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#la religeuse
suispiria · 2 days
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hi lovely do u have any jasmine perfume recommendations ?
ahhhh let’s see!!!!! olene edt by diptyque is a very lovely realistic jasmine and honeysuckle scent, serge lutens has a couple with very different vibes (la religeuse has incense vs a la nuit which is ridiculously strong from what I’ve read and has honey notes), there’s also imperial tea from by killian if you want a jasmine tea fragrance, angel elixir by mugler if you like vanilla, jasmin bonheur by guerlain for a fruity jasmine scent with an iris base annnnnd etat libre d’orange has jasmin et cigarette which I’ve always wanted to tryyyyy
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barcarole · 4 years
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Anna Karina in Rivette’s La Religieuse, 1966.
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abladesosharp · 3 years
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la religion ; explications.
tw: sacrifices, exécution, sacrifices animaliers (révolus).
Comment est-ce que ça se passe, la religion ?
∙ Si la religion, sur ABSS, s'inspire ouvertement de celle de la Rome antique, il y a pourtant un point essentiel qui diffère : les augures et les pontifes ne sont font pas partie de la Curie, quand bien même ils peuvent se marier et fonder une famille ; une séparation de l’Église et de l’État existe bel et bien. ∙ Comme dans la Rome antique, encore une fois, les augures lisent la volonté des dieux, supervisent le marquage des frontières comme un reflet de l'ordre universel, et possèdent dans la société actuelle, surtout au Haut, une importance considérable : les mages ont l'habitude de venir les voir lorsque le besoin de trouver une réponse ou une voie se fait ressentir, ou que des fiançailles doivent être prononcées. Leur aura, à l'heure actuelle, irradie encore avec brio sur ce côté de la Ligne, quand il semble bien plus raillé de l'autre. ∙ Les mages ne prient pas tant des dieux et déesses nommé.e.s, possédant une figure précise et dépeinte à travers les arts, que directement les astres. Loin des personnifications connues dans notre monde, les forces supérieures ne possèdent pas de visages, pas de tenue, rien d'autre que l'apparence aperçue lorsque le nez est levé vers le ciel et dont les scientifiques présentent les photos issues de leurs recherches. La religion se dessine paradoxale et parfois complexe aux yeux de certain.e.s : profondément humaniste, les textes décrivent les actions de l'humain et veillent à relever la dignité de l'esprit de l'être, tout en le mettant en valeur, rappelant les sources gréco-latines. De tels écrits, subsistants à travers les siècles et l'Histoire, rendent difficile la distinction entre faits et religion, renforçant alors les croyances et combattant un scepticisme bien moins existant dans cet univers. ∙ Malgré l'absence de représentations humanoïdes, les di immortales (dieux immortels), dans l'imaginaire général, règnent sur les cieux supérieurs et les enfers. Prenant la forme des  constellations, la religion se mêle à l'astrologie et les augures se dessinent semblables à des scientifiques aux yeux de certain.e.s.
Temples et sanctuaires
∙ S'il existe à New York plusieurs temples et sanctuaires, la plupart des cérémonies religieuses publiques se déroulent cependant à l'extérieur et non dans le bâtiment. Certaines d'entre elles peuvent s'apparenter à des processions qui commencent ou se terminent par un temple ou un sanctuaire, là où l'offrande peut être alors déposée. Si certain.e.s font preuve d'offrandes plus opulentes, traduisant leur richesse matérielle, d'autres préfèrent essayer de tourner les astres en leur faveur en apportant un objet d'une valeur émotionnelle forte dans les moments où l'aide leur paraît la plus nécessaire. ∙ A contrario d'une représentation humaine, la pièce principale d'un temple abrite des peintures et autres formes d'art de la constellation ou de l'astre prié auquel le bâtiment est dédié, ainsi qu'un petit autel pour l'encens et les libations. Si officiellement l'accès à un temple est libre pour tout public, il n'est pas impossible que les familles les plus imposantes demandent à y être seules par instants.
Pratiques religeuses
∙ Prières, vœux et serments. Pour être efficace et ne pas être considérée comme était « inutile et non une consultation appropriée des [étoiles] » (dixit Pline l'Ancien), chaque offrande nécessite une prière d'accompagnement. La prière possède cependant un pouvoir indépendant, rendant la parole comme étant l'action religieuse la plus puissante et la la connaissance des formules verbales correctes comme étant la clé de l'efficacité. Une dénomination précise est nécessaire pour pouvoir puiser dans les pouvoirs désirés de l'astre invoqué. Des prières publiques (prex) sont offertes haut et fort par un augure ou un pontife au nom de la communauté (ou d'une famille) et le rituel public se doivent d'être exécutées par un professionnel. Cependant, même la prière privée par un individu se fait via une formule, une récitation plus qu'une expression personnelle, bien que choisie dans un but précis ou une occasion particulière. ∙ Sacrifices. Sacrificium (latin) : accomplissement d'un acte qui rend quelque cose de sacré. Le sacrifice est connu pour renforcer les pouvoirs et les attributs des êtres divins, les inclinant à rendre des avantages en retour, suivant le principe du do ut des : une chose contre une autre. La pratique s'est cependant perdue au fil des siècles et n'est, aujourd'hui, officiellement plus exécutée, qu'elle soit humaine ou animale. Cependant, dans le plus grand des secrets, la religion se mêle à la science et l'action semble reprendre du service : issue de l'alchimie (transmutation, échange équivalent), les Herne l'ont remise au goût du jour, s'y adonnant sous le sol new-yorkais. Tous ne sont cependant pas à même de le savoir.
Les Augures et auspicia
∙ Les Augures sont les prêtres et fonctionnaires de la religion. Leur rôle principal est de prendre les auspices : interpréter la volonté des astres et des forces supérieures en étudiant le placement des étoiles et, parfois, le vol des oiseaux – s'ils volent en groupe ou seuls, quels bruits font-ils, dans quelle direction vont-ils, et à quelle espèce d'oiseaux ils appartiennent. Les Augures recherchent la volonté divine concernant tout plan d'action proposé qui pourrait affecter la pax, fortuna, et salus (la paix, la bonne fortune et le bien-être). Ce sont également eux qui viennent sacraliser les temples après leur construction, quand bien même il n'y en ai pas eu de nouveau à New York depuis la reconstruction du Haut suite à la guerre. Autrefois, les Augures lisaient la volonté divine à travers les observations faites avant, pendant et après les sacrifices ; désormais, ils prêtent une attention plus particulière aux offrandes, la pratique sacrificielle s'étant – officiellement – perdue avec le temps. ∙ Les Augures ont un pouvoir plus grand au Haut qu'au Bas. Les habitants du Haut croient encore à la volonté divine à travers les fiançailles et les alliances, quand le Bas ne se fit pratiquement plus qu'aux avantages pécuniaires. Si un signe défavorable est donné, le magistrat peut répéter l'offrande jusqu'à voir des signes favorables, consulter ses collègues augures, ou abandonner le projet. Le droit des Augures s'appelle l'ius augurum. * les Augures sont jouables et il s'agit, de nos jours, d'une profession mixte.
Rites mortuaires.
∙ Les rites funéraires et commémoratifs varient selon la richesse, le statut et le contexte religieux. À l'époque des anciens rites, les plus aisés sacrifiaient des truies ou des bœufs au bûcher funéraire avant l'incinération, pensant que les morts consommaient leur part dans les flammes du bûcher, les forces supérieures à travers la flamme de leur autel, et la famille sur le site de l'incinération. Le sacrifice animalier est aujourd'hui révolu, et remplacé par un faste repas, dont une partie est donnée aux flammes de l'incinération. Pour les moins aisés, l'inhumation avec « une libation de vins, d'encens, et de repas » est encore en pratique de nos jours. Les cendres (ou le corps, en cas de refus de l'incinération), quant à elles, sont ensevelies ou enterrées. Au huitième jour de deuil, la famille revient donner de nouvelles offrandes là où les cendres ou le corps ont été mis en bière ; on raconte que c'est à ce moment-là que l'ombre des défunts passe de l'autre côté.
L'ordre des marieuses
∙ L'ordre des marieuses désigne, comme son nom l'indique, les femmes jouant les entremetteuses. Formées en astrologie, elles ont un travail complémentaire à celui des Augures et visent à caser les personnes venant chercher leur aide pour trouver la moitié idéale pour elleux. Mettant en avant la complémentarité psychique plutôt que les accords pécuniaires, elles se chargent des prédictions sentimentales et sont guidées par un savoir mêlé d'une intuition mystique, qu'elles désignent comme étant « l'intuition féminine », le plus souvent avec un petit sourire. Si, aux yeux de certain.e.s, l'ordre des marieuses semblent flirter avec l'idée d'un culte, rien n'a jamais été revendiquée par elles. On sait, cependant, qu'elles ont également un attrait plus politico-social : dans un mouvement liant féminisme et combat, elles se refusent à n'être là « que » pour unir deux âmes en fonction des astres, et veulent également s'impliquer, de façon plus insidieuse, pour la situation de la femme dans le monde moderne. *les marieuses sont jouables, et exclusivement féminines.
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giallofever2 · 6 years
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1987 La monaca del peccato/Convent of Sinners Data di uscita: 9 agosto 1986 (Italia) France : 4 février 1987 Portugal : 12 juin 1987 Regista: Dario Donati alias Joe D'Amato (Aristide Massaccesi) Scritto da: Denis Diderot Musica composta da: Stefano Mainetti Guido Anelli Montatori: Joe D'Amato, Kathleen Stratton La pellicola è tratta dal romanzo “La monaca / La religeuse" di Denis Diderot Incassi Al botteghino la pellicola non ha avuto un riscontro positivo, lo stesso regista incalzato sull'argomento ha dichiarato che l'insuccesso era dovuto al poco interesse che ormai il pubblico aveva per il genere nunsploitation. Critica Giovanni Grazzini su Il Corriere della Sera del 16 ottobre 1986 non apprezza che il regista abbia stravolto uno dei proverbiali cavalli di battaglia dell'anticlericalismo come 'La religieuse' di Diderot. Rielaborandolo al punto di cambiarne completamente la natura e rifacendone il finale, lo ha privato di ogni senso storico e culturale. Nemmeno l'eleganza della messinscena salva la situazione di un prodotto porno-soft privo anche di ogni brivido erotico. Cast Eva Grimaldi: Susanna Simonin Gabriele Tinti: monsignor Revère Aldina Martano: madre superiora Karin Well: suor Teresa Gilda Germano: suor Ursula Gabriele Gori: Nazareno Martin Philips: padre Morel, confessore delle monache Maria Pia Parisi: suor Agata Katalin Murany: suora Beba Balteano: suora #lamonaganelpeccato #lamonacadelpeccato #evagrimaldi #conventofsinners #gabrieletinti #nunsploitation #giallofever #giallo #gialli #gialloallitaliana #italiangiallo #italianhorror #nun #nunexploitation
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Le dialogue interconfessionnel : voici une image rare qui démontre l’ancienneté des efforts de bonne entente entre les confessions déployés par les autorités religeuses. En l’occurrence, il s’agit d’une rencontre en 1917, il y a donc plus de 100 ans, entre Monseigneur Jalabert, décédé dans le naufrage du paquebot Afrique en 1920 et le Cheikh Sidiya Baba, dont nous avons parlé récemment. La rencontre est qualifiée dans cet article d’« Union sacrée ». Je me suis permis de marquer les contours des deux personnages car la qualité de la photo ne permettait pas de les repérer aisément. https://www.instagram.com/p/B1dZDt-FVVN/?igshid=ern9t1wm9f0c
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mastcomm · 4 years
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3 Film Series to Catch in N.Y.C. This Weekend
Our guide to film series and special screenings happening this weekend and in the week ahead. All our movie reviews are at nytimes.com/reviews/movies.
AMERICAN INDIES, 1980-1989 at the Museum of Modern Art (through Feb. 2). The way this retrospective tells it, the 1980s represented a transformational period in American independent cinema — a time when indies served as a counterbalance to the mallification of Hollywood movies and before they started to become commodified by organizations such as the Sundance Film Festival (now underway). The decade gave rise to the first triumphs of the Coen brothers (“Blood Simple,” on Friday and Feb. 1) and Jim Jarmusch (“Stranger Than Paradise,” on Saturday and Jan. 31); it also yielded punk-infused anarchic experiments like Lizzie Borden’s “Born in Flames” (on Saturday and Feb. 1) and nuanced portraits of African-American life (Charles Burnett’s “My Brother’s Wedding,” on Saturday and Wednesday; Billy Woodberry’s “Bless Their Little Hearts,” on Tuesday). 212-708-9400, moma.org
HAL HARTLEY at the Metrograph (Jan. 24-Feb. 2). A mechanic who doesn’t drive, a professed nymphomaniac who hasn’t had sex, a garbage man who turns out to be a great poet of the times — welcome to Hartley’s absurdist world, still as fresh and funny as it was when he was being hailed as the “Jean-Luc Godard of Long Island” in the 1990s. Hartley will appear at multiple screenings, beginning with Friday’s 6:30 p.m. show of his debut feature, “The Unbelievable Truth,” starring Robert John Burke (as the aforementioned ex-con mechanic, who became skilled at his trade while imprisoned for reasons that nobody can quite keep straight) and the sorely missed Adrienne Shelly (as a whip-smart high schooler convinced that humanity is doomed). 212-660-0312, metrograph.com
[Read about the events that our other critics have chosen for the week ahead.]
HOMAGE TO ANNA KARINA at Film Forum (through Jan. 30). The theater presents a tribute to the legendary French New Wave actress, who died in December. It leans heavily on her brilliant collaborations with Jean-Luc Godard, to whom she was wife and muse during his most celebrated period. Catch her in full splashy color in Godard’s hat tip to 1950s American musicals (“A Woman Is a Woman,” on Saturday, Sunday, Monday and Jan. 30) and in his wide-screen version of a lovers-on-the-lam film (“Pierrot le Fou,” on Friday, Sunday, Monday, Tuesday, Wednesday and Jan. 30). The lineup also has Karina in two films by other directors: Jacques Rivette (“La Religeuse,” on Friday, Saturday, Monday, Tuesday and Wednesday) and Rainer Werner Fassbinder (“Chinese Roulette,” on Sunday and Wednesday). 212-727-8110, filmforum.org
from WordPress https://mastcomm.com/entertainment/3-film-series-to-catch-in-n-y-c-this-weekend-4/
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2017mcp · 7 years
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La religeuse - Guillaume Nicloux
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mindspira-blog · 7 years
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La Religeuse - Guillaume Nicloux
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giallofever2 · 6 years
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1987 La monaca del peccato/Convent of Sinners Data di uscita: 9 agosto 1986 (Italia) France : 4 février 1987 Portugal : 12 juin 1987 Regista: Dario Donati alias Joe D'Amato (Aristide Massaccesi) Scritto da: Denis Diderot Musica composta da: Stefano Mainetti Guido Anelli Montatori: Joe D'Amato, Kathleen Stratton La pellicola è tratta dal romanzo “La monaca / La religeuse" di Denis Diderot Incassi Al botteghino la pellicola non ha avuto un riscontro positivo, lo stesso regista incalzato sull'argomento ha dichiarato che l'insuccesso era dovuto al poco interesse che ormai il pubblico aveva per il genere nunsploitation. Critica Giovanni Grazzini su Il Corriere della Sera del 16 ottobre 1986 non apprezza che il regista abbia stravolto uno dei proverbiali cavalli di battaglia dell'anticlericalismo come 'La religieuse' di Diderot. Rielaborandolo al punto di cambiarne completamente la natura e rifacendone il finale, lo ha privato di ogni senso storico e culturale. Nemmeno l'eleganza della messinscena salva la situazione di un prodotto porno-soft privo anche di ogni brivido erotico. Cast Eva Grimaldi: Susanna Simonin Gabriele Tinti: monsignor Revère Aldina Martano: madre superiora Karin Well: suor Teresa Gilda Germano: suor Ursula Gabriele Gori: Nazareno Martin Philips: padre Morel, confessore delle monache Maria Pia Parisi: suor Agata Katalin Murany: suora Beba Balteano: suora #lamonaganelpeccato #lamonacadelpeccato #evagrimaldi #conventofsinners #gabrieletinti #nunsploitation #giallofever #giallo #gialli #gialloallitaliana #italiangiallo #italianhorror #nun #nunexploitation
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