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#stephane noyer
sheltiechicago · 4 months
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Studio Ibbini Juxtaposes Negative Space and Botanical Filigree in New Laser-Cut Paper Works
Artist Julia Ibbini and computer scientist Stéphane Noyer of the Abu Dhabi-based Studio Ibbini (previously) continue to collaborate on intricately constructed works that fall at the intersection of art and mathematics. The duo creates vessels and flat pieces by layering laser-cut papers into complex structures replete with floral filigree and ornate patterning.
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emvisual · 1 year
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Julia Ibbini y Stéphane Noyer crean obras que se cruzan con el arte, el diseño y la ingeniería contemporáneos. Julia es artista visual y diseñadora. Stéphane informático con pasión por la geometría computacional. Su trabajo son estas obras de papel cortado con laser.
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steliosagapitos · 1 year
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        ~ “@JuliaIbbini creates intricate paper sculptures meticulously crafted to appear as though they have been made in nature. Artist Julia Ibbini and computer scientist Stephane Noyer, who are behind the Abu Dhabi-based studio, spent the last year working on a collection of geometric cylindrical pieces swirling with vine-like forms, mirrored geometric designs that resemble the repeating patterns in honeycomb, and sculptures that look like delicate shells.” ~
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myobt · 2 years
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Laser Lovelies
Ibbini Studio (more…)
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xjoyce66 · 3 years
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Nous passons notre vie à poser des cloisons, ériger des murailles, et couler des chapes sur l'inconsolable pour pouvoir continuer à avancer debout.
Nous passons notre vie à conforter la conception individualiste d'une société malade en renforçant des concepts clivants : ego, identité, couple, famille, pays, race, genre.
Nous passons notre vie à nous individualiser et à nous éloigner d'une source originelle dont nous sommes issus. Cette source dont notre ego et nos carapaces nous isolent.
Nous ne guérissons jamais vraiment de nos blessures, nous les enfermons, ou au mieux nous les dépassons par l'atteinte d'un autre niveau de conscience.
Le surpassement de toute blessure nécessite l'atteinte d'un niveau de conscience plus élevé que celui dans lequel nous avons été blessé.
L'atteinte de cette nouvelle conscience implique une introspection que seuls ceux qui sont prêt à « aller au front », et à « toucher le fond » pourront entamer. Et cela démarre souvent par l’atteinte d'un degré inacceptable, et insupportable, de souffrance.
C'est, enfin, décider d’attaquer à la pioche la chape qu'ils ont coulée sur leurs traumatismes. C'est un parcours de guerrier fou, de sage malade. Un chemin sur lequel tu te jettes corps et âme, pour aller combattre puis converser avec tes démons les plus enfouis.
C'est entreprendre une destruction de toutes les couches de protection, carapaces et boucliers, pour reprendre contact avec « l’enfant intérieur », originel, en nous. A chaque âge se forme sa conviction rassurante, sécurisante, protectrice, comme un parapluie ou un bouclier contre le vent. Alors on pense année après année le renforcer de ses expériences, le solidifier.
Vient alors le jour où il nous est soudainement lourd. Lourd. Lourd de convictions et de certitudes, où l'on apprend le poids du superflu. Et vient avec lui le sentiment qu’il faut s’alléger et se laisser porter par le vent, noyer par la pluie, évaporer par le soleil.
— Stephan Schillinger©️ - extrait des livres « Par un Curieux Hasard »
(Art : Vladimir Fokanov)
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0nthebalcony · 2 years
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Ithell Colquhoun 1906 - 88
Rivières tièdes (Méditerranée)
1939
Oil on Wood
H 91.1 x W 61.2 cm
Southampton City Art Gallery
The title is generally translated as ‘Tepid Waters’. It comes from the poem Summer Sadness by Stephane Mallarmé. 
The poem records the poets’ sadness at the end of an affair.
Mais ta chevelure est une rivière tiède 
Où noyer sans frissons l’âme qui nous obsède
A literal translation might be: 
But your hair’s a tepid river, 
A place to drown the soul that haunts us 
Colquhoun published her own translation in 1947. In her version the relevant lines are:
Yet in your warm hair golden, downward-flowing,
I find Nirvana and leave you unknowing
See: http://www.ithellcolquhoun.co.uk/rivieres_tiedes.htm
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shaddad · 3 years
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os trabalhos feitos em papel cortados a laser pela artista julia ibbini e o tecnólogo stephane noyer do ibbini studio em abu-dhabi nos emirados árabes
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todowood · 4 years
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⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️ 5 star review: 😊😊😊 Ma commande m'a beaucoup plu, je pensé que la couleur était plus foncé, mais je suis pas déçu le temps et la patine après l'usinage devrait apporté cette teinte plus sombre en tout cas je vour remercie pour ces deux blanks de noyer. Nivesse Stephane.
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LA SCOTT – CIMES DU LAC D’ANNECY
A St-Jorioz, le dimanche 25 Août 2019
   Voici la 9eme édition pour cette cyclo qui présente un des plus beaux départs de la saison avec lac et montagne en décor de carte postale : le rendez-vous est donné les roues presque dans l’eau à St-Jorioz pour cette 8eme et dernière manche du challenge Cyclo’Tour Rotor chère à LVO. Avec une météo quasi estivale, c’est un important peloton qui s’élancera sur les routes du Parc Naturel Régional des Bauges : au programme 2 parcours chrono et 2 randos pour des distances de 54 à 136km.
   Pour cette dernière manche je m’élance sur le grand parcours proposant 136km et 3300m D+ avec les Col du Semnoz, de Plainpalais et des Près comme principales difficultés. Avec le règlement du challenge qui ne prend en compte que les 5 meilleurs résultats de la saison (sur 8), une menace pèse encore sur mon beau maillot bleu de leader : en effet un homme peut revenir à égalité parfaite de points s’il gagne l’épreuve et que je ne termine pas 2eme ou 3eme. Il s’agit de Stéphane Cognet et dans ce cas là je ne sais pas comment nous serions départagés pour déclarer le vainqueur !
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         Au vu de sa forme des dernières semaines je sais que Steph sera là pour gagner et faire un podium quand je vois les coureurs présents ne va pas être évident : Rodolphe Lourd (3eme au challenge et récent vainqueur de la Madeleine), Thomas Terrettaz, Raphaël Addy, Maxime Galletti, Ronan Poulizac, Julien Bérard… que je reconnais dans le sas de départ sont tous de sérieux clients !
Dans ces conditions ma tactique de course est claire et limpide (et un peu à contre cœur !) : ce sera dans la roue de Steph sans se préoccuper du reste ! D’ailleurs sitôt le départ réel donné à la sortie de St-Jorioz, on s’attaque à la montée de Puget et les 1eres escarmouches ne tardent pas. Je laisse faire mais rien de sérieux jusqu’à l’attaque de Thomas qui fera le 1er véritable écart rejoint par Raphaël. Dans le groupe le rythme est soutenu et ne laisse pas trop d’espoir aux attaquants : dommage car une échappée qui irait au bout m’assurerai la victoire dans le challenge… mais tout le monde ne l’entend pas de cette oreille et sur les 1eres rampes du col du Semnoz, Rodolphe lâche les watts : je suis bien occupé à suivre dans les roues et le groupe ne tarde pas de voler en éclats. Stéphane va relayer puis sur un moment de flottement où je suis le seul à droite de la route je plante une bonne accélération qui fini de faire la sélection : les 2 hommes de têtes repris, nous voilà 6 pour ce qui sera le bon coup du jour. Il y a là Steph et Rodolphe accompagnés de Raphaël, Thomas et Alexandre Desroches.
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         Après la partie plus roulante du col où chacun prend ses relais, c’est surtout Stéphane qui imprime le tempo et l’écart se fait gentiment avec l’arrière : je suis encore plutôt bien même dans cette fin d’ascension où je me souviens avoir beaucoup souffert lors d’éditions précédentes. Arrive alors la descente, que j’ai dans la tête déjà depuis la veille : je sais que ça va être le plus dur (oui, oui !) de la journée car je n’y ai jamais été à l’aise peut-être à cause d’une chute sur le tout 1er virage dans des conditions exécrables en 2012 ? Ma crainte se confirme vite : je vois Steph et Raphaël filer très vite et si j’accroche un temps le sillage de Rodolphe, je le perds lorsqu’Alexandre passe devant. Tout n’est pourtant pas perdu car Thomas ayant lâché un peu de temps au sommet revient : je parviens à le suivre jusqu’au croisement de la route de Quintal mais le perd de vue aussi dans la partie sinueuse qui suit. Le calvaire se termine peu après Quintal où je n’aperçois personne devant. Préparé à rouler seul, je vois revenir Antonin Anzam mais il ne me sera d’aucune aide, restant scotché à ma roue.
En mode poursuiteur, le doute s’installe vraiment quand un suiveur de la course m’annonce une bonne minute de retard sans que je sache si c’est sur la tête de course ou d’éventuels intercalés ; en fait devant moi ça roule très fort avec Thomas qui va permettre au groupe de se reformer. Bien que pensant ne pouvoir revenir, je continu de rouler fort : Gruffy, Allèves et Lescheraines traversées, je ne sais toujours pas où j’en suis et les 1eres rampes du col de Plainpalais se profiles. Et enfin l’espoir renait quand au loin je vois une moto et un petit groupe où je reconnais le maillot de Rodolphe : un rapide pointage et je suis à 45’’ ! J’augmente un peu l’intensité et me rapproche lentement en prenant garde de rester cacher au maximum pour qu’on ne me voit pas revenir : au Noyer un dernier effort condamne mon passager et quelques instants plus tard je réintègre le groupe de tête (après près de 25km de poursuite) où nous sommes donc de nouveau 6 !
La fin du col de Plainpalais ne m’est pas trop difficile et je tente de récupérer dans les roues avant de descendre sur St-Jean-d’Arvey : ce coup-ci pas de crainte particulière mais voilà que la circulation automobile s'en mêle : au milieu du trafic, Steph, Thomas et Raphaël sont plus à l’aise et le groupe se casse en 2 : j’enrage avec cette situation lorsqu’on double Raphaël à l’arrêt (et contraint à l’abandon sur casse dérailleur un peu plus loin). Au pied du col des Prés, c’est environ 20’’ qui nous séparent du duo de tête. Rodolphe met de suite un gros rythme sur les 1eres pentes très difficiles et je m’accroche au courage d’autant que j’aperçois Thomas qui lâche prise devant : on le reprend et le distançons en même temps qu’on revient sur Stéphane : nous voilà 4 à Thoiry où l’on peut souffler un peu. J’attends avec appréhension la reprise des forts pourcentages me doutant que ça va s’animer : on passe le panneau des 3km et c’est Rodolphe qui en met une bonne : pas surpris je réagis mais paie mon long effort solitaire et lâche quelques mètres. Au « métier » je sens qu’il me reste encore un peu de force alors je ne m’affole pas et grignote mètre après mètre pour revenir au moment même où Steph durcit l’allure : à bloc je vois quelques signes de souffrance chez Alexandre et Rodolphe et me cale dans la roue de mon dangereux challenger : à moins de 2km du sommet il n’est pas question de lâcher ! Solide je passe cette difficulté pendant qu’Alexandre décroche : nous voilà 3 au sommet mais l’écart est très faible et j’embraye tout de suite pour la descente !
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        A tous les 3 il n’y a pas besoin de communiquer pour bien collaborer : si je dois laisser passer quelques relais, je fais le maximum sans arrière-pensée avec le seul souhait de finir ensemble ce qui m’assurerai la victoire dans le Challenge. Au pied de la montée du Chatelard, Alexandre est encore une menace à moins d’une minute mais Steph fait monter très fort et l’écart grandi : pas de relâchement dans la montée sur le Noiray, bien au contraire ! Alexandre ne reviendra pas face à nous 3 ! On peut alors savourer cette fin de course bien que j’avait zappé la montée sur Bellecombe-en-Bauges : un dernier effort et nous voilà sur les faux plats ramenant au col de Leschaux : l’arrivée cette année se situe juste au-dessus et d’un commun accord Stephane passe la ligne le 1er, je le suis en compagnie de Rodolphe pour une sorte de victoire partagée entre nous trois, bons copains, qui nous nous retrouvons très souvent (notamment sur le challenge Cyclo’Tour où on truste souvent le podium 35-39 ans !).
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       Une magnifique cyclo pour un résultat qui l’est tout autant : encore une fois sur le podium scratch ! 4 heures de course pleines, bien gérées même si on a manqué d’eau sur la fin. Le seul bémol étant cette descente du Semnoz où je suis toujours bloqué et qui m’a empêché d’être plus offensif dans le col des Près. Mais l’objectif de départ était « la défense » donc la mission est accomplie : vainqueur de ce challenge Cyclo’Tour Rotor au terme d’une saison bien menée, je n’y aurai jamais pensé ! Sur les 8 manches, c’est 1 victoire, 2 places de 2, 2 places de 3, 1 place de 4, 1 place de 6 et malheureusement un abandon qui me prive d’être finisher sur l’ensemble des manches du Challenge. D’ores et déjà une année réussie qui se poursuivra à présent avec quelques grimpées chrono…
Résultats :
Page du challenge : http://www.challengecyclotour.com/resultats/  ou en cliquant ici
Strava :
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sheltiechicago · 4 months
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Studio Ibbini Juxtaposes Negative Space and Botanical Filigree in New Laser-Cut Paper Works
Artist Julia Ibbini and computer scientist Stéphane Noyer of the Abu Dhabi-based Studio Ibbini (previously) continue to collaborate on intricately constructed works that fall at the intersection of art and mathematics. The duo creates vessels and flat pieces by layering laser-cut papers into complex structures replete with floral filigree and ornate patterning.
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sheltiechicago · 2 years
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Laser-Cut Paper Forms Tessellating Patterns in Ibbini Studio’s Ornate Sculptures
Ibbini Studio (previously) creates intricate paper sculptures meticulously crafted to appear as though they have been made in nature. Artist Julia Ibbini and computer scientist Stephane Noyer, who are behind the Abu Dhabi-based studio, spent the last year working on a collection of geometric cylindrical pieces swirling with vine-like forms, mirrored geometric designs that resemble the repeating patterns in honeycomb, and sculptures that look like delicate shells.
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sheltiechicago · 3 years
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Laser-Cut Paper Vessels Made From Mesmerizing Hand-Drawn Patterns
At the intersection of machine, technology, and human touch emerges Symbio Vessels, a series of intricate sculptures crafted from laser-cut paper by Ibbini Studio. Based in Abu Dabi, artist Julia Ibbini and computer scientist Stephane Noyer have been collaborating since 2017 to create incredibly detailed artworks. Their meticulous creations combine and contrast algorithmically precise patterns, design, and mechanical methods with the imperfection and organic nature of processes performed by the human hand.
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shaddad · 3 years
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os trabalhos feitos em papel cortados a laser pela artista julia ibbini e o tecnólogo stephane noyer do ibbini studio em abu-dhabi nos emirados árabes
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