on reste coi : que faire et que dire ?
On a du mal à réaliser, une fois les mensonges détectés et les bobards mis à la poubelle –où est leur place–  que l'un des plus grands dangers du monde, permanent depuis 1946 (voire depuis 1921 !), ne repose sur rien de réel, rien de sérieux, sur rien du tout… C'est consternant. Mais je suis intimement persuadé que, en retournant aux sources et en revisitant la vérité historique, toutes les “vraies causes” de nos autres soucis actuels (je pense à l'Ukraine), pour lesquels nous nous enflammons comme s'ils avaient une vraie raison d'être, ne valent guère mieux. Quand je vous dis que le monde est fou…
H-Cl.
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thierrylidolff · 6 days
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MIEUX ÉCOUTER LES INTELLECTUELS : LA DÉMOCRATIE SIGNIFIE SOUVERAINETÉ DES PEUPLES, PAS LIBERTÉ ?
ARTICLE – Pascal Ory : « La démocratie, c’est la souveraineté des peuples, ça ne veut pas dire liberté » Lors du séminaire organisé par L’Association pour le Soutien des Principes de la Démocratie Humaniste (ASPDH), Dominique Quinio, vice-présidente de l’association, a animé le débat « État des lieux de la démocratie » au cours duquel intervenaient Pascal Ory, académicien, auteur de « Ce cher et…
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Marcel Pagnol : "Pour faire mes films, je voulais être libre" https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/les-nuits-de-france-culture/les-archives-sonores-du-cinema-francais-entretien-avec-marcel-pagnol-1ere-diffusion-06-06-1973-7547662
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francepittoresque · 3 months
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27 janvier 1844 : mort de l’académicien Charles Nodier ➽ http://bit.ly/Charles-Nodier Les auteurs français du XVIe siècle furent, dit-on, l’objet de ses premières prédilections, et l’on prétend qu’à huit ans il lisait Montaigne. Modeste jusqu’à l’humilité, il travaillait, dit Mérimée, au jour le jour, cédant sans cesse aux sollicitations des libraires
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wiwsport · 11 days
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Panique à la Cité de l’espace - Gérard Muller
La famille Paturel visite la Cité de l’espace. Leur fille Jade, future ingénieure aérospatiale, conduit ses parents à l’expérience immersive qui vient d’être installée : LuneXplorer qui simule un voyage Terre-Lune, en restituant les sensations d’accélération et les images que peuvent apercevoir les astronautes lorsqu’ils quittent notre Terre, puis lorsqu’ils alunissent sur notre satellite naturel. Une fois que la famille est installée, le 4e passager, qui les accompagne, disparaît subitement lors de l’alunissage. C’est le départ d’une enquête confiée à la police toulousaine dont la capitaine Anaïs Fau aura la charge. Ce roman permettra également au lecteur de découvrir la Cité de l’espace, son ambiance et ses activités.
Gérard Muller, Académicien des Livres de Toulouse et ingénieur aérospatial, a trouvé dans le roman policier une façon de valoriser sa passion pour l’espace en plaçant ses personnages au cœur même de l’action. Ainsi, dans ce livre, le lecteur parcourt les allées de ce centre de culture scientifique qu’est la Cité de l’espace, en se plongeant dans ses diverses expériences immersives, tout en découvrant les nombreux véhicules spatiaux qui y sont exposés. Gérard Muller a écrit plus de 30 polars qui se déroulent en Occitanie pour la plupart, et autant de romans de fiction dont l’intrigue explore tous les continents, de l’Australie en Amérique, de l’Afrique au Moyen-Orient, et de l’Europe à l’Asie. L’écrivain a gagné de nombreux prix littéraires pour ses livres et ses recueils de nouvelles.
ISBN : 979-10-310-1478-4 11,5 X 17, 136 pages, 10,00 €
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stellaworks · 17 days
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Tumblr media
Modèle vivant, deuxième séance réalisé en octobre 2023 sur papier kraft format raisin au oil pitt sépia et au crayon blanc.
Imitation de la gravure des grands maîtres académiciens.
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mllehebdo · 17 days
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Je suppose que l’Académie est enfin en train de s’effondrer. Treize des quarante sièges occupés, et ils n’accepteront même pas ce type? Il a peut-être un passé de scandales, mais je prendrais ce que je pourrais obtenir si j’étais à leur place 😂
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dolorespioger · 3 months
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J adore
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