#lissoubas
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Pascal Lissouba, ancien Président de la République du Congo, parle du pillage du pétrole congolais.
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La chamane africaine - T.2 - Des singes et des roses - B.D. LISSOUBA - 2023 - Ed. Ex Aequo
Quatrième de couverture
Gamma part à la recherche de Rosalie et de James disparus depuis l’attaque du quartier de la Mission par le Commandeur Tonkai pendant que Nawhé, la femelle bonobo, envisage une évasion. Laura, la jumelle de Gamma, contracte des ententes troubles avec les uns et les autres, jonglant entre ses différents amants. L’enjeu phoskantique amène chacun à s’enfoncer dans une lutte…
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CONVOCATION DE DOMINIQUE OUATTARA À PARIS PAR LE PARQUET FINANCIER POUR BIEN MAL ACQUIS DU CLAN BONGO. ENFIN LES OUATTARA SONT-ILS LÂCHÉS PAR LA FRANCE?
La France n’a pas d’amis mais essentiellement des intérêts. Et les traîtres de l’Afrique ont tous fini par payer de leur sang et de leur fortune. Après Jean Bédel Bokassa, Félix Houphouët Boigny, Joseph Mobutu, Pascal Lissouba, Omar Bongo, Léon Mba, Blaise Compaorè et tous les autres africains qui ont royalement trahi leurs peuples en se mettant loyalement au service de la France, il semble enfin…
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VOICI DONC TOUT SUR
▪️LA FRANC-MAÇONNERIE AFRICAINE▪️♠️♠️⛔
La franc-maçonnerie est une organisation mondiale infiltrée dans tous les niveaux de la société.
Elle est arrivée en Afrique dans les bagages des administrateurs coloniaux.
Dès le début, les colons y ont copté les fonctionnaires, militaires, religieux et commerçants auxquels
ils devaient passer le pouvoir politique et économique.
Pour les africains qui étaient approchés, c’était l’opportunité de développer avec les colons des relations privilégiées.
Ce réseau de gouvernance par cooptation trouve d’ailleurs son fondement dans la Françafrique.
Ces connections franc-maçonnes avec l’élite française ont jusqu'à présent servi les hommes
politiques africains car on trouvait dans la branche française des présidents tels que De Gaulle,
Mitterrand ou Nicolas Sarkozy,
des conseillers aux affaires africaines tels que Jacques Foccart, Guy Penne, des ministres de la coopération tels Christian Nucci, Jacques Godfrain, des responsables des services secrets ou du monde des affaires telles Patricia Palme,conseillère à la communication de Paul Biya et Hervé Nkom initié du Grand-Orient.
Malgré la fraternité proclamée, des conflits surgissent naturellement entre adhérents de sectes au gré des intérêts politiques ou économiques telle la petite guerre civile ayant opposé Denis Sassou Nguesso initié de la Grande Loge Nationale de France à Pascal Lissouba initié du Grand Orient de Besançon.
Les africains dépendent de 3 grandes loges françaises à savoir le Grand Orient de France (GODF), la Grande Loge de France (GLDF) et la Grande Loge Nationale de France dirigée par l’avocat d’affaires niçois proche de Nicolas Sarkozy, François Stifani.
Chaque pays africain a formé sa loge nationale souvent dirigée par le Chef d’Etat (Tchad, Congo-Brazzaville) ou individu tel Denis Bouallo au Cameroun.
En Afrique, on classe les chefs d’Etat adhérents en fonction de la publicité avec laquelle ils entourent leur appartenance.
Il y en a qui sont de frères au grand jour tels feu Omar Bongo, remplacé par son fils en tant que Grand Maitre de la loge du Gabon, Sassou Nguesso du Congo-Brazzaville qui a initié à cet ordre le centrafricain François Bozize et le tchadien Idriss Deby.
Il y a des frères de l’ombre, qui s’abstiennent de confirmer ou démentir tels Blaise Compaoré , Abdoulaye Wade (qui s’en est éloigné à cause de l’hostilité des confréries musulmanes à cet ordre),
Amadou Toumani Touré président renversé du Mali, Yayi Boni du
Bénin dont il dit qu’il serait aussi révérend d'église, Paul Biya du Cameroun qui aurait depuis pris ses distances pour se rapprocher de
la mouvance rosicrucienne, Faure Gnassingbé du Togo et Joseph Kabila de la République Démocratique du Congo etc...
Une grande partie de la classe politique de ces pays, véritable cercle de protection du leader fait parti de cet ordre ésotérique.
C’est ainsi que près de la moitié
du gouvernement ivoirien dont le premier ministre Jeannot-Ahoussou-Kouadio et le ministre de
l’Intérieur Hamed Bakayoko ainsi que des fonctionnaires dont le procureur de la République, Simplice Koffi Kouadio sont franc-maçons.
Au Burkina Faso, la franc-maçonnerie compte dans ses rangs de nombreux diplomates, hommes d’affaires et ministres dont le ministre des affaires étrangères Djibril Bassole qui est devenu grand maitre de la loge du Burkina à la place du président Compaore.
Au Congo-Brazzaville, une bonne partie du gouvernement et de l’appareil sécuritaire du pays est franc-maçon.
Les franc-maçons œuvrent beaucoup à la conservation de leurs avantages qui passe par la conservation ou l’accession au pouvoir suprême.
C’est ainsi que les loges françaises et camerounaises travaillent activement pour s’assurer que le pouvoir au Cameroun soit échu à
l’un des leurs.
Ainsi, le joug africain est d’abord un ''joug spirituel.''
L’Afrique est prisonnière de l’occident de la même manière qu’Israël dans le livre de Genèse était en captivité en Egypte. Il sera difficile de sortir de là sans l’aide de Dieu.
•QUELS SONT LEURS OBJECTIFS ULTIMES ?
L’objectif immédiat des sectes est la conquête du pouvoir politique, économique et le contrôle des richesses.
C’est ainsi que les postes de décision dans l’exécutif, le législatif, le parlementaire, la finance en Occident et progressivement en Afrique sont occupés par des membres des sociétés sécrètes.
La plupart des gens joignent les sectes uniquement pour ces raisons purement matérielles. Et ce n’est d’ailleurs que l’objectif que perçoit la classe subalterne.
Mais cette distribution du pouvoir fait en réalité partie d’un grand plan global que seuls quelques initiés connaissent.
Pour les gens de niveau intermédiaire, le but final des sectes est la mise en place d’une dictature de l’élite qui va mettre fin au monde tel que nous le connaissons:
C’est ce qu’on appelle ''Le Nouvel Ordre Mondial'' qui passe par la
soumission de toutes les nations à une seule autorité politique, économique et financière globale.
C’est la poursuite de cet objectif qui explique au-delà des raisons économiques et géostratégiques les guerres de conquête et troubles civils initiés contre les pays tels que la Yougoslavie, l’Iraq, la Libye, la Syrie ou le Soudan jugés rebelles vis-à-vis du monde occidental véritable matrice des sectes.
Seuls quelques individus au sommet de la hiérarchie spirituelle satanique, du genre Rockefeller ou Rothschild savent que le Nouvel Ordre Mondial
prépare en réalité le règne de l’anti-Christ qui est pour satan ce que Jésus-Christ était pour Dieu.
Pour une raison inconnue des hommes, Dieu va permettre à satan de se glorifier sur terre comme un dieu pour un temps.
Rappelez-vous, l’enjeu de ce conflit est la gloire.
Voici ce que la Bible dit à propos dans Apocalypse 13v7-8 :
Il lui fut donné (à la bête) de faire la guerre aux saints, et de les vaincre.
Et il lui fut donné autorité sur toute tribu, tout peuple, toute langue, et
toute nation.
Et tous les habitants de la terre l’adoreront, ceux dont le nom n’a pas été écrit dès la fondation du monde dans le livre de vie de l’Agneau immolé.
Pour une période de 7 ans, Dieu va permettre à ceux qui ont servi satan de le glorifier comme leur dieu, puis viendra le jugement et la punition des méchants.
Evidemment l’anti-Christ ne va pas apparaitre avec des cornes sur la tête criant partout qu’il est un serviteur de satan.
Il viendra après que les enfants de Dieu aient été enlevés de la terre, sous la forme d’un leader d’un charisme électrisant, parlant de paix et d’unité, ressemblant à un agneau et semblant avoir des solutions pour les problèmes auxquels le monde sera en train de faire face.
Les gens lui feront confiance et lui remettront l’autorité, puis l’enfer se déchainera.
La Bible dit que le monde connaitra alors des tribulations telles qu’il n’en aura pas connues depuis sa création.
•COMMENT NEUTRALISER LES SECTES?
Il ne faut pas une grande démonstration pour comprendre que les sectes ne veulent pas le bien du commun des mortels.
Elles servent les élites et sont des outils qui contribuent à l’asservissement de l’Afrique et qui aident satan à dominer le monde.
Nous devons donc les combattre et les neutraliser. Et nous en avons le pouvoir.
Combattre les sectes ne veut pas dire poser des actes violents contre leurs membres qui sont des créatures que Dieu a crées et qu’il aime.
Les combattre c’est neutraliser leurs activités sinistres et si possible racheter ces âmes perdues à Dieu.
Nous ne pouvons évidemment pas éliminer le phénomène des sectes de la terre.
C’est une chose que seul Dieu fera le moment venu. Cependant nous pouvons réduire leur influence dans
notre pays, quartier, école, église et ramener la Présence de Dieu dans ces institutions.
Rappelez-vous, les sectes tirent leur pouvoir des démons, ces esprits méchants qui font des sociétés sécrètes des entités spirituelles.
Combattre les sectes c’est combattre satan en réalité. On ne le combat pas par des arguments, des démonstrations intellectuelles ou le
pouvoir de la pensée positive.
Il est un esprit très méchant et on le neutralise par la prière.
A un problème spirituel, il faut une solution spirituelle.
Pour neutraliser les sectes, il faut d’abord bien comprendre l’autorité de Jésus-Christ.
Il n'y a pas meilleure façon de vous démontrer la Suprématie de Jésus-Christ que par cette histoire
racontée dans le livre du Dr. Rebecca Brown intitulé ''Il Est Venu Libérer Les Captifs.''
Ce livre raconte l’histoire d’une sataniste convertie appelée Elaine.
Elaine avait gravi les échelons du satanisme au point de devenir l’épouse de satan avec lequel elle a eu des relations sexuelles.
Puis Dieu a voulu racheter l’âme d’Elaine en utilisant le Dr.Rebecca Brown, une fervente Chrétienne.
Il s’en est alors suivi une gigantesque bataille opposant le couple Elaine-Rebecca à satan et ses démons.
Pendant le long processus de conversion alors qu’Elaine hésitait encore à donner toute sa vie
à Jésus-Christ, satan lui rendait visite pour l’intimider et la faire punir physiquement par ses démons.
Il la faisait battre et la soumettait à de telles brutalités physiques qu’elle se retrouvait hospitalisée en conséquence.
Puis elle a accepté Jésus-Christ dans sa vie en faisant sa profession de foi et a remarqué une chose curieuse la prochaine fois que satan en compagnie de puissants démons lui est apparu: Lui et ses démons non seulement n’osaient pas lui mettre la main dessus, mais ils se tenaient à distance comme si une force invisible les empêchait de l’approcher.
La clé que Dieu a donné aux hommes pour vaincre satan c’est Jésus-Christ qui lui a enlevé son pouvoir et représente le symbole de sa défaite.
C’est pour cela qu’il essaye de ternir son nom aux yeux du public et de ridiculiser les chrétiens.
Il inspire des films (La dernière tentation du Christ) et des documentaires qui mettent en question la Divinité de Jésus.
Le but de cette activité est de cacher aux gens la Puissance que porte le nom de Jésus en les amenant
à douter de ce qu’une mort aussi abjecte que celle sur la croix puisse générer une Puissance qui lui fait
peur.
Il veut faire croire aux gens qu’un homme mort crucifié ne peut pas avoir réellement gagné.
Seulement Jésus ne livrait pas une bataille physique mais un combat spirituel dont l’objectif était de
détruire la puissance que satan avait acquise sur nous à travers le péché d’Adam. Et cela se faisait en mourant pour nos péchés sur la croix.
Ce faisant, Jésus a annulé le pouvoir que satan avait sur nous et nous a redonné la capacité de le vaincre.
Mais ce pouvoir ne vous est accessible et ne peut être activé dans votre vie que si vous vous soumettez à l’autorité de Jésus.
Il ne suffit pas de prononcer le nom de Jésus.
Les satanistes peuvent aussi prononcer le nom de Jésus.
Il faut accepter comme Seigneur le crucifié de Golgotha. C’est cela le mystère de Jésus et c’est pour cela que le connaitre est une révélation.
Dieu a voulu que Jésus soit révélé aux cœurs humbles et simples qui reconnaissent leur insuffisance et les limites de leur humanité.
Vous n’avez en vous-même aucun pouvoir contre les démons et ne pouvez gagner contre un sataniste. Mais lorsque vous invoquez le nom de Jésus-Christ, la Toute-Puissance de Dieu se mêle de la situation pour laquelle vous l’invoquez et les esprits malins sont neutralisés.
C’est pour cette raison que lorsqu’une femme croyante et mariée à un sataniste commence à prier et à chanter des louanges, son mari s’énerve.
Il fait des problèmes de tous genres et demande parfois à la femme de cesser cette activité pour que la paix revienne.
La raison en est que la présence du
Saint-Esprit dans la maison à travers la femme tourmente le démon qui habite le mari.
C’est ce démon qui demande au mari de faire taire la femme.
Si des prières ne sont pas élevées pour le salut du mari, la relation aboutira à la séparation car ces esprits ne peuvent cohabiter.
Un peuple qui prie ne peut être dominé ou pris en captivité par une puissance étrangère.
Et le véritable changement dans un pays ne s’opère pas par la violence ou des arguments politiques.
Il est fait par la prière d’abord parce que le pouvoir politique est un attribut spirituel.
Il est donné par une autorité spirituelle et ne peut être enlevé que par une autorité spirituelle.
De la même façon, vous ne soustrayez pas votre pays de la tutelle ou l’oppression d’une
puissance étrangère uniquement par les marches et démonstrations.
C’est avec la prière que vous le faites car en plus du fait qu’elle invite la présence de Dieu dans l‘équation, elle neutralise aussi les démons qui entretiennent cette équation.
C’est la prière du peuple d’Israël
qui a suscité Dieu à équiper et envoyer Moïse pour les libérer.
Considérez la prière comme un gaz toxique pour les satanistes.
Chaque fois que vous vous
mettez à prier ce gaz est libéré pour affaiblir et finalement neutraliser le sataniste contre lequel la prière est dirigée.
Plus la prière est fervente, plus toxique elle est pour le sataniste.
Si vous voulez par exemple faire finir les pratiques magiciennes et sorcières dans votre village ou quartier, établissez-y une église vivante dans laquelle les gens prient et les sorciers seront affaiblis et finiront pas changer de carrière.
Si vous voulez neutraliser des satanistes dans votre lieu de fonction, créez-y des groupes de prières.
Si vous voulez libérer votre nation du
pouvoir des satanistes et y ramener la justice, l’honnêteté, la vérité, l’égalité d’opportunités, ce que vous avez à faire c’est vous organiser dans la prière.
Créez des groupes de prières dans
vos lieux de services, dans vos maisons, dans vos quartiers, dans vos villages et dans vos églises.
Assignez à chaque sataniste de votre environnement un groupe qui devra prier pour son salut car n’oubliez pas que les satanistes sont d’abord des victimes.
Ils sont dans une prison dont vous seuls détenez la clé.
Témoignage et renseignements fidèlement relatés par Feu Inongo Sakombi, ancien ministre de la culture du Maréchal Mobutu, et ancien serviteur de satan convertit par Jésus Christ !
GLOIRE À DIEU ! ALLÉLUIA !
________________________________
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«Враги» в пекарне. Часть 4
Четвёртая часть!
Спасибо автору: @buggachat
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Pascal Lissouba, ancien président du Congo-Brazzaville, est décédé
Pascal Lissouba, ancien président du Congo-Brazzaville, est décédé
Pascal Lissouba, atteint de la maladie d’Alzheimer durant ses dernières années de vie, est décédé ce lundi 24 août à Perpignan, dans les Pyrénées-Orientales. Le professeur Lissouba aimait cette région française, sa verdure et ses montagnes.
Bien loin de Paris et de ses officines. Pascal Lissouba ou le destin d’un scientifique saisi par le politique, à la fois Premier ministre, président et… chef…
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Le Congo en larmes baigne dans la consternation totale. C'est décès de l’ancien Premier ministre Clément Mouamba.
Clément Mouamba, ancien Premier ministre du Congo, décédé
L’ancien Premier ministre Clément Mouamba, qui a dirigé le gouvernement du Congo-Brazzaville entre 2016 et 2021, est décédé ce vendredi à Paris après son évacuation sanitaire en France.
Clément Moumba, en mai 2015, un an avant sa nomination en tant que Premier ministre du Congo.
Âgé de 78 ans, Clément Mouamba est décédé « à la maison (à Paris) après avoir subi des soins intensifs à l’hôpital.
Il a eu plusieurs complications respiratoires : c’est le Covid », a déclaré une source familiale à l’AFP, précisant qu’il avait été évacué le 12 octobre.
« Le secrétariat permanent du bureau politique du comité central du Parti congolais du travail (PCT) a la profonde douleur d’informer les membres d’honneur, les militants et sympathisants du décès du camarade Clément Mouamba, ce vendredi 29 octobre à Paris (…) », confirme le parti au pouvoir, dans un communiqué officiel.
Dialogue national
Clément Mouamba fut longtemps l’un des dirigeants de l’Union panafricaine pour la démocratie sociale (UPADS), parti fondé par Pascal Lissouba, premier président élu du Congo.
Économiste de formation, il fut également durant des années un cadre de la Banque des États de l’Afrique centrale (BEAC) et devint, entre 1992 et 1993, ministre des Finances de Pascal Lissouba.
Lorsque ce dernier fut chassé du pouvoir, en 1997, par l’actuel chef de l’État, Denis Sassou Nguesso, il passa dans l’opposition.
En 2017 il avait été élu député de Sibiti, sa ville natale
En 2015, il avait finalement rejoint le PCT après avoir été exclu de l’UPADS pour avoir pris part au processus de dialogue national qui avait ouvert la voie à un référendum modifiant la Constitution et permettant à Denis Sassou Nguesso, qui cumule 37 ans au pouvoir, de briguer un nouveau mandat controversé en 2016.
Nommé chef du gouvernement après la présidentielle de 2016, fonction qu’il occupera jusqu’en 2021, il avait aussi été élu député de Sibiti (sud-ouest), sa ville natale, en 2017.
Au Congo, 17 000 cas de Covid-19 ont été enregistrés, dont 290 décès, selon les statistiques des autorités sanitaires publiées le 28 octobre.
(Par Kafunel.com Avec AFP)
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Pascal Lissouba, ancien Président de la République du Congo, parle du pillage du pétrole congolais.
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La chamane africaine - T1. Gamma - B.D. LISSOUBA - Ed. Ex Aequo
Quatrième de couverture
James Boots n’a rien d’un James Bond, à part peut-être le physique. Pseudo détective américano-canadien qui s’est perdu quelque part au fin fond des maquis africains, endetté jusqu’au cou, cet ancien mercenaire alcoolique se contente d’une vie légère jusqu’au jour où Laura Scott, une mannequin kassandjaise cynique, fait irruption dans son bureau miteux pour lui demander…
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#adolescents#Afrique#éditionsexaequo#blog#initiés#instalire#instalivres#jeunesse#leeham#littérature#littératuredailleursdeleeham#mystère#polar#policier#policiers roman Afrique#romans#secrets#servicessecrets#société#thriller
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Человечьи глаза
Комикс автора @fihuli
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1997: Guerre civile du Congo-Brazzaville. Un milicien Cobra s'est étendu sur le lit du Président Pascal Lissouba dans le palais présidentiel. La milice Cobra du général Denis Sassou-Nguesso, soutenue par les troupes angolaises, est entrée à Brazzaville et a vaincu les troupes gouvernementales et les milices fidèles au président Pascal Lissouba. À la suite de la prise du pouvoir par Sassou-Nguesso, sa milice Cobra a mené des perquisitions de maison en maison dans la capitale pour rechercher des membres des forces de sécurité gouvernementales vaincues, des milices privées et des partisans politiques de Lissouba. https://www.instagram.com/p/CT6Hj0wgOX8/?utm_medium=tumblr
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Congo heading to polls as Nguesso seeks to extend 36-year reign
Congo heading to polls as Nguesso seeks to extend 36-year reign
Voters in the Republic of Congo will head to the polls on Sunday to elect a president in a vote boycotted by the country’s leading opposition party.
President Denis Sassou Nguesso, who has ruled the oil-producing country of five million people for 36 years, is seeking a new five-year mandate. The 77-year-old incumbent faces six opposition challengers but is widely expected to win.
Nguesso first served as president from 1979 until 1992, when he finished third in the Congo’s first multiparty vote. But he retook power in 1997, following a brief civil war in which his rebel forces removed then-President Pascal Lissouba, and has ruled ever since.
He was elected in 2002 and then again in 2009, for what was to be his second and final seven-year term. But in 2015, Nguesso pushed through constitutional reforms that removed the 70-year age limit that would have barred him from contesting polls the following year. The referendum also removed the two seven-year term limit and introduced three five-year terms.
The 2016 polls were then followed by violence leading to the deaths of at least 17 people after the opposition accused Nguesso, who garnered 67 percent of the votes cast, of rigging the poll. Two opposition figures, Jean-Marie Michel Mokoko and Andre Okombi Salissa, were later found guilty of “undermining the internal security of the state”.
“The lessons learnt from the 2016 presidential election have led the authorities to protect themselves against any unpleasant surprise,” Alphonse Ndongo, a Brazzaville-based analyst, told Al Jazeera. “Nguesso will be re-elected, but the problems that people face on a daily basis will remain.”
The challengers
In late January, the Pan-African Union for Social Democracy (UPADS), the country’s main opposition party, said it had decided not to field a candidate in Sunday’s vote, arguing conditions were not conducive for polls and that an election would only lead to more divisions in the country.
Instead, UPADS – the party of the late Lissouba, the winner of the 1992 elections – proposed a transitional period and polls in 2023, with long-serving Nguesso not on the ballot.
More than 2.5 million people have registered to take part in the election. Polls will open at 7am (06:00 GMT) and close at 5pm (16:00 GMT). Members of the security forces cast their ballots on Wednesday.
Hoping to unseat Nguesso is Guy Brice Parfait Kolelas, leader of the Union of Humanists Democrats. A 61-year-old economist by training and former minister, Kolelas finished a distant second with 15 percent of the vote in the 2016 election. His father, Bernard Kolelas, was briefly Congo’s prime minister in 1997 during the civil war.
Mathias Dzon, a former finance minister under Nguesso, is also contesting the election on the Patriotic Union for National Renewal ticket. The 73-year-old registered to take part in the 2009 poll but pulled out days before the election day alleging issues with the voter register. Dzon boycotted the 2016 vote, claiming it would not be free and fair.
Albert Oniangue, an evangelical pastor, is also seeking the country’s top seat. The former army colonel is a newcomer to the political scene, contesting the presidency for the first time and has branded himself as the candidate for change.
Three other candidates are also on the ballot: Joseph Kignoumbi Kia Mbougou, a former UPADS member; Anguios Nganguia Engambe and Dave Mafoula, who, at 38, is the youngest challenger.
But analysts and civil society leaders say the six candidates have no chance of beating Nguesso.
“The election is organised by the Independent National Elections Commission, which is anything but independent,” Fonteh Akum, executive director at the Institute for Security Studies, told Al Jazeera. “The ruling party will continue to be in power and will govern by divide and rule tactic which it has perfected over 36 years,” he added.
“This election is not seen as one that could usher in a change. Since 2016, there has been a consolidation of power by the ruling Labour Party. The political space, especially for human rights activists, has shrunk.”
Joe Ebina, a human rights campaigner, also said the outcome of the vote is already pre-determined.
“Congo is a dictatorship. It is impossible to have a free and fair election. Two former presidential candidates are in prison. Journalists and civil society leaders have also been jailed,” Ebina told Al Jazeera. “There is no credibility whatsoever in this election. Everyone knows the president will win,” he added.
The issues
The election comes at a time when the coronavirus pandemic and a drop in energy prices have battered the oil-reliant Congolese economy, which contracted by 8 percent last year, according to the International Monetary Fund. Congo’s ever-increasing debt burden is also weighing heavily on the economy. In 2019, the IMF estimated the debt at nearly $9.5bn.
The presidential candidates have all promised to improve the economy and lift more people out of poverty. According to the World Bank, 72 percent of the population in 2018 was surviving on less than $1.90 a day.
“Factories have shut down and unemployment has shot up. Also, the scars of the civil war are still been felt in the country’s bread-basket region,” Akum said.
“But Nguesso has learnt his lesson when a struggling economy, trade unions and dissenting army forced his hand in 1992. Many trade unions and civil groups are thought to have been compromised now. Force and repression are also another way he will continue to retain power,” he added.
Corruption is another major problem, with Transparency International ranking Congo 165 out of 180 countries in its 2020 Corruptions Perceptions Index.
In 2019, Global Witness, an anti-corruption campaign group, accused the president’s son, Denis Christel Sassou-Nguesso, of embezzling $50m between 2013 and 2014.
The group also accused the president’s daughter, Claudia Sassou-Nguesso, of spending $7m of state funds to buy a luxury apartment in the Trump International Hotel and Tower in New York. The Nguesso family denies the allegations.
All the candidates, including Nguesso, have promised to tackle corruption.
“It’s hard to think that he will change things in five years after he has been managing the Congo for 36 years,” Ndongo, the analyst in Brazzaville, said.
Follow Hamza Mohamed on Twitter: @Hamza_Africa
Read full article: https://expatimes.com/?p=19384&feed_id=39177
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Le Congo en larmes baigne dans la consternation totale. C'est décès de l’ancien Premier ministre Clément Mouamba.
Clément Mouamba, ancien Premier ministre du Congo, décédé
L’ancien Premier ministre Clément Mouamba, qui a dirigé le gouvernement du Congo-Brazzaville entre 2016 et 2021, est décédé ce vendredi à Paris après son évacuation sanitaire en France.
Clément Moumba, en mai 2015, un an avant sa nomination en tant que Premier ministre du Congo.
Âgé de 78 ans, Clément Mouamba est décédé « à la maison (à Paris) après avoir subi des soins intensifs à l’hôpital.
Il a eu plusieurs complications respiratoires : c’est le Covid », a déclaré une source familiale à l’AFP, précisant qu’il avait été évacué le 12 octobre.
« Le secrétariat permanent du bureau politique du comité central du Parti congolais du travail (PCT) a la profonde douleur d’informer les membres d’honneur, les militants et sympathisants du décès du camarade Clément Mouamba, ce vendredi 29 octobre à Paris (…) », confirme le parti au pouvoir, dans un communiqué officiel.
Dialogue national
Clément Mouamba fut longtemps l’un des dirigeants de l’Union panafricaine pour la démocratie sociale (UPADS), parti fondé par Pascal Lissouba, premier président élu du Congo.
Économiste de formation, il fut également durant des années un cadre de la Banque des États de l’Afrique centrale (BEAC) et devint, entre 1992 et 1993, ministre des Finances de Pascal Lissouba.
Lorsque ce dernier fut chassé du pouvoir, en 1997, par l’actuel chef de l’État, Denis Sassou Nguesso, il passa dans l’opposition.
En 2017 il avait été élu député de Sibiti, sa ville natale
En 2015, il avait finalement rejoint le PCT après avoir été exclu de l’UPADS pour avoir pris part au processus de dialogue national qui avait ouvert la voie à un référendum modifiant la Constitution et permettant à Denis Sassou Nguesso, qui cumule 37 ans au pouvoir, de briguer un nouveau mandat controversé en 2016.
Nommé chef du gouvernement après la présidentielle de 2016, fonction qu’il occupera jusqu’en 2021, il avait aussi été élu député de Sibiti (sud-ouest), sa ville natale, en 2017.
Au Congo, 17 000 cas de Covid-19 ont été enregistrés, dont 290 décès, selon les statistiques des autorités sanitaires publiées le 28 octobre.
(Par Kafunel.com Avec AFP)
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Chine: Disneyland fermé après un cas de CovidDébut des municipales en Afrique du SudMexique: un journaliste tué par balles
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Pascal Lissouba, ancien président du Congo-Brazzaville, est décédé https://is.gd/lTCf0S
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Congo-Brazzaville : l’ancien président Pascal Lissouba est décédé en France
Congo-Brazzaville : l’ancien président Pascal Lissouba est décédé en France
Pascal Lissouba, président du Congo-Brazzaville entre 1992 et 1997. © AFP
L’ancien président congolais Pascal Lissouba s’est éteint en France, ce lundi matin, à l’âge de 88 ans. Il avait dirigé le pays de 1992 à 1997 avant de perdre le pouvoir à la suite de la guerre civile.
Pascal Lissouba est décédé, en début de matinée le 24 août, à Perpignan, dans le sud de la…
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ВандаВижн
Автор (@yannasketches) была вдохновлена сериалом ВандаВижн
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