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#bordeaux san sebastien
arphang · 1 month
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LES QUINCEAÑERAS DE RACHEL A LA HAVANE A CUBA
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travelinghuntress · 9 months
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HERE, THERE, AND EVERYWHERE
Last week as the train pulled out of Barcelona for Estacio Nord in Valencia, I realized something I hadn't really stopped to think about. 
It has been NINE months of traveling non-stop since Christmas.
I took a break for about 2 months during the spring and before than 1 month during the winter time, but I've been dragging my bags behind me on cobblestone and other rough surfaces for NINE (9) months! 
I started in Valencia and then spontaneously decided to visit Zaragoza for a week and San Sebastien for a few days before I moved on to Bordeaux, France. Spent a month in the city of Bordeaux before deciding to catch a train from Paris to Berlin to see an old college friend - and the city as well.
I flew to southern England from Berlin to visit with another friend whom I hadn’t seen in a long time. Since she lived between London and Oxford, I was able to spend some time ogling the antiquities of Oxford and England's lovely, cosy bookshops until I got tired of the chilly, and mostly cloudy spring weather and then flew back to Bordeaux before heading to Paris to return to the USA.
Once I was in the USA and I went traveling some MORE going from New Jersey to Florida, Florida to Georgia and Georgia to Texas and headed back again to New Jersey. After having spent good quality time with some family members, I prepared for a long journey overseas AGAIN.
Once summer was in full swing, I took a flight from New Jersey to France and then went immediately from warm, sunny weather in Paris to...
READ MORE at: https://travelinghuntress.com/blogs/where-to-next/here-there-and-everywhere
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elevagedubellay · 2 years
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Go for est un roc (1er)
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Lundi 7 mars il marche 13′2 sur 2450 m et finit deuxième battu à la lutte par une super jument. Jeudi 10 mars, il marche 13′3 sur 2450 m mais cette fois ci personne ne vient contester sa domination. Chapeau Go for Bellay ( Palika du Bellay x Ganymède), bravo à Patrick Bonnifait (propriétaire) Sebastien Ernault ( entraîneur) et Delphine Beaufils Ernault (Jockey). On suppose qu’après ça il va avoir le droit de se reposer quelques temps ! VIDEO
Samedi 12 mars à Avignon puis jeudi 17 mars à Lyon, Eden du Bellay s’est montré régulier à défaut d’être brillant avec deux quatrième places en amateur avec Max Michel Mutel.
Lundi 14 mars à Bordeaux, Grazia du Bellay a eu un parcours trop compliqué pour espérer quelque chose. Elle a fait toute la première partie de parcours à l’extérieur nez au vent et n’avait logiquement plus trop de ressources dans le final sans pour autant céder complétement. 
A VENIR
Dimanche 20 mars on sera sous le signe du trot monté avec:
Esope du Bellay à Carpentras qui va tenter de relancer sa carrière en découvrant cette discipline avec Paule Herry.
Go for Bellay à Reims qui n’aura qu’à faire sa course pour poursuivre sa magnifique dynamique car il aura en face de lui des vieux chevaux qui lui sont intrinsèquement inférieurs.
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vlmvband · 4 years
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New show added to February’s tour with Codes In The Clouds!
It’ll be our first time in Bilbao on February 20th, at Sala Shake...
Codes In The Clouds / VLMV tour 2020
15/02 Rotondes Luxembourg, Luxembourg    FB / TX
16/02 Hard Rock Cafe Lyon, France   FB / TX
17/02 La Cave à Rock Toulouse, France   FB
19/02 Dabadaba San Sebastien, Spain
20/02 Sala Shake Bilbao, Spain
21/02 La Voûte Bordeaux, France
22/02 Ess'pace Paris, France   FB
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topbeautifulwomens · 5 years
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#Bernard #Montiel #blogger #challenge #contours #creative #fashionpost #funny #hairdo #instasky #modelo #womensfashion
Câ€est le 9 avril, 1957, Ă  Casablanca que naĂ®t Bernard Montiel. Pour ceux qui ne sâ€en rappellent vraiment pas, Casablanca, câ€est au Maroc. Et oui. Bernard nâ€Ă©tait pas censĂ© venir travailler sur les chaĂ®nes françaises. OĂą lâ€on remercie le royaume pour ce doux cadeau…
Bernard Montiel, câ€est dâ€abord un human body de beau gosse mais pas trop. Gendre idĂ©al qui fait rĂŞver la mĂ©nagère de moins de 50 ans (ou plus). Câ€est dâ€abord cela et câ€est presque tout.
En tant que gendre idĂ©al, lâ€homme nâ€est pas mariĂ©. Il se dit prĂ©dateur. De nourriture, de vin et de femmes. Il nâ€aime que chasser. Il est Ă  lâ€affĂ»t du gibier – plus que des bons programs tĂ©lĂ©.
Lui qui passe son enfance Ă  Bordeaux devient directeur adjoint dâ€un cinĂ©ma neighborhood, avant de mettre les pieds Ă  NRJ et Fun Radio oĂą il anime des Ă©missions sur le cinĂ©ma, puis rejoint France a few Aquitaine oĂą le remarquent Pascale Breugnot puis Dominique Cantien. Il lâche alors sa boutique de cuir locale, sa famille, ses cabines dâ€UV prĂ©fĂ©rĂ©es et fonce vers la capitale.
Les deux gourous de la tĂ©lĂ©vision lui proposent Ă  portionir de 1987 de prĂ©senter sur TF1 les Ă©missions « TĂ©lĂ© Connexion », “Un samedi nommĂ© dĂ©sir”, “La une est Ă  vous”, “Crise de rire”, “V.I.P.”, “Surprise sur prise”, “Les oscars dâ€Hollywood”, « Une famille en or », puis le fameux « VidĂ©o Gag » Ă  partir de 1990…
Bernard reste cĂ©libataire. RĂ©sultat, sans enfant Ă  charge, il paye lâ€ISF. Ça lâ€embĂŞte. Et il le dit.
En 2000, Bernard participe Ă  un court mĂ©trage sur le thème de la mort, « Prime time ». Hum… Une mort en best time… VoilĂ  qui semble bien prĂ©monitoire…
TMC, TCM, Bernard Montiel est partout mais ne marque nulle part.
Bernard est toujours célibataire. Le soir, pour combler le temps, il écrit : « Télé Réalités » variety en 2003 chez Flammarion.
Puis, Bernard pète les plombs. Câ€en est fini de la belle famille de la tĂ©lĂ©vision, fini de la tour dâ€ivoire et de glace de TF1, fini des gags et des gamelles hebdomadaires, Bernard devient le nouveau zorro du PAF, celui qui ne va pas fermer sa gueule – gueule quâ€il a eu le temps de bien nourrir depuis dix ans de prĂ©sentation tĂ©lĂ©.
Sur RMC, Bernard se lâche : « TF1, une grande famille ? Laissez-moi rire ! Si tu ne fais pas dâ€audience, tu dĂ©gages. Il nâ€y a pas dâ€Ă©tat dâ€Ă˘me Ă  avoir, câ€est comme ça. Tiens, rĂ©cemment on mâ€a propos��© cette connerie de « Zone rouge ». Comme lâ€Ă©mission avait du mal Ă  dĂ©marrer, ils ont demandĂ© aux animateurs de TF1 dâ€y passer. Jâ€ai refusĂ©. Je nâ€ai pas envie de me faire mettre le feu au cul pour pas un rond, parce quâ€il fallait faire ça gratuitement. »
Tout est dit. Tout est dit ? Non, Bernard continue. Il est comme ça, entier.
Pour lui, Arthur, « même avec un prompteur, il se plante ! Il ne faut pas trop le dire car il a la mainmise sur TF1. »
Ardisson est « vraiment un enfoiré » mais Loft Story est encore pire : « vraiment débile : des putes et des gigolos ».
Julien Courbet se prend pour le « Zorro de la télé ».
Et « VidĂ©o Gag », son Ă©mission fĂ©tiche, celle avec laquelle il fait rire et rĂŞver les grands-mères ? Celle pour qui certains essayent de glisser et reglisser sur un vieux bout de gâteau, afin de gagner la somme associĂ©e au gag de la semaine ? « Câ€est purement alimentaire. Je ne fais ça que pour lâ€argent. Câ€est une Ă©mission que je ne regarde pas. Mais bon, jâ€assois mon gros cul sur les banquettes et je touche un paquet. Je suis articles. »
Tout est dit, cette fois.
Et voilà notre Bernard, certes content mais content tout seul. Il est viré aussi sec de TF1. Sebastien Follin, ex Mister Météo rejoint alors la belle Olivia Adriaco pour le meilleur et surtout, surtout pour le pire.
Il part alors pour la tĂ©lĂ©vision dite de complĂ©ment. TMC lâ€accueille. Il hiberne dans les studios de la chaĂ®ne.
Name Bernard Montiel Height Naionality Casablanca, Morocco Day of Birth 19-Apr-1957 Place of Birth Famous for
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frtodaynews · 6 years
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Dans l’histoire des confrontations entre Nantes et Toulouse (qui s’affrontent samedi à la Beaujoire), deux rencontres se sont terminées dans la confusion la plus totale…
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Fin de match houleuse le 19 mai 2007 à la Beaujoire. — FRANK PERRY / AFP
Le FC Nantes accueille Toulouse, samedi à la Beaujoire.
Dans l’histoire des confrontations entre ces deux clubs, deux rencontres ont été émaillées d’incidents.
Nantes-Toulouse, la rencontre n’a rien d’une affiche, mais pourtant, au moins à deux reprises dans l’histoire de cette confrontation en L1, elle a fait la Une des journaux. En 2007, sous l’ère Dassault, et en 2016, sous la présidence Kita. Les deux fois, au cœur de la soirée, des supporters nantais (ou pseudo selon certains observateurs) ont manifesté leur colère vis-à-vis de la direction en place. 20 Minutes a retrouvé des témoins des deux époques. Les souvenirs sont souvent intacts. Récits.
FCN-Toulouse (0-0), le 19 mai 2007, plusieurs dizaines de fans envahissent la pelouse
Cela fait 10 jours que le couperet est tombé. Malgré une victoire (0-1) à Bordeaux, le FC Nantes est fixé sur son avenir depuis le 5 mai. Après 44 ans dans l’élite, l’octuple champion de France est relégué en L2. Ce 19 mai 2007, « déjà avant le match il y avait de l’électricité dans l’air, il y avait eu une manifestation de supporters contre la direction aux abords du stade, se souvient Théo, qui avait 18 ans à l’époque. J’étais avec un ami en Présidentiel bas. Pendant le match, on entendait les chants anti-Dassault [actionnaire majoritaire du club] depuis la Loire. Et vers la 80e minute, on entendait “On va sur la pelouse, on va on va, on va sur la pelouse !”».
87e minute, 0-0, coup franc pour Toulouse. « Ah beh, les gens qui pénètrent sur la pelouse, ça, c’est pas bien du tout », s’écrie en direct Patrice Rio, consultant pour Foot +. «L’arrivée des supporters de la tribune Loire sur la pelouse m’a marqué, raconte Nicolas Savinaud, joueur du FCN à cette époque-là, qui jouait son ultime match en Jaune et Vert. Je ne me suis pas du tout senti en danger. Les fans, crispés par Dassault, voulaient faire passer un message. Ce n’était peut-être pas la bonne manière. »
Les joueurs étaient alors allés se positionner dans le tunnel. Julien, supporter présent ce soir-là : « Il n’y avait eu aucune violence. Les CRS étaient intervenus pour faire revenir tout le monde à sa place sans heurts. » Yannick Bigaud le speaker se rappelle juste avoir « demandé aux gens de faire preuve de sportivité et de regagner les tribunes ». Julien n’a pas oublié l’après-match : « Il y avait surtout eu des heurts et dégradations en dehors du stade. Feux de poubelle, caillassages, arrachages des grilles… » Le match n’avait finalement jamais repris. Toulouse l’avait emporté 3-0 sur tapis vert et s’était qualifié pour la Ligue des champions. Dassault lui avait fini « par rendre les armes » – comme souhaité par certains fans du FCN – quelques semaines plus tard.
FCN-Toulouse (1-1), le 5 novembre 2016, des fans tentent d’ en découdre avec Kita
Dire que ce soir-là, les Canaris n’étaient même pas relégables. Le 5 novembre 2016, les hommes de René Girard sont installés à une préoccupante 16e place. Contre Toulouse, ils concèdent l’ouverture du score sur un penalty de Braithwaite (36e). Le FCN bafouille son foot. Puis, à une dizaine de minutes de la fin, les yeux des quelque 21.000 spectateurs passent de la pelouse aux tribunes. « Les chants contre la direction se faisaient de plus en plus entendre, se remémore Julien, supporter. Et là, on voit un groupe de mecs cagoulés qui passe en bas de tribune Loire et qui file derrière la présidentielle. On les voit ressortir non loin des Kita au cœur de la tribune présidentielle. »
Un fan, âgé de 26 ans maintenant, fait partie de cette grosse centaine de contestataires. Son témoignage montre à quel point certains étaient à cran. Il décrit un comportement intolérable et forcément condamnable. « J’ai suivi le mouvement jusque dans les escaliers en présidentielle car j’avais moi aussi la conviction que c’était la goutte d’eau qui faisait déborder le vase. Je suis arrivé à un point de non-retour avec le président Kita ce jour-là. Ensuite, j’ai encore suivi le mouvement en voulant aller en découdre avec les Toulousains. »
Karl, en Océane, se souvient « des gens cagoulés passant de tribune en tribune, en face, de l’incompréhension chez les adultes et des pleurs chez les enfants ». Des images traumatisantes pour de nombreux spectateurs. Pendant ce temps-là, Nantes égalise par Stepinski (90e +1). « Mes joueurs étaient en train de regarder ce qui se passait dans les tribunes », avait pesté le coach du Téfécé Pascal Dupraz à l’issue de la rencontre. Beaucoup d'« assaillants » sont bloqués par la fermeture d’une grille et ne peuvent progresser fort heureusement vers le président Kita. « Un de mes collègues s’était même retrouvé du mauvais côté de la grille, se rappelle un policier. Comme il était en civil, il avait mis sa capuche et s’était fondu dans la masse… »
C'est la consternation en tribune présidentielle. – JEAN-SEBASTIEN EVRARD / AFP
Adrien Thomasson, milieu de terrain des Canaris à l’époque, avait appris les événements qu’en rentrant dans le vestiaire. « Je me souviens toutefois que j’avais été surpris sur notre égalisation par le peu d’enthousiasme du public, comme si les gens avaient la tête ailleurs. » Certains fautifs (pas tous) avaient été sanctionnés d’une interdiction administrative de stade. Ces incidents restent toujours tabous pour certains supporters influents de la tribune Loire.
SportThierry Henry avoue être un grand «admirateur» du Nantes de 1995SportVahid Halilhodzic n'aime pas être pris pour un «Guignol»
Vidéo
Midi-Pyrénées
Ligue 1
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Occitanie
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FC Nantes
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20minutes Sport
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mariekammah-blog · 6 years
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Travel Abroad Part 1: San Sebastien and the sea
Nassim’s family is from Bordeaux, France, so after Lily was born we took some time to travel abroad and introduce her to her French family. Nassim’s job at the time gave him 6 months of parental leave so we decided to take advantage of that time together. When I proposed this to my boss at the contemporary art museum in Denver, he said “how very European of you” and promised to give me my job back at the end of 6 months.
When faced with the prospect of such an extended period of time together, I think Nassim and I were both a bit unsure at first. Even though we would be adjusting to a totally new life as parents, might we not get sick of spending every moment together without work as a diversion?
To preempt this ennui, we planned as many adventures as possible for ourselves while we were abroad. From Bordeaux we could reach the sea in less than an hour, Spain in just over 2 hours by car, Paris in 3 hours by train, and Morocco in 2 hours by plane. So we did it all.
Lily loved her first glimpse of the ocean. I loved seeing it through her eyes and imagining all over again what it’s like to experience the magnitude of the sea for the first time. We picnicked, played in the sand, chased the waves, and walked up and down the beach while she snoozed in her carrier.
I had been to San Sebastien as a college student and loved going back with Lily and Nassim. It’s a romantic town and we enjoyed strolling through the streets, tasting amazing tapas, and sipping some delicious wine. Throughout the afternoon restaurants overflow with boisterous patrons drinking wine and eating tapas. Then everything shuts down and the whole city becomes peaceful again while everyone takes a siesta.
These day trips were fun, but we made sure to plan a quiet day at home in between each one for Lily to recalibrate, play on the floor, and take solid naps. She hated the carseat for the first 4 months of her life and would scream her head off no matter how short the trip. We learned to time departures with a nap so that she would sleep most of the way. Beyond that the only thing that consistently worked would be to distract her by playing music or ringtones on our phone - not sure how we stumbled across that one!
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cremadelicor-blog · 7 years
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Cul Rouge
J'étais dans le train depuis 6h44.
J'avais épuisé toutes les distractions possibles et éprouvais une terrible envie de changer de caleçon. Mon corps entier était moite, je me sentais puer de l'intérieur et aurai aimé une de ses douches salvatrices d'après cuite qui vous donnent l'impression de changer de peau. 
6h44, c'est long. 
J'avais tué le temps par un film entrecoupé de coups d'oeil machinaux à mon écran de téléphone, un Houellebecq corné à force de relire les mêmes pages faute de concentration et surtout passé de longues minutes à fixer le repose bagage situé au-dessus de ma tête, cherchant à mater les nichons d'une voisine assise 3 sièges plus loin dans les reflets de verre.  
Nouveau coup d’œil à mon téléphone : je suis dans le train depuis désormais 6h53.
Je suis un type sans trop de personnalité, du genre à aimer le brouillard romantique dans lequel l'esprit est embourbé après une courte nuit, à arracher les croûtes de mes boutons de moustique ou humer les effluves de cul émanant d'un fromage au lait cru, mais mon masochisme reste d'un niveau tristement commun. Je m'aperçois d'ailleurs que l'exercice de sa description est déjà d'un ennui mortel. Jamais, Ô grand jamais je ne me serais embarqué dans un voyage aussi interminable si un "incident passager" n'en avait pas décidé autrement. L'"incident passager", moins communément appelé "sales fils de pute de suicidaires égoïstes". Cette sale race qui décide de sauter à pieds joints sur les couilles d'autrui jusqu'à son dernier souffle : "Ma vie est nulle, mon ultime fulgurance sera donc d'en partager le goût avec 15 wagons d'innocents. J'offre ainsi généreusement la cerise sur le gâteau à ces pauvres bougres qui, après avoir choisit d'être fisté par le poing anguleux de la SNCF coiffé d'une gourmette en marbre, méritaient bien une dernière douceur." Quel ingrat fils de pute.
Je pensais alors aux viscères encore chaudes de cet ordure lorsque la voix nasillarde du chef de bord annonça notre arrivé à San Sebastian. J'attrapa ma valise au dessus de ma tête et après quelques politesses gênantes, me faufila au milieu de la rangée compacte, impatient de m'échapper du train à l'air saturé. En regardant devant moi, je m'aperçu que ma voisine à gros nichons avait également joint la file. La dizaine de personnes et un couple de vieux puant la friture juste devant moi ne m'empêchèrent pas de promener mon regard le long de son corps, découvrant un short rouge trop court emballant le cul le plus rebondit d'Espagne. Mon dieu. Le bas des fesses était à l'air libre, dévoilant deux petites poignées de peau aussi lisses et blanches qu'une gomme neuve. Bordel, impossible de détourner les yeux. Je sentis à nouveau le collant de mon caleçon sale et l'envie d'une douche froide. Un léger coup dans le dos me pressa alors de suivre le mouvement des passagers qui descendaient un à un et je perdis cul rouge sur les quais.
Cela faisait des jours que c'était la merde et j'avais éprouvé le besoin de prendre l'air. Bordeaux était alors saturé de connards à barbe taillées et de conasses à tatouages qui achetaient des vinyles de groupes pour lesquels elles s'inventaient une passion surjouées. Ces gens mâchaient des chewing-gum goût merde en faisant la queue au nouveau bouiboui sans gluten du centre, s'auto convainquant que la bouffe sans goût proposée allait sauver le monde ou tout du moins leur éviter le cancer. Ma boite mail était elle remplie de mails de connards et me rappelait à quel point la vie était globalement une connasse. J'avais terriblement besoin d'un weekend.
San Sebastien a ce côté carton pâte à la Disney Land tout en conservant un aspect moche, bâclé et rassurant. De l'exotisme modéré qui permettait de prendre l'air sans prendre de risque. La mer, les tapas et visiblement le bonus non négligeable du gral des paires de fesses.
Le lendemain j'errai dans la rue de bonne heure, trouva un café et m'y posa comme un porc, jambes écartées et clope aux lèvres. J'avais en effet passé la nuit à fantasmer sur ces coussins laiteux perdu à quais, les estoquant à en rassasier la Chine. Résultat, mes couilles étaient aujourd'hui tellement sèches qu'elles en étaient douloureuses. J'avais rejoins San Sebastien dans le seul but de prendre l'air, je rêvais désormais de m'y étouffer en avalant l'entièreté de ce cul pour rassasier la moindre cellule de mon corps.
Je passa rapidement du café à l'alcool blanc et me décidai à rejoindre la promenade pour me vider la tête. Fixer l'horizon et le corps ferme de jeunes mineures vigoureuses requinque son homme.
En ce samedi matin hors saison, la plage n'était pas saturée. Il y avait cependant des dizaines de parasols immondes, protégeant des UV des gros tas déguelasses et difformes qui tâchaient le panorama de leur absurdes présences, huilés comme des donuts bons marchés qu'on filerait même pas à un chien. Mon dégout s'apaisa lorsqu'au milieu des bourrelets puants et disgracieux j'entrevis cul rouge, seule sur une serviette. Vision sublimée par une lumière soudain changeante, dieu déplaçant quelques nuages créant ainsi un écrin pour la Rolls Royce des boules. Deux bosses objectivement insignifiantes à l'échelle de l'Univers mais qui auraient à elles seules justifiées toutes les guerres de notre monde. Exposées ainsi aussi solennellement dans la lumière, j'en conclus que dieu était définitivement un mec. Check, bien ouej' poto. Au fond de toi tu sais que, contrairement à la chair, toutes ces d'églises bâtis par des corps volontaires et robustes marqués par l'effort et le soleil, offrant leur sang et leurs os pour le plus hauts des clochers, n'arrivaient finalement même pas à faire sonner le tatoo du stagiaire de ta secrétaire. Cul rouge, lui, titillait ton divin et moi j'étais en train d'assister à ton érection divine. 
Je suivis Cul Rouge le reste de l'après midi et le jour suivant, si bien qu'elle finit par remarquer ma présence. Je croisai finalement son regard et elle se fendit d'un sourire que je lui rendis au centuple. Impossible alors de dire si elle était jolie ou non. Lorsque je tentais de détailler son visage, un spasme brulant et désespéré émanant du plus profond de mon ventre me suppliait de la retourner pour planter mon sexe au plus profond de ses deux collines, en angle droit et pile au centre. Un mat épais et rugueux pénétrant l'unique lune taillée selon le nombre d'or, la peau de mes couilles offertes aux vents célestes.
Après lui avoir prêté mon feu, on s'assit à la terrasse d'un café pour échanger quelques trivialités. Cul Rouge me raconta alors sa vie : les études de pharma, la famille Franco Espagnol, un aller-retour à Limoges deux jours auparavant pour quitter Kevin, un petit ami jaloux... Les mots mitraillés par sa voix de pimbêche satisfaite passaient par une oreille et sortaient par l'autre pendant que j'enquillais des sangrias pour tenter de contenir la fureur de mes spasmes. Elle aurait pu me parler de foot ou de harengs que je n'aurai daigné quitter la table, hypnotisé par son cul grandiose écrasé sur une vulgaire chaise en plastique à qui le miracle rebondit avait du conférer la vie. 
On échangea les premiers baisers dans sa chambre et mes mains sur ses hanches tremblaient à l'idée de pouvoir rencontrer son boule quelques centimètres plus bas. J'y descend et ensuite ? Que se passe t-il ? Le monde et les connards sans gluten explosent ? Dieu apparait et me met une droite ?  Que devient l'homme lorsqu'il met un doigt à la perfection ?  Putain, j'en avais des frissons. Elle me repoussa légèrement lorsque son téléphone sonna. J'étais à la limite de la syncope, mes mains et ma bite gorgés de lave pendant que mes spermatozoïdes étaient en réunion pour choisir les meilleurs d'entre eux. Elle s'élança sur son lit pour attraper le téléphone resté dans son sac et décrocha,  allongée sur le ventre . Bordel de merde... J'avais envi d'y plonger tout entier, de déchirer Cul Rouge avec les dents, d'avoir deux bites pour remplir simultanément ses deux orifices, j'avais envi d'exploser en elle comme un feu d'artifice du 14 juillet ou les artificiers crèvent tellement la pétarade est incontrôlable. Mon cerveau était sur le point de fondre lorsque que Cul Rouge se retourna vers moi, en larmes. D'abord des mots trébuchants les uns sur le autres puis un long silence. On avait identifié le petit ami jaloux qui avait sauté sous un train, bloquant la correspondance Limoges - San Sebastian pendant de longues heures (heures pendant lesquels je m'étais incroyablement fait chier). Cul Rouge se déroba et je restais seul comme un con au milieu de sa chambre, le mat douloureux et vainement tendu vers le ciel comme le cou de l'oisillon implorant d'être sustenté. 
Sans déconner Kevin, quel espèce d'ingrat fils de pute égoïste tu fais.
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vlmvband · 4 years
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Codes In The Clouds / VLMV tour 2020
15/02 Rotondes Luxembourg, Luxembourg    FB / TX
16/02 Hard Rock Cafe Lyon, France   FB / TX
17/02 La Cave à Rock Toulouse, France   FB
19/02 Dabadaba San Sebastien, Spain
21/02 La Voûte Bordeaux, France
22/02 Ess'pace Paris, France   FB
02/04 Bishop Street Church, Leicester UK   FB / TX
03/04 JT Soar Nottingham, UK
04/04 The Old Pint Pot Manchester, UK
08/04 The Hope & Ruin Brighton, UK
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frtodaynews · 6 years
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Après 9 journées, le FCN pointe à une inquiétante 19e place…
Lucas Evangelista. — SEBASTIEN SALOM GOMIS / AFP
Le FC Nantes est actuellement 19e de L1 avec seulement 6 points.
C'est l'un des plus mauvais départs du club en D1.
Devinez à combien de points pointait le FC Nantes de René Girard au même stade de la compétition en 2016 ? Aussi étonnant que cela puisse paraître, les Canaris étaient 11es avec 11 points, soit 5 de plus que le FCN de Vahid Halilhodzic, sèchement battu (3-0) à Bordeaux dimanche.
Il faut plutôt aller quelques décennies en arrière pour retrouver trace d’un départ plus raté qu’aujourd’hui (6 points à ce jour). Le pire (après 9 journées toujours) début de saison dans l’histoire du club est survenu en… 2001-2002. Si, si. Quelques mois après le 8e titre de champion de France. Les Canaris de Denoueix étaient totalement à la dérive avec seulement 3 points en 9 matchs (3 matchs nuls). Le 22 décembre, l’entraîneur historique Raynald Denoueix était ainsi démis de ses fonctions le soir d’un… succès (1-0 contre Troyes, but de Moldovan à la 85e), lors d’une soirée polaire (16 points à la trêve). Le FCN d’Angel Marcos avait néanmoins réussi son opération sauvetage, finissant 10e.
Autre départ calamiteux en 1996-1997, soit deux ans après le 7e titre de champion de France. Décidément. Après 9 journées, les hommes de Jean-Claude Suaudeau avaient engrangé 4 points… avant de finir en boulet de canon à la 3e place de la L1. Le FCN avait enchaîné 27 matchs sans défaite, avec notamment un 7-0 à la Beaujoire contre Nice le 5 octobre 1996.
Enfin, un autre début de saison égale celui d’aujourd’hui : celui de la saison 2006-2007. Celui de la première relégation en Ligue 2. Au même stade de la compétition, le FCN de Serge Le Dizet (puis Georges Eo puis N’Doram et Der Zakarian) possédait 6 points, soit le même total que le Nantes actuel. Les Canaris du président Rousillon avaient fini 20es et derniers de L1.
Par ailleurs, pour saper encore un peu le moral des fans nantais, ces statistiques de nos confrères de France Bleu Loire Océan: depuis le passage de L1 à 20 clubs en 2002, 60% des clubs avec 6 points ou moins après 9 journées sont descendus, soit 20 clubs sur 33. Une équipe s'est classé 5eme, c'était Rennes la saison dernière. Les autres formations ont toutes terminé entre la 10e et 20e place.
Depuis le passage de L1 à 20 clubs en 2002, 60% des clubs avec 6 points ou moins après 9 journées sont descendus. 20 sur 33. Un club s’est classé 5eme Rennes (17/18). Les autres ont terminé entre la 10e et 20e place. #FCN @bleuloireocean #FCGBFCN
— Grégory Jullian (@gregory_jullian) October 7, 2018
SportBordeaux-Nantes: «Il nous manque tout», le terrible constat de Vahid Halilhodzic après la fessée face aux Girondins (3-0)SportFC Nantes: «Je n'ai jamais eu de problèmes humains avec un coach», affirme Kita
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