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#Étoile 1989
blacknarcissus · 6 months
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Jennifer Connelly in Étoile (1989)
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ahorrorgirl · 8 months
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Étoile (1988)
Jennifer Connelly is one of the most beautiful and talented actresses to ever exist.
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citylawns · 2 years
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Étoile (1989) dir. Peter Del Monte.
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mmepastel · 3 months
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Quel beau livre que celui-ci, de Lola Lafon : La petite communiste qui ne souriait jamais. C’est un biographie atypique de Nadia Comaneci, dont je me souvenais, lors des Jeux Olympiques ultérieurs à ceux qui ont fait instantanément sa gloire, ceux de Montréal en 1976. Plus tard, en 1980 à Moscou, ou à Los Angeles en 84, elle était attendue, et je savais l’aura qui accompagnait.
Pendant la lecture du livre, j’ai regardé en parallèle ses prestations lors des moments phares de son parcours en compétition. Comme Lola Lafon, j’ai essayé de scruter son visage, j’ai vu ses sourcils bien droits, ses ombres sous les yeux. J’ai essayé de deviner ce qu’elle pensait, ressentait. C’est impossible. Elle est opaque. Et c’est vrai que ses sourires sont rares, même en 1976, même quand elle détraque la machine à afficher les notes qui n’arrive pas afficher le premier 10 de l’histoire correctement !
Que se passe-t-il dans sa tête lorsqu’au Texas, elle est sommée de monter sur la poutre alors qu’elle a le bras qui la fait souffrir horriblement ? Elle y va néanmoins, exécute la plupart de ses figures sans appui, sauf pour la sortie, ce qui l’emmène droit à l’hôpital juste après la fin de l’épreuve, hôpital où on lui fait comprendre la gravité de son infection, les conséquences possibles qu’elle a frôlées. Peu importe, elle a fait gagner son équipe.
Il y a quelque chose de militaire dans son abnégation, mais de mystérieux aussi. Profondément intime. Peut-être un combo de talent, de volonté et de discipline, un mélange d’égo et d’oubli de soi insolite.
Oui, son entraîneur était spécial, mélange de père débonnaire et de baratineur, mâtiné de tortionnaire. Mais elle l’a aimé, et probablement dominé, à sa manière. Dès son plus jeune âge, elle n’a pas dit ses limites, et elle s’est ainsi protégée des attentes excessives. C’est du moins ce qu’elle dit. Quand on l’écoute parler dans les interviews tardives où elle ressemble désormais à une américaine plus vraie que vraie, il y a quelque chose qui reste opaque. Une façon de ne rien révéler de ses sentiments, de ses émotions. Elle garde ses secrets.
Et pourtant quel destin incroyable. Être une étoile au moment même où le régime communiste du fou Ceausescu se durcit, ce fut au début une chance, avec cet entraîneur Belà qui décida d’égaler voire de surpasser les russes, puis une malédiction. Elle devint alors une vitrine du communiste. Elle vécut la dépossession de son corps. Qui devait rester performant malgré la puberté, la tristesse, la privation. De 1981 à 1989, vivre en Roumanie, c’était très dur, tout autant pour elle que pour le reste de la population. La peur de la délation, la Securitate partout, la nourriture nulle part, le chauffage à 14, des décrets qui condamnent l’avortement, qui exigent des femmes de faire des enfants (5 !) (on est là dans un « réarmement démographique » pur et dur qui fait frissonner). Elle finit par faire de l’ombre à Ceausescu et tomba en disgrâce ; elle était surveillée, traquée, devint le jouet de son fils, jusqu’à sa fuite, de nuit, à pied, à travers la Hongrie, encore mystérieuse, trop proche de l’effondrement du régime pour être bien vue, devenue suspecte. On l’a accusée, en Occident, d’avoir bien profité du système et de l’avoir fui pressentant qu’il était en phase terminale. Et une fois au USA, la traque à nouveau, par les journalistes qui commentent tous ses faits et gestes.
Dans la biographie, Lola Lafon renvoie dos à dos les deux acteurs de la guerre froide. Dans une interview, elle parle de peste et de choléra. Au fond, le capitalisme est-il vraiment synonyme de liberté ? Ici, nos téléphones nous géolocalisent, le corps des femmes est tout autant scruté et commenté, la réussite est tout aussi ardemment recherchée. Elle refuse de simplifier ce conte de fée qu’on voudrait nous faire avaler : la petite fée, l’écureuil bondissant a rejoint l’Occident pour devenir libre ? Pas si simple. Et dans cette biographie atypique où la narratrice fait comme si Nadia commentait ses chapitres, la gymnaste au téléphone ou par mail, nuance la grisaille de la dictature, le soleil des USA, l’absence de liberté. Elle minimise la souffrance. Elle ne s’apitoie jamais.
Plus elle parle, moins elle se révèle et reste une énigme, de celles qui font les mythes.
NB : ci-dessus, les 7 épreuves où Nadia Comaneci a obtenu un 10/10 en 1976 à Montréal, à l’âge de 14 ans et est entrée dans l’histoire, celle de la gymnastique, mais aussi dans la grande.
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roublardise · 5 months
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hi needed to tell you i went to see starmania yesterday....... INCROYABLE j'ai déjà le cd + l'album sur deezer mais je connaissais pas si bien que ça l'histoire avant mais woahhh très honnêtement in love de tous les chanteurs maintenant 😵😵 l'interprete de johnny rockfort en particulier parce qu'honnetement pouvoir chanter aussi haut que balavoine le pouvait c'est juste insanee et aussi la scenographie svp ??? enfin bref si jcontinuais jpasserais 2 heures dessus (en plus tu l'as déjà vu mdr) mais oue 👍‼️‼️💥 incroyablee
HI RIGHT!!! la mise en scène 2022 est vraiment oufissime 😭🤩🤯 les jeux de lumières!!!! mais même les décors ohlala y a beaucoup plus de mouvements. j'avais tjrs regardé et adoré la version de 1989 mais c'est R à côté de ce qu'iels ont fait là ptdrr la technologie vraiment 👍 (j'aime quand même bcp la version 1989 je la trouve aussi plus facile à suivre au niveau de l'histoire (y a pas le gourou par ex) c'est sur youtube si ça t'intéresse de comparer)
toustes les comédien.nes font vraiment un taf de fou je suis d'accord 💕 t'as vu quelle Cristal?? j'ai vu Gabrielle c'était ouf mais je suis trop curieuxse de la version de Lylia j'ai l'impression qu'elle s'approprie plus le personnage (based on les qques petits extraits que j'ai vu et quand elle parle du perso). j'ai envie d'un dvd du spectacle sooo bad j'ai besoin de le revoir illico 😭 les semaines après l'avoir vu j'y pensais h24 avec des étoiles dans les yeux c'est brillant 🤩
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parisbytaylorswift · 7 months
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Film night with Laci!
Tonight is Étoile (1989) and thus far I am in love with this movie oh my god why have I never heard of this before
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dagss · 2 years
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top 10 current favorite movies
taggée par @garnetrena ♥ l'intitulé tombe bien parce que je suis incapable de faire un top 10 de mes films favs of all time, donc voilà 10 de mes films favs à cette minute précise. j'ai essayé de mettre des choses différentes de la dernière fois !
american psycho (2000) dir. mary harron
évidEMMENT. qui est surpris ? personne, c'est mon film fav n°1 ça c'est sûr, c'est après que le top se corse. mais ap est toujours numéro uno. j'ai pas encore fini d'analyser chaque frame de ce film donc je continue à le rewatch en boucle. quel parfait film féministe ♥ also christian bale mon petit mioumiou.
pirates of the caribbean (2003 - 2017) dir. gore verbinski, rob marshall, joachim rønning, espen sandberg
littéralement tout pour moi, cette saga. je triche donc en mettant 5 films en un comme n°2. je connais la trilogie par coeur pcq je la regardais en boucle quand j'étais gamine. c'est l'origine de mon humour et l'origine de mon amour pour le piratecore, c'est toute ma vie j'exagère même pas. et OUI J'INCLUS LES SUITES, YAKOI.
bill & ted's excellent adventure (1989) dir. stephen herek
je l'ai revu y'a même pas une semaine, quel kiff. vraiment si vous cherchez un truc pas prise de tête, regardez ça c'est débile à souhait mais tellement mims, rien de blessant, juste deux himbos qui font des trucs de himbos, et j'aurais pu tricher ici aussi en incluant la trilogie entière qui s'est finie en 2020 avec keanu et alex vieux mais toujours des bisexual himbos. j'ai pleuré à la fin du 3, voilà.
the fifth element (1997) dir. luc besson
sûrement le film problématique de cette liste pcq putain c'est ce connard de luc besson derrière, ça me met en rage si vous saviez. c'est legit un de mes films favs, l'esthétique est folle et le pouvoir de l'amour x1000
volver (2006) dir. pedro almodóvar
penelope mon amour. (oui c'est ça ma review entière)
the prestige (2006) dir. christopher nolan
c'est deux magiciens qui se hate-watchent pour se voler leurs secrets de magie respectifs et c'est très homoérotique, à part ça y'a un plot twist assez incroyable qui est sous tes yeux depuis le début et même au rewatch ça perd pas de sa superbe...... et y'a christian bale mon mioumiou.
at eternity's gate (2018) dir. julian schnabel
c'est un film sur van gogh qui feels like un tableau de van gogh, a-t-on jamais besoin de plus dans la vie ????
an american pickle (2020) dir. brandon trost
l'affiche me foudroie on dirait un film de cinéphile, alors qu'en fait c'est une comédie avec seth rogen, mais je crois que c'est sa meilleure comédie à mes yeux, rien à voir avec les autres, y'a tout. de l'humour et de l'émotion, le tout extrêmement bien filmé, ma vie.
the machinist (2004) dir. brad anderson
vous avez vu fight club ? regardez ça, c'est la même vibe mais c'est beaucoup mieux. et c'est jamais que le troisième film avec christian bale de cette liste. il fait un peu peur, je vous préviens.
ravenous (1999) dir. antonia bird
obsédée par ce film putain !!!!!! j'ai mis que 3,5 étoiles mais somehow il me reste en tête comme un 5 étoiles, je devrais revoir sa note. un western sanglant avec des wendigos et de la musique weird af, c'est le meilleur film qu'on m'ait conseillé. merci encore @wickedwormwood ♥
et bah tiens du coup je tag @wickedwormwood @faisonsunreve @midgemxisels et puis je retag sam @riiversndroads car c'est horrible de décider quels films mettre, let's go 😈
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pauline-lewis · 2 years
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Will you have one on me ?
Cette semaine, j'ai vu la dernière saison de Never have I ever et en voyant le personnage jouer de la harpe, j'ai pensé à Joanna Newsom. À sa musique qui m'évoque tellement de souvenirs heureux — le délice de tomber amoureuse de Bridges and Balloons et de la personne qui me l'avait envoyée dans le même mouvement, assise dans le jardin — et de larmes aussi — pleurer aux Bouffes du Nord pendant Have one on me au moment précis où elle chante When you held me in your arms and I knew that nobody could love me as you love. La transe de cette chanson me prend toujours quelque part dans les marécages de mon imagination. Un crocodile cherchant de la chair fraîche. Elle me fait nager là, tout au fond. Les yeux rivés vers les étoiles chères au cœur d'Emily (la Emily de Joanna mais aussi la mienne, Emily Dickinson, amie imaginaire chère à mon cœur). Joanna Newsom est l'une des étoiles qui brille le plus fort dans ma galaxie. Sa voix, ses mots, cette fréquence qui n'appartient qu'à elle.
En cherchant ce qu'elle fait en ce moment, j'ai trouvé pas mal d'articles faisant référence à elle comme "une fée". Les femmes sont ainsi, des fées, irréelles, fragiles. Quand elles ont de l'imagination, un univers complexe, elles sont soit ça, soit des sorcières. Ça dépend si elles sont blondes et belles. Moi j'ai arpenté la discographie de Joanna Newsom dans tous les sens, même si évidemment mon disque préféré reste Ys, pour ses textes qui me font pleurer et ses envolées célestes. Sa musique n'est pas féérique mais réelle, c'est un voyage initiatique dans des émotions qu'on ne connaît pas vraiment, qui n'ont pas de contours, qui n'existent même pas avant qu'on les entende sous cette forme. Celles qui émergent quand on fait deux pas à gauche après la mélancolie et qu'on tourne à gauche en direction de la tristesse. Qui se nichent dans les entre-deux, quand on se réveille d'un rêve étrange avec l'esprit plongé dans la brume. Moi quand je l'écoute j'effleure les murs froids d'un château étrange, je touche du doigt les étoiles brûlantes, je suis sur ma couverture dans l'herbe à regarder les astres mourir, je suis dans mon propre corps à chercher le rythme de mon cœur, je suis sur un cheval au galop et j'ai peur. Je vais tellement haut, mais tellement bas aussi — il n'y a pas de bons disques qui ne m'emmènent pas là. Tout au fond, au cœur des émotions noires. Je vais dans la colère, dans la joie, dans la forêt humide et mystérieuse. Une fée peut-être, mais une fée bien vénère.
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A Little Touch of Schmilsson in the Night de Harry Nilsson
J'ai toujours adoré les albums qui reprennent des standards, j'aime bien les empiler comme un mille-feuille. La chanson It had to be you a par exemple traversé les années à mes côtés. Chantée par Sinatra bien sûr, telle qu'utilisée à la fin de Quand Harry rencontre Sally. Quand, sorti regarder les vitrines de Noël, Harry voit un couple s'embrasser et qu'il sait. Cette scène de réalisation amoureuse m'a toujours émerveillée et cette chanson y est pour beaucoup. Elle regarde tristement les ballons tomber, il hèle un taxi, et j'ai beau avoir vu ce film 100 fois, je me demande toujours s'ils vont finir par se retrouver. S'il va arriver à temps pour sa grande tirade. Et c'est la voix grave, vibrante et langoureuse de Sinatra qui appuie sur ce besoin de voir les amants se retrouver.
Et puis il y a eu une version de Lisa Ekdahl que je me passais en boucle étant adolescente. Elle était plus joyeuse, parce que la chanteuse avait ce sourire discret dans la voix, comme si elle tordait un peu ses paroles très premier degré. Et Billie Holiday, Ray Charles... La semaine dernière, toujours tandis que je cherchais des news de Joanna Newsom, je suis tombée sur un article sur Van Dyke Parks (qui a fait les arrangements sur Ys — tout cela a un sens je vous le jure) qui mentionnait un disque d'Harry Nilsson dont j'ignorais tout. Il est sorti en 1973, à l'époque où les disques de reprises de standard pour des artistes issus du folk/pop/rock n'était pas encore monnaie courante. Nilsson a donc sorti ce disque magnifique, qui reprend tous mes standards préférés and then some avec ces arrangements de cordes qui font fondre mon cœur. Tout le monde pensait qu'il allait se planter, mais pas du tout. Si votre mood imaginaire préféré c'est chiller avec un verre de whisky dans votre appartement avec vue sur l'Empire State Building alors qu'en fait vous êtes en pyjama à écrire un article de blog avec une tasse de thé (vous n'aime pas le whisky), alors ce disque est pour vous.
Bell, Book and Candle (Richard Quine, 1958)
Je suis contractuellement obligée d'aimer un film avec : Kim Novak en tenues léopard / Jack Lemmon qui joue des bongos / James Stewart / un film en Technicolor. Bell, Book and Candle est un film mignon mais aussi très mélancolique sur une sorcière qui séduit son voisin du dessus. Elle ne le fait pas vraiment parce qu'elle a envie de se marier, mais simplement parce qu'il lui plait. Cependant, elle a peur de tomber amoureuse puisqu'elle perdrait ses pouvoirs magiques et donc son identité. Elle décide de l'envoûter le jour de Noël pour empêcher son mariage à une de ses anciennes rivales.
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C'est un film sur l'engagement, sur ce que les femmes perdent en se mariant (leur particularité et leur indépendance, nous dit le film), mais c'est aussi un film sur la vulnérabilité. Sur la peur de ne pas être aimé·e, sur ce que l'on craint quand on laisse les gens nous voir pour tout ce que nous sommes. Je pensais que j'allais être agacée par le film mais j'étais vraiment émue par le personnage de Novak, même si j'ai ressenti une pointe de tristesse à la fin sur tout ce que le personnage abandonne pour avoir son happy end (son indépendance mais aussi ses tenues goths et son chat — cela dit elle abandonne son commerce d'appropriation culturelle pour vendre des fleurs et des coquillages, good for her). Et visuellement, bien sûr, le film est sublime, la photographie, le technicolor, les effets spéciaux super inventifs bien que discrets, la manière dont Kim Novak (et son chat) sont éclairé·es. Et Jack Lemmon ! Je n'en finis jamais de l'adorer, lui et ses mimiques merveilleuses.
Toute une moitié du monde d'Alice Zeniter (Éditions Flammarion)
C'est drôle parce que j'ai payé ce livre sur la passion de la lecture avec ma cagnotte fidélité à la librairie (bon, moi je trouve ça drôle, vous en faites ce que vous en voulez). Le dernier Alice Zeniter est à mi-chemin entre l'essai et le récit personnel, ça parle du roman et de la fiction, de comment les faire évoluer avec l'époque et de ce qu'on peut en attendre, ça parle d'avoir choisi la voie de l'écriture et puis ça raconte aussi l'expérience de Zeniter d'être une femme dans le merveilleux monde de la littérature.
À la fin du récit, elle explique qu'elle a voulu que ce livre soit une balade et je l'ai vécu exactement comme ça. J'avais l'impression de regarder avec elle les livres de sa bibliothèque, de discuter le long de la plage de Lady Chatterley, de Faulkner, de Julia Kerninon. Cette impression de camaraderie naît évidemment d'une passion commune pour la lecture mais aussi de son humour formidable. Je n'ai résisté à aucune de ses punchline en notes de bas de page et je me suis retrouvée à rire tout fort plus d'une fois. J'admire la manière dont ce livre arrive à être profond mais aussi très sérieux. Et même si elle explique certaines choses que je savais déjà (sur le volet féminisme et littérature), elle apporte un regard tellement intéressant que j'en ai quand même retiré beaucoup de choses. Elle parle de féminisme, de représentation, de vivre avec des personnages, d'écrire alors que le monde va si mal, d'écrire autrement, des héros (masculin intended) de notre enfance. Lu d'une traite et je pense que j'y reviendrai !
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blacksnake3 · 1 month
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“Étoile,” 1989.
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blacknarcissus · 7 months
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Jennifer Connelly in Étoile (1989)
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latribune · 6 months
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baronetcoins · 9 months
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🌹<3🌹
Two roses means TWO SENTENCES
Êtes-vous une étoile?" He asked, for it did indeed look like a star had fallen down to earth and landed just within arm’s reach, had his arms been free. “No.” She laughed.
this is from a henry v (1989) destiny au i've been chipping away at for AGES. very much the definition of "au that exists only for me".
(for every "🌹" received in my inbox i'll post one randomly sentence of a random WIP i'm currently writing)
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citylawns · 2 years
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Étoile (1989) dir. Peter Del Monte.
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pleaserelaxslowly · 10 months
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M2 Defense/ PhD Audition (2023)
As always, I choose a release and listen to it all [week?] long and choose my favorite song and add it to this compilation. At the end of the semester[s?] it makes a nice little time capsule playlist. I listen to the weekly release mostly at home now that I do not have any more coursework. During this time I was preparing for my defense, which I did successfully with a mention of "très bien" and for my audition for the doctoral school at the Sorbonne Nouvelle (Paris III). I was not selected to get a fully funded contract and when they reconsidered the disbursement of contracts, I again was not selected. However, someone from another program within the university declined their contract, so they finally offered me the contract LOL. To get to Université Paris Cité (Paris VII/ Paris V), I take 9 to the Pont de l’alma and cross it to go down into RER C. To get to Paris III at Nation, I take 6 to Étoile and then RER A. To get to Paris III's Maison de la recherche, I take 6 to La motte picquet/ Grenelle and change to 10, getting off at Cardinal Lemoine.
"Arisen My Senses" by Björk from Utopia (2017)
2. "Sweeter Love (Naked & Moody Dub)" by Blue Six from Sweeter Love (1998)
3. "You Have Placed a Chill in My Heart" by Eurythmics from Savage (1987)
4. "Haze" by Lusine from Push (2003)
5. "Tourniquet" by Rasputina from The Lost & Found (2001)
6. "Brandenburg Concerto No. 3 in G Major: First Movement" by Wendy Carlos from Switched-On Bach (1968)
7. "Alright" by Janet Jackson from Janet Jackson's Rhythm Nation 1814 (1989)
8. "You've Changed" by Billie Holiday from Lady in Satin (1958)
9. "American Daughter" by Beach House from Become (2023)
10. "F2 - Drifting Time Misplaced" by The Caretaker from Everywhere at the End of Time - Stage 3 (2017)
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Les personnages
La Team Daisy :
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Daisy Joceline Sarasa : Elle est la princesse de Sarasaland et la colocataire de Tails, le mécanicien de Sarasaland. Daisy était née le 21 avril 1989. Elle est un vrai garçon manqué, Daisy est complètement amoureuse de Mickaël Leamderson. Elle possède aussi une transformation ! Elle peut me transformer en Cure Twinkle comme dans "Go ! Princess Precure" !
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Mary Peach Toadstool : La Princesse Toadstool est une véritable beauté ! Elle était née le 13 septembre 1993. Elle est la Princesse Souveraine du Royaume Champignon et elle est aussi toujours amoureuse de Mario, le plombier (astronaute dans la CSDS). Elle possède aussi une transformation ! Elle peut se transformer en Cure Flora !
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Rosalina Angela Galaxia : Elle est la vigie des étoiles. Elle était née le 1 novembre 1990. Elle est complètement amoureuse de Sonic mais aussi plein de surnoms (Rosa, Rosie, Miss Galaxia). Rosa possède aussi une transformation. Elle peut généralement se transformer en Cure Mermaid.
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Lady Pauline Mayor : Elle était une chanteuse professionnelle. Elle était née le 9 juillet 1991. Elle était régulièrement amoureuse de Knuckles mais elle déteste Donkey Kong qui essayait de la kidnapper. Elle possède toujours une transformation telle qu'elle était Cure Scarlet.
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changetombilefr · 1 year
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Comment un nouveau téléphone empoisonne-t-il les océans ?
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Combien se revend ton ancien smartphone ? (changetonmobile.fr)
La hausse des températures a entraîné un certain nombre d'effets négatifs sur l'environnement, notamment la fonte des zones polaires, les incendies de forêt, les sécheresses et l'élévation du niveau des mers. Les principaux responsables de la catastrophe du réchauffement climatique sont les entreprises de fabrication, de transport et de technologie. Malgré leur fonctionnalité, les smartphones sont fréquemment abandonnés après deux ans en moyenne. Cela constitue évidemment un risque important pour l’écosystème maritime, car la majorité des déchets plastiques finissent dans la mer. Nous vous donnons ici les raisons pour lesquelles un nouveau smartphone est considéré comme une aberration environnementale, notamment sur les océans. Certaines parties de votre téléphone portable peuvent provenir des fonds marins Certaines parties de votre téléphone portable, tablette ou voiture électrique pourraient provenir des profondeurs de l'océan. Les cheminées hydrothermales profondes abritent une grande variété de vie marine malgré le manque de lumière et les températures proches du point de congélation (0°C). On trouve dans ces lieux étranges : • des crabes, • des étoiles de mer, • des pieuvres, • des éponges et même des poissons des profondeurs. Les monts sous-marins générés par les cheminées hydrothermales sont riches en métaux précieux tels que le cobalt (utilisé dans les batteries), le platine (utilisé dans les bijoux et les convertisseurs catalytiques) et le molybdène (utilisé dans le raffinage du pétrole et pour renforcer l'acier). L'exploitation minière en eaux profondes, quant à elle, est depuis longtemps extrêmement préjudiciable. En 1989, une région sous-marine riche en précieux nodules de manganèse, située au large des côtes du nord du Pérou, a été exploitée à titre expérimental pour étudier l'impact de l'exploitation minière.  Des résidus de mines dans les océans La plupart des gens n'ont cependant pas conscience de l'influence des téléphones portables sur notre écologie. Avez-vous déjà examiné l'intérieur d'un téléphone portable ? Si oui, vous savez qu'ils sont construits à partir de différents métaux. La majorité des téléphones sont fabriqués en fer, aluminium, cuivre, or et étain. Ces métaux proviennent de mines situées au Brésil, au Pérou et en Chine. L'une des raisons pour lesquelles les téléphones portables ont un impact sur l'environnement est le processus d'extraction de ces métaux. Lorsque l'homme extrait des métaux, il produit des déchets. Les déchets miniers sont appelés "résidus miniers". Ces derniers ressemblent à de la boue, mais les produits chimiques qu'ils contiennent sont très dangereux. Les sociétés minières font tout leur possible pour stocker les résidus en toute sécurité, mais des accidents peuvent se produire. Les fuites de résidus miniers représentent un risque important pour les écosystèmes. Une fuite de résidus miniers au Brésil a tué 19 personnes en 2015. Les eaux usées ont parcouru 650 km entre le site de déversement et l'océan Atlantique. Elle a nui à la vie aquatique et végétale en cours de route. Les fuites de déchets ne sont pas le seul problème des mines de métaux. Des métaux connus sous le nom de "terres rares" sont extraits en Chine pour être utilisés dans les téléphones portables. L'extraction de ces métaux nécessite l'utilisation d'acides extrêmement dangereux. Comment les entreprises chinoises se débarrassent-elles de ces acides et autres déchets miniers ? En 1958, elles ont commencé à utiliser le lac Baogang Steel and Rare Earth en Mongolie, connu actuellement comme le lac de déchets technologiques du monde. Ce n'est pas un lac dans lequel on peut se baigner ! Il est rempli de déchets provenant de l'exploitation des terres rares. Les industries minières utilisent de longs pipelines pour transporter les produits chimiques et les déchets vers le lac.
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