Tumgik
#écrit architects
jp-arch · 1 year
Photo
Tumblr media Tumblr media
écrit architects // 松阪の家 // 三重県松阪市  
623 notes · View notes
aviel · 2 years
Photo
Tumblr media
Uedayama House by Écrit Architects
56 notes · View notes
mmepastel · 4 months
Text
Tumblr media Tumblr media
Bon j’arrive pas à mettre les photos correctement TANT PIS 🤬.
J’ai lu un bon livre, ça y est, c’est celui-ci, avec ce drôle de titre, écrit par Monika Fagerholm, une finlandaise qui écrit en suédois.
C’est un livre étonnant, qui est très original dans sa composition, un peu circulaire, un peu répétitive. Il est question d’étés successifs en Finlande, sur une côte, où se retrouvent plusieurs familles (aux niveaux sociaux différents d’ailleurs) ; l’une vient d’Amérique et voudrait que sa vie ressemble à celle d’une star américaine ; elle lui emprunte tous ses attributs, attitude, centre d’intérêt, et surtout argent (son mari est riche et séducteur). Voilà pourquoi la narratrice parle de la vie rêvée de la plage, de l’été, sans cesse, jusqu’à ce que ça devienne une rengaine, un tic de langage dépourvu de sens. Elle s’y lie d’amitié avec Isabella, tout aussi attirée par le luxe, le désir d’enchanter chaque instant, passionnée d’elle même et pourtant terriblement désœuvrée, presque le reflet d’une personne, comme celui qu’elle aime regarder dans son miroir. Isabella a un mari et un fils, le passionnant Thomas.
On les suit dans leur amitié croissante, dans la répétition des mêmes rituels. Au début on peut être un peu surpris, voire ennuyé. Mais au fond, la narration cyclique a un effet très concret, celui de donner l’impression d’être avec elles, au milieu de ces journées infinies, que l’on finit par confondre, de sentir cet ennui à la fois mortifère et confortable, le temps se perd même un peu, ajoutant à la confusion, on a des flashs backs et des analepses, peu importe, il n’y a pas vraiment d’avant et d’après mais des fantasmes et au milieu, un jeune garçon, Thomas, qui grandit… il passe de huit à quatorze ans, et après beaucoup de stagnation dans son existence, les choses s’accélèrent tandis que les années soixante se terminent. Le monde change. Les femmes ont sans doute moins envie d’être les potiches, peut-être envie de se prendre en main et de considérer les autres choses que celles qui constituaient leur horizon. Y aurait-il autre chose en dehors de ce cercle familial et amical, au-delà de cette baie et de cet archipel ? On rêve de voyage, on joue à s’en aller, mais c’est dur de passer à l’acte, on risque le vertige, voire la chute.
L’histoire est racontée à la hauteur des yeux d’enfant de Thomas, à qui il n’échappe pas grand chose, même s’il ne comprend pas tout. Il découvre les silences des adultes, devine leurs mensonges, la cruauté et la bonté, la forêt, les fonds marins, joue à être scientifique, architecte, puis archiviste d’une famille en décomposition.
J’ai trouvé que l’enfance et son extra lucidité était incroyablement bien rendue. Ce ne sont pas les femmes que j’ai trouvées merveilleuses, mais cet enfant, sa solitude et sa sensibilité, sa faculté d’absorption et d’adaptation, ses réflexes de survie. Un héros inhabituel, discret et profondément touchant.
3 notes · View notes
swedesinstockholm · 11 months
Text
2 mars
j’ai lu un poème de mary oliver sur l’amour dans lequel elle parle de toutes les personnes et de toutes les choses dont elle tombe régulièrement amoureuse, même furtivement, et elle dit que le soleil est peut être son premier amour. moi je voudrais déclarer mon amour à mes matinées, qui malgré la lassitude et l’exaspération que m’inspirent cette maison, restent une de mes choses préférées au monde. le soir quand je prends mon lithium dans la cuisine avant d’aller au lit, je lui dis à demain! et je lui souris, impatiente de me réveiller le lendemain matin pour la retrouver et faire mon petit rituel du petit déjeuner, rituel sacré, matins sacrés, soleil sacré, temps sacré, douceur sacrée, routine sacrée. mon rituel préféré c’est le petit déjeuner. si jamais un jour on me pose la question.
j’ai passé la journée à écrire et à chanter. j’ai fini mon poème sur les frontières et j’ai tout envoyé au concours du printemps des poètes et puis j’ai écrit une chanson, une reprise de à bien regarder, rachida de sexy sushi en remplaçant rachida par rebeka et en en faisant une déclaration d’amour. j’ai essayé de la chanter en jouant du piano en même temps ce soir mais c’est vraiment pas une mince affaire. mais j’ai vraiment envie d’y arriver. ça m’a rappelé quand j’avais écrit des nouvelles paroles pour little person de jon brion en islande pour la chanter avec austin qui m’accompagnait au piano et qu’on avait fait pleurer tout le monde. j’aime bien écrire des chansons, il faut faire attention au nombre de syllabes et j’aime bien quand ça rime. j’aime bien écrire des trucs qui sonnent bien à l’oral en général.
hier je suis allée boire un verre avec audrey et j’ai passé la soirée à lui parler de mon travail et de mes projets et de mes rêves. un jour une architecte d’intérieur power business woman belge m’avait dit qu’il fallait parler de ses rêves et de ses projets au plus de gens possible, et depuis je le fais. audrey me disait qu’elle se posait les mêmes questions que moi sur sa timidité, si c’était vraiment sa nature profonde d’être timide, ou si ç’avait été causé par quelque chose qui lui est arrivé dans son passé. mais est-ce qu’il existe une nature profonde? intacte, non contaminée par les évènements de la vie? je lui ai parlé de mes années perdues à la dépression et elle disait que je les avais pas perdues, qu’elles faisaient partie de ma vie et qu’elles m’avaient sûrement apporté quelque chose. et j’ai dit oui, mais j’ai toujours l’impression que je dois me justifier quand je parle de ma vie aux gens, quand je dis qu’à 32 ans j’ai toujours pas réussi à organiser ma vie pour qu’elle tienne toute seule, que je sais toujours pas comment faire pour la gagner, financièrement, que j’ai pas trop avancé dans ma carrière artistique non plus, etc. sans parler de ma vie amoureuse, mais je me suis pas aventurée là-dedans. on a discuté pendant trois heures, elle m’a fait beaucoup de bien. elle m’a donné le sentiment que ça va, je suis ok, je suis assez, je peux être comme ça, ma vie est ok, je peux me présenter comme ça, telle que je suis, le non emploi, vivre avec maman, c’est pas si catastrophique que ça, tout va bien, le monde ne s’est pas effondré. tu fais ce que t’aimes, c’est super! dehors dans le ciel jupiter était tout près de venus et la lune n’avait plus rien avoir avec le chat d’alice au pays des merveilles, elle était redevenue la lune, ma complice, mon amie, la témoin numéro un de ma vie sentimentale.
3 mars
cybille a liké ma vidéo de la perf où je dis i met a dancer, she was so beautiful. elle a bouclé la boucle de mes petites histoires de foldingue que je me construis dans ma tête. je me demande si elle s’est sentie concernée. et si laura a. s’est sentie concernée le jour de la perf. éléonore aussi l’a likée. je vous aime tendrement, mes artistes du spectacle vivant.
4 mars
j’ai rêvé de la mort et c’était terrifiant. la mort c’était des petites créatures roses pâle, ou des plantes, ou des bactéries, ou des virus, roses, il y en avait qui dégageaient des gaz verts mortels, elles étaient à la cave et dans les couloirs du métro parisien mais c’était aussi la cave, maman faisait de son mieux pour les éviter et elle y arrivait mais moi je m’avouais vaincue d’avance, je me disais on s’en fout, autant mourir tout de suite. c’était trop dur, je voyais vraiment pas comment je pouvais échapper à TOUTES les créatures roses, y en avait trop, j’étais terrifiée. mais le truc le plus terrifiant, c’était les gros morceaux de ferraille qui tombaient sur un paysage lunaire, attirés par la gravité, avec la musique du père fourras de fort boyard. c’était une histoire de temps, le temps qui déraille, qui accélère ou qui recule, je crois que je voyais dans les coulisses du temps et ça ressemblait à ça, ces gros morceaux de ferraille, des grandes barres avec des trous, des morceaux de grues. je me suis réveillée pour faire pipi et puis je m’en suis rappelé et je me disais que c’était le truc le plus terrifiant que j’aie jamais vu. j’étais morte de peur. surtout à cause de la musique du père fourras. 
7 notes · View notes
whencyclopedfr · 4 months
Photo
Tumblr media
Leon Battista Alberti
Leon Battista Alberti (1404-1472 CE) était un érudit italien, un architecte, un mathématicien et un défenseur de l'humanisme de la Renaissance. Alberti est l'auteur du célèbre traité "De l'architecture", dans lequel il décrit les éléments clés de l'architecture classique et la manière dont ils peuvent être réutilisés dans les bâtiments contemporains. Ses écrits sur la peinture et la sculpture, qui transformèrent les pratiques théoriques des artistes de la Renaissance, eurent une influence encore plus grande. Alberti mit ses idées en pratique et conçut de nombreuses églises dans diverses villes italiennes, la plus influente étant sans doute la basilique Saint-André de Mantoue (1470), le premier édifice monumental de style classique de la Renaissance.
Lire la suite...
2 notes · View notes
focusmonumentum · 2 years
Text
Le Théâtre des Champs-Élysées
Tumblr media
Le Théâtre des Champs-Elysées ne se situe pas à proprement parlement sur le célèbre axe éponyme, mais sur la non distante avenue Montaigne, proche de la place de l’Alma. Construit en 1913 dans un style sobre et rigoureux, le bâtiment est considéré comme l’un des premiers représentants du style Art déco en architecture. Il abrite actuellement trois salles de spectacle et un restaurant au sommet, aligné sur les immeubles voisins.
Il était initialement prévu que la structure soit en acier, ce qui avait poussé son premier directeur, Gabriel Astruc, à choisir les architectes Henry Fivaz et Roger Bouvard. En 1910, Henry Van de Velde est « appuyé » à Bouvard. Van de Velde fait la connaissance d'Auguste Perret un an après ; c'est alors que la structure est envisagée en béton. Ayant fait appel à l'entreprise Perret pour l'ossature en béton, Van de Velde est finalement évincé du projet. Auguste Perret transige un peu avec ses principes : s'il affirme ultérieurement que le « béton se suffit à lui-même », il habille ici la façade de plaques de travertin et le cadre de scène de plaques de marbre de l'Allier, où sont intégrés plusieurs bas-reliefs en partie basse de l’édifice, de gauche à droite, cinq allégories des arts : La Sculpture et l’Architecture, La Musique, La Tragédie, La Comédie et La Danse, en marbre blanc sculpté par Antoine Bourdelle. Les quatre groupes de poteaux intérieurs sont quant à eux laissés visibles.
Il fut inauguré le 31 mars 1913 par un concert de musique française avec la participation de Camille Saint-Saëns : La Mer de Claude Debussy, L'Apprenti Sorcier de Paul Dukas et le Prélude de Fervaal de Vincent d'Indy (toutes les œuvres étant dirigées par les compositeurs eux-mêmes), ainsi que la création de l’Ode à la musique d’Emmanuel Chabrier. À cette occasion, le faisceau de la tour Eiffel éclaire exceptionnellement la façade du théâtre. C'est dans cette salle qu'eurent lieu en particulier deux créations mondiales qui firent scandale : la première fut la création du Sacré du Printemps d'Igor Stravinsky le 29 mai 1913 (sous la direction de Pierre Monteux), qui suscita un formidable tollé où détracteurs et adjuvants en vinrent aux mains ; la deuxième, le 2 décembre 1954, fut la création de la véritable première œuvre musicale « mixte » (à savoir une œuvre pour instruments de musique et dispositif électroacoustique): Déserts d'Edgar Varèse, avec Pierre Henry à la bande magnétique et Hermann Scherchen à la baguette. Le choc inspiré par les interpolations provoqua huées, rires et quolibets. Le scandale qui en résulta fut comparable à celui du Sacre quelques 40 années plus tôt. À la suite de problèmes financiers, le directeur Jacques Hébertot se brouille avec son associé Rolf de Maré (également impresario des ballets suédois) et quitte le théâtre en 1925, abandonnant la direction de la Comédie à Louis Jouvet, et celle du Studio à Gaston Baty. De Maré fait de la grande salle un music-hall et programme une nouvelle attraction : les Black Birds et les danseurs de la Revue nègre. Parmi eux, une jeune femme noire, à peine couverte d’une jupette de plumes verte, les cheveux courts plaqués sur la tête, fait sensation. Il s’agit de la danseuse Joséphine Baker. Sa façon de se mouvoir dans l’espace, d’emprunter des gestes animaliers ou de faire des grands écarts désarticulés bouscule tous les canons de la danse, dans ces "années folles" empruntes de Charleston. Pour certains, cette impudeur est un scandale. Le journaliste Robert de Flers écrit même : « Nous sommes en train de remonter au singe plus vite que nous en étions descendus. » [...] Mais Baker a ses fans. Parmi eux, les peintres Pablo Picasso (qui la fait connaître dans toute l’Europe), Fernand Léger et Kees Van Dongen, les écrivains René Crevel (qui revient chaque soir pendant un mois), Colette ou encore Jean Cocteau. Née à Saint-Louis, dans le Missouri, d’une mère blanche et d’un père noir, Joséphine Baker échappe par la danse à sa condition. Avec la Revue nègre, elle débarque à Paris, qui deviendra sa terre d’accueil, son fameux « deuxième amour », avec son pays. Elle triomphera aux Folies Bergère quelques années plus tard, mais nous y reviendrons à l’occasion. 
De 1949 à 1978, le Théâtre des Champs-Élysées a accueilli les Musigrains, des cycles de concerts-conférences pédagogiques, axés sur la musique classique, avec des incursions dans la musique contemporaine, la danse classique ou moderne, le folk et le jazz. En 1986, à l’initiative de Georges Francois Hirsch, alors directeur général, une rénovation intégrale de la cage de scène de la grande salle est opérée, remettant en valeur les dorures de l'écran de fond de scène en acier, conçu à l'origine comme un monumental coupe-feu en cas d'incendie, leçon tirée des tragiques incendies de l'Opéra Comique et du Bazar de la Charité à la fin du XIXème siècle. 
Le bâtiment comporte de nos jours trois salles de spectacle, ordonnées comme suit : une grande salle à l'italienne de 1 905 places, destinée à l'opéra et à la musique ; une salle moyenne de 601 places (la Comédie) et une petite de 230 places (le Studio), toutes deux consacrées au théâtre. Haut lieu de la musique classique à Paris (avec la salle Pleyel, la Cité de la Musique et la salle Gaveau), le Théâtre des Champs-Élysées a accueilli de nombreux orchestres symphoniques tels les orchestres philharmoniques de Vienne, de Munich, de New York, l'orchestre symphonique de la Radiodiffusion bavaroise ou l'orchestre royal du Concertgebouw d'Amsterdam. L’Orchestre national de France y est actuellement en résidence.
Tumblr media
Le toit-terrasse du théâtre accueillit en 1924 le tournage d’Entr’acte, le moyen-métrage expérimental de René Clair, à l'occasion de l'entracte du ballet bien nommé Relâche, orchestré par Francis Picabia. Représentant la première intervention du cinéma dans un spectacle de danse, Entr'acte est aujourd'hui considéré comme le film précurseur du mouvement surréaliste au cinéma.
22 notes · View notes
timriva-blog · 16 days
Text
Une exposition sur le travail de Renzo Piano et les architectures remarquables des cinémas
La Fondation Jérôme Seydoux-Pathé propose deux expositions captivantes centrées sur l’architecture. Écrit par Elizabeth Sutton  Jusqu’au 23 novembre, la fondation met à l’honneur le célèbre architecte Renzo Piano, qui a d’ailleurs conçu et construit le superbe bâtiment de cet espace dédié au cinéma, situé à deux pas des Gobelins à Paris. Une autre exposition est également à découvrir au sous-sol…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
yes-bernie-stuff · 1 month
Text
Tumblr media
L’apôtre Pierre écrit : « Après que vous ayez souffert un peu de temps, Dieu vous rendra inébranlables. » (1 Pierre 5:10)
Ici, la souffrance est présentée comme ayant pour but ultime de nous rendre inébranlables.
Le terme « inébranlable » signifie que, quelle que soit la puissance qui vient nous secouer, nous restons sereins. Quelle que soit l’amplitude des secousses, nous restons debout.
Dans certaines zones sismiques, les ingénieurs et architectes ont travaillé à rendre les constructions nouvelles, de plus en plus résistantes aux tremblements de terre. 
Ils cherchent à construire, aujourd’hui, des maisons inébranlables. 
L’étude des causes des drames et souffrances des tremblements de terre des siècles précédents ont permis d’améliorer la résistance des maisons d’aujourd’hui.
De même, Dieu désire que nos épreuves et souffrances d’aujourd’hui ne restent pas inutiles, mais servent à améliorer notre capacité à devenir de plus en plus solides dans la foi. Dieu, comme un sage architecte, désire développer en nous des aptitudes à résister de mieux en mieux aux diverses épreuves auxquelles nous pouvons être exposés. Son objectif n’est pas de nous engloutir mais de nous rendre de plus en plus forts et solides. Il vise en chacun de nous une maturité de plus en plus grande. 
Lorsqu’un sportif s’est blessé, il doit récupérer ses capacités antérieures en augmentant progressivement l’intensité de ses efforts. 
Considérons nos souffrances comme des occasions de grandir, de mûrir, de devenir inébranlables. En les affrontant avec cette perspective, nous améliorerons notre force spirituelle. Ce qui, hier, nous semblait être une immense montagne, n’est plus qu’une petite colline aujourd’hui.
« Seigneur, que les épreuves par lesquelles je passe, et que je vais surmonter avec ta force, me rendent plus fort et inébranlable. Que ceux qui passent par la souffrance, avec ton soutien et ta force, soient rendus inébranlables ! Au nom de Jésus, amen ! »Avec amour, Paul
0 notes
christophe76460 · 3 months
Text
Tumblr media
1 Corinthiens 3:10-23
[10]Selon la grâce de Dieu qui m'a été donnée, j'ai posé le fondement comme un sage architecte, et un autre bâtit dessus. Mais que chacun prenne garde à la manière dont il bâtit dessus.
[11]Car personne ne peut poser un autre fondement que celui qui a été posé, savoir Jésus Christ.
[12]Or, si quelqu'un bâtit sur ce fondement avec de l'or, de l'argent, des pierres précieuses, du bois, du foin, du chaume, l'oeuvre de chacun sera manifestée;
[13]car le jour la fera connaître, parce qu'elle se révèlera dans le feu, et le feu éprouvera ce qu'est l'oeuvre de chacun.
[14]Si l'oeuvre bâtie par quelqu'un sur le fondement subsiste, il recevra une récompense.
[15]Si l'oeuvre de quelqu'un est consumée, il perdra sa récompense; pour lui, il sera sauvé, mais comme au travers du feu.
[16]Ne savez-vous pas que vous êtes le temple de Dieu, et que l'Esprit de Dieu habite en vous?
[17]Si quelqu'un détruit le temple de Dieu, Dieu le détruira; car le temple de Dieu est saint, et c'est ce que vous êtes.
[18]Que nul ne s'abuse lui-même: si quelqu'un parmi vous pense être sage selon ce siècle, qu'il devienne fou, afin de devenir sage.
[19]Car la sagesse de ce monde est une folie devant Dieu. Aussi est-il écrit: Il prend les sages dans leur ruse.
[20]Et encore: Le Seigneur connaît les pensées des sages, Il sait qu'elles sont vaines.
[21]Que personne donc ne mette sa gloire dans des hommes; car tout est à vous,
[22]soit Paul, soit Apollos, soit Céphas, soit le monde, soit la vie, soit la mort, soit les choses présentes, soit les choses à venir.
[23]Tout est à vous; et vous êtes à Christ, et Christ est à Dieu.
0 notes
lonesomemao · 6 months
Text
LE VENT AMOUREUX DE MINUIT
Etat grand architecte
Il y manque
La folle sauvagerie de la Poésie
L'individu déterminé par son déterminisme social
Parti du Travail c'est terminé
Maintenant attablons-nous au repas jouissance
De la nomadité des sens
La nouvelle ère ne sera plus celle
De l'architecte sédentaire
Ignorant tout des espaces solidaires
Mais du new self made man or woman
Qui entreprendra vif com la lumière
L'esprit communautaire
Chaque activité sociale devenant
Une course de l'artiste géant créant
Et c'est là dans cet écrit innovant
Que le libertarien de droite
Rencontre le communiste libertaire de gauche
Mardi 19 septembre 2023
0 notes
jp-arch · 1 year
Photo
Tumblr media Tumblr media
écrit architects // 松阪の家 // 三重県松阪市
348 notes · View notes
mokhtarhassan · 7 months
Text
Monumentaux, illuminés for free
ABOUT THE BOOK Monumentaux, illuminés
Cinq architectes utopistes et marginaux se relaient des visions révolutionnaires pour occuper radicalement le territoire québécois.
Déployé sur le fil du 20e siècle, ils saupoudrent sur le paysage de la modernité des projets de société démesurés mais fascinants : mise en scène de la vie de bucheron, exploitation porcine sous-terraine, villages nomades autochauffants, papetières verticales, et quoi encore!
Uchronie mêlant habilement fiction et données historiques, Monumentaux, illuminés est aussi
 l’occasion de savourer la plume rusée et l’érudition bienveillante de Laurent Lussier.
TEXT EXCERPT FROM THE 1 CHAPTER OF THE BOOK Monumentaux, illuminés
La nation canadienne-française reçut son texte fondateur en 1862 avec la publication du Jean Rivard, le défricheur d’Antoine Gérin-Lajoie. Joyeuse, pittoresque, didactique, sa prose est une ode à la destruction des forêts. 
Le personnage éponyme, jeune homme brillant que tout destine à la carrière d’avocat, entreprend, sur les conseils de son curé, de se faire coupeur d’arbres, arracheur de troncs, pulvérisateur d’arbrisseaux, quelque part dans un comté imaginaire au sud du lac Saint-Pierre. 
L’auteur l’affuble d’un compagnon, Pierre Gagnon. Celui-ci appartient à la catégorie des gaillards infatigables et rieurs. On le découvre capable de dompter l’ours et l’écureuil, il fabrique spontanément des meubles, convertit l’eau d’érable en tire et, de sa poitrine forte, fait jaillir mille chansons. 
Pierre Gagnon et Jean Rivard manient « cet utile instrument qu’on pourrait à bon droit regarder parmi nous comme l’emblème et l’outil de la civilisation », la hache, dont « l’acier meurtrier » taille les grands arbres jusqu’au cœur ; ensuite, ils mutilent et dépècent leurs ennemis terrassés et les soumettent « au supplice du feu ». Avant l’hiver, ils sarclent le terrain gagné, pour que rien n’y repousse.
Chaque jour, leur force augmente tandis que la forêt ennemie se couche à leurs pieds. Leur appétit grandit ; heureusement, avant que la faim ne les accable, le ciel se noircit toujours de tourtes dont Jean Rivard abat deux douzaines ; ou alors Pierre Gagnon tend sa seine qui s’emplit de truites et d’anguilles. Ils s’attablent devant une montagne de crêpes, de gibier grillé et d’omelettes au lard puis s’endorment sous une peau de buffle.
Plus leurs travaux de défrichage avancent, plus le sol se jonche des corps morts d’arbres ; ils entassent donc ceux-ci en immenses monticules, y mettent le feu et, devant le brasier aveuglant, croient voir l’incendie d’une ville. Ils recueillent les cendres et les mènent à la rivière, les lessivent, les évaporent, font un salin qu’ils transforment en potasse. La potasse vendue les rend riches.
Au fil du livre, Gustave Charmenil, un avocat raté, vaguement poète, écrit de Montréal à son ami Jean. Gustave est resté puceau, pauvre et dépourvu de gloire. Il se plaint de ses problèmes digestifs, son estomac s’atrophie. Il s’abandonne au désespoir : « Tu ne saurais croire combien je suis dégouté du monde. »
Tumblr media
0 notes
pdj-france · 9 months
Text
Un juge américain s'est rangé du côté des procureurs et a choisi que le suspect des meurtres de Gilgo Beach, Rex Heuermann, devait fournir un échantillon d'ADN, d'après une décision de justice déposée aujourd'hui."La Cour estime que contrairement aux affirmations de l'accusé, il y a des raisons probables de croire que l'accusé a commis les crimes reprochés et, par conséquent, une base pour forcer le prélèvement buccal", a rédigé le juge Timothy Mazzei.Il a en outre écrit que "la Cour estime qu'une comparaison de l'échantillon de l'accusé avec les preuves obtenues", y compris un cheveu trouvé sur une victime qu'il est accusé d'avoir tué et "l'ADN trouvé sur la croûte de pizza et la serviette, fournira une preuve matérielle probante , qu'elle soit à charge ou non".L'accusé Rex Heuermann, tueur de Gilgo Beach, comparaît devant le juge Timothy P. Mazzei au tribunal du comté de Suffolk. (James Carbone/Piscine/Journal)La décision intervient après que les procureurs ont soumis une demande au tribunal pour obtenir un prélèvement buccal – autrement connu sous le nom de prélèvement buccal – d'ADN, a rapporté le bureau du procureur du comté de Suffolk.L'ordonnance fait droit à la requête de la poursuite pour obtenir l'échantillon par écouvillonnage oral en présence de son avocat. Notamment, l'ordonnance du juge indique que des écouvillons buccaux ont été précédemment obtenus de la femme de Heuermann et de ses deux enfants "sur consentement pour une analyse ADN plus approfondie".La décision intervient un mois après que les procureurs de New York ont ​​identifié Heuermann, un architecte costaud de 59 ans qui vivait à Massapequa Park, comme le suspect du meurtre de plusieurs femmes dont les corps ont été retrouvés près de Gilgo Beach à Long Island il y a plus de dix ans. .Melissa Barthelemy, Maureen Brainard-Barnes, Amber Lynn Costello et Megan Waterman - les "Gilgo Four". (Département de police du comté de Suffolk)Il a plaidé non coupable de trois chefs d'accusation de meurtre au premier degré dans les meurtres de Melissa Barthelemy en 2009 et de Megan Waterman et Amber Costello en 2010, d'après les procureurs du Suffolk.Il est aussi le principal suspect dans la disparition et le décès en 2007 d'une quatrième femme, Maureen Brainard-Barnes, d'après un document judiciaire des procureurs. Heuermann n'a pas été inculpé pour ce quatrième homicide, mais l'enquête "devrait être résolue bientôt", indique le document.La preuve ADN est susceptible d'être un facteur clé dans l'affaire.Au sein de la maison du tueur en série accusé de Gilgo BeachUne rupture d'ampleur dans l'enquête de longue date est survenue en janvier, quand les enquêteurs ont récupéré l'ADN de Heuermann à partir d'une croûte de pizza jetée dans une poubelle de Manhattan. Cet ADN correspondait à l'ADN d'un cheveu masculin du fond d'un sac en toile de jute que le tueur avait utilisé pour envelopper l'un des corps de la victime, d'après les procureurs.Les autorités ont déjà des échantillons d'ADN de la femme du suspect, Asa Ellerup. Ces échantillons ont été prélevés dans des bouteilles à l'intérieur d'une poubelle à l'extérieur de la maison commune du couple et ont été liés par des tests d'ADN mitochondrial à des poils trouvés sur ou à proximité de trois des victimes tuées.Mardi, le shérif du comté de Suffolk, Errol Toulon, a affirmé à Erin Burnett de CNN que l'obtention d'ADN est "extrêmement importante pour cette affaire", ajoutant qu'il n'avait "aucun doute" que Heuermann avait tué les trois femmes qu'il est accusé du meurtre.Inscrivez-vous ici pour recevoir nos newsletters quotidiennes et nos alertes d'actualité, envoyées directement dans votre boîte de réception.
0 notes
rideupbands · 11 months
Text
Corde
Ces derniers jours je découvre un nouvel univers. Grâce au TikTok de Alexandre Contart, homme mariée qui écrit des bouquins sur leur vie de D/s. Également j’ai regarder « architecte du désir » sur Netflix, j’en ai entendu parler sur le TikTok, et l’architecte vient chez les gens aménager des sex room, et du coup approfondi les pratique des gens , dans le secret. J’ai trouver ça extrêmement exaltant. C’est deux choses me font frissonner. Lâcher prise, ressentir a fond .. bref ça me stimule fort en ce moment. 22/04/23
0 notes
catherine-geoffray · 11 months
Text
22–05–23 Le galeriste me montre sur son téléphone le bâtiment qu’a conçu sa fille architecte pour un monument funéraire érigé sur une place dans un quartier musulman de Paris en geste à la fois de commémoration et de réconciliation de la ville. Son style en béton fait penser au brutalisme des années 60. Une amie a été invitée à lire des poèmes lors de la soirée d’inauguration. Elle m’a demandé de venir également lire un poème de José-Maria de Heredia, le genre de poésie lyrique déclamatoire que je n’aime pas. Agenouillée au pied du monument, les fesses sur les talons, j’essaie de déchiffrer le poème écrit essentiellement à l’aide de pictogrammes. Seuls certains mots lisibles surgissent de ma bouche. Grandiloquents mais isolés, ils ne veulent plus rien dire. Consternée, mon amie me regarde m’empêtrer dans ce déchiffrage poussif. Je sens la gêne, puis la honte m’envahir. Elle vient à ma rescousse en déclamant à ma place le poème qu’elle connaît par cœur.
0 notes
patern29 · 11 months
Text
Beneteau First 25, un petit voilier d'occasion qui a tout d’un grand
Le First 25, du chantier Bénéteau, a marqué l’histoire de la plaisance. Dans sa taille, 7,50 mètres, il reste un des meilleurs voiliers d'occasion de sa génération. Des voiliers plus récents n'ont toujours pas fait mieux que lui. Dessiné par Jean Marie FINOT, un des plus grands architectes de la plaisance, ce First de 7,50m est sans doute un des meilleurs voiliers de sa génération. C’est en 1979, que Bénéteau et le groupe Finot présentent le First 25, suite logique du First 22. Le chantier sortira 1115 unités en 5 ans de production de ce voilier de croisière. Le First 25 répondait à un programme bien précis, Permettre à une petite famille de partir en croisière sur un bateau confortable, marin, amusant et économique en entretien. Le pari sera réussi, preuve en est le nombre de voiliers que l’on peut encore croiser sur nos côtes. Ce voilier au caractère marin est capable de caboter le long des côtes comme de traverser l’atlantique. Il fait partie des meilleurs voiliers de 7,50m, avec le Kelt 7.60.
L’extérieur du First 25
La première chose que l’on observe quand on monte sur un First 25, c’est son large cockpit. Celui-ci est très vaste et profond ( le bateau n'a pas de cabine arrière). Un équipage de 4 personnes peut manoeuvrer sans problème, sans se marcher dessus. Ce n'est pas le cas de tous les voiliers de cette génération. Deux grands coffres permettent de ranger des amarres, pare-battages, une annexe et beaucoup d'autres équipements. Attention à ne pas en faire des ranges bordel vu la profondeur. A l’époque, le cockpit était considéré comme bien organisé, des modifications auront sans doutes été faites. Il pourra s’adapter à de nombreuses améliorations.  Les hiloires sont très confortables, ils permettent au barreur d’être bien calé. Le passage vers l’avant se fait facilement grâce aux larges passavants bien dégagés.
L’intérieur du First 25
Dans le carré, le First 25 impressionne clairement par son volume. Le carré prend toute la largeur du bateau avec un côté qui se transforme en couchette double confortable. En contrepartie, le bateau manque sans doute un peu de rangements ( équipets pas très larges,…). Le petit coin table à cartes, au pied de la descente est bien pensé et pratique. De l’autre côté, la cuisine en L, est assez bien équipée pour un bateau de cette taille. La hauteur sous barrots est, dans le carré de 1,75m et 1,80m sous le capot. Un cabinet de toilette avec lavabo sépare le carré de la couchette double avant (fermée). Celui-ci est de taille très correct et offre même une petite penderie et des rangements. 4 couchages spacieux La couchette double avant est parfaite pour des enfants ( bien séparée du carré, assez vaste pour pouvoir jouer assis,…). La hauteur sous barrots, à l’entrée est encore correcte pour un parent et permet de bien circuler. Des équipets sont présents, de chaque côté, tout le long de la couchette.
Le First 25 en navigation
le First 25 est sans doute un des meilleurs voiliers de 7,50m de sa génération avec le Kelt 7,60. C’est un bateau vivant et très rassurant quand le vent monte, il passe aussi très bien dans le clapot. Son comportement est vraiment très sain en mer. Cette carène va montrer toutes ses qualités dans 15-20 nds de vent et offrir de belles sensations à son équipage tout en étant très rassurant si le vent monte encore. L’accastillage était de bonne facture à l’époque. Jean Marie Finot écrit : »Au niveau de la carène, nous avons continué ce qui a fait le succès du First 22 : une très grande stabilité, un bon passage dans le clapot, la facilité de barrer et de contrôler aux allures portantes en particulier sous spi, mais également bonne marche dans le petit temps par une voilure généreuse. «
Présentation technique du Bénéteau First 25
Le First 25 est proposé en deux versions, quille relevable et fixe, pas de version dériveur chez Bénéteau. La version quille relevable est aussi, voire plus, performante que la version quillard.
Moteur
Pour le moteur, deux solutions sont proposées : – un moteur in-bord, placé sous le cockpit – un moteur hors-bord, placé dans un puits spécial, à I’arrière du cockpit.
Construction
Le First 25 est construit en polyester monolytique ( coque et pont), c’est du costaud… Le pont étant en stratifié, pas de risque de délaminage. Une chose à éviter : poser le bateau sur sa quille, le bateau n’aimera pas cela et cette dernière peut s’enfoncer, même si la coque est souple ( vous le verrez en le mettant sur bers).
Points à vérifier :
- Le tableau arrière devra être renforcé si vous souhaitez y mettre une chaise. - Les varangues sur les versions QR.. - Les boulons de quille ou le mécanisme de quille relevable.
Fiche technique Bénéteau First 25
Plan Bénéteau First 25 - Longueur de la coque : 7.55 m - Longueur à la flottaison :  6.5 m - Largeur : 2.8 m - Tirant d’eau : 1.30 ou 0.80 / 1.70 m - Poids :  1800 kg - Lest :  700 kg - Voilure :  38 m2 - Grand voile :  12.3 m2 - Génois :  23.7 m2 - Spi :  50 m2 - Catégorie :  3 - Cabine: 1 (5 couchages) - Moteur :  HB en puits ou IB 9ch.
Notre avis sur le First 25 d’occasion?
Le First 25 est très présent sur le marché du voilier d’occasion. Vous pouvez trouver des voiliers d’occasion à tous les prix. Un First 25 se négocie entre 8000 et 3000 euros. Le tarif dépendra surtout de l’entretien général et de son équipement. Sur des unités de cette âge, la présence d’une VHF récente, d’un mouillage complet et d’un jeu de voiles récent ont une incidence directe sur le prix. Et je ne parle pas du moteur, qu’il soit inboard ou moteur hors bord. Enfin, pour ceux qui n’ont pas de places de port ou qui préfèrent les bateaux transportables, pensez à regarder du côté du First 24. Ce voilier transportable a lui aussi une très bonne cote. Il bénéficie, en plus, d’une cabine arrière. Retrouvez tous nos avis bateaux Explorez nos nombreuses fiches voilier avec présentation, histoire, avis et fiche technique. Des fiches que vous ne trouverez pas ailleurs. Nos avis sur de nombreux voiliers Read the full article
0 notes