Un drapeau palestinien brandi dans l'hémicycle de l'assemblée nationale 28 mai 2024

et très vive altercation entre le député LFI David Giraud et le député apparenté LR Meyer Habib

Deuxième étape de mon périple dans l'Ouest pour retrouver des ami(e)s lointain(e)s , Brigitte et Sylviane à La Rochelle.

Le Muséum d'Histoire Naturelle (les infos hélas ne sont pas toujours claires...)

des "kafigueledjo", objets sacrificiels - sénoufo, Côte-d'Ivoire

un wanyugo sénoufo (un phacochère ?) - Côte d'Ivoire

bague d'initié, poulie de métier à tisser en forme de buffle - Sénoufo, Côte-d'Ivoire

lame de hache en jadéite - Nouvelle-Calédonie ; peigne à tatouer ; défense sculptée, Congo

massues et pipes - Nouvelle-Guinée

crâne d'antilope Bubale et pipes - Congo

statues - Tchad

Tanzanie, 2017

Poumba ! Le phacochère du Roi Lion :)

they rly did just literal translate Felix's nickname for dimitri in fire frenchblem but i forgive them bc it sounds so cute

Nous allons prendre notre petit déjeuner à 7h00 ce matin. Le buffet est énorme, il y a tellement de choix que je ne sais plus que choisir 😂

Malgré le fait qu’il est recommandé de commencé le safari a l’ouverture (soit 6h00), nous décidons de nous mettre en route vers 8h30. Après nos 36h de voyage nous avions vraiment besoin de nous reposer 😴. Le temps de remplir quelques paperasses et de payer nos “taxes de conservation”, nous voilà sur les routes de la plus grande réserve naturelle d’Afrique du Sud. Nous sommes tous deux très très excités à l’idée de parcourir la savane, mais Dan reste sur la réserve, il a peur que nous soyons déçu de n’avoir pas vu tous les animaux que nous voulions :/

Nous avons 165km à faire aujourd’hui pour rejoindre notre campement. Très vite nous remarquons qu’il nous faudra beaucoup de temps pour le rejoindre. Après 5 minutes de route, nous nous arrêtons 10 minutes admirer notre premier troupeau d’animaux, des impalas. A partir de ce moment, nous nous sommes arrêter toute les 5 minutes. Il y avait des animaux partout ! A midi, lorsque nous nous arrêtons à une aire de pic-nic, nous n’avons parcourut que 55km 🚗. Il nous aura fallu au total 8h pour rejoindre “Olifants Rest Camp” où nous passerons 2 nuits. Le camps est très sympa, nous logeons dans une petite case pleine de charme. Le temps de s’installer et de faire un tour dans le shop du village car nos adaptateurs pour les prises électrique ne fonctionne pas pour l’Afrique du Sud, il en fait des spéciaux 😅. Puis viens l’heure du souper, un thé, une douche et au lit !

Mais vous devez quand même vous demander quels animaux ont bien pu attirer notre attention pendant 8h ! Et bien…on est plutôt content de notre premier jour, on se croit dans le film du Roi Lion 🥰 . Nous avons vu, des impalas, des gnous, des girafes, des zèbres, des éléphants, des grands koudou, des cobe a croissant, des dik dik, des autruches, des chiens sauvages, des buffles, des phacochères (aka pumba), des hippopotames, des lionnes, un écureuil, des singes, des vautours et autre multiples espèces d’oiseaux (et mammifères) magnifiques dont je ne saurais le nom ! On est époustouflé! Et Dan est rassuré pour les prochains jours!

Sur ces belles images, on vous souhaite une bonne nuit ;) 😘

Boire des larmes de phacochère selon Meyer Habib

Enfin les images des membres du #Hamas buvant du Coca Zero

Quand on s'occupe d'un phacochère, mieux vaut rester prudent

🤗⚘️🥰 JOLIE BESTIOLE

La colère à quoi ça sert?!

Près de ma chaumière

On me lacère.

La loi m'est étrangère

C'est quoi ces manières ?

Quelles sont les frontières?

Pourquoi toute cette brutalité policière?

Pourquoi m'assaillir par derrière ?

Cette supposée justice : une vipère.

À ce jour, ça reste tout un mystère

Je cherche encore des repères

Quand je tolère,

Elle s'accélère

C'est comme un transfert

Une boule de chair

Une sphère en verre

Un gros contenant nucléaire

Prise dans une volière

On m'incarcère dans une bétonnière

"Coopères"

"Ombtempères"

"C'est ce qu'on te suggère"

C'est mon altère

Habituelle coéquipière

Pleine de caractère

Qui désespère

La colère, c'est comme le tonnerre

Ça grandit, implose, gronde: c'est la même affaire

La ressentir m'exaspère

J'aimerais qu'elle se libère

D'une bonne manière

Pas en exploser jusqu'à la stratosphère

Un peu dur dans une pareille affaire.

En tout cas, moi je vous suggère

Que vous êtes des estis de phacochères

EBR

Sionisme : les espions israéliens Yadan et Habib font voter une loi de pure terreur à l’Assemblée

L’espionne israélienne Caroline Yadan, appuyée par le terroriste Meyer Habib, avait concocté un projet de loi visant à réprimer toute critique légitime du comportement des génocidaires juifs.

Plus exactement, il s’agissait d’abord pour eux d’éliminer l’une des dernières protections offertes par la loi de 1881 sur la liberté de la presse, laquelle ne prévoit pas de placement en détention immédiat par un tribunal.

Cette disposition avait permis à Alain Soral d’échapper à la prison, malgré le traquenard dressé par le pion des juifs Dupond-Moretti.

De 1881 à 1972 la loi ne prévoyait pas de prison pour quelque opinion que ce fût. C’est un putsch légal des juifs, via la loi « Pleven » de 1972, dictée par l’URSS à l’ONU en 1965 et relayée par la LICRA en France, qui l’a permis.

Après avoir été sabotée pendant 50 ans par les juifs, la loi de 1881 n’est plus un texte de liberté, mais de censure pure et simple. Mais c’est encore trop peu, aux yeux des juifs.

Yadan, mandatée par la synagogue de Satan, en voulait beaucoup plus.

Tout comme Meyer Habib. Ce porc voulait instaurer rien de moins que l’interdiction de critique contre Israël, sous peine de prison.

Les juifs veulent également jeter en prison ceux qui doutent de l’holocauste dans leur salon. Ce qu’ils appellent les opinions « non publiques ».

Si quelqu’un vous surprend en train de douter de l’existence des 6 trillions dans votre cuisine, les juifs pourront vous faire arrêter.

Le RN et le Hamas ont opposé une résistance farouche. Le texte a échoué une première fois.

La juive Yadan a alors craché sa haine des goyim sans retenue à l’Assemblée.

Habib, de son côté, a agressé Dupond-Moretti, l’accusant d’être encore trop mou face aux légitimes critiques qu’il essuie pour son soutien à la barbarie sioniste.

Pourtant aveuglément au service du peuple élu, Moretti a été sonné par la charge du phacochère de Tel Aviv.

Je n’ai jamais vu ça. C’est le niveau d’impunité dont ils bénéficient en France.

Ils sont revenus à la charge peu de temps après, comme toujours dans ce parlement à leur botte, et fait voter l’affaire grâce à un ramassis de parlementaires à genoux devant la juiverie.

En plein carnage racial en Palestine, Yadan, triomphante, jubile à l’idée de faire réprimer toute opposition à la suprématie juive au nom de la lutte « contre le racisme ».

C’est sidérant d’impudence tribale. Ils se croient chez eux et toute la canaille parlementaire les applaudit.

Cette race est effrayée par l’immense colère populaire qui gronde contre elle au niveau mondial. Elle sait que le temps est compté, d’où cette invraisemblable fuite en avant.

C’est un fait : les juifs sont les ennemis de la liberté.

C’est un autre fait : c’est la race la plus stupide de la terre.

Le Défilé - Charly

Le Défilé Le défilé de la fraternité Que je vais maintenant vous présenter Apparaît nettement plus classique Loin des élucubrations chroniques Qui ont gêné sa popularité Durant ces quatre dernières années Première fanfare Marmelade d’orange Les femmes enceintes ordre inédit Ouvrent le cortège et c’est réussi Des broderies jolies ornent leurs habits Girons aux motifs géométriques Hélices et spirales concentriques Des beaux choux ou des roses bariolées Ou des fenêtres avec des bébés Les vieux sportifs ont des muscles saillants Ils Marchent avec leurs genoux bruyants Leurs mentons et leurs mamelons altiers Cachent la nostalgie de leurs lauriers Leur peau montre ses pétales froissées Leurs joues ont fondu à force de souffler Certains en habits de Mathusalem Semblent rescapés des jeux d’Athènes Le Char des champions du repassage Se compose à chaque étage D’une grande planche à repasser Et d’un repasseur en train d’œuvrer Tout le linge chiffonné se cache Dans un bidon à gueule de vache Les fers font le tango et la valse Au lisse le pli laisse sa place Chaque habit à nouveau apprêté Sur un cintre retrouve sa fierté Deuxième fanfare Je t’attrape et je te mange Les amoureux montrent leur variété Main dans la main ou marchant à côté Enlacés ou en train à s’embrasser Passionnément bavards tendrement muets Ils font parfois naître des jalousies Certains les soupçonnent d’hypocrisie A d’autres ils font retrouver la foi Alors l’espoir fait éclater leur joie Les routards à vélo nous accrochent Avec l’art de placer les sacoches Ils vont au monde en légèreté Fins cerceaux caressant l’immensité Leurs yeux ont des couleurs un peu passées A force de voir toutes ces contrées Dans leurs regards pourrait-on discerner Les visions de leurs calmes odyssées Villes surpeuplées déserts de pierres Oliviers hordes de phacochères Les promeneurs de chiens mer démontée Séparés seraient la tranquillité Masser des maîtres et des maîtresses Et leurs clébards au bout de leurs laisses Déclenche en ordre imprévisible Coïts surprise et humeurs hostiles Des habits de gala trouent leurs mailles Les toutous ont les poils en bataille Troisième fanfare Car de ramassage Les astronautes plus ailleurs qu’ici En visio sont dans d’autres galaxies Spacieux chars de la manifestation Avec images en trois dimensions Humbles hommes à taille humaine En missions de tâches quotidiennes Calculs d’espace astronomique Farces en apesanteur cosmique Les bagarreurs de bar c’est délicat Le moindre prétexte un pugilat Sponsorisés par leurs apéritifs Cicatrices des orteils jusqu’aux tifs Tête basse la foule prudente Evite les provocations fréquentes En tous cas hommes femmes jeunes vieux Finissent par se cogner entre eux Quatrième fanfare Vifs sous ombrage Les saints des jardiniers de potagers Pyramides de primeurs bariolées Les salades couronnent les navets Les betteraves sous les choux frisés Sur les tomates en haut les poivrons Poireaux dressés au-dessus des oignons Les auteurs d’images émotives Jouent avec des écrans qui se suivent Leurs visions répliquent aux émotions Par imitation ou contradiction Confrontés à un public endormi Sommeil d’ange ou joyeuse orgie Devant une foule très énervée Dragon cramoisi ou sac de navets Les petits enfants et leurs grands-parents Ensemble vont se balader souvent Tendres complices anciens et gamins Roulent en poussette sur le chemin Les plus vieux comme les plus petits Sont collants en mangeant des sucreries Les plus jeunes comme les plus âgés Rigolent en se piquant leurs jouets Cinquième fanfare Les joyeux compresseurs Les bricoleurs arborent leurs outils A la taille sur le côté aussi Ils ont l’air de présenter les armes Perceuses et scies à grandes lames Ils montrent des circuits électriques Enormes insectes sympathiques Quatre hommes sandwichs décorateurs Exposent crépis et papiers à fleur De loin on dirait un bateau-vapeur Les hommes sur le pont et des odeurs Les faiseurs de conserves sur chariot Joyeux se démènent et avec brio Du long équeutage des haricots A la stérilisation des bocaux Pâtés et fruits au sirop s’entassent Belle mesure du temps qui passe Un ballet classique qui court la rue Ceci semblerait laid et incongru Un corps de ballet scène mouvante Entoure des étoiles filantes Au centre les virtuoses bondissent Ou feuilles au vent d’automne glissent Sixième fanfare Octave déménageur Les porcs attelés une nouveauté Cochons tirant des chars pour rigoler Des gros verrats sont attachés par trois A des voitures légères sans toit Des truies fleuries sont assemblées par huit A des diligences qui vont pas vite Les porcelets mis par dix vont bouger Des baignoires où on est allongé A force d’être mangés les cochons Deviennent amers tristes saucissons Par les coche cochons inspirée L’humanité rendra aux porcs la gaité Estivants de plage bien équipés Parasols chapeaux ray-bans sur le nez Serviettes rabanes tongs sandales Glacières bouées et jeux de balles Ils montrent l’humaine diversité Toisons viriles ou peaux satinées Bedons dodus ou côtes avec os Blancs de Norvège ou noirs de Lagos Les maillots soulignent la nudité Coquins il faut souvent les rajuster Et ça continue… Crée par Charly, déposé en 2023 Read the full article

Neuf sous blister Un lionceau nommé Simba est exilé de son royaume après avoir été accusé d'être responsable de la mort de son père, Mufasa. Avec l'aide d'un étrange duo composé d'un suricate et d'un phacochère, il décide de reprendre ce qui lui revient de droit lorsqu'il apprend qu'il est destiné à être roi. #oiseaumortvintage #melodieensoussol #butindechine #retourdechine #leroilion #disneydvd https://www.instagram.com/p/CipmJ5-sClB/?igshid=NGJjMDIxMWI=

Tanzanie, 2017

Une espèce très discrète en temps normal, malgré son plumage noir d'encre : le râle à bec jaune (ou marouette à bec jaune).

Oiseaux.net précise : "Les observateurs les plus chanceux peuvent l'apercevoir à découvert et même sur le dos des hippopotames et phacochères où il recherche les parasites de peaux." Nous sommes donc chanceux d'avoir aperçu si bien cette petite merveille des marais :)

🥚🐗🐢#indiegame #pvp #localmultiplayer #3d #unity3d #gamedev #dailyrender #dailyart #cute #madeinmaya #redshift #tortue #phacochère #stylizedgame https://www.instagram.com/p/CErfc82jo-G/?igshid=ib3nxg48eadh

Réveil en douceur ce matin, on profite encore un peu de la chambre. On va déjeuner tranquillement et mon dieu que le déjeuner était bon ! Des croissants au chocolat encore bien chaud 🥐, des pancakes (avec du chocolat fondu, vous me connaissez;) ), des fruits et une belle omelette ! Quelques dernières photos et on est parti. Sur le chemin de la réception nous voyons notre premier crocodile du voyage, sur une pierre en train de prendre le soleil. Lorsque nous arrivons à la réception, l’hôtesse est surprise de nous voir arriver avec nos bagages. Elle nous a dit qu’il aurait fallu appeler la réception et que quelqu’un serait venir les chercher(on le savait mais ça nous gênait un peu 😅😂). Nous nous arrêtons encore nous ravitailler dans le shop du campement voisin et enfin, à passé 11h, nous sommes en route.

Il faut déjà chaud, les animaux préfèrent reste couché à l’ombre plutôt que de se promener en plein soleil. Nous voyons surtout nos fidèles impalas, qui sont là jour et nuit, pluie ou beau temps ☀️. Quelques zèbres par-ci par-là, quelques girafes, quelques éléphants. Nous cherchons alors un point d’eau où nous espérons que des animaux viennent se rafraîchir. La plupart des points d’eau indiqués sur notre carte sont asséchés. Vers 13h30 nous trouvons enfin un lac, avec de l’eau! Au premier abord, à part quelques oiseaux, il n’y a personne. En se rapprochant un peu, 3 beaux crocodiles gisent sur la rive 😍 nous restons un bon quart d’heure à les observer. Plus tard sur le chemin, nous croisons la route d’une hyène solitaire en train de manger on ne sait quel animal. Qu’est ce qu’elle est belle! Nous arrivons gentiment au campement Crocodile Bridge. Nous y faisons arrêt et faisons un tour dans leur petit magasin. Nous rencontrons un très beau phacochère pas du tout timide.

Nous sortons du campement et voilà que nous nous retrouvons devant la porte d’entrée du parc. Pour nous ce sera la porte de sortie aujourd’hui... Nous quittons le parc Kruger avec pleins de beaux souvenirs mais nous partons aussi avec un petit pincement au cœur. Nous avons passé 4 jours magnifiques à sillonner le parc. J’ai vu des choses que jamais j’aurais pensé voir de mes yeux, et il reste tellement de chose a voir…j’espère que la suite de ce voyage sera aussi palpitant que ce safari !

Ce soir nous logeons dans un hôtel pas loin du parc. L’hôtel est très sympa et on y a bien souper. On a déjà préparer nos sacs pour demain. J’ai pris une EXCELLENTE douche ! Et on prêt pour aller au lit 😘