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#campagne des balkans
carbone14 · 11 months
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Mère et fils avant le départ du soldat pour le front albanais – Guerre italo-grecque – Campagne des Balkans – Octobre 1940
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yespat49 · 6 months
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BLEIZ, BLEIZ ! AU LOUP !
Catherine Blein Eleveur-Ecolo-Veneur-Mère à chien tout à la fois. Le voilà revenu, cet animal qui a tant effrayé nos ancêtres des campagnes. Depuis 1992, le loup, qui se cantonnait depuis cent ans dans le nord de l’Italie, certains coins d’ Espagne et au cœur des Balkans, a fait son grand retour en France, dans le massif du Mercantour. Il a ensuite migré un peu partout dans notre pays et l’on…
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news24fr · 1 year
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Le collectif occidental fait effectivement chanter Belgrade sur la question du Kosovo, et accepter sa proposition ne ferait que susciter plus de demandes, a déclaré le cinéaste serbe emblématique Emir Kusturica. Le réalisateur primé a fait ces remarques dans une interview accordée au journal russe Izvestia, dont des extraits ont été publiés mardi.La pression sur la Serbie survient au milieu du conflit en cours entre Moscou et l'Occident et, à grande échelle, fait partie d'une lutte séculaire entre les grandes puissances pour le contrôle de l'accès aux mers chaudes, a déclaré Kusturica. Le calendrier de l'accord conçu par l'UE impliquant la Serbie et sa province séparatiste, le Kosovo, dirigé par la France et l'Allemagne, est directement lié à ces hostilités en cours, estime-t-il.« Cet accord de chantage est intervenu à un moment où le conflit ukraino-russe évolue, où les Russes avancent. Ils veulent mettre le feu aux Balkans et les amènent au point où le choix est soit-ou. C'est un ultimatum, pas un accord. Kusturica a souligné, ajoutant que l'acceptation de l'accord ne conduirait qu'à de nouveaux ultimatums.Pourtant, le directeur s'est dit convaincu que Belgrade n'accepterait jamais une telle proposition. L'accord, présenté l'année dernière, envisage d'accélérer le processus d'adhésion de la Serbie à l'UE en échange de la reconnaissance de facto de l'indépendance du Kosovo par Belgrade. Cela deviendrait possible étant donné que la Serbie accepte l'adhésion de la province séparatiste à des organisations internationales telles que l'ONU, l'UE et l'OTAN. Jusqu'à présent, Belgrade a résisté à ce scénario, mais l'Occident a continué à faire pression sur la nation à ce sujet.La semaine dernière, le président serbe Aleksandar Vucic a déclaré que l'accord « contient à peine quelque chose dont nous serions heureux », déplorant la réticence de l'Occident à rechercher un compromis. Le refus d'accepter l'accord entraînerait l'arrêt par l'UE de tous les processus d'intégration, la réimposition d'un régime de visas, l'arrêt de tous les nouveaux investissements et le retrait de tous ceux en cours, a-t-il déclaré."Nous avons le choix suivant : soit, d'un côté, l'isolement, des sanctions d'une sorte ou d'une autre, mais il n'y a pas de pires sanctions que le retrait des investissements, dont on m'a directement parlé à trois reprises", Vucic a déclaré.Le Kosovo s'est séparé de la Serbie pendant une guerre à la fin des années 1990 après que l'OTAN dirigée par les États-Unis ait mené une campagne de bombardements contre Belgrade en 1999. Washington et nombre de ses alliés ont reconnu le Kosovo comme un État souverain après que son parlement a voté pour déclarer l'indépendance formelle en 2008, mais Belgrade elle-même et des nations comme la Russie et la Chine ne l'ont pas fait. Vous pouvez partager cette histoire sur les réseaux sociaux : Suivez RT sur
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Le Shakhtar Donetsk demande l'exclusion de l'Iran du Mondial !
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Le Shakhtar Donetsk demande à la FIFA de retirer l'Iran et de le remplacer par l'Ukraine. Cette demande fait suite au soutien militaire présumé du pays à l'invasion russe. L'Iran entamera sa campagne le 21 novembre contre l'Angleterre. Les Iraniens affronteront ensuite le Pays de Galles et les États-Unis dans le groupe B. Le Shakhtar Donetsk exige l'exclusion de l'Iran au profit de l'Ukraine Le directeur général du club, Sergei Palkin, a accusé l'Iran de "participation directe à des attaques terroristes contre des Ukrainiens". Il a ensuite suggéré que l'équipe de son propre pays devrait jouer au Qatar en remplacement. Lire aussi : Droits des femmes : Possible exclusion du Mondial pour l'Iran ? "Ce sera une décision juste qui devrait attirer l'attention du monde entier. Il s'agit d'un régime qui tue ses meilleurs éléments et aide à tuer des Ukrainiens". C'est ce qu'a déclaré M. Palkin dans un communiqué, un jour avant que son équipe ne joue au Celtic en Ligue des champions. La Maison-Blanche a déclaré jeudi que les États-Unis avaient des preuves. Les troupes iraniennes étaient "directement engagées sur le terrain" en Crimée. Elles soutiennent les attaques de drones russes contre les infrastructures et la population civile ukrainiennes. Le chef des services de renseignement ukrainiens, Kyrylo Budanov, a pris la parole dans une interview publiée lundi. Les forces russes avaient utilisé environ 330 drones "Shahed" de fabrication iranienne, selon lui. La Russie et l'Iran ont tous deux nié que les drones utilisés étaient de fabrication iranienne. Lire aussi : Qui va gagner la Coupe du monde 2022 au Qatar ? Notre prono ! La Fifa va-t-elle exclure l'Iran ? La FIFA n'a pas immédiatement répondu à une demande de commentaire. Toutefois, la suspension d'une équipe asiatique ne profitera pas à une équipe européenne lors de la Coupe du monde. L'instance mondiale du football ne suspend généralement pas les fédérations membres en raison de décisions militaires. La Yougoslavie a été exclue pour la Coupe du monde 1994 après l'imposition de sanctions par les Nations unies pendant la guerre dans les Balkans. La FIFA a suspendu des équipes russes à la suite de l'invasion de l'Ukraine. Cela a empêché la Russie de participer aux éliminatoires de la Coupe du monde en mars. L'instance mondiale du football a invoqué des risques pour la sécurité et l'intégrité de ses compétitions. L'adversaire prévu de la Russie, la Pologne, avait refusé de jouer ce match. Lire aussi : Le Shakhtar Donetsk réclame une somme colossale à la Fifa ! La FIFA résiste également aux appels lancés ce mois-ci par des groupes de supporters iraniens en faveur de la suspension de l'équipe nationale pendant la répression nationale des manifestations de rue en faveur des droits des femmes et en raison d'une politique de longue date empêchant les femmes d'assister librement aux matchs de football et d'autres sports. Normalement, la FIFA ne suspend les équipes nationales que lorsque le gouvernement du pays interfère dans le fonctionnement indépendant de la fédération nationale de football. Read the full article
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miuarchiv · 2 years
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p1: An illustration from Dr. Francis Lang's memoir, Mémoires d'un médecin de campagne 1940-1990, 1991. No caption was given. We deemed the location as Piazza del Duomo, see p2-3, the details of columns, streetlamp, and the "Motta" pattern on curtains. The Motta Milano 1928 Bar is still in Galleria Vittorio Emanuele II now.
P4: The position of the visual horizon (marked as dark-red dotted line) was determined by extending horizontal parallel lines on the streetlamp base and the facade of Galleria Vittorio Emanuele II. If the camera's lens were held at eye level, then the photographer's height was about 165cm (since WS's height was 175cm according to his SS documents). However, the possibility of Chest-Level Shot cannot be excluded. We can only assume it was a trip to Milan during his treatment in Pallanza.
WS's story occupied one chapter in Dr. Lang's memoir. Lang was contacted by Roger Masson in May 1951, through a mutual friend in Swiss Police, Georges Ducry, to give treatment to WS. He generously covered WS's 20000 francs expenses until he left for Pallanza and received 30000 francs from Coco Chanel. His attitude towards WS was totally positive. Truly believing in the friendship shared by WS, Masson, and himself, He described WS in such a way:
"Walter Schellenberg was a handsome, friendly, intelligent man, a musician and a lawyer by training."
"Every second or third evening, when I had time, even at late hours, I would go and talk to my patient. He had fought in the Balkans, and he told me what he had experienced in Romania, Yugoslavia and Czechoslovakia. I thought very highly of him. We were about the same age, we got along very well. Schellenberg was a devout Catholic, he took communion every day."
In conclusion, he asserted that "Even today, I affirm that I acted in good faith and that I believed in Walter Schellenberg's sincerity (cf. Document annex 2). I do not regret anything."
As Doerries already pointed out, there are some conflicts between Lang's personal discourse and that of other people, Klaus Harrprecht for example. His book had covered most aspects of this chapter about WS. A few details he trimmed off are as follows:
• A Swiss passport office staff named Marcus Waeber made a fake Swiss passport for WS under the name "Louis Kowalki" - a character from detective novels he wrote.
• Masson's confidant Sven Hinnen accompanied WS to Pallanza through the custom of Brigue on Easter day in 1952. This "very cheeky guy" stole a stamp from the customs officer's bag on the luggage rack and stamped WS's fake passport.
• The priest from Rome who administrated WS's last sacraments, Franz Emmeneger, purchased a tombstone for him in the Turin cemetery as well. (Another account about the one who paid for WS's funeral.)
• In the early 1960s, Lang categorically rejected the demand for files in his possession from the Swiss Police and Masson's successor Dupasquier. He only agreed to hand over these dossiers consisting of letters from various personalities and WS's microfilms to Masson. At that time he occasionally wrote to Irene. Although Irene asked him to keep in touch, he "had no more time and was no longer interested".
Lang passed away in 1992. His son Thierry Lang, a jazz pianist, remembered him as "fully devoted to his patients, worked 14 hours a day". Sylvia Lang, born in Buenos Aires in 1924, has turned 97 this year. She can speak 7 languages, the fact that she talked to WS in English while Francis Lang talked to him in German was a bit confusing.
Although Francis Lang was confident of his memory, there are some factual inaccuracies in this chapter, such as "In 1929, the young Walter began studying medicine in Bonn"(this may be the result of WS's own simplification, just as his own memoir), "(In Nuremberg)He was sentenced to 4 years in prison", "unlike other Nazi leaders, Schellenberg left his family in dire straits in Nuremberg, where his wife lived in a miserable two-room apartment with her 5 children" (indeed, it was possible that the Schellenbergs adopted the 5th child). After all, this memoir was written almost 40 years after their encounter. Thierry Lang also mentioned a fire at their home in 1962, which might cause damage to some documents that could have served as references for Francis Lang's writing.
Annex 2(FR&DE):
https://drive.google.com/file/d/101AU3GjeKb9vaF9RsiqQAdAIkIuX7__R/view?usp=sharing
Thierry Lang talks about his family:
https://www.generations-plus.ch/?q=magazine/actualit%C3%A9s/personnalit%C3%A9s/thierry-lang-un-talent-qui-ne-vient-pas-de-nulle-part
French text translated to English by deepl.
The perspective analysis was done on another scan of this page without distortion but with lower quality.
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archiveavk · 4 years
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“Pavlo, you won”/ “Pavlo, tu as gagné”           (Description in English)   Golden Dawn (gr: “Χρυσή Αυγή”) is a neo-Nazi party -a former member of the Greek and Europe Parliament- which was founded on the first years of the Greek 3rd Democracy from the neo-fascist branch of the reminiscing collaborators of the Greek Military Dictatorship, 1967-1974. Although throughout the 80s and the 90s Golden Dawn was at the fringe of the Greek political spectrum, it was underground supported by the Greek state, operating under the protection of the security services, acting, at times, as a subserving force to its counter-insurgency operations and conducted attacks against anarchists, leftists, and immigrant workers from the Balkan peninsula. In the late ’00s, Golden Dawn gains leverage from the Greek Debt Crisis and the austerity programs imposed by the EU, ECB, and IMF, appealing to the sentiments of frustration and insecurity of the more «retrogressive» strata’s and exploiting to the maximum the, rather, positive stance of the Greek mainstream media towards them, who depicted them as a “cult” group who were “escorting the grandmother to the ATM’s to withdraw safely their pensions”. As a result, Golden Dawn, (preceded by a “surprising” success in the Athens municipal, during the 2010’s Greek local election’s),  entered in the Greek Parliament in 2012 and made the use of publicity, state’s subventions, and parliamentary immunity, strengthen the ties with the Greek state’s security apparatus, opened offices all over Greece and formed “raid battalions” which conducted numerous violent assault’s against democrats, antifascists, leftists, immigrants, and refugees, during 2010-2013, which lead to the assassination of the Pakistani 27-year-old migrant worker, Sahzat Luqman, in January 2013, in Petralona, Athens and the 34-year-old rap musician and anti-fascist activist, Pavlos Fyssas, in September 2013 at Keratsini, Peiraeus. The public outcry that followed the murder of Pavlos Fyssas and the mass protests that took place, forced the Greek Government to launch a crackdown on Golden Dawn’s leadership, charging them with managing a criminal organization. The trial of the Golden Dawn lasted 7 years. All of that time, the greek antifascist movement mobilize for the conviction of the neo-Nazis of Golden Dawn, with Magda Fyssa, the mother of Pavlos, playing a major role in the process of social de-legitimation of the fascists, due to her dignity, commitment, and combativeness for delivering justice for Pavlos and all the other’s victims of the Golden Dawn’s action. However, in 2019 the prosecutor’s proposal on the trial of the Nazi-criminal organization to acquit the leadership and its cadres of the serious crimes they are accused of reinforced the movements and spurred in dozens of rallies and teach-ins all over Greece, under the campaign “They are not innocent”, which conclude in a mass gathering outside of the court, in 7. 10. 2020 where the verdict for the Golden Dawn was delivered, ruled that the neo-Nazi party is a criminal organization in disguise and the actual and former leadership and the cadre of the party are guilty of managing and belonging to a criminal organization. Celebrating this historical verdict and commemorating Pavlos Fyssas and the major contribution of the Greek antifascist movement for the condemnation, not only in the courts but also at a society level, of the neo-Nazis of the Golden Dawn, we made this street-bomb in a central highway of Athens, declaring “Pavlo, you won”!                         ————————————————————————————— (Description en Francais) Aube Dorée (gr: “Χρυσή Αυγή”) est un parti néonaziste - ancien membre du Parlement grec et européen - qui a été fondé sur les premières années de la 3ème Démocratie grecque à partir de la branche néofasciste des collaborateurs de la Dictature militaire grecque 1967-1974. Même si, tout au long des années 80 et 90, Aube Dorée était à la frange du spectre politique grec, elle était soutenue dans la clandestinité par l'État grec, opérant sous la protection des services de sécurité, agissant parfois comme une force de réserve pour ses opérations anti-insurrectionnelles et menant des attaques contre les anarchistes, les gauchistes et les travailleurs immigrés de la péninsule des Balkans.
À la fin des années 2000, Aube Dorée tire profit de la crise de la dette grecque et des programmes d'austérité imposés par l'UE, la BCE et le FMI, en faisant appel aux sentiments de frustration et d'insécurité des couches les plus “rétrogrades” et en exploitant au maximum l'attitude plutôt positive des médias grecs à leur égard, qui les dépeignaient comme un groupe “culte” qui “escortait la grand-mère aux distributeurs automatiques de billets pour retirer en toute sécurité leurs pensions”. En conséquence, Aube Dorée, (précédé par un succès “surprenant” dans la municipalité d'Athènes, lors des élections locales grecques de 2010), est entré au Parlement grec en 2012 et a fait usage de la publicité, des subventions de l'État et de l'immunité parlementaire pour renforcer les liens avec l'appareil de sécurité de l'État grec, a ouvert des bureaux dans toute la Grèce et a formé des “bataillons de raid” qui ont mené de nombreuses attaques violentes contre les démocrates, les antifascistes, les gauchistes, les immigrants et les réfugiés, entre 2010 et 2013, qui ont conduit à l'assassinat du travailleur migrant pakistanais de 27 ans, Sahzat Luqman, en janvier 2013, à Petralona, Athènes, et du musicien de rap et militant antifasciste de 34 ans, Pavlos Fyssas, en septembre 2013 à Keratsini, Peiraeus. Le tollé public qui a suivi le meurtre de Pavlos Fyssas et les protestations de masse qui ont eu lieu, ont forcé le gouvernement grec à lancer une campagne de répression contre les dirigeants de Golden Dawn, en les accusant de gérer une organisation criminelle. Le procès de la Golden Dawn a duré 7 ans. Pendant tout ce temps, le mouvement antifasciste grec s'est mobilisé pour la condamnation des néo-nazistes de la Golden Dawn, avec Magda Fyssa, la mère de Pavlos, qui a joué un rôle majeur dans le processus de délégitimation sociale des fascistes, en raison de sa dignité, de son engagement et de sa combativité pour rendre justice à Pavlos et à toutes les autres victimes de l'action de la Golden Dawn. Cependant, en 2019, la proposition du procureur relative au procès de l'organisation criminelle nazie d'acquitter la direction et ses cadres des crimes graves dont ils sont accusés a renforcé les mouvements et a donné lieu à des dizaines de rassemblements et de séminaires dans toute la Grèce, dans le cadre de la campagne “Ils ne sont pas innocents”, qui se sont terminés par un rassemblement de masse devant le tribunal, en 7. 10. 2020, où le verdict de la Golden Dawn a été rendu, a statué que le parti néonaziste est une organisation criminelle déguisée et que les dirigeants et cadres actuels et anciens du parti sont coupables de gérer une organisation criminelle et d'en faire partie. En célébrant ce verdict historique et en commémorant Pavlos Fyssas et le rôle majeur du mouvement antifasciste grec dans la condamnation, non seulement devant les tribunaux mais aussi au niveau de la société, des néonazis de la Aube Dorée, nous avons fabriqué cette bombe de rue dans une autoroute centrale d'Athènes, en déclarant “Pavlo, tu as gagné” !
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dujeu · 2 years
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Comment la réalité montre que cette guerre est plus qu'un meilleur
Résumé
Apprenez comment les conflits armés ont façonné le développement de la Ce guerre du mien.
Lisez comment 11 Bit Studios a transformé la lutte civile en un jeu le plus vendu.
Pourquoi cette guerre des développeurs de mine_ croit avoir fait plus qu'un jeu.
Le monde moderne est quelque chose qui nous choque constamment. Mais il était impossible d'imaginer que des années plus tard, _ cette guerre _ ne serait pas seulement un best-seller qui a façonné 11 studios Bit à bien des égards. Mais aussi que la vie nous rappellera douloureusement la pertinence de son thème, et nous apprenons une fois de plus que nous avons fait plus qu'un simple jeu.
Résumé
Cette guerre: coupe finale
La guerre des Balkans était l'étincelle initiale qui a déclenché l'idée de faire un tel jeu. Mais les inspirations ont également été tirées du soulèvement de Varsovie, du siège de Grozny et de la guerre civile syrienne. Tous ces conflits avaient une chose en commun - la tragédie des civils piégés dans les villes détruites par les hostilités. Lorsque cette guerre du mien_ était toujours en développement, en mars 2014, la guerre de Donbas a éclaté, et l'équipe a ressenti encore plus de responsabilités dans l'élaboration de son message sur le bon ton et l'importance de ce que nous essayons de réaliser. Et maintenant, nous sommes profondément choqués par la quantité d'agression visant l'Ukraine huit ans plus tard et le fait que l'humanité doit à nouveau revivre toute cette cruauté.
Quelques heures après que la Russie ait envahi l'Ukraine lorsque des images de bâtiments détruits ont émergé sur Internet, les gens ont commencé à écrire: «Cela ressemble à cette guerre du mien_.» Bien que vous puissiez vous sentir fier que votre travail se soit révélé si précis qu'il est associé à certaines situations, il est également extrêmement amer que cette guerre du mine_ reste réelle. C’est pourquoi nous, en tant que développeurs derrière un jeu portant un message anti-guerre, avons ressenti l’urgence d’agir et de lancer la campagne de collecte de fonds pour l’Ukraine le même jour.
À l'époque, lorsque l'idée derrière le jeu a commencé à prendre forme, nous avons estimé que cela pourrait être quelque chose d'unique. Une plate-forme pour transmettre un message significatif. Cela ne pourrait pas être possible sans une certaine délicatesse dans l'approche du thème pour la représenter avec respect et sensibilité. Des civils, piégés dans une réalité déchirée par la guerre, mourant à cause de la faim et du manque de médecine - ce n'est pas quelque chose que vous associez à un divertissement simple qui vient à l'esprit lorsque vous pensez aux jeux. Ce guerre du mien était un risque. Mais nous n'avons pas reculé. Pour ne pas banaliser le sujet, nous avons décidé que chaque partie du jeu doit correspondre à son essence et son message. Des mécanismes de gameplay à travers le script aux visuels. Tout devrait agir comme un ensemble cohérent qui met en évidence les horreurs de la guerre.
Comme la guerre du mien_ fait sa transition vers Xbox Series X Et être présenté dans Game Pass aidera encore à diffuser notre message. Le risque a porté ses fruits, et après _ cette guerre _, nous nous sommes dit que nous ne voulions pas faire de jeux. Nous voulons faire des jeux avec des thèmes stimulants qui peuvent être considérés comme un divertissement significatif. Et nous le faisons toujours.
Cette guerre: coupe finale
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Studios de 11 bits
☆☆☆☆☆
★★★★★
19,99 $
Pré-commander
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La version finale remasterisée pour Xbox Series X | S est enfin là! Dans cette guerre, vous ne jouez pas en tant que soldat d'élite, plutôt comme un groupe de civils essayant de survivre dans une ville assiégée; aux prises avec un manque de nourriture, de médecine et de danger constant des tireurs d'élite et des charognards hostiles. Pendant la journée, vous devez vous concentrer sur le maintien de votre cachette: fabrication, trading et prise en charge de vos survivants. La nuit, prenez l'un de vos civils en mission pour récupérer des articles qui vous aideront à rester en vie. Prenez des décisions à vie et à la mort motivées par votre conscience. Essayez de protéger tout le monde de votre refuge ou sacrifiez certains d'entre eux pour une survie à plus long terme. Pendant la guerre, il n'y a pas de bonnes ou de mauvaises décisions; il n'y a que de la survie. Plus tôt vous vous rendez compte que, mieux c'est. Cette guerre: les principales caractéristiques principales de coupe: - Inspiré par des événements réels - Contrôlez vos survivants et gérez votre abri - armes artisanales, alcool, lits ou poêles - tout qui vous aide à survivre - prendre des décisions - un souvent impitoyable et difficile émotionnellement Expérience - Monde et personnages randomisés chaque fois que vous commencez un nouveau jeu - esthétique au charbon de bois pour compléter le thème du jeu - toutes les mises à jour et les extensions gratuites ajoutées en cours de route pour créer la coupe finale
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rcvandenboogaard · 6 years
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De Wereldoorlog die nooit eindigde
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In Parijs wordt vandaag feestelijk het einde van de Eerste Wereldoorlog gevierd, maar voor lang niet iedereen in Europa en daarbuiten was die oorlog op 11 november 1918 ook daadwerkelijk afgelopen. Er volgde een lange reeks van gewapende conflicten en burgeroorlogen, waarbij van geallieerde zijde Frankrijk en Engeland zich niet onbetuigd lieten. Echt afgelopen, zou je kunnen zeggen, was de Wereldoorlog pas bij het Verdrag van Lausanne in 1923. Toen had het nieuwe Turkije het gezag over Anatolië militair herwonnen. Griekenland en Turkije gingen, onder auspiciën van de internationale gemeenschap, over tot de vermoedelijk grootste ethnische zuivering uit de geschiedenis: een half miljoen Turken (gedefinieerd als moslims) moest Griekenland verlaten, en twee miljoen Grieken (orthodox-christelijken) dienden Turkije te verlaten. 
De grootscheepse herdenking van 11 november is natuurlijk alleszins te rechtvaardigen. In 1918 eindigde, tot grote vreugde van de menigten in de Westerse hoofdsteden, een moorddadig conflict van ongekende omvang, dat een einde had gemaakt aan de wereld zoals men die rond 1900 had gekend. Maar onbedoeld maakt het feest in Parijs vandaag ook duidelijk hoezeer het Westers geschiedbeeld nog wordt bepaald door wat er gebeurt in de rijke, tot op heden nog redelijk stabiele landen van West-Europa en aan de andere kant van de Oceaan. De gang van zaken in Oost-Europa en het Midden-Oosten is in die opvatting iets van een andere orde - op grond van een bijna ‘koloniaal’ aandoende neiging om Oost-Europa en andere aangrenzende gebieden te zien als ‘woeste’ streken, waarvoor nu eenmaal andere normen gelden.
Dat de talloze gewelddadige gebeurtenissen in de periode 1918-1923 moeten worden gezien als een voortzetting van de Wereldoorlog is de these van de Duitse historicus Robert Gerwarth, in zijn prachtige studie The Vanquished, Why the first world war failed to end uit 2016. Hij onderscheidt twee groepen conflicten. Er zijn de oorlogen tussen reguliere legers, soms legers van nieuwe staten in opkomst: de Poolse oorlog met de Sovjet-Unie, de Grieks-Turkse oorlog, de Roemeense invasie van Hongarije. En er zijn burgeroorlogen: in Rusland, Finland, Hongarije, Ierland en delen van Duitsland bijvoorbeeld. 
Deze lijstjes zijn overigens maar een greep, want er was veel meer geweld: Duitse Vrijkorpsen gingen in de Baltische landen tekeer tegen Estische en Letse nationalisten, Armeense nationalisten probeerden een nationale staat te grondvesten die tot aan de Kaspische zee reikte, Italianen hadden het voorzien op Fiume (Rijeka) en andere delen van het toekomstig Joegoslavië. In heel veel gevallen ging een en ander gepaard met ethnische zuiveringen - met andere woorden grootscheepse moord op burgerbevolking. Die tendens bestond ook al tijdens en voor de Wereldoorlog. Wat dat betreft zou je ook kunnen zeggen dat de Eerste Wereldoorlog al vóór 1914 was begonnen, met de Italiaanse verovering van Libië in 1911 bijvoorbeeld, of met de Balkan-oorlogen van 1912 en later, waarbij nieuwe, rivaliserende staten poogden een zo groot mogelijke hap uit het zieltogende Ottomaanse Rijk te nemen.
Gerwarth is een tegenstander van de ‘brutaliserings’-these van de Duits-Amerikaanse historicus George L. Mosse (1918-1999). Mosse had in 1990 in zijn boek Fallen soldiers geopperd dat de frontervaring van miljoenen soldaten in de Wereldoorlog had geleid tot een grotere tolerantie voor geweld. Latere ontwikkelingen zoals de opkomst van het fascisme en de nog veel omvangrijker inzet van geweld tegen burgerbevolking tijdens de Tweede Wereldoorlog, zouden door deze mentaliteitsomslag mede verklaard kunnen worden. Maar hoe komt het dan, vraagt Gerwarth zich af, dat het geweld in de jaren na 1918 zo ongelijk verdeeld is. Groot-Brittannië, Frankrijk, België en zelfs Duitsland zijn in deze jaren relatief stabiele landen, als je ze vergelijkt met Oost-Europa en het Midden-Oosten. Het herstel van het Franse bestuur over Elzas-Lotharingen, dat in 1870 aan Duitsland was verloren, gaat niet gepaard met ethnische slachtpartijen. Er moet voor deze discrepantie een andere, meer politieke verklaring zijn, want in het oosten is geweld niet vanzelfsprekender dan in het westen. 
Veel van het geweld bij de revoluties en opstanden heeft een sociale achtergrond - in Rusland en Duitsland bijvoorbeeld. Maar voor een ander deel  is het zeker het gevolg van de manier waarop de overwinnaars van 1918 Oost-Europa en het Midden-Oosten wilden herschikken - namelijk door een eind te maken aan de nog bestaande multinationale imperia in Europa. Eerste op de lijst was het Ottomaanse Rijk, dat de hele XIXde eeuw al als ‘de zieke man van Europa’ gold en in de Wereldoorlog de verkeerde kant had gekozen. Ook de Oostenrijks-Hongaarse Dubbelmonarchie - vóór 1914 een tamelijk stabiele structuur die eveneens onder de  verliezers van de oorlog was - kwam voor liquidatie en vervanging door nationale staten in aanmerking. En dan was er natuurlijk nog Rusland: het tsaristische imperium had in 1914 weliswaar de ‘goede’ kant gekozen maar na de revolutie van 1917 had de Sovjet-Unie een smadelijke vrede met Duitsland gesloten. En Rusland stond in het Westen toch al bekend als de ‘gevangenis der volkeren’ - niet voor niets was voor de geallieerde overwinnaars een van de eerste prioriteiten, de Poolse onafhankelijkheid te herstellen. 
De grote herschikking van de kaart, in het kader van de overwinnaarsvrede van Versailles en latere verdragen, gebeurde voor een deel met loffelijke bedoelingen. De voorbije oorlog zou de laatste moeten zijn, “la der des der” zoals ze in Frankrijk zeiden. “The war to end all wars”, zoals de Amerikaanse president Woodrow Wilson zei, die door het opbreken van de laatste Europese imperia de wereld (of althans Europa) ook “safe for democracy” wilde maken. Maar relatief nieuwe nationale staten hebben de neiging ontevreden te zijn met hun territorium, omdat er volksgenoten buiten de grenzen wonen, of juist vertegenwoordigers van de ‘verkeerde’ nationaliteit binnen de grenzen. Dat was na 1918 het eerste recept voor oorlog: wie had de eeuwenlang onderdrukte Grieken het recht op achterland voor hun historisch centrum Smyrna (nu Izmir) kunnen ontzeggen? 
Maar praktisch gesproken kon natuurlijk ook niet elke natiestaat een heel eigen staat krijgen: de Kroaten bijvoorbeeld werden geacht zich te schikken in een door Servië gedomineerd Joegoslavië en de Slowaken moesten gelukkig zijn in een unie met de Tsjechen. De overwinnaars van de oorlog wilden bovendien de verliezers een lesje leren: meer dan de helft van Hongarije werd toegewezen aan buurlanden, Italië kreeg Zuid-Tirol, maar vond dat een te kleine fooi, vooral nadat de Italiaanse plannen in Anatolië mislukt waren. En tot overmaat van ramp waren Frankrijk en Engeland heel ijverig met het bedrijven van eigen machtspolitiek, ook met troepen. In het Midden-Oosten, met de Sykes-Picot-linie tussen Syrië en Irak is dat nog het duidelijkst zichtbaar. Maar er zijn talloze andere voorbeelden: de geallieerde interventies in Turkije en Rusland bijvoorbeeld.
Zou Europa stabieler en vreedzamer geweest zijn als de geallieerden de drie Europese imperia intact hadden gelaten? Of zou juist dat een recept zijn geweest voor spanning en nationale opstanden? Gerwarth werpt die vraag op, en ofschoon het meestal weinig zin heeft te speculeren over alternatieve geschiedenis, denk je onwillekeurig: best mogelijk. Van democratie kwam in de na 1918 gevormde Europese staten in ieder geval niet veel terecht: alleen Tsjechoslowakije en Finland konden ten tijde van het uitbreken van de Tweede Wereldoorlog nog met recht een democratie worden genoemd. Estland, Letland, Litouwen, Polen, Hongarije, Oostenrijk, Roemenië, Albanië, Joegoslavië, Bulgarije, Griekenland - allemaal werden ze in de loop van de jaren twintig en dertig een militaire dictatuur of anderszins een autoritaire staat. 
De hedendaagse ontwikkeling in Hongarije en Polen geeft je het gevoel dat de ‘weeffout’ van 1918 nog lang niet hersteld is: het zijn nog altijd onstabiele landen, die ook in 1989 of door hun opname in de Europese Unie niet per se ‘safe for democracy’ zijn geworden. Oude grieven tegen de buurlanden zijn evenmin begraven, zoals bijvoorbeeld blijkt uit de manier waarop de huidige Hongaarse regering fulmineert tegen het Verdrag van Trianon (1920), waarbij Transsylvanië aan Roemenië werd toegewezen. Menigeen broedt nog op de mogelijke uitwissing van een ‘schande’ uit die tijd: de Turkse president Erdogan, of de aanhangers van de Groot-Servische-, de Groot-Bulgaarse-, de Groot-Albanese-, de Koerdische- en ga nog maar even zo door- gedachte.
Deze gecompliceerde erfenis van de ‘verlengde’ Eerste Wereldoorlog komt vandaag vermoedelijk niet naar voren op de honderdste Wapenstilstandsdag. Maar ere wie ere toekomt: in het Parijse Musée de l’armée (in de Invaliden) is een kleine tentoonstelling ingericht over het Franse Armée de l’Orient, de Franse troepen die tijdens de Eerste Wereldoorlog en in de jaren daarna aan het oostelijk front vochten. Dat leger behelsde enkele honderdduizenden poilus, dienstplichtigen, die in 1915 meevochten in de mislukte poging om de zeeverbinding tussen Middellandse- en Zwarte zee aan Turkse controle te ontrukken - een campagne die bekend staat als de slag om de Dardanellen of de slag om Gallipoli. Na de nederlaag daar trokken ze terug op de havenstad Saloniki, het huidige Thessaloniki. Vanuit deze basis vochten ze jarenlang met name tegen de Bulgaren, veelal in samenwerking met Servische, Griekse, Italiaanse en andere troepen
In 1918 werden deze Franse troepen tot hun grote teleurstelling niet gedemobiliseerd. Hun oorlog ging gewoon verder: bij de verdrijving van de Bulgaren uit Macedonië, van de Hongaren uit Transsylvanië, de Turken uit Constantinopel. Ze steunden ook de Grieken in Anatolië en de Witten in Zuid-Rusland, met als basis Sebastopol. Hun geschiedenis was en is zelfs in Frankrijk weinig bekend - hun oorlog was ook geen loopgravenoorlog, zodat hun ervaringen niet zo erg passen in het beeld dat men in het moederland van de Eerste Wereldoorlog heeft. Bovendien was hun aanwezigheid in Frankrijk indertijd politiek omstreden - ook al geen reden om hun oorlog in het zonnetje te zetten. De wreedheid van het front op de Balkan was er echter niet minder om, om nog maar te zwijgen over de vele epidemieën waaraan de soldaten bloot stonden. 
Af en toe valt er opeens licht op het Franse Armée de l’Orient. In 1934 werd de Prix Goncourt, Frankrijks belangrijkste literaire prijs, gewonnen door de roman Capitaine Conan van Roger Vercel, zelf een veteraan van het Armée de l’Orient. Het boek schildert de belevenissen van soldaten voor wie na 1918 de oorlog nooit lijkt te eindigen en voor wie extreem geweld een tweede natuur is geworden. In 1994 heeft Bertrand Tavernier naar de roman een gelijknamige speelfilm gemaakt. En nu is er dan die tentoonstelling, onder de naam À l’Est la guerre sans fin, 1918-1923. Wie goed kijkt, kan zien dat die oorlog ook nu nog niet helemaal voorbij is. 
Robert Gerwarth: Why the first world war failed to end, 1917-1923. Londen 2016 (Penguin-pocket 2017) 
Musée de l’armée, À l’Est la guerre sans fin, 1918-1923; expositie tot 20 januari 2019, meer info HIER op de site van het museum.
Afbeelding boven: Franse soldaten op mars in Macedonië, jaar onbekend. Afbeeldingen onder: Franse militairen en gewonden-transport in Macedonië; still uit de film Capitaine Conan van Bertrand Tavernier. 
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reseau-actu · 6 years
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La décision de Vienne de refouler les migrants à ses portes pourrait provoquer un «effet domino» en l'Europe.
De nombreuses questions restent en suspens en Autriche après le compromis trouvé par Angela Merkel et Horst Seehofer. L'éventualité d'une mise en place de camps de transit à la frontière austro-allemande a immédiatement fait réagir le chancelier Sebastian Kurz et son gouvernement, composé pour moitié de ministres d'extrême droite: «Nous n'avons été consultés à aucun moment», a déploré la ministre des Affaires étrangères, Karin Kneissl. Le ministre de l'Intérieur allemand s'est empressé d'appeler Sebastian Kurz mardi matin et se rendra à Vienne jeudi. Mais les discussions ne feront sans doute que renforcer l'orientation voulue depuis longtemps par l'Autriche, celle de protéger les frontières extérieures de l'espace Schengen.
Lorsqu'il était encore ministre des Affaires étrangères, Sebastian Kurz avait été l'un des acteurs ayant mené à la fermeture de la route des Balkans. Et l'immigration fut son principal thème de campagne pour que son parti gagne les élections, qui l'ont conduit à la Chancellerie. Mardi matin, il a répété à Strasbourg, devant le Parlement européen, que la protection des frontières figurait en haut de la feuille de route que l'Autriche allait suivre pendant sa présidence de l'Union européenne, entamée le 1er juillet pour six mois. Il met déjà ce principe en application à la frontière méridionale de son pays.
Moins de migrants en Autriche
La semaine dernière, une nouvelle unité de police dédiée à la protection des frontières, forte de 600 hommes, a été présentée lors d'un exercice militaire de grande ampleur à Spielfeld, à la frontière slovène. Deux cents élèves policiers ont joué le rôle de migrants, là où entre 2015 et 2016 sont passés à pied des milliers de réfugiés. La petite république balkanique n'a pas apprécié la démonstration et a rappelé qu'elle était d'autant plus capable de défendre les frontières de l'Europe que l'afflux de réfugiés n'avait plus rien à voir avec le pic de la crise. En Autriche, le nombre de demandes d'asile est tombé de 88.340 en 2015 à 24.735 en 2018.
» LIRE AUSSI - Italie: Matteo Salvini fixe un cap antimigrants à l'Italie
Du côté italien, la menace de la fermeture de la frontière a suscité l'ironie du ministre de l'Intérieur, Matteo Salvini, qui avait rencontré deux semaines auparavant son homologue autrichien Herbert Kickl. Tous deux siègent dans le même groupe d'extrême droite au Parlement européen. D'après Matteo Salvini, le nombre de migrants allant d'Autriche en Italie est plus important que ceux qui font le chemin inverse, aussi l'Italie aurait beaucoup à gagner si elle mettait elle-même en place un contrôle aux frontières.
Si l'Autriche veut faire des contrôles, elle en a tout le droit. Nous ferons la même chose 
Un constat que nuance le maire de Brenner, une commune italienne qui voit passer bien moins de migrants que les précédentes années. «Si l'Autriche veut faire des contrôles, elle en a tout le droit. Nous ferons la même chose», a prévenu Salvini dont le pays est le principal point d'entrée des migrants en Europe via la Méditerranée. Les concessions octroyées par Angela Merkel, sous la pression de sa droite dure, risquent de provoquer un effet domino en Europe et de remettre en cause les grands principes du tout récent sommet de l'UE sur les migrants: promesse de privilégier des solutions européennes face aux tentations nationales et aide à l'Italie. Réputé pour sa fermeté sur le sujet, Sebastian Kurz, qui soutient le parti de Horst Seehofer, ne devrait pas changer sa position. Lundi, il s'est déjà prononcé sur les «plates-formes régionales de débarquement» que les dirigeants de l'Union européenne envisagent de créer hors du continent.
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carbone14 · 11 months
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Soldats SS sur le territoire de la Serbie – Invasion de la Yougoslavie – Campagne des Balkans – Yougoslavie – Avril 1941
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lovismont · 3 years
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Kosovo: une pensée stratégique
À partir de 1998, la Serbie a mené une campagne de contre-insurrection brutale qui a entraîné des massacres et des expulsions massives d'Albanais de race (quelque 800 000 Albanais de souche avaient été contraints d'utiliser leurs résidences au Kosovo). Immédiatement après l'échec des tentatives mondiales de médiation dans le conflit, une procédure militaire de l'OTAN de trois mois civils contre la Serbie à partir de mars 1999 a forcé les Serbes à accepter de retirer leurs services militaires et leurs forces de l'ordre du Kosovo. Autorités de protection des Nations Unies La résolution 1244 (1999) de l'image a placé le Kosovo sous une surveillance transitoire, l'objectif de supervision intérimaire des Nations Unies au Kosovo (MINUK), en attendant que soit consacrée la position future du Kosovo. Une procédure dirigée par l'ONU a commencé fin 2005 pour déterminer le dernier statut du Kosovo. Les négociations sur les conditions de 2006-2007 se sont terminées sans accord entre Belgrade et Pristina, bien que l'ONU ait publié un document complet sur la position finale du Kosovo qui approuve l'indépendance. Le 17 février 2008, le Kosovo Set up a déclaré le Kosovo autosuffisant. Depuis lors, plus de 100 pays ont reconnu le Kosovo et il a rejoint de nombreuses entreprises internationales. En octobre 2008, la Serbie a demandé un avis consultatif par le biais de la salle d'audience mondiale des droits propres (CIJ) sur la légalité de la législation mondiale de la proclamation de la liberté du Kosovo. La CIJ a présenté l'avis consultatif en juillet 2010 affirmant que la proclamation d'indépendance du Kosovo ne violait pas les directives générales du droit international, la résolution 1244 des autorités locales ou du conseil de sécurité des Nations Unies, organisation de séminaire ni même le cadre constitutif. Le point de vue a été étroitement adapté aux antécédents et aux situations particulières du Kosovo. Démontrant l'avancement du Kosovo dans un pays souverain, multiethnique et démocratique, le voisinage mondial a terminé la période d'autosuffisance surveillée en 2012. Le Kosovo a organisé ses dernières élections nationales et publiques en 2017. La Serbie refuse systématiquement l'autosuffisance du Kosovo, mais deux pays ont convenu en avril 2013 de normaliser leurs associations via des pourparlers facilités par l'UE, qui ont abouti à plusieurs accords successifs que les parties sont impliquées dans l'emploi, bien qu'ils n'aient pas encore atteint une normalisation approfondie des relations. Le Kosovo cherche à s'intégrer pleinement dans la communauté mondiale et a poursuivi des reconnaissances bilatérales et des abonnements dans des agences mondiales. Le Kosovo a convenu d'un accord de stabilisation et d'organisation avec l'ensemble de l'UE en 2015 et a été qualifié par un record de l'UE de 2018 de l'un des six pays traditionnels des Balkans occidentaux qui pourront faire partie de la société une fois qu'elle remplira les critères d'adhésion. Le Kosovo entend également devenir membre de l'ONU et de l'OTAN. Le Kosovo a enregistré son premier déficit budgétaire du gouvernement fédéral en 2012, lorsque les dépenses des autorités ont fortement augmenté. En mai 2014, le gouvernement américain a introduit une augmentation de salaire de 25% pour le personnel ouvert de l'industrie publique, ainsi qu'une augmentation égale des récompenses interpersonnelles en particulier. Les revenus centraux n'ont pas pu maintenir ces augmentations, et le gouvernement a été contraint de minimiser ses actifs de fonds prévus. Le gouvernement, dirigé par l'excellent ministre MUSTAFA - un économiste de formation - a récemment apporté de nombreuses modifications à son plan financier, allongeant la liste des importations en franchise de droits, abaissant la taxe utile (TVA) pour les aliments simples et les ressources publiques générales, et améliorant la TVA pour de nombreux autres articles. Bien que l'économie du Kosovo ait continué de créer du développement, le chômage n'a pas été réduit et aucun niveau de vie n'a été relevé, faute de réformes financières et de dépenses.
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serialfrenchblogger · 6 years
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Roadtrip en Serbie : Zica, Kraljevo, Studenica
Lors de mon roadtrip dans les Balkans, j’ai quitté Belgrade pour aller me perdre dans la campagne. J’aime bien visiter les grandes villes mais j’aime aussi m’éloigner là où personne ne va (pour l’instant) et voir les autres facettes d’un pays ou d’une région. Donc après la capitale, direction Zica où je suis restée 2 jours (et demi) pour visiter son monastère, Kraljevo et le monastère de…
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actusfrances · 5 years
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Les voyages “Zéro carbone” des lecteurs de We Demain
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Et si les vacances étaient l'occasion d'explorer de nouveaux mode de vie ? De vivre davantage au rythme de la nature ? Ou même à son propre rythme ? En pleine crise climatique, à l'heure du flygskam (la honte de prendre l'avion), des paysages dénaturés par le tourisme de masse, nous avons interrogé nos lecteurs sur leurs projets de vacances. En France et dans le monde, vous avez été nombreux à nous écrire pour partager des expériences de slow voyage ou d'aventures éco-responsables. Petit tour d'horizon de ces voyages inspirants.
Lucille et Jean Alain, adeptes du “slow tourism”
Ils avaient pris l’habitude de voyager à l’étranger - en couple - au minimum une fois par an. Lucille et Jean-Alain Blay apprécient le dépaysement, mais depuis quelques temps, ils ont perdu le goût des escapades d’hôtel en hôtel.
“En voyageant, je me suis rendue compte qu’il n’y avait que très peu de  location de vacances qui faisaient de véritables efforts pour respecter l’environnement”, explique Lucille.
Plutôt que de s’offrir un voyage annuel à l’autre bout du monde à 1 500 euros, cette année le couple a décidé d'investir dans des vélos d'occasion en participant au défi Rien de Neuf : en septembre, ils voyageront localement dans leur région, la Charente-Maritime.
“Nous voulons nous prouver qu'on peut être dépaysé sans faire 10 000 km”
Leur démarche va même plus loin. Pour promouvoir le slow tourism, ils ouvriront bientôt des gîtes écologiques à La Rochelle.
À lire aussi : Slow voyage : zappez l'avion pour ces lignes de train bucoliques
Eva, un voyage en transition
Il y a quelques années, Eva Comble aussi aurait profité de ses congés pour partir à l'autre bout du monde.
“Naïvement, je pensais que l'impact carbone de mon long courrier était largement compensé par ma démarche zéro déchet, mes déplacements quotidiens en vélo, mon régime pauvre en viande… Grosse erreur de ma part !”
À 36 ans, cette ingénieure et mère de deux enfants a décidé cette année de faire ce qu'elle appelle un “Voyage en transition” : une expédition de deux mois, en famille, en juillet et août, à pied et à vélo électrique à la découverte de nouveaux lieux de vie écologiques et participatifs dans le sud de la France.
“Je souhaite visiter ces hameaux, ces villages, ces quartiers qui mettent le mot "coopération" en lieu et place du mot "compétition".”
Et pendant son séjour, Eva va minutieusement calculer son empreinte carbone. Transports, alimentation, numérique, équipement… En tout et pour tout, elle entend rester en dessous des 5 kg de CO2 par jour, le "budget carbone" individuel compatible avec un réchauffement de 1,5 °C, selon ses estimations.
À lire aussi : Cette carte de crédit révèle l'empreinte carbone des achats quotidiens
Hortense et Mathias, zéro avion, zéro déchet
Cap sur l’étranger cette fois. Hortense Lecouffe et Mathias, son compagnon, ont eux décidé de partir loin, et là encore sans avion. Cargo, bateau, stop, vélo, bus, ou train... Entre l'été 2019 et 2020, le couple prévoit de voyager dans sept pays et de traverser deux fois l'océan Atlantique, sans jamais décoller. Et leur démarche écolo ne s'arrête pas là : Hortense et Mathias se sont équipés chacun d'un petit sac banane, et vont tenter de ne pas produire plus de déchets qu'il ne peut en contenir pendant leur année de voyage !
“Notre défi : adapter notre mode de vie zéro déchet au voyage. Cela nous a demandé du temps, mais nous sommes très satisfaits de rester cohérents dans notre démarche.”
Pour trouver les fonds nécessaires à un tel projet, le duo Banaclichet - pour "banane", "climat” et "déchet” - a utilisé la plateforme de financement participatif Kiss Kiss Bank Bank. En offrant en contrepartie aux donateurs des sacs et cabas à vrac - confectionnés à la main.
À lire aussi : "Crowdfunding : "depuis 10 ans, le marché double chaque année"
Anissa et Stéphane, globe-tortues
Anissa Ichallal et Stéphane Membré aiment aussi les aventures en mode slow. Ils ont déjà parcouru 7 260 kilomètres en 8 mois pour atteindre la Grèce en traversant les Balkans. Leur prochain voyage débutera en août, à travers 28 pays et s'achèvera en Australie. Là encore, à pied, en bus, en stop ou en covoiturage.
“Nous portons de l'importance à la transmission et au partage. Nous traçons notre itinéraire au fil des rencontres. On a d'ailleurs appelé ce projet My Nomad Project.”
Un type de voyage qui demande toutefois de la préparation car eux aussi font attention, dans tous les domaines, à leur empreinte écologique.
“Le contenu de notre trousse de toilette est principalement solide, zéro déchet, bio et fait maison par moi-même. Les autres produits sont achetés chez des artisans locaux ou, quand c’est possible, en vrac,” explique Anissa.
Pour ses repas, le couple se mijote des petit plats - végétariens, la plupart du temps - dans un réchaud et aime partager la table des locaux.
Rémi, ingénieur écolo'
Au-delà des projets personnels, vous nous avez aussi partagé des projets de groupe ! Rémi Molbert participe à l'organisation du voyage de fin d’étude des élèves ingénieurs de l’École Supérieure du Bois (Paris), cette année avec une approche écolo. L'an passé le voyage a eu lieu à Punta Cana, en République dominicaine...
"Dans un contexte d'urgence climatique, nous avons remis en question l'impact d'un tel voyage à l’étranger."
C’est l’Autriche qui hébergera donc cette année les étudiants. Ils voyageront en train. Le groupe réalise d’autre part, en ce moment même, différentes actions de compensation carbone, comme des campagnes de plantations d’arbres.
"En plus du choix de destination, tous les moyens sont bons pour réduire notre empreinte carbone sur ce voyage."
Pour se restaurer, la promotion cherche actuellement des adresses bio, ou qui s'alimentent en circuit court.
"Un futur ingénieur doit être informé et sensibilisé à la protection de l’environnement, c'est primordial avant de rentrer dans la vie active."
Sur place, les élèves rencontreront d'ailleurs uniquement des spécialistes du bois impliqués dans une démarche de protection de l'environnement.  
  We Demain remercie tous les autres lecteurs ayant répondu à notre appel à témoignage "voyage zéro carbone" !
from We Demain, une revue pour changer d'époque https://ift.tt/2kbbQeR via IFTTT
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ÉTAPE 13 : LE MONTÉNÉGRO
LA “MONTAGNE NOIRE DES BALKANS”
Nous passons la frontière avec le Montenegro à Sukobin, au sud-ouest du lac de Skadar.
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Lac de Skadar
Nous décidons d’emprunter la route panoramique qui longe le lac jusqu’à Virpazar. Ce petit tronçon de route est peu fréquenté, heureusement car le croisement par endroit se fait difficilement grâce à des « passing place » qui nous rappellent l’Écosse. 
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Route scénique au bord du lac de Skadar
Les points de vue sur Skadar sont à couper le souffle : une eau lisse et d’un bleu éclatant avec de nombreux îlots, c’est tellement calme  et sauvage. C’est d’autant plus beau au coucher de soleil (par contre il ne faut pas être pressé !)
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Route scénique au bord du lac de Skadar
Le lendemain, on visite à nouveau les environs du lac malgré la brume.
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On continue d’explorer les abords du lac
On roule ensuite vers Petrovac, sur la côte adriatique. On peut admirer un beau petit château et son port depuis un beau belvédère au milieu des pins, c’est magnifique, mais nous ne restons pas longtemps.
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Village de Petrovac
Un peu plus au nord, on va voir le village de Sveti Stefan construit sur un petit îlot. Anciennement un village de pêcheur, c’est aujourd’hui un centre hôtelier. Nous admirons la « vue carte postale » sans vraiment nous y attarder.
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Village de Sveti Stefan 
Nous dormons à côté d’une église à proximité de Sveti Stefan.
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Au spot dodo
Le lendemain matin, on se rend au fameux belvédère de Pavlova Strana qui offre une vue imprenable sur le bras de rivière qui se jette dans le lac de Skadar.
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Point de vue de Pavlova Strana 
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À la découverte des campagnes environnantes
De Pavlova Strana, on souhaitait se rendre au mausolée du mont Lovcen. Malheureusement nous voyageons en hiver et le taux d’enneigement à cette époque est tellement important que l’accès au mausolée était fermé et la route inaccessible. Nous avons quand même emprunté un bout de route depuis Cetinje jusqu’au centre d’accueil du Parc National du mont Lovcen, mais nous avons dû rebrousser chemin.  
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Parc National du mont Lovcen
On redescend alors par Budva pour rejoindre les bouches de Kotor. Cette grande baie, qui débouche sur l’Adriatique, est entourée de hautes montagnes sombres et abruptes qui rapelle les grands fjords norvégiens.
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En redescendant vers Budva
On rencontre une famille qui nous invite à boire le café chez eux et goûter leur raki fait maison, ainsi que leur propre charcuterie, fromage frais, yaourt et j’en passe. On doit tout goûter ! Il nous parle de leur famille, nous parlons de la notre, c’est un bel échange. Ils ne parlaient pas anglais alors on communiquait comme on le pouvait. Au bout de quelques heures on a décidé de repartir et on s’est séparé, la larme à l’oeil… Cette rencontre, aussi brève qu’elle fut, était très intense et symbolise parfaitement l’accueil et la chaleur des balkans.
Après cela, on passe une nuit à Prčanj, les pieds dans l’eau au bord. En se promenant le long de l’eau en fin de journée, on admire un coucher de soleil extraordinaire. Un rayon de lumière rouge orangé a percé à travers la montagne et semblait découper le massif en deux. Le contraste avec le ciel orageux est saisissant. La nuit est calme et nous sommes bercées par le bruit des vaguelettes qui tapent prés du van.
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Prčanj au coucher de soleil
Au même endroit, on assiste à une triste scène. À travers la belle eau translucide, on aperçoit un drôle de sac plastique qui se déplace bien vite dans l’eau alors qu’il n’y a pas de courant. On réalise rapidement qu’il s'agit d’un poisson prisonnier à l’intérieur du sachet en plastique. Nous assistons à cette scène avec un monsieur d’un âge certain, qui semblait aussi choqué que nous.
Ce genre de situation nous fait vraiment prendre conscience de l’impact de l’homme sur l’environnement. Le problème de gestion des déchets dans les pays balkans notamment a su nous sensibiliser et nous a amené à remettre en question notre mode de consommation. On développe depuis quelque temps un réel intéret pour le « zéro déchet ».
Malgré la météo capricieuse ces derniers jours, on décide de visite la petite ville de Kotor. Les ruelles sont vides et les boutiques fermées pour la saison, on fait un tour sur le marché couvert et on escalade les quelques 1350 marches jusqu’au château de San Giovanni. L’ascension en vaut la chandelle, la vue sur les bouches de Kotor est tout simplement superbe !
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Village de Kotor
En chemin, on croise un petit chat adorable, le gardien de l’église, qui en profite pour prendre quelques patouilles au passage (ça nous va bien aussi !)
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Escapade au château de Kotor
Le soir même, nous dormons à nouveau au bord de l’eau, près du village de Perast cette fois. On se stationne à coté d’un autre van francophone. C’est assez marrant parce que nous avons croisé ce van à plusieurs reprises sur la route depuis la Grèce et on se retrouve voisin d’un soir au Monténégro plusieurs semaines après ! On fait (enfin) l’agréable connaissance d’Elsa et d’Alexis avec qui on passe une belle soirée.
Le lendemain, c’est une belle journée ensoleillée qui commence. On déjeune dehors, on se douche même dehors (si, si !) et on pêche un peu. Un peu plus tard, on visite la ville de Perast. Le tour est vite fait, on se promène le long de l’eau, on flâne, on admire les petits îlots au large de la ville qui abritent des édifices religieux.
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Village de Perast
Nous terminons notre séjour monténégrin au bord des douces eaux de Kotor. Nous passerons la frontière demain direction la Bosnie-Herzégovine !
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editions-mariquita · 5 years
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L’impérialisme des USA en Amérique latine
Particularités de l’impérialisme des USA en Amérique latine
Voir l’impérialisme comme un phénomène général, c’est perdre de vue son modus operandi dans un contexte plus précis et pertinent. L’exercice du pouvoir impérialiste révèle une stratégie commune, mais ses motivations, ses instruments, ses objectifs et son engagement varient selon la nature du pouvoir impérialiste et du pays visé.
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Le Venezuela, la cible actuelle du président étasunien Donald Trump, constitue un cas illustrant les « particularités » de la politique impérialiste. Nous allons maintenant décrire le contexte, les techniques et les répercussions de la prise du pouvoir impérial.
Contexte historique
Les USA ont une longue histoire d’interventionnisme au Venezuela, principalement pour prendre le contrôle de ses richesses pétrolières. Dans les années 1950, Washington a soutenu une dictature militaire, dirigée par Perez Jimenez, jusqu’à ce qu’il soit renversé par une grande alliance formée des socialistes révolutionnaires, des nationalistes et des sociaux démocrates. Washington ne pouvait intervenir et ne l’a pas fait. Il s’est mis plutôt du côté de l’action démocratique (AD), de centre-gauche, et des partis du Comité d’organisation politique électorale indépendante (COPEI), de centre-droit, qui ont alors déclaré la guerre à la gauche radicale. Au fil du temps, les USA ont retrouvé leur hégémonie jusqu’à ce que l’économie entre en crise dans les années 1990, entraînant des soulèvements populaires et des massacres par l’État.
Les USA ne sont pas intervenus au départ, car ils croyaient pouvoir coopter Hugo Chavez, parce qu’il n’était pas affilié à la gauche. De plus, les USA étaient engagés militairement dans les Balkans (Yougoslavie) et au Moyen-Orient et se préparaient à faire la guerre à l’Irak et à d’autres pays nationalistes qui s’opposaient à Israël et qui soutenaient la Palestine.
Sous le prétexte d’une menace terroriste mondiale, Washington a exigé la subordination à sa déclaration de « guerre mondiale contre le terrorisme ».
Le président Chavez ne s’y est pas plié, en déclarant qu’on « ne combat pas le terrorisme par le terrorisme ». Les USA ont conclu que la déclaration d’indépendance de Chavez était une menace à l’hégémonie étasunienne en Amérique latine et ailleurs. Washington a alors décidé de renverser le président élu Chavez, avant même qu’il ne nationalise l’industrie pétrolière que les USA possédaient.
En avril 2002, les USA ont organisé un coup d’État militaire et économique qui a été défait en 48 heures par un soulèvement populaire appuyé par une partie de l’armée. Une seconde tentative de renverser le président Chavez a été mise en branle par des dirigeants de groupes pétroliers au moyen d’un lock-out. Elle a été défaite par les travailleurs du pétrole et les exportateurs de l’étranger. La révolution nationale-populiste de Chavez a alors procédé à la nationalisation des sociétés pétrolières qui avaient soutenu le « lock-out ».
L’échec des coups d’État a amené Washington à adopter temporairement une stratégie électorale largement financée par l’intermédiaire de fondations et d’ONG qu’il contrôlait. Les défaites électorales répétées ont conduit Washington à se tourner vers des boycotts électoraux et des campagnes de propagande visant à rendre illégitime le succès électoral du président Chavez.
Les efforts ratés de Washington pour restaurer le pouvoir impérialiste se sont retournés contre lui. Chavez a augmenté son soutien électoral, étendu le contrôle de l’État sur le pétrole et les autres ressources et radicalisé sa base populaire. En outre, les politiques anti-impérialistes de Chavez recevaient de plus en plus l’appui d’autres gouvernements et mouvements partout en Amérique latine et le président augmentait son influence et ses liens dans les Caraïbes en fournissant du pétrole subventionné.
Les commentateurs attribuaient la popularité massive et l’influence du président Chavez à son charisme, mais les circonstances objectives propres à l’Amérique latine ont été décisives. La défaite de l’intervention impérialiste par le président Chavez peut être attribuée à cinq causes :
L’engagement intense des USA dans de nombreuses guerres prolongées simultanées au Moyen-Orient, en Asie du Sud et en Afrique du Nord occupait Washington. De plus, les engagements militaires des USA envers Israël empêchaient les USA de se concentrer sur le Venezuela.
Les sanctions des USA ont été imposées pendant la flambée des prix des matières premières entre 2003 et 2011, à un moment où le Venezuela possédait les ressources économiques nécessaires pour financer les programmes sociaux au pays et neutraliser les boycotts locaux par les élites alliées des USA.
Le Venezuela a tiré avantage des crises du néolibéralisme des années 1990 à 2001, qui ont favorisé la montée des gouvernements populaires nationalistes de centre gauche dans toute la région, notamment en Argentine, au Brésil, en Équateur, en Bolivie et au Honduras. En outre, les régimes « centristes » au Pérou et au Chili restaient neutres. Le Venezuela et ses alliés ont aussi veillé à ce que les USA ne contrôlent pas les organisations régionales.
En tant qu’ancien officier de l’armée, le président Chavez s’est assuré la loyauté des militaires, contrecarrant ainsi les complots de coup d’État fomentés par les USA.
La crise financière mondiale de 2008-2009 a forcé les USA a dépenser plusieurs milliers de milliards de dollars pour renflouer les banques. La crise économique et la reprise partielle ont raffermi la position du Trésor et relativement affaibli l’influence du Pentagone.
Autrement dit, les politiques et les objectifs stratégiques impérialistes étaient toujours là, mais la capacité des USA à poursuivre leurs conquêtes était limitée par des conditions objectives.
Circonstances favorables aux interventions impérialistes
Plus récemment, les circonstances ont tourné à l’avantage de l’impérialisme. Elles reposent sur quatre causes :
La fin de la flambée des prix des matières premières a affaibli les économies des alliés de centre gauche du Venezuela et entraîné la montée de régimes clientélistes dirigés par l’extrême droite étasunienne, ainsi qu’une recrudescence des activités des opposants soutenus par les USA visant à renverser le président Maduro qui venait d’être élu.
L’incapacité à diversifier les exportations, les marchés, les systèmes financiers et de distribution pendant la période d’expansion a entraîné une baisse de la consommation et de la production, qui a permis à l’impérialisme d’obtenir des votes, en particulier des classes moyenne et moyenne inférieure, des consommateurs, des employés, des commerçants, des professionnels et des gens d’affaires.
Le Pentagone a transféré son centre d’attention militaire du Moyen-Orient à l’Amérique latine, en faveur des principaux régimes clés parmi ses clients militaires et politiques, à savoir le Brésil, l’Argentine, l’Équateur, le Pérou et le Chili.
L’intervention politique de Washington dans les processus électoraux en Amérique latine a ouvert la porte à l’exploitation économique des ressources et au recrutement d’alliés militaires pour isoler et encercler le Venezuela nationaliste et populiste.
Les conditions extérieures objectives ont favorisé la quête de domination impériale par Washington. La configuration du pouvoir oligarchique national a renforcé la dynamique favorisant une intervention impériale, sa domination politique et son contrôle de l’industrie pétrolière.
La baisse des recettes pétrolières du Venezuela, la mobilisation par l’élite de sa base électorale et le sabotage systématique de la production et de la distribution ont eu un effet multiplicateur. Les médias de masse et la droite autoproclamée ont soutenu un coup d’État de l’extrême-droite étasunienne en manipulant la rhétorique démocratique et humanitaire.
Washington a augmenté les sanctions économiques pour affamer les partisans chavistes à faible revenu et a mobilisé ses clients européens et latino-américains pour qu’ils exigent la soumission du Venezuela, tout en planifiant un coup d’État militaire sanglant.
L’étape finale du coup d’État militaire planifié et organisé par les USA repose sur trois conditions :
une division au sein de l’armée pour fournir au Pentagone et aux planificateurs du coup d’État une « tête de pont » et un prétexte à une invasion « humanitaire » des USA;
un leadership politique « conciliant » qui poursuit le dialogue politique avec des adversaires qui se préparent à la guerre;
le gel de tous les avoirs du Venezuela à l’étranger et la fermeture de tous les marchés auxquels le Venezuela continue de dépendre.
Conclusion
L’impérialisme est un aspect central du capitalisme mondial des USA. Mais il ne peut atteindre ses objectifs par les moyens souhaités au moment où et de la façon dont il le souhaite. Les revirements mondiaux et les changements de régime modifiant la corrélation des forces peuvent contrecarrer et retarder le succès de l’impérialisme
Les coups d’État peuvent être défaits et convertis en réformes radicales. Les ambitions impérialistes peuvent être contrecarrées par des politiques économiques fructueuses et des alliances stratégiques.
L’Amérique latine a connu bien des coups d’État impérialistes et des interventions militaires. Mais elle est aussi capable de forger des alliances régionales, internationales et fondées sur les classes sociales.
Contrairement à d’autres régions que les impérialistes ont dans leur mire, l’Amérique latine est un terrain fertile à la lutte des classes anti-impérialiste. Les cycles économiques entraînent l’ascension et le déclin des classes sociales et, par conséquent, la progression et le recul du pouvoir impérialiste.
L’intervention des USA au Venezuela est la plus longue guerre de ce siècle (18 ans), dont la durée dépasse celles menées en Afghanistan et en Irak. Le conflit illustre aussi comment les USA se fient à leurs clients régionaux et à leurs alliés à l’étranger pour soutenir les prises de pouvoir impérialistes.
Les coups d’État sont fréquents certes, mais leurs conséquences sont imprévisibles, car les clients sont faibles et les régimes sont en proie à des soulèvements populaires.
Les coups d’État des USA contre des régimes populaires entraînent des massacres sanglants et ne parviennent pas à assurer une consolidation générale à long terme.
Ce sont là les « particularités » des coups d’État en Amérique latine.
James Petras
Article original en anglais :
Peculiarities of US Imperialism in Latin America, le 30 janvier 2019
Traduit par Daniel pour Mondialisation.ca
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Vidéo : TOP 5 des programmes de télé-réalité les plus fous !
Au printemps 2015, D8 (actuellement C8) diffuse "Adam recherche Ève" en prime time. Le programme met en scène un homme et une femme qui se rencontrent complètement nus sur une île déserte. Une troisième personne (le rival) intervient plus tard. En France, les parties intimes des candidates sont floutées et le programme n’a pas su attirer suffisamment de téléspectateurs pour perdurer. En revanche, au Danemark, l’émission cartonne. Le secret ? Le sexe des candidats est visible par tous. Va comprendre…
Un autre programme peu pudique : "Sex Box".  D’après certains scientifiques, les humains sont plus enclins à se confier après avoir fait l’amour. C’est tout là le concept de cette émission diffusée par WE TV aux Etats-Unis. Les couples au bord de la séparation sont amenés à avoir un rapport sexuel dans une box sur le plateau télé, puis après l’acte, discuter avec les experts et le public présent dans la salle. C’est quelque peu… étonnant !
Le programme de télé-réalité le plus trash qui n’a jamais existé est très sûrement "Parovi". Cette émission serbe ne semble avoir aucune limite ! Sexe, violence… les candidats sont prisonniers dans une villa où la production les pousse à bout. Zelko, qui a participé pendant 6 mois à Parovi, explique qu’il a dû s’enfuir du studio par le toit, avant de se faire tabasser par des Hooligans parce qu’il voulait rentrer chez lui.
"Le patron, c’est un oligarque des Balkans et il tient la chaîne. Il finance les campagnes du Président. Du coup, il est intou­chable et le CSA ne peut rien faire."
Pour vous, ces émissions vont-elles un peu trop loin ?
Découvrez sans plus attendre TOP 5 des programmes de télé-réalité les plus WTF et réagissez dans les commentaires !
HF. 
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