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azveille · 4 years
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Bronchiolite : les kinésithérapeutes s'inquiètent d'une interprétation erronée des recommandations de la HAS
Plusieurs organismes représentant les masseurs-kinésithérapeutes soulignent leur "rôle essentiel" dans la prise en charge de la bronchiolite aiguë chez le nourrisson et s'inquiètent d'une mauvaise interprétation des nouvelles recommandations de bonne pratique émises par la Haute autorité de santé (HAS), dans un communiqué commun diffusé jeudi.
La Haute autorité de santé (HAS) a publié jeudi, conjointement au Conseil national professionnel de pédiatrie (CNPP), de nouvelles recommandations de prise en charge du premier épisode de la bronchiolite aiguë chez le nourrisson de moins de 12 mois, rappelle-t-on.
Outre le fait qu'elle préconise de privilégier le lavage de nez et la surveillance active des signes d'aggravation de l'état du nourrisson, la HAS ne recommande pas la technique de kinésithérapie respiratoire d'augmentation du flux expiratoire (AFE), à laquelle une grande majorité de parents ont recours.
L'autorité sanitaire souligne à ce titre que les études menées en milieu hospitalier ne montrent pas d'amélioration clinique ou de bénéfice sur la durée d'hospitalisation avec l'AFE, et qu'aucune étude n'a été publiée sur ce sujet en ambulatoire. Elle rappelle également que les techniques de kinésithérapie respiratoire traditionnelles (clapping, vibration...) sont contre-indiquées.
Dans un communiqué commun diffusé jeudi, plusieurs acteurs de la profession des masseurs-kinésithérapeutes s'inquiètent d'une possible mauvaise interprétation des recommandations de la HAS.
Les signataires sont le conseil national de l'ordre (Cnomk), les syndicats de la profession (SNMKR, FFMKR et Alizé), le Collège de la masso-thérapie (CMK), la Fnek (étudiants), le SNIFMK (directeurs d'instituts de formation) et l'Unakam (kinésithérapeutes aveugles et malvoyants).
"A aucun moment la HAS ne dit qu’il ne faut pas consulter de kinésithérapeute en cas de bronchiolite", soulignent-ils.
"Si, pour les 3% d'enfants hospitalisés, la kinésithérapie ne diminue pas le temps d'hospitalisation, pour les 97% des 460.000 enfants atteints de bronchiolite, le rôle du kinésithérapeute est essentiel" et va "bien plus loin que le simple drainage bronchique", écrivent-ils. "Le kinésithérapeute ausculte, évalue et réoriente le bébé vers les urgences ou le médecin traitant au besoin. Il rassure et accompagne les parents. C'est un acteur-clé de l'éducation à la santé."
En outre, s'ils affirment "respecte[r] l'indépendance de la HAS et la recommandation publiée", ils estiment que le fait de "dire que la kinésithérapie respiratoire n'a plus de place dans la prise en charge de la bronchiolite va générer de facto un recours massif aux services d'urgence de la part de parents angoissés".
Ils pointent que "la mise en place de réseaux de kinésithérapeutes dès les années 2000 a permis de réduire de manière significative le recours aux urgences et la durée d'hospitalisation des nourrissons atteints de bronchiolite", et que le "maillage des kinésithérapeutes libéraux est un facteur clef de succès pour la réalisation des techniques de désencombrement des voies aériennes supérieures 'nécessaire pour optimiser la respiration du nourrisson' comme recommandé par la HAS".
Mercredi, lors d'une conférence de presse, la présidente de la HAS, Dominique Le Guludec, avait souligné que le Réseau bronchiolite était "extrêmement utile" pour les parents, notamment pour la surveillance des enfants, l'éducation thérapeutique (enseignement du lavage de nez), le conseil... et qu'il fallait maintenir ces réseaux "car ils ont démontré leur efficacité".
Les représentants des kinésithérapeutes soulignent par ailleurs qu'il est "important de mettre en oeuvre rapidement la recommandation de la HAS visant à réaliser une étude portant sur les nourrissons pris en charge en kinésithérapie de ville, et en particulier sur son impact en matière de recours hospitalier".
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azveille · 5 years
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La kinésithérapie doit être intégrée au nouveau dispositif d'accès aux études de santé (syndicat)
Le Syndicat national des masseurs-kinésithérapeutes rééducateurs (SNMKR) demande que la filière kinésithérapie soit intégrée au futur dispositif d'accès aux études de santé, dans le cadre de la réforme en préparation, a expliqué son président, Mickaël Mulon, à APMnews mercredi.
Actuellement, il est possible d'entrer en institut de formation en masso-kinésithérapie (IFMK) après une Paces (cas le plus fréquent), une première année de licence en sciences mention "sciences et techniques des activités physiques et sportives" (Staps) ou une première année de licence "dans le domaine sciences, technologies, santé", dispose un arrêté du 16 juin 2015 (cf dépêche du 04/09/2015 à 10:12).
Le projet de loi de santé, présenté en conseil des ministres le 13 février (cf dépêche du 13/02/2019 à 17:48), prévoit la refonte de la première année commune aux études de santé (Paces) pour les filières de médecine, pharmacie, maïeutique et odontologie ainsi que celle du troisième cycle (cf dépêche du 10/01/2019 à 17:26).
Mais dans cette réforme, aucune mention n'est faite de la filière kinésithérapie. Dans le projet de loi de santé, "on n'est pas inscrits, on n'est inscrits nulle part", déplore Mickaël Mulon.
Le projet de loi ne fixe pas les détails du dispositif remplaçant la Paces, qui relèveront de textes réglementaires. Mais Frédérique Vidal, ministre de l'enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation, en a tracé les contours lors des Contrepoints de la santé du mardi 19 février (cf dépêche du 19/02/2019 à 16:43).
Selon la ministre, les étudiants pourraient désormais commencer leur cursus, après le baccalauréat, par une année qui pourra être, soit majoritairement composée de disciplines de santé, soit majoritairement composée d'autres disciplines, mais dans tous les cas avec des mineures en discipline de santé.
Pour Mickaël Mulon, le modèle tracé "correspond exactement à ce qui est mis en place" aujourd'hui en filière de kinésithérapie. A l'instar de la médecine, de la maïeutique, de l'odontologie et de la pharmacie, il souhaite donc "que soit rajouté kinésithérapie" dans le projet de loi de santé.
Dans un communiqué, publié jeudi 21 février, le SNMKR demande également que la reconnaissance de la filière soit "matérialisée par une UE [unité d'enseignement] spécifique dans toutes les universités" en première année d'études, ce qui n'est pas proposé systématiquement.
Deux réunions se sont tenues mi-décembre et fin janvier, entre les deux syndicats représentatifs chez les masseurs-kinésithérapeutes libéraux (SNMKR et FFMKR), Alizé Kiné (non représentatif), l'ordre, le Syndicat national des instituts de formation en masso-kinésithérapie (SNIFMK), la Fédération nationale des étudiants en kinésithérapie (Fnek) et le Collège de la masso-kinésithérapie (CMK).
Selon Mickaël Mulon, tous ces acteurs se sont "accordés" et "vont porter" la demande d'intégration de la filière de kinésithérapie.
Le SNMKR a abordé cette problématique lundi lors d'une audition par la commission des affaires sociales de l'Assemblée nationale sur le projet de loi de santé, avec la Fnek et la FFMKR (Fédération française des masseurs-kinésithérapeutes rééducateurs).
La Fnek avait également tenu à alerter, dans un communiqué publié début février, sur "la situation financière critique et alarmante" des étudiants en kinésithérapie, du fait des coûts variables de la scolarité selon les IFMK (cf dépêche du 30/08/2018 à 10:38).
"Le sujet des kinésithérapeutes est un sujet que je n'oublie pas", avait assuré Frédérique Vidal, lors des Contrepoints de la santé.
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