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#mais on va rester zen
laviedunefilledebordee · 11 months
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Essayez d’avoir des infos de la part des impôts, mais avoir une réponse à côté de la plaque. 
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pommunist · 21 days
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Chère Pommunist,
Merci pour ta patience, ta nuance et ta gentillesse à toutes épreuves. J'espère que tu prends soin de toi car même si les gens ne t'envoient pas de haine, ce type de situation peut devenir rapidement épuisant.
Je tiens à t'informer que dans un climat grandissant de mauvaise fois assumée et d'une incapacité à lire inquiétante du beau site qu'est tumblr – où il est toujours de bon goût de poster "si j'ai bien compris, le syndicat veut que Q MEURT 😨" plutôt que de relire les phrases lentement et avec le doigt qui suit la ligne – je résiste à l'envie terrible de laisser un message passif agressif d'explications en anon en ton honneur.
En effet, alors que je tapais un long message sarcastique et un peu méchant dans mes notes pour l'effacer ensuite comme j'en ai maintenant l'habitude (ça permet d'extérioriser...), m'est venue l'idée saugrenue que peut-être, sans doute, ça ne ferait pas trop de mal de poster ce message dans les asks d'une personne particulièrement obtuse... et je me suis dit que Pommunist, rayon de soleil de tumblr, symbole de patience à toute épreuve et de gentillesse sans faille dans l'adversité, n'approuverait pas. On a tous des moments de faiblesse je suppose, mais je suis contente de ne pas avoir suivi le mien, et c'est grâce à toi que ça a été possible.
(Je continue d'être aigrie cela dit. Mais aigrie selon les principes pommunistiens de respect et de tolérance.)
Bref continue comme ça, t'es incroyable, j'en deviendrait presque parasociale (/j)
(Mais entre nous........ parfois ce message ultra sarcastique dans les notes du téléphone démange les doigts........ je sais pas comment tu fais pour garder ton calme tout le temps mais j'admire........ Mais plus sérieusement, continue d'être quelqu'un de super (autant que possible, tu reste humaine !!), parce que je trouve ça vraiment cool que ta gentillesse m'ait inspirée moi et peut-être d'autres à ne pas écouter la petite voix dans la tête qui donne envie d'être méchant parfois. Dans une situation déjà tendue ça n'aiderait à rien mais parfois j'ai envie de m'énerver quand même. Bref, long message mais voilà, je t'envoie beaucoup de force et d'amour, prends soin de toi !!)
Franchement j’ai fait la paix avec le fait que certaines personnes ne savent juste pas lire quand j’ai vu un tweet qui répondait à la trad qu’on a fait de l’interview de léa en demandant quand s’etait passée l’interview (c’est literallement dans la première phrase du doc, tout en haut, écrite en gras 🫡). Et je pense que y’a beaucoup de gens qui sont tellement attachés à Q ou au serveur qu’ils vont inconsciemment chercher la moindre petite bête dans les discours d’en face pour les discréditer et se dire que tout va bien se passer, force à eux mdrrrr
Et vraiment c’est pas l’envie qui me manque des fois de passer en mode full français vnr full gilet jauné ambiance bien on brûle des poubelles dans la rue mais bon déjà qu’on galère à faire passer le message si on garde pas calme ça serait encore pire mdr
Mon astuce c’est juste de ronchonner en parlant à mes chats pour rester zen (ils captent rien ils doivent penser que je leur exprime mon amour et good for them franchement)
En tous cas trop doux ton message, merci beaucoup et plein d’amour en retour !!! Par contre, attends, t’as dit parasoQUOI ?????
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/jjjjj
Je rigole dsl ça fait trop longtemps que j’avais cette image sans pouvoir l’utiliser car j’ai le malheur d’avoir la chance de pas recevoir de haine en anon 😔✊✊
Et on oublie pas que les valeurs pommunistiennes sont certes le respect et la tolérance mais aussi les droits des travailleurs, la grève, la RÉVOLUTION DRAAAAA (now playing l’internationale)
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creactiv-epanouies · 4 months
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Reprise de travail sans stress après les fêtes : comment y arriver ?
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💫
Contrairement aux vacances d’été, la pause pendant la période de Noël ne laisse pas vraiment le temps de se ressourcer. De plus, nous sommes souvent soumises à de nombreuses obligations sociales. Ces petites vacances risquent donc de nous fatiguer plus qu’autre chose. Alors, comment en profiter sainement et aborder une reprise travail avec le pep's après les fêtes ? 💫 ✨ Prépare la reprise de travail en même temps que les fêtes ! - Choisir les cadeaux, finaliser la déco, penser au menu, dresser la liste des invités ou à l’inverse, réfléchir à ce qu’il faut préparer pour faire la fête à l’extérieur… Cela devient vite un vrai casse-tête, surtout lorsque tu es une maman active. Le travail te poursuit, de même que les enfants et toutes les exigences que les fêtes de fin d’année impliquent. Au milieu de ce tourbillon, prends le temps de planifier et simplifier ton travail. Établis une liste des tâches que tu dois impérativement achever avant la pause de Noël. Organise-toi en conséquence, quitte à commencer un peu plus tôt tes journées pour pouvoir sortir plus tôt. À la rentrée, tu devrais t’accorder le temps de la reprise, sans te brusquer. Et la meilleure solution pour y arriver, c’est d’éviter les tâches qui traînent : après les fêtes, ils viendront empoisonner ton bureau et ta nouvelle année si tu ne t’en débarrasses pas à temps ! 💫 ✨ Éviter les excès pour une reprise de travail zen après les fêtes Tout comme la gueule de bois, les lendemains de fête qui déchantent peuvent nous déprimer. Le retour au travail devrait se faire dans la vitalité. Donc, on y va doucement avec la nourriture et l’alcool. Rappelle-toi bien ceci : il faut de l’énergie vitale pour digérer, pour danser, pour chanter… Donc, si tu fais des excès, la fatigue apparaîtra inexorablement. Il vaut mieux prévenir que guérir ! Mais si tu souhaites vraiment faire la fête, pense à recharger tes batteries d’abord. Prends soin de toi, de ton corps avec une alimentation saine avant les fêtes, bouge et sors de la maison, va respirer l’air de la nature. Tu feras ainsi un grand stock de vitalité pour affronter les réveillons ! Et continue après les fêtes : prendre du temps pour soi, c’est bon pour la santé. 💫 ✨ Libère ton esprit des fausses résolutions et objectifs mal renseignés Pas la peine d’alourdir le début de l’année avec des résolutions qu’on n'en tiendra même pas. Pour une bonne reprise après les fêtes, Il vaut mieux rester zen. Ce que je te conseille, c’est de faire un bilan bienveillant de ton année, et peut-être de réfléchir à ce que tu pourrais améliorer de façon globale. C’est déjà un bon début ! L’exercice de la roue de la vie peut t’aider dans ce sens. Ainsi, tu pourras commencer l’année sans te mettre la pression, tout en ayant une base solide pour orienter tes objectifs. 💫 ✨ Conclusion Pour vivre pleinement les fêtes sans te faire rattraper par des tâches fastidieuses dès le retour au bureau, pense à bien finir l’année ! Et commence la nouvelle année de façon zen, sans mettre la charrue avant les bœufs. Si tu as déjà des objectifs clairs, tu peux y travailler à ton rythme. Dans le cas contraire, reste cool et abonne-toi à mon blog : je te partagerai toutes les astuces utiles pour avancer vers l’épanouissement professionnel ! 💫 Et toi, qu'en penses tu? Comment prépares-tu la reprise après les fêtes? 💫 Et pour aller plus loin, je t'invite à Transformer tes journées de travail en une aventure épanouissante, remplie d'énergie et de positivité! en cliquant ci dessous ! 💫 Read the full article
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aureliejur-psy · 4 months
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3 habitudes pour rester "Zen" au quotidien
Un état d’esprit calme, serein et équilibré face aux défis de la vie, ça vous tente ? C’est ce qui caractérise ce qu’on va communément dire de nos jours « être zen ».  Ce dont nous allons parler est plus qu’un état d’esprit mais une attitude globale intérieure, une energie intérieure qui serait en mesure de correspondre avec une réalité qui ne s’avère pas toujours agréable. Un stress réduit à ce…
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kafunel · 1 year
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Didier Awadi, rap souple pour paroles fermes. Pionnier du rap africain francophone, devenu au fil des années un artiste majeur du continent où il fait figure de modèle pour ses convictions, le Sénégalais Didier Awadi joue son rôle anticonformiste sinon provocateur avec son nouvel album Quand on refuse, on dit non. Un manifeste sans concession, qui témoigne de son attachement profond à son continent. Didier Awadi, rap souple pour paroles fermes desespoir-alcool_Résumé de la Conférence médicale sur les maladies malignes à Berlin - Allemagne Chaque fois que Didier Awadi annonce un nouveau projet, une interrogation pointe aussitôt, avec cette curiosité teintée d’impatience : de quelles lames affutées sinon tranchantes équipera-t-il ses mots pour défendre, avec cette fougue qu’on lui connait depuis ses débuts, ses idées panafricanistes et anticolonialistes ? Car la question n’est pas de savoir jusqu’où le rappeur néo-quinquagénaire est prêt à aller, lui qui a tenté récemment avec l’Ivoirien Meiway de mobiliser l’opinion contre les mandats présidentiels à répétition et s’est vu interdire un concert dans ce cadre, mais à travers quels prismes. Il y a quelques mois, on en avait eu un aperçu : « Tu t’indignes, parce que Poutine envahit l’Ukraine […] Tu vois le drame à ta porte, tu peux pas rester zen. Car ils sont comme toi, le même sang qui coule dans les veines […] Tu n’as pas bronché pour la Libye. Pour la chanson qui donne son nom à l’album awadi Pour voler le pétrole et tout le gaz, t’as trouvé l’alibi. J’ai vu l’Otan criminelle complice de Sarkozy« , relevait-il dans Géométrie variable, premier extrait de ce nouvel album Quand on refuse, on dit non, titre emprunté à l’ultime ouvrage inachevé de l’écrivain ivoirien Ahmadou Kourouma (lauréat du prix Renaudot en 2000 avec Allah n’est pas obligé). Pour souligner son propos, Didier Awadi se sert aussi des images. Déjà dans le clip de L’Impertinent, sur le précédent album Made in Africa en 2018, il s’était imaginé menotté, amené devant une cour pour se défendre – et y faire souffler le vent de la révolte. Cette fois, pour la chanson qui donne son nom à l’album, il va jusqu’à renverser les rôles entre Africains et Européens (comme l’avait fait le long-métrage Africa Paradis en 2007) dans une mise en scène de l’esclavage, avec des fouets, des chaines et du sang. Une question de bon sens, je te parle de souveraineté Exclusif avec Didier Awadi «Le Pbs, au-delà de Awadi, Doug E Tee, c’est une philosophie de vie...» S’il convoque l’histoire pour interpeler, le lauréat 2003 du prix Découvertes RFI la met en résonance avec le présent, voire l’actualité : « La sécurité, tu l’as déléguée, confiée au pire des oppresseurs qui t’a colonisé, opprimé”, dit-il ici ; « Ton territoire, c’est ton armée qui doit sécuriser. Une question de bon sens, je te parle de souveraineté », poursuit-il, soutenant en creux les régimes militaires maliens et burkinabè qui ont mis en terme à la présence militaire française sur leurs territoires. A lire aussi Didier Awadi : « Je me retrouve dans le discours de Sonko » Le message de ce manifeste ? « L’indépendance, il y a des sacrifices à assumer. Quand t’es responsable, il y a des devoirs. II faut assurer. » L’artiste, héritier de la pensée de Thomas Sankara et souvent coiffé d’un béret orné d’une étoile à la façon de Che Guevara, puise aussi dans le patrimoine, à l’image d’Il n’est jamais trop tard. « Mes copains ont des voitures » Didier Awadi : "Je me retrouve dans le discours de Sonko" En introduction, un extrait du discours du leader ghanéen Kwame Nkrumah datant de 1958 invitant les États d’Afrique à s’unir, puis c’est la mélodie de Doni Doni, un classique du Bembeya Jazz National de Guinée (repris entre autres par Africando) qui se fait entendre. Avec des paroles différentes, en lien avec les problématiques que Didier Awadi aime mettre en avant : « Mes copains ont des voitures » et don
c devenu « Il y a eu la dictature », tandis que « Petit à petit, l’oiseau fait son nid » a été changé pour « Petit à petit, la démocratie » ! La forme aussi a évolué : la relecture du Sénégalais prend l’apparence d’une combinaison reggae particulièrement efficace dans la tradition jamaïcaine, où le refrain est chanté par son compatriote Diyane Adams tandis que lui, en contraste, débite son texte avec rapidité et agilité. A lire aussi Exclusif avec Didier Awadi : «Le Pbs, au-delà de Awadi, Doug E Tee, c’est une philosophie de vie…» Sans doute peut-on voir dans l’inspiration comme dans le processus de transformation artistique appliqué à cette chanson l’une des influences de l’expérience du rappeur, en tant que présentateur et coproducteur de l’émission télévisée Sargal. Depuis deux saisons en effet, il reçoit ceux qui ont marqué par le passé la musique de son pays et du continent et adapte un ou deux titres phares de leur répertoire avec son propre groupe. Le travail effectué avec ses musiciens et l’osmose entre eux s’entend en particulier sur la reprise live de J’ai pas le temps, glissée en toute fin d’album et qui figurait dans sa version studio sur Ma Révolution en 2013. Sur l’album son ancien complice Duggy T Didier Awadi, rap souple pour paroles fermes Le cofondateur de Positive Black Soul, groupe avec lequel il a démarré dans les années 90, convie aussi à ses côtés sur l’album son ancien complice Duggy T mais également son ainé Baaba Maal (aperçu dans Black Panther : Wakanda Forever, dont il signe un titre de la BO), ou encore le rappeur malien Mylmo. L’esprit du hip hop original, avec ses codes, n’a jamais quitté Didier Awadi. Affirmant son statut de « rappeur number one » et renvoyant dans les cordes potentiels et improbables concurrents, l’homme est toujours à l’aise dans la posture du rappeur égotique : « Tu croyais quoi ? Que j’étais mort, que t’allais m’enterrer ? Sorcier, même dans tes rêves, l’ange de la mort viendrait me déterrer. Désolé, tu vas souffrir, je vais te dégouter ». L’art du clash. Didier Awadi Quand on refuse, on dit non (Studio Sankara) 2023
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lazoneestlibre · 1 year
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" Être éveillé c'est prendre conscience de tout ce qui se joue en soi"...
"QUESTION d'un adepte de la chaine" Bonjour, je viens de découvrir vos vidéos, j’aime beaucoup c’est plein de sagesse. je fais de la méditation depuis 3 ou 4 années, je suis zen quand je suis en méditation le bruit mental s’arrête et je suis en pleine présence et en paix, mais lorsque j’arrête ma séance, quelques heures après l’anxiété reviens et tout ce qui va avec, ma question est donc de savoir comment se connaître soi, et rester dans le moment présent longtemps, et surtout comment faire en sorte d’être intérieurement sans peur pour pas vivre dans la peur ou joyeux intérieurement quand on est triste car c’est difficile de garder cet état. L’émotion est plus forte
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Quand mon patient (OH) vient devant notre bureau IDE pendant la relève et nous demande de parler moins fort car y en a qui aimerait dormir et que demain il ira à l’hôtel car y a trop de bruit ici
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lightsovermaloski · 3 years
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Partie I. H-5.30
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Warning/s: peur, sang, mort, cadavre...
Word count: ~3200 mots
***
Cela faisait bien une dizaine de minutes que les adolescents roulaient en direction de Cecile Bombeek. La musique était à fond, et Aurora et Elias donnaient le meilleur d’eux-mêmes en karaoké. Ilan regardait le paysage, en repensant au comportement étrange et alarmant de Nora pendant la soirée. Cette dernière tremblait de froid. Vêtue de son sweat bleu clair, elle n’était pas préparée à des températures aussi glaciales. Elle avait prévu qu’il ferait froid, mais pas à ce point. La nuit s’était sûrement rafraîchie depuis leur départ. Pourtant, elle ne pouvait pas s’empêcher de remarquer qu’elle semblait être la seule à avoir froid. La fenêtre d’Aurora était grande ouverte et ses poignets hors de la voiture, elle jouait avec l’air qui défilait à toute allure. Les garçons ne portaient même pas leur veste, et leurs bras nus ne semblaient pas avoir la chair de poule. Elias, lui, poussait sa voiture à fond.
L’ambiance changea du tout au tout.
« Elias, tu roules un peu trop vite là », s’inquiéta Aurora en baissant le volume de la musique. Le conducteur ne sembla pas réagir à la remarque.
« - Elias, tu roules trop vite !, cria cette fois Aurora.
- Ne me crie pas dessus !, s’énerva le jeune garçon, soudain paniqué. Je n’arrive pas à ralentir ! Je crois que les freins ne marchent plus. Ils ne réagissent plus, bordel ! ».
Elias cherchait une solution dans sa tête. Il connaissait les routes de Norvège par cœur pour les avoir traversées en long, en large et en travers avec sa famille. Il savait que le virage était proche. Et que s’il ne trouvait pas un moyen de freiner, la voiture se jetterait dans le vide montagneux. Il avait conscience que les chances de survie étaient faibles. Il voulait garder le contrôle, mais sa main frappait machinalement le volant dans un geste de stress.
Aurora était, elle, prise de panique. Sa respiration était courte. Elle était asthmatique, et une crise pointait le bout de son nez. Elle s’agrippait à son inhalateur comme si sa vie en dépendait. C’était probablement un peu le cas. Les mots rassurants d’Ilan ne la calmaient pas - et ils aggravaient même sûrement la situation. Il avait beau se la jouer zen, il était aussi agité. Il voulait trouver un moyen de s’en sortir, mais rien ne lui venait à l’esprit. Ses yeux bougeaient frénétiquement et il se massait les tempes.
« Désolé », répétait Elias en boucle. Nora aurait bien tenté de lui dire que ce n’était pas de sa faute, mais elle se souvint de l’avoir blâmer avant de partir. Et elle trouvait presque plus supportable de mettre sa propre mort sur le compte d’autrui. C’était pourtant elle qui rêvait.
La ford fiesta traçait une ligne droite, la route commençait pourtant à tourner. Le cœur de Nora faillit lâcher lorsqu’elle crut apercevoir une silhouette sur le bord de la route. La silhouette prit une tournure drôlement humaine, et dérangeante. La rousse ne put apercevoir que des yeux bleus glaçants. Il nous attend, pensa-t-elle. Elle ne se comprenait pas elle-même. Qui les attend ?
Jonas, Jonas, Jonas
Elle se pensait folle à lier. Perdue dans ses pensées, elle n’entendit pas qu’Ilan lui criait dessus. Il lui hurlait d’essayer de protéger son visage, de faire quelque chose. Mais elle n’écoutait pas. Elle n’écoutait ni les conseils futiles d’Ilan, ni les hurlements à glacer le sang d’Aurora.
Un choc lui explosa le crâne contre le siège beige, laissant une tache de sang dégoulinante. Une douleur insoutenable lui envahit le corps. Elle ne pouvait retenir un cri déchirant. La voiture tombait dans le vide, et elle se sentait partir dans une souffrance amère. Un autre choc puis l’auto se mit à faire des tonneaux. Nora lâcha un dernier soupir.
***
« - Nora ?
La jeune fille ouvrit difficilement les yeux. La lumière lui brûlait la rétine. Elle se toucha la tête, constatant qu’elle n’avait pas l’air d’avoir de blessures. Le siège était toujours d’un beige parfait devant elle. La confusion laissa place à un étrange soulagement. Elle n’avait pas l’air morte, et putain, ce que ça faisait du bien de le savoir.
- Bordel, tu m’as fait peur ! Tu t’es évanouie d’un coup, et tu t’es mise à trembler, j’ai cru qu’on t’avait perdu !, hurlait Ilan. Il avait la main sur l’épaule de celle qui était assise à l’arrière. Son visage était marqué par l’inquiétude. Ne me refais plus jamais ça !
- Désolée, je… Je ne sais pas ce qu’il s’est passé. Je ne me sens pas très bien, on devrait peut-être faire demi-tour. »
Elias soupira. Il jeta un œil dans le rétroviseur. Nora était livide, certes, mais pas au bord de l’agonie non plus. Elle supporterait bien de rester une petite heure dans un lieu désert. Quelle chochotte, pensa-t-il.
« On arrive dans une ou deux minutes, c’est un peu tard pour se dégonfler maintenant », cracha sèchement Elias. Nora voulut répliquer. Elle ne se dégonflait pas, elle était juste inquiète. Morte de peur, en réalité. Elle était persuadée que ça allait mal finir. « Il nous attend », murmura Nora.
Un silence malaisant s’installa dans la voiture. Aurora rangea ses mains à l’intérieur de l’auto. Elle coupa entièrement la musique. La main d’Ilan agrippa, d’un coup, plus fermement l’épaule de Nora. « - De qui tu parles ? », demanda-t-il. Ses yeux fixaient le visage de la jeune fille, elle était terrorisée. Ce n’était pas le genre de Nora d’avoir peur. Au contraire, c’était une casse cou. Elle s’attirait toujours des ennuis, car elle fonçait toujours la tête la première. La voir dans cet état n’était pas normal. Il avait bien remarqué depuis le début de la soirée que quelque chose ne tournait pas rond, mais là, c’était trop. Il voulut lui demander comment elle allait, mais Elias ne lui en laissa pas le temps.
« - T’as dit quoi là ?
Nora ne répondit pas. Elle ne savait pas quoi répondre. Elle-même ne pouvait se douter de ce qui les attendait.
- Je te parle, Nora, répond !
- Je n’en sais rien, Elias, je ne sais pas pourquoi j’ai dit ça. »
La jeune fille espérait que cette explication suffirait. Elias ricana, et murmura un truc dans le genre « t’es complètement tarée ».
Ilan sentit que Nora allait se rebeller, et qu’une dispute allait finir par éclater. Il lança un regard désapprobateur à la jeune fille, qui soupira - de colère et d’angoisse. Aucun jour ne passait sans qu’Elias et elle ne se disputent. Ils n’avaient jamais été proches. Si Elias traînait avec eux, c’était simplement parce qu’Aurora s’était entichée de lui - et parce que ça faisait du bien à Ilan de ne plus être le seul mec de la petite bande. Nora l’acceptait pour faire plaisir à ses copains, mais à la moindre occasion, elle se faisait un malin plaisir de le dénigrer. Plaisir qui lui était vivement rendu.
Nora se sentait gênée par le poids des objets dans son sweat. Elle décida de laisser sa batterie externe dans la voiture. L'appareil électronique avait beau être petit, il était tout de même assez lourd. Elle ne garda que deux lampes torches. Persuadée que ces dernières finiraient par leur servir.
La voiture s’engouffra dans un petit chemin de terre et se gara dans un petit espacement, près d’un ancien panneau. Nora ne put déchiffrer quelle fut l’utilité de cet objet. Elle descendit de la voiture, un nœud tiraillant son ventre.
Il n’était pas même 20 h, le soleil brillait encore d’une lumière orangée. Nora se hissa hors de la voiture. L’odeur boisée de l’air lui gratta le nez. Elle fixait l’énorme bâtisse qui se tenait devant elle en se demandant ce que s’y cachait à l’intérieur. Elle fut sortie de ses songes par Ilan. Il lui agrippa, violemment, le bras.
« - Qui nous attend ? Adrian ?
- Je te jure que je ne sais pas. Je ne sais pas pourquoi j’ai dit ça.
La réponse de la jeune fille ne satisfaisait pas Ilan. Il allait lui faire cracher le morceau de ce qui se passait derrière la petite tête rousse.
- Ce n’est pas ton genre de parler pour ne rien dire, fit-il remarquer. Nora soupira.
- C’est vrai, mais… c’est sorti de nulle part.
- Vous ne trouvez pas ça chelou ?, interrompit Aurora. Cette voiture-là, c’est hyper bizarre.
Nora regarda les alentours et vit une voiture rouge cachée dans des buissons. L’emplacement était étrange, il donnait réellement l’impression que ceux qui l’avaient placée là voulaient que personne ne trouve l’auto.
- C’est sûrement des gens qui sont venus visiter l’école, comme nous. Depuis que la légende circule sur internet, énormément de gens se rendent ici, expliqua Elias d’un ton assuré.
- C’est peut-être cet Adrian…, murmura Aurora.
Nora écarquilla les yeux. C’est donc vrai, alors ?, se demanda-t-elle.
- Ça peut-être n’importe qui. À mon avis, ce sont de simples urbexeurs. Bougez-vous maintenant, je n’ai pas toute la nuit. » Elias avait une voix autoritaire, ce qui déplut fortement à Nora. Celle-ci voulut le remettre à sa place, lui dire qu’il n’était pas obligé de leur parler comme ça, mais elle se retint de le faire. Ce n’était ni le moment ni l’endroit. Il valait mieux rester soudés.
La fin est proche
Elias prit Aurora par la main, la forçant à se mettre en route. Ils avancèrent de quelques pas. Nora, elle, resta sur place. Elle regarda derrière elle. La route était déserte. Elle ressentit l’envie d’y courir, de faire du stop, et de partir le plus loin possible. Loin de ce cauchemar. Elle secoua la tête, en se moquant légèrement d’elle-même. Mais de quel cauchemar tu parles ? Tout va bien, tentait-elle de se convaincre. Au fond d’elle, elle savait pourtant pertinemment que ce n’était pas le cas.
Ilan s’approcha d’elle. « Tout va bien ? ». Nora afficha un léger sourire pour tenter de rassurer le garçon. « Ça va. C’est juste que toutes ces coïncidences m’angoissent ». Ilan hocha la tête en signe de compréhension.
Elias sortit son téléphone. Il se retourna vivement vers ceux qui étaient restés en arrière. « Vous comptez rester là ? ». ll se mit légèrement à rire. « Je vais filmer avec mon téléphone. Pour faire une sorte de vlog. Ça nous fera des souvenirs ! ».
Il commença par filmer l’école de loin. « Bonsoir à toutes et à tous ! Moi, c’est Elias. Voici la belle Aurora. Et derrière, nous avons mon pote Ilan et la poule mouillée de Nora ! ». La « poule mouillée » fit les yeux ronds et insulta violemment le cameraman dans sa tête. Quel enfoiré ! pensa-t-elle. « Nous sommes à Cecile Bombeek et nous allons faire de l’urbex dans l’école. Peut-être même faire le jeu maudit ». Un sourire glaçant se dessina sur le visage du garçon. Nora voyait dans ses yeux qu’il était prêt à tout et qu’il ne quitterait pas l’endroit sans avoir prouvé au monde entier que cette légende était un ramassis de conneries.
Ou pas, faites attention à la silhouette.
Les quatre ados décidèrent d’allumer la lumière de leur téléphone et de garder les lampes torches en secours.
Son portable à la main, Elias se remit à marcher, accompagné d’Aurora. Ilan attrapa la main de Nora, et tous deux suivirent de loin leurs amis. Pour arriver au-devant de l’école, il fallait la contourner en traversant une forêt. Ce qui n’était pas forcément rassurant. Tous les quatre pénétrèrent dans les bois sombres. Les arbres étaient gigantesques, et leur feuillage était très épais. La claire lueur du soleil ne parvenait pas à traverser la forte végétation. Les lumières de leur téléphone formaient des ombres inquiétantes. Le chemin, boueux, était par endroit impraticable. Plus d’une fois, Nora manqua de tomber dans une flaque de boue, et dut s’agripper à Ilan pour éviter la chute. Une chouette hululait au loin, Nora la percevait si faiblement qu'elle se demandait constamment si elle n'était pas en train d'imaginer ce son - pour le côté dramatique peut-être. Une légère brise caressait la peau fragile du visage de Nora. Le moindre craquement de branche la faisait sursauter. Elle se sentait suivie. Persuadée que la silhouette était derrière, et qu’à tout moment, elle devrait se mettre à courir pour sa vie. Le temps de marche semblait interminable.
Le paysage devenait plus lumineux à chaque pas vers la sortie de la forêt. Le soleil couchant reflétait ses lumières orangées sur un énorme bâtiment et faisait ressortir le vert pastel abîmé des murs. Le premier étage était recouvert de briques d'un rouge passé, assorti au toit aux ardoises manquantes. La porte, aussi impressionnante soit-elle, semblait avoir était barricadée. Mais les dernières poutres en bois qui, fut un temps, bloquait l'accès à l'intérieur tombaient peu à peu en ruine. Des gens sont vraiment entrés là-dedans, pensa Nora. La jeune fille se trouvait totalement déboussolée. L'endroit était délabré, mais plus très effrayant. Pourtant, la peur continuait de ronger Nora.
La silhouette est là, quelque part, cachée.
Elle attend un moment d'égarement pour frapper.
Aurora se rapprocha de son amie.
« - Cet endroit me fout la frousse, pas toi ?
Nora hocha la tête. Ce n'était pas les alentours qui terrorisaient la jeune fille, mais ce qui se tapissait dans les recoins sombres.
- C'est immense ! », s’extasia, Elias, devant les énormes bâtiments.
Les quatre adolescents empruntèrent le chemin menant tout droit à l'entrée du bâtiment, qui était légèrement en hauteur. Nora regardait au loin. Elle repéra une autre bâtisse aux murs orangés, plus loin, sur la gauche de là où elle se trouvait. Encore plus loin, elle vit le dernier morceau qui composait Cecile Bombeek. L'endroit était nettement moins délabré que les deux autres. Sa couleur marron semblait intacte et aucune fenêtre n'était brisée. Sûrement le mystérieux immeuble dont personne ne connaissait l'utilisation.
La bande se retrouva dans une petite cour intérieure. Le béton était fissuré, les mauvaises herbes se baladaient au gré des craquements du sol. Un vestige de balançoire trônait dans le fond. Le vent fit bouger un vieux ballon dégonflé et moisi, qui vint se heurter aux pieds d'Ilan. Ce dernier esquissa un frisson. Il ne pouvait s'empêcher de s'imaginer les petits garçons de l'époque courir ici. Avant le massacre. Les yeux verts de Nora virent un éclair de tristesse passer, et le jeune garçon comprit qu'elle pensait à la même chose que lui. D'un coup de pied ferme, il envoya les restes du ballon s'étaler un peu plus loin du bâtiment, dans les hautes herbes sauvages. « Tout va bien », murmura-t-il à l'attention de la jeune fille. Affirmation qui semblait presque sonner comme une question. Nora ne prêta pas réellement à ces mots. Elle avait envie de vomir tellement la peur lui rongeait les os.
Elias, à deux pas d'entrer dans le complexe, braqua son téléphone à l'intérieur.
« - C'est vachement lumineux ! En même temps, avec toutes les vitres brisées, ça ne m'étonne pas... Bon, on se lance ?
Son regard était empli d'une malice qui rendait Nora nerveuse. Une sorte de lueur malsaine.
- Vous pensez qu'on est dans l'école ou l'asile ?, se demanda tout d'un coup Aurora.
Elias passa la porte, puis s'arrêta net pour regarder autour de lui. Il se retourna vers ses amis avec un sourire jusqu'aux oreilles.
- On est dans l'école. »
Aurora sentit l'inquiétude monter en elle. Elle n'était plus si sûre de vouloir faire tout ça. Et si ce n'était pas des conneries ? Et si la légende était vraie ? Un frisson parcourut son corps. Elias l'appela. Elle rejoignit le beau brun. Et une fois à l'intérieur, sa peur s'envola. Elle contempla l'immense hall dans lequel elle se trouvait. Elle passa sa main sur le papier peint craquelé. C'était gelé. Les murs semblaient renfermer des secrets, qui cherchaient à s'échapper par les fissures. Aurora sourit. C'était un lieu magnifique, et tout semblait si paisible.
Paisiblement monstrueux
Nora trouvait cet endroit sinistre. Son cœur battait la chamade. Voyant qu'elle ne bougerait pas d'un millimètre - et que cela risquait de faire perdre patience à Elias -, Ilan prit la main de la jeune fille et la força à entrer dans l'école avec lui.
À peine son pied toucha le sol poussiéreux de l'école Cecile Bombeek que Nora entendit une voix.
À L'AIDE !
La jeune fille lâche la main d'Ilan et se retourna vivement. Elle scruta les alentours. Les yeux horrifiés, elle regardait le paysage. Tout était pourtant si calme. Elle se retourna vers ses compagnons.
« - Vous avez entendu ça ?
Ilan observait son amie perplexe. Il n'avait rien entendu du tout. À part le bruit du vent contre les arbres, tout était silencieux. Et au vu de l'expression confuse des tourtereaux, ils ne savaient pas non plus de quel son parlait Nora. Tout semblait si paisible.
- La voix ? Cette voix rauque là ? Vous n'avez pas entendu ?
Les quatre amis se turent. Il était presque possible d'entendre une mouche voler. La respiration de Nora s'accéléra fortement. Ses pupilles bougeaient machinalement de droite à gauche, scrutant ceux qui la pensaient hors d'esprit.
- Ne me dites pas que vous n'avez rien entendu ! Elle appelait à l'aide ! Comment vous avez pu louper ça !, hurlait Nora, qui sentait les drôles de regard que lui lançaient ses compagnons. Je ne suis pas folle...
Ilan s'approcha doucement de sa meilleure amie. Il posa une main réconfortante sur son épaule.
- Personne n'a dit que tu étais folle, Nora.
Elias esquissa un rictus. Nora ? Folle ? Les deux mots étaient synonymes pour lui.
- C'est juste que personne n'a rien entendu. C'est peut-être juste ton oreille qui te joue des tours...»
Nora était sous le choc. Elle voulut riposter. Bordel, mon oreille n'est peut-être pas très performante, mais elle n'invente pas des voix!
Mais elle ne répondit rien. Elle était en colère - et surtout, elle savait ce qu'elle venait d'entendre. Elle rejeta la main d'Ilan et se dirigea vers les premières pièces à gauche. Elle tentait de reprendre une respiration normale.
Une voix venait de l'appeler à l'aide.
À l’aide, à l’aide, ne le laissez pas mourir
Elle focalisa son regard sur une peinture faite sur le mur. Une tête d'homme souriant dont on pouvait seulement voir une moitié de visage. Un sourire énorme. Les craquements du papier peint rendait ce dessin troublant, et presque terrifiant. La boule qui tordait le ventre de la jeune fille s'intensifia encore un peu plus, si cela était possible. Elle farfouilla ses poches dans l'espoir de trouver sa bouteille d'eau. Punaise, elle est restée à la maison, pesta la jeune fille.
Était-elle seulement en train devenir folle ? Elle secoua la tête. J'ai bien entendu une voix, tenait-elle se de convaincre elle-même. En réalité, peu importe si ce cri à l'aide était réel ou non, elle était terrifiée. Ça allait mal finir, et elle le savait pertinemment. Elle ne souhaitait qu'une chose : s'enfuir. Mais Elias était déterminé à explorer les lieux, et même à jouer à cette légende stupide. Alors autant en finir.
Nora s'avança vers une première porte, taguée d'inscriptions illisibles. Elle mit sa main contre l'écriture et détacha malencontreusement un bout de peinture. Ses doigts étaient maintenant recouverts d'une poussière blanchâtre. Elle s'essuya vivement dans son jean noir.
« - Sûrement des jeunes qui sont passés par là et qui ont tagués les murs, murmura doucement Ilan. »
Nora se contenta de hocher la tête et entra dans la pièce. Ilan la regarda s'éloigner de lui, pas seulement physiquement, mais aussi émotionnellement. À quoi pouvait-elle bien penser ? Avait-elle vraiment entendu une voix ? Il sentait qu'elle avait peur, une peur incontrôlable, et cela le terrifiait. Qu'est-ce qui pouvait l'effrayait à ce point ?
Nora passa sa tête à travers la première porte. Une vieille table accompagnée d'une chaise en piteuse état remplissait l'espace. Des papiers jonchaient le meuble mais aussi le sol. La rouquine s'approcha doucement. Elle poussa quelques feuilles et tomba sur une plaque.  « Tobias Saether » était inscrit en lettres dorées sur fond noir. Nora comprit que c'était sûrement le bureau de l'ancien gardien de nuit. Elle sortit de là, le corps recouvert de chair de poule, et continua son chemin.
Ilan la suivit dans une immense pièce, refusant de la quitter des yeux plus d'une seconde. C'était vide. Il n'y avait plus aucun meuble. Le sol était recouvert de poussière et de débris. Leurs pas résonnaient dans un bruit étrange. Nora le remarqua alors. Un petit ourson marron. Un bras et une jambe arrachés. Son œil gauche avait disparu et faisait place à une croix noire. Son pelage était rempli de pansements beiges. Cette petite chose était abandonnée. Elle le montra du doigt à Ilan. Ce dernier voulut ramasser le jouet, mais à son contact, il s'effrita. Nora regarda avec horreur ce qu'il venait de se passer. Elle eut l'impression que, soudainement, tout était fait de papier en mousse et qu'il suffisait d'un rien pour que tout s'effondre.
Ilan remarque l'expression étrange de la jeune fille, et attrapa sa main pour la traîner hors de là. Elle regarda une dernière fois l'ourson en peluche, maintenant en morceaux, avant de se concentrer sur ses amis. Tous deux, ils rejoignirent Aurora et Elias qui se trouvaient dans la pièce d'en face.
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mileskingston · 4 years
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Être d’humeur égale ne signifie pas de tout accepter et de subir les émotions des autres. Si quelqu’un vous frappe ou vous insulte, ne vous laissez pas faire au prétexte de vouloir rester zen ! Vous devez au contraire réagir et vous (faire) respecter. Dire clairement non. Fermement mais sans haine. Il faut savoir mettre des limites à ses états d’âme (ma colère ne va pas diriger ma vie) et aux comportements des autres (la colère du voisin non plus !).
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skjaldmo-ulf · 5 years
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(Okay j’avais préparé un texte le temps que ma vidéo s’uploade et tout sauf que ça a planté donc pas de vidéo et mon texte ne s’est pas enregistré okay on va faire comme si de rien n’était et rester zen)
Parfois quand je sors je ne vois rien, je ne trouve rien. Aujourd’hui ce n’était pas le cas !
J’ai raté de belles photos mais je repars quand même avec de beaux moments !
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Comment à 39 ans, j’ai assuré une autosuffisance alimentaire pour les miens, grâce à la permaculture potager !
La permaculture guérir la terre nourrir les hommes
by: R-Mythe (Jean Jean)
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À vous qui êtes sur la niche « Développement personnel »
Août 2011, comme sur toutes routes, tout cela part, d’un hasard au carrefour de l’une d’entre elles. Paris. Une vieille librairie entre la voie pédestre la fourche dix-huitième arrondissement et Saint-Ouen. Une pluie battante. L’envie de ne pas se faire tremper. On pousse une porte. On fait « genre » de flâner pour ne pas se faire regarder avec insistance par le vendeur et … là. Et là, on tombe nez à nez avec une couverture de livre très austère, mais avec un titre qui appelle à tellement d’autre chose. Ces autres choses sont inscrites sur le titre du livre « La révolution d'un seul brin de paille », de Masanobu Fukuoka. J’aime ce titre. Il dialogue avec moi. Quand j’achète ce livre, je n’en sais pas plus de la permaculture urbaine.
La pluie. La pluie s’arrête à l’extérieur de la boutique, mais suinte et s’infiltre désormais à l’intérieur de mon esprit. Je signe mon premier acte de foi de la permaculture : guérir la Terre et nourrir les hommes.
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Le livre. La Révolution d'un seul brin de paille, publié en 1975 au Japon, qui raconte et théorise l’expérience de Masanobu Fukuoka en agriculture naturelle. Tout d’abord, qui est Masanobu Fukuoka : c’est un microbiologiste de formation et spécialiste en phytopathologie (je ne sais ce que cela veut dire, là j’ai tout pompé sur Wikipedia, non sur ce coup-là j’ai étudié les diverses pathologies de plantes, mais suivez Lycos pour tout savoir sur wikipedia svp). Donc, suivez le lien afin de tout savoir sur le père de la permaculture potager.
Mais je me permets et je cite
« [] Ses recherches, inspirées de ses racines culturelles zen, taoïste, shinto, bouddhiste, vont dans le sens d'une unification spirituelle entre l'Homme et la Nature. À partir des années 1980, ses expériences rencontrent progressivement une reconnaissance mondiale, et il multiplie les conférences et les rencontres internationales. Sa ferme devient un lieu d'échange [] »
……………… et là je peux en écrire encore énormément des petits points.
Mais si je résume ce qui m’a fasciné chez ce monsieur, voici quelqu’un qui ne s’est pas embarrassé de beaucoup de scrupules : il a vu que ces congénères qui malgré un dure labeur, n’arrivaient pas à assouvir leur faim, dans ce japon en pleine reconstruction, post seconde guerre mondiale, des années soixante-dix. Alors il a décidé, tout seul, dans son coin, de confectionner de petites boulettes d'argile et de paille, contenant dans chacune d’entre elles, des semences de riz et les a semé tout autour de lui, lors d’interminables ballades, où il ne disait pas un mot et ne faisait que sourire aux gens. Ce faisant, il leur a assuré l’autosuffisance alimentaire.
Sourir pour nourrir les hommes par la permaculture et après
Résultat, en ne répandant juste que de la « paille », le miracle se produisit et de petites parcelles de rizières apparurent çà et là, de façon hétérogène. Répandre pour faire pousser afin de faire pousser un accompagnement au plat principal de chacun de ses congénères. Le début de la permaculture design. S’en suit ensuite, toute la théorie de Mr Fukuoka, mais cette théorie n’est possible que après avoir fait. Car ce qui est important c’est faire et ne pas avoir fait (mon grand-père).
Constat 2 de M.F. :« Faire pousser des arbres sans élagage, sans fertilisant ni pulvérisations chimiques n'est possible que dans un environnement naturel. »
Constat 3 de M.F. :« Comme la nourriture naturelle peut être produite avec le minimum de coût et d'effort, j'en déduis qu'elle devrait être vendue meilleur marché. »
Écoutez, il y a plus. Beaucoup plus, de fait, laissant la nature seule sans interventions humaines, il réalise que cela favorise et décuple le rendement et a pour principal effet d'enrichir le sol plutôt que de l'épuiser.
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« Ventres sans plis, ventres sereins ». Proverbe breton ; Le recueil des proverbes et adages bretons (1856) J’aime bien les bretons, alors, je leur pique un proverbe.
Vous voulez la preuve ? Selon Fukuoka, l'esprit de discrimination, qui frappe l'ensemble de nos sociétés, a touché aussi l'agriculture productiviste moderne, et en explique les dérives. L'esprit de non-discrimination permet à l'homme attaché à la nature de la percevoir comme un tout non différentiable. Bon là, j’avoue : j’étais perdu. Mais, j’avais compris l’essentiel à savoir enlever la poutre, que j’avais dans mon œil, afin de pouvoir continuer à critiquer la paille dans l’œil de mon voisin …
Enfin, de la permaculture urbaine pour envisager la permaculture design
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Le permaculture design et le « tombeur-Uber »
Nous sommes en août 2011, mes enfants viennent de naître. Alors, Candide, en découvrant ce jardin de Pangloss, je rêve de grandes plaines et de grandes étendues. J'habite Paris.
Et à Paris faire de la permaculture, c’est un peu, comme, comment dirais-je, comme avoir une voiture : cela fait genre en société, cela fait chic en soirée, cela peut éventuellement permettre de ramener des nanas le soir en jouant le « tombeur-Uber », mais cela ne sert à rien.
Cela prend trop de place. Cela coûte chère. Et cela entretient une terre, qui n’est absolument pas le fruit de son travail : 155 euros quand même la fourrière en première base. Donc, mieux vaut faire faire et laisser traîner une clé de BMW, modèle X5, sur son trousseau, posé, bien en évidence, sur le zinc.
Subséquemment, plutôt que de porter mon originalité en pendentif, entre collègues, mégot et un verre de pif : je me suis dit que faire. Que faire dans mon 36 mètres carrés où nous sommes déjà quatre personnes à loger ?
La révolution d’un brin de permaculture depuis mon balcon
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Comme le grand Fukuoka je me suis dit : je fais. Je fais. C’est l’essentiel. Je fais à mon échelle et c'est cette échelle qui va pouvoir m'amener là-bas, là, où je devrais être, là, où d’où je verrais les autres, là, où je surplomberais ma destinée.
Donc je suis là. Là où je suis chaque soir. Là, où je me retrouve seul à fumer une clope. Là, sur mon bout de balcon parisien. Et là, j’ai un tilt. Mais, j'ai un coin de balcon. Un coin de balcon à moi, qui doit faire environ 0,75 mètres carrés. Il est rien qu’à moi et c’est ça ma destinée. Le permaculture balcon. Sans échelle, je trouve des pots, beaucoup de pots, j’y mets du terreau, je regarde comment sont situés, depuis mon bout de balcon, ces pots face au soleil. J'essaie de ne pas brûler mes maigres plantations. Je m’achète un cendrier. J'y mets de l'engrais naturel (dans ces pots, pas dans le cendrier). Je recycle mes déchets. Je fabrique mon compost : pour l’intégrer dans ses pots et j'y mets des graines de légumes perpétuels.
Manque de chance 1 : je démarre avec un des légumes que je déteste le plus. A vie. A savoir le poireau. Mais alors là, c'est la révélation et la déprime en même temps, à chaque fois qu'il est coupé, il revient le lendemain, mais bon il faut le manger aujourd’hui mais aussi demain.
Manque de chance 2 : Mon balcon ne devient en fait, qu’une forêt vierge de poireau, qu’après la 3éme tentative soit dix-huit mois de passé. A s’entêter. A faire pousser quelque chose sur un balcon dans le dix-huitième. A ne pas s’arrêter de fumer, afin de rester sur place et concentré …
La vérité ? J'ai oublié de dire, qu’à la troisième tentative que, j'avais injecté un élément. Que dis-je, l’Elément le plus naturel possible. En fait deux. Un sol meuble, comme celui de Pierre Richard. Sol, que j'ai trouvé dans la forêt présente dans le jardin de mes parents.
Et des vers de terre. Beaucoup de vers de terre, trouvés sur la botte de fumier du voisin de mes parents. Les enfants les ont pris pour des bonbons. Je les ai calmés. Les, trop nombreux vers de terre sont tombés sur les autres balcons. Je n’ai pas pu calmer les voisins.
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Mais colosse au pied d’argile, les bases la permaculture depuis mon balcon parisien, allaient changer ma vie et déjà celles de tous mes congénères. Mais cela, c’est la suite et ce sera au prochain numéro.
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karine-m · 3 years
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Le forêt... ressources de bien-être inépuisable. Si toi aussi, tu n'aimes pas la foule, si tu es mal-alaise en général et si tu as besoin de calme, alors va dans une forêt. Ca fait un bien fou. J'aime bien parler avec les gens, mais j'ai toujours cette petite fille au fond de moi hyper timide qui laisse plutôt les gens aller vers elle plutôt qu'elle ne va vers eux. Rester en retrait... je maîtrise. 👍 Je vous rassure je ne reste plus silencieuse quand on vient me parler avec bienveillance, au contraire ça me rassure. Elle est quand même forte cette petite fille ces derniers temps, elle a su parlé devant un certain nb de personnes et elle s'immisce seule dans les manifs pour faire gonfler les chiffres et prendre des infos qui ne passe pas a la télé. Par contre, elle ne se laisse pas non plus faire. Si elle n'est pas d'accord sur quelconques sujets... bah elle va te le dire... demandez à mes chefs.🤣. Il paraît que je suis "influenceuse négative" .🤣. Mais finalement, cela a un effet positif, ils ont presque compris qu'on étaient des êtres humains. Je crois...🤔 #foret #calme #force #douceur #forcetranquille #forcementale #nature #zen #influencer #influenceuse #etrehumain #simplicite #courage (à Essonne) https://www.instagram.com/p/CTkL_e4jZQc/?utm_medium=tumblr
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silenceofshadow · 6 years
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Ma mère devait venir me voir ce week end parce qu'elle voulait aller dans un magasin. Finalement elle m'a dit hier qu'elle ne venait pas parce qu'il faisait trop froid pour faire les boutiques. (Elle aurait pu juste venir pour me voir mais bon...) Et là je viens de l'avoir au téléphone et elle me sort qu'elle va aller faire les magasins. Elle me demande ce que j'ai prévu ce week end (alors qu'elle m'a foutu un faux plan) et me dit que je lui manque. Nan mais elle se fout de ma gueule ou quoi. Rester zen.....
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reseau-actu · 3 years
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Forcé d’ajuster sa stratégie à mesure que les critiques s’intensifient, le premier ministre garde l’objectif de vacciner un million de Français d’ici à fin janvier.
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La nouvelle année démarre donc comme la dernière s’était achevée: par une polémique sur les vaccins. Accusé de vouloir imposer la vaccination par la loi, voici l’exécutif attaqué en janvier pour ne pas déployer suffisamment rapidement sa campagne de vaccination contre le Covid-19. Même Emmanuel Macron s’en est agacé, demandant au gouvernement d’accélérer. «Pas un coup de colère mais une mise sous tension du système», précise-t-on autour du chef de l’État.
Une semaine après la toute première injection du vaccin Pfizer/BioNtech contre le coronavirus, l’exécutif se voit contraint d’ajuster sa stratégie et d’accélérer la campagne, à mesure que les critiques s’intensifient. «Après les masques, les tests et l’isolement, un nouvel échec serait terrible», a pointé sur Twitter le chef de file des sénateurs Les Républicains, Bruno Retailleau.
À gauche, Valérie Rabault, présidente du groupe PS à l’Assemblée, a réclamé dans un entretien à L’Obs , mercredi, que le gouvernement publie «dans le point sanitaire quotidien le nombre de vaccinations effectuées par département», une «transparence indispensable». «Ce retard de la vaccination est honteux, on n’a pas anticipé la logistique», a accusé le numéro deux du Rassemblement national, Jordan Bardella, invité dimanche du «Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI». Comme d’autres élus, ce représentant soupçonne le gouvernement de cacher les raisons expliquant la lenteur de la campagne de vaccination.
À lire aussi :Covid-19: comment l’exécutif défend sa stratégie vaccinale
Au regard du déploiement du vaccin dans d’autres pays européens, la France accuse en effet un impressionnant retard. Avec 500.000 doses reçues, elle n’a vacciné, à ce jour, que quelques centaines de personnes, quand l’Allemagne s’approche des 200.000 personnes immunisées et le Royaume-Uni du million… «Les courbes vont se croiser d’ici à quelques semaines», jure un conseiller de Matignon. Selon Le Journal du dimanche, une dizaine de supercongélateurs nécessaires pour stocker le vaccin ne sont toujours pas homologués. Un membre du gouvernement reconnaît, à demi-mot, que l’exécutif a été pris de court par la date du début de la campagne de vaccination, le 27 décembre, décrétée au dernier moment par l’Allemagne… Sur les 200 millions de doses commandées par la France, un conseiller de Jean Castex estime que compte tenu des contraintes logistiques entre 25 et 30% de doses pourraient être perdues.
Simple «décalage»
«Il faut aussi comparer avec des pays comparables, minimise-t-on au sein de l’exécutif. L’Allemagne et la Grande-Bretagne vont très vite mais sont dans des situations sanitaires beaucoup plus complexes que nous. Aux Pays-Bas, la campagne n’a pas démarré. En Belgique, elle se déroule comme chez nous. À un moment, l’effet de comparaison quantitatif va s’atténuer.» Il n’empêche, toutes les pistes sont désormais à l’étude pour passer à la vitesse supérieure.
À lire aussi :«La lenteur de la vaccination française est un symptôme de notre déclassement»
Espacer l’injection des doses de manière à vacciner plus rapidement le plus grand nombre? Déployer des «vaccinodromes»? Permettre aux pharmaciens d’administrer les piqûres pour faciliter l’accès au vaccin? Donner l’exemple et faire oublier les débuts ratés de la campagne en mettant en scène le premier ministre en train de se faire vacciner devant les caméras?…. Dès lundi, un hôpital par département va proposer la vaccination aux personnels de santé. À la mi-janvier, le chiffre passera à 300 hôpitaux sur l’ensemble du pays pour atteindre un objectif de 600 début février. C’est l’accélération de la phase deux de la campagne de vaccination, celle qui vise dans un premier temps les plus de 75 ans, puis les plus de 65 ans et les soignants de 50 ans ou plus. «Il n’y a pas de problème de doses aujourd’hui», jure-t-on au sommet de l’État. Inspiré de la Convention citoyenne, un conseil composé de 35 citoyens tirés au sort devrait être mis en place dans les prochains jours pour participer au déploiement de la stratégie vaccinale jusqu’au mois de juin.
À Matignon, l’entourage du premier ministre nie tout «retard» et promet que ce simple «décalage» sera bientôt rattrapé. «La Haute Autorité de santé a raison de préconiser la vaccination en priorité des résidents des Ehpad. Il est logique de protéger les publics qui sont le plus concernés par la mortalité de la maladie», défend un proche de Jean Castex.
Autour d’Emmanuel Macron, certains s’inquiètent déjà de la prochaine polémique, celle liée aux éventuels effets secondaires du vaccin…
La «phase de démarrage plus lente» serait donc liée à deux facteurs: la difficulté logistique de la vaccination de personnes dépendantes (incapacité de se déplacer, délais de la consultation pré-vaccinale et du recueil du consentement) et le mode de conservation des doses du vaccin Pfizer/BioNtech. Le premier ministre garde l’objectif de vacciner un million de Français d’ici à la fin janvier. Pour tenter de l’atteindre, il veut mieux «anticiper» sur les prochaines étapes de vaccination et «optimiser» la campagne.
Le ministre de la Santé, Olivier Véran, s’exprimera mardi matin sur RTL avant une nouvelle conférence de presse consacrée à l’épidémie, jeudi, à laquelle Jean Castex devrait aussi participer. Entre les deux, un nouveau Conseil de défense sanitaire sera convoqué, notamment pour étudier l’évolution de l’épidémie après les fêtes de Noël. «La vaccination, ce n’est pas non plus une course à l’échalote! s’agace l’entourage du chef du gouvernement. On a mis en place des dispositifs de pharmacovigilance extrêmement lourds. Mais que dira-t-on si nous ne prenons pas assez de précautions? Il faut rester zen et être pédagogiques.» Et de s’en prendre à l’opposition: «Un match de foot dure 90 minutes. J’ai fait le calcul: on est à la quatrième seconde du match et, déjà, on nous explique qu’on est nuls, qu’on est en retard et qu’on ne va pas gagner la partie.» Patience donc.
À lire aussi :Vaccins contre le Covid-19: un transport sous haute surveillance
Pourtant, Emmanuel Macron a prévenu, lors de ses vœux du 31 décembre: le chef de l’État ne laissera pas de «lenteur injustifiée s’installer», surtout «pour de mauvaises raisons». D’autant que la fin de la crise sanitaire est encore loin. «Les premiers mois de l’année seront difficiles et, au moins jusqu’au printemps l’épidémie pèsera encore beaucoup sur la vie de notre pays», a prévenu le président de la République lors de ses vœux. D’ici là, il ne voudrait pas que le vaccin apparaisse non plus comme la solution à tout. Autour de lui, certains s’inquiètent déjà de la prochaine polémique, celle liée aux éventuels effets secondaires du vaccin…
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choppedfiredream · 4 years
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11 choses que chaque femme devrait faire pour sa santé
Peut-on s'accorder sur le fait que Lo Bosworth était la meilleure actrice de The Hills ? (Parfois, j'aime regarder ce montage en souvenir du bon vieux temps.) Comme l'a dit notre rédactrice en chef Beth, "quand elle était à l'antenne, j'étais comme si, Dieu merci, c'était un épisode de Lo-heavy". Même si la dernière refonte de The Hills n'a pas de Lo en vue (décennie différente, mêmes manigances de Spencer Pratt), vous n'avez pas vu la dernière d'entre elle. En fait, ce n'est que le début.
Lo Bosworth est passée de la célébrité de la télé-réalité à une entrepreneure à succès dans le domaine du bien-être qui transforme complètement l'espace santé des femmes. À The Everygirl, nous sommes de grands fans de sa première entreprise de soins corporels complets pour femmes, Love Wellness, qui révolutionne la façon dont les femmes prennent soin de leur santé.
Comme ce n'est un secret pour personne, je suis obsédée par la recherche du meilleur de moi-même, j'ai demandé à Lo de me donner quelques conseils que les femmes devraient suivre tous les jours pour une santé optimale. Quels que soient vos objectifs de santé, votre régime alimentaire ou votre mode de vie, voici 11 conseils que Lo vous propose pour améliorer votre santé dès aujourd'hui :
1. Boire plus d'eau "Hydratez plus" est un conte vieux comme le monde, mais c'est parce que c'est l'un des plus grands facteurs d'amélioration de votre santé. Environ 60 % du corps est constitué d'eau, ce qui signifie qu'il est essentiel d'en boire suffisamment pour assurer le fonctionnement optimal des organes et des cellules de votre corps. Pour ne citer que quelques avantages, boire plus d'eau permet d'apporter de l'oxygène dans tout le corps, de renforcer la santé de la peau, de chasser les déchets de l'organisme et de rendre les minéraux et les nutriments des aliments accessibles aux différentes parties de votre corps.
En ce qui concerne la quantité d'eau suffisante, 2 à 3 tasses d'eau par heure sont la norme pour un adulte en bonne santé. Il se peut que vous en ayez besoin de plus (si vous faites de l'exercice ou si vous transpirez tous les jours) ou de moins si vous souffrez de certains problèmes de santé comme une maladie de la thyroïde, alors consultez votre médecin si vous n'êtes pas sûr de la quantité qui vous convient. Pour vous inciter à boire plus d'eau, essayez d'ajouter des arômes naturels (comme le citron, la menthe ou le concombre) et emportez une bouteille d'eau réutilisable partout où vous allez.
2. Dormez 7 à 8 heures par nuit Vous savez que vous êtes censé dormir davantage, mais savez-vous combien votre corps a besoin de sommeil ? "Le sommeil est tellement important pour la santé en général", a déclaré Lo. "C'est quand votre cerveau et votre corps se réinitialisent." En termes de santé cérébrale, un manque de sommeil nuit à l'attention, à l'apprentissage et à la mémoire. Bien qu'il puisse être tentant de rester debout jusqu'à 2 heures du matin à travailler sur votre côté ou à faire la deuxième saison de Shrill, n'oubliez pas que les femmes ne peuvent pas se permettre de lésiner sur le sommeil pendant que nous dirigeons le monde (pensez-vous que Beyoncé a moins de sept heures de sommeil ?)!
3. Mangez plus de "vrais" aliments Les régimes à la mode et les modes alimentaires vont et viennent, mais voici un moyen très simple de donner à votre corps ce dont il a besoin pour être le plus sain possible : mangez plus d'aliments naturels. La philosophie alimentaire de Lo est de manger moins d'aliments transformés et plus de légumes biologiques, ainsi que des viandes et des fruits de mer provenant de sources responsables. Essayez de cuisiner avec des produits frais, des herbes et des céréales complètes comme le riz brun ou le quinoa.
4. S'adapter à une routine matinale relaxante "J'aime me lever tôt et avoir une matinée relaxante", a déclaré Lo. "Je me donne du temps et de l'espace pour le faire avant de me rendre au travail avec une vapeur et un bon grand verre d'eau froide au citron." Que votre journée de travail commence à 9h ou à 6h30 comme la mienne, vous pouvez probablement trouver au moins cinq minutes de tranquillité, rien que pour vous. Essayez une vapeur rafraîchissante comme Lo (nous adorons les steamers faciaux pour un soin du visage à domicile), ou essayez de méditer et de tenir un journal. N'oubliez pas le grand verre d'eau au citron !
5. Écoutez votre corps Lo sait qu'une santé optimale dépend en grande partie de la confiance en soi. "Votre corps sait qu'il doit vous signaler si quelque chose ne va pas. Faites confiance à cet instinct et prenez les mesures nécessaires pour vous rétablir". Si vous ressentez moins d'énergie ou plus de problèmes digestifs lorsque vous essayez certaines tendances alimentaires ou des compléments alimentaires sains, votre corps sait mieux qu'un plan de régime ce qui lui convient le mieux, alors écoutez. De même, si vous vous sentez surmené et stressé ou si quelque chose ne va pas dans votre corps, écoutez-le et donnez la priorité à votre santé.
6. Bougez au moins 20 à 30 minutes chaque jour Il n'est pas nécessaire de passer des heures à la salle de sport pour être en bonne santé. Au lieu de cela, vous pouvez vous entraîner plus souvent et moins longtemps tout au long de la semaine. Une marche de 20 minutes pendant votre pause déjeuner ou 30 minutes d'un entraînement vidéo sur Youtube suffisent pour récolter les bénéfices de l'exercice. Selon Mme Lo, en plus d'améliorer la santé, l'exercice contribue également à améliorer l'humeur (tous ceux qui ont suivi un cours de yoga et sont sortis de la salle en se sentant super zen le savent !)
7. Focus sur la santé féminine "Quand j'ai commencé Love Wellness, je répondais à mon propre besoin de meilleurs produits de soins personnels pour les femmes", a déclaré Lo. "C'était en 2015, lorsque je m'occupais de questions de santé et que j'ai constaté que les produits pour femmes manquaient de messages positifs pour le corps et de formulations propres qui fonctionnent bien avec le corps des femmes". Je me sentais mal de devoir prendre soin de mon corps, j'ai cherché des réponses dans tous les sens, et j'ai finalement décidé de travailler pour changer cette expérience pour les femmes du monde entier".
Répétez après moi : être une femme et avoir besoin d'hygiène et de soins de santé en conséquence n'est pas honteux. Les soins de santé génésique devraient faire partie intégrante de votre programme de bien-être, qu'il s'agisse de vos rendez-vous réguliers chez le gynécologue ou de l'utilisation d'un nettoyant féminin qui est bon pour votre corps, c'est-à-dire sans tous les produits chimiques agressifs habituels (j'utilise le nettoyant Love Wellness et je suis obsédée). Trouvons le pouvoir, plutôt que la honte, en prenant soin de nos parties féminines (et aussi, arrêtons d'utiliser des noms mignons comme "parties féminines" et appelons-le un vagin parce qu'une partie du corps n'est pas un gros mot).
8. Faites des pauses pour garder de l'énergie Oui, même les PDG font des pauses. Lo interrompt ses journées de travail par une promenade, un défilement d'Instagram ou une discussion avec les membres de son équipe afin de garder son énergie tout au long de la journée. PSA : vous n'avez pas besoin de cette tasse de café l'après-midi ! Vous avez juste besoin d'une promenade dans le quartier ou d'un petit rire avec votre femme de travail pour être plus revigoré que vous ne le seriez avec un café expresso.
9. Rangez Marie Kondo a lancé une révolution, et Lo est certainement d'accord. "Veiller à ce que ma chambre soit bien rangée, à ce que mon visage soit propre et hydraté et à ce que mon lit soit fait avant que je n'y entre m'aide beaucoup à dormir. Une chambre bien rangée, un esprit bien rangé !" Lorsqu'il s'agit de la routine du coucher, la propreté est vraiment à côté de la piété. Prévoyez un moment dans votre routine nocturne consacré au nettoyage, que ce soit un bain relaxant, l'enlèvement de tout votre maquillage ou la mise à l'écart des vêtements jetés sur la chaise de blanchisserie (nous en avons tous une !) avant de vous mettre au lit.
10. Mangez plus de fibres Le secret de la beauté et de la santé intestinale qui peut transformer votre corps ? La fibre. Lo a déclaré : "La consommation d'aliments riches en fibres tels que les légumineuses, les céréales complètes, les noix, l'avoine, les pommes, les brocolis, les bananes et les fraises aidera à maintenir la santé des intestins et de la peau. Les fibres aident votre intestin, qui à son tour aide à maintenir vos hormones en équilibre et à contrôler votre peau". Si vous avez besoin d'une aide supplémentaire pour faire entrer vos fibres, Love Wellness a récemment publié Sparkle Fiber, qui est un mélange unique de fibres et d'enzymes digestives qui éliminent doucement les toxines du corps.
11. Ne vous sentez pas égoïste de prendre soin de votre corps Disons encore une fois pour les gens du fond : se soigner soi-même n'est pas égoïste. Vous devez vous donner des priorités afin de vous montrer sous votre meilleur jour au travail, en famille et avec vos amis. Quel que soit votre emploi du temps, prenez le temps, chaque jour, de faire quelque chose pour votre santé mentale et physique. "Ne vous sentez pas mal ou égoïste de prendre soin de votre corps !" a déclaré Lo. "Prendre le temps de s'occuper de soi chaque jour fera des merveilles pour votre humeur et votre santé, à court et à long terme".
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yourfredericstuff · 4 years
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ZULMA
Problèmes capillaires chez notre dictateur préféré, Andy, personnage inspiré en partie de Martin Gore de DEPECHE MODE…
“ Andy porte un Chapilie depuis son… accident. C’est une sorte de turban. Je crois qu’il est très vexé. Il fait venir un taxi à midi et va déjeuner tout seul sur le port, à sept kilomètres d’ici. Vers trois heures il rentre par derrière et s’isole pour bosser. Pour mettre ses écouteurs sur les oreilles, il enlève le turban : pas génial, on dirait Dark Vador sans le masque. Je me suis excusé auprès de lui, c’était con d’en rester là, mais il m’a plutôt zappé. Dommage, je l’aurais bien accompagné un coup à Port-Clément. Andy débarquant avec son chapilie rose sur la tête, imagine l’attraction ! Et puis j’aime bien Andy, je ne suis pas une dinde cancanière, moi ! C’est par hasard que j’ai surpris une conversation classée secret défense entre lui et Zulma, sa coiffeuse personnelle descendue exprès d’Allemagne. Ils s’étaient enfermés dans une des salles de bains de l’étage mais Zulma n’est pas discrète, elle a une voix qui porte et de la cour on entendait tout. 
« Ok, elle est complètement déchirée… et c’est un 17 B, on ne fait plus cette couleur maintenant. Je ne sais vraiment pas à quoi tu penses, je t’ai pourtant dit d’en avoir toujours une d’avance avec toi ! Heureusement, j’ai apporté toutes mes soies de réparation… Tu l’as nettoyée avec le dégraissant minute ? Il est génial, non ? On doit pouvoir arranger la chose… Bon, je suis obligée de faire une découpe pour laisser respirer ta cicatrice… Je gèle à mort sur le devant… Reste tranquille, je teste la mise en place. Ça ne tiendra pas une éternité. Quatre-cinq jours maximum, avec de la colle capillaire pour les retouches. Si tu pouvais attendre jusqu’à dimanche pour la poser, ce serait mieux. C’est bien dimanche, la cérémonie ? » 
Des craquements sur le sol : les aiguilles de pin. Je me retourne et aperçois Ian de l’autre côté de la cour. On étouffe un fou rire. Je lui fais signe d’approcher doucement. Il met un index devant sa bouche et me rejoint en exagérant de grands pas silencieux.
« Et donc tu es complètement à court ? Plus un rajout, plus une mèche, rien ? Je te présente les nouveautés ? Maintenant on a le 6 A, c’est le blond le plus clair, blond bébé… non, pas en vrais cheveux de bébés, c’est fini ça, on ne peut plus se permettre. De toute façon, ce n’était que des cheveux d’enfants de plus de six ans, tu imagines bien. Il y a des limites. Là c’est une fibre synthétique mais regarde, hein, tu n’en crois pas tes yeux ! Plus clair ? Comment, plus clair ? Gris alors, blanc ? Il y a le 50… Je peux te faire un 19/50, blanc avec de légères mèches vertes. Non ?… Tu sais ce qui plaît beaucoup ? Le 125/125/18/60. Blond avec des reflets ambrés, une touche de châtain foncé et une touche invisible d’orange… — Peut-être. Oui, c’est pas mal ça, tu m’en mets deux. Et deux blond bébé. Est-ce que tu peux me faire une iroquoise ? — Comme en 97 ? Mais elles ne tiennent pas, rappelle-toi, c’est trop lourd. Si tu fais une vraie iroquoise il faut fixer les cheveux avec du sucre… Quoique en utilisant les nouveaux gels… Une iroquoise un peu courte, ça t’irait ? Genre crête de poule ? On pourrait travailler dans les 37, 27, 70 : les carmins, les violets, les jaunes… »
— J’ai un peu la gerbe, fais-je à Ian.
— Viens, je te paie une glace. (…)
Bonne surprise, Zulma est resté à dîner. Nadège a tenu à m’informer : « Ne sois pas surpris de son aspect masculin, c’est une lesbienne transgenre. » Elle y connaît rien. Zulma est un transsexuel female to male, il est né femme mais devient homme. Pendant le dîner, Andy nous a parlé de ses peintures, des portraits qu’il expose en ce moment à Berlin. Il a dit : « Ses tableaux expriment avec force l’idéal de virilité que Zulma aspire à réaliser ». Il va me montrer son book. Il n’y a vraiment que sa voix qui trompe, sans ça c’est vraiment un mec, super mignon en plus. Et très sympa.
— Les hormones n’ont pas suffi pour altérer ma voix, il va falloir que je repasse sur le billard. Mais il y a un petit risque que je me retrouve muet à la sortie, et ça, ça ne m’arrange pas du tout, parce que je suis une vraie pipelette ! Si je peux me permettre, Magnus… pour ta coiffure, la couleur…
— Oh, tu peux y aller, j’ai déjà eu toutes les coiffures possibles ! Mais avec ma nature de cheveux… j’ai un peu fait mon deuil maintenant. Par contre, au niveau de la peau, du visage…
— Oui, je voulais t’en parler. Il y a un truc tout simple à faire, qui aurait un effet immédiat. Tu as des cils tout plats, ça te donne un regard triste. Pour la couleur c’est facile, la teinture peut être faite en un quart d’heure. La teinture des cils, bien sûr. Mais je pensais surtout à une permanente de cils… Non, ce n’est pas spécialement délicat, c’est un coup de main. Mes collègues ne savent pas la faire, ils ne prennent pas le temps de préparer le client, de le mettre en confiance. La permanente, c’est de l’ammoniac, et avec la chaleur du corps, forcément un peu de produit s’infiltre sous la paupière et ça picote. Il faut rester zen… Si le client est stressé il va contracter les paupières, se frotter les yeux et là c’est la catastrophe, les gars hurlent de douleur ! On a eu une cliente qui nous a fait un procès… Mais avec moi tu peux être tranquille, je te ferai ça en douceur ! 
Tout le monde s’est un peu réconcilié avec ces histoires, sauf Ian qui a passé la soirée à chasser les mouches avec une tapette. À un moment il a essayé de dire qu’il faisait des tableaux lui aussi, mais personne n’a réagi. Zulma nous a fait marrer parce qu’il prenait une bouchée de chaque plat et repoussait son assiette en disant : « Il faut que je me contrôle, il faut que je me contrôle, j’ai tendance à faire de la cellulite ! Pour moi, rien n’est bon ! » Rien sauf la bibine apparemment. Il s’est descendu une bouteille de rosé à lui tout seul, et derrière ils ont pris des digeos avec Andy, ils ont mélangé plein de trucs. Je pouvais sentir leur haleine en face de moi, trop strange, on aurait dit une parfumerie. Ian était déjà sorti de table. Il a pas pris un verre. ”
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