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#octobre 1957
chicinsilk · 6 months
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L'Officiel octobre 1957 N°427-428
Rose Marie Le Quellec in Cerulean Emba natural blue mutation mink coat, by Revillon. Turban by Gilbert Orcel. Photo Virginia Thoren.
Rose Marie Le Quellec en manteau de vison de mutation bleu naturel Cerulean Emba, par Revillon. Turban de Gilbert Orcel. Photo Virginia Thoren.
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« Un jour, j'espère que nous pourrons jouer au foot ensemble, au ciel. »
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Pelé en 2020 après le décès de Diego Maradona.
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La nouvelle a saisi le monde entier ce jeudi 29 décembre 2022 première star planétaire du ballon rond nous a quitté 🖤🖤🖤
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Le succès ne vient pas par hasard. Edson Arantes do Nascimento né le 23 octobre 1940 taille 1m72 poste meneur de jeu. En chiffres le meilleur joueur de tout les temps, des records qui seront difficiles à effacer des tabelles de l'histoire du foot.
92 Palmarès en sélection 77 buts. 3 coupes du monde 1958, 1962, 1970. Vice-champion de la Copa America 1959. Palmarès en club 2 coupes intercontinentales 1962 et 1963. 2 copa libertadores 1962 et 1963. 10 Championnats de Sao Paulo 1958,1960,1961,1962,1964,1965,1967,1968,1969,1973. 11 fois meilleur buteur du championnat de Sao Paulo 1957 17 buts, 1958 58, 1959 46, 1960 32, 1961 47, 1962 37, 1963 22, 1964 34, 1965 49, 1969 26, 1973 11. 5 coupes du Brésil 1961 1962 1963 1964 1965. 1 Championnat des États-Unis 1977. Ses records unique joueur triple champion du monde plus jeune champion du monde plus jeune buteur en finale de la coupe du monde il avait 17 ans en 1958. 1281 buts en 1363 matches record mondial incluant des matchs amicaux et homologués par la FIFA. 77 buts sous le maillot du Brésil, meilleur buteur de l'histoire de la sélection = égalité avec Neymar. 58 buts dans le championnat de l'état de Sao Paulo pour la saison 1958. 6 quintuplés. 30 quadruplés. 92 triplés dans sa carrière. Ses distinctions. Élu athlète du siècle par le comité international olympique 1959. Élu footballeur du siècle par la FIFA en 2000. Ballon d'Or d'honneur remis en janvier 2014
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Ahahahah!
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Igor Andreev (Russe, né en 1957), Autoportrait, octobre 2014
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satinea · 6 months
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Anniversaire, le 17 octobre 1957 Albert Camus, recevait le prix Nobel de Littérature pour « l'ensemble d'une oeuvre qui met en lumière les problèmes se posant de nos jours à la conscience des hommes. »
***
Cher Monsieur Germain,
J’ai laissé s’éteindre un peu le bruit qui m’a entouré tous ces jours-ci avant de venir vous parler de tout mon cœur. On vient de me faire un bien trop grand honneur, que je n’ai ni recherché ni sollicité. Mais quand j’en ai appris la nouvelle, ma première pensée, après ma mère, a été pour vous. Sans vous, sans cette main affectueuse que vous avez tendue au petit enfant pauvre que j’étais, sans votre enseignement, et votre exemple, rien de tout cela ne serait arrivé. Je ne me fais pas un monde de cette sorte d’honneur.
Mais celui-là est du moins une occasion pour vous dire ce que vous avez été, et êtes toujours pour moi, et pour vous assurer que vos efforts, votre travail et le cœur généreux que vous y mettiez sont toujours vivants chez un de vos petits écoliers qui, malgré l’âge, n’a pas cessé d’être votre reconnaissant élève.
Je vous embrasse de toutes mes forces.
Affectueusement,
Albert Camus
Lettre écrite le 9 novembre 1957 par Albert Camus à son instituteur Louis Germain.
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SAMEDI 29 OCTOBRE 2022 (Billet 2 / 4)
« Jeudi 27 – 13h15 »
« MONET – MITCHELL » à la Fondation Louis Vuitton
(Du 05 octobre 2022 au 27 février 2023)
Pour être tout à fait honnêtes avec vous, nous n’avions jamais entendu parler de Joan Mitchell. Une affiche de l’Exposition a excité notre curiosité, nous nous sommes renseignés et surtout Marina a enregistré un superbe reportage qui lui était consacré sur Arte (certainement toujours disponible en Replay). Et là, nous avons « flashé » !
Après avoir visionné les photos ci-dessus, nous vous engageons à lire l’article ci-dessous.
Ce que nous avons trouvé étonnant dans les juxtapositions des tableaux de ces 2 peintres, ayant pourtant vécu à des périodes tout à fait différentes (Monet : 1840-1926 et Mitchell : 1925-1992), ce sont les similitudes. Et pour finir, nous avons un faible pour les grands formats… et là, nous avons été gâtés !
Nous, cette Expo nous a beaucoup plu mais c’est à vous de voir, « vos goûts et vos couleurs » peuvent être tout-à-fait différents des nôtres (et réciproquement !).
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Cette exposition met en regard pour la première fois un choix de peintures des derniers Monet réalisés à Giverny et des toiles de Mitchell, principalement conçues à Vétheuil.
Le parcours est scandé par des jalons thématiques et formels, suivant un accrochage sensible, à la recherche d’accords entre les œuvres.
De générations différentes, leurs peintures furent d’abord rapprochées dans le cadre de l’émergence de l’expressionnisme abstrait américain dans les années 50. Monet est alors redécouvert comme précurseur de la modernité américaine et son oeuvre tardive réhabilitée après l’accueil critique très positif reçu en France par les Nymphéas de l’Orangerie en 1927. L’association des deux artistes est confortée par l’installation de "Mitchell Vetheuil" en 1968, dans une demeure surplombant la maison ou vécut Monet de 1878 à 1881.
Prenant appui notamment sur la déclaration de Joan Mitchell au critique américain Irving Sandler en 1957, « J’aime le Monet de la fin, mais pas celui des débuts », l’exposition revient sur la démarche des deux artistes qu’ils définissent en termes analogues : après sa quête de « l’impression », Monet évoque celle de « la sensation », et Mitchell, celle du « feeling » correspondant pour les deux à la transcription d’une émotion ressentie devant la nature. Quand il s’agit de la persistance d’une sensation visuelle chez Monet, passant de son jardin à l’atelier, il s’agit plutôt chez Mitchell d’un jeu de mémoires croisées.
La consonance entre leurs œuvres passe aussi par des caractéristiques formelles : avant tout, la couleur dans ses interférences avec la lumière, privilégiant une gamme similaire mais d’intensité différente, faite de bleus, jaunes, verts, alliés aux rouges, roses et mauves. Nouveaux alors pour Monet mais permanents chez Mitchell, les grands formats impliquent une peinture fortement gestuelle et une grande liberté technique, avec des touches vibrantes et des effets de texture alternant opacités et fluidités. [...]
(Source : "Extrait de la plaquette de l'Expo éditée par la Fondation")
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Adresse : 8 avenue du Mahatma Gandhi, 75016 Paris
Le meilleur moyen de vous y rendre, c’est la navette de la Fondation : elle effectue une rotation environ toutes les 20 minutes. On la trouve en sortant du Métro Charles de Gaulle-Etoile, « sortie n°2 avenue de Friedland », 44 avenue de Friedland (un abri lui est spécialement dédié). Le service est réservé aux personnes munies d’un billet d’entrée pour la Fondation ainsi que d’un titre de transport. Le billet est vendu au tarif de 2 euros aller/retour qu’il est possible d’acheter directement à bord.
Tarifs : Entrée 16€, tarif réduit 5/10€ (accès au Jardin d'Acclimatation compris). Billet adhérent Fnac : 11,70 euros. Ouverture : tous les jours (sauf les mardi, 1er janvier, 1er mai et 25 décembre).
Horaires : comme ils peuvent changer (VS ou pas, etc.), vous fier à celui que vous aurez choisi lors de votre réservation. Vu les files d’attente, on ne saurait que trop vous recommander de réserver.
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"Demi Parure" en malachite de Rudolf Stockar (1886-1957) exceptionnellement sortie des réserves du Musée des Arts Décoratifs de Prague (Uměleckoprůmyslové Museum) et présentée lors de la conférence par la Restauratrice en Chef et son équipe pendant la Masterclass organisée par l'Ecole des Arts Joailliers, octobre 2022.
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jpbjazz · 2 months
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LÉGENDES DU JAZZ
CANNONBALL ADDERLEY, SUR LES TRACES DE BIRD
Né le 15 septembre 1928 à Tampa, en Floride, Julian Edwin ‘’Cannonball’’ Adderley était le fils du conseiller et cornettiste Julian Carlyle Adderley et de l’institutrice Jessie Johnson. Ses camarades d’école l’avaient surnommé ‘’Cannonball’’ (une déformation du mot ‘’cannibale’’) pour souligner son immense appétit. Avec le temps, le surnom de Cannonball était également devenu synonyme de joie de vivre et de vivacité, deux qualités dont Adderley était particulièrement bien pourvu.
Cannonball était déménagé à Tallahassee lorsque ses parents avaient obtenu des postes d’enseignants à la A&M University. Avec son frère Nat, qui était trompettiste, Cannonball était entré dans le groupe du chanteur Ray Charles lorsque celui-ci avait vécu à Tallahassee au début des années 1940. Après avoir étudié à la U.S. Navy School of Music, Cannonball avait dirigé deux groupes de l’armée.
Après avoir obtenu son diplôme à l’Université Florida A&M, Cannonball s’éttait installé dans le comté de Broward, en Floride, où il était deveny le directeur du groupe de la Dillard High School de Fort Lauderdale, un poste qu’il avait continué d’occuper jusqu’en 1950.
UNE CARRIÈRE DIVERSIFIÉE
Cannonball avait quitté le sud-est de la Floride en 1955 pour s’installer à New York, dans le Queens. À l’origine, Cannonball avait quitté la Floride pour faire des études dans un des nombreux conservatoires de musique de New York. Un soir, Cannonball avait décidé d’apporter son saxophone au Café Bohémia, et sa destinée avait soudainement changé. Apercevant son saxophone, un des membres du groupe d’Oscar Pettiford avait demandé à Cannonball de prendre la place du saxophoniste de la formation, qui était en retard. La performance de Cannonball avait été si éblouissante qu’on l’avait immédiatement consacré comme l’héritier de Charlie Parker, qui venait de mourir.
En 1957, après avoir signé un contrat avec les disques Savoy, Cannonball avait formé son propre groupe avec son frère Nat. Impressionné par le jeu de Cannonball, Miles Davis l’avait invité à venir jouer avec son groupe.
Cannonball s’était joint au groupe de Davis en octobre 1957, trois mois avant le retour de John Coltrane dans la formation. Certaines des meilleures performances de Davis à la trompette peuvent d’ailleurs être entendues sur l’album solo de Cannonball intitulé ‘’Somethin’ Else’’, qui mettait également en vedette le batteur Art Blakey et le pianiste Hank Jones. L’album avait été enregistré peu après la première rencontre d’Adderley avec Davis. Cannonball avait retourné par la suite l’ascenseur à Davis en participant à l’enregistrement de ses albums ‘’Milestones’’ et ‘’Kind of Blue.’’ Cette période avait également coïncidé avec le séjour de Bill Evans dans le sextet de Davis. Evans avait participé plus tard à l’enregistrement de ‘’Portrait of Cannonball’’ et de ‘’Know What I Mean ?’’
Les préoccupations d’éducateur de Cannonball s’étaient aussi reflétées sur ses enregistrements. En 1961, Cannonball avait fait la narration de l’album ‘’The Child’s Introduction to Jazz’’, publié par les disques Riverside. L’année suivante, il avait épousé l’actrice Olga James.
En 1957, Cannonball avait formé un premier quintet avec son frère Nat, mais le groupe n’avait pas connu beaucoup de succès. Après avoir quitté le groupe de Davis, Cannonball avait décidé de former un nouveau groupe avec son frère en 1959. Le nouveau quintet, qui était éventuellement devenu le Cannonball Adderley Sextet, avait compris des musiciens chevronnés comme les saxophonistes Charles Lloyd et Yusef Lateef, les pianistes Bobby Timmons, Barry Harris, Victor Feldman, Joe Zawinul, Hal Galper, Michael Wolff et George Duke, les contrebassistes Ray Brown, Sam Jones, Walter Booker et Victor Gaskin, et les batteurs Louis Hayes et Roy McCurdy.
DERNIÈRES ANNÉES ET DÉCÈS
À la fin des années 1960, Cannonball avait tenté de se renouveler en effectuant un virage vers le jazz-fusion, le soul et le funk. Boudé par les amateurs de jazz, qui considéraient ce virage un peu trop commercial (il faut dire que les disques Riverside venaient de faire faillite et que les disques Capitol privilégiaient une approche beaucoup plus mercantile), Cannonball avait cependant obtenu un certain succès avec l’album ‘’Mercy, Mercy, Mercy.’’
Au cours de cette période, Adderley avait enregistré des albums comme ‘’Accent on Africa’’ (1968) et ‘’The Price You Get to Pay to Be Free’’ (1970). En 1970, Cannonball s’était produit avec son quintet au Festival de jazz de Monterey en Californie. Un extrait de cette performance a été reproduite dans le thriller psychologique ‘’Play Misty for Me’’, avec Clint Eastwood. En 1975, Cannonball avait continué de diversifier ses activités en jouant comme acteur aux côtés de José Feliciano et David Carradine dans l’épisode ‘’Battle Hymn’’, qui faisait partie de la troisième saison de la série télévisée ‘’Kung Fu.’’
Parmi les plus célèbres pièces interprétées par Adderley et ses diverses formations, on relavait ‘’This Here’’ (composée par Bobby Timmons), ‘’The Jive Samba’’, ‘’Work Song’’ (écrite par son frère Nat Adderley), ‘’Mercy, Mercy, Mercy’’ (composée par Joe Zawinul), sur laquelle Cannonball jouait du soprano et ‘’Walk Tall’’ (écrite par Zawinul, Marrow et Rein).
En 1975, Cannonball avait victime d’une attaque à la suite d’une hémorragie cérébrale. Il est mor quatre semaines plus tard, le 8 août, de congestion cérébrale, au St. Mary Methodist Hospital de Gary, en Indiana. Il avait seulement quarante-six ans. Adderley laissait dans le deuil sa femme Olga, ses parents Julian C. et Jessie L. Adderley, ainsi que son frère Nat Adderley. Il a été enterré au Southside Cemetery, à Tallahassee.
Peu après sa mort, Cannonball avait été intronisé au sein du DownBeat Jazz Hall of Fame. Son ancien collaborateur Joe Zawinul lui a rendu hommage sur la pièce ‘’Cannon Ball’’, qui figure sur l’album ‘’Black Market’’ du groupe Weather Report. Le saxophoniste Pepper Adams lui a également consacré sa composition ‘’Julian���’ sur son album du même nom en 1975.
De nombreux autres hommages ont été rendus à Cannonball. Il a notamment été nommé membre honoraire de la Phi Mu Alpha Sinfonia Fraternity.
Cannonball Adderley est considéré comme un des principaux héritiers de Charlie Parker avec les saxophonistes Art Pepper, Phil Woods, Lee Konitz, Jackie McLean, Sonny Stitt, Sonny Criss et Richie Cole, même si son jeu axé sur le blues avait aussi été influencé par  Benny Carter. Musicien gentil et très généreux, Cannonball a encouragé plusieurs jeunes musiciens au cours de sa carrière. Excellent orateur, ses présentations colorées étaient particulièrement appréciées du public. Adderley a également été membre plusieurs comités gouvernementaux et universitaires destinés à favoriser l’avancement du jazz.
Après la mort de son frère, Nat Adderley s’était retiré temporairement de la scène du jazz, avant de refaire surface l’année suivante avec ses propres groupes. Au cours de sa carrière, Nat a enregistré près de 100 albums, que ce soit comme leader ou accompagnateur. Atteint de diabète, il avait dû se faire amputer la jambe, ce qui avait mis fin à sa carrière.
C-2023-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique  
SOURCES:
BONNELL, Emily. ‘’Cannonball Adderley popularized the merging of soul and jazz.’’ Jazz FM91, 29 janvier 2020.
‘’Cannonball Adderley.’’ Wikipedia, 2022
‘’Cannonball Adderley, American Musician.’’ Encyclopaedia Britannica, 2023.
‘’Nat Adderley, American Musician.’’ Encyclopaedia Britannica, 2023.
RODRIGUEZ, Christophe. Les grands noms du jazz. Montréal, Éd. De l’Homme, 2001.
YANOW, Scott. ‘’Cannonball Adderley Biography.’’ Blue Note Records, 2023.
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swedesinstockholm · 6 months
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31 octobre
journée mi-figue mi-raisin à paris avec un pivot à la librairie violette & co vers midi quand j'ai feuilleté le dernier numéro de censored et que je suis tombée sur un article dans lequel une fille parle de son coming out d'handicapée et son handicap c'est l'endométriose et une neuroatypie. elle parle de la norme définie par la productivité capitaliste et d'une loi de 1957 qui définissait une personne handicapée comme une personne ayant des difficultés à acquérir et à conserver un emploi à cause d'une insuffisance ou d'une diminution physique ou mentale, et j'ai pensé à ma conversation avec f. dans l'escalier l'autre jour, elle disait qu'elle aimerait faire un diagnostic d'autisme pour pouvoir être considérée comme handicapée et donc incapable de travailler à plein-temps, pour recevoir des indemnités. et tout d'un coup dans la librairie je me suis dit lara arrête de t'en vouloir de pas avoir réussi à te décider d'aller voir l'expo sophie calle au musée picasso, c'est pas grave, c'est pas ma faute si mon cerveau défectueux m'a minée toute la matinée et que ça m'a rendue incapable de prendre une décision et que donc au lieu d'aller voir l'expo sophie calle j'ai erré dans le marais derrière m. et maman à me sentir moche et grosse parce que je suis en train de reprendre mon corps d'avant le miracle de 2020, je grossis je grossis et je sais pas comment l'arrêter. j'ai peur que ça s'arrête jamais. et en même temps mon oeil est archi gonflé et les gens me regardent dans la rue encore plus que d'habitude, j'ai essayé des jolies lunettes transparentes qui m'allaient trop bien mais mon oeil gâchait tout parce que les montures transparentes le rendaient plus visible. et puis m. m'a dit qu'un inconnu sur internet, sans doute un de ses onlyfans ou de ses patreons, lui avait payé son trajet en bus pour rentrer à bruxelles vendredi, et ça a été la goutte d'eau. j'ai pas pleuré ni rien mais je me suis enfoncée dans une vase poisseuse qui m'aspirait vers le bas, tout était alourdi par la vase qui s'engouffrait dans chaque interstice, alourdi et laborieux, y compris la prise de décision, beaucoup trop lourd, est-ce que je veux vraiment dépenser quatorze euros pour aller voir une expo? et si j'aime pas? alors j'y suis pas allée.
j'ai quand même réussi à m'arracher de maman et de m. et j'ai marché en direction de violette & co parce que les librairies sont mes phares dans la vase, jusqu'à ce que je tombe sur la galerie perrotin au fond d'une cour, flanquée d'un double escalier très imposant, j'y suis rentrée par curiosité, je me suis dit que ça compenserait pour l'expo sophie calle, et après deux artistes bof j'ai découvert laurent grasso dans la dépendance, de l'autre côté de la cour, dans une salle bleue ciel en forme de maison plongée dans l'obscurité. j'ai vu son film, des images de paysages sauvages en noir et blanc, magnifiques magnifiques images de nature et puis soudain un grand rectangle noir et plat plane dans le ciel et survole les paysages en projetant une ombre gigantesque sur les arbres, les feuilles, la roche, la mer, et la musique devient un peu menaçante. ça m'a complètement sortie de moi-même. et puis je suis ressortie dehors et j'ai retrouvé la réalité de mon corps et de ma vie dans la rue de turenne.
j'ai recommencé à marcher la mort dans l'âme jusqu'à violette & co. mais la librairie est encore trop neuve et j'y ai pas retrouvé le charme de l'ancienne. j'écoutais un mec qui expliquait à la libraire le projet de son livre de photos d'un mec trans, lui était photographe et cis (il l'a dit d'un ton un peu autodépréciatif) et la libraire lui demandait combien il prenait en pourcentage et il a dit que son éditrice lui avait dit entre 30 et 40% et elle a dit oui nous aussi on propose ça généralement et ils se sont mis d'accord sur 35% et j'étais fascinée par la fluidité de leur conversation. en partant il a dit qu'il serait très fier et honoré d'avoir son livre en vente chez violette & co. en ressortant de la librairie j'ai marché comme une fusée pour retourner dans le marais rejoindre maman et m. et je leur ai raconté l'expo de laurent grasso et j'ai repris du poil de la bête. même si j'ai continué à me sentir monstrueuse toute la journée. paris a le don de me faire sentir moche grosse et mal habillée comme aucune autre.
hier j'étais censée aller voir l'expo sur les quatre artistes américains dont mike kelley et lee lozano à la bourse de commerce mais j'ai été prise de dégoût par la mention de françois pinault dans le nom du musée et j'ai décidé que de toute façon le meilleur musée c'était la rue et j'ai continué à marcher jusqu'à la point de l'île de la cité. j'avais surtout envie de m'assoir dans un café et d'écrire dans mon journal mais je l'avais pas avec moi. on a encore parlé d'emploi et de cv hier pendant qu'on buvait un truc en terrasse près du palais royal à côté d'un type anglais qui portait un pull et un béret blancs crème et qui buvait du vin rouge avec ses deux amis français qui lui disaient de lire molière parce que c'était comique et le mec répétait french it up man! you gotta french it up! m. a pris ma défense en disant que les gens de la génération de maman pensaient qu'il suffisait d'envoyer des cv pour trouver quelque chose mais que ça marchait plus comme ça maintenant et elle parlait de tous les gens qu'elle connaissait qui arrivaient pas à trouver de travail parce que c'est dur et je me suis dit que je trouverais jamais, ça va jamais arriver et j'arriverai jamais à quitter maman et je verrai jamais le soleil. je m'en fous si je suis négative puisqu'être positive ne sert absolument à rien et en plus ça entraîne des sérieux cas de delulu.
2 novembre
j'ai l'impression d'avoir atteint une espèce de mur. tout ce que j'ai accompli depuis l'année dernière est toujours là, mais j'ai l'impression d'avoir atteint la fin du palier et le prochain me semble impossible à atteindre. j'ai envie de m'allonger par terre et d'abandonner. hier soir j'ai vu sur ig que c. b. qui gravite dans le cercle d'et caetera laissait sa chambre et une de ses deux colocs me suit sur ig et adore ma reprise de sexy sushi. le loyer c'est 700 euros charges comprises. comment je peux être sûre que je vais trouver un travail pour payer 700 euros par mois et surtout, est-ce que je suis mentalement assez stable? elle est libre à partir du 1er décembre. le copain d'a. cherchait du travail aussi après avoir laissé tomber le conservatoire et en ce moment il est facteur. je lui ai demandé des précisions mais il faut le permis.
je parcours les offres d'emploi à bruxelles et je vois vraiment pas ce que je pourrais faire à part le truc de formatrice de français dans une société ferroviaire mais ce matin j'ai refusé une offre de cours de français parce que je me suis dit que j'avais aucune idée de comment enseigner le français à quelqu'un from scratch? c'était un homme de 53 ans et j'avais trop peur qu'il me dénonce pour incompétence. je sais même pas si je peux travailler là-bas sans être inscrite comme résidente en plus et apparemment ça prend des mois et des mois et des mois et plus ça va moins ça me semble faisable cette histoire. y a des murs partout. ce matin j'ai épluché toute la liste des psys pratiquant l'emdr au luxembourg et j'en ai retenu quatre dont une qui prenait plus de nouveaux patients non plus et j'ai peur que trouver une psy s'avère aussi laborieux que de trouver un travail.
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scififr · 6 months
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Lord Valentine’s Castle, par Robert Silverberg (Harper and Row, mars 1980)
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Classique en VO.
Le récit picaresque du voyage de Valentine, Coronal de Majipoor dépossédé de son trône, de son corps et d’une grande partie de sa mémoire, à travers les continents et les mers de cette planète géante, afin de regagner sa place légitime.
Un bon souvenir de jeunesse (Robert Laffont AD octobre 1980). A la relecture mon avis est partagé (au sens strict !) : la première moitié, jusqu’à « The Isle of Sleep », est remarquable ; ensuite, lorsque Valentine a totalement recouvré ses esprits, le rythme change et l’inexorabilité de la fin rend la lecture moins enthousiasmante.
Je ne résiste pas à livrer les premières lignes d’un article de l’auteur intitulé « The making of Majipoor » (« Reflections et refractions », 2° édition, par Robert Silverberg, nonstop press, 2016) :
« It began with my scribbling some hasty notes on the back of an envelope, one spring day in 1978 :
1979 NOVEL
The scene is a giant planet-sized city – an urban Big Planet, population of billions, a grand gaudy romantic canvas. The city is divided into vast subcities, each with its own characteristic tone. The novel is joyous and huge – no sense of dystopia. The form is that of a pilgrimage across the entire sphere (for what purpose ?) A colossal odyssey through bizarre bazaars, Parks & wonders… Deliver a positive commodity. The book must be fun. Picaresque characters. Strange places – but all light, delightful, raffish. Comic novel. Magic mystery tour.
Young man journeying to claim an inhéritance tant has been usurped – his own identity has been stolen & he now wears another body. »
La suite de l’article raconte comment l’auteur est passé de ces quelques notes à l’ouvrage final, non sans rendre l’hommage qui se doit à « Big Planet » de Jack Vance (1957 – et dans ma bibliothèque « La Planète Géante », Galaxie Bis n°26, novembre 1972 – avec les 30 premières pages en double !).
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suis-nous · 6 months
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chicinsilk · 6 months
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L'Officiel octobre 1957 N°427-428
Model wearing Cerulean Emba natural blue mutation mink coat, by Maurice Kotler. Photo Guy Arsac.
Modèle portant manteau de vison de mutation bleu naturel Cerulean Emba, par Maurice Kotler. Photo Guy Arsac.
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iweb-rdc001 · 7 months
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RDC : L'Assemblée nationale adopte la loi sur l'aménagement du territoire
Les élus nationaux ont voté, pendant la plénière du mardi 03 octobre à la chambre basse du parlement, la loi portant sur l’aménagement de territoire portée par le ministre de l’aménagement du territoire, Guy Loando. Cette nouvelle législation qui est une première pour la République Démocratique du Congo, est essentielle pour mettre à jour et moderniser le décret du 20 juin 1957 sur l’urbanisme,…
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«Cher Albert, Quel beau moment ! Et que cette joie demeure longtemps dans votre cœur, car elle est la plus pure, la plus merveilleuse - une joie qui réhabilite beaucoup les hommes et même les académies. Je sais bien : il y a Malraux. Mais vous êtes demeuré au cœur de la souffrance et lui est allé chercher l’oubli dans la beauté. Vous êtes resté toute votre vie une blessure et lui a succombé à la tentation des « pensements ». Mon adoration pour lui demeure entière, mais ma joie pour vous est d’autant plus grande qu’elle est plus proche de moi. Vous êtes nous… Affectueusement, Romain»
Lettre de Romain Gary à Albert Camus dès qu’il a appris que celui-ci avait reçu le prix Nobel. Lettre postée d’Hollywood le 21 octobre 1957 et publiée dans le livre de Kerwin Spire « Monsieur Romain Gary, Consul général de France, Los Angeles, 1956-1960 », page 201.
«Dear Albert, What a beautiful moment! And may this joy remain in your heart for a long time, because it is the purest, the most marvelous - a joy that rehabilitates many men and even academies. I know: there is Malraux. But you have remained in the heart of suffering and he has sought oblivion in beauty. You have remained all your life a wound and he has succumbed to the temptation of the "thinkings". My adoration for him remains complete, but my joy for you is even greater because it is closer to me. You are us… Affectionately, Romain»
Letter from Romain Gary to Albert Camus as soon as he learned that the latter had received the Nobel Prize. Letter mailed from Hollywood on October 21, 1957 and published in Kerwin Spire's book "Monsieur Romain Gary, consul général de France, Los Angeles, 1956-1960", page 201.
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obeyfeline · 8 months
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SAMEDI 29 JUILLET 2023 (Billet 3 / 4)
« FRANK HORVAT. PARIS, LE MONDE, LA MODE »
(Du 16 juin au 17 septembre 2023)
Jeudi, en tout début d’après-midi et entre 2 averses, nous sommes allés voir une Expo photo au Centre d’Art LE JEU DE PAUME (*).
Avant de vous donner notre avis, lisez un extrait de la Plaquette éditée pour l’occasion :
« Le Jeu de Paume présente la plus grande exposition consacrée au photographe Frank Horvat depuis son décès le 21 octobre 2020. À travers 170 tirages et 70 documents d’archive, « Frank Horvat. Paris, le monde, la mode » se concentre sur les quinze premières années d’une carrière exceptionnelle.
Entre 1950 et 1965, Horvat affirme une personnalité́ hors norme d’auteur-reporter et de photographe de mode. L’exposition apporte une vision renouvelée sur l’œuvre de cet acteur majeur de la photographie française et européenne.
Réalisée à partir des archives laissées par le photographe dans sa maison-atelier de Boulogne-Billancourt, l’exposition présente, aux côtés d’images emblématiques, des ensembles de photographies moins connues ou complètement inédites. C’est toute la richesse et la singularité d’une œuvre complexe et multiforme qui est ici dévoilée, replacée dans le contexte de l’histoire de l’image photographique et de la presse illustrée d’après-guerre. »
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Le ticket d’entrée permet de visiter 2 Expositions. La seconde est consacrée à Johan Van Der Keuken. Nous ne vous en parlerons pas car, à part 1 ou 2 portraits, elle ne nous a pas du tout intéressés. Mais c’est un avis tout à fait personnel…
Par contre, celle de Frank Horvat, nous a BEAUCOUP plu.
Les photos de ses débuts : des reportages sur l’Italie populaire, le quartier rouge de Hira Mendi et les fumeurs d’opium à Lahore au Pakistan, la misère et la capture des éléphants sauvages en Inde, et Pâques chez les Samaritains de Jordanie, exposées dans les premières salles, nous ont semblé plus « classiques » dans leur genre.
Celles prises à Londres puis à Paris (« Paris de jour » et « Paris By Night ») ont retenu davantage notre attention (dont une étonnante série sur le Cabaret de strip-tease « Le Sphinx » où « le photographe renvoie à leur solitude les spectateurs voyeurs »…).
Mais c’est la dernière partie de l’Exposition qui nous a époustouflés. « On » lui a demandé (le directeur artistique du « Jardin des Modes ») de transposer le style de ses séries parisiennes (« de jour ») à la photographie de mode. Il n’accepte qu’à une condition : travailler en lumière et décors naturels, avec des mannequins sans maquillage excessif, ni poses stéréotypées. C’est à ce moment-là qu’il a commencé à être mondialement connu et reconnu. Nous avons ADORÉ quasiment toutes les photos qu’il a faites durant cette période (1957-1962). Dieu que les femmes et la mode étaient belles à cette époque !
Nous avons choisi de ne vous montrer qu’un florilège de ces photos (pardon pour les reflets, JM ne pouvait pas faire mieux…). Mais celles des autres « périodes » sont (très) loin d’être inintéressantes.
Ne serait-ce que pour ces 2 ou 3 dernières salles, nous vous conseillons très chaleureusement d’aller voir cette Expo.
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Ces visites sont épuisantes car on reste longtemps debout, même s’il n’y avait quasiment personne au Jeu de Paume. Nous vous avions dit que nous adorions Paris en juillet/août car tous les « locaux » sont partis en Bretagne (ou presque) et les touristes sont dans les quelques lieux répertoriés dans tous les Guides mais sûrement pas dans ce genre d’Expo ! Nous avons donc fait une pause au salon de thé « Rose Bakery » qui nous a fait beaucoup de bien, avant d’entamer la seconde Expo mais que nous avons quittée très rapidement, le photographe ne nous intéressant pas plus que ça.
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Vendu à la sortie à la bibliothèque, nous vous recommandons ce petit ouvrage sur le photographe Frank Horvat. On apprend plein de choses dans l’Introduction et la qualité de reproduction des photos est remarquable pour un si petit ouvrage.
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(*) LE JEU DE PAUME est un lieu d'Exposition d'Art Contemporain consacré à l'Image et à la Photographie d'une superficie de 1 200 m2 situé dans le jardin des Tuileries, à l’extrémité occidentale de la terrasse des Feuillants, place de la Concorde, à Paris.
INFOS PRATIQUES
La température des salles du Jeu de Paume est liée aux conditions de conservation de la photographie. La stabilité des températures comprises entre 19 et 21°C est indispensable pour la présentation de certains tirages originaux anciens qui ne peuvent être présentés au public que sous réserve de ces normes climatiques très strictes.
HORAIRES
Fermé le lundi
Mardi : 11h – 21h Du mercredi au dimanche : 11h – 19h
ACCÈS
Adresse Jeu de Paume 1 place de la Concorde Jardin des Tuileries, Paris 1er
Métro : station Concorde, sortie n°1
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Ferrari 410 SuperAmerica Scaglietti Boano 1957 - Elle a succédé à la 375 America
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La seule Ferrari 410 Superamerica à l'origine carrossée par Scaglietti
Le moteur de la Ferrari 410 SuperAmerica - présenté sur le châssis de la 375 America au Salon de l’automobile de Paris en octobre 1955. Quant à la voiture, elle n’a été dévoilée au public que lors du Salon de l’automobile de Bruxelles de 1956. Sa carrosserie élégante aux dimensions impressionnantes était l’oeuvre de Pinin Farina. Étonnamment, ce modèle était_destiné à une production en série. Il a également_été décliné en diverses versions de compétition. Signant ainsi le retour d’une ancienne pratique de Ferrari.
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Ferrari 410 Scaglietti Boano SuperAmerica 1957 La Ferrari 410 SuperAmerica, a succédé à la 375 America. Présentée au public sous la forme d’un châssis nu au Salon de l’automobile de Paris en 1955! puis sous sa forme complète au Salon de Bruxelles début 1956. Trois séries très limitées ont_été produites entre 1956 et 1959. Visuellement, le véhicule présenté à Bruxelles en 1956 était très similaire au nouveau design de la 250 GT coupé de Pinin Farina! qui a ensuite donné naissance à la 250 GT Boano et Ellena. La plupart des exemplaires des séries I et II ont repris ce style de carrosserie! mais quelques-uns arboraient une carrosserie unique radicalement différente. Puisque la 410 Superamerica était un modèle extrêmement coûteux réservé à une clientèle fortunée! même les coupés « standard » présentaient tous des caractéristiques différentes pour satisfaire des exigences spécifiques des clients. Carrosserie de la Ferrari 410 SuperAmerica Les carrosseries uniques conçues pour les véhicules des séries I et II figuraient parmi les plus surprenantes jamais aperçues sur un châssis Ferrari. Pinin Farina a produit deux prototypes de Superfast radicalement différents. Le premier a été_présenté au Salon de l’automobile de Paris en 1956 sur un châssis n° 0483SA. Avec un toit en porte-à-faux sans montants de pare-brise avant (ajoutés plus tard, avant la commercialisation). Mais aussi des ailettes dynamiques intégrant de feux triangulaires sur les arêtes arrière du capot.
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Ferrari 410 Scaglietti Boano SuperAmerica 1957 Il adoptait une finition blanche et bleu métallique pâle, les deux couleurs étant séparées par une bande chromée faisant le tour de la voiture à partir de chaque côté de la grande grille de calandre ovale. La deuxième Superfast, construite sur un châssis n° 0719SA, a été présentée au Salon de l’automobile de Turin en 1957. La partie avant et l’habitacle étaient similaires, mais l’arrière affichait une ligne assagie et plus élégante. Ce qui s’accordait mieux avec l’avant du véhicule. Le principal fabricant des carrosseries de compétition Ferrari de l’époque, Scaglietti, a également habillé un exemplaire doté d’un châssis 0671SA. Celui-ci présentait également des ailettes. (adaptées au goût américain, puisque l’essentiel de ces véhicules était_destiné à ce marché). Mais aussi des panneaux de toit, de seuil et d’ailette en acier brut. Ceux-ci contrastaient avec le rouge foncé de la carrosserie. Carrozzeria Boano Le Carrozzeria Boano a livré son interprétation des ailettes. Un coupé monté sur un châssis 0477SA présentant une lunette arrière en deux parties. Mais aussi un cabriolet doté de la même carrosserie sur un châssis 0485SA! ces deux modèles présentant des ailettes incurvées. C’est cependant Ghia qui a proposé les ailettes les plus imposantes et les plus longues! avec son interprétation sur châssis 0473SA, inspirée des voitures de rêve « Gilda » et « Dart » qu’il avait conçues pour Chrysler.
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Ferrari 410 Scaglietti Boano SuperAmerica 1957 Châssis et moteur La série I présentait généralement un châssis d’un empattement de 2 800 mm! bien qu’il y ait eu des exceptions, et la série II! produite en 1956 et 1957, un châssis d’un empattement de 2 600 mm. Quant à la série III! elle_fut présentée fin 1958 au Salon de l’automobile de Paris - sur un châssis d’un empattement de 2 600 mm! avec une nouvelle version de la carrosserie signée Pinin Farina. Les châssis des véhicules de la série III (référence 514/A), présentant un empattement de 2 600 mm! suivaient également la séquence de numérotation impaire des routières avec le suffixe SA! et leurs composants mécaniques étaient identiques à ceux des séries précédentes. Le style de carrosserie conçu par Pinin Farina était commun à tous les véhicules de la série! excepté le prototype présenté au salon, qui comptait cinq fenêtres (tous les exemplaires suivants en comptaient trois). Il existe toutefois encore des distinctions, la principale concernant les phares! qui sont non carénés sur certains véhicules et encastrés dans les ailes avant sous des caches en Perspex sur d’autres.
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Ferrari 410 Scaglietti Boano SuperAmerica 1957 Motorisation Le moteur de la série III - doté de nouvelles culasses avec les bougies à l’extérieur du V. Alors que jusqu’à présent les bougies_étaient placées à l’intérieur du V sur tous les V12 Ferrari. Cette caractéristique a ensuite été_reprise sur le moteur 3 litres de la 250 GT. Il s’agissait de la dernière version du « long block » de Lampredi avec des chemises vissées dans la culasse. Par la suite, des chemises coulissantes plus classiques avec joint de culasse fut_utilisées sur les moteurs de toutes les cylindrées. Fait inhabituel, ce moteur utilisait des bielles usinées à partir d’une billette d’acier massif ! ce qui était_normalement réservé à certains moteurs de compétition Ferrari, plutôt que des bielles en acier forgé. Découvrez tous les autres modèles Ferrari Équipe de trois carburateurs double corps Weber 46 DCF3 et d’un distributeur à deux bobines pour développer 360 bhp. Par ailleurs couplé à une boîte de vitesses 4 rapports à dispositif de synchronisation! avec une disposition des vitesses différente de celle des modèles Superamerica précédents. La disposition de la transmission et les rapports de pont en option - identiques à ceux des modèles précédents de la série. Site officiel Ferrari
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