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#trépanation
philoursmars · 1 year
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Je reviens à mon projet de présenter la plupart de mes 55000 photos (nouveau compte approximatif. On se rapproche du présent !).
2016. Une journée à Paris. Le Musée de l’Homme:
- Saint Ambroise, ruche - Pays-Bas
- crâne trépané de gaulois bellovaque - Oise, environ -1000av.J-C.
- statuette, Ugarit
- démon chrétien - Papouasie 
Pour le reste : variété de chèvres élevées et de piments cultivés, yourte, minibus africain et prothèses...
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beatlesonline-blog · 2 years
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albert-prous · 2 years
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E2356
une trépanation longue et réussie nous a permis de comprendre le pourquoi du vide plus un mot plus une lettre déchets points virgules débris depuis combien de temps cet état impression normalité automatisme des nerfs grenouille disséquée épellation
prous
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skullissima · 6 years
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Crâne Trépané
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lucysskeleton · 6 years
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Trephined human skull, Bolivia, not dated, Museum of Surgical Science of Chicago
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hugopayan · 5 years
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profenscene · 3 years
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Samedi 18 septembre
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Dans sept mois, le grand spectacle des élections présidentielles connaîtra son vainqueur. Et déjà, la course a commencé. Le problème, comme beaucoup de séries qui durent, c'est l'incapacité de cette grande rigolade à se renouveler. On retrouve systématiquement les mêmes épisodes : les candidats qui se déclarent (avec les oooh et les aaaaah du public), les affrontements sur les plateaux télé - oui oui, le média qui devait être relégué aux oubliettes par YouTube - et, bien entendu, les débats sur les sujets de société.
Et parmi eux, l'indémodable classique, celui qui fédère les grands et les petits : le statut des enseignants. Avec une régularité qui pourrait remplacer une horloge atomique, on se demande entre journalistes aux mines sérieuses si les profs travaillent assez, s'ils ne sont pas un peu trop payés quand même, et s'ils sont si compétents ça, quand on vois que "le niveau baisse". (depuis le temps, le niveau doit être perdu quelque part entre les abysses et le septième cercle des enfers).
Une collègue, connue sur Twitter sous le doux pseudonyme de Mahaut d'Artois pestait il y a peu, se demandant pourquoi ce sujet revient systématiquement sur la table, et pas le statut professionnel des croques-morts ou des fildeféristes. (J'ai rajouté fildeféristes parce que j'adore ce mot).
Je ne chercherai pas à me lancer dans une analyse sociologique, n'en n'ayant pas les compétences. Mais cette énième apparition du débat me fait penser à un gag de Mafalda, dans lequel sa copine Susanita prétend que son père gagne plus que celui de Mafalda. Quand cette dernière lui demande comment elle peut l'affirmer, Susanita a cette réponse géniale : "Il ne s'agit pas d'affirmer quoi que ce soit, mais de respecter l'idée que j'en ai."
Je pense qu'une des racines de ce que l'on appelle vilainement et un peu simplement le "prof-bashing" vient de là. Comme je l'ai souvent écrit ici, presque tout le monde a longuement fréquenté des enseignants. Et a forcément développé des jugements quant à la profession. Or, ces jugements, parfois infondés, sont un carburant fabuleux pour alimenter des polémiques faciles, et donc télégéniques. Les choses iraient mieux si les profs étaient davantage présents dans les établissements scolaires, s'ils enseignaient plusieurs matières, s'ils étaient formés à Montessori, Freinet ou Dorothée. Les profs sont des privilégiés, qui passent leur temps à boire du café en préparant leur prochaine grève rémunérée. À croire que dès le CAPES passé, notre premier cours de formation consiste en une trépanation qui nous transformera en feignasses de compétition, dont le seul but sera de faire souffrir des élèves et d'en foutre le moins possible.
Je pense qu'il y a quelque chose de fondamentalement rassurant, dans ces discours agaçants. Parce que l'Éducation est un enjeu primordial et complexe. Un jeu auquel aucun candidat ne gagnera jamais. "S'il y avait un ensemble de méthodes qui fonctionnent à tous les coups, vous ne pensez pas qu'on l'appliquerait depuis des années ?" C'est généralement ainsi que je clos les débats lorsque je fais également face à ces questions. Parce que je sais que je ne pourrai pas convaincre un interlocuteur qui, comme Susanita, veut que l'on respecte son idée. Aimerait que les élèves et les écoles aillent mieux grâce à quelques mesures simples, qui avantageraient les gentils et puniraient les méchants. Mais, et c'est peut-être l'une des spécificités les plus importantes de ce métier, le succès ou l'échec d'une journée de cours repose sur bien plus que l'investissement et la conscience professionnelle.
Alors que faire ? Personnellement, je tente de ne rentrer dans des polémiques que sur des points précis, sur lesquels j'essaye d'être le mieux renseigné possible. Et puis j'écris. Je parle. Le plus possible de mes journées, de mon quotidien, afin de déconstruire cette image des profs de plateau télé. Ce n'est pas une croisade ou une quête personnelle. C'est juste tout ce que je me sens de faire pour l'instant.
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digiflimz · 5 years
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The Dead Don’t Die
Jim Jarmusch, 2019
Je connais pas la filmo de Jarmusch (j’ai tenté et abandonné en cours de route Ghost Dog tellement ça m’endormait), je ne jugerai cette croute qu’à l’aune d’elle même et de mon humeur du moment. C’est un pur navet. A trop vouloir faire le malin et mêler références peu subtiles, humour « décalé » qui tombe à plat, satyre politico-sociale vaine car déjà vue partout ailleurs, parfulm de nanar blessant à force de vouloir être sardonique, et air parodique absolument inefficace à trop être sage, on se casse la gueule, y’a pas de mystère. Au lieu de choisir un axe et de s’y tenir, le flim se perd dans de multiple directions sans jamais en suivre une et finit par être totalement irritant à force de d’importe quoi qui n’aboutit sur rien. Seuls les intellectuels prout-prout pourront y voir une tentative sérieuse de dénoncer le système (ou alors c’est le système hollywoodien qui est dénoncé ? Mais ça me parait être une excuse peu crédible), et le reste se perdra entre quelques passages vaguement marrants à base de comique de répétition, et une pluie d’incohérences et de moments wtf consternants. Bref, y’a pas grand chose à sauver malgré le casting 4 étoiles, si ce n’est peut-être la fumée noire qui s’échappe des zombies décapités, qui aurait pu être intéressante si bien exploitée. En l’occurrence, je pense que c’est juste un effet visuellement sympa plaqué à la va-vite et sans réelle réflexion. Mais je pourrais me tromper.
1/6 J’hésite à me faire une trépanation pour tenter d’oublier ce truc, alors la galette, hein...
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basilepesso · 5 years
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...si c'est par un inconnu, on y est, c'est de la plus grande gravité. Si c'est par un homme connu de la victime, il y a de très fortes chances que ce soit un arabe jaloux ou déçu amoureusement.
Basile Pesso, Free/ChristLand, 18 juillet 2 019, 1e diffusion ce jour-là (Fb) (Voir également, en commentaires, mon addition sur le journal télé de France 2 de 13 heures, avec les sujets abordés tels que “ la serviette de plage, un incontournable de l’été”, et UN MASQUAGE TOTAL DE CE FAIT BARBARE. N’étant pas coutumier des journaux télé depuis très longtemps, et ne travaillant pas dessus, je ne peux rien dire sur la fréquence de ces masquages. Mais vu l’état de trépanation de la population, j’imagine qu’ils sont...quotidiens. Voilà.)
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"Les faits se sont déroulés dans la nuit de mercredi à jeudi dans le centre-ville de Toulouse. Vers 2H00 du matin, une jeune femme de 36 ans se trouvait chemin Linières, à quelques mètres de son domicile, lorsqu'elle a subi une violente agression.
Pour une raison encore inconnue, un individu s'est jeté sur elle. Il l'a égorgée puis l'a poignardé à deux reprises à la poitrine, avant de prendre la fuite.
Les cris de la victime ont alerté les voisins qui se sont précipités à son chevet. Pendant que certains effectuaient des points de compression afin de stopper l'hémorragie, d'autres ont appelé les secours. La trentenaire a été transportée à l'hôpital où elle se trouve dans un état critique. Quant à son agresseur, ce dernier n'a pour l'instant pas été identifié." Article de La Dépêche : “Une mère de famille égorgée en pleine nuit à Toulouse à côté de chez elle“
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atelierencrage · 6 years
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Pochette de disque de tÖne • 40 cm x 40 cm • impression blanc et argenté sur papier maya 270 g (couleur : bleu rouge marron cuivre) • Artwork Klaus Walbrou
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vuillard · 2 years
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sometimes like i forget that things would work in many ways. fisting poem-> trépanation narrative. both r about holes just different ones LOL
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wanderdlust · 6 years
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Mon écrit.
Encore une année qui s'éclipse dans l'espoir d'enterrer un peu plus profondément ton souvenir, on dit que le temps panse toutes les blessures pourtant j'ai toujours le cœur qui saigne. il pleure le sang qui brûle mes entrailles et j'agonise comme au jour ou je t'ai perdu, je n'ai plus de patience tu sais ? Cette attente m'est insoutenable, j'ai l'impression de me tenir a genoux devant mon bourreau ou de souffrir d'une maladie latente, le temps est assassin: il m'envoie ses flèches acérées qui se plantent dans ma poitrine et ratent de peu l'organe qui continue de pourrir dans son côté gauche jusqu'à se qu'il finisse par se consumer: une auto destruction. Vas tu revenir enfin ? Une question qui accepte désormais de rester sans réponse.  J'ai tellement de choses a te dire vois-tu; j'ai besoin d'un face a face, je ne te prendrai pas dans mes bras, je ne pleurerai pas même si mes yeux tenteront de me trahir, je ne te retiendrai pas a la fin de l'entrevue, je ne lèverai pas le doigt pour t'arrêter, je te dirai adieu et je tournerai les talons sans me retourner parce que si je le faisais, je me trainerai jusqu'à toi et je m'agripperai a toi de toutes mes forces que tu ne puisse pas te débattre ni échapper a mon étreinte, ce sera toi, moi et l'éternité pour rattraper le temps perdu. Je ne sais pas par ou commencer, les pensées s'entrechoquent dans mon pauvre esprit malmené et s'évanouissent au fond de ma gorge, si je devais parler ce sera sans elle, pourtant je dois prendre le taureau par les cornes et même si ce n'est pas ma première corrida, elle n'est certainement pas la plus facile.  Alors écoute, tourne moi le dos aussi je ne supporterai pas de lire dans tes yeux ce que tes mots ne sauront me transmettre, j'ai envie de te dire que tu me manques mais je ne t'apprends pas grand chose, une tautologie me diras-tu? Hum, excuses moi, c'est le vide dans ma tête, je t'imagines devant moi et j'en perds mes mots, j'ai peut être besoin d'une trépanation, ce serait une bonne idée après tout, qu'ils extirpent mes souvenirs et les emmène loin de moi. Tu m'intimides, je te vois et tu es tellement grand gargantua, j'en ai presque peur, des fois je me demande si tu as réellement existé , tu es le mirage et l'oasis, plus je m'approche de toi et plus tu t'éloignes. Bon, je me perds dans ce galimatias, je voudrai juste que tu saches que j'ai grandi, voilà.  J'ai beau avoir 21ans que je porte comme un lourd fardeau mais je suis toujours une vraie miniature, tu en aurai presque ri. Tu m'imagines en talons haut et du maquillage qui couvre a peine mes traits d'enfant? Au fond, je serai toujours ce môme que tu venais broder la nuit et a qui tu lisais une histoire pour que ça s'endorme avant que les monstres au fond de l'armoire ne puisse s'en emparer, tu étais mon don quichotte. J'ai le cerveau qui marche a 200/h: les odeurs, la musique, la peinture; chaque détail me transporte dans un monde imaginaire ou je réussi rapidement a imposer mon règne, je suis condamnée a errer sur le tapis d'Aladin fait de songes qui me démange et me donne si souvent envie de m'éclater le crâne, suis-je atteinte de Jérôme-boschisme? Des fois j'en pleure, tu as fais de moi cette chose singulière et tu en as emporté le mode emploi, je me perds dans ce que je suis et je cogite sans parvenir a atteindre la vérité, tu détiens les pièces qui complètent mon puzzle ou cette carte ultime sans laquelle mon château vacille et menace de s'écrouler, me les donneras tu enfin? Aimes tu Mistral gagnant? Je l'écoute en écrivant et je me demande ce que t'en aurai pensé quoi qu'au fond je suspecte que tu la connais et que pire, tu l'as aimé aussi, je ne sais pas mais c'est bête… Les chansons françaises me ramènent sans cesse vers toi et je me retrouve en voiture, le visage plaqué contre la vitre a t'entendre fredonner du Goldman, et pendant ce petit laps de temps, je suis heureuse et je me surprends entrain de rêver encore une fois: la voiture, toi, la musique, tout se dissipe comme des bulles de savons qui éclatent au premier contact, quelle conne! Je ne peux plus regarder qui veut gagner des millions, tu sais ? J'attends que Foucault prenne sa retraite et qu'ils arrêtent la diffusion de cette émission, ces deux la ne veulent pas que je m'en remette, tu ne devines pas pourquoi ? Parce que ça me rappelle que tu répondais toujours a toute les questions et qu'à chaque fois je te faisais la même requête: pourquoi tu ne participes pas ? On deviendrai plus riches que rotschild, et toi tu souris avec cet air de fausse modestie, tu sais cette petite contraction des lèvres a peine visible.  A chaque fois que je me brosse les dents, tu m'apparais entrain de me corriger ma conjugaison: “c'est moi qui l'ai fait pas qui l'a fait!” Arrêtes de me la servir celle la, j'ai appris la leçon par cœur, tu peux disparaître.  Ah et les week-end, tu te souviens qu'on avait le droit de voir la télé que le samedi? C'était un Disney le soir, et ce fut assez pour que je m'endorme la tête pleine de rêves maintenant je ne peux plus, c'est beaucoup trop douloureux, je te vois partout, tu es le héros de tout mes contes de fées. Dimanche était consacré aux ateliers de créations, tu te souviens que Houda avait colorié la mer avec la colle? J'en rie toujours, qu'est ce qu'elle était turbulente, si la comtesse de Ségur n'avait pas écrit les malheurs de Sophie je m'en serai chargé: les malheurs de houda.  Tu sais ce qui me met en rogne parfois? C'est que tu avais la réponse a toutes mes questions, je n'ai jamais eu besoin de chercher ailleurs, tu étais ma bible, mon coran. Pourquoi me rendre dépendante si c'est pour m'abandonner par la suite? Je t'accuse.  Et les photos ? Pourquoi yen a t'il tellement? Ton visage est un endroit qui a marqué ma vie, tu l'as imprégné comme les dessins gravés sur les murs des cavernes anciennes, discrets mais indélébiles.  J'ai failli donner tes livres pour me venger, j'en ai lu certains et j'ai voulu me débarrasser du reste mais j'ai échoué, tu sais pourquoi ? Parce que j'avais l'impression de léguer des parties de toi, en fin de compte tu es enfoui dans chaque page comme un hocruxe, ne t'étonne pas d'ignorer ce mot, on ne peut pas tout savoir dans la vie; Ha.  Je suis fatiguée et je n'ai plus rien a te dire, je t'en veux d'accord ? Je bâcle la fin parce que ce discours m'a emotionnellement épuisé, merde. Ah oui, désolée, tu n'aimes pas ce mot; tant pis je m'en fous. C'est a cause de toi que j'ai tellement d'aspirations utopiques que je ne pourrai combler, ce souci de perfection. Je suis esthète, une curieuse insatiable, une éternelle insatisfaite, une artiste déchue, une amoureuse des mots, je cours a leur trousse comme a la recherche du bonheur perdu et je n'en veux pas parce que je me plais dans cette tristesse qui m'est devenue confortable. Tu attends la chute de ce récit? Ne regarde pas loin, elle est en moi.  Je recale tes derniers mots : “ je t'aime mon petit cœur, je reviendrai. ”  Non monsieur tu ne reviens pas, ce soir je rêverai que tu me lis le petit prince en fixant une étoile dans le ciel qui mourra a l'aube. Je ne peux plus vivre en te portant dans le cœur alors vas t-en s'il te plait, ou restes mais ne pèse pas, j'ai le cœur frêle. Je ne peux plus prononcer ce mot, il torture mes lèvres mais je peine une dernière fois, Mr.Bouanane a dit qu'il fallait faire le deuil pour procéder au changement, aujourd'hui je fais le tien: adieu, papa.  
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albert-prous · 2 years
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E2356
une trépanation longue et réussie nous a permis de comprendre le pourquoi du vide plus un mot plus une lettre déchets points virgules débris depuis combien de temps cet état impression normalité automatisme des nerfs grenouille disséquée épellation
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skullissima · 6 years
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xaviercote · 4 years
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RECHERCHE THÉORIQUE 4a -  Trépanation
Traitement pour sortir les démons de la tête des malades. Traitait donc les gens atteints de schizophrénie, démence et autres maladies de ce genre.
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Jeu de dominos en os (XVIIIe siècle) et coffret de trépanation en ébène et acier (XVIIIe siècle) au Musée de la Compagnie des Indes de la Citadelle de Port-Louis, Bretagne, novembre 2019.
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