Tumgik
#demanda l'Américain
lolochaponnay · 3 months
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C'est un conducteur de taxi à Paris qui prend un touriste Américain. Il demande à ce qu'il lui fasse visiter la ville avant de le déposer. Ils passent devant le Louvre. L'américain lui demande ''Hey, qu'est-ce que c'est, ça?'' Le conducteur de taxi lui répond ''Ça? Mais c'est la pyramide Louvre, mon gars.'' - Et en combien de temps vous l'avez construit? - Euh...Chais pas, 5 ans... - Ah, nous on le fait en trois mois ça... Le conducteur ne relève pas et continue la visite. Il passe devant l'Arc de Triomphe. - Et ça, demanda l'Américain, qu'est-ce que c'est ? - Ça, s'étonna le conducteur, mais c'est l'Arc de Triomphe, avec le 14 Juillet et tout. - Et en combien de temps vous l'avez construit ? - Boah, une trentaine d'années... - Et nous on vous fait ça en une semaine, ça ! Se vanta l'Américain. Le conducteur commence à en avoir marre. Il l'amène aux Champs-de-Mars. - Et ça qu'est ce que c'est ? en montrant du doigt la Tour Eiffel - Ça ? Je sais pas, c'était pas là ce matin.
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SAMEDI 24 JUIN 2023 (Billet 3 / 4)
Avec Rosario (M.), nous sommes devenus amis depuis un des premiers Circuits que nous ayons faits, « Escale thaïlandaise », en 2012, avec Nouvelles Frontières.
De retour de quelques jours passés à Rouen pour voir l’Armada, elle nous a envoyé ces photos. Plus que celles qu’elle a faites des jolis bateaux présents pour l’événement et même le passage dans le ciel de la Patrouille de France, ce sont surtout celles où elle « pose » avec de jeunes marins qui nous ont amusés.
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L’ARMADA, UN PEU D’HISTOIRE, LA NAISSANCE D’UN GRAND ÉVÉNEMENT
Au début des années 1980, Jean Lecanuet, maire de Rouen, cherchait une idée pour animer et faire revivre les quais. A l'époque, ces derniers étaient à l'abandon. Son adjoint, Patrick Herr lui proposa une course entre Rouen et New York afin de célébrer le centenaire de la statue de la Liberté en 1986. Rappelons que le 17 juin 1885, la Statue arrivait à New York à bord de la Frégate l'Isère, la fin d'un voyage parti de Rouen un jour de mai 1885. La statue avait été imaginée par le sculpteur Bartholdi construite et offerte par la France. Elle fut dévoilée au grand jour le 28 octobre 1886. Jean Lecanuet n'était pas sûr que l'idée séduirait les Rouennais. Patrick Herr insista et huit multicoques furent au départ de la course appelée Course de la Liberté. Afin de donner un air de fête à cette manifestation, il proposa la première Grande Pagaille : course d'OFNI (Objets flottants non identifiés), un grand défilé dans les rues de Rouen à l'américaine, avec majorettes, voitures décapotables et confettis. Le public fut au rendez-vous tant sur les quais, à l’époque non encore rénovés, que dans les rues ou sur les berges. Le catamaran de 23 mètres Roger et Gallet skippé par Eric Loizeau et Patrick Tabarly gagna la course en ralliant New York en 14 jours. Jean Lecanuet, présent à l'arrivée de la course, fut enthousiasmé par le succès populaire. Il demanda à Patrick Herr d'y répondre favorablement. La grande aventure des Voiles de la Liberté était lancée !
(Source : « armada.org »)
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Ci-dessous un petit Clip (2 min 30) qui vous dit tout sur ce qu’est devenue l’Armada de Rouen en 2023.
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tintin-is-my-life · 5 years
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UNE RENCONTRE INATTENDUE
En ce temps radieux Tintin se prommenait sur le vieux marché, il espérait y trouver quelques trésors de lecture. Soudain, il se figea. Il venait de remarquer une antiquité qui en valait la peine : une Caravelle.
Il la regarda de plus près : "La Licorne" ainsi était-elle nommée. Tintin paya le vendeur mais à ce moment précis un homme commencait à se précipiter sur l'étalage. C'était un américain, il portait des vêtements de feutrine bleue. Il demanda à Tintin s'il ne voulait pas lui revendre le magnifique vaisseau. La réponse fut négative bien entendu. Après cela, l'homme commencait à le mettre en garde contre des personnes mal attentionées qui pourraient être prêtes à tout pour s'emparer du bateau. L'homme s'éloignait de plus en plus, et finit par s'en aller.
Soudain, une voix se fit entendre :
"Magnifique... oh... il est magnifique ...
Pas la peine de l'envelopper, je le prends comme il est, vous ne voyez pas d'objection à ce que je le paye par chèque ?"
"Encore quelqu'un d'interessé..." pensa Tintin.
Le vendeur lui répondit : "si vous voulez l'acheter addressez vous à ce garçon !" 
Sakharine répliqua : "Je vois ... alors laissons ce garçon nous fixer son prix..."
"Il n'est pas à vendre", Répondit Tintin.
Sakharine lui réponda qu'il avait récemment obtenue le chateau de Moulinsart et que La Licorne faisait partie du domaine. Et que la famille héritière du chateau était maudite.
Mais peu importe ses explications, Tintin ne lui vendra pas sa maquette. Et ce dernier repartit jusqu'à son appartement avec des questions plein la tête, "pourquoi ce bateau faisait-il tant d'envieux ? - quel secret pouvait-il bien renfermer ?"
Tintin posa le bateau sur sa commode et se rendit à la bibliothèque, histoire d'en apprendre plus sur la fameuse Licorne. Il apprenna que La Licorne était en faite un vaisseau de la flotte de Louis XIV, et que ce dernier avait offert au Capitaine, Le Chevalier François de Haddoque, en échange de sa loyauté, un trésor inestimable. Mais le vaisseau a été attaqué par des pirates, et seul le Chevalier en réchappa. 
Depuis la famille est victime de cette malédiction. Dans le livre, une inscription attira son attention :
"seul un vrai Haddock découvrira le secret de La Licorne..."
Plus tard, Tintin rentra chez lui et découvrit avec stupeur stupeur que le bateau avait disparu. Sur cette découverte, il décida de se rendre à la source, c'est-à-dire, au Chateau de Moulinsart.
Il arriva alors sur place et il y trouva la maquette du bateau. Mais il reçu subitement un coup sur la tête et s'écroula. Il se reveilla avec la voix de Sakharine "Bienvenue au Château de Moulinsart".
Tintin alla droit au but : "je suis venue récupérer ma propriété !!" 
Sakharine : "Je ne suis pas sur de vous comprendre..." 
Tintin : "Oh, vous me comprenez très bien, ce navire était dans mon appartement il y a moins d'une heure ! "
Sakharine : "j'ai bien peur que vous ne fassiez erreur, Monsieur Tintin !"
Tintin : il n'y a pas d'erreur ce bateau m'appartient !"
Sakharine : "En êtes vous sûr ?"
Tintin : Enfin, évidemment j'en suis sur, j'ai remarqué que ce bateau avait le mat décollé....... mais.... celui-ci.... il est... intacte... !? Ce n'est pas mon navire ..." 
Sakharine : "vous voyez bien !!
Bon, il se fait tard, vous devriez rentrez chez vous, jeune homme... 
Nestor, raccompagnez le !"
Le majordome rejoignit Tintin jusqu'à la porte et lui dit : "C'est dommage, monsieur... Que le mat soit brisé sur votre bateau, Monsieur... J'espère que vous avez retrouvé toutes les pièces, les choses se perdent si facilement !"
Nestor se fit rappeler par Sakharine et Tintin repartit de son côté.
Il rentra chez lui, et découvrit son appartement sans dessus dessous, il était clair que les "cambrioleurs" étaient à la recherche de quelque chose de très précis. Tout avait été fouillé, mais rien avait disparu.
Jusqu'à ce que Tintin vu une lumière sous l'un de ses meubles. Il y trouva un cylindre, et à l'intérieur de celui-ci, un parchemin. 
Tintin le lu.
"Trois frères unis, trois licornes de conserves voguant au soleil de midi parleront, car c'est de la lumière que viendra la lumière et alors resplendira la croix de l'Aigle."
À quoi correspondent ces signes, une sorte de language secret ou... un code. Je comprends pas ce que c'est. Mais ça explique pourquoi ils ont saccagé mon appartement, ils devaient chercher ça et il ne l'ont pas trouvé... ce qui veut dire... qu'ils vont revenir..."
La sonnette retentit et la concierge Mme Pinson alla voir ce que c'était.
Tintin descendit aussitôt qu'il entendit que cette visite le concernait. Et il reconnu l'homme du vieux marché, l'américain... 
"Mon garçon, c'est vous ?" Dit-il.
"Qu'est-ce que vous voulez ?" 
"Écoutez, je ne vous dirai pas tout, mais je le jure devant Dieu, je n'aurais jamais cru qu'il(s) turai(en)t pour ça !!"
"Répondez-moi ! QUI ?"
L'homme n'eut pas le temps de répondre car soudainement, on lui tira dessus.
Il s'écroula dans le hall de l'immeuble avec juste le temps d"écrire le message suivant : "Karaboudjan".
Le lendemain, Tintin reçut les Dupontd pour l'enquête. L'homme est un nommé Barnabé Dawes, c'est un inspecteur très haut placé d'Interpol.
Après avoir pu détecter la moindre preuve possible dont ce fameux message, les Dupondt partirent.
Tintin les raccompagna à la porte.
◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇
Pendant ce temps sur un bateau nommé "Karaboudjan"...
Le capitaine du navire (Kathrynn Haddock) était occupée à faire l'inventaire des marchandises contenues sur le bateau, quand soudain un de ses "marins" lui injecta avec une serringue un puissant soporifique. C'était Tom, un sbire d'un certain Sakharine.
Ce dernier s'était incrusté sur le bateau. Et maintenant que la capitaine était hors d'état de nuir(e), il pouvait prendre le contrôle du navire. Kathrynn se retouvait prisonnière de son propre bateau, dans ses propres cales.
◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇
En attendant, Tintin vivait la même chose, alors qu'il était tranquillement en train de regarder les Duponts s'en aller, il fut interpeller par deux soit-disant "livreurs"... qui lui appliquèrent aussitôt un tampon de chloroforme sous le nez. 
... encore un coup de Sakharine...
Tintin fut emmener sur le Karaboudjan, pour y être interrogé.
Il était enchaîné à une cage. Il se réveilla doucement comprenant que quelqu'un fouillait ses poches. C'était Tom et Allan.
Sakharine arriva dans la pièce et s'exclama : 
"Alors vous l'avez trouvé ?"
Allan répondit :
"Ben, il est pas sur lui, patron... Il est pas là..."
"Pas là ? Alors, où est-il ?"
Tintin maintenant réveillé répondu.
"Où est quoi ?"
"Le manuscrit de La Licorne, un morceau de papier comme celui-ci !"
"Vous parlez du poème ?"
"Oui..."
"Du poème calligraphié ?"
"Oui..." 
"Qui était dans un cylindre ?"
"Oui !"
"Caché dans le mat ?"
"OUI !"
Tintin fit un petit sourire en coin et répondit : "Je ne l'ai pas !"
Sakharine entra dans une colère noire.
Il brandit l'épée qu'il cachait habituellement dans sa canne et menaça Tintin.
"Vous connaissez la valeur de ce manuscrit, sinon pourquoi le voudriez vous ?"
"Deux caravelles, et deux parchemins faisant partis d'une énigme, vous en avez un, vous voulez l'autre mais ce n'est pas tout, il y a autre chose..."
"Je le retrouverai avec ou sans votre aide mon petit. Je vous conseil de réfléchir jusqu'à quel point vous pouvez me servir..."
Sakharine et ses sbires repartirent.
"On s'occupera de lui en chemin" dit ce dernier.
Arrivé sur le pont, Sakharine était plus en colère que jamais.
"Ah ! Il ment, il doit l'avoir ce manuscrit, la question est qu'est-ce qu'il en a fait ?"
"On la complètement fouillé, patron !"
"Je veux que vous redescendiez et que vous le fassiez parler, briser lui tous les os du corps, s'il le faut."
Un autre sbire de sakharine arriva en criant : 
"Monsieur Sakharine, Monsieur Sakharine, la Capitaine a repris ses esprits, elle est consciente et nous accuse de mutinerie, elle dit que vous avez retourner l'équipage contre elle !"
"Bah restez pas planté là réinjecter lui une dose !" 
"Oui, patron" dirent-ils.
Allan et Tom repartirent interroger Tintin qui n'avait, malheureusement aucun moyen de s'échapper. 
"Bon cette fois, tu vas nous dire où se trouve le parchemin !" Dit Allan.
"Je vous ai déjà dit que je ne l'ai pas !
"Très bien ! On va s'amuser alors ! Tom, tu te joint à la fête ?"
"Bien sûr" dit-il en refermant ses points.
Allan prit les cheveux de Tintin pour lui tenir la tête et il commença à lui donner des coups dans le ventre. 
"Eeeeuue..." Tintin cracha du sang.
Après quelques minutes, Tom fut une suggestion à Allan, que ce dernier approuva. Allan sortit son arme et le metta dans la bouche de Tintin, bien entendu l'arme était chargée.
"Tu vas nous dire où se trouve le parchemin où sinon, tu peux dire adieu à ta vie !!"
Il enfonça de plus en plus le revolver dans sa gorge, tellement profond que Tintin tirait au coeur. 
Allan retira le revolver le posa, et s'en crier gard, lui donna un coup de pied en pleine figure, et il continua avec un coup de points. Il était littéralement en train de se défouler sur lui.
"Allan, arrête, le patron le veut vivant et en état de parler. Tu vas finir par le tuer si tu continues !"
"Je ne t'ai rien demandé"
"Mais..."
Allan décida de détacher Tintin (salement amauché, limite en état de s'évanouir) et de l'emmener à Sakharine en personne.
"Allez hop, on s'en va !! " 
Il le traîna et Tintin gémissait de douleur.
"Allan ? Qu'est-ce que tu fais ici ?" 
"Patron, je vous le ramène, il est à vous ! Il n'a pas dit un seul mot depuis tout à l'heure, et j'ai pensé qu'une arme bien plus redoutable qu'un revolver pourrait l'aider à parler !!" 
"Je vois... attachez le solidement juste ici, je sais exactement ce que je vais faire..."
Sakharine s'adressa à Tintin, et lui demanda une nouvelle fois où était le parchemin. Mais Tintin trop faible pour répondre, il arrivait à peine à prononcer la moindre syllabe.
Sakharine s'approcha de lui, lui prit le menton, et avec l'aide de sa canne-épée, il lui enfonça cette dernière dans l'oeil. 
"Ahhhhaaahh !!! " Un affreux cri de douleur se fit entendre. 
"Avec ça j'espère que ça ira mieux !" Murmura Sakharine.
Son sang coulait abondamment.
"Tout ça... pour un... parche...min, "il doit y ... avoir quel...que chose... d'autre..."
Tintin s'évanouit...
◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇◇
Pendant ce temps, Kathrynn avait la ferme intention de sortir de cette pièce. Elle cria pour attirer l'attention de Sakharine :
"Sakharine ! C'est à vous que je parle, pour qui vous prenez-vous ? Vous êtes sur mon bateau ! Vous n'avez aucun droit, surtout pas celui de commander mon équipage ou même de le corrompre pour je ne sais quelles raisons !
LAISSEZ MOI SORTIR !!"
À ce moment là, la porte s'ouvrit. Il s'agit de Tom, venu pour rendormir Kathrynn.
Mais, il n'eut pas le temps de finir. Kathrynn, fit mine de dormir et quand il fut assez près, elle en profita pour lui mettre un coup de poing dans la figure, pour ensuite s'évader.
Son coup avez mis Tom K.O. Quand il se releva,
il donna l'alerte :
Elle s'est échappait".
Il reçut, une fois de plus, un autre coup de poing, d'Allan, cette fois-ci.
"Tu n'es qu'un bon à rien !!" Dit Allan.
Allan, pris ensuite toutes les dispositions pour retrouver Kathrynn. Mais ils devaient encore en avertir Sakharine. Et ça, il le redoutait.
Kathrynn tentait de trouver une cachette en attendant car toutes les issues étaient prises.
Elle entra donc dans une pièce encore une fois à fond de cale.
Elle ferma à clé derrière elle (elle posséde un passe-partout qu'Alla et Tom n'ont pas pensé à récupérer). Elle se retourna et vit quelqu'un allongé à même le sol.
"Qui est-ce ? je ne le connais pas...
Suite dans le poste suivant...
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traitor-for-hire · 3 years
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Les Quatre Filles March - Chapitre 31
De notre correspondante à l'étranger
LONDRES
« CHER TOUT LE MONDE
« Je suis bel et bien assise à une fenêtre de l'Hôtel Bath, à Picadilly. Ce n'est pas un endroit chic, mais Oncle est descendu ici il y a des années et ne veut aller nulle part ailleurs ; mais ce n'est pas très important, nous n'avons pas l'intention de rester longtemps. Oh, je ne saurais vous exprimer à quel point je profite de tout ! Je n'y arriverai jamais, aussi je vais juste vous confier des extraits de mes notes, car je n'ai rien fait d'autre que gribouiller et écrire depuis que je suis partie.
« Je vous ai envoyé quelques mots depuis Halifax quand je me suis sentie vraiment très mal, mais après ça le voyage a été délicieux, je n'ai été qu'à peine malade et j'ai passé tout mon temps sur le pont, avec quantité de gens agréables pour me divertir. Tout le monde a été très gentil avec moi, surtout les officiers. Ne ris pas, Jo, les gentlemen sont vraiment indispensables à bord du bateau, pour s'appuyer dessus ou pour se faire servir ; et comme ils n'ont rien à faire, il est charitable de les rendre utiles, autrement ils fumeraient comme des pompiers, jusqu'à en mourir, j'en ai peur.
«  Tante et Flo se sont senties mal durant tout le voyage, et voulaient être laissées seules, aussi quand j'avais fait ce que je pouvais pour elles, j'allais m'amuser. Tant de promenades sur le pont, de couchers de soleil, ce bon air et ces vagues ! C'était presque aussi grisant qu'être sur un cheval au galop, quand nous avancions à si vive allure. J'aimerais que Beth ait pu venir, cela lui aurait fait beaucoup de bien ; quant à Jo, elle aurait grimpé pour s'asseoir sur le foc ou allez savoir comment on appelle ce mât le plus haut, elle se serait liée d'amitié avec les mécaniciens, et aurait trompeté dans le mégaphone du Capitaine, elle aurait été dans tous ses états.
« Tout était merveilleux, mais j'ai été contente de voir la côte irlandaise, que j'ai trouvée vraiment charmante, si verte et ensoleillée, avec des cabanes brunes ça et là, des ruines sur les collines, et des gentilhommières dans les vallées, avec des cerfs dans les parcs. Il était tôt le matin, mais je n'ai pas regretté de m'être levée pour voir, car la baie était couverte de petits bateaux, le rivage si pittoresque, et le ciel rose au-dessus de ma tête ; je ne l'oublierai jamais.
« À Queenstown, une de mes nouvelles connaissances nous a quittés, - Mr. Lennox, - et quand j'ai dit quelque chose au sujet des lacs de Killarney, il a soupiré, et a chanté tout en me regardant,
"Oh, avez-vous entendu parler de Kate Kearney,
Qui vit sur les rives de Killarney ;
Devant son regard,
Fuyez le danger,
Car fatal est le regard de Kate Kearney."
N'était-ce pas absurde ?
« Nous n'avons stoppé que quelques heures à Liverpool. C'est un endroit bruyant et sale, et j'étais heureuse d'en partir. Oncle s'est précipité pour acheter une paire de gants, de vilaines chaussures épaisses, et un parapluie, et pour se faire raser et tailler les favoris. Puis il s'est flatté d'avoir l'air d'un vrai Britannique ; mais dès la première fois qu'il s'est fait brosser les chaussures, le petit cireur a bien su que c'était un Américain qui les portait, et il lui a dit avec un grand sourire, "Et v'là pour vous, sir, passées au cirage Yankee dernier cri". Cela a énormément amusé Oncle. Oh, il faut que je vous dise ce que cet absurde Lennox a fait ! Il s'est arrangé pour que son ami Ward, qui est venu avec nous, commande un bouquet pour moi, et la première chose que j'ai vue dans ma chambre était ces charmantes fleurs avec une carte disant "avec les compliments de Robert Lennox". N'était-ce pas amusant, les filles ? J'adore voyager.
« Je ne vous parlerai jamais de Londres si je ne me dépêche pas. Le trajet était comme un voyage à travers une longue galerie d'art, pleine de ravissants paysages. Les fermes m'ont ravie ; avec leurs toits de chaume, leurs murs couverts de lierre, leurs fenêtres à croisillons, et les femmes robustes avec leurs enfants aux joues roses sur le seuil. Le bétail même paraissait plus paisible que le nôtre, paissant au milieu du trèfle, et les poules caquetaient avec satisfaction, comme si elles n'étaient jamais nerveuses, au contraire des poules de chez nous. Des couleurs si parfaites, comme je n'en avais jamais vues - l'herbe si verte, le ciel si bleu, le grain si doré, les bois si sombres - j'étais envoûtée tout le long, de même que Flo, et nous n'arrêtions pas de bondir d'un côté à l'autre en essayant de tout voir, alors que nous faisions route à quatre-vingt-dix kilomètres à l'heure. Tante était fatiguée, et s'endormit, mais Oncle lisait son guide, et ne voulait s'étonner de rien. Je vous décris la scène : Amy qui se lève - "Oh, ça doit être Kenilworth, cette forme grise entre les arbres !" Flo qui se précipite à ma fenêtre, "Comme c'est ravissant, il nous faudra y aller un de ces jours, n'est-ce pas, Pa ?" Oncle admirant calmement ses chaussures, - "Non ma chérie, à moins que vous ne vouliez de la bière ; c'est une brasserie."
Une pause, puis Flo qui s'écrie, "Seigneur, voici un gibet, et un homme qui y monte" "Où ça, où ça !" s'exclame Amy, en regardant deux grands poteaux avec une barre transversale, et quelques chaînes pendues. "C'est une houillère", fait remarquer Oncle, avec une lueur dans l'œil. "Voici un charmant groupe d'agneaux, tous allongés dans l'herbe", dit Amy. "Vois, Pa, est-ce qu'ils ne sont pas mignons !" ajoute Flo, sentimentale. "Des oies, jeunes filles", répond Oncle, sur un ton qui nous a fait taire jusqu'à ce que Flo se plonge dans Les badinages du Capitaine Cavendish, et que je profite seule du paysage.
« Bien sûr il pleuvait quand nous sommes arrivés à Londres, et il n'y avait rien d'autre à voir que du brouillard et des parapluies. Nous nous sommes reposés, avons défait nos bagages, et fait quelques emplettes entre deux averses. Tante Mary m'a acheté quelques nouveautés, car je suis venue en si grande hâte que je n'étais pas à moitié préparée. Un charmant chapeau blanc avec une plume bleue, une robe de mousseline assortie, et la plus jolie cape que vous ayez jamais vue. Faire des achats dans Regent Street est absolument splendide ; tout semble si peu cher - de jolis rubans à seulement six pence le mètre. J'en ai fait provision, mais j'achèterai mes gants à Paris. Est-ce que ça ne semble pas élégant et riche ?
« Pour nous amuser, Flo et moi avons fait venir un fiacre, alors qu'Oncle et Tante étaient sortis, et nous sommes allées nous promener, mais nous n'avons appris qu'après qu'il n'était pas convenable pour deux jeunes filles d'en prendre un toutes seules. C'était si drôle ! car quand nous fûmes enfermées derrière le tablier en bois, l'homme conduisit si vite que Flo s'en effraya et me demanda de l'arrêter. Mais il était en haut à l'extérieur derrière je ne sais quoi, et je ne pouvais pas l'atteindre. Il ne m'entendait pas appeler, et ne me voyait pas agiter mon parapluie à l'avant, et nous étions là, impuissantes, à bringuebaler à toute allure, au risque de nous briser le cou. Enfin, dans mon désespoir, je vis une petite trappe sur le toit, et l'ayant ouverte, un œil rouge apparut, et une voix à l'odeur de bière me dit,
"Maintenant quoi, m'dame ?"
« Je donnais mon ordre aussi gravement que je le pus, et refermant violemment la trappe avec un "Aye, aye, m'dame", ce vieux bonhomme mit son cheval au pas, comme pour aller à un enterrement. Je tapai à nouveau, et demandai, "Un petit peu plus vite", et il repartit en trombe comme auparavant, tandis que nous nous résignions à notre sort.
« Aujourd'hui nous avons eu beau temps, et nous sommes allés à Hyde Park, non loin, car nous sommes plus aristocratiques que nous n'en avons l'air. Le Duc de Devonshire vit près d'ici. Je vois souvent ses valets s'attarder près de la porte arrière, et la maison du Duc de Wellington n'est pas loin. J'ai vu tant de choses, oh la la ! Cela valait bien les gravures du Punch, car il y avait là de grosses douairières, dans leurs voitures jaune et rouge, avec de magnifiques valets en livrée debout à l'arrière, en bas de soie et vestes de velours, et un cocher poudré à l'avant. Des bonnes élégantes, avec les enfants les plus roses que j'aie jamais vus ; de belles jeunes filles à l'air alangui ; des dandies en train de flâner, avec leurs chapeaux anglais extravagants et leurs gants lavande, et de grands soldats, en courte veste rouge, le béret plaqué d'un côté de la tête, l'air si drôle, que je mourais d'envie de les croquer.
« Rotten Row signifie "Route de Roi"*, mais maintenant c'est plus une école d'équitation qu'autre chose. Les chevaux sont splendides, et les hommes, en particulier les jeunes, montent bien, mais les femmes sont guindées et sautillent, ce qui est contraire à nos règles. Je mourais d'envie de leur montrer un trépidant galop à l'américaine, car elles allaient et venaient au petit trot, engoncées dans leurs vêtements, sous leurs hauts chapeaux, comme les femmes dans une arche de Noé miniature. Tout le monde monte - les vieux messieurs, les grosses dames, les petits enfants, et les jeunes gens flirtent beaucoup ici ; j'ai vu un couple échanger des boutons de rose, car il est à la mode d'en porter à la boutonnière, et je trouve que c'était une charmante idée.
« Dans l'après-midi nous sommes allés à l'abbaye de Westminster, mais n'attendez pas de moi que je vous la décrive, c'est impossible - aussi je dirai simplement que c'était sublime ! Ce soir nous allons voir Fetcher sur scène, ce qui sera une fin appropriée au jour le plus heureux de ma vie.
« Minuit .
« Il est très tard, mais je ne peux pas laisser ma lettre partir au matin sans vous dire ce qu'il s'est passé hier soir. Qui est venu alors que nous prenions le thé, selon vous ? Les amis anglais de Laurie, Fred et Frank Vaughn ! J'ai été si surprise, je ne les aurais jamais reconnus sans leurs cartes. Tous les deux sont grands et portent des favoris ; Fred est bel homme dans le genre anglais, et Frank se porte bien mieux, car il ne boite que légèrement, et n'utilise pas de béquilles. Ils avaient entendu dire par Laurie où nous serions, et sont venus nous demander de leur rendre visite chez eux, mais Oncle ne veut pas y aller, alors nous devrons reporter la visite et les voir comme nous le pouvons. Ils sont venus au théâtre avec nous, et nous avons passé un si bon moment, car Frank s'est dévoué à Flo, et Fred et moi avons parlé du passé, du présent et du futur comme si nous nous étions connus toute notre vie. Dites à Beth que Frank a demandé de ses nouvelles, et qu'il était désolé d'apprendre ses ennuis de santé. Fred a ri quand j'ai parlé de Jo, et envoie "ses compliments respectueux au grand chapeau". Aucun des deux n'avait oublié Camp Laurence, ou à quel point nous nous y étions amusés. Cela semble si loin, n'est-ce pas ?
« Tante tape à la cloison pour la troisième fois, aussi il faut que je m'arrête là. Je me sens vraiment comme une jeune fille londonienne dissipée, à écrire si tard, dans ma chambre pleine de jolies objets, et dans ma tête un mélange de parcs, de théâtres, de nouvelles robes et de galants hommes qui disent "Ah" et tortillent leurs moustaches blondes, avec toute la noblesse anglaise. Vous me manquez tous, et en dépit de mes sottises, je reste à jamais, votre aimante AMY. »
PARIS
« CHÈRES FILLES :
«  Dans ma dernière lettre je vous parlais de notre visite de Londres, - combien les Vaughn ont été gentils, et quelles charmantes fêtes ils ont données pour nous. J'ai apprécié le voyage jusqu'à Hampton Court, et le musée de Kensington, plus que tout le reste, - car à Hampton j'ai vu les croquis de Raphaël, et au musée, des pièces entière remplies de toiles par Turner, Lawrence, Reynolds, Hogarth, et autres grands noms. La journée à Richmond Park était charmante, - car nous avons fait un vrai pique-nique anglais, - et j'ai vu plus de splendides chênes et de hardes de cerfs que je n'ai pu en dessiner ; j'ai également entendu un rossignol, et vu des alouettes. Nous avons "profité" de Londres tout notre soûl, - grâce à Fred et Frank, - et étions désolés d'en partir ; car, même si les Anglais mettent du temps à briser la glace, à mon avis, une fois qu'ils vous ont adoptés, on ne peut rivaliser avec eux en matière d'hospitalité. Les Vaughn espèrent nous retrouver à Rome l'hiver prochain, et je serai terriblement désappointée si ce n'est pas le cas, car Grace et moi sommes très bonnes amies, et les garçons sont très gentils, - tout particulièrement Fred.
« Eh bien, nous étions à peine installés ici quand il est apparu à nouveau, disant qu'il était venu pour des vacances, et qu'il se rendait en Suisse. Tante était froide au début, mais il s'est montré si serein à ce sujet qu'elle n'a rien pu dire ; et maintenant tout se passe pour le mieux, et nous sommes très contents qu'il soit venu, car il parle Français comme un natif, et je ne sais pas ce que nous ferions sans lui. Oncle ne connaît pas dix mots, et insiste pour parler Anglais très fort, comme si cela pouvait aider à ce qu'on le comprenne. La prononciation de Tante est vieillotte, quant à Flo et moi, qui nous flattions d'en savoir assez, nous nous sommes rendu compte que ce n'est pas le cas, et nous sommes très reconnaissantes que Fred soit là pour "parley-vouer", comme le dit Oncle.
« Que de moments délicieux nous passons ! Faire du tourisme du matin au soir ! S'arrêter pour prendre de bons repas dans de joyeux cafés*, et rencontrer toutes sortes d'aventures amusantes. Je passe les jours de pluie au Louvre, à me délecter des peintures. Jo dédaignerait certaines des plus belles, parce qu'elle n'a pas l'âme d'une artiste ; mais moi si, et je cultive mon regard et mon goût aussi vite que je le peux. Elle préfèrerait les reliques des personnes célèbres, car j'ai vu le chapeau et le manteau gris de son Napoléon, son berceau et sa vieille brosse à dents, mais également la petite chaussure de Marie Antoinette, l'anneau de Saint Denis, l'épée de Charlemagne et plein d'autres choses intéressantes. J'en parlerai pendant des heures quand je rentrerai, mais je n'ai pas le temps de tout écrire.
« Le Palais Royal est un endroit paradisiaque, - si plein de bijouterie* et d'objets ravissants que j'en serais distraite, parce que je ne peux pas les acheter. Fred voulait m'en offrir, mais je ne l'ai pas permis, évidemment. Le Bois et les Champs Élysées sont très magnifique.* J'ai vu la famille impériale à plusieurs reprises, - l'Empereur, un homme laid à l'air dur, l'Impératrice, jolie et pâle, mais vêtue avec un goût horrible, à mon avis, - robe violette, chapeau vert et gants jaunes. Le petit Nap. est un joli garçonnet, qui discute avec son tuteur, et envoie des baisers aux gens quand il passe dans sa calèche à quatre chevaux, avec des postillons en livrée de satin rouge, et un garde à cheval devant et derrière.
« Nous nous promenons souvent dans les jardins des Tuileries, car ils sont charmants, même si je préfère les anciens jardins du Luxembourg. Le cimetière du Père la Chaise est très curieux, - car bien des tombes sont comme des petites chambres, et, quand on regarde à l'intérieur, on peut voir une table, avec des images du défunt, et des chaises pour les visiteurs endeuillés qui viennent se recueillir. C'est tellement français - n'est-ce pas* ?
« Nos chambres sont rue de Rivoli, et, assis au balcon, nous contemplons la longue rue illuminée. C'est si plaisant que nous y passons nos soirées à discuter, - quand nous sommes trop fatigués pour sortir après notre journée. Fred est très divertissant, et somme toute le jeune homme le plus agréable que j'aie jamais connu - à l'exception de Laurie, qui a des manières plus charmantes. J'aimerais que Fred soit brun, car les hommes blonds ne me plaisent guère ; toutefois, les Vaughn sont très riches, et d'une excellente famille, aussi ne vais-je pas leur reprocher leurs cheveux jaunes, quand les miens sont plus jaunes encore.
« La semaine prochaine nous partons pour l'Allemagne et la Suisse ; et, comme nous devrons voyager vite, je ne pourrai vous envoyer que des lettres hâtives. Je tiens mon journal, et j'essaie de "me rappeler correctement, et de décrire clairement tout ce que je vois et admire", comme me l'a conseillé Père. C'est un bon exercice pour moi, et, avec mon carnet de dessins, cela vous donnera une meilleure idée de mon voyage que ces gribouillis.
« Adieu* ; je vous embrasse tendrement.
«  Votre Amie.* »
HEIDELBERG.
« MA CHÈRE MAMAN :
« Ayant une heure de calme avant que nous ne partions pour Berne, je vais essayer de vous raconter ce qu'il s'est passé, car comme vous le verrez, certaines choses très importantes sont arrivées.
« Notre voyage sur le Rhin était parfait, et je suis juste restée assise à en profiter de toutes mes forces. Prenez les vieux guides de voyage de Père, et lisez ce qu'ils en disent ; je n'ai pas de mots assez beaux pour le décrire. À Coblence, nous avons passé un moment fort agréable, car quelques étudiants de Bonn - avec qui Fred s'était lié d'amitié sur le bateau - nous ont chanté la sérénade. C'était une nuit éclairée par la lune, et, vers une heure, Flo et moi avons été réveillées par la plus délicieuse des musiques sous notre fenêtre. Nous nous y sommes précipitées, et nous nous sommes cachées derrière les rideaux, mais de petits coups d'œil nous ont permis de voir Fred et les étudiants en train de chanter en contrebas. C'était la chose la plus romantique que j'aie jamais vue ; la rivière, les bateaux, la grande forteresse en face, le clair de lune sur tout ça, et une musique à fendre un cœur de pierre.
« Quand ils eurent fini, nous leur avons lancé quelques fleurs, et nous les avons vus se précipiter pour les ramasser, envoyer des baisers aux dames invisibles, et s'en aller en riant - pour fumer et boire de la bière, je présume. Le matin suivant Fred m'a montré une des fleurs froissées dans la poche de sa veste, l'air très sentimental. Je me suis moquée de lui, et lui ai dit que c'était Flo qui l'avait lancée - cela a semblé le dégoûter, car il l'a jetée par la fenêtre, et a retrouvé la raison. J'ai bien peur que ce garçon n'aille me causer des problèmes, cela commence à y ressembler.
« Les bains à Nassau étaient très amusants, tout comme Baden-Baden, où Fred a perdu quelque argent, et où je l'ai réprimandé. Il a besoin de quelqu'un pour veiller sur lui quand Frank n'est pas avec lui. Kate a dit une fois qu'elle espérait qu'il se marierait bientôt, et je suis assez d'accord avec elle. Francfort était délicieuse ; j'ai vu la maison de Goethe, la statue de Schiller, et la fameuse Ariane de Dannecker. C'était très beau, mais je l'aurais plus appréciée si j'avais mieux connu l'histoire. Je n'ai pas voulu demander, parce que tout le monde la connaissait, ou prétendait la connaître. J'aimerais que Jo puisse tout me dire là-dessus, j'aurais dû lire plus, car je m'aperçois que je ne sais rien, et c'est mortifiant.
« Maintenant vient la partie sérieuse, car cela vient juste d'arriver, et Fred vient de partir. Il a été si gentil et joyeux que nous nous sommes tous attachés à lui ; je n'ai jamais pensé à plus qu'une amitié de voyage, jusqu'à la nuit de la sérénade. Depuis ce jour, j'ai commencé à ressentir que les promenades au clair de lune, les discussions au balcon, et les aventures quotidiennes étaient plus pour lui que de l'amusement. Je n'ai pas flirté, Mère, je vous l'assure, mais je me suis rappelée ce que vous m'avez dit, et me suis conduite du mieux que je le peux. Je n'y peux rien si les gens m'aiment bien ; je n'essaie pas de leur plaire, et je m'inquiète de ne pas les aimer, bien que Jo dise que je n'ai pas de cœur. Je sais bien que Mère va secouer la tête, et les filles dire, "Oh, la misérable mercenaire !", mais j'ai pris ma décision, et si Fred me fait sa demande, je l'accepterai, même si je ne suis pas follement amoureuse. Je l'aime beaucoup, et nous nous entendons bien. Il est bel homme, jeune, bien assez intelligent, et très riche - plus riche même que les Laurence. Je ne crois pas que sa famille s'y opposerait, et je serai très heureuse, car ils sont tous gentils, bien élevés et généreux, et ils m'apprécient. Je suppose que Fred, en tant qu'aîné des jumeaux, héritera de la fortune familiale - et quelle splendide fortune ! Une maison en ville, dans une rue chic, pas aussi tape-à-l'œil que nos grandes maisons, mais deux fois plus confortable, et luxueusement meublée, comme aiment les Anglais. Je l'aime bien, car elle est authentique ; j'ai vu l'argenterie, les bijoux de famille, les vieux domestiques, et les peintures du domaine à la campagne avec son parc, sa grande maison, son jardin ravissant et ses beaux chevaux. Oh, ce serait tout ce que je demande ! et je préfère obtenir cette fortune plutôt qu'un titre qui tournerait la tête à d'autres filles mais ne couvrirait rien. Je suis peut-être intéressée, mais je déteste la pauvreté, et je n'entends pas la supporter une minute de plus que je ne le dois. Il faut que l'une de nous fasse un beau mariage ; Meg ne l'a pas fait, Jo ne le fera pas, Beth ne peut pas pour le moment - aussi ce sera moi, et j'arrangerai tout autour de moi. Je n'épouserais pas un homme que je déteste ou que je méprise. Vous pouvez en être sûre ; et, bien que Fred ne soit pas mon genre de héros, il fait très bien l'affaire, et, avec le temps, je devrais suffisamment l'aimer s'il m'aime beaucoup et me laisse faire comme je l'entends. J'ai donc retourné cette question dans mon esprit toute la semaine dernière, car il était impossible de ne pas voir que Fred m'aime. Il n'en dit rien, mais de petites choses le montrent : il ne va jamais avec Flo, et se met toujours de mon côté de la calèche, de la table ou du chemin, il prend l'air sentimental quand nous sommes seuls, et regarde d'un œil noir quiconque ose venir me parler. Hier, au dîner, quand un officier autrichien nous a dévisagés, et dit ensuite quelque chose à son ami - un baron à l'air canaille - quelque chose au sujet d'une wonderschönes Blöndchen, Fred a pris l'air féroce d'un lion, et il coupait sa viande si sauvagement, qu'elle a presque volé hors de son assiette. Il n'est pas l'un de ces Anglais flegmatiques et guindés, mais il est au contraire assez emporté, car il a du sang écossais, comme on pourrait s'en douter en voyant ses beaux yeux bleus.
« Puis, hier soir nous sommes montés jusqu'au château au coucher du soleil - sans Fred, qui devait nous rejoindre après être passé prendre des lettres à la Poste Restante.* Nous avons passé un moment charmant à nous promener dans les ruines, les caves où se trouve le tonneau gigantesque, et les beaux jardins créés par l'Électeur pour sa femme anglaise. C'est la grande terrasse qui m'a le plus plu, car la vue y était divine ; aussi, pendant que les autres étaient allés visiter l'intérieur, je suis restée pour essayer de reproduire la tête de lion en pierre grise sur le mur, entourée de rameaux de chèvrefeuille écarlate. J'avais l'impression d'être entrée dans un livre, assise là, à regarder le Neckar au fond de la vallée, tout en écoutant l'orchestre autrichien en contrebas, et en attendant mon bien-aimé - comme une vraie héroïne de roman. J'avais le sentiment que quelque chose allait se produire, et j'y étais préparée. Je ne me sentais pas rougissante ou frémissante, mais plutôt calme, et juste un peu excitée.
« Enfin j'entendis la voix de Fred, et il traversa la grande arche en toute hâte pour me trouver. Il avait l'air si troublé que j'en ai oublié tout ce qui me concernait, et lui ai demandé quel était le problème. Il a dit qu'il venait de recevoir une lettre qui le suppliait de rentrer, car Frank était très malade ; aussi il partait sur le champ, par le train de nuit, et n'avait que le temps de dire "au revoir". J'étais vraiment navrée pour lui, et déçue pour moi-même - mais pour une minute seulement - car il dit, en faisant ses adieux - et il le dit d'une façon à laquelle je ne pouvais me méprendre - "Je reviendrai bientôt, vous ne m'oublierez pas, Amy ?"
« Je n'ai rien promis mais je l'ai regardé et il a semblé satisfait - et il n'y avait pas de temps pour autre chose que des messages et des adieux, car il partait dans l'heure, et il nous manque beaucoup, à tous. Je sais qu'il voulait me parler, mais je pense, à cause d'une allusion qu'il a faite une fois, qu'il a promis à son père de ne rien faire de la sorte avant un moment - car il est un garçon irréfléchi, et le vieux gentleman redoute d'avoir une belle-fille étrangère. Nous nous retrouverons bientôt à Rome, et alors, si je n'ai pas changé d'avis, je dirai, "Oui, merci" quand il me demandera, "Voulez-vous, s'il vous plaît ?"
« Bien sûr, tout ceci est absolument privé, mais je souhaitais que vous sachiez ce qu'il se passe. Ne craignez rien pour moi ; souvenez-vous que je suis votre "Amy la prudente", et soyez sûre que je ne ferai rien d'inconsidéré. Envoyez-moi autant de conseils qu'il vous plaira ; je m'en servirai si je le peux. J'aimerais pouvoir vous voir pour une bonne discussion, Marmee. Aimez-moi et faites-moi confiance.
« Toujours vôtre AMY »
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Collision of two worlds : Country and KPOP
Suho regardait son manager... C'était une mauvaise idée. Mais si c'était ce qui était le mieux pour le groupe et sa carrière, alors autant essayer. Il entra dans la maison valise en main, laissant son manager dehors. Il soupira et fit le tour de la maison. Sur la table de salon il trouva quelques indices. Une guitare, un chapeau cowboy et un drapeau américain avec des grades poser dessus. Suho fronça les sourcils.. quand la porte s'ouvrit. Il se tourna pour découvrir sa colocataire pour le moi à venir. Une somptueuse dame aux cheveux blond vénitiens et aux grands yeux caramels. Elle sourit doucement et s'approcha de Suho pour regarder la table de salon.
« Owh shoot. » soupira-t-elle « They... got som'thin' wrong » fit-elle calmement « I'm actually captain. » fit-elle amusée
« You... did war ? » demanda-t-il doucement et timidement
« Hey i'm not gonna eat ya. » fit-elle en riant « Hillary Woods's the name ! » dit-elle en tendant la main
« Junmyeon... Kim.. but I'm... more..  known as Suho. » fit le coréen hésitant.
« Ah boy imma make ya chill. » fit la blonde vénitienne en riant
Elle attrapa le chapeau et le fixa sur la tête du coréen. Elle rit doucement.
« Suits ya. » fit-elle en riant.
« I'm sorry my english is not really... good. » dit Suho
« Aye shut it. » fit-elle « You should hear my french. » dit-elle en riant « Or worse... my korean. »
« I could... teach you. » fit Suho
« Oh that's sure ! » dit-elle « Did ya tour around ? »
« No. »
Et voilà qu'elle embarquait Suho à travers la maison. Cuisine américaine, BBQ et terrasse extérieur avec jacuzzi, salle de bain avec baignoire d'angle, salon assez grand, seul bémol. Un seul lit double. La seconde chambre était le confessionnal. Suho déglutit quand Hillary rit amusée. Elle enleva ses chaussures et   embarqua Suho dans le jardin, sortant de sa valise deux tapis de yoga. Elle commença à les étendre puis elle s'approcha du coréen et balança sa veste, sa cravate et sortit la chemise du pantalon. Junmyeon écarquilla les yeux mais se laissa faire. Il la laissa même enlever sa chemise car en dessous il portait un marcel.
« Ya got guns ! » fit Hillary en souriant
Junmyeon rit timidement et tendit ses muscles montrant des bras très bien définit. Hillary sourit et enleva sa chemise, restant en débardeur comme Suho. Elle aussi avait des muscles et quand elle tendit Suho avala de traver. Hillary sourit et lui fit un clin d'oeil.
« Work out or yoga to relax ? » demanda-t-elle
« Work out ? » demanda Suho
« Cross-fit ? » demanda-t-elle
« Good. »
« Let's get changed » it Hillary en riant
Le duo se retrouva dans le jardin en tenue de sport. Hillary portai un jogging mais un crop-top révélant des abdos impressionnant chez une femme et Suho portait un jogging ample mais un tank-top collant. Le duo comme ça a s'échauffer puis a faire une petite routine de cross-fit, gainage, pompes et autres exercices du genre. Après ça, la blonde fixa le coréen en souriant.
« T'es relaxer ? » demanda-t-elle dans u coréen étonnement bon
« Vous... vous parlez coréen ? » s'étonna Suho
« Eh j'ai servie 5 ans à Séoul. » fit-elle en riant « Y ont pas mis n'importe qui avec toi. Certes j'suis une chanteuse de Country all-american bred, mais j'ai aussi du bagage. L'avantage d'avoir été chez lez Marins. » dit-elle doucement
« Les Marins... ça à du être dur. » fit Suho
« J'ai choisi la pire faction. Et je les aie mise au pas. » dit-elle en riant. « Je voulais voir avant de te parler coréen si ton anglais allait. T'as peur de quoi ? »
« De parler de dire une erreur... » fit Suho
« Eh moi je dis tout droit dehors comment je le pense en coréen, personne s'est jamais fouttu de ma gueule, parce que j'avais les couilles de parler la langue. » dit Hillary « Ya should never fear anythin'. Look at me, my english ain't perfect. »
« But if I make a mistake ... » dit Junmyeon
« Ah Myeonnie... I can call you Myeonnie ? » elle leva les yeux
« Yes. » Suho rougissait
« Look, let's be real, for a second. We're gonna live a month together, ya're coming on the redcarpert  of the CMA with me, I'll help ya, i'll be there to stand up for you. » Hillary prit son visage entre ses mains « I'm going to help you, and if I need to punch people for making fun of you, I'll punch them »
« Don't punch people. » fit Suho en souriant
« Okay okay... »
-
Hillary regardait les membres d'EXO entrer dans la maison et fixa Chanyeol loucher sur sa guitare. L'américaine trottinna vers Suho, qui lui prit la main et la présenta a ses membres. Le coréen c'était beaucoup détendu au contact de l'ancienne militaire. Il avait beaucoup plus prit confiance en son anglais et en contre partie la belle américaine avait fait d'énormes progrès en coréen. Elle lui apportait cette touche de férocité et de folie dont il avait besoin. Si peu a peu les sentiments envers la blonde muait en amour de son côté, il ignorait ce que ressentait Hillary et il était prêt a n'être qu'une ombre au tableau, un ami tout au plus.  Assis autour de la table l'américaine écoutait les membres d'EXO rigoler, se moquer gentiment de leur leader quand Sehun nota que bientôt Suho devrait entrer à l'armée.
« Tu sais ou tu vas être caserné ? » demanda-t-elle doucement
« Une des deux bases internationale de Séoul. » dit Suho
« Hyung veut faire notre équivalent des Marines. » dit Sehun
« Il aurait en tout cas toutes les qualités requise pour les Marins ici. » dit doucement Hillary
« Et vous vous avez été quoi ? » demanda Sehun bêtement
« Capitaine Hillary Woods, du corps de Marines. » dit-elle calmement
« Mais vous êtes super jeune ! » fit Baekhyun
« Je suis pas si jeune que ça. » dit Hillary amusé
« Plus que moi en tout cas ! » dit Baekhyun
« Faux. » Suho baissa les yeux sur Hillary « Elle est même plus âgée que moi. »
« Mais vous êtes informel. » releva Baekhyun
Hillary haussa les épaules et posa sa tête sur celle de Suho, qui passa un bras autour des siennes.
« Ah noona... tu épouserais notre hyung pour de vrai ? » demanda Sehun
« Oui. » c'était simple et bref. Précis et sans détour.
« Oh wow. » Sehun fixa le leader qui soudain avait virer au blanc
« You understood what he asked ? » demanda Yixing pour être sure
« If I would marry Junmyeon in real life. In english or in korean, the answer is still yes. » fit Hillary  puis elle fixa Junmyeon « You doubted ?! I'm so gonna kick you're ass. » fit-elle
« Why would you marry me ? » marmonna-t-il
« Uhm where do i start ? Abs, guns, looks, strength, handsome as fuck, that ass, voice out of heaven, nicest human being, leadership goals, loveliest drunk, soft shy human I get to protect but also, strong man who can protect me.... the way you smile, the way you look at me.... man what would it be awesome to be loved by you and spend the rest of our lives together. » fit Hillary
« Marry me. » fit Junmyeon.
Hillary rit doucement puis resta silencieuse quand il se leva, posant un genoux à terre.
-
Country Music Awards ou le moment de se dire adieu. Enfin... Pas pour eux pour le coup. Hillary montrait fièrement sa bague de fiançailles au bras de son sublime fiancé. Junmyeon était plus détendu et heureux au bras de sa chanteuse de country. Plus calme et plus serein. En faisant cette émission jamais il n'aurait cru rencontrer son âme sœur. Sa main poser dans le creux des reins de sa beauté, la tenant proche de lui.
« Hillary how many do you go for this time !? » demanda un journaliste
« How about just one ? I don't wwant to be greedy i've already got the best prize. » fit-elle
« Which one ? » demandait le journaliste
« My soon-to-be husband. » fit Hillary en embrassant la joue de Suho
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chapitre 11
Assis chez lui, Sören regardait ses mains puis le téléphone sur le canapé... et la table de salon en pièces. Le sang coulait sur le sol et quand Heechul arriva il secoua la tête. Il vint prendre les mains du géant, l'entraîna avec lui dans la salle de bains et s'occupa d'enlever les débris de verre dans les plaies. Si le géant ne sourcilla même pas, l'idole lui était assez touché. Les larmes roulaient sur ses joues... comment pouvait-on faire tant de mal a quelqu'un d'aussi doux ? Sören ne parlait peut-être pas beaucoup, mais il cachait un cœur en or et quand il voyait a quel point tout ça le détruisait, le coréen ne put s'empêcher de se sentir mal. Si seulement, si seulement il avait retenue Sören, si seulement il avait été la pour l'empêcher de finir avec Jaejoong, au moins il n'aurait pas été la marionnette du YunJae...
Il rassit le suédois dans le salon, et entreprit de nettoyer les dégâts quand une homme entra dans le salon. Heechul vit le regard de Sören s'assombrir d'avantage et quand le géant se leva tremblant fixant l'homme, Heechul, avec sa balayette arqua un sourcil.
« Morganna a été poignardé. » dit-il simplement
« C'ma faute ... » souffla Sören
« Ce n'est en rien ta faute Sören. » soupira Heechul
« T'comprends rien ! Si j'avais pas téléphoner à Mona elle ne serrait pas sortie en avance, elle n'aurait pas été prise pour cible et elle n'aurait pas été poignardé ! C'est ma faute si Morganna risque de mourir, j'aurais mieux fait de garder mes états d'âmes pour moi ! Elle n'avait pas a en payer le Prix et si elle meurt se serra ma fau- »
Le coup de poing était partit d'une telle violence qu'il déstabilisa le suédois qui s'en retrouva a genoux. Le regard complément effrayé Heechul s'interposa entre les deux hommes.
« Mais ça va pas ?!  Et puis vous êtes qui? » cria Heechul
« Naihi Keona-Jones, j'aurais du être un Holmes si son père n'avait pas été explosé en plein ciel. » dit-il froidement « Porte tes couilles bon sang Sören. La fille qui a attaqué Mona avait tout planifié, j'étais là. Elle aurait pu me prendre pour cible ou Tino, mais c'est bien après Mona qu'elle en avait. Quelque parts elle a eu de la chance que ça se passe en pleine journée et pas le soir, en plein milieu de la foule. Les Secours sont arrivé très vite, elle a été prise en charge directement. Et clairement j'ai pas trop beaucoup envie que tu te sentes coupable pour quelque chose sur laquelle tu n'as aucune influence. Mona ne voudrait pas ça, ni elle, ni tes frères. Alors sois un mec bordel. » siffla Naihi
« .... Tu as ... raisons... » souffla Sören
« Tes états d'âmes et ton cœur brisé, ça peut attendre. Mona a besoin de soutiens et de toi. Rendez le présentable. » lança-t-il a Heechul
« Je vais faire de mon mieux ... » dit Heechul en caressant la joue du suédois.
Quelques instants plus tard le suédois aux mains bandées et avec un pack de glace sur la joue apparut devant l'américain. Heechul les fixa avant de soupirer un peu.
« Je vous accompagne »dit-il simplement
« D'accord. » c'était simple et efficace.
-
Diana regardait Namjoon en pleurs et lui frotta doucement le dos, quand BTS arriva avec Zhen, la française se leva, laissant sa place. Elle fixa Zhen qui soupira. Aucune nouvelle des médecins, alors ils attendaient. Diana alla voir chaque membre de BTS, essuyant quelques larmes. Quand Sofia arriva avec Elrick et Ewan, tout le monde se tourna. Le roux s'approcha de Namjoon et soupira un peu, lui tendant un mouchoir. Il s'assit et fixa le jeune coréen.
« La personne qui avait dévoilé votre relation a été virée, quand a la femme qui a attaqué Morganna, j'ai mit mon meilleur avocat sur l'affaire et sachez qu'elle ne sortira jamais de prison. Il ne lui laissera aucune chance. » dit Ewan simplement
« Qui ? » demanda Diana
« Ewarnn est peut-être l'enfant terrible de notre famille... mais je ne peux nié qu'il est selon moi le meilleur avocat possible pour cet affaire.. » soupira Ewan
« Et voilà Ewan et la froideur... on parle de Mona là. » grogna Elrick « Une gamine dont toi et moi on a fait la carrière. Pas un numéro dans une case, pète un coup gros, ton titre va t'étouffer un jour et ta bienséance va t'récolter un pain. » répliqua le blond acerbe.
« Mieux vaut ma bienséance que ta désinvolture. » siffla Ewan
« For Morganna sake ... could you guys stop ? So please, for her sake... let's fight things out another day. » souffla Diana « What am I going to say to Naihi ? What will I have to tell Sören ? And you guys fight... Fight over trivial things when our baby ... our Morganna is fighting for her life ! Are you stupid or don't you have a heart ?! » Et Diana craqua, une larme coulant le long de sa joue, puis une autre...
Elle qui avait tenue bon. Elle qui avait tenue tout le monde debout craquait, et quand les larmes coulèrent abondamment elle s'éloigna, croisant Ashlynn, Asuka et Malia dans le couloir... La grande blonde inspira longuement avant de voir Sören arriver. Devant son état elle secoua la tête, l'emmenant dans la salle d'attente, maintenant assez remplie. Elle s'assit dans un coin, Sören allongé contre elle. Ewan avait du les quitter, quand a Elrick, il était tenait Jimin et Jin dans les bras, tous les deux épuisés... Zhen bien que réticent avait finit par céder et câlinait Jungkook. Sofia avait un Hoseok paniqué dans les bras, Malia rassurait Yoongi que quoi qu'il arrive, ses fans devraient passer par les siens et les métaleux n'étaient pas des enfants de cœur. Asuka elle avait finit par s'endormir contre Taehyung et enfin Ashlynn tentait tant bien que mal de rassurer Namjoon.
« C'est une battante notre Mona... » dit-elle doucement « Surtout depuis que tu es entré dans sa vie. Tu sais quand tu lui a proposer une famille, à cette émission, tu as touché bien plus que juste le publique. Elle ne le montrait pas, mais son cœur t'appartenait déjà. Une famille c'est tout ce que Morganna a toujours souhaitée. » souffla Ashlynn en essuyant les yeux de Namjoon « Morganna est une fille solide... elle n'abandonnera pas le combat si facilement. »
« Ce serrait oublié qui l'a élevé. » ajouta Naihi en tendant un café a Namjoon « Elle est le portait de son père, et cet imbécile était solide. » dit Naihi « Il a quand-même fallut un missile anti-aérien explosif pour en venir a bout de ce con. » expliqua-t-il avec le sourire
« C'était quelqu'un comment ? » demanda Namjoon
« Il t'aurait aimer. Parce que tu rends sa fille heureuse. Ian c'était un homme assez impliqué dans son travaille, il avait l'aviation dans le sang et l’Irlande dans le Coeur. Jamais je l'ai vu sobre un 17 mars. C'est ce même jour qu'il m'avait demandé de l'épouser... Disons que sa fille est un poil plus romantique et tendre que son père ne l'était. » dit Naihi
« Il ne vous manque pas ? » demanda Namjoon
« Oh parfois... mais il est mort en service, et on connaît les risques. » dit Naihi en souriant
« Vous étiez ... » osa Namjoon
« Pendant 15 ans. Et 11 en tant que SEAL. J'étais franchement barré. » dit Naihi
« Tu l'es toujours » confirma Ashlynn doucement
« C'est pas faux.. » souffla Naihi
« Qu'est-ce que t'as pas compris ? » demanda Diana doucement...
« Je me suis quand-même calmé. » nota Naihi
« Encore une chance.. » souffla Ashlynn.
Soudain un médecin, chirurgien apparut dans la salle d'attente, faisant sursauter un peu tout le monde.
« J'aimerais voir le compagnon de Mademoiselle Holmes » dit-il simplement
« C'est... c'est moi... » Murmura Namjoon
« Suivez moi. »
Namjoon suivit le chirurgien vers la salle de réveil où Morganna était allongée, inconsciente, pleines de fils et d'autre tubes. Sa pauvre Morganna...
« Elle est sortie d'affaires, néanmoins elle a échappé au pire, a quelques millimètres prêt et c'était l'aorte pour le premier coup et le poumon pour le second, néanmoins l'assaillant n'était pas entraîné et c'est ce qui a sauver Morganna. Elle souffre surtout de lésions musculaires et ligamentaires. Aussi le bébé n'a rien. Je vous rassure, Morganna a bien protéger le petit, prenant un coup dans l'avant-bras. Il s'est comporté comme une petit battant pendant toute l'opération. Vous pouvez être fier de votre femme et de votre fils Monsieur. » dit le chirurgien avant de s'en aller. Namjoon erra, blanc, et tremblant vers la salle d'attente ou tout le monde l'attendait impatiemment.
« ALORS ?!! » s'écrièrent-ils tous en choeur
« .... Mona va bien..... » commença-t-il «  et je vais être papa.... je vais être Papa.... papa... » et puis...
« HYUNG ! »
« Mais pourquoi il tombe ? »
« Oh la la ! Namjoon-ah ! »
« Mais c'est pas possible !! »
« Infirmière ! Le futur papa est tombé dans les pommes... »
« ça promets pour l'accouchement.... »
« Attend, Hyung va être papa ?! » « wait what ? »
« Ah bah je serais pas toute seule aux cours prénatale ! »
« On va monter un club prénatale ! »
« Wait what ? »
« Eh Namjoon !!! ... »
Et puis le néant.
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