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#vieillard
galeriedali · 1 year
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portraituresque · 1 year
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Fabien Vieillard Launay (French, 1877 - 1904) - Self portrait
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transvomelsass · 8 months
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Okay but at what point do I introduce a Monk NPC in my campaign but with a fucking frock and a tonsure
Catholic monastic geriatric cheesemaker who just happens to trippel Somersault your ass into fucking high kick, call it the Karmeliet Special
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lefresne · 11 months
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gawain insulting uriens its giving burn of the century
(from Le Livre d'Artus, p.67)
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guesswhogotaname · 2 years
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Petite idée qui traîne dans mes brouillons☀️
Bah dit donc, ça faisait traping longtemps les djeunes qu'on avait pas causé tranquillou ! Je fais un comeback la mif après un loooooong moment de silence (en même temps, il y avait Kenobi, les teaser de la nouvelle série du seigneur des anneaux, faut pas m'en vouloir de m'être perdue) mais kaamelott c'est comme rentrer à la maison après les vacances, ça fait du bien de prendre de la distance, mais on est tellement heureux de rentrer chez soi... Bref... Sur ses belles paroles, emplies de sentiments et de poésies, je voulais vous partager une idée qui attendait dans mes drafts depuis des siècles...
« La mort n’est qu’un autre chemin » disait un proverbe quelconque, prononcé par un abruti qui se pensait génie visionnaire. 
Non, la mort est une épopée périlleuse, pénible, encore plus épuisante que la vie même. Les chanceux mourraient heureux, pénards, en plein sommeil. Mais Arthur Pendragon ne faisait pas parmi de ces chanceux-là. Sa vie avait été une longue suite de mésaventures plus ou moins catastrophiques et absurdes. Pour qui il se prenait pour penser bêtement que sa mort allait être paisible ? Même avec ses cheveux gris et ses rides, qui n’étaient qu’une preuve du temps qui passe inlassablement, des gens venaient quand même le faire chier. Et plus particulièrement une fée qui proclame à trois heures du matin, alors qu’une toux l’assène, qu’elle doit l’emmener à Avalon. 
Et puis quoi encore ? Sa vie avait été au service des Dieux, son destin tout tracé dès l’âge de trois ans où de la pierre il avait retiré l’épée. 
Sa mort, elle lui appartenait. 
« C’est pénible de mourir. » pensa Arthur, agacé, alors qu’une nouvelle quinte de toux brûlait sa gorge.
Dans son souvenir, ce n’était pas comme ça. 
En temps que Roi, il avait frôler la mort plus d’une fois, au combat par exemple, c’était un instant insaisissable, une seconde où le monde se renverse, et le temps se suspend, l’épée qui porte le coup de grâce, et la force salvatrice qui l’évite, promettant de vivre un jour de plus. La mort ou la vie, étrangement lié, à quelques secondes près. 
Il avait cherché la mort aussi, un moment perdu, l’eau chaude du bain, les yeux qui peinent à rester ouvert, cette sensation de se laisser glisser lentement, le cerveau devenu bouille de rêves, tout qui s’arrête, ralenti, la machine infernal qui enfin, s’éteint. Une autre fois alors que les ruines de son ancienne demeure s’effondrait, lui offrant le parfait tombeau, pour lui et sa culpabilité. 
Ces tentatives avaient été des échecs terrible : il avait survécu à tout. Le « destin » sans doute, qui avait à chaque fois décidé de l’épargner. 
Alors il avait vécu, profitant, jouissant, dévorant les secondes qu’on lui offrait. Il avait rempli son devoir de souverain : protéger et gouverner son peuple. Tardivement, il avait rempli son rôle d’époux. Il avait chéri ses amis et battu ses ennemis. Et voilà.
Bien-sûr, il n’avait pas trouvé le Saint Graal. Bien-sûr il avait échoué dans l’unification total d’une nation celte. Bien-sûr, il n’avait pas fait tout ce qu’il aurait dû, aurait pu faire. 
Mais il était en paix et comblé de cette pérégrination sur la Terre. 
Hélas, la mort ne venait pas. 
« C’est compliqué de mourir. » Il rectifia à lui-même, et il eut cette réflexion de vieux con qu'il avait toujours méprisé dans sa jeunesse, mais qui, en vieillissant, était devenu son adage "Aujourd’hui tout est compliqué."
Monter les escaliers de pierre de sa forteresse était un supplice pour ses vieux genoux. Se baisser pour ramasser une fleur, un papier, ou même son épée, étaient une torture, son dos en miette, grinçait comme une vieille porte. Devoir rester éveillé lors des audiences ou autres séances de doléance, un calvaire. Il s’endormait, et ronflait comme un bien heureux lors des réunions sur la stratégie de la défense du royaume. Les progrès technique au niveau militaire le laissait bouche-bée, dépassé, on lui disait "Mais Sire, maintenant, on ne fait plus comme ça..." Et la nouvelle génération avait forcément raison.
Son corps et son esprit étaient épuisés de sa longue et trépidante existence. C’est vrai, il avait tout fait : orphelin, soldat à la milice romaine, centurion, Dux bellorum, Roi de Bretagne, exilé, mendiant, esclave, puis roi de nouveau. 
Il essaya en vain de se redresser sur ses oreillers. Les servantes dormaient déjà, épuisées de leurs corvées, et il n’avait pas le cœur à les emmerder davantage. 
Arthur ne put contenir le dessin d’un sourire, il s’était adouci au fil des années. Il n’avait jamais été cruel ou tyrannique, et on lui avait reproché bien souvent sa « gentillesse » ou de son « altruisme ». Depuis qu’il était membre du club du troisième âge, il s’était ramolli, comme un bonbon au miel laissé une journée au soleil. 
Quand il voyait les servantes monter les escaliers pour lui apporter son petit déjeuner, il les remerciait chaleureusement de leurs terribles efforts. Elles gloussaient « Oh Sire, vous être trop bon avec nous ! », et du coin de l’œil, il jurait reconnaître les traits de Nessa. Parfois, il confondait. La petite cuisinière était le portrait d’Azenor. Le fils du seigneur Aglován avait le même regard ahuri et benêt qu’Hervé de Rinel. 
Tout se mélangeait : les visages, les prénoms et les souvenirs. 
Ceux qu’il avait fréquenté avaient disparu, ou comme lui, étaient assis parmi les vieillards, qui prenaient la poussière, des grimoires, emplis de sagesse d’un autre temps.
Beaucoup étaient rentrés chez eux, et avaient laissé la place à leurs descendants pour habiter le château. 
Les chevaliers qui comptaient dorénavant à la Table Ronde, il les avait connus, adolescents, bambins pour certains. Il voyait le seigneur Lucan dans les couloirs, et il ne pouvait pas effacer l’image du petit garçon aux joues rondes, pas plus haut que trois pommes, qui lui courrait dans ses pattes en l’appelant « oncle ». Le pauvre, il rougissait d’embarras à l’évocation de ces souvenirs, et le cœur d’Arthur en était gonflé d’attendrissement. 
Alors qu’il était profondément perdu dans ses remémorations, comme souvent pendant ses nuits d’insomnie, il entendit comme un chant.
« Arthur… Arthur… Arthur… »
En plus d’être un vieillard, il devenait maboul. Il regarda autour de lui, méfiant. Il tendit l’oreille, guettant le moindre bruit…
C’est alors que dans un tourbillon de lumière, un nuage d’or et de bleu, une silhouette apparut au pied de son lit. 
Arthur, qui avait passé plus de quinze ans avec les apparitions de la Dame du Lac, ne fit pas totalement terrifier. Il risquait l’arrêt cardiaque à chaque instant. 
Le brouillard se dissipa et une femme se tenait là. La peau pâle telle la mort. Les cheveux aussi sombres que la nuit, attaché en chignon, et sur son front pendait un lourd diadème blanc, brillant comme une étoile. Des yeux d’un vert amande et sur ses joues des spirales étranges, des larmes noires. Elle était habillée d’un immense manteau en fourrure d’ours. 
« Ravie de vous revoir Arthur. Ça faisait longtemps… » 
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mona-liar · 2 years
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Le timing comique de ce film est impeccable
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lejournaldupeintre · 10 months
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Kate et les vieillards
Numeric etching / Briat 2023 – – – – – Le journal du peintre Les tableaux du peintre Painting news project Twitter – – – – — – – – – – Le journal du peintre Les tableaux du peintre Painting news project Twitter – – – – – – – Le journal du peintre Les tableaux du peintre Painting news project Twitter – – – – — – – – – – Le journal du peintre Les…
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revuetraversees · 2 years
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Gilles Marchand, Le soldat désaccordé, Aux Forges de Vulcain, Rentrée  littéraire août 2022
Gilles Marchand, Le soldat désaccordé, Aux Forges de Vulcain, Rentrée  littéraire août 2022
Une chronique de Nadine Doyen Gilles Marchand, Le soldat désaccordé,  Aux Forges de Vulcain, ( 207 pages, 18€) , Rentrée  littéraire août 2022 Titillé par sa formation d’historien, Gilles Marchand  a choisi de revenir à un roman où l’Histoire est en toile de fond. Il situe donc son récit à la période de la première guerre mondiale. Au vu de l’impressionnante liste de ses remerciements, on…
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galeriedali · 1 year
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random-brushstrokes · 1 month
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Théophile Alexandre Steinlen - Vanité d'un vieillard & La rencontre (ca. 1890s)
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manoelt-finisterrae · 4 months
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estar
@les-cris-des-fendues: VINT L'ÂGE DE FAIRE LE MONDE Vint l'âge de faire le monde je le fis J'ai vécu toutes les vies celles des mères des vieillards avec des cris des chants secrets tous ceux des temps de tous les temps tous ceux à naître ou déjà nés et pour durer et pour rester debout Françoise Coulmin
© Manoel T, 2024
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victusinveritas · 8 months
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Le Vieillard et Les Nymphes, from Pierre Louÿs’ Les Chansons de Bilitis by Georges Barbier (1922)
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coolvieilledentelle · 8 months
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À tous les jeunes qu'on a connus. avant..
Et qui sont des vieillards. maintenant ! À toutes ces filles jadis si coquettes Maintenant en maison de retraite. Pour nous souvenir, prenons un instant Tant qu'il en est vraiment encore temps ! À tous ces garçons, hier si charmants Et qui, aujourd'hui, sont grisonnants, À toutes ces filles en mini-jupettes Ridées désormais comme des poires blettes, J'envoie ce message important Pour nous moquer un peu de nos tourments. On vieillit, on vieillit, On est de plus en plus raplati, raplati. On a la mémoire comme une "passette" On a du mal pour enfiler nos chaussettes. On est tout rabougri, déjà amorti, On oublie même parfois ses anciens amis. À tous mes virtuels correspondants Qui sont chaque jour devant leur écran À tous mes amis qui, par internet, M'envoient souvent des "blagounettes", Je souhaite qu'encore longtemps Nos échanges soient récurrents. Amitiés à tous ! Ceux qui se plaignent de vieillir doivent se rappeler que  c'est un privilège refusé à beaucoup !
Charlotte
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coovieilledentelle · 13 days
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À tous les jeunes qu'on a connus. avant..
Et qui sont des vieillards. maintenant ! À toutes ces filles jadis si coquettes Maintenant en maison de retraite. Pour nous souvenir, prenons un instant Tant qu'il en est vraiment encore temps ! À tous ces garçons, hier si charmants Et qui, aujourd'hui, sont grisonnants, À toutes ces filles en mini-jupettes Ridées désormais comme des poires blettes, J'envoie ce message important Pour nous moquer un peu de nos tourments. On vieillit, on vieillit, On est de plus en plus raplati, raplati. On a la mémoire comme une “passette” On a du mal pour enfiler nos chaussettes. On est tout rabougri, déjà amorti, On oublie même parfois ses anciens amis. À tous mes virtuels correspondants Qui sont chaque jour devant leur écran À tous mes amis qui, par internet, M'envoient souvent des “blagounettes”, Je souhaite qu'encore longtemps Nos échanges soient récurrents. Amitiés à tous ! Ceux qui se plaignent de vieillir doivent se rappeler que  c'est un privilège refusé à beaucoup !
Charlotte
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mutant-distraction · 5 months
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le vieillard
by Vanil - Noir on Flickr
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voluxpa · 2 months
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-- VAPOS -- dieu des eaux calmes; vieillard sage, aime se mélanger aux mortels. invoqué en recherche d'une paix de l'âme et de l'esprit. animal totem : la tortue
crédit icons : LUX, crédit idée : GAZAL. nb; ce dieu est une invention sortie d'une imagination fertile et incroyable. je ne peux que vous encourager à zieuter ses pl sur le serment de l'encre que je vous joins en commentaires.
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