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#guerre d'espagne
carbone14 · 1 year
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Soldats italiens du Corps des Troupes Volontaires (CTV) – Bataille de Guadalajara – Guerre civile espagnole – Mars 1937
Photographe : Hans Georg von Studnitz
©Bundesarchiv - Bild 183-2006-1204-510
Le Corps des Troupes Volontaires (Corpo Truppe Volontarie) était le nom du corps expéditionnaire italien envoyé par Benito Mussolini en Espagne entre 1936 et 1939 pour soutenir le général Franco et les forces nationalistes durant la guerre d'Espagne.
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demots · 7 months
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Épigraphe
Ernest Hemingway, Pour qui sonne le glas
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parnasse31 · 8 months
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Aidez l'Espagne par Athèna Via Flickr : Aidez l'Espagne (1937, Metropolitan Museum of Art, New-York) de Joan Miró (1893-1983)
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Trois phalangistes pendant la Guerre d'Espagne (1937) Albert-Louis Deschamps
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🇫🇷 J’écris une fiction sur Wattpad qui s’appelle Héritiers du monde. Voici le résumé : Dans un monde où les familles royales espagnole et britannique partagent des liens de parenté, les cicatrices de leur passé commun, une guerre mondiale pendant leur enfance, continuent à façonner leur destinée. Alors qu'ils entrent dans l'âge adulte, ces jeunes héritiers sont confrontés à des défis qui mettent en jeu leurs relations familiales.
Pedro Pascal dans le rôle du Prince Eduardo ( 1er dans l'ordre de succession au trône espagnol) et rôle le plus principal et récurrent de la fiction ( je t’aime Pedro saches le haha)
Patrick Fiori dans le rôle du Prince Carlos ( 2eme dans l'ordre de succession au trône espagnol)
Roi Felipe d'Espagne ( pas « d'acteur ») père des Princes Eduardo et Carlos, mari de la reine consort Carmen.
Reine Consort Carmen d'Espagne ( pas « d'actrice ») mère des Princes Eduardo er Carlos, femme du Roi Felipe.
Bradley James dans le rôle du Prince Michael ( 1er dans l'ordre de succession au trône britannique)
Tom Wlaschiha dans le rôle du Prince Raphael ( 2eme dans l'ordre de succession au trône britannique)
La reine Mary du Royaume Uni (pas « d'actrice »), mère des Princes Michael et Raphaël et femme du Prince James
Le Prince James mari de la reine Mary et père des Princes Michael et Raphaël.
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leseigneurdufeu · 1 year
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petite analyse de La Folie des Grandeurs au fur et à mesure :
Dans Ruy Blas, Salluste est exilé pour avoir refusé de reconnaître un enfant qu'il a fait à une servante de la reine. Dans La Folie des Grandeurs, il n'a pas fait cet enfant mais est prêt à le reconnaître ("je reconnais mes torts, mes enfants, ceux des autres, les vôtres si vous voulez") et est exilé de toute façon.
Yves Montand. Ce film est à tout jamais entaché par le fait que ma très vieille prof d'allemand nous a dit un jour en cours que c'était le sexyman français des filles de sa génération en allemagne de l'ouest.
Tout est marrant quand on y met Louis de Funès. J'aime bien les anachronismes aussi, tel que "paf paf paf ! plein d'accidents de chasse, et me voilà roi !" "oui sans compter que comme ça on évite la guerre de succession d'Espagne !"
dans Ruy Blas, César refuse de se mêler de l'histoire car le plan repose sur le fait d'entacher l'honneur d'une dame innocente. Dans La Folie des Grandeurs il refuse de s'en mêler parce que c'est un plan foireux.
Venantino Venantini ! Après des années à regarder le film en me demandant lequel des grands d'Espagne il était, je l'ai enfin repéré ! C'est un des conspirateurs du début, pas un de ceux du milieu, ce qui explique que je ne l'ai pas repéré plus tôt. C'est aussi un tueur à gage dans Les Tontons Flingueurs pour ceux qui se demandent pourquoi je le cherchais.
Blaze qui se plaint que le type qui le présente à la cour est en disgrâce, comme s'il avait la moindre chance d'être présenté à la cour sans Salluste.
La musique de Polnareff.
Je sais c'est pas vraiment une analyse.
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claudehenrion · 1 year
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Un géant oublié : Georges Bernanos
   Les lecteurs de ce Blog croisent souvent ce nom dans ces lignes, et ils savent mon admiration pour l'homme (écrivain et fan de moto) et pour son œuvre. Avec l'explosion des progrès techniques (tous ne sont pas heureux, mais beaucoup ne sont pas ''que mauvais''), son livre ''La France contre les robots'' (1947) est une mine de réflexions et d'analyses –et de craintes, plus d'actualité que jamais. Bien que je le revisite assez fréquemment, j'avais oublié son anniversaire, le 20 février. Même avec un mois et demi de retard, il mérite que l’on se souvienne de lui...
Pour Georges Bernanos (1888--1948), la France est le dépositaire historique des valeurs humanistes issues du christianisme, dont elle est une garante (est-ce pour cela que je l'aime tellement ?). Parfois royaliste, cet anticonformiste de droite (ceci expliquant aussi cela !), aimait pourtant l'esprit de révolte de 1789, ce ''grand élan [...] inspiré par une foi quasi-religieuse dans l'homme'' et il était, dit Jacques Julliard, ''un rempart de la démocratie, même à son corps défendant''. Paradoxalement, il considérait que ''le nationalisme déshonore l'idée de patrie'', comme tout excès peut, en fin de compte, nuire à la cause qu'il prétend défendre..
Dans ''Les Grands Cimetières sous la lune'', ce catholique fervent a pris position contre Franco et contre l'attitude conciliante de l’Église d'Espagne à son égard (ce qui prouve que je peux admirer un homme sans adopter toutes ses idées !). Son besoin de liberté l'a amené, lorsqu'on lui a proposé la Légion d'honneur, à trois occasions, à la refuser, définitivement. Et lorsque l'Académie française a voulu l'accueillir, il a fait cette réponse merveilleuse : ''Quand je n'aurai plus qu'une paire de fesses pour penser, j'irai l'asseoir à l'Académie''.... ce qui est bien loin des danses du ventre déshonorantes que certains de nos contemporains (d'ailleurs peu ''temporains'') sont prêts à faire, sans rougir, pour une rosette rouge, sur canapé.
Une constante, chez Georges Bernanos, est l'exploration du combat spirituel entre le Bien et le Mal, qu'il va approfondir à travers le prêtre catholique du Journal d'un curé de campagne (1936), tendu vers le salut de l'âme de ses paroissiens perdus..  Et s'il n'hésitait pas à faire parfois appel au divin et au surnaturel, il ne diabolisait jamais ses ''ennemis'' : comme le faisait Mauriac, il voulait comprendre ce qui se passe dans une âme, même hostile, derrière les apparences et les situations.
Bernanos disait qu'il ''était né avec la Grande Guerre’’. Celle de 1939-1945 va le marquer aussi, mais comme auteur (Des romans aussi peuvent mourir à la guerre). Révolté par les accords de Munich, il fustigera Vichy (ce ''promoteur d'une France potagère''), et s'exilera alors au Brésil. Eloigné des combats et du ''quotidien'', il se projette dans le futur, et anticipe une ''ère des techniciens'' --qu'il juge inévitable et qui lui fait très peur. Et un peu comme il avait exprimé une grande aversion envers l'Allemagne de Hitler, il va éprouver une grande méfiance envers les Etats-Unis de Roosevelt et leur puissance matérielle si immense que sa finalité –telle qu'il la prévoit-- ne peut être qu'hégémonique. Le futur lui donnera pleinement raison : aujourd'hui encore, nous portons témoignage de l'ampleur de sa  vision. Hélas !
Gaulliste sans être ''suiviste'', il va établir, depuis Rio de Janeiro, des liens avec le Comité Central de la France Libre, qui va relayer ses idées et ses écrits dans la presse internationale. Et c’est aux membres de ce Comité qu’il  enverra, en mars 1944, un manuscrit, l'Hymne à la liberté, qu'ils lui conseilleront d’intituler ''La France contre les robots'' qui a payé son retour en Europe, en juin 1945 (et plus, ensuite !) 
A son retour en France, Bernanos est écœuré par l'épuration et par l'opportunisme qui, dit-il, détruisent le pays. Chroniqueur à La Bataille et à Combat, il lance un avertissement solennel aux français : avec l'avènement de l'ère atomique et la crise générale de la civilisation, la France est en danger de perdre sa place (prévision qui s'est vérifiée), en même temps que son rôle primordial vis-à-vis de l'humanisme chrétien (ce que les croyants voient et que le monde nie). La Liberté pour quoi faire ? et La France contre les robots sont deux cris d'alerte, lancés pour mettre la France en garde contre les dangers de son inconséquence devant des progrès techniques effrénés qu'elle ne pourra bientôt plus maîtriser.
''La France contre les robots'' (1947) est en fait un avertissement solennel : ''le machinisme –comme on disait alors-- limitera la liberté des hommes et perturbera leur mode de pensée''. Pour Bernanos,  l'idolâtrie de la technique des anglo-saxons va détruire notre civilisation : la libre entreprise n'est pas synonyme de bonheur pour l'humanité, car ''il y aura toujours plus à gagner à satisfaire les vices de l'homme que ses besoins''. Et 75 ans plus tard, envahi par les drogues assassines, notre Etat moribond trouve de l'argent pour finir de détruire les âmes des enfants... déjà mises en lambeaux par les stupides idées woke et greta thunbergistes.
''La France contre les robots'' est une critique de la civilisation des machines et d'autres formes d'asservissement  à venir, une alerte à la France, et au monde à travers elle, sur une menace d' aliénation de l'esprit par la technique et l'argent : convaincu que le monde moderne est une ''conspiration contre toute espèce de vie intérieure'' (NDLR : ce qui fait de lui le premier ''complotiste''. J'étais fier d'en être un, ce voisinage m'enchante !) , il dénonce ''la dépossession progressive des États au profit des forces de l’Industrie et de la Banque, en un avènement triomphal de l’argent, qui renversera l’ordre des valeurs humaines et mettra en péril tout l’essentiel de notre civilisation''. Nous y sommes, hélas ! Lui l'avait prévu, dès 1947... et nous devons reconnaître qu'il avait ''tout juste''. C’était un prophète !
Cet immense visionnaire a écrit notre ''roman d'un français de 2023'' et a ''vu'', avec un demi-siècle d'avance, tout ce qui nous désole, nous menace et nous assassine, aujourd'hui. Par exemple, lorsque Bernanos prédit, dans ''18 leçons sur la société industrielle'', que la multiplication des machines développera l'esprit de cupidité, peut-on lui donner tort, ''le monde étant devenu ce que nous voyons''? La France contre les robots annonce une tyrannie du Nombre, jusque là inenvisageable :  ''Le Nombre, écrit-il, est une infection lente qui crée une société à son image, une société d'êtres non pas égaux, mais pareils, seulement reconnaissables à leurs empreintes digitales''. Trois-quarts de siècle plus tard, le Nombre, omniprésent, indispensable, mortifère, s'appelle ''Big Data'', et nous asservit de plus en plus.
Dès la fin de la Guerre, Bernanos a tracé les grandes lignes de ce que, en prophète, il devinait comme devant être le monde de demain, devenu le nôtre, et il avait vu juste sur à peu près tout, Soixante-quinze ans plus tard, nous savons qu'il avait compris avant tout le monde que ''à partir du moment où on raconte que le salut de l'homme peut être ici-bas, toute vie contemplative se limite à une fuite ou à un refus". Certains ont appelé cette vision : ''l'écologie spirituelle'' : ''Un prophète n'est vraiment prophète qu'après sa mort. Jusque-là ce n'est qu'un homme pas toujours très fréquentable. Mais l'avenir ne se subit pas : on le fait''.
Et en écrivant, en 1947 : ''Devant les moyens dont dispose le système, un esprit ne peut rester libre qu'au prix d'un effort continuel. Qui de nous peut être sûr de résister à tous les slogans et à la tentation d'opposer un slogan à un autre ?'', il a diagnostiqué le mal mortel de nos sociétés, où le dialogue est devenu une denrée rare, et où l'insulte et le qualificatif dit déshonorant se croient des arguments.
Georges Bernanos avait, seul à l'avoir fait, deviné à quoi ressemblerait le monde dont nous subissons la folie, si différent de tout ce qui l'a précédé. Il en a dressé un portrait d'une cruauté que personne n'oserait faire sienne, aujourd'hui... sauf un fou ou un blogueur (limité par définition à une diffusion ''confidentielle''). Est-ce pour ça (outre la moto !) que je l'aime tellement ?
H-Cl.
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whencyclopedfr · 1 year
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Anne, Reine de Grande Bretagne
Anne régna en tant que reine d'Angleterre, d'Écosse et d'Irlande à partir de 1702, puis, après l'Acte d'Union de 1707, sur un royaume uni en tant que reine de Grande-Bretagne jusqu'à sa mort en 1714. Le règne d'Anne, dernier des monarques Stuart, fut marqué par la guerre de succession d'Espagne, qui aida la Grande-Bretagne à s'imposer en tant que grande puissance mondiale.
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droitsdesfemmes · 7 days
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Affiche femmes et guerre d'Espagne, CGT espagnole, 1996.
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oui-aaa · 6 months
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Projection-rencontre 17/11/2023 à 18h au Minimistan, rue des Minimes à Grenoble Entrée libre et gratuite
Dans le cadre des Journées de la Photo, l’AAA propose une projection-rencontre en présence des deux réalisateur·ices :
Les deux Républiques de Matias (15') Un film de Joachim Pano
En reconstituant le chemin de l'exil de son père Matias, Joachim Pano raconte cette histoire trop peu connue des réfugié·es espagnol·es et de l'accueil honteux qui leur a été fait par les autorités françaises en 1939 lors de la Retirada. L'histoire particulière de Matias Pano permet de saisir les enjeux de ce sinistre épisode historique resté dans l'ombre de la grande guerre, et ses répercussions dans le temps présent. La voix d'Albert Camus résonne jusqu'à nos jours : « Et que nous reste-t-il donc qu'à prendre date et dire, pour nos amis, comme pour nos adversaires, qu'aucune cause juste ou injuste ne fera de nous des défenseurs, même tièdes, mêmes provisoires, de l'illégalité franquiste. Les hommes libres d'Espagne doivent savoir du moins, dans leur amertume, que cette fidélité d'honneur, placée par leur peuple au-dessus de tout, n'est pas morte, malgré les apparences, en France. C'est elle qui, dans un présent de honte, maintient encore, pour eux et pour nous, les chances de l'avenir. »
Pour lui Y Para Todxs Lxs Otrxs (47') Un projet d’essai documentaire d'Éléonore Pano-Zavaroni
"Pour lui Y Para Todxs Lxs Otrxs est un film dont le personnage central est Joachim Pano, mon père. Je le suis dans sa quête sur le chemin de l'exil de son père, combattant de l'armée républicaine espagnole ayant fui vers la France à la victoire de Franco. Il a alors été interné dans un camp de concentration à Argelès-sur-Mer avant d'être envoyé en camp de travail. Cette quête est l'histoire du non-dit, du non reconnu par l'État français et le combat d'un descendant pour la dignité. C'est aussi l'histoire d'une transmission familiale, à la croisée de la petite et la grande histoire. Une grande histoire peu connue et irriguée de tentatives utopiques vivifiantes."
En partenariat avec La Maison de l'Image
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Pablo Neruda : "La Guerre d'Espagne a fécondé la littérature mondiale" : épisode • 4/5 du podcast Pablo Neruda en 1970, poésie et politique
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coinbds · 10 months
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Josep d'Aurel et Jean-Louis Milesi
Josep raconte l'histoire de Josep Bartoli, peintre et dessinateur catalan au destin exceptionnel : engagement dans le POUM (Parti Ouvrier d’Unification Marxiste) pendant la guerre d'Espagne, fuite en France, exil au Mexique et enfin la célébrité qui l'amènera aux Etats Unis. Superbe film d'animation réalisé par Aurel avec Jean-Louis Milesi (scenario). Le film aborde une période sombre de notre histoire avec les camps de concentration que Josep a immortalisé à travers ses dessins. Voir
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Pause repas près d'un Polikarpov I-16 sur un aérodrome républicain pendant la Guerre d'Espagne
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Tristan Cabral, sosie de Don Quichotte, ou inversement
J'ai trouvé “par hasard”, en faisant des recherches sur Cervantes ce portrait EXTRA ordinaire de Don Quichotte de la Mancha peint en 2009 par l'artiste espagnol contemporain Fernando Vincente : le visage du chevalier errant pourfendeur de moulins à vent est le sosie parfait du poète français Tristan Cabral (1944-2021) qui fut mon irremplaçable compagnon de route en poésie. La ressemblance m'a paralysé de stupeur! D'autant plus qu'en avril 2007, lors d'une rencontre à Montpellier, avec le poète Jean Joubert (1928-2015), Tristan et moi-même, j'avais demandé à mon ami niçois Edmond Dante (ça ne s'invente pas!), artiste, portraitiste, poète et imprimeur, lui aussi disparu qui m'avait accompagné dans la ville occitane (il s'est pendu dans son atelier sans mot dire en 2008, à l'âge de 64 ans)) de “tirer” un portrait de Tristan Cabral pour mon site Danger Poésie. Le résultat: il me montra après les lectures le portrait de l'auteur de “Ouvrez le feu!” en Chevalier à la triste figure.tracé au stylo à bille noir sur une feuille de son carnet à ressort. Le dessin vite crayonné me frappa d'une évidence aveuglante: Tristan Cabral était bien le Don Quichotte en chair et en os de la poésie, celui qui avait parcouru le monde là où les guerres de libération font rage, où les peuples sont sacrifiés dans des bains de sang épouvantables par des fous sanguinaires avides de pouvoir. Tristan chérissait l'austère terre d'Espagne et avait écrit un hymne (Septembre noir) à la gloire des défenseurs héroïques de la République espagnole, écrasée par les armées de Franco, trahie par Staline et abandonnée par les pseudo démocraties européennes. En découvrant son portrait, Tristan n'a pas boudé son plaisir et nous avons tous bien “rigolé” ensemble en buvant dans la coupe de l'amitié. Le surnom de Don Quichotte lui collait désormais à la peau. Je suis l'unique rescapé de cette chevauchée fantastique, mes aînés bien-aimés ont tous tiré leur référence pour aller voir ailleurs si les temps sont meilleurs dans l'au-delà qu'ici-bas.
André Chenet
De Tristan Cabral :
(Sans titre)
les jours tombèrent
et les yeux traversés de tant d'éclats de mer
j'ai dressé vers le ciel mes mains ensanglantées
et puis j'ai mis le feu à toutes les fontaines
j'ai jeté des étoiles à la tête des fleuves
j'ai recouvert de neige le cœur des primevères
j'ai volé leurs couleurs à toutes les saisons
et j'ai roulé la pierre que retenaient les anges
mais qui m'a entendu nager dans les eaux fortes
qui pourrait retrouver mes ongles sur la pierre
qui hante comme moi la blessure capitale ?
j'ai faim
j'ai faim de choses étrangères
j'ai faim de hurlements plantés comme des clous
j'ai faim de la fraîcheur insensée des miroirs
faim d'un nouveau partage
de mille mains avides pleines d'objets brisés
faim de parures inertes et de noms oubliés
mes mains ont forme de ma soif
et j'ai des bras multiples grands comme les révoltes
je peux m'abattre n'importe où
à n'importe quelle heure
et mon corps imminent s'envenime de sel
je roule par le travers des bouées
à portée de fusil des derniers poissons libres
mais qui pourrait m'entendre sur ces pavés crispés
où des fous se répondent
je trace des hurlevents au fond de mon naufrage
je m'accroupis en sang sur les vagues ouvertes
j'ai enterré mes mains loin des terres habitées
mais ces yeux attardés qui coulent dans mes yeux
qui les fera s'ouvrir
qui m'accompagnera sur la nef des fous ?
Tristan Cabral
Dessinateur, illustrateur et peintre espagnol Fernando Vicente est né à Madrid le 1er novembre 1963 où il a commencé sa carrière dans les années 1980. Cet artiste espagnol aux multiples facettes travaille aussi pour la presse — il collabore notamment avec le quotidien El País, le magazine Gentleman ou encore Cosmopolitan —
Fernando Vicente, capture dans son travail le corps humain représenté avec des colorants sophistiqués. L'auteur choisit des fiches anatomiques comme matériau clé pour capter l'attention. Ainsi, l'un des référents capturés dans l'œuvre est la tendance marquée de la peinture classique. Il développe des oeuvres à partir des cartes et des corps humains.
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newmic · 1 year
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LA FORTERESSE DE SALSES près de Perpignan - France
L'avis du Petit Futé sur LA FORTERESSE DE SALSESUn chef-d'œuvre de l'architecture militaire. L'édifice est un véritable spécimen de transition entre le château médiéval et la forteresse moderne géométrique et enfoncée dans le sol. Elle commandait la frontière entre le Roussillon, alors appartenant à l'Espagne, et le royaume de France. Au cœur de la plaine viticole, les énormes murs de brique et de pierre s'enfoncent dans le sol. Le fort rectangulaire couvre près d'un ha. Il est cerné de fossés larges de 12 à 15 m et profonds de 7 m. Le rempart atteint 12 m d'épaisseur, dont seule la partie haute dépasse du sol, afin de résister plus fortement encore à l'artillerie. On y retrouve les éléments classiques de l'architecture défensive médiévale : douves, donjon, meurtrières, courtines et pont levis. Les logements, sous le chemin de ronde, étaient conçus pour 1 500 hommes ( les étables pour 300 chevaux !). Le donjon, haut de sept étages, était destiné au logement du gouverneur.Salses, porte du Roussillon. Depuis l'antiquité, ce lieu hautement stratégique en bordure de la via Domitia qui menait jusqu'à Cadix, a été place forte. Mais c'est à partir de 1497, que le roi d'Espagne Ferdinand initie le projet d'une forteresse imprenable capable de résister aux boulets de canon et à toutes les dernières innovations dans le domaine de l'art de la guerre. Au cours des nombreux conflits entre la France et l'Espagne, Salses changera souvent de mains jusqu'en 1659, date de la signature du traité des Pyrénées. Le Roussillon appartient désormais à la France de Louis XIV.
source : https://www.petitfute.com/v19785-salses-le-chateau-66600/c1173-visites-points-d-interet/c937-monuments/c952-fortifications-remparts/19487-la-forteresse-de-salses.html
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The opinion of Petit Futé on THE FORTRESS OF SALSES Plate millesim 2022 A masterpiece of military architecture. The building is a real specimen of transition between the medieval castle and the modern geometric fortress sunk into the ground. It commanded the border between Roussillon, then belonging to Spain, and the kingdom of France. In the heart of the wine-growing plain, the enormous brick and stone walls sink into the ground. The rectangular fort covers nearly one ha. It is surrounded by ditches 12 to 15 m wide and 7 m deep. The rampart reaches 12 m in thickness, of which only the upper part protrudes from the ground, in order to resist even more strongly to the artillery. Here we find the classic elements of medieval defensive architecture: moats, keep, loopholes, curtain walls and drawbridge. The dwellings, under the walkway, were designed for 1,500 men (the stables for 300 horses!). The donjon, seven storeys high, was intended to house the governor. Salses, gateway to Roussillon. Since antiquity, this highly strategic place on the edge of the via Domitia which led to Cadiz, has been a stronghold. But it was from 1497 that King Ferdinand of Spain initiated the project of an impregnable fortress capable of withstanding cannonballs and all the latest innovations in the field of the art of war. During the numerous conflicts between France and Spain, Salses often changed hands until 1659, the date of the signing of the Treaty of the Pyrenees. Roussillon now belongs to the France of Louis XIV.
see more : https://www.petitfute.com/v19785-salses-le-chateau-66600/c1173-visites-points-d-interet/c937-monuments/c952-fortifications-remparts/19487-la-forteresse-de-salses.html
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latribune · 1 year
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