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#la dépêche du midi
fidjiefidjie · 1 month
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"Attentat :comment Poutine va se venger ?" 📰
La Une :La dépêche du Midi
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fredandrieu · 11 months
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etiennedaho · 11 months
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La dépêche du midi
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lisaalmeida · 2 months
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Chaque geste de notre vie peut devenir bonheur
L'avez-vous déjà remarqué, nous sommes toujours
En attente du résultat d'un acte, d'un événement,
projetés vers l'avenir, les yeux rivés sur l'aboutissement,
sur l'arrivée,
En attente d'autre chose, de quelqu'un d'autre,
de mieux, d'ailleurs...
J'escalade la montagne en ne songeant
qu'à ce que je verrai du sommet.
Je me dépêche de lire le livre pour en savoir plus,
pour connaître la suite,
Toujours la suite, toujours plus avant.
Je pose la question :
"Comment est-ce que ça se termine ?"
J'attends le train, je ne vis pas.
Je suis tendue vers l'arrivée du train,
le cou tendu vers le tournant où il va apparaître.
"Il arrive ? Il arrive ?
" Et bien sûr, une fois dans le train,
je n'ai qu'une hâte : arriver !
Au travail, j'attends la pause,
la fin fin de la journée,
le week-end, les vacances, la retraite...
Quand j'aurai rencontré l'âme-soeur...",
"Quand les enfants seront grands", "
Ah, si j'étais libre",
"Quand j'aurai de l'argent", "
"Quand j'aurai déménagé", "
"Quand j'habiterai à la campagne",
"Quand j'aurai le temps...",
Ou alors, c'est
"Ah, si j'avais su...",
"Avant c'était mieux !",
"Ah, quand il/elle était là !".
Et finalement, je ne vis pas et les années passent. Le compte à rebours a commencé et je ne savoure toujours pas la vie précieuse qui m'est offerte à chaque seconde, la douceur de l'air dans mes poumons, sur mon visage, les yeux de l'inconnu(e) qui me croise, la colline si vivante devant moi, la danse des nuages, un après-midi de repos, la chaleur de ma couverture, un toit sur ma tête, les clins d'oeil du soleil...
Hier en faisant le ménage, j'ai pris conscience pour la première fois que j'mais faire le ménage
Et chaque acte est devenu un véritable plaisir :
laver les vitres, jeter de vieux journaux, de vieux livres, faire le vide...
Chaque geste de notre vie est/peut/va devenir bonheur, Chaque instant, chaque seconde (ou presque !),
ne serait-ce que respirer...
Alex, L'Âme et le Coeur
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basilepesso · 10 months
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"Joueur du TFC lors de la saison 1990-1991, Stéphane Demol est décédé ce jeudi 23 juin à Bruxelles d'une crise cardiaque, à seulement 57 ans. Trois fois champion avec Anderlecht où il avait commencé sa carrière professionnelle (1984, 1985, 1986), l'international belge (38 sélections) a acquis le statut de légende des Diables Rouges lors de la Coupe du monde 1986 au Mexique, où la sélection belge avait atteint les demi-finales grâce à un but de son défenseur...son seul inscrit avec l'équipe nationale."
(Aussi sur Fb, 23 juin 2 023) Article de La Dépêche du Midi : “Mort soudaine à 57 ans de Stéphane Demol, ancien footballeur du TFC et international belge“
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alainpignon11 · 1 year
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De Carcassonne à Bram
Mai 2023. Au service du Patrimoine et de l'Histoire à Bram.
Sur les traces de la famille de Lordat (dont le nom est éteint) avec l'Association des Amis de la Ville et de la Cité de Carcassonne. Ce fut un grand plaisir de faire découvrir une partie de la riche histoire de cette dynamique commune.
Article de presse publié par L'Indépendant le 5 mai 2023 Article de presse publié par La Dépêche du Midi le 3 septembre 2023
Photos: Nathalie Amen-Vals / AAVCC
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lalignedujour · 2 years
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Elle était bien organisée, bien minutée. A 7h50 à l'horloge-chat, elle avait débarrassé, épongé et quitté la table du petit-déjeuner. Elle avait rangé sa chaise sous la table. Ce geste mettait le frigo dans son champ de vision, ce qui lui faisait mécaniquement penser à prendre son Tupperware pour son repas de midi. Enfin, tout ça était bien calé.
Les matins du weeekend se déroulaient sur le même modèle, à l'exception du Tupperware. Le samedi, elle se donnait pour objectif d'arriver à la médiathèque à 8h. Elle lisait une bonne partie de la matinée. Le dimanche, elle partait pour le marché, un différent tous les dimanches. S'il y a autant d'arrondissements à Paris, c'est pas pour aller au m��me marché toutes les semaines. La tentation de garder le même poissonnier était grande - celui de son quartier était bien - mais c'était aussi nécessaire d'avoir l'objectif de le retrouver à une périodicité plus espacée. Elle se réjouissait plusieurs dimanches à l'avance, et c'était important de se réjouir d'une chose plusieurs dimanches à l'avance.
Tout roulait dans la lumière blanche de sa cuisine. Le tic-tac de l'horloge-chat semblait éternel. La représentation du temps dans ce cercle ne semblait pas mener à un précipice, mais évoquait plutôt un cycle, une vie en perpétuel recommencement. Une machine à laver dans un essorage doux et infini.
C'est dimanche, elle se lève comme d'habitude à 7h pétantes. Les rayons du soleil tapent déjà dans son rideau blanc. Elle prend son petit-déjeuner aseptisé, géométrique. Comme tous les jours, à 7h40, elle lève les yeux vers l'horloge-chat, qui indique 3h12. Dans le doute, elle termine vite son petit-déjeuner, débarrasse, éponge, range sa chaise la bouche encore pleine. Elle se dépêche car elle n'est pas sûre de l'heure et doit changer les piles. Elle les prend directement sur le chargeur de piles dans le tiroir - ce qui signifie qu'elles sont rechargées. Elle place les piles usagées sur le chargeur et le branche aussitôt. L'horloge-chat ne fonctionne toujours pas. C'est la mort de l'horloge-chat.
Elle se dépêche d'aller au marché. Elle change de marché en évoluant sous forme d'escargot sur la carte de Paris. Aujourd'hui, c'est le marché d'Aligre dans le 12ème. Sur le trajet, elle se questionne sur sa vision cyclique du temps, sans horloge à aiguilles, elle serait forcée d'adopter une vision linéaire du temps qui lui donnerait une sorte d'urgence de vivre. Et ça, elle ne veut pas. Il faut qu'elle trouve une autre horloge-chat, ou chien ou lapin ou hérisson on s'en fout, mais il lui faut une autre horloge à aiguilles.
Elle achète ses fruits et légumes sans plaisir. En ne pensant qu'à un magasin d'horloges qui serait ouvert le dimanche. Son caddie plein, elle marche dans les rues au hasard. Les restaurants sont ouverts, mais pas les magasins entre. Ah, là, il y a un magasin minuscule entre deux terrasses bondées. La vitrine est poussiéreuse, il y a des horloges et rien n'indique qu'il est fermé. C'est en effet, ouvert. Elle entre, et demande tout de suite si l'horloge de la vitrine fonctionne.
-Non, Madame. Malheureusement, c'est une antiquité.
Un vieux monsieur prostré sur un robot éventré lui apparaît au milieu du bric-à-brac. Il lui répond sans lever les yeux. Elle va pour partir.
-Mais… J'ai ça pour vous, regardez.
Il lève la tête et retire ses lunettes loupes. Il grimpe sur une immense échelle, et trouve du premier coup une horloge digitale aux chiffres rouges.
-Regardez, je l'ai reçue il y a… pfiou ! un an ? peut-être deux. Et elle est encore à l'heure.
-Non mais ce format ne m'intéresse pas.
-Attendez.
Il se dirige vers une autre aile de son magasin étroit, descend un escalier et en sort une boîte à chaussures.
-Regardez.
Il ouvre la boîte à chaussures, et lui montre 6 ampoules rouges.
-Qu'est-ce que ça a à voir ?
-Tout. Ça a tout à voir avec vous. C'est rouge et c'est tamisé, et vous avez besoin de ça dans votre vie. Tout est blanc chez vous et vous cherchez une horloge ronde pour vous faire croire que c'est éternel. Non, le temps est fini. Et un appartement aux tons rouges vous fera mieux profiter de la vie.
Elle est si estomaquée qu'elle ne sait pas comment elle s'est retrouvée à la caisse, à acheter l'horloge digitale rouge, le jeu de 6 ampoules rouges et même 3 rideaux rouges. Elle est restée estomaquée jusqu'au petit-déjeuner du lendemain. Si bien qu'elle l'a terminé plutôt vers 7h56 et qu'elle dû partir au travail sans ranger sa chaise et sans prendre son Tupperware.
En déjeunant avec ses collègues le lendemain, et les jours suivants, elle avait le même regard choqué.
Les semaines ont passé dans cette ambiance rouge. La couleur se reflète sur son visage et lui donne une allure de personnage de film. Tantôt elle prépare un go-fast, tantôt elle est une mère célibataire et doit gérer le décrochage scolaire de son fils, tantôt elle doit faire disparaître un corps, tantôt elle cuisine dans un resto chinois clandestin.
Avec le rouge, elle change de coupe de cheveux, chope une cicatrice en se battant, songe à se faire tatouer, et se lève plus tard le weekend - lorsque le soleil tape dans ses rideaux rouges, elle s'autorise à se rendormir, et c'est dans ce demi-sommeil qu'elle fait ses rêves érotiques, c'était dommage de s'en priver tout ce temps. Seules la couleur et la notion de finitude de la vie ont changé. Et son quotidien s'éclaire. Mais il lui reste une question. Comment le type savait qu'elle avait exactement 6 ampoules chez elle ? Elle est impatiente de pouvoir retourner au marché d'Aligre le 20 novembre pour lui poser la question. Quoique. Qu'est-ce qui l'empêche d'y aller dimanche prochain ?
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rugbyprime · 14 days
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Pro D2 - Montauban : Qui prendra la place de Pierre-Philippe Lafond ? Goutta, Penalva ou Garbajosa cités
David Penalva (à droite) fait parti des favoris pour devenir entraîneur de Montauban – La Dépêche du Midi, Chantal Longo Vainqueurs de Nevers (17-16), les Montalbanais devraient connaître du mouvement dans le staff. Actuellement 15e de Pro D2, l’USM vit une fin de saison compliquée. « À Sapiac ça pique » et en ce moment, ce sont les résultats du club qui piquent un peu plus que d’habitude. Avec…
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fathyzarrouk · 22 days
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La dépêche du midi, 30 mars 2024
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lephenixkurde · 26 days
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"Le combat des femmes kurdes est universel", explique Nazand Begikhani
"Jin Jiyan Azadi est l'equivalent de la devise française Liberté Egalité Fraternité pour les Kurdes" explique Nazand Begikhani, prof à Sciences Po Paris et poétesse franco-kurde, qui participera à une conférence débat au festival Un week-end avec elles le 6 avril, de 9h30 à 13 heures, salle Arcé à Albi.
Webdoc sur le génocide yezidi en lien dans cette interview parue dans les pages régionales de la Dépêche du Midi le lundi 1er avril 2024.
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fredandrieu · 1 year
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ezechiel5172 · 1 month
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lisaalmeida · 1 year
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Chaque geste de notre vie peut devenir bonheur
L'avez-vous déjà remarqué, nous sommes toujours
En attente du résultat d'un acte, d'un événement,
projetés vers l'avenir, les yeux rivés sur l'aboutissement,
sur l'arrivée,
En attente d'autre chose, de quelqu'un d'autre,
de mieux, d'ailleurs...
J'escalade la montagne en ne songeant
qu'à ce que je verrai du sommet.
Je me dépêche de lire le livre pour en savoir plus,
pour connaître la suite,
Toujours la suite, toujours plus avant.
Je pose la question :
"Comment est-ce que ça se termine ?"
J'attends le train, je ne vis pas.
Je suis tendue vers l'arrivée du train,
le cou tendu vers le tournant où il va apparaître.
"Il arrive ? Il arrive ?
" Et bien sûr, une fois dans le train,
je n'ai qu'une hâte : arriver !
Au travail, j'attends la pause,
la fin fin de la journée,
le week-end, les vacances, la retraite...
Quand j'aurai rencontré l'âme-soeur...",
"Quand les enfants seront grands", "
Ah, si j'étais libre",
"Quand j'aurai de l'argent", "
"Quand j'aurai déménagé", "
"Quand j'habiterai à la campagne",
"Quand j'aurai le temps...",
Ou alors, c'est
"Ah, si j'avais su...",
"Avant c'était mieux !",
"Ah, quand il/elle était là !".
Et finalement, je ne vis pas et les années passent. Le compte à rebours a commencé et je ne savoure toujours pas la vie précieuse qui m'est offerte à chaque seconde, la douceur de l'air dans mes poumons, sur mon visage, les yeux de l'inconnu(e) qui me croise, la colline si vivante devant moi, la danse des nuages, un après-midi de repos, la chaleur de ma couverture, un toit sur ma tête, les clins d'oeil du soleil...
Hier en faisant le ménage, j'ai pris conscience pour la première fois que j'mais faire le ménage
Et chaque acte est devenu un véritable plaisir :
laver les vitres, jeter de vieux journaux, de vieux livres, faire le vide...
Chaque geste de notre vie est/peut/va devenir bonheur, Chaque instant, chaque seconde (ou presque !),
ne serait-ce que respirer...
Alex, L'Âme et le Coeur
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le-mzungu · 4 months
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C'est du marketing ou de la charité tout ça...
parce que quand on m'a dit qu'on allait planter deux mille avocatiers dans une petite communauté dans le nord du pays, le tout pour souligner la Journée internationale des volontaires, je m'attendais à me salir et à en planter au moins une vingtaine.
Mais bon, faut considérer qu'en plus des 2h45 de route, tout se passe au...
Africa's Time
C'est quoi ça, me direz-vous, le Africa Time? Le traducteur qui m'a été assigné pendant la cérémonie d'ouverture me l'a résumé ainsi: "dans notre culture, le temps est une ressource illimitée."
Et même s'ils savent qu'on meurt tous un jour, ben on se dépêche rarement. Tant pis si tout est en retard.
Pour ceux qui m'ont déjà entendu parler du "Maybe this, maybe that" indonésien, c'est pas mal la même chose ici. Avec comme différence qu'on n'avoue pas ouvertement qu'on ne sait jamais ce que la journée nous réserve.
Pour ceux qui ne savent pas de quoi je parle, voici un exemple:
On se donne rendez-vous pour une présentation à 13h, avec un buffet-diner à 12h, pour ceux qui veulent luncher avant de commencer.
12h: On est les seuls dans le restaurant.
12h15: D'autres expatriés blancs arrivent.
12h55: La responsable de la rencontre arrive, nous confirme que ça commence bel et bien à 13h, puis s'assoit pour manger.
13h40: Ça fait longtemps qu'on a fini de manger et qu'on discute entre-nous. La responsable vient nous voir pour dire qu'elle va commencer la rencontre. Mais la directrice générale, elle n'est pas encore là.
14h: la rencontre commence et l'agenda est chargé.
16h: un quart des points ont été abordés.
17h: C'est l'heure de fin prévue et ça n'a pas l'air de déranger personne... sauf ceux qui ont le malheur d'avoir des plans.
17h30: Après quelques interventions de participants anxieux de respecter leurs engagements, la rencontre est finalement levée.
Je n'étais là que pour la partie repas, mais j'ai fait des entrevues après la rencontre pour compléter le cours de l'après-midi. Ça pratique ma rigueur journalistique.
Autre bel exemple:
S'il pleut, tout s'arrête. Cassez-vous pas le coco pour à arriver à l'heure, y'aura personne, tout le monde se sera réfugié à l'abri de la pluie dans une station service et arrivera... quand ils arriveront.
La ponctualité à l'occidentale, c'est pas juste qu'ils n'ont pas envie d'intégrer ça à leur culture, mais aussi que c'est que ce serait pas toujours pratique pour eux non plus, comme dans ce dernier cas. Arriver au bureau trempé, quand il fait 30 degrés, c'est pas très agréable.
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C'est tout un événement...
la journée des volontaires, je n'étais pas prêt à ça. En arrivant à Kinigi, après un voyage au Africa's Time, où le départ toujours retardé et les arrêts sont toujours plus long que prévu, l'accueil dans la grande salle communautaire est surprenant : on fait salle comble.
Y'a du monde dehors qui assiste au travers des fenêtres ouvertes, pas un mur n'est disponible car y'a 3 personnes de large qui s'y agglutine pour assister à la présentation, sans compter le groupe d'une cinquantaine de personnes qui écoutent de dehors, attroupés dans le grand portique.
Visiblement, tous les habitants qui étaient disponibles dans le village de Kinigi se sont déplacés pour nous accueillir.
Une fois assis dans la salle, on est tous jumelés avec un volontaire rwandais, qui fera office de traducteur, puisque la plupart des discours se feront dans la langue locale.
Et c'est là que j'ai ma première surprise : il n'y a pas que les étrangers qui viennent faire du volontariat ici. Y'a beaucoup plus de volontaires étrangers que de mzungus, et encore plus de rwandais bénévoles.
C'est c'est là que je comprends que c'est pas notre petit groupe d'une douzaine qui valait le déplacement (ouf!), mais parce qu'on était plus d'une centaine de bénévoles à se déplacer, issus de trois organisations différentes.
Soyons honnêtes : J'étais probablement le seul imposteur dans le lot... mais pas le seul salarié au moins : y'avait aussi les employés permanent des ONG qui accueillent les volontaires. Mais eux, contrairement à moi, avaient une bonne raison d'être là. Moi... j'avais une invitation spéciale, car il restait de la place dans l'autobus. Et je suis très reconnaissant qu'on m'ait donné la chance de vivre cette expérience.
CorpsAfrica, la coopération à l'échelle humaine
Ce que m'expliquera le bénévole-traducteur, c'est que CorpsAfrica (l'organisme auquel il est rattaché) envoie de jeunes adultes pour des mandats d'un an dans des communautés rurales. Et c'est eux qui forment la majorité des bénévoles autour de nous. Ils seraient difficiles à distinguer de la population locale, s'ils ne portaient pas un polo aux couleurs de leur organisme.
Quel est leur (très noble) objectif ? Comprendre les enjeux auxquels la population fait face et développer des solutions directement avec les acteurs locaux, non seulement pour que les solutions soient économiques (et économiquement viables), mais aussi pour que les habitants fassent partie intégrante de la solution. Et tout ça, en impliquant et mobilisant les jeunes leaders africains.
Et puisque la plupart des volontaires de Corps partagent la langue et la culture locale, ils sont dans une position parfaite pour ensuite servir de guides et de facilitateurs auprès des autres ONG qui oeuvrent dans le pays et qui ont des projets dans ces communautés.
Mais ils n'acceptent pas n'importe qui non plus : leurs volontaires sont des jeunes qui ont minimalement terminé le collège et souvent l'université dans des domaines variés : ingénierie, sciences humaines, éducation, environnement, etc. Le processus de sélection comprend des entrevues, la vérification des références, sans compter un mois de formation avant d'être déployé, en plus de la formation continue en cours de mandat.
Pour ceux que ça intéresse, leur site web est assez intéressant : https://www.corpsafrica.org/
Avec tout ça, je comprends mieux la crédibilité qu'a CorpsAfrica auprès de la population. Et pendant que j'écoute mon gentil traducteur, m'expliquer tout ça, j'ai droit à un petit épisode...
D'intégration forcée...
à la culture et aux coutumes locales. Avant même la fin de la présentation, j'ai été sorti de ma zone de confort, disons.
Mais ça... ça attendra un autre épisode.
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alainpignon11 · 4 months
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De Toulouse à Carcassonne Décembre 2023. Art déco. Superbe façade de l'ancien siège de La Dépêche du Midi située rue Alsace- Lorraine. Elle est signée par les mosaïstes Alphonse Gentil (1872-1933) et Eugène Bourdet (1874-1952). Ces artistes sont également les créateurs de la mosaïque visible à l'emplacement de l'ancienne "Boucherie Miquel", 56 rue de Verdun à Carcassonne. Photos: Chroniques de Carcassonne
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christophe76460 · 6 months
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Un verre d’eau !
https://youtu.be/ntDn7VK2wT0
C’était au lendemain d’une victoire chèrement acquise par des efforts inouïs.
On m’avait chargé de porter à l’arrière-garde de l’armée une dépêche importante, quand, au moment de partir, mon cheval harassé refusa tout service. J’en envoyai chercher un autre ; celui-ci était tellement indocile et rétif, que plusieurs minutes se passèrent avant qu’il me fût possible de me mettre en selle et de le décider à partir. Néanmoins, il fallait avancer ; l’importance du message dont j’étais porteur ne permettait aucun retard.
À midi, j’étais à peine à la moitié du chemin. L’air était lourd. Des tourbillons de poussière desséchaient mon palais. J’étais épuisé, ma gourde était vide et je me sentais près de défaillir.
À un détour du chemin, j’aperçus une source abondante, près de laquelle quelques soldats se reposaient. J’aurais voulu descendre pour en faire de même, mais mon cheval fit à l’instant même des bonds tellement furieux que je dus renoncer à cette tentative. Je détachai alors ma gourde et, m’adressant à l’un des soldats, je la lui tendis en le priant de me la remplir. C’était un grand gaillard à la mine dure mais j’étais loin de m’attendre à l'injure qui s’échappa de ses lèvres pour accompagner cette réponse :
« Remplis-là toi-même ! ». À ces mots, ma colère ne connut plus de bornes :
— Malheureux, m’écriai-je, puissè-je un jour te retrouver mourant de soif et mendiant un verre d’eau, pour avoir le plaisir de te le refuser aussi !
Le visage de ce soldat se grava dans ma mémoire et, je jurai de le chercher jusqu’à ce que je puisse me venger. Pendant deux ans, au camp, sur les champs de bataille, parmi les mourants, je poursuivis sans succès cette recherche impie. Enfin, mon jour vint.
Les suites d’une blessure me retenaient à l’hôpital ; je pouvais cependant aller et venir, et j’employai mon temps à soigner les blessés. Jamais je ne n’avais ressenti autant de pitié pour ces pauvres soldats qu’au milieu de ces scènes de douleur et de souffrances de toutes sortes. Je trouvai un véritable bonheur à chercher à adoucir les derniers moments de ceux qui s’en allaient sans avoir eu la joie de ne revoir aucun des leurs. Au milieu de ces nouvelles préoccupations, j’oubliai mon ennemi, celui qui m’avait refusé un verre d’eau.
Après une grande bataille, un nombre considérable de blessés furent évacués dans notre hôpital. Toutes les salles étaient combles ; la chaleur était affreuse et les malades souffraient cruellement de soif. De tous les lits partaient des voix suppliantes : « De l’eau, de l’eau ! » Muni d’un verre et d’une cruche d’eau glacée, j’allai de rang en rang, distribuant la boisson bienfaisante ; comme je m’avançai entre les lits, un homme couché à l’extrémité de la salle, se leva soudain sur son séant, en s’écriant d’une voix caverneuse :
—De l’eau ! De l’eau, pour l’amour de Dieu !
Je demeurai comme pétrifié ; tout ce qui m’entourait disparut à mes yeux, je ne vis que lui : c’était celui qui m’avait refusé le verre d’eau froide. Je m’approchai, mais il ne me reconnut pas ; alors ma chair, me dit avec force : « Va, venge-toi, passe et repasse devant lui : donne à boire à tous ceux qui l’entourent, mais non à lui, venge-toi ! »
En même temps, j’entendis une autre voix : « Mon ami, c’est aujourd’hui le jour propice, c’est l’heure de rendre le bien pour le mal, de pardonner comme ton Sauveur t’a pardonné. Va, donne à boire à ton ennemi. »
Un mouvement irrésistible me poussa près de son lit et, j’approchai le verre de ses lèvres brûlantes. Oh ! Comme il but ! Je n’oublierai jamais l’expression de soulagement qui se peignit sur ses traits et le regard qu’il laissa reposer sur moi ; mais il ne prononça aucune parole ; je vis simplement que son cœur était profondément ému. Je le soignai jour et nuit. Longtemps il persévéra dans le même silence à mon égard, lorsqu’un jour, comme je m’éloignai de son lit, il saisit un pan de mon vêtement et me retint.
—Te souviens-tu du jour où tu m’as demandé à boire ?
— Oui, mon camarade, mais c’est une vieille histoire !
— Pas pour moi, reprit-il, en vérité je ne sais ce que j’avais ce jour-là ; le lieutenant venait de m’appeler "Bon à rien". J’avais de la fièvre, j’étais en colère, je n’étais plus moi-même. Quelques instants après, je fus tout honteux de ma conduite, mais il était trop tard… Depuis deux ans, je t’ai cherché à toute occasion pour te demander pardon. Dis-moi, veux tu me pardonner ?
Un sentiment poignant de confusion s’empara de moi.
— Camarade, m’écriai-je, tu es meilleur que moi, n’en parlons plus.
Peu de temps après, on dut lui amputer une jambe puis il apprit sans trouble qu’il n’y avait plus d’espoir. Avant de mourir, il se confia entièrement, en Celui qui avait dit : « Si quelqu’un a soif, qu’il vienne à moi et qu’il boive. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort ! ».
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