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#mademoiselle de jonquières
thaliajoy-blog · 1 year
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❤️ Mademoiselle de Jonquières (2018). To court, to seduce, to love - to hide, to betray, to offend - to manipulate, to plot, to get revenge.
"Marquis, what do you care if my name appears on the list of your romantic conquests ?"
"Not all passions are alike. Ours is intense, without any excess. Our sentiments are full of tenderness and reason."
"She has an angel's beauty, she is grace itself, but...she has nothing of the libertine."
"I must have that girl, or I will perish. [...] Beware of the violence of my love !"
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yellowmotomami · 5 years
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List of five movies i will never stop watching 🎥📼
Thanks @gaydissociationn for tagging me 🌻
So I've done this already, but since you added that lil twist, I'm doing it for movies that I'll never stop watching from my own country
Ne le dis à personne
Un long dimanche de fiançailles
Mademoiselle de Jonquières
Léon
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OSS 117
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So here are 5 French movies that I really like 🌻
Which movies from your country are important to you?
I'm tagging @fullofillusions @thesarahtomypaulson @q-u-e-e-n-c-e-r-s-e-i @sallythatgirl98 @tinyliquorbottle @beetlejuije and anyone who wants to do it🌻
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benvolioworld · 4 years
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     Colette revient du music-hall. Elle en ramène…   
     “Mitsou”, 1919.
     “Un mois de mai de la guerre..
     L’Empyrée-Montmartre, pour jouer sa grande Revue de printemps ‘Ça gaze !’ a engagé dix-huit jeunes femmes, un petit compère ‘faible du poumon’, un tragédien octogénaire pour les rôles indispensables du ‘Père la Victoire’, du ‘Grognard de Raffet’ et du Général Joffre.
     La loge de Mlle Mitsou, première  vedette. Papier qyu imitait la toile de Jouy blanche et rose, quand il était blanc et rose. Mitsou n’a pas connu ce temps-là. Un tréteau en guise de table, nappé de serviettes-éponge. Toilette, seau et broc de chambre de bonne. La poudre de riz dans des boîtes de carton. Un très beau brillant, monté en bague, parmi les crayons gras et les boîtes de rouge. Petit divan, moelleux comme un banc de square, deux chaises cannées peintes au Ripolin. Allure générale de ‘c’est bien assez bon comme ça’.
     L’entr’acte. Mitsou, seule, se repose, vêtue de bas couleur de fraise cousus par l’ourlet à son maillot de jambes, d’une paire de souliers d’or et d’un kimono de crépon mauve. La nature a paré Mitsou des beautés que requiert la mode actuelle : point de nez, – ou si peu, – l’œil très grand, noir comme le cheveu, la joue ronde, la bouche étroite, boudeuse et fraîche, voilà pour le visage. Pour le corps, il le fallait mince, avec la jambe longue et noble, le sein bas et petit : nous avons tout cela, sans autre défaut qu’un peu de maigreur au-dessus du genou. Mais la trentaine rembourrera cette cuisse de page, et aussi ce dos de nymphe anémique : Mitsou n’a que vingt-quatre ans.
     Mitsou est seule, assise à sa table de maquillage. Les deux jambes, ouvertes en V, demeurent rigides pour ne point ‘pocher’ les bas au genou, mais le jeune dos ploie, et le cou se tend comme celui d’une gazelle altérée. Mitsou, immobile, n’aurait presque pas l’air vivante, si de temps en temps elle ne se poudrait la joue, n’avivait de rouge sa bouche, ou n’aiguisait au crayon l’angle de l’œil. La main diligente ne pense à rien, ni le grand œil sombre et poli, ni la jeune figure morne et sereine…
     Bruit, dans le couloir, de pas boiteux. Un vieux doigt sec frappe à la porte, celui de Boudou l’avertisseur.
     Boudou, entr’ouvrant la porte. (Il a soixante-douze ans et paraît plus âgé.) – La fin de l’entr’acte. Ça va être à vous, mademoiselle Mitsou.”
     Henri Jonquières et Cie, Éditeurs, 21 rue Visconti, Paris, 1926 ; p. 3-5.
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DIMANCHE 7 octobre 2018 (Billet 3 / 5)
Ci-dessous un mail de notre cousine Sophie R., reçu peu de temps après notre retour de Sicile.
On l’en avait déjà remercié et on l’embrasse.
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Chers cousins,
Merci pour ce nouveau Blog et bravo pour le Slide Show particulièrement réussi ! Ca donne vraiment envie d'aller à Cefalù… où tout a l'air idyllique, le cadre, les chambres, les repas et le village lui-même. Le retour à la dure réalité parisienne doit être bien pénible, je vous comprends.
Je suis complètement déconnectée question cinéma mais je suis quand même allée voir "Mademoiselle de Jonquières", bon film historique, bons acteurs. Je lui mettrais ♥♥♥.
Le prochain film ??? Pas pour tout de suite pour cause de voyage en Géorgie [entre autres…].
Je vous embrasse.
Sophie
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mf-dsaa · 6 years
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Mademoiselle de Jonquières, une fleur manquant d'épines
Emmanuel Mouret signe son 9e long métrage, « Mademoiselle de Jonquières », sorti en salle ce 12 septembre. Un drame en costumes, inspiré de l’œuvre de Denis Diderot, « Jacques le Fataliste ». Le réalisateur met en scène Cécile de France comme Madame de la Pommeraye, une jeune veuve retirée du monde, quittée par son amant, le marquis des Arcis (Édouard Baer). Terriblement blessée, celle-ci complote alors une vengeance avec l’aide de Mademoiselle de Joncquières (Alice Isaaz). Ce trio amoureux, thème très apprécié d’Emmanuel Mouret, est entouré de fleurs à forte valeur symbolique tout au long du film.
Ce sont des fleurs que l’on voit apparaître en premier à l’écran, dès le générique entrant : un amoncellement de silhouettes florales sur un fond rouge s’épaississant au fur et à mesure de l’accumulation. Grâce à ces symboles formels et colorés, le thème du film est présenté : l’Amour (avec un grand A). De plus, cette accumulation donne le ton de la première partie, portée sur l’idéologie libertine du Marquis, mais aussi sur la séduction puis l’amour sans faille des deux amants dans lequel Mme de la Pommeraye s’abandonnera. La fleur, inévitable figure de charme, d’amour, de tendresse, sera présente sous toutes les formes : sauvage dans les jardins comme coupée dans les magnifiques bouquets de Mme de la Pommeraye, remplissant complètement son rôle symbolique. Le même que dans le générique de « Le Temps de l’innocence » de Martin Scorsese et ses fleurs éclosant sur fond noir, réalisé avec Saul Bass. Le premier tableau du film serait donc une rose rouge, aux valeurs de l’amour passionnel et sincère.
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Fleur rouge, l’amour. Fleur jaune, la trahison. © Mademoiselle de Jonquières, E.Mouret
Mais gare aux désillusions. Lors du second tableau, la rose rouge devient jaune et exprime la trahison, l’infidélité voire la rupture. C’est en effet le point de basculement du film : Mme de la Pommeray se rend compte que le Marquis n’éprouve plus de sentiments envers elle, que son amour s’est fané. Dans une robe jaune vif, Mme de la Pommeraye accueille alors Mlle de Jonquières avec qui elle souhaite se venger. Au fur et à mesure que sa vengeance se déroulera, elle sera de plus en plus représentée composant des bouquets, telle une fleuriste composant lentement sa victoire grâce à la manipulation des sentiments.
« Mademoiselle de Jonquières » est un film à l’odeur des fleurs fraîches, drapées de beaux dialogues en langue du XVIIIe, de costumes colorés et de décors naturels superbes. Cependant, le long métrage au schéma amour/vengeance sera difficilement comparable à un bouquet de roses, manquant peut-être de piquant, de rythme, et d’un scénario plus novateur, faisant trop souvent penser aux « Liaisons dangereuses » adapté par Stephen Frears.
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thaliajoy-blog · 1 year
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Based on Mademoiselle de Jonquières, one of my favorite movies :
"If no just souls ever attempt to improve men, how can we hope for a better society ?"
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thaliajoy-blog · 11 months
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Personal Targaryen Fancasts - because I have it in my head :
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Brit Marling (here in The OA) for Daenys the Dreamer.
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Alice Isaaz (here in Mademoiselle de Jonquières) for princess (and later queen) Naerys Targaryen.
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Nadia Tereszkiewicz (here in La Dernière Reine) as princess Saera Targaryen.
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Nora Arnezeder (in Angélique 2013) for Daena the Defiant.
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Adèle Haenel (Portrait of a Lady on Fire) as queen Rhaena Targaryen, the Black Bride.
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